Partie III : Résultats de l'enquête
Cette partie présente les résultats de
l'étude, qui a été enquêtée. Cette partie
aussi porte sur l'utilisation des terres, les modes de cultures et le
système d'agroforestier traditionnel, et aussi discute de l'utilisation
des terres abandonnées, ou les cultures ne peuvent pas planté
pour certaines raisons, par pénurie de l'eau ou a cause de la mauvaise
qualité des sols.
En outre, cette partie décrit également
l'évaluation des coats effectuée sur la culture d'arbres, de la
rentabilité et le rendement net provenant des plantations
agroforestières, dans la zone d'étude.
3.1 Distribution des tailles d'exploitation
La taille de l'exploitation et la productivité
a occupé une place centrale dans la littérature de
l'économie agricole, o0 il a été observé que les
petites exploitations agricoles ont un rendement plus élevé par
hectare que les grandes exploitations au PaKistan. L'existence de la relation
inverse entre la taille de l'exploitation et la productivité a
été observée par de nombreux économistes agricoles.
Les facteurs qui permettent a la diminution de la taille de l'exploitation qui
sont, le rendement de la récolte par hectare, la superficie
cultivée et l'observation régulière de l'utilisation plus
intensive du travail, est facile sur les petites exploitations que les grandes
exploitations, mais la productivité et l'efficacité
d'entrée des grandes et des petites exploitations agricoles sont
toujours discutables.
Kiani (2008) a montré dans ses travaux de
recherche sur la taille de l'exploitation, au PaKistan. Habituellement, une
forte productivité a été estimée sur les petites
exploitations due a l'intensification du travail et du capital. D'autre
coté, Acham (1997) a enquêté dans son étude sur les
petits exploitants au Pérou, o0 la taille des exploitations agricoles
dépendent largement de l'intensité du
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système agricole, qui déterminé a
la fois par la pression démographique et de conditions
agro-écologiques. Avec la croissance rapide de la population, les
paysans ont de mieux l'intensification de l'agriculture et ils aussi obtenant
un minimum niveau de vie.
Situation générale de
l'exploitation agricole dans le Pakistan ou Sindh
Les situations au PaKistan, selon le recensement de
l'agriculture, l'exploitation est distribué entre les trois
catégories, qui sont de petites, le moyennes et le grands (cf.
graphique n°5), ces catégories sont distingués
suivante : les petites exploitations, dont la superficie maximale de 5
hectares, les exploitations de taille moyenne, ayant la superficie de 5 a 10
hectares et les grands exploitations agricoles, sont de plus de 10 hectares de
champs d'agricole. Au PaKistan, le 85,7 pourcent sont des petits agriculteurs,
o0 ils ont occupé seulement 43,4 pourcent de la terre cultivée,
il y a 8,8 pourcent de la moyenne d'agriculteurs avec 19,1 pourcent de la terre
et il ya de 5,6 pourcent des grands agriculteurs seulement, mais ils ont
occupé 37,5 pourcent des terres agricoles.
De l'autre côté, si on regarde la
situation de la Sind province pour la distribution de l'exploitation
d'agricole, la situation de la province est plus ou moins la même que la
moyenne du l'état, il y a 82,5 pourcent des petits agriculteurs occupent
40,3 pourcent de la terre cultivé seulement, mais 9,6 pourcent de la
taille moyenne des agriculteurs occupent 16,5 pourcent des les champs agricole
et il y a seulement 8 pourcent des grands exploitants qui occupent 43,3
pourcent des terres agricoles.
Dans ces paroles, nous avons observé que perce
que la moitié des terres cultivées est la propriété
du grand agriculteur, même s'ils sont très peu nombreux, cela
signifie que les grands exploitants a le monopole de
l'exploitation.
