INTRODUCTION
L'homme au cours de son évolution s'est buté aux
problèmes liés à l'ignorance et au rythme du
développement des sciences. Etant un être intelligent, il n'a pas
voulu rester dans les conditions de vie médiocre mais il a
cherché à les améliorer et par conséquent au
développement de son bien-être social. Dans la recherche d'une
évolution, l'homme a souhaité maitre fin à ce travail
lourd et long portant sur des opérations arithmétiques et
logiques complexes et de tâches répétitives.
Le contrôle des structures des écoles
conventionnée et non conventionnée, (ECC et ENC)
de la sous-division étant manuel, nous avons trouvé multiples
difficultés quant à ce qui concerne le traitement des
informations qui lui sont liées. Ainsi, il nous a été
capital de voir, pour le cas de notre sujet :
<<Conception d'un système d'information pour le
contrôle des structures des écoles>>,
dans quelle mesure la gestion automatisée peut-elle être un
élément nécessaire permettrait surtout l'allégement
du travail de l'homme et fournir les résultats précis.
1.
Problématique
Le secteur de l'éducation occupe une place importante
dans le développement d'un pays. Après une étude
approfondie sur le mode de fonctionnement de la sous-division urbaine de
l'EPSP/KIMBASEKE, nous avons rencontré quelques difficultés
auxquelles est buttée cette institution à savoir :
v Les renseignements sur la structure des
écoles ;
v Les renseignements sur l'identification des écoles,
les effectifs du personnel et leurs qualifications (Administratifs,
Enseignants et ouvriers) ;
v La composition des salles de classe en fonction des
bâtiments ;
Au regard de ce qui vient d'être cité ci-haut
nous nous sommes posé quelques questions à savoir :
Ø Comment le contrôle de structure des
écoles est-il organisé ?
Ø Est-ce que l'outil informatique pourra-t-il
remédier à ces difficultés ?
Ø Le système actuel est-il performant ?
Ø S'il s'agit d'informatiser, comment y
arriver ?
2.
Hypothèse
La sous-division a besoin d'être conduite dans un monde
devenu plus concurrentiel, d'où la nécessité d'un outil
rapide pour rassembler des nombreuses informations, les ordonner, les
approcher, et les compiler (traiter) en vue d'obtenir des
résultats utiles à temps opportun.
C'est ainsi dans le cadre de contrôle des structures des
écoles, il nous parait propice de mettre à la disposition de la
cellule de la planification et statistique scolaire de la sous-division de
l'EPSP/KIMBASEKE un système d'information automatisé.
3. Choix et
intérêt du sujet
Le but que nous poursuivons est le remplacement ou
l'amélioration du système manuel qui existe par le système
automatisé.
Suite aux difficultés que connaissent la sous-division
urbaine de l'EPSP/KIMBASEKE et par cette motivation qui nous amenée
à aborder ce sujet.
L'automatisation est alors l'emploi des moyens automatiques
pour la réalisation du processus de traitement des données. Aucun
traitement manuel, quel que soit son apport, ne peut réaliser un grand
travail que celui du traitement automatisé.
Pour notre cas, cette étude pourra nous aider à
apporter une solution aux diverses difficultés rencontrées dans
l'exécution de différentes travails pour le contrôle de
structure des écoles et de réconcilier la théorie apprise
à la pratique professionnelle;
C'est dans cette optique que notre sujet essayera après
une étude, de proposer au gestionnaire un canevas pouvant l'aider
à prendre des décisions qui s'imposent. Il est donc indispensable
dans l'épanouissement de toute entreprise qui veut moderniser sa gestion
et l'automatiser en vue de :
· Contrôler rapidement la valeur des
activités toujours croissantes;
· Réduire et/ou supprimer les risques d'erreurs
liées au système manuel;
· Permettre à temps opportun la prise des
décisions au niveau de la Sous-division, lesquelles doivent être
précises et toujours fiables ;
· Servir de base de référence dans le
contrôle de structure continuel de la gestion.
4. Délimitation du
travail
Délimiter un sujet revient à le définir
dans le temps et dans l'espace ; mais l'informatique étant une
science de traitement automatique de l'information, nécessite
d'être utilisée pour une tâche bien précise et dans
un domaine précis.
Sur ce, notre espace d'application est la sous-division
urbaine de L'EPSP/KIMBASEKE et plus précisément dans sa
cellule de planification scolaire, dans laquelle notre travail se limitera
uniquement à l'informatisation du processus de contrôle de
structure des écoles et dans une période de 2010-2011;
5. Méthodologie et
techniques utilisées
a) Méthodes
La méthode est l'ensemble des règles et des
principes qui organisent le mouvement d'ensemble de la connaissance,
c'est-à-dire les relations entre l'objet de la recherche et le
chercheur, entre les informations concrètes rassemblées à
l'aide des techniques et le niveau de la théorie et des concepts. C'est
une procédure qui organise un va et vient théorique entre les
faits et les théories et qui préside aux choix des techniques.
Elle n'a pas de contenus concrets et n'est pas
préétablie, la méthode donc s'adapte sans cesse à
l'objet de la recherche, aux techniques utilisées, aux informations
recueillies et à l'appareil conceptuel et théorique
préexistant pour organiser leur confrontation.1(*)
A cet effet, l'élaboration d'un travail scientifique
exige une démarche à suivre. Le choix des méthodes
facilite d'atteindre le but visé par la recherche. Cependant, pour
cerner le contour de notre problématique et conduire à bon port
notre recherche, nous avons fait recours aux méthodes
ci-après :
Méthode Merise :
La méthode Merise a comme objectif d'aider les phases
d'analyse, de conception et de développement de l'applicatif2(*).
Cette méthode nous a aidées à organiser
le système d'information de la sous-division qui a
intéressé notre sujet. Elle nous a été
bénéfique dans l'analyse de son système d'information.
