CONCLUSION DU CHAPITRE 1
CHAPITRE 2 - DIFFERENTS MOYENS MIS EN PLACE POUR
INTEGRER LE CONCEPT DE DEVELOPPEMENT DURABLE : UNE VERITABLE REMISE EN
CAUSE
IV. Une remise en cause indispensable à
différentes niveaux
a. Marketing « bancaire » - Marketing
« vert » : alliance possible ?
b. L'intérêt essentiel à la cohabitation
V. Outils financiers comme levier d'actions opportun
a. Le rôle majeur des produits et services financiers dits
« éthiques, verts, responsable »
b. Le choix des projets de financements peut contribuer à
améliorer l'environnement
c. L'investissement éthique comme réponse :
alliance possible entre « économique » et
« environnementale »
d. La gestion durable et Investissement Socialement Responsable
(ISR) comme concept fondamental du développement durable
i. L'ISR allie économique et écologique
ii. Différents portefeuilles de combinaison des deux
critères
iii. Distinction de la durabilité absolue et relative
VI. Adaptation des banques à ce nouveaux concept passe
par la formation et la sensibilisation des parties prenantes
a. Besoin immense de formation interne
b. Besoin urgent de sensibilisation
CONCLUSION DU CHAPITRE 2
CHAPITRE 3 - ILLUSTRATION D'INTEGRATION DU
CONCEPT DE DEVELOPPEMENT DURABLE AU SEIN D'UNE STRUCTURE BANCAIRE
V. La contribution du groupe s'exprime par
l'intégration de la RSE
a. Prise en compte du Pacte Mondial à ses principes
d'actions
i. Prévention
ii. Conformité
iii. Economie d'Energies
iv. Sélection des approvisionnements
v. Gestion des Déchets
vi. Contrôles des Risques et efficacité du
contrôle interne
vii. Maîtrise des coûts
viii. Développement d'offres spécifiques
ix. Sensibilisation des salariés
VI. De nombreuses actions concrètes
engagées
a. Une gestion des risques primordiales
i. Les risques de crédits
ii. Les risques de marché
iii. Les risques opérationnels
b. La relation avec les actionnaires : Etre à
l'écoute des demandes par une communication soutenue
c. La relation avec les clients : Promotion de l'ISR
d. La relation avec les fournisseurs : un travail en
accord
e. La relation avec les salariés : une communication
interne indispensable
f. La relation avec les sociétés civiles :
être en accord avec les organismes extérieurs
g. La protection de l'environnement : Maîtrise des
impacts directs et indirects rime avec maîtrise des coûts
i. Au niveau des IMPACTS DIRECTS
1. Pour les immeubles d'exploitation
2. Pour le traitement des déchets
3. Pour la qualité environnementale
4. Pour le transport et choix des véhicules
5. Pour les achats de papiers et fournitures
6. Pour les achats d'énergies renouvelables
ii. Au nivaux des IMPACTS INDIRECTS
1. Quantifier les risques
2. BNP PARIBAS et le marché des émissions de gaz
à effet de serre : « La Carbon Team »
3. Choix de financements de grands projets
VII. Un dispositif organisationnel colossal mis en place
à différentes échelles
a. Intégration indispensable à l'organisation
interne
b. Intégration essentielle au Reporting*
c. Intégration au contrôle interne
VIII. Le groupe présente des points forts et points
faibles par rapport au concurrents
a. Tableau récapitulatif des points forts et points
faibles
b. Tableau comparatif avec d'autres concurrents (selon ADEME)
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