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raphique n° 5
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Tableau n°4
La taille d'exploitations dans la zone
d'étude
Catégorie par l'espace
|
Moyenne
|
Petit exploitant
|
< 5 hectares
|
3,6
|
Moyenne exploitant
|
5-10 hectares
|
7,2
|
grand exploitant
|
> 10 hectares
|
36,7
|
Moyenne*
|
|
6,6
|
Source : enquêtes de terrain * Moyenne
pondérée
3.1.1 Occupation du sol
Si nous avons un regard sur les différentes
régions, nous trouverons les différents types d'utilisation des
terres. De même, la terre est changée en différent
fonctions de naturels et anthropiques, comme des conditions climatiques, la
pénurie de l'eau et de l'urbanisation. Cette description est
basée sur la représentation des collectivités locales et
une relative homogénéité, de la couverture de terre et
dépend des applications scientifiques et les pratiques de la
gestion.
Pour le voir les modes d'utilisation des terres dans
la zone d'étude. Les données ont été recueillies
auprès des agriculteurs sur distribution de leurs terres, il a
été aussi posé la question d'agriculture pour sa terre
cultivée, avec quelle culture ou bien la terre a laissé avec
jachère, et les raisons de ne pas cultiver du terrain, s'il n'y a pas
quelque parcelle qui cultivée. Cette étude a été
réalisée pour voir la quantité de terres avec
jachère et terre friche, ce qui a été les raisons pour
laisse sans cultiver et les solutions de ce possible.
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Les résultats de cette étude
présente, qu'il y avait trois catégories différentes
prévalu, selon d'utilisation des terres dans les régions
sélectionnées, qui comprennent, la superficie cultivée, la
jachere, et l'abandonné. La superficie cultivée est
définie comme la terre qui a été avec de cultures
agricoles, les jacheres est défini que morceau de terre qui a
laissé sans culture par les agriculteurs, pour la prochaine culture, ou
la terre abandon n'a pas cultivé en raison de la pénurie de l'eau
d'irrigation ou pour le faible qualité de la terre pour culture, en
raison de certaines caractéristiques physiques comme la salinité,
etc.
Par ailleurs, l'utilisation des terres motif a
été trouvé dans chaque district, qui est donnée
ci-dessous (cf. tableau n°5). Ces données ont
été recueillies au cours de la saison seche, ce qui indique que
l'utilisation des terres que le motif trouvé le terre cultivé
été de 5,3 hectares en moyenne, ce qui représente 80,3
pourcent de terre de chaque répondants, si on torve la situation de
chaque district ; a Hyderabad le terre cultivé a été
calculé que 76,5 pourcent, dans le NaWabshah il était de 75,3
pourcent, dans le Sanghar 81,5 pourcent, et dans le district de Badin la
superficie des cultures a été 77,9 pourcent. Cela montre que dans
le district de Sanghar la superficie terre cultivé est plus
élevé que les autres districts, parce que cette district est une
centre de la province et
La jachere de saison seche a représenté
en moyenne de 0,5 hectares, qui constitue 8,6 pourcent la superficie totale de
chacun des agriculteurs, o0 il a été calculé de 6,7
pourcent dans le district d'Hyderabad, 12,5 pourcent dans le district
NaWabshah, dans le district de Sanghar 5,8 pourcent et e 5,3 pourcent des
terres en jachere a été Badin district. La pratique de jachere a
été maintenue en raison de l'augmentation de la fertilité
et la croissance de la nutrition de la terre pour la prochaine récolte.
La tradition de conserver les terres en jachere a été vu dans
NaWabshah district, c'est plus élevé que les autres
districts.
Quand cette question a été posée
de les agricultures, pour quelles raisons ce morceau de terre est
abandonnée? O0, la réponse de la plupart des agriculteurs ont
souligné que « cette terre est fertile, ce qui est bon pour la
culture, mais en raison de la pénurie de l'eau on a laissé ce
morceau de la terre sans de culture D. Or, il y avait trouvé la
végétation indésirable sur les terres
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abandonné, comme des arbres et des arbustes, et
maintenant il est difficile d'enlever la végétation et de mettre
ces terres en culture.