Méthode analytique :
Qualifiée d'une opération intellectuelle
universelle, elle a permis de remonter des connaissances aux principes, de
séparer des phénomènes, les faits et les
éléments de l'ensemble pour les examiner afin de comprendre et
connaître le tout.
b) Techniques
La technique est un ensemble d'outils mis à la
disposition de la recherche et organisés par la méthode pour
atteindre un but ou un objectif quelconque3(*). Ainsi, pour notre
recherche, nous avons recouru aux techniques ci-après :
Technique d'interview
libre
Ce terme d'origine anglaise dont les sonorités
s'harmonisent mal avec la langue française, est devenu l'usage courant.
Mais certains préfèrent à la place l'usage du mot
« entrevue » ou
« entretien »4(*).
L'interview est un précédé commun
à l'observation intensive et à l'observation extensive. Elle est
une entrevue avec une personne en vue de l'interroger sur ses actes, ses
idées, etc....
Technique
d'observation
L'observation est une perception attentive : elle est la
recherche des caractères distinctifs d'une chose et, à ce titre,
le premier moment de toute connaissance scientifique5(*).
Technique
documentaire
Permet de découvrir des informations oubliées
lors des interviews et de découvrir aussi quelques règles de
gestion.
Cette technique a consisté à ressembler et
à analyser les documents en rapport avec le sujet de la recherche. Nous
avons visé et mis à profit des documents concernant
l'environnement de la Sous-division6(*).
6. Canevas du
travail
Excepté la partie Introduction et la conclusion, notre
travail est subdivisé en trois parties à savoir :
ü Première partie : les
Fondements Conceptuels
Divisé en deux chapitres :
1. Les concepts informatiques de base
2. Les concepts relatifs pour le contrôle des structures
des écoles
ü Deuxième partie :
Etude préalable
Divisé en trois chapitres à savoir :
1. Présentation de L'organisation de la Sous-division
Urbaine de l'EPSP/KIMBASEKE
2. Analyse Existant
3. Diagnostic de l'Existant et recherche des solutions
ü Troisième partie :
Conception et Réalisation du nouveau système
d'Information.
Divisé en trois chapitres à savoir :
1. Conception du système d'information organisé
(SIO)
2. Conception du système d'information
informatisé (SII)
3. Réalisation du système d'information
informatisé (RII)
Étant donné que
notre travail est développé dans le domaine informatique, il est
question dans sa première partie de notre travail, de définir
certains concepts informatiques et dans faire un contour de certains concepts
relatifs au de contrôle des structures des écoles.
CHAPITRE 1 : LES
CONCEPTS INFORMATIQUES DE BASE
Le travail d'un informaticien, est celui d'architecte
c.-à-d. qu'il commence par une conception pour s'achever par un
accomplissement. Il est capital de comprendre les différents termes
liés à notre sujet d'étend. C'est pour cette raison que
nous allons définir quelques termes informatiques,
SECTION 1 : LA NOTION
DU SYSTEME
1.1. Définition
Un système est un ensemble des moyens matériels,
ressources humaines, financiers en interaction, structurés,
organisés poursuivant un but commun. Par exemple une entreprise qui est
composé des ressources humaines, moyens financiers, moyens
matériels et ces éléments interagissent entre eux pour un
objectif commun7(*).
Un système peut signifier un mode du gouvernement,
ensemble d'instructions et méthodes. Par exemple : le
système républicain. Il peut également être compris
comme étant un ensemble complexe d'éléments de même
nature ou de même fonction. Par exemple le système solaire.
1.2. Système d'informatique
Un système informatique est un sous-ensemble du
système d'information.
1.3. Approche systémique
La grande aventure intellectuelle de la fin du 20ème
siècle aura été la découverte de l'extraordinaire
complexité du monde qui nous entoure.
Complexité du cosmos, des organismes vivants, des
sociétés humaines, mais aussi de tous ces systèmes
artificiels conçu par les hommes et qui sont, comme l'entreprise, aussi
bien de facture technique, organisationnelle, économique et sociale.
Le phénomène de mondialisation des
échanges, qu'ils soient commerciaux, financiers ou culturels, ne fait
qu'accélérer cette prise de conscience de la complexité et
en accentuer les effets.
Une approche systémique en ayant une vue de
l'entreprise en terme de systèmes ; parfois nommée
analyse systémique est un champ interdisciplinaire
relatif à l'étude d'objets dans leur complexité.
Il existe quatre types systèmes à
savoir :
1. système naturel,
2. système artificiel,
3. système ouvert et
4. système fermé.
1. Système naturel :
c'est un système créé par Dieu. Par exemple : le
système solaire (la lune, la terre...), l'être humaine
(l'Homme).
2. Système
artificiel : est celui crée par l'homme.
Exemple : l'ordinateur, le poste téléviseur,
véhicule...
3. Système ouvert : est
un système qui interagit en permanence avec son environnement.
l'interaction peut se faire via des informations, des énergies. par
exemple : l'Entreprise, téléphone, phalanstère
(communauté), l'ordinateur, les turbines.
4. Système
fermé : Un système fermé est un
ensemble d'éléments en interaction qui fonctionne sans être
influencé par son environnement, c'est-à-dire les systèmes
qui fonctionnent en vase clos (ni d'énergie sous forme de travail ou de
chaleur, ni de matière); exemple : la société
secrète,
1.4. Organisation du
système dans l'entreprise
Si nous reprenons l'analogie anatomique, et si nous comparons
l'entreprise à un corps humain, nous pouvons réduire l'entreprise
à un cerveau qui pilote, un muscle qui opère et des nerfs qui
font transiter les informations.
Ainsi, nous présentons ci-dessous, le schéma
simplifié de l'entreprise en tant que système avec ses composants
notamment : le système de pilotage, le système
d'information et le système opérant.
Système de pilotage(S.P)
Système d'information(S.I)
Système d'opérant(S.O)
Flux de données sortantes
Flux de données ententes
Fig. 1 : Schéma de
l'entreprise/système
· Le Système de pilotage (S.P) :
Le système de pilotage définit les missions et les
objectifs, organise l'emploi des moyens, contrôle l'exécution des
travaux.
