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Les déterminants des investissements directs étrangers en France.


par Bastien FIGUREAU
Université de Nantes - Master 1 en économétrie et statistique 2001
  

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V.3 Détermination du modèle ARIMA (p, d, q)(P, D, O)s pour l'IDE

Tout d'abord, soulignons que la série IDEt concerne l'investissement direct étranger en France du premier trimestre 1995 au quatrième trimestre 2013. Il s'agit donc d'une série temporelle car la série est exprimée en année. Nous allons commencer par déterminer le modèle ARIMA pour notre série IDEt.

57

Graphique 20 : Représentation de l'investissement direct étranger en France

Source : L'auteur sur Gretl, d'après les données de « fred.stlouisfed.org ».

D'après le graphique 20, nous observons que notre série sur l'investissement direct étranger semble stationnaire au niveau de la moyenne. Rappelons, que pour pouvoir construire les modèles ARIMA, la série doit être obligatoirement stationnaire au niveau de la variance et de la moyenne.

Graphique 21 : Corrélogramme pour l'investissement direct étranger

58

Nous observons très clairement que cette série est stationnaire. D'après le graphique 23, nous observons une décroissance rapide des corrélations

V.3.1 Estimation de notre modèle

Tout d'abord, représentons le tableau de la fonction d'autocorrélation (FAC) et d'autocorrélation partielle (FACP) pour notre série IDEt portant sur l'investissement direct étranger. Nous n'avons pas effectué de différenciation car notre série brute était stationnaire.

Tableau 17 : FAC et FACP

Fonction d'auto-corrélation pour IDE

***, **, * indicate significance at the 1%, 5%, 10% levels using standard error 1/T^0,5

RETARD

ACF

PACF

Q

P. Critique

1

0,057

0,057

0,254

0,615

2

0,319 ***

0,317 ***

8,408

0,015

3

0,165

0,151

10,627

0,014

4

0,237 **

0,149

15,261

0,004

5

0,025

-0,079

15,315

0,009

6

0,216 *

0,094

19,257

0,004

7

-0,003

-0,053

19,258

0,007

8

0,152

0,054

21,274

0,006

9

0,041

0,025

21,421

0,011

10

0,204 *

0,136

25,153

0,005

11

-0,045

-0,081

25,338

0,008

12

0,090

-0,058

26,095

0,010

13

-0,053

-0,081

26,363

0,015

14

0,016

-0,052

26,388

0,023

15

-0,139

-0,105

28,259

0,020

16

0,134

0,145

30,034

0,018

17

-0,097

0,021

30,972

0,020

18

0,052

0,007

31,252

0,027

19

-0,175

-0,192 *

34,444

0,016

20

0,043

-0,025

34,645

0,022

21

-0,255 **

-0,166

41,648

0,005

22

0,005

0,023

41,651

0,007

23

-0,084

0,151

42,442

0,008

24

-0,030

0,056

42,543

0,011

D'après le tableau 17, nous observons une corrélation significative et positive au seuil de risque de 1% concernant le second retard. Cette corrélation est visible aussi bien pour la FAC et la FACP. Nous observons également une corrélation au seuil de risque de 5% pour les retards quatre et vingt-un au niveau de la FAC. Notons que cette corrélation est négative pour le retard vingt-un. Enfin, nous observons pour les retards six et dix, une corrélation positive

59

au seuil de risque de 10% dans le cadre de la FAC uniquement ainsi qu'une corrélation négative au même seuil pour le retard dix-neuf dans le cadre de la FACP uniquement. Les autocorrélations significatives pour la FAC nous montre que le modèle peut être MA (2). Dans le cadre de la FACP, nous allons être amené à tester le modèle AR (2) grâce aux corrélations significatives. Il y a donc quatre modèles à tester, AR (2), MA (2), ARIMA (1, 0, 1) et enfin ARIMA (2, 0, 1).