Tableau n°5
Occupation du sol
Catégorie
|
Moyenne par
exploitation (hectare)
|
Terre possédées (pourcentage)
|
Total (%)
|
NaWabshah
|
Sanghar
|
Hyderabad
|
Badin
|
Terre cultivé
|
5,3
|
75,3
|
81,5
|
76,5
|
77,9
|
80,3
|
Jachère (saison sèche)
|
0,5
|
12,5
|
5,8
|
6,7
|
5,3
|
8,6
|
Terres abandonnées
|
0,8
|
12,2
|
12,7
|
16,8
|
16,8
|
12,1
|
Total
|
6,6
|
100
|
100
|
100
|
100
|
100
|
Source : enquêtes de terrain
3.1.2 Assolement des cultures
Les activités agricoles changer les
caractéristiques physiques, chimiques ou biologiques du sol. Ces
activités comprennent: la culture (a la main ou mécaniques), le
labourage, le sarclage, le terrassement, le charrue, l'application de fumier,
les engrais, le drainage et l'irrigation (HarteminK, et al. 2008),
mais aussi les applications biocides sur les plantes cultivées affecter
les propriétés du sol. Beaucoup de sols ont été
améliorées, car les gens ont commencé a la culture dans de
nombreuses zones d'agricoles.
Assolement des cultures, ce qui indique la part
relative de chaque culture dans l'ensemble de superficie ou la manière
dont les terres sont distribué entre les différentes cultures.
Selon la réponse de l'agriculteur, les changements dans les politiques
agricoles qui affectent les modes de cultures, comme l'annonce le prix de la
récolte, aura un impact sur la superficie des cultures. L'enquête
a été réalisée dans certains districts du Sind dans
la réponse a ce que les résultats représentent la province
du Sind (cf. graphique n°6).
Cette enquête a été
réalisée en saison sèche, le modèle de culture de
cette saison dans la zone d'étude a été constaté,
il existe différentes cultures sur les champs, plus de 45 pourcent de
l'exploitation a été opérationnel dans le cadre de la
récolte de blé, parce que le blé est l'une des principales
cultures du pays. Dans la même saison de la canne a sucre (qui est une
autre grande culture) a été représenté que 26
pourcent, environ 7 pourcent de la superficie a été
cultivée avec de bananes, la moutarde a été cultivé
sur superficie de 7 pourcent, sur la zone d'environ 6 pourcent les arbres ont
été plantés comme plantation arborée, de 4 pourcent
a été représenté sous les fourrages qui a
cultivée pour leur bétail. Les légumes ont cultivé
sur la superficie d'environ 4 pourcent, et les autres céréales
ont été cultivées sur une pourcent de la superficie des
terres. Lorsque l'assolement des cultures de la saison de la mousson dans le
pays sont le coton, le riz, la canne a sucre, le maïs, le tournesol,
etc.
raphique n° 6
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Source : enquêtes de terrain
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3.2 Les systèmes agroforestiers dans les autres
provinces du pays
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Il est évident que les arbres sur les terres
agricoles sont cultivée en raison de leurs nombreux avantages, qui
comprennent de la rentabilité financière, les brise-vents,
l'ombre, et la beauté. Les systèmes d'agroforesterie sont
également aussi prévaloir dans le PaKistan. Les plantations de
l'Intsia bijuga (Ipil-Ipil), comme l'agroforesterie, a trouvent la plupart dans
la région de PeshaWar, dans le nord-est du PaKistan. Les parcs Intsia
bijuga sont pratiquées pour l'amélioration de la qualité
du sol, le fourrage et de la biomasse, qui sont relativement disponible depuis
des quatre dernières décennies (Ahmed, 2000).
Dans le nord du pays, il existe un autre
système d'agroforesterie, qui est pratiquée depuis le dernier
siècle, c'est le Populus nigra (peuplier), principalement dans les
districts Charsada, Bannu et Mardan (cf. photographie
n°1). Les arbres de Populus nigra sont plantés,
dispersés dans les champs agricoles ou, comme brise-vent a
côté des cultures, et ces arbres aussi sont plantés avec
les arbres fruitiers, mais le but des plantations de ces arbres est besoin de
bois ligneux et aussi bois de chauffage, en raison d'une bonne qualité
de bois. Dans le cadre de la promotion de l'agroforesterie par le gouvernement
dans le Changa Manga (nord de l'état), le gouvernement a loué les
terres avec la plantation d'arbres Populus nigra sur les forêts
publiques, a des agriculteurs a des conditions attractives pour la culture du
curcuma entre les arbres (Ahmed, 2000).