Il assigne des objectifs à l'organisation, analyse
l'environnement et le fonctionnement interne à l'organisation,
contrôle le système opérant.
· Le Système
d'information(S.I) : Le système d'information est
l'ensemble des ressources humaines, techniques et financières qui
fournissent, utilisent, compilent, traitent et distribuent l'information de
l'organisation. Il alimente l'organisation en informations d'origines diverses
(internes ou externes). Il est la passerelle obligatoire pour toutes les
informations de l'entreprise.
· Le Système opérant(S.O) :
Le système opérant est l'ensemble des moyens humains,
matériels, organisationnels qui exécutent les ordres du
système de pilotage. Il assure le fonctionnement du système
global, son activité est contrôlée par le système de
pilotage.
1.5.
L'information
Une information est un élément de connaissance
susceptible, d'être codée pour être conservée,
traitée et communiquée.
Elle résulte de la mise en forme des données
effectuées dans le but de répondre aux besoins d'une utilisation
dans un contexte qui lui est propre, susceptible d'apporter un renseignement,
une connaissance (8(*))
L'information recouvre les données qui sont
présentées sous forme utilisable et utile pour les
utilisateurs.
SECTION 2 : LA NOTION
DES BASES DE DONNEES
Les systèmes classiques de fichiers (SCF)
s'avèrent limités quand il s'agit de gérer une masse
importante de données comportant des liaisons entre elles. Ces
données sont souvent reparties entre les différents fichiers,
avec toute la redondance d'information que peut occasionner un tel choix de
représentation9(*).
2.1.
Définition
Une base de données est un
grand fichier dans lequel on retrouve des petits fichiers ayant des liens entre
eux, renfermant des informations nécessaires, non
répétitives et permettant à plusieurs utilisateurs d'y
accéder simultanément10(*).
Elle permet l'accès ou la
manipulation aisée de données à plusieurs utilisateurs
simultanément. Cette définition fait ressortir des
structurations, de mise en commun, de non redondance et l'exhaustivité
des données de base. Certains ces besoins sont du ressort de
l'utilisateur alors que d'autres sont de celui du logiciel chargé de
gérer la (les) base(s) de données11(*) :
-
Structuration : ce terme fait allusion aux conditions de
stockage des informations et la manière dont ces dernières seront
utilisées.
- Non
redondance : d'une manière générale la
base de données ne peut jamais contenir des informations
répétitives.
-
L'exhaustivité : c'est un critère qui exige
que la base de données soit complète ; donc un principe
selon lequel une base de données doit contenir toutes les informations
nécessaires afin de répondre aux besoins des utilisateurs.
2.2. Différents
modèles des bases de données
Les bases de données ont pris une place importante en
informatique, et particulièrement dans le domaine de la gestion.
L'étude des bases de données a conduit aux développeurs de
différencier plusieurs types ou modèles des bases de
données à savoir :
ü Modèle hiérarchique
ü Modèle réseau
ü Modèle relationnel
ü Modèle objet
ü Modèle déductive
a. Modèle
hiérarchique
Ce type de modèle permet de présenter des
classes ou ensembles d'objet et des relations de types
« père-fils » entre ces classes. L'ensemble de ces
classes constitue une arborescence. Les SGBD supportant ce type de structure
gèrent les liens entre un « père » et ses
« fils ».
b. Modèle réseau
Sans doute les bases les plus rapides, elles ont très
vite supplante les bases hiérarchiques dans les années 70
(notamment avec IDS II d'IBM). Ce sont aussi des bases de
navigation qui gèrent des pointeurs entre les enregistrements. Cette
fois-ci le schéma de la base est beaucoup plus ouvert12(*).
c. Modèle
relationnel
A l'heure actuelle ce
modèle est le plus utilisé. Les données sont
représentées en tables. Elles sont basées sur
l'algèbre relationnelle et un langage déclaratif
(généralement SQL, Access...)13(*)
d. Modèle
objet
La notion des bases de données objet ou
relationnel-objet est plus récente et encore en phase de recherche et de
développement. Elle sera très probablement ajoutée au
modèle relationnel.
2.3. Objectif d'une base
de données.
Des objectifs principaux ont été fixés
aux Bases de données dès l'origine de celles-ci et ce, afin de
résoudre les problèmes causés par la démarche
classique. Ces objectifs sont les suivants :
1. Indépendance physique : La
façon dont les données sont définies doit être
indépendante des structures de stockage utilisées.
2. Non redondance des données : Afin
d'éviter les problèmes lors des mises à jour, chaque
donnée ne doit être présente qu'une seule fois dans la
base.
3. Cohérence des données : Les
données sont soumises à un certain nombre de contraintes
d'intégrité qui définissent un état cohérent
de la base. Elles doivent pouvoir être exprimées simplement et
vérifiées automatiquement à chaque insertion, modification
ou suppression des données.
4. Sécurité des données :
Les données doivent pouvoir être protégées
contre les accès non autorisés. Pour cela, il faut pouvoir
associer à chaque utilisateur des droits d'accès aux
données.
CHAPITRE 2 : LES CONCEPTS RELATIFS AU
CONTROLE DE STRUCTURE DES ECOLES
Il est important pour nous de recourir aux notions
élémentaires pour le contrôle des structures des
écoles afin de pouvoir mieux éclairer la suite du
développement de notre travail.
SECTION 1 :
GENERALITES
Le contrôle des structures des écoles est une
branche de la sous-division : discipline récente dont le but est
de chercher à comprendre le fonctionnement d'une institution et
d'étudier les méthodes et techniques destinées à
améliorer le contrôle des institutions sous la supervision de la
sous-division.
Elle se situe au niveau d'une grande unité,
administrative et comporte les opérations pouvant se dérouler
dans le moyens terme elle s'occupe de tache suivantes :
- Recensement annuel des établissements d'enseignement
maternel, primaire, secondaire et professionnel en vue d'actualiser la carte
scolaire ;
- Enquête de viabilité des écoles,
préalable à l'avis de la promotion scolaire ;
- Préparation de la tenue de la promotion scolaire
sectorielle et de transmission des données aux assises de la promotion
scolaire provinciale.
