En Algérie, la surface agricole utile ne
représente que 8 450 000 ha (RGA, 2001) soit 3,54% de la superficie
totale du pays et seuls 7,57% de cette SAU, soit 620 000 ha, sont
irrigués. La majeure partie du territoire est désertique (90%)
où les précipitations sont quasi-nulles, néanmoins cette
région désertique bénéficie d'un important
réservoir d'eau souterraine fossile (le continental intercalaire et le
complexe terminal). (Chabaca ,2004).
L'Algérie se situe parmi les pays les plus
défavorisés en terme de potentialités hydriques. En effet,
à l'heure actuelle le seuil théorique de rareté
fixé par la banque mondiale à 1000 m3/habitant/an, est
loin d'être atteint (Loucif, 2002).
Les ressources en eau superficielles et souterraines, en
Algérie, sont estimées à environ 19,2 milliards de
m3. En tenant compte de la sécheresse des 25 dernières
années, les estimations des potentialités ont été
revues à la baisse, et seraient plutôt de 17 milliards
de m3/an.
(MADR ,2007).
Selon Loucif, (2002), ces ressources sont réparties
comme suit : 13.5 milliards de m3 d'eau de surface et 3.3
milliards de m3 d'eau souterraine. Seuls 80% de ce potentiel est renouvelable
(70% pour les eaux de surfaces et 10% pour les eaux souterraines) et elles se
concentrent dans la frange septentrionale du pays, qui s'étend sur
environ 300 000 km2, soit 13% de la superficie du pays.
Dans sa dynamique de développement, l'Algérie
n'a pas accordé à l'hydraulique toute l'attention qu'elle
mérite. Il en résulte, dès lors, un retard fort
préjudiciable qui affecte aujourd'hui le développement
général du pays (Loucif, 2002 ; CNES, 2000).
L'une des préoccupations constantes des pouvoirs
publiques à été de s'efforcer de résoudre
l'épineuse équation entre les ressources en eau et la
satisfaction des besoins en eau de la population, de l'industrie et de
l'irrigation
Les ressources superficielles moyennes
mobilisées par les 61 barrages en exploitation, sont
évaluées à 2,8 milliards de m3, pour une
capacité de stockage de l'ordre de 6,5 milliards de m3. Pour
les eaux souterraines, les volumes exploités actuellement sont
estimés à 3,5 milliards de m3/an : 1,8 milliards
de m3/an dans le Nord et 1, 7 milliards dans les régions
sahariennes. Soit un volume total mobilisé de l'ordre de 6,3 Milliards
de m3/ (MADR ,2007).
L'irrigation dans les périmètres publics
est fortement subventionnée : l'eau est maintenue à un prix
bas et les matériels modernes d'irrigation peuvent être pris en
charge entre 60 et 80% de leur coût dans le cadre du PNDA.
(MADR ,2007).
En Algérie, les deux modes d'irrigation
les plus répandus sont le gravitaire et le localisé. Le
gravitaire prédomine dans toute l'Algérie sous une forme
traditionnelle (micros raies et micros planches), il consomme beaucoup d'eau
(efficience globale de 60%) dans un contexte actuellement défavorable du
fait du manque de pluies et d'une demande accrue en eau de la ville et de
l'industrie. La consommation élevée en eau est due justement
à cette faible efficience (Chabaca ,2004).
Dans le présent travail, nous nous intéressons
à la détermination des volumes réels brutes et nets
apporter par les agriculteurs aux cultures et la confrontation des
résultats obtenue avec les besoins en eau des cultures calculer pour la
tranche 1 par Mouhouche et chaoui en(2005-2006) sur la base des donnes
théoriques fournées au logiciel cropwat. En étudiant des
exploitations agricoles dans la Mitidja ouest tranche 1. Cette plaine, vu son
histoire et son haut potentiel productif, constitue depuis longtemps un
important pourvoyeur de produits agricoles non seulement pour la capitale, mais
aussi pour les autres régions du pays. La partie Est de la plaine a
bénéficié d'un aménagement hydroagricole
(périmètre du Hamiz) depuis 1937, soit 18 000 ha
concernés. Pour la partie Ouest sur laquelle s'est centrée cette
étude, elle n'est rentrée dans la grande hydraulique que depuis
1988 avec une superficie de 8600 ha, et 15 600 ha depuis 2000 pour la tranche
2.