Photographie
Les Populus nigra sont cultivées
comme brisevent avec le mars dans le nord du
l'état)
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3.3 Systèmes de culture et pratiques
agroforestiers au Sind
Quant au système agroforestier est
concernée, la plupart des pratiques de l'agroforesterie, qui comprend
l'Acacia nilotica arbres avec la culture sous différentes formes, que ce
soit, ces arbres peuvent etre cultivés que dispersées ou comme
brise-vent avec les cultures ou les arbres cultivé comme des petits
parcs de côté les cultures. Mais plupart, cet arbre est
cultivé comme dispersées dans les champs d'agricoles, c'est a
dire qu'a d'arbres a cultures associées.
La plantation arborée de l'Acacia nilotica
(Hurry), Ce système a été rétabli au cours de la
période de colonisation, en 1858, lorsque les dirigeants britanniques, a
fait une distribution gratuite des terres de l'état, pour la promotion
des arbres (gouvernement du Sind, 1999, Keerio, 2000). Ensuite, les
agriculteurs ont continué a croTtre d'Hurry a des différentes but
d'économique, par exemple: par la croissance des arbres pour
protéger les cultures, de répondre a leurs besoins en bois, ou
pour augmenter la qualité du sol (si les arbres cultivé sur terre
abandonné ou sur des terres salées). Comme on le voit, dans nos
jours, cette pratique de plantation arborée a faire en raison de la
pénurie d'eau d'irrigation. L'agriculteur peut décider de
cultiver l'acacia nilotica arbres dans une partie de ses terres avec les
cultures mineures7. D'autre part, très peu d'agriculteurs ont
été analysés ont cultivé des arbres sans cultures.
Depuis le siècle dernier, la plantation de la Hurry, par le biais de
pratiques traditionnellement concentrées principalement dans a
Hyderabad, et Sanghar régions, mais a l'heure présent, cette
pratique est aussi répandue dans les autres districts du Sind. Hurry
améliorer la qualité du sol et sa fertilité avec de fixer
l'azote et l'arbre Acacia nilotica fournir l'excellent fourrage pour le
bétail (Gouvernement du Sind, 1999).
7 Au PaKistan, les oléagineux et les
légumineuses sont considérées comme des cultures mineures,
c'est le choix de l'agriculteur de cultiver ces cultures, entre la ligne des
arbres en fonction de la disponibilité de l'eau d'irrigation. Parce que
les plantes ont besoin de plus d'eau que les arbres.

L'autre espece qui est cultivé comme
agroforesterie, c'est l'Eucalyptus camaldulensis, cet arbre est originaire
d'Australie et il a la qualité de croissance rapidement et a une faible
consommation de l'eau, arbre a feuillage et résistant de sol
salée, cet arbres sont généralement cultivés comme
brise-vent. Qureshi et al. (1992) a montré que les especes d'arbres
Acacia nilotica et Eucalyptus camaldulensis prouvé pour etre le plus de
succés que les autre especes, et qui peuvent rapidement se
développer dans les sols salées.
En dehors de ces deux especes, l'Azadirachta indiga
est un arbre tr<s connu dans le Sind, ce sont les nombreux avantages de
cette espece, dont la plus pratique, bénéficier de cet arbre est
le contrôle des ravageurs sur la ferme, il a également aussi
utilisé dans la médecine traditionnelle. Pour cette étude,
cette espece n'a pas été analysés économiquement,
car il a été trouvée dans les champs agricole rarement et
aussi les agriculteurs ne sont pas intéressés a cultiver cette
espece, parce que cette arbre besoin beaucoup de temps pour atteindre sa
maturité de bois.