SECTION 2. LES
CONCEPTS : CONTROLE, STRUCTURE ET ECOLE
2.1. Contrôle
Le contrôle est une vérification ou action
d'analyser quelque chose (actes, de droits, de document). Le contrôle est
l'une des tâches parmi tant d'autre du domaine de la gestion.
2.2. Structure
Est la manière dont une institution est
bâtie ou ensemble des rapports réciproques d'un
système. En d'autre terme, arrangement des parties d'un corps
organisé.
Une structure implique donc un arrangement, une mise en place
harmonieuse des moyens d'action afin de construire solidement un outil de
production.
2.3. Ecole
Le terme école veut dire :
Ø L'ensemble de ceux qui adhérent à la
doctrine d'un philosophe
Ø Etablissement où on enseigne les
élèves d'une école.
1.1. Différents
types de Contrôle de structure des écoles
La sous-division urbaine de L'EPSP/KIMBASEKE contrôle
10 structures des écoles à son sein à savoir :
1. ENC : Ecole non conventionnée
2. ECC : Ecole conventionnée catholique,
3. ECP : Ecole conventionnée protestante,
4. ECK : Ecole conventionnée Kimbanguiste.
5. ECAS : Ecole conventionnée armée du
salut.
6. ECIS : Ecole conventionné islamique.
7. ERC : Eglise du réveil au Congo.
8. ERMECO : Eglise de renouveau mennonite au Congo.
9. EBNM : Eglise bon nouveau message.
10. EPA : Ecole privée agréée.
DEUXSIEME PARTIE :
ETUDE PREALABLE
CHAPITRE 1. PRESENTATION DE
LA SOUS-DIVISION DE L'EPSP/KIMBASEKE
L'étude préalable est la recherche de
l'opportunité et de la praticabilité d'automatisation
(informatique). C'est la réponse à la question oui ou non doit-on
informatises ?, Elle donne au responsable les moyens de décider des
solutions possibles à adopter pour la mise en place du système
informatisé en fonction des objectifs globalement définis et
permet d'évaluer les risques encourus par l'entreprise. L'étude
préalable a pour objectifs :
- L'analyse et l'évaluation critique du fonctionnement
du système de solution ;
- L'élaboration des solutions en précisant les
processus du fonctionnement, la perception des informations de mode
d'organisation et de degré et type d'informatisation.
SECTION1. DENOMINATION,
SITUATION GEOGRAPHIQUE ET APERÇU HISTORIQUE
1.1. Dénomination
Le champ de notre étude est la sous-division urbaine de
l'EPSP/KIMBASEKE,
1.2. Situation géographique
Nos études ont été menées à
la sous-division urbaine de l'EPSP/ KIMBASEKE, située dans la partie
Est de la ville province de Kinshasa comprise entre les communes de :
v N'DJILI à l'Ouest
v MASINA au Nord
v N'SELE au Nord et à L'Est
Elle s'entend sur l'ensemble de la commune portant le
même Nom. De par son étendu et sa population scolarisable, elle
est l'une des plus importantes si pas la plus importante aussi bien de la ville
de Kinshasa que de toute la République.
1.3. Aperçu
Historique
La sous-division de KIMBASEKE est une émanation de la
sous-division de TSHANGU. Née de la scission de l'ancienne sous-division
de l'EPSP/TSHANGU qui comprenait les communes de N'DJILI et KIMBASEKE, la
sous-division de KIMBASEKE tire son fondement juridique de
l'arrêté ministériel n°0520/2005, du 31/01/2005
portante restructuration de quelques sous-divisions de l'EPSP ville de
Kinshasa.
A sa création, la sous-division était
confiée à Monsieur André DISUEMI MUNTIMA qui va la diriger
jusqu'au 19/01/2008. C'est par l'arrêté ministériel
N°MINEPSP/CABMIN/0008/2008 du 10/01/2008 portant désignation et
affectation des chefs de sous-division que Monsieur NGOTO-VUBU sera
désigné à la tête de cette entité pour
remplacer Monsieur DISUEMI MUNTIMA appelé à d'autres fonctions et
celui-ci continue jusqu'à ce jour.
SECTIONS2. STATUT ET
OBJECTIF
2.1. Statut Juridique
La sous-division de L'EPSP/KIMBASEKE est une institution de
l'Etat sous supervision de la division provinciale KIN-EST au niveau provincial
et par le ministère de L'EPSP au niveau national.
2.2. Objectif
La gestion d'une Sous-division de l'Enseignement Primaire,
Secondaire et Professionnel est axée essentiellement sur l'encadrement
administratif, pédagogique et financier des personnels des écoles
publiques et privées agréées à la lumière
des directives et instructions officielles en vigueur.
SECTION 3. ORGANISATION ET
FONCTIONNEMENT
3.1. Organisation administrative
Le bureau de la Sous-division est organisé
administrativement en 17 cellules/services coordonnées par le chef de la
Sous-division :
1. Bureau du chef de la Sous-division
2. Secrétariat
3. Services généraux
4. Comptabilité
5. O.S.P (Orientation Scolaire et Professionnel)
6. Planification et statistique scolaire
7. Pédagogique
8. Enseignement technique et formation
9. E.V.F/EMP(Education à la vie et famille
10. Pension et rentes de la survie
11. Enseignement spécial
12. Infrastructures scolaires
13. Cultures et sport scolaire
14. E.P.A (Ecole Privée Agrée)
15. Partenariat scolaire
16. Enseignement maternel et primaire
17. Enseignement secondaire
3.2. Fonctionnement :
1. Le Sous-Proved : il est l'autorité qui engage et
supervise les cellules/services de la sous-division. Au cours de l'exercice de
l'année il déploie diverses activités telles que :
l'administration, la pédagogie, les activités socioculturelles,
les finances et les infrastructures.
