2° La rénovation des bâtiments
administratifs.
Bientôt le découpage, le Haut - Katanga sera
doté de la nouvelle administration provinciale et de divers services de
l'Etat. Les élus dans les territoires respectifs auront leur cadre. Nous
pouvons nous demander si existe-t-il un bon cadre pouvant accueillir de
nouvelles institutions. Si c'est grave qu'aucun effort n'est consenti pour
ériger de bons cadres, c'est alors pire que les bâtiments
administratifs dans ce district sont dans un état de délabrement
très avancé, d'autres se sont déjà
écroulés par défaut d'entretien et surtout au niveau de
territoire, d'autres encore abandonnés par manque d'entretien ... Ces
bâtiments administratifs ne doivent simplement pas concernés les
services administratifs mais aussi les individus qui animent la territoriale.
Comment sont-ils logés, dans quelles conditions ? L'air des
bâtiments administratifs que ceux - ci présentent ne donne
même pas le goût d'y oeuvrer et surtout pour les jeunes
diplômés universitaires. Avec ça si nous encourageons le
découpage, un jeune licencié peut - il accepter d'être
affecté dans un territoire ou il peut y demeurer sans abri ou dans un
immeuble délabré ? Nous sommes dans un centre urbain
où les immeubles abritant les divers services de l'Etat sur l'avenue de
chute dans la commune de Lubumbashi présentent un état d'une
administration misérablement misérable. C'est
catastrophique ! Aucune preuve de l'existence d'une administration, et que
dire des bâtiments administratifs au niveau de la territoriale.
3° La rénovation des équipements
administratifs
La rénovation de l'administration publique de la
territoriale peut également passer par les équipements.
Nous avons eu à nous ressourcer scientifiquement au
cours de l'année 2009 en mars au secrétariat de la division de
Province où nous avons été surpris de constater
amèrement un secrétariat de cette Division dotée d'une
seule machine à écrire mécanique, rouillée, posant
d'énormes difficultés de clavier à son dactylographe, nous
sommes au centre urbain à Lubumbashi sur avenue de chute, commune de
Lubumbashi. Comme cela ne suffit pas, le moyen de communication, le moyen de
déplacement font défaut. Ceci étant en ville et que dire
des territoires. Où le territoire entier constitué d'un charroi
automobile de 2, 3 véhicules, où dans certains bureaux, les chefs
n'ont que des banquettes et sans table aucune. C'est grave qu'au 21e
siècle de trouver au niveau de la territoriale des services non
informatisés, les services dépourvus des anales...
|