3.4 Plantations d'agroforesterie
3.4.1 Plantations d'arbres a cultures
associées
Il existe plusieurs especes d'arbres cultivés
comme agroforesterie dans la zone d'étude (cf. graphique
n°7). La plus commune espece des arbres a été Acacia
nilotica, qui représentait 50 pourcent du nombre total d'arbres
plantés en agroforesterie. Eucalyptus camaldulensis
représentaient 15 pourcent, ce qui a été constaté
que le deuxième choix des agriculteurs apres l'Acacia nilotica.
L'Azadirachta indiga représentaient 11 pourcent, et toutes les autres
especes d'arbres, y compris Delbergia sissoo, Prosopis cinéraire,
Prosopis julifora, Conocarpus lancifolius, et Sesbania grandiflora
représentaient 11 pourcent, mais la plupart de ces arbres ont
été cultivés sur des canaux ou des cotés des
routes,
mais il n'y a pas de attention accordée par les
agriculteurs a gérer ou a développer plus de ces arbres. Lorsque
les 13 pourcent d'arbres fruitiers ont été trouvés dans la
zone d'étude, qui ont été cultivées avec les
cultures.
raphique n° 7
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Source : enquêtes de terrain
Plupart le système agroforestier traditionnel
dans le Sind est les arbres sont plantés comme dispersées et
brise-vent, avec des cultures (cf. photographie n°3-4-5).
Les arbres ont été plantés comme brise-vent sur la plupart
comme les rangs autour de la culture. Les résultats de l'enquête
montrent que le nombre moyen de 6,2 arbres par hectare a été
calculé, dont 62 pourcent des arbres ont été
plantés comme brise-vent ainsi que les cultures, et o0 29 pourcent ont
été plantés comme dispersés.

Photographie n°3
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
des arbres varie dans chaque région, en
fonction des conditions climatiques et les préférences des
agriculteurs. VisWanath et al. (2000) menée leur étude en Inde,
ils ont conclu que l'age moyen des arbres de l'Acacia nilotica estimée a
12 ans, quand le mieux choisi pour la récolte pour bonne qualité
de bois.
Les revenues provenant des arbres de l'Acacia
nilotica, qui comprend des recettes de bois ligneux et non ligneux. Produits
non ligneux comprennent les graines, les feuilles et les fleurs qui sont
utilisées comme fourrage pour le bétail, ces produits sont
obtenus après deux ans, comme les arbres deviennent matures. Les bois
sont obtenu quand d'arbres vendus dans la dernière année, en
forme de bois, qui soit utilisée pour le bois d'oeuvre ou de bois de
chauffage.
Pour voir, que les agriculteurs ont regu de revenu net
négatifs, jusqu'a deux ans, et le rendement net positif pour toutes les
autres années, de l'Acacia nilotica arbres, qui sont cultivées
comme dispersés. Lorsque le plus élevé, le revenue net de
Rs. 1456 par arbre, ont été gagnés par les agriculteurs
dans de la dernière année, quand l'arbre a été
vendu (cf. tableau n°6), qui est d'environ égale a
la valeur de 146 Kg de blé ou 30 Kg de coton. « Cet arbre fournit
une variété de produits, tels que le bois de chauffage, les
broussailles pour cloture, le bois pour le mobilier et les outils agricoles et
des produits non ligneux tels que le fourrage, les feuilles, la gomme et des
graines » (VisWanath et al. 2000). « En Sind, l'Acacia nilotica arbre
contenait 46 pourcent de bois de chauffage, 38 pourcent du bois utilisé
dans l'ameublement et de 16 pourcent du bois utilisé comme pilier dans
les mines de charbon » (Magsi, 2006).