2. Secrétariat : son
rôle est de réceptionner des courriers et visiteurs, traitement
des Courriers et orientation, la dactylographie et le classement des
documents.
3. Services généraux :
centralise les informations relatives à la carrière
du personnel de l'entité ; coordonne et traite les activités
liées à la gestion du personnel de l'entité.
4. O.S.P. (Orientation Scolaire et
Professionnel) : son rôle est de :
- Encadrer des COSP affectés dans les
écoles ;
- Superviser des activités liées à
l'orientation scolaire ;
- Suivi du parcours scolaire des élèves et
organisation des tests ;
- Suivi psychologique des élèves.
5. Planification et statistique
Scolaire : cette cellule/service s'occupe de :
- Recensement annuel des établissements d'enseignement
maternel, primaire, secondaire et professionnel en vue d'actualiser la carte
scolaire ;
- Enquête de viabilité des écoles,
préalable à l'avis de la promotion scolaire ;
- Préparation de la tenue de la promotion scolaire
sectorielle et de transmission des données aux assises de la promotion
scolaire provinciale ;
- Confection du répertoire des écoles comme
données brutes.
6. Enseignement
spécial : les attributions de cette cellule/service
est de recensement et suivi des établissements organisant un
enseignement spécial ; centre de récupération, centre
de rattrapage scolaire, écoles pour les sourds et écoles pour
handicapés physiques.
7. Pension et Rentes de
Survie : les pensions et rentes de survie jouit un
rôle important pour l'enseignement :
- identification des enseignants
décédés ;
- identification des enseignants retraitable par voies des
listings de paie ;
- recensement des enseignants malades ;
- gestion des cas sociaux conformément à la
lettre N° MINEPSP/KE/081/850/2009 confiant cette prérogative
à la cellule.
8. E.V.F/EMP (Education à la vie
familiale) : celui-ci s'occupe de formation des
éducateurs à l'éducation à la vie et enregistrement
des candidats à la formation ; elle recrute aussi les enseignants
et les superviseurs de la formation.
9. Infrastructures : elle
s'occupe de la gestion de :
- inventaire des infrastructures ;
- collecte et traitement des états de besoin en
équipement et la construction ou la réhabilitation des
infrastructures scolaires.
10. Partenariat Scolaire :cette
cellule s'occupe de la collaboration avec les partenaires éducatifs et
les ONG impliquées dans le secteur de l'EPSP, pour des actions en faveur
de l'éducation.
11. culture et sport
scolaire :elle supervise et facilite la vulgarisation, la
promotion, la réglementation, l'organisation, la coordination et le
contrôle de la pratique culturelle et sportive dans les écoles
primaires et secondaires.
12. Cellule
pédagogique : la cellule pédagogique a pour
objectif :
- organisation, planification et contrôle des
activités pédagogiques dans les écoles de
KIMBASEKE ;
- veille sur la conformité dans l'exécution des
instructions pédagogiques ;
- exploite les différents rapports.
13. Enseignement privé :
Gère les écoles privées sur le plan pédagogique,
administratif et financier.
14. Enseignement Technique :
S'occupe de toutes les écoles qui organisent les sections techniques.
15. Comptabilité : Elle est
chargée de la paie du personnel, gère les documents financiers et
traite le problème des impayés.
3.3. Organigramme
Général
SOUS-PROVED
SECRETARIAT
Services Généraux
Adm. Ens. Primaire et Maternel
Adm. Ens. Secondaire & Normal
Services Pédagogiques
Planification & Statistiques Scolaires
Enseignement Technique et Professionnel
Enseignement Spécial
Pension et Rentes
E.V.F.
O.S.P.
Sports & Cultures Scolaires
E.P.A.
Infrastructures Scolaires
E.P.T
Culture et sport scolaire
Cellule Pédagogique
Enseignement Secondaire
Source : Services généraux
CHAPITRE 2. ANALYSE DE
L'EXISTANT
Ce travail nécessite de consulter un grand nombre de
documents afin de disposer d'informations conséquentes. Il faudra par la
suite procéder à une identification et une classification pour
gérer correctement cette masse de données.
But :
Le but de l'analyse existant est de permettre le recensement
des points fort et des faibles du système existant. L'analyse existant
poursuit les objectifs suivant la connaissance du système de l'existant
en tenant compte des aspects suivant14(*) :
· L'étude de la structure et le fonctionnement du
service concerné par l'application ;
· L'étude des postes de travail qui concourent
à la réalisation des tâches ;
· L'étude des documents lesquels sont porteurs de
flux d'informations ;
· L'étude de la circulation des
informations ; bien identifier les acteurs et leur niveau d'intervention
dans les processus de la gestion concernée du point de vue
matériel et humain ;
· L'étude des moyens de traitement des
informations et la proposition des solutions.
SECTION 1. DESCRIPTION
DES ACTIVITES DE LA CELLULE DE LA PLANIFICATION SCOLAIRE ET STATISTIQUE
1.1. Activités de la Cellule de la
planification
Les activités présentes sont effectuées
par la cellule de la planification scolaire pour le contrôle des
structures des écoles à savoir :
ü Faire l'enquête de viabilité en cas d'une
nouvelle école ou une école qui a besoin d'ajouté d'autres
classes ou options ;
ü Faire le dépouillement des élèves
certifiés/diplômes, promus, redoublants et abandons par commune,
sexe et régime de gestion des écoles primaire et
secondaire ;
ü Recensement des écoles ;
ü Faire les collectes de données
statistiques ;
ü Elaborer chaque année des répertoires des
écoles par commune et par régime de gestion (maternelle, primaire
et secondaire).
SECTION 2. ORGANISATION ET
FONCTIONNEMENT
2.1. Organisation
La cellule de la planification scolaire et statistique de la
sous-division de l'EPSP/KIMBASEKE est organisée de la manière
suivante :
· Le chef d'Antenne (chef de la cellule) ;
· Chargé de la carte scolaire ;
· Chargé de pool statistique ;
· Chargé du plan et
· Les exploitants.