Sur le plan scientifique peu de travaux ont
été menés sur l'efficience des techniques d'irrigation
à l'échelle des périmètres, de l'exploitation et de
la parcelle. Ils ont souvent étaient limités aux seuls aspects
économiques.
L'Algérie par le biais de l'INA, s'est
intégrée dans un projet Maghrébin financé par la
communauté économique européenne, qui s'intéresse
aux aspects de durabilité environnementale, de gestion des irrigations.
Ce projet s'intitule SIRMA (Systèmes irrigués au Maghreb). Son
originalité est également la prise en compte des analyses
techniques (hydrauliques et agronomiques) et économiques à
l'échelle de l'exploitation agricole.
L'un des objectifs visés par ce projet, est de produire
des méthodologies et des outils d'analyse prospective de l'utilisation
de l'eau en agriculture, qui tiennent compte de manière
intégrée, des processus biophysiques (eau/plantes) et des
dynamiques socio-économiques en jeu. En Algérie, il intervient
par la proposition de développement d'outils de gestion de l'eau, par la
mise en place d'un réseau pluridisciplinaire (chercheurs,
décideurs publics, gestionnaires de périmètres
irrigués et représentants d'usagers), et
d'expérimentation, à partir de relations et d'expériences
existantes. Il se fonde sur des approches intégrées de la gestion
de l'eau, nourries par des références techniques et
économiques déjà en cours d'acquisition dans le domaine de
l'irrigation.
Des travaux en ce sens ont été
déjà réalisés par Imache (2003) ,Benkrid &
Benmansour (2004-2005), , Guendouz & Boudjeltia,Mamadou (2005-2006),dans le
cadre de monographie de la région, et les travaux réaliser par
Mesatfa et Begas sur les indicateurs de performances en irrigation (gravitaire,
localisé) 2006-2007avec le travail de Degaa &
Fradj&Bousaha(2007-2008) sur les indicateurs de performances de
système localisé et sur le système gravitaire.et aussi
Habitouche sur les forages(2007-2008).
On a l'échelle de la parcelle a partir des
résultats des mesures que nous avons faites sur terrain.
Notre travail s'inscrit dans cette optique, qui vise à
déterminer les besoins en eau des cultures.il est divisé en
introduction générale plus trois grandes parties
accompagnées d'une conclusion générale et une partie
annexe:
L'introduction générale qui résume la
problématique et les raisons qui nous ont incitées à
effectuer ce travail, et bien sur tout en mettant en relief les avantages de
cette étude.
1 ère partie : Dénommée
étude du milieu et de l'environnement, elle regroupe toutes les
informations utiles sur la zone d'étude entre autre la situation
géographique, le climat, les potentialités agricoles et
hydrauliques des exploitations étudiés, donc du
périmètre irrigué.
2 ème partie : Matériel et
méthode, où nous calculons les volumes réels bruts et nets
apporté par les agriculteurs aux cultures, de toutes les exploitations
.afin de calculer le volume réel pour déterminer les besoins en
eau réel des agriculteurs (volume d'eau réel ramener par les
agriculteurs).
3 ème partie : Résultats et
interprétation où nous finalisons notre étude en
présentant les résultats obtenus.et on comparant les
résultats obtenue avec les données théorique trouvant par
Mouhouche et chaoui sur les besoins en eau théoriques des cultures
(2005-2006)a Mitidja ouest tranche 1.et par ITCM (institut technologie de la
culture maraichages)pour connaitre les niveaux de satisfaction des besoins par
rapports aux rendements associés donc c'est une bonne façon de
bien exploiter les résultats des années précédentes
et d'en assurer la continuité.
