CONCLUSION
Au terme de notre rapport il est important de rappeler que
notre souci majeur était de porter un jugement critique sur la
commission bancaire dans son cadre juridique et les décisions qui
découlaient de ces rapports annuels. L'indisponibilité de la
documentation à tout de même réduit notre champ
d'étude aux années 2001-2002.
Pour réaliser cette étude critique, nous avons
présenté la Commission Bancaire à travers le premier
chapitre puis nous avons fait l'inventaire de ses activités, ce qui nous
a permis de faire des recommandations dans le chapitre II.
Au terme de notre étude, nous relevons que
l'existence de cette commission est salutaire, en ce qu'elle est un moyen
puissant de contrôle de l'activité bancaire, de
sécurisation des épargnants et de financement sain des
différentes économies. Mieux elle est un gage de bonne gestion,
toute chose qui peut rassurer les investisseurs sur la fiabilité de nos
institutions financières.
Toute fois elle gagnerait à adapter ces missions et
à améliorer ces rapports avec les institutions dont elle a la
charge, en terme de contrôle et de surveillance dans un monde de plus en
plus concurrentiel et un contexte de mondialisation qui est de plus en plus
exigeant en matière économique.
Pour finir, nous espérons une prise en compte de nos
modestes recommandations afin que la commission Bancaire soit plus performante
et proche des institutions financières pour qui elle doit être non
pas un bourreau mais un partenaire et un conseiller avisé.
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