2.2. Fonctionnement
1. Le chef d'Antenne : il est
le coordonnateur de la cellule qui est le moteur de la cellule c.-à-d.
les tous dépendent de lui.
2. Chargé de la carte
scolaire : son rôle est de répertorié
l'emplacement des écoles et les localisés selon l'adresse
physique. Il est sensé de connaitre de répertorier toute les
adresses des écoles.
3. Chargé de pool
statistique : l'Attribution de celui-ci est de faire la
collecte de données statistiques, pour connaitre combien de classe par
apport aux enseignants.
4. Chargé du plan :
travail en collaboration avec le chargé de pool statistique et celui de
la carte scolaire.
5. Les Exploitants : leurs
rôles est d'exploité des différentes fiches issue des
écoles.
2.4. Organigramme
spécifique de la cellule de la planification scolaire
Chef d'Antenne (chef de la cellule)
Ch. De la carte scolaire
Ch.de pool statistique
Ch.de plan
Exploitants
Source : Cellule de la planification
SECTION 3. DESCRIPTION DE
L'APPLICATION
Au début de chaque année, le Sous-proved donne
un ordre de mission au chef de la planification scolaire de faire une descente
sur le terrain enfin de contrôler les structures des écoles.
Ensuite le chef de la cellule délègue le chargé de la
carte scolaire muni d'un ordre de mission, de la fiche de collecte de
données statistiques et de la fiche de viabilité (celui-ci en
cas d'une nouvelle école).
En arrivant à l'école, il se présente
auprès du chef d'Etablissement où il va présenter le
document (ordre de mission) qui va lui autoriser de faire son travail. Ce
dernier vérifie le document et présente l'agrément
(l'arrêté de l'école) ou une lettre qui autorise le
fonctionnement de cette école, et après le chargé de la
carte scolaire vérifie les nombres de : Bâtiments, salle de
classes, bureaux, bancs dans chaque salle de classes, chaises, tableaux,
l'existence de la clôture, la cour de la recréation, l'eau,
l'électricité, latrines, laboratoire...
Apres avoir vérifié, il se présente
encore au bureau du chef d'Etablissement pour demander le registre d'appel qui
lui permettra de vérifier le nombre d'élèves par classe,
le nombre d'Enseignants et d'ouvriers.
Ensuite le chargé de la carte scolaire prépare
la fiche en 2 exemplaires, l'une sera signer par le chef d'Etablissement et
garde pour confirmer son passage et l'autre sera présentée au
chef de la cellule, qui après avoir réceptionné la fiche,
vérifie et l'envoie au sous-proved. Ce dernier vérifie à
son tour la fiche et la classe.
SECTION 4. ETUDE DE POSTE
DE TRAVAIL
Le poste de travail est une unité d'organisation ou
centre d'activité de l'entreprise. A cette étape, il s'agit de
mettre en évidence les acteurs qui interviennent dans la
réalisation des tâches du contrôle des structures des
écoles en études (internes ou externes).
4.1. Recensement des postes
Lors de l'investigation au sein de la sous-division Urbaine
de l'EPSP/KIMBASEKE, les acteurs suivants ont été recensés
à savoir :
v Le sous-proved
v Le chef de la cellule
v Chargé de la carte scolaire
v Le chef d'Etablissement
4.2. Description des
postes
1. Le sous-proved : il est
l'autorité qui engage et supervise les cellules/services de la
sous-division.
Domaine : Planification
Analyste : KASONGO NDJOKO
Processus : Contrôle de structure des
écoles Date : LE
08/01/2013
Nom du Poste : Sous-Proved
Responsable : Sous-Proved
|
Attributions :
-Etablissement de L'OM par le sous-proved
-Réception de la fiche de viabilité ou Fiche de
Collecte de données statistiques et Classement
|
Document reçus
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
provenance
|
FichCol
FichVia
|
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de viabilité
|
6/ans
6/ans
|
Chef de la
cellule de la planification
Chef de la cellule de la planification
|
Document émis
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
Destination
|
OM
|
Ordre de mission
|
1/ans
|
_
|
Document classé
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
Provenance
|
FichCol
FichVia
|
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de viabilité
|
1/ans
1/ans
|
Chef de la cellule de la planification
Chef de la cellule de la planification
|
2. Le chef de la cellule :
Il est le coordonnateur de la cellule qui est le moteur de la
cellule c.-à-d. les tous dépendent de lui.
Domaine : planification
Analyste : KASONGO NDJOKO
Processus : Contrôle de structure des
écoles date : 08/01/2013
Nom du Poste : Chef de la cellule de la planification
Responsable : Chef de la cellule
|
Attributions :
- Réception de l'ordre de mission
- Préparation de la fiche de collecte de données
statistiques et la fiche de viabilité
|
Document émis
|
Code doc
|
Libellé
|
Volume/fréquence
|
Destination
|
fichCol
fichVia
|
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de Viabilité
|
6/ans
6/ans
|
Sous-proved
Sous-proved
|
Document reçus
|
Code doc
|
Libellé
|
Volume/fréquence
|
provenance
|
fichCol
fichVia
|
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de Viabilité
|
1/ans
1/ans
|
Chargé de la carte scolaire
Chargé de la carte scolaire
|
Document Classé ou archivé
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
provenance
|
_
|
_
|
_
|
_
|
3. Chargé de la carte scolaire :
Il s'occupe de l'emplacement des écoles, il est
censé de répertorier toutes les écoles de la
sous-division, celui qui descend sur le terrain pour contrôler la
structure d'une école en cas l'école veut ajoutée d'autres
bâtiments ou changé le régime de gestion et l'adresse
physique de l'école.
Domaine : Planification
Analyste : KASONGO NDJOKO
Processus : Contrôle de structure des
écoles date: 08/01/2013
Nom du Poste : Chargé de la carte
scolaire
Responsable : Chargé de la carte
scolaire
|
Attributions
- Récolter et centralisation annuellement des
données statistiques scolaire.