Une conclusion générale et une partie annexe y
est associée où l'on trouve les différents tableaux et
graphiques qui n'ont pas été utilisés comme support
à l'intérieur du mémoire.
Introduction
La zone choisie dans le présent travail est la Mitidja
Ouest tranche 1 situé en grande partie dans la Wilaya de Blida. Le
périmètre présente plusieurs particularités. C'est
d'abord un périmètre récent et très peu
étudié, notamment à cause des problèmes qu'a connu
particulièrement cette région entre 1990 et 2000 et qui a
fortement entravé les travaux de recherche. La superficie
équipée du périmètre est de 8 600 ha. Il est
irrigué à partir du Barrage de Bouroumi et des nappes
souterraines. Certaines zones nécessitent un drainage des sols lourds
à nappe phréatique proche de la surface du sol. Malgré des
infrastructures nouvelles, le périmètre connaît des
dysfonctionnements en matière de distribution d'eau aux agriculteurs.
Sur les 8600 ha équipés, la superficie effectivement
irriguée à partir du barrage n'a jamais dépassé
malheureusement les 2800 ha. En matière d'urbanisation, contrairement au
périmètre du Hamiz, notre périmètre d'étude
est peu perturbé par ce problème.
Aujourd'hui dans notre périmètre d'étude,
sur les 463 exploitations existantes, la majorité sont des EAC.
Nous allons tout d'abord situer le périmètre,
ensuite, nous donnerons ses différentes caractéristiques et nous
terminerons par la gestion de l'irrigation dans le périmètre.
Chapitre I :
Présentation du périmètre Mitidja Ouest tranche
1.
Historiquement, l'irrigation est ancienne en Algérie,
et les grands périmètres parmi les quels figure la Mitidja datent
de la colonisation. A l'Indépendance, les pouvoirs publics prennent en
charge les grands périmètres irrigués
hérités de la période coloniale et en développent
d'autres. Ils sont considères par l'Etat comme des pôles de
développement agricole et ruraux.
I.1.
Localisation.
La plaine de la Mitidja est une vaste plaine qui couvre une
superficie de 1450 km² avec une longueur moyenne de 100 km et une largeur
moyenne de 14 km. Elle est répartie entre les wilayates d'Alger, Blida,
Tipaza et Boumerdès. Elle est limitée au Sud par les
piémonts de la chaîne montagneuse de l'Atlas de Blida et au Nord
par le Sahel, bande accidentée de quelques kilomètres de large
qui borde la mer méditerranée et sur laquelle se situe la ville
d'Alger. La baie d'Alger, l'Est de la ville, incise le Sahel, et le divise
ainsi en deux parties : le sahel Ouest et le sahel Est. Cette plaine est
scindée en deux zones géographiques : la Mitidja Est et la
Mitidja Ouest. Cette division renvoie, en particulier aux deux grands
périmètres irrigués que compte la plaine (Figure : 1)
Figure 1:
Situation de la plaine de la Mitidja.
Le périmètre
irrigué de la Mitidja Ouest, qui constitue notre zone d'étude
précisément tranche 1. Il est compris entre la barrière du
Sahel au Nord, les piémonts de la chaîne montagneuse de l'atlas
Blideen au sud, Oued Chiffa à l'Est et Oued Bouroumi à l'Ouest.
Il dépend administrativement des wilayates de Blida et de Tipaza. Ce
périmètre regroupe une superficie globale de 9250 ha
divisée en trois secteurs : Est - Ouest - Sud (Tableau 1).
Les trois secteurs sont situés dans la wilaya de Blida
et Tipaza et englobent trois communes (Mouzaia, Chiffa et Attatba).
Tableau 1: Répartition des surfaces
selon les secteurs dans la Mitidja Ouest, tranche 1.
