I.3.3. Le secteur de
l'éducation
Nous avons fait un constant amer à tous les niveaux, en
commençant par la qualité de l'enseignement jusqu'aux
infrastructures en partant par le corps enseignant : Ceci touche le
secteur public que privé.
La politique expropriationniste des gouvernants a
détruit tout dans l'éducation. Ceci a eu comme
conséquences : la corruption généralisée.
C'est le salut des certains enseignants pour la survie de leur famille et le
niveau et la qualité de l'enseignement ont baissé. Ces
enseignants démotives ne fournissent plus d'effort nécessaire
pour améliorer ou mettre à jour les connaissances d'une part et
les élèves et étudiants ne fournissent plus d'efforts
sachant d'avance comment passer de classe par l'appropriation indue de
réussite.
Les infrastructures qui existent, sont vétustes et
l'Etat ne sait pas construire des nouveaux bâtiments pour abriter les
écoles, les Instituts Supérieurs et les Universités. Les
différents budgets alloués à l'enseignement sont
modiques.
I.3.4. Le Secteur de
Santé
Les hôpitaux et les cliniques sont victimes du
système d'expropriation, érigé au Congo. Les institutions
hospitalières surtout publiques fonctionnent sans une pharmacie fournie,
sans matériels dignes d'un hôpital avec un personnel
démotivé.Les structures d'accueil des malades sont en état
de détérioration très avancé. Les autorités,
expropriateurs se signet à l'étranger avec leur famille en charge
du trésor public.Le pouvoir d'achat du Congolais ne lui permet pas de se
faire soigner sous le regard d'un médecin spécialiste.
Dans cette condition, c'est l'automédication et le
recours à la médecine traditionnelle avec ses conséquences
qui devient la voie du « salut » pour les
Congolais.
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