V.3.1.1 Modélisation du premier modèle AR (2) Nous rappelons tout d'abord que l'équation du modèle AR (2) est :

idet = S + at + çp1idet_1 + çp2idet_2 où :
idet représente la série IDEt
at
représente le bruit blanc
S représente la tendance centrale de notre série

Nous allons à présent vérifier à partir du modèle obtenu sous le logiciel GRETL la significativité des paramètres.

Tableau 18 : Modélisation AR (2) avec la constante

Evaluations de la fonction : 20

Evaluations du gradient : 8

Modèle 1 : ARMA utilisant les observations 1995 : 1-2013 : 4 (T=76)

Paramètres

Coefficient

Erreur Std.

Z

P. critique

Significativité

CONSTANTE

224,728

33,698

6,669

2,58e-11

***

PHI_1

0,043

0,109

0,394

0,693

 

PHI 2

0,323

0,109

2,959

0,003

***

 

Valeur

Moyenne variable dépendante

229,147

Ecart type variable dépendante

200,893

Moyenne des innovation

1,380

Ecart type des innovations

188,465

Log de vraisemblance

-506,109

Critère d'Akaike

1 020,217

Critère de Schwarz

1 029,540

Hannan-Quinn

1 023,943

Modèle

Réel

Imaginaire

Modulo

Fréquence

AR

RACINE 1

-1,828

0,000

1,828

0,500

RACINE 2

1,695

0,000

1,695

0,000

60

Dans un premier temps, nous avons modélisé le modèle AR (2). D'après le tableau 18, nous observons que la probabilité de la constante est inférieure à 0,05. Par conséquent, elle est significative donc nous la conservons dans le modèle. De plus, PHI_2 est significatif au seuil de risque de 1%. La valeur de PHI_2 est égale à 0,323. En revanche, PHI_1 n'est pas significatif donc nous allons observer notre second modèle. Les graphiques de ce modèle AR (2) se trouvent en fin de dossier (annexe 5).

V.3.1.2 Modélisation du second modèle MA (2) Pour commencer, rappelons que l'équation du modèle MA (2) est :

???????? = ?? + ???? - ??1????-1 - ??2????-2 où :

???????? représente la série ????????

???? Représente le bruit blanc

?? Représente la tendance centrale de notre série

Nous allons à présent contrôler à partir du modèle réalisé sous le logiciel GRETL la significativité des paramètres.

Tableau 19 : Modélisation MA (2) avec la constante

Evaluations de la fonction : 38

 

Evaluations du gradient : 13

 

Modèle 1 : ARMA utilisant les observations 1995 : 1

- 2013 : 4 (T=76)

Paramètres

Coefficient

Erreur Std.

Z

P. critique

Significativité

CONSTANTE

227,566

26,912

8,456

2,77e-17

***

THETA_1

-0,030

0,119

-0,254

0,800

 

THETA 2

0,263

0,104

2,524

0,012

**

 
 

Valeur

Moyenne variable dépendante

 

229,147

Ecart type variable dépendante

 

200,893

Moyenne des innovation

 

0,730

Ecart type des innovations

 

191,279

Log de vraisemblance

 

-507,195

Critère d'Akaike

 

1 022,390

Critère de Schwarz

 

1 031,713

Hannan-Quinn

 

1 026,116

Modèle

Réel

Imaginaire

Modulo

Fréquence

MA

RACINE 1

0,058

-1,949

1,950

-0,245

61

RACINE 2

 

0,058

1,949

1,950

0,245

Ensuite, nous avons modélisé le modèle MA (2). D'après le tableau 19, nous observons que la probabilité de la constante est inférieure à 0,05. Par conséquent, elle est significative donc nous la conservons dans le modèle. De plus, THETA_2 est significatif au seuil de risque de 5%. La valeur de THETA_2 est égale à 0,263. En revanche, THETA_1 n'est pas significatif donc nous allons observer notre troisième modèle. Les graphiques de ce modèle MA (2) se trouvent en fin de dossier (annexe 5).