Secteur
|
Surface (ha)
|
Géographique
|
Equipée
|
Irrigable
|
Sud
|
2660
|
2490
|
2297
|
Ouest
|
3380
|
3310
|
2889
|
Est
|
3210
|
2800
|
2741
|
Total
|
9250
|
8600
|
7927
|
Source : OPIM,
2004
La figure 2 suivante montre le positon de la tranche 1 et 2 du
périmètre irrigué de la Mitidja Ouest. Notre étude
n'a porté que sur la tranche 1.
Source : Imache, 2004
Figure 2: Le
périmètre irrigué de la Mitidja Ouest (tranche 1 et
2).
Dans cette étude nous avons choisi la Mitidja Ouest
pour les avantages qu'elle rassemble:
· des sols riches avec une bonne aptitude à
l'irrigation ;
· un climat favorable;
· une longue expérience de l'agriculture
irriguée (arboriculture et maraîchage) ;
· une proximité du marché potentiel que
représentent la capitale et les autres villes avoisinantes ;
· une infrastructure routière bien
développée ;
· une grande capacité de stockage et de
conditionnement des produits agricoles à coté d'une forte
densité d'implantation de l'industrie agro-alimentaire ;
· les institutions de formation et de recherche agricole
sont bien représentées dans la Mitidja ;
· enfin, la plaine est bien située par rapport aux
possibilités de mobilisation d'importantes ressources en eau.
I.1.1.
Climatologie.
La plaine de la Mitidja est soumise à un climat de
type méditerranéen à étage subhumide littoral
caractérisant l'ensemble des plaines côtières. Au fur et
à mesure que l'on s'éloigne du littoral, le climat devient de
plus en plus continental et l'on enregistre une baisse sensible des
températures.
I.1.1.1. Les
précipitations.
Elles sont réparties dans le temps et dans l'espace, on
s'intéresse surtout à leur intensité et leur
régime.
??Pluviométrie moyenne
La moyenne pluviométrique dans la région varie
entre 565 mm (Mouzaia); 625 mm
(Sidi Rached) et 667 mm (El-Afroun).
Le tableau 2 montre la pluviométrie moyenne mensuelle
observée sur une période de 18 ans (1988 à 2006) dans la
station de Mouzaia.
Tableau 2: Pluviométrie moyenne
mensuelle sur une période de 18 ans (1988 à 2006) dans la station
de Mouzaia.
Mois
|
Sept
|
Oct
|
Nov
|
Déc
|
Jan
|
fév
|
Mar
|
Avr
|
Mai
|
Juin
|
Juill
|
Aout
|
Moy mensuelle
|
P
(mm)
|
23,18
|
37,86
|
69,46
|
70,76
|
80,47
|
54,91
|
39,45
|
57,92
|
37,08
|
2,37
|
3,07
|
4,52
|
40,09
|
Source : A.N.R.H, 2006
Les mois les plus arrosés sont novembre, décembre
et janvier, les mois les plus secs sont juin, juillet et août.
I.1.1.2. La
température.
Les relevés moyens mensuels des températures ont
été enregistré sur une période de 17 ans (1989
à 2005), par la station de Mouzaïa, le minima enregistré
pendant une série de 16 ans varie entre 9°C et 23°C
respectivement pour le mois de Janvier et Août. Le maxima
enregistré sur la même série varie de 18°C à
36°C au mois de Janvier et Août. Sur le périmètre, la
température moyenne annuelle est de 26°C, le minima absolu est
3°C pour les mois de décembre, janvier ; le maxima absolu est
de 42°C pour le mois d'Août.
I.1.1.3. Les
vents.
Les vents dominants dans le périmètre sont ceux
qui soufflent de N.E et de l'ouest. Le maximum des forces de vents se situe au
cours de l'hiver; Le minimum se situe aux mois d'été. La vitesse
moyenne annuelle des vents varie de 2,7 à 3 m/s, le maxima est de
l'ordre de 4 m/s (station Mouzaia) .
I.1.2.