D'autre part, la deuxième espèce d'arbre
que l'analyse économique, sur la base des données recueillies sur
le terrain d'enquete, l'Eucalyptus camaldulensis a été
récolté entre les ages de 4 a 15 ans. Mais dans laquelle, il a
été estimé que le plus commun et a
préféré l'age de cet arbre est de 8 ans, car a cet age, le
bois de l'arbre est le plus souvent exigé par les mines de charbon et
les usines des papiers. Les résultats montrent que les agriculteurs
regoivent un flux de trésorerie négatif de rendement net jusqu'a
8ème année et de rendement net positif est Rs. 641 par
arbre au cours de la dernière année (cf. tableau
n°7), qui est d'environ égale a la valeur de 42 Kg de
blé ou 14 Kg de coton. Dans c'est parce qu'il n'y a
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pas de produits non ligneux qui sont vendus par les
agriculteurs, a la fin ils sont vendent l'arbre comme bois.
Tableau n°6
Analyses economique d'Acacia nilotica
plantation (Roupie)
Anne
|
Coat par arbre
|
Revenue per arbre
|
Profit net per arbre
|
Non-ligneux
|
igneux
|
Total
|
0
|
33
|
0
|
0
|
0
|
-33
|
1
|
30
|
0
|
0
|
0
|
-30
|
2
|
29
|
0
|
0
|
0
|
-29
|
3
|
22
|
25
|
0
|
25
|
3
|
4
|
22
|
29
|
0
|
29
|
7
|
5
|
22
|
34
|
0
|
34
|
12
|
6
|
22
|
39
|
0
|
39
|
17
|
7
|
22
|
44
|
0
|
44
|
22
|
8
|
22
|
51
|
0
|
51
|
29
|
9
|
22
|
59
|
0
|
59
|
37
|
10
|
22
|
68
|
0
|
68
|
46
|
11
|
22
|
78
|
0
|
78
|
56
|
12
|
22
|
89
|
0
|
89
|
67
|
13
|
22
|
103
|
0
|
103
|
81
|
14
|
22
|
118
|
0
|
118
|
96
|
15
|
22
|
136
|
961
|
1097
|
1075
|
Total
|
378
|
873
|
961
|
1834
|
1456
|
Source : enquêtes de terrain
Tableau n°7
Analyses economique d'Eucalyptus ca
maldulensis plantation
Anne
|
Coat par arbre
|
Revenue per arbre
|
Profit net per arbre
|
0
|
33
|
0
|
-33
|
1
|
30
|
0
|
-30
|
2
|
29
|
0
|
-29
|
3
|
22
|
0
|
-22
|
4
|
22
|
0
|
-22
|
5
|
22
|
0
|
-22
|
6
|
22
|
0
|
-22
|
7
|
22
|
0
|
-22
|
8
|
22
|
641
|
619
|
Total
|
224
|
641
|
417
|
Source : enquêtes de terrain 3.4.3 Plantation
arborée

L'autre système agroforestier traditionnel
prévaut dans le Sind, pour cultivé les arbres sur la petite
parcelle pour la période de 4 a 5 (Keerio, 1997) ans pour les usages
multiples, par exemple : de générer des revenus, de maintenir la
fertilité des sols et d'utiliser cette parcelle de terre par les arbres
(dans le cas de la pénurie de l'eau). Ces petits blocs d'Acacia nilotica
arbres sont cultivés a côté de la culture. La
période de rotation de la plantation d'Acacia nilotica varie de minimums
quatre et maximum six ans, mais le plus commun période de cinq ans a
été trouvé, a cet age le bois de cet arbre est le mieux
pour servir dans les mines de charbon en tant que piliers de
soutien.
Les agriculteurs ont également gardé a
l'esprit pour le bois approprié, pour les mines de charbon, et ils sont
aussi effectuer les pratiques agricoles, telles que la croissance des arbres
avec un espace uniforme et faire l'élagage et d'autres pratiques de
gestion des arbres. Ce système d'agroforestier traditionnel qui a
été utilisé par les agriculteurs du Sind pour plus d'un
siècle.