V.3.1.3 Modélisation du troisième modèle ARIMA (1, 0, 1) Nous rappelons tout d'abord que l'équation du modèle ARIMA (1, 0, 1) est :

idet = u + at - 81at_1 + (P1idet_1 où :
idet représente la série IDEt
at représente le bruit blanc
u représente la tendance centrale de notre série

Nous allons à présent s'assurer à partir du modèle obtenu sous le logiciel GRETL que les conditions de stationnarités sont vérifiées ainsi que la significativité des paramètres. Nous essayerons également d'observer si nos résidus suivent bien un bruit blanc.

Tableau 20 : Modélisation ARIMA (1, 0, 1) avec la constante

Evaluations de la fonction : 59

 

Evaluations du gradient : 19

 

Modèle 1 : ARMA utilisant les observations 1995 : 1

- 2013 : 4 (T=76)

Paramètres

Coefficient

Erreur Std.

Z

P. critique

Significativité

CONSTANTE

207,645

56,736

3,660

0,000

***

PHI 1

0,920

0,076

12,100

1,12e-33

***

THETA 1

-0,786

0,104

-7,588

3,26e-14

***

 
 

Valeur

Moyenne variable dépendante

 

229,147

Ecart type variable dépendante

 

200,893

Moyenne des innovation

 

4,385

Ecart type des innovations

 

190,174

Log de vraisemblance

 

-506,815

Critère d'Akaike

 

1 021,630

Critère de Schwarz

 

1 030,953

Hannan-Quinn

 

1 025,356

62

Modèle

 

Réel

Imaginaire

Modulo

Fréquence

AR

 
 
 
 

RACINE 1

1,087

0,000

1,087

0,000

MA

 
 
 
 

RACINE 1

1,272

0,000

1,272

0,000

Dans ce modèle, nous envisageons des modèle mixtes : ARIMA (1, 0, 1), c'est une combinaison de AR (1) et MA (1). Cela veut dire que la performance présente est déterminée par la performance précédente et la valeur de référence évolue d'une mesure à l'autre. L'objectif essentiel de la modélisation est de déterminer combien de paramètre est nécessaires pour obtenir un modèle effectif. D'après le tableau 20, nous observons que la constante est significative. Par conséquent, elle est conservée dans ce modèle. De plus, PHI_1 et THETA_1 sont également significatifs au seuil de risque de 1%. La valeur de PHI_1 est égale à 0,920 et celle de THETA_1 est égale à -0,786. Comme on est dans un modèle mixte, il faut vérifier aussi les conditions de stationnarité et d'inversibilité avant l'estimation. Ici nous avons :

1| = |0,920| < 1,

|e1| = |-0,786| < 1

Donc les conditions de stationnarité et d'inversibilité sont vérifiées.

Nous allons à présent vérifier les résidus de notre modèle à partir d'un corrélogramme. Nous ferons également une représentation de la FAC et de la FACP.

Graphique 22 : Corrélogramme pour les résidus

63

Dans cette étape de l'estimation, les vérifications essentielles à réaliser portent sur les résidus. Les valeurs de la fonction d'autocorrélation et d'autocorrélation partielle de la série des résidus doivent être toutes égales à zéro. Cela veut dire qu'ils ont une caractéristique qui correspond à celle d'un bruit blanc. Si les autocorrélations et les autocorrélations partielles ne sont pas nulles, on pourrait dire que le modèle ARIMA est probablement inapproprié. Ici on peut constater qu'aucun de nos résidus ne dépassent le seuil significatif, donc ils ont une caractéristique d'un bruit blanc.