Hydrographie.
La plaine de la Mitidja est traversée par six
importants oueds qui assurent le drainage des bassins versants montagneux de la
chaîne de l'Atlas. Nous rencontrons d'Est en Ouest les oueds: Hamiz,
Djemaa, El Harrach, Chiffa, Bouroumi, Djer. En aval de la plaine de la Mitidja,
l'oued Bouroumi et l'oued Chiffa confluent pour former l'oued Mazafran. L'oued
Harrach rencontre l'oued Djemaa dans les environs de Baba Ali. A l'Est de
l'oued Hamiz, s'écoule l'oued Reghaia qui est considéré
comme secondaire. Les oueds mentionnés ci-dessus sont en grande partie
en liaison hydraulique avec la nappe de la Mitidja puisque leurs eaux peuvent
s'infiltrer ou inversement drainer la nappe.
La plaine est partagée en quatre bassins
fluviaux : celui de l'oued Nador, de l'oued Mazafran, de l'oued Harrach
et du Hamiz. Alors que la plaine s'allonge dans une direction d'Est - Ouest,
ces derniers la traversent perpendiculairement selon des directions
méridiennes. Ces oueds côtiers présentent un certain nombre
de caractéristiques communes :
- Ils prennent tous naissance dans l'Atlas et sont tous de
dimensions restreintes
- Tous présentent un profil longitudinal divisé
en deux parties très distinctes.
- Leur pente est très forte en montagne
- Dans un passé récent elles ont
été constamment maintenues par le jeu tectonique
- Ce sont des oueds aux vallées étroites,
profondes, encaissées (Rabehaoui et Belaidi, ANRH, 2005).
I.1.3. Aperçu
géologique et hydrogéologique.
La Mitidja renferme deux niveaux aquifères :
§ La formation de l'Astien
§ Les alluvions du soltano-tensifien qui reposent sur les
marnes du plaisancien formant la limite étanche de presque tout le
bassin.
Ces deux aquifères sont séparés par la
formation semi perméable du villafranchien appelée marne d'El
Harrach.
Source: Mutin, 1977
Figure 3:
L'aquifère de la Mitidja
I.2.
Caractéristiques des sols.
Les sols de la plaine sont représentés par cinq
classes dont l'importance est présentée dans la figure 6, leur
répartition géographique est présenté dans la
figure 4, en ce qui concerne le type de sol de notre zone d'étude est un
sol Argilo-limoneux.
73%
7%
13%
6%
1%
Sols hydromorphes
Peu évolués
Calco-magnésiques
Vertisols
Sols à sesquioxydes de fer
Figure 4: les différentes classes de
sols de la plaine de la Mitidja Source: Mutin, 1977
Source: Mutin, 1977
Figure 5: les sols dans la
plaine de la Mitidja
I.3. Potentialités
hydrauliques.
Les ressources en eau utilisées dans le
périmètre comprennent: les eaux de surface et les eaux
souterraines.
I.3.1. Eau de surface
Actuellement ces eaux sont mobilisées par les ouvrages
suivants :
- Barrages de Bouroumi: 50 hm3 qui passera ensuite
à 120 hm3.
- 7 retenues collinaires : 0,2 hm3 soit 9% des
écoulements.
En effet, seulement 9% des eaux superficielles sont
mobilisées. C'est pour cette raison que des efforts ont
été consentis pour la mobilisation des eaux superficielles. De ce
fait, 5 petits barrages sont livrés et permettront encore la
mobilisation de 1,5 hm3 environ (Loucif, 2003).
Toutes les eaux superficielles déjà
mobilisées sont destinées à l'irrigation, AEP et
l'industrie.
D'après l'étude préliminaire du
périmètre irrigué de la Mitidja Ouest fournie par
l'Office du périmètre irrigué de Mouzaia , le
périmètre est traversé par trois principaux oueds qui
alimentent le barrage Bouroumi et dont les caractéristiques hydrauliques
sont différentes :
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