3.4.4 Analyses économique de plantation
arborée
Les arbres sont des plantes vivaces qui comprennent
les coats et les rendements. Le même, dans ce système de culture
de l'Acacia nilotica arbres ont le flux des revenues et des coats,
généralement jusqu'a 5 ans. Les coats de la culture d'arbres,
sont notamment le coat initial et les coats de gestion annuel. Les
activités agricoles sont associées a la plantation de ces arbres,
dont la clairance de la région, le labourage, le canal de l'irrigation,
l'application de l'irrigation, les semences et semis, etc. Lors de la
première année, des activités de travail sont l'irrigation
application, mais dans les années suivantes, ces activités sont
réduites lorsque l'arbre devient mature et leurs racines vont
développer.
On peut voir, les résultats (cf.
annexe n°3) qui montrent la moyenne des coats par hectare pour une
première culture des arbres, nous avons fait le calcul dans la roupie
PaKistanaise8 (Rs) qui est. 19605. Le coat annuel moyen
par
8 Roupie paKistanaise est
égale a environ 0,01 euro.

hectare de ces arbres ont été Rs. 16861,
17061, 12901, 12901 et 13396, dans les années 1, 2, 3, 4 et 5,
respectivement (cf. tableau n°8). Les coats du travail
ont été estimés, par journées de traille qui
consacrées a des activités de la ferme, et puis multipliés
par le taux de salaire du marché, si les agriculteurs ont utilisé
leur propre travail ou de la main-d'oeuvre. En plus des frais de main d'oeuvre,
les coats annuels de loyer des terres, la tarification de l'eau et les imp:ts
payés a gouvernement, et de frais de gestion de la ferme. Frais de
gestion agricole a l'hectare, ont a été estimés a Rs. 3000
par mois pour 40,5 hectares9. Les agriculteurs vendent les arbres a
l'hectare sur la base de une négociation dans la région, mais le
prix est différent dépende de la taille et la
circonférence d'arbres. Les agriculteurs sont incapables de mesurer le
rendement (la quantité par hectare ou par arbre). Toutefois,
l'assembleur de bois estimations du volume, sur la base de leur
expériences, et le prix de l'offre par hectare. Alor, l'assembleur de
bois est responsable de la coupe d'arbres, et les frais de transport du
bois.
Il y a des flux, le coat par an, le rendement et le
rendement net par hectare10 par ans, de mise en place initiale, la
premiere année de cultiver jusqu'a la 5eme année,
lorsque l'arbre est récoltée, c'est la période de rotation
commun dans la Sind. Les résultats montrent que les agriculteurs ont
regu le négatif revenue net jusqu'a 4eme année, mais
il y a Rs. 138264 le rendement net par hectare au cours de la dernière
année des arbres de l'Acacia nilotica petits blocs ont vendu
(cf. tableau n°8). Qureshi et al. (1992)
réalisée sur l'analyse économique des blocs de l'arbre,
que les rendements bruts a partir d'Acacia nilotica arbre par hectare, ce qui
équivaut a environ Rs. 185333. Cette différence dans le montant,
peut etre pour différent entre des prix du bois et du fourrage a partir
des arbres.
Tableau n°8
Analyses de l'économique de plantation
arborée
9 Les charges de gestion
de la ferme ont été calculées sur la base de salaires qui
payés par les propriétaires fonciers a les agriculteurs. Dans le
Sind frais de gestion de ferme est seulement Rs. 3000 par an, pour s'occuper de
100 acres, qui est égal a 45,5 hectares.
10 Bien que, comme ce
système traditionnel, les agriculteurs produisent en moyenne de 0,4
hectare, l'Acacia nilotica arbres, mais les coats et les revenus ont
été calculés par hectare.