Tableau 21 : FAC et FACP pour les résidus

Fonction d'auto-corrélation résiduelle

***, **, * indicate significance at the 1%, 5%, 10% levels using standard error 1/T^0,5

RETARD

ACF

PACF

Q

P. Critique

1

-0,180

-0,180

 
 

2

0,173

0,145

 
 

3

0,000

0,056

4,952

0,026

4

0,121

0,111

6,157

0,046

5

-0,127

-0,106

7,497

0,058

6

0,139

0,072

9,136

0,058

7

-0,129

-0,078

10,578

0,060

8

0,093

0,035

11,327

0,079

9

-0,052

0,006

11,568

0,116

10

0,181

0,152

14,521

0,069

11

-0,111

-0,033

15,648

0,075

12

0,082

-0,019

16,268

0,092

13

-0,092

-0,063

17,067

0,106

14

0,007

-0,066

17,072

0,147

15

-0,166

-0,123

19,745

0,102

16

0,194 *

0,148

23,461

0,053

17

-0,092

0,060

24,304

0,060

18

0,120

0,071

25,766

0,057

19

-0,166

-0,154

28,637

0,038

20

0,134

-0,005

30,552

0,032

21

-0,228 **

-0,164

36,148

0,010

22

0,093

-0,006

37,108

0,011

23

-0,030

0,138

37,206

0,016

24

0,048

0,079

37,468

0,021

Dans cette approche de Box et Jenkins, un autre test statistique souvent employé pour évaluer un bruit blanc est le test Q. Ce test dont le but est de vérifier si les résidus sont indépendants entre eux. Nous devons vérifier l'hypothèse H0 d'indépendance entre les résidus. Si la p-value est supérieure à 0,05, on accepte l'hypothèse H0 et on dira que les résidus sont indépendants. Dans le cas où la p-value est inférieure à 0,05, on refuse

64

l'hypothèse H0 et par conséquent, les résidus ne seront pas indépendants. D'après le tableau 21, on constate que la p-value est inférieure à 0,05. Les résidus ne sont donc pas indépendants entre eux.

Graphique 23 : Test de normalité des résidus

D'après le graphique 23, on peut voir si les résidus suivent une loi normale. On pose l'hypothèse H0 : les résidus suivent une loi normale. Il faut une p-value supérieure à 0,05 pour accepter H0, ici on a une p-value égale à 0,0011, ce qui est inférieure à 0,05, donc on rejette H0 et nos résidus ne suivent pas une loi normale.

65

Graphique 24 : Les valeurs observées et prédites

Tout d'abord, si le modèle est bien spécifié, l'ajustement réalisé selon ce modèle doit suivre les évolutions de la série empirique, donc on projette les valeurs observées et les valeurs prédites dans le même graphique. Selon le graphique 24, on constate visuellement que les deux lignes ont des tendances et des volatilités différentes. Nos qualités prédites ne sont pas satisfaisantes.

V.3.1.4 Modélisation du quatrième modèle ARIMA (2, 0, 1) Nous rappelons tout d'abord que l'équation du modèle ARIMA (2, 0, 1) est :

idet = u + at - 81at_1 + çP1idet_1 + çP2idet_2 où :

idet représente la série IDEt

at représente le bruit blanc

u représente la tendance centrale de notre série

Nous allons à présent poursuivre avec la vérification des conditions de stationnarité et la significativité des paramètres. Nous essayerons également de vérifier si nos résidus suivent bien un bruit blanc.

66

Tableau 22 : Modélisation ARIMA (2, 0, 1) avec la constante

Evaluations de la fonction : 45

 

Evaluations du gradient : 16

 

Modèle 1 : ARMA utilisant les observations 1995 : 1

- 2013 : 4 (T=76)

Paramètres

Coefficient

Erreur Std.

Z

P. critique

Significativité

CONSTANTE

211,699

52,112

4,062

4,86e-05

***

PHI 1

0,534

0,219

2,442

0,015

**

PHI_2

0,294

0,124

2,368

0,018

**

THETA 1

-0,569

0,218

-2,616

0,009

***

 
 

Valeur

Moyenne variable dépendante

 

229,147

Ecart type variable dépendante

 

200,893

Moyenne des innovation

 

3,66324

Ecart type des innovations

 

184,180

Log de vraisemblance

 

-504,450

Critère d'Akaike

 

1 018,901

Critère de Schwarz

 