- Exploitation de la fiche de collecte de données
statistiques
- Remplissage de la fiche de viabilité
- Classement de l'ordre de mission
|
Documents reçus
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
Provenance
|
OM
fichCol
fichVia
|
Ordre de mission
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de Viabilité
|
1/ans
6/trimestre
6/trimestre
|
Chef de la
cellule
Chef de la cellule
Chef de la
cellule
|
Document Classé
|
Code doc
|
Libellé
|
Volume/fréquence
|
Provenance
|
OM
|
Ordre de mission
|
1/ans
|
Chef de la cellule
|
Documents émis
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume
|
Destination
|
fichCol
fichVia
|
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de Viabilité
|
1/trimestre
1/trimestre
|
Chef de la cellule
Chef de la cellule
|
4. Le chef d'Etablissement
Il est le chef suprême de l'établissement,
superviseur, le responsable ultime de la bonne marche de l'établissement
dans le domaine pédagogique et administratif.
Domaine : Planification
Analyste : KASONGO NDJOKO
Processus : Contrôle de structure des
écoles date :
08/01/2013
Nom du Poste : Chef d'établissement
Responsable : Chef
d'établissement
|
Attribution :
- Réception de documents envoyés par le chef de
la cellule et l'ordre de mission
- Vérification et remplissage de la fiche de collecte
de données statistique et la fiche de viabilité
- Classement de la fiche de collecte de données
statistiques
|
Documents reçus
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
Provenance
|
OM
fichCol
fichVia
|
Ordre de mission
Fiche de collecte de données statistiques
Fiche de Viabilité
|
1/trimestre
3/trimestre
3/trimestre
|
Chargé
de la carte scolaire
Chargé de la carte scolaire
Chargé de la carte scolaire
|
Document émis
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
Destination
|
_
|
_
|
_
|
_
|
Document Classé
|
Code doc
|
Libellé doc
|
Volume/fréquence
|
Provenance
|
fichCol
|
Fiche de collecte de données statistiques
|
1/trimestre
|
Chargé de la carte scolaire
|
SECTION 5. ETUDE
DESDOCUMENTS
Est une phase importante de l'analyse, les documents sont des
instruments de gestion et porteur des flux d'information dont l'analyse est
sensé d'identifié dans le but de repérer les informations
qui circulent dans le processus de gestion en étude15(*).
Le but est d'obtenir une liste exhaustive de tout ce qui peut
être intéressant pour la modélisation. Il s'agit du travail
le moins intéressant mais le plus important, car c'est sur cette
étude que se base la modélisation.
5.1. Recensement des
documents
Dans les processus de contrôle des
structures des écoles dans la sous-division urbaine de l'EPSP/KIMBASEKE,
nous avons retenu 2 documents à son sein à savoir :
Ø Fiche
de collecte de données statistiques
Ø Fiche de viabilité
5.2. Modèles et description des
documents
5.2.1. Modèles des documents
1. Fiche de collecte de données
statistiques
a) Rôle : Renseigne sur la structure de
l'école pour l'année en cours et l'année passée,
les effectifs des élèves par classe et option (secondaire) ;
les effectifs du personnel (enseignants, administratifs et les ouvriers), sur
les infrastructures scolaire et les matériels, les équipements
scolaire.
b) Modèle du document
2. Fiche de viabilité
a) Rôle : cette fiche permet au
planificateur de déterminer la viabilité de l'école
enquêtée. Celle-ci elle est appliquée en cas d'une nouvelle
école.
b) Modèle
SECTION/OPTION
|
STRUCTURE
|
|
TOTAL
|
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
|
|
|
|
|
|
|
|
République Démocratique du
Congo
Ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire
et Professionnel
Division Urbaine Kin-Est.
8ème Rue Limete / Industriel
FICHE DE VIABILITE
1. IDENTIFICATION DU PROMOTEUR
1. Nom et Post
nom :..........................................................................................
2. Date et lieu
Nais :...........................................................................................
3. Qualification
:..........................................................................................
4. Adresse
:...........................................................................................
5. Téléphone
:............................................................................................
1. IDENTITE DE L'ECOLE :
1. Dénomination
:.............................. 4. IDENTIFICATION DU CHEF
D'ETABLISSEMENT
2. Régime de gestion
:..............................
3. Adresse
:.............................. 1. Nom et
Post-Nom :...........................................
4. Date d'ouverture :.............................
..........................................................................
5. Niveau
:............................. 2. Date et lieu de
Nais :............................................
6. Téléphone
:............................. 3. Qualification
:..................................................
2. INFRASTRUCTURE SCOLAIRE : 4.
Adresse :...........................................................
1. Nombres de
bâtiments:........................................5.
Téléphone :...........................................................
2. Nombres de locaux (salles de
classe) :.....................
3. Nombres de bureaux Administratifs :.....................
5. STRUCTURE SOLLICITE DE L'ECOLE
4. L'Eau
:.......................................
5. Electricité
:.......................................
6. Cour de recréation
:.......................................
7. Plaine de jeux
:.......................................
8. Installation sanitaire
:.......................................
9. Propriétaire ou
locataire :.......................................
3. EQUIPEMENT :
1. Bancs ou pupitres
:.......................................
2. Tableaux-noirs
:.......................................