Anne
|
Coat par hectare
|
Revenue per hectare
|
Profit net per hectare
|
Non-ligneux
|
Ligneux
|
Total
|
0
|
19605
|
0
|
0
|
0
|
-19605
|
1
|
16861
|
0
|
0
|
0
|
-16861
|
2
|
17061
|
0
|
0
|
0
|
-17061
|
3
|
12901
|
3808
|
0
|
3808
|
-9093
|
4
|
12901
|
4379
|
0
|
4379
|
-8522
|
5
|
13396
|
5036
|
217766
|
222802
|
209406
|
Total
|
92725
|
13223
|
217766
|
230989
|
138264
|
Source : enquêtes de terrain
Comme cette analyse faite sur la base par hectare,
pour la décision des agriculteurs de cultiver des arbres, nous devrions
voir les recettes par arbre. De l'enquête il a été
observé que le nombre d'arbres par hectare dans les parcs d'Acacia
nilotica a été en moyenne de 1600 (minimum 1200 et maximum 2000),
lorsque, Qureshi (1992) a montré qu'en moyenne, 2400 arbres par hectare
ont été trouvés comme plantation arbore d'Acacia nilotica
dans le Sind. Cette différence dans les nombres d'arbres, qui
dépendent des conditions du sol, la disponibilité de l'eau. Comme
nous l'avons dép mentionné que après cinq ans, les revenus
nets pergus par les agriculteurs de l'un hectare, est Rs. 138264, ou le revenu
net par arbre a été calculé environ Rs. 86,5.
3.5 Analyses de l'investissement dans les plantations
agroforesterie
Comme on va voit, les résultats de l'analyse
des investissements de l'Acacia nilotica et Eucalyptus camaldulensis
(cf. tableau n°9). Sur la base de l'analyse
économique de ces espèces (cf. tableau
n°6-7-8), la valeur actuelle nette et le ratio
coat-bénéfice a été calculé pour une analyse
des investissements, en supposant que le taux d'escompte de 10 pourcent, ce qui
est généralement utilisé dans l'analyse des
investissements au PaKistan et les autres pays en développement.
Essentiellement, le taux d'escompte indique le minimum acceptable le taux de
rendement d'un investissement effectué par l'entreprise.
Les résultats dans le tableau suivant montrent
que la valeur actuelle nette, pour l'Acacia nilotica plantation arborée
est Rs. 68339 a l'hectare, dans autre

coute, l'Acacia nilotica cultivé comme
dispersés ou comme brise-vent, la valeur actuelle nette a calculé
Rs. 342 par arbre. La valeur actuelle nette per arbre de l'Eucalyptus
camaldulensis est Rs. 134.
Le ratio coats-bénéfices de l'Acacia
nilotica a cultivées dans des blocs calculés en 1,9. De l'autre
côté, ces arbres cultivé dispersés ou comme
brisevent, le ratio coats-bénéfices a été 2,59, ou
le ratio de coat pour bénéficier Eucalyptus camaldulensis arbres
cultivé comme l'agroforesterie dans la zone d'étude a
été 1,81. Si on comparée les deux especes, c'est clair que
les agriculteurs ont plus d'avantages pour cultivent l'Acacia nilotica
comparativement a l'Eucalyptus camaldulensis, et si on comparée entre
Acacia nilotica, cette arbre qui cultivé comme dispersé est plus
avantageuse que les plantations arboré.
Apres avoir pris en compte tous les coats explicites
et implicites dans tous les analyses, la valeur actualisée nette est
positive et le ratio coats-bénéfices est supérieur a 1, ce
critere recommande de faire les investissements pour cultivé des arbres.
Mais, en tout respect de l'investissement dans les arbres d'Acacia nilotica
sont plus rentables que l'Eucalyptus camaldulensis.
Tableau n°9
Analyses de l'investissement dans les plantations
d'arbres
Espèces d'arbres
|
L'analyse
|
Taux d'escompte (10 /0)
|
Acacia nilotica
plantation a culture associé (age de 15
ans)
|
Valeur actuelle nette (roupies par arbre)
|
342
|
Ratio cout-bénéficie
(Proportion)
|
2,59
|
Eucalyptus camaldulensis plantation a culture
associé (age de 8 ans)
|
Valeur actuelle nette (roupie par arbre)
|
134
|
Ratio cout-bénéficie
(Proportion)
|
1,81
|
Acacia nilotica plantation arborée
(age de 5 ans)
|
Valeur actuelle nette (roupies par hectare)
|
68339
|
Ratio cout-bénéficie
(Proportion)
|
1,9
|
Source : enquetes de terrain
|
|