1 030,554

Hannan-Quinn

 

1 023,558

Modèle

Réel

Imaginaire

Modulo

Fréquence

AR

RACINE 1

1,147

0,000

1,147

0,000

RACINE 2

-2,961

0,000

2,961

0,500

MA

RACINE 1

1,756

0,000

1,756

0,000

Dans ce modèle, nous envisageons également des modèle mixtes : ARIMA (2, 0, 1), c'est une combinaison de AR (2) et MA (1). D'après le tableau 22, nous observons que la constante est significative. Par conséquent, elle est conservée dans ce modèle. De plus, PHI_1, PHI_2 et THETA_1 sont également significatifs au seuil de risque de 5% pour PHI et de 1% pour THETA_1. La valeur de PHI_1 est égale à 0,534, PHI_2 est égale à 0,294 et celle de THETA_1 est égale à -0,569. Comme on est dans un modèle mixte, il faut vérifier aussi les conditions de stationnarité et d'inversibilité avant l'estimation. Ici nous avons :

2| = |0,294| < 1,

P1 + P2 = 0,534 + 0,294 = 0,828 < 1,

P2 - P1 = 0,294 - 0,534 = -0,240 < 1,

|e1| = |-0,569| < 1

Donc les conditions de stationnarité et d'inversibilité sont vérifiées.

67

Nous allons à présent examiner les résidus de notre modèle à partir d'un corrélogramme. Nous réaliserons également une représentation de la FAC et de la FACP.

Graphique 25 : Corrélogramme des résidus

D'après le graphique 25, on peut constater qu'aucun de nos résidus ne dépassent le seuil significatif, donc ils ont une caractéristique d'un bruit blanc.

Tableau 23 : FAC et FACP pour les résidus

Fonction d'auto-corrélation résiduelle

***, **, * indicate significance at the 1%, 5%, 10% levels using standard error 1/T^0,5

RETARD

ACF

PACF

Q

P. Critique

1

-0,002

-0,002

 
 

2

-0,003

-0,003

 
 

3

0,009

0,009

 
 

4

0,045

0,045

0,178

0,673

5

-0,108

-0,108

1,149

0,563

6

0,071

0,072

1,571

0,666

7

-0,097

-0,101

2,379

0,666

8

0,036

0,041

2,495

0,777

9

0,026

0,032

2,555

0,862

68

10

 

0,161

0,149

4,874

0,675

11

-0,055

-0,038

5,152

0,741

12

0,044

0,021

5,329

0,805

13

-0,063

-0,056

5,707

0,839

14

-0,072

-0,093

6,202

0,860

15

-0,136

-0,105

7,987

0,786

16

0,177

0,165

11,091

0,603

17

0,007

0,052

11,096

0,678

18

0,069

0,060

11,588

0,710

19

-0,104

-0,128

12,706

0,694

20

0,051

-0,007

12,977

0,738

21

-0,190 *

-0,188

16,851

0,533

22

0,061

0,046

17,264

0,572

23

0,039

0,130

17,437

0,624

24

0,015

0,054

17,464

0,683

D'après le tableau 23, on constate que la p-value est égale à 0,683 ce qui est supérieure à 0,05. Les résidus sont donc indépendants entre eux. La p-value étant relativement élevée, on peut donc dire que le modèle est bon.

Graphique 26 : Test de normalité des résidus

D'après le graphique 26, on a une p-value égale à 0,0000, ce qui est inférieure à 0,05, donc on rejette H0 et nos résidus ne suivent pas une loi normale.

69

Graphique 27 : Les valeurs observées et prédites

D'après le graphique 27, on observe visuellement que les deux lignes ont des tendances et des volatilités différentes. Nos qualités prédites semblent décevantes.

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"I don't believe we shall ever have a good money again before we take the thing out of the hand of governments. We can't take it violently, out of the hands of governments, all we can do is by some sly roundabout way introduce something that they can't stop ..."   Friedrich Hayek (1899-1992) en 1984