Tableau 1 :Statistiques Descriptives
Statistiques
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LOG(PIBRH)
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LOG(TE)
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LOG(KH)
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LOG(IDE)
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LOG(DT)
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Mean
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6.815694
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3.462184
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4.269494
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5.768151
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6.784171
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Median
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6.815915
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3.452081
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4.299188
|
5.683546
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6.784171
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Maximum
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6.959359
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3.504295
|
4.476200
|
6.824863
|
7.788004
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Minimum
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6.672666
|
3.433213
|
3.999851
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4.712499
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5.733665
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Std.Dev.
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0.091435
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0.023029
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0.169601
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0.698705
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0.681821
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Skewness
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-0.117758
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0.397427
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-0.360710
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0.158328
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-0.036759
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Kurtosis
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1.517165
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1.721527
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1.656100
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1.828107
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1.634843
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Observations
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25
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25
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25
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25
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25
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Source : calcul de l'auteur à partir d'Eviews6
La dispersion de la croissance du PIB tourne au tour de
0,09%.Elle enregistre aussi une moyenne faible 6,81% durant la période
de référence, avec une valeur minimale de 6,67% et une valeur
maximale de 6,95%.Nous constatons que le Sénégal est loin de
réaliser un taux de croissance à deuxchiffres. Toutefois, on
remarque une évolution du taux de croissance.
Le taux d'emploi au Sénégal enregistre une
moyenne de 3,46% ; sa valeur maximum est de 3,50% avec un minimum de
3,43%.Donc, la moyenne du taux d'emploi est inférieure à 50%.Nous
pouvons donc conclure qu'on a moins de 50% de la population active
exerçant un emploi durant notre période de
référence. L'écart-type qui mesure la déviation
moyenne par rapport à la moyenne est de 0,02%.
Le taux de scolarisation secondaire moyen durant la
période de notre étude est de 4,26% avec une dispersion qui
tourne autour de 0,16%.La scolarisation secondaire est faiblement
élevée avec une valeur maximale de 4,47%, mais d'autre part, on
constate également une valeur minimale considérable de 3,99%.Nous
constatons que le Sénégal enregistre un faible taux de
scolarisation.
Les investissements directs étrangers enregistrent
durant la période de référence une valeur maximale de
6,82% par rapport au PIB et une valeur minimale de 4,71%.Nous constatons
également une moyenne faible de 5,76%, avec une dispersion qui avoisine
les 0,69%.Un pays comme le Sénégal qui vit sous dépendance
étrangère surtout en investissement doit avoir une grande part de
ces investissements dans son PIB malheureusement ce n'est pas le cas faute
d'une mauvaise gérance et distribution de ces aides
étrangères.
La proportion des dépenses publiques enregistre durant
la période de référence une moyenne de 6,78%, avec une
valeur maximale de 7,78% et une valeur minimale de 5,73%.Nous pouvons donc
affirmer que beaucoup de ces dépenses sont plus utilisées en
consommation et moins en investissements du secteur privé au niveau
national. Avec une dispersion qui tourne autour de 0,68%.
SECTION II : RESULTATS
EMPIRIQUES ET IMPLICATION DES POLITIQUES ECONOMIQUES
2.1. Présentation des
résultats
Nous allons d'abord effectuer les différents tests de
validation du modèle, ensuite interpréter les résultats
des estimations, et formuler des implications des politiques économiques
enfin.
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