Université Lumière Lyon 2
La publicité au Mexique, vecteur d'exclusion
sociale. Analyse communicationnelle d'un fragment publicitaire.
Mémoire de Master 1 en « Sciences de la
communication » à
l'Institut de la Communication (ICOM),
par Michael Spanu,
dirigé par Juliette Rennes.
Année universitaire 2009/2010
SOMMAIRE
Introduction
PARTIE I : Culture de l'image et image de la culture
1. Culture des images et société contemporaine:
un phénomène publicitaire
1.1. Des effets de la publicité à son
rôle légitimé dans la société
1.2. La publicité mexicaine, un quatrième
pouvoir?
2. Une image de la culture au Mexique
2.1. Notes sur le multiculturalisme
2.2. Discrimination, racisme et idéologie dominante
dans un système global
PARTIE II : Un discours publicitaire vecteur d'exclusion
sociale
1. Télévision et publicité
1.1. La télévision-publicité, un couple
conceptuel
1.2. Une approche sémio-pragmatique de la
publicité télévisuelle
2. Discours et visuel d'un fragment publicitaire
2.1. Description du corpus
2.2. Vendre du « rêve » et exclure
le réel
3. Consommations et réceptions du discours
publicitaire: l'entretien
3.1. En quête de compréhension: production
discursive face au discours publicitaire
3.2. Opacité du processus d'exclusion et
réalité sociale
Conclusion
REMERCIEMENTS
Je tiens à remercier tout particulièrement
Carlos Alabat Bernal qui a été attentif à toutes les
avancées de mon travail, toujours prêt à partager une
anecdote sur le Mexique qui pouvait m'aider dans ma compréhension du
monde social mexicain. De même Fabian Bonilla Lopez, pour les livres
prêtés et les bons conseils. Je remercie également tous mes
amis mexicains qui m'ont écouté et m'ont ainsi aidé
à formuler ma pensée, cette écoute a été
précieuse. Patricia, pour son entretien, sa bonne humeur, sa
présence. Sans oublier mes parents et ma soeur qui ont eu
l'amabilité de m'envoyer des livres de France, Maïwenn et Pierre
pour avoir fait l'effort de scanner des chapitres dont j'avais besoin.
Plus généralement je remercie la UNAM pour
m'avoir accueillie tout au long de cet échange universitaire, de m'avoir
tant appris et enrichi. Je serai éternellement reconnaissant à
cette université qui occupe un vrai rôle de service public, qui
malgré sa lourdeur administrative reste un des garde-fous de la
pensée et de la culture authentique du Mexique et d'Amérique
Latine.
Je tiens enfin à dire merci à ma directrice de
mémoire, Juliette Rennes, pour m'avoir accompagné dans ce
travail, de même que Jean-Claude Soulages pour ses articles et sa
pensée si riche. Merci à l'université Lyon 2 pour avoir
permis tout cela.
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