Manuels
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
Total
|
Français
Mathématique
Science
Bibliothèque
Matériels didactiques
Divers
|
|
|
|
|
|
|
|
a. Description de document
N°
|
Code doc
|
Libellé
|
Rôle
|
Rubrique
|
Poste émetteur
|
Poste récepteur
|
Volume/fréq.
|
Support
|
Obs.
|
1
|
fichCol
|
Fiche de collecte de données statistiques
|
Renseigne sur la structure de l'école pour l'année
en cours et l'année passée, les effectifs des
élèves par classe et option (secondaire) ; les effectifs du
personnel (enseignants, administratifs et les ouvriers), sur les
infrastructures scolaire et les matériels, les équipements
scolaire.
|
Dénomination : AN(30)
Niveau : AN (15)
Id. SECOP : AN(10)
Régime de gestion : AN(15)
Adresse : AN(50)
Nbre Bâtiments : N(5)
Nbre de salle de classe : N(5)
Nbre de bureaux : N(5)
Nbre de bancs : N(5)
Nbre de tableau : N(5)
Existant l'eau : AN(10)
Existant de latrines : AN(10)
Nom du chef d'Ets : AN(30)
Nbre enseignants qualifiés HF : N(5)
Nbre Ouvriers HF: N(5)
NbreAdm. HF : N(5)
Option : AN(12)
|
Chef d'établissement
|
Chargé de la carte scolaire
|
3/trimestre
|
Papier
|
_
|
2
|
FichVia
|
Fiche de viabilité
|
cette fiche permet au planificateur de déterminer la
viabilité de l'école enquêtée. Celle-ci elle est
appliquée en cas d'une nouvelle école.
|
Dénomination Ecole : AN(30)
Régime de gestion : AN(30)
Niveau Ecole : AN(20)
Nombre bâtiments : N(5)
Nombre Locaux : N(5)
Existence l'eau : AN(10)
Nombre Option : AN(5)
Nombre de tableaux : N(5)
Nom du chef d'Ets : AN(30)
|
Chargé de la carte scolaire
|
Chef de la cellule de la planification
|
1/trimestre
|
Papier
|
_
|
SECTION 6. ETUDE DES
MOYENS DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS
Cette étape nous permet de connaitre
les différentes moyennes mises en place par la sous-division urbaine de
L'EPSP/KIMBASEKE, précisément dans la cellule de la planification
scolaire. Pour un bon déroulement de cette dernière, nous
présentons les moyens ci-après :
Ressources humaines ;
Ressource matériels.
Ressource financière
Application : Contrôle de structure des
écoles
Date : le 25/02/2013
Analyste : KASONGO NDJOKO
Fiche d'analyse des moyens de
traitement
0. Ressource humains
|
N°
|
Catégorie Agent
|
Nom mnémonique
|
Grade
|
Salair mensuel
|
Niveau d'étude
|
Ancienneté
|
Nombre
|
1
|
Chef de la Cellule
|
CC
|
Chef de la Cellule
|
-
|
L2
|
4 ans
|
1
|
2
|
Chargé de la carte scolaire
|
CCS
|
Chargé de la carte scolaire
|
-
|
D6
|
7 ans
|
1
|
3
|
Les Exploitants
|
Expl.
|
Exploitants
|
-
|
D6
|
7 ans, 4 ans, 7 ans
|
3
|
1. Ressource matériels
|
N°
|
Type matériel
|
Nature
|
Type processeur
|
Support informatique
|
Système d'Exploitation
|
Date d'acquisition
|
Obs.
|
1
|
Machine à écrire
|
Olivetti
|
-
|
-
|
-
|
20/07/2007
|
-
|
3
|
Papier
|
-
|
-
|
Papier
|
-
|
-
|
-
|
4
|
Calculatrice
|
KENKO
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
5
|
Latte
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
6
|
Tables
|
Bois
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
6.1. Ressource financier
Les ressources financières sont essentiellement le
pourcentage que les écoles paient dont :
ü 150 FC pour les écoles conventionnées par
élèves ;
ü 200 FC pour les écoles privées par
élèves.
SECTION 7. ETUDE DE LA
CIRCULATION DES INFORMATIONS
Un schéma de circulation des informations est une
représentation graphique qui résume et organise de façon
structurée des événements, des objets, des situations ou
des expériences semblables.16(*)
L'étude de la circulation des informations est une
étape considérable de l'analyse de l'existant ayant pour objectif
de mettre en évidence :
a. La manière dont les informationscirculent dans le
système d'information de l'entreprise, ces flux d'informations peuvent
correspondre à des supports très différents
(imprimés, communications verbales, téléphoniques,...)
b. les principales unités actives qui participent à
ces échanges ; ces acteurs peuvent appartenir au domaine
d'application (poste de travail, services...) ou à son environnement
(autres unités, client, fournisseur...).
7.1. SCHEMA DE CIRCULATION
DES INFORMATIONS
O.M
201
202
Fich.Col
101
O.M
Fich.Col
Fich.Via
301
302
Fich.Col
102
Fich.Via
201
401
OM
Fich.col
Fich.Via
401
Fich.Col
202
O.M
Fich.Via
301
Fich.Col
O.M
Fich.Col
302
Fich.Via
Sous-proved
100
|
Chef d'Antenne
200
|
Chargé de la carte scolaire
300
|
Chef d'Etablissement
400
|
101Etablissement de L'OM par le sous-proved
102 Réception de la fiche de viabilité ou
Fich.Col et Classement
|
201Réception de l'ordre de mission donnée par
le sous-proved et préparation de la fiche de collecte de données
statistiques et la fiche de viabilité et délégation du
chargé de la carte scolaire.
202 Réception du Fiche de collecte de donnée et
vérification
|
301Réception de ces documents et présentation au
près du chef d'Etablissement
302 Exploitation et remplissage de Fich.Via
|
401 Réception du chargé de la carte scolaire
au près du chef d'Etablissement, vérification des documents et
remplissage de la Fich.Col ou Fich.Via.
|
7.2.
Légende et Abréviations
a. Légende
:
Poste de travail : Un document
: Adresse provenance
:Plusieurs documents
:
Adresse destination
:
Classement :
Tâches
b. Abréviations
· O.M : Ordre de Mission
· Fich.Col : Fiche de Collecte de
données statistiques
· Fich.Via : Fiche de
Viabilité
7.3. Description du schéma de circulation des
informations
Poste
|
Code Tâche
|
Description
|
100
|
101
|
Etablissement de L'OM par le sous-proved
|
102
|
Réception de la fiche de viabilité ou Fich.Col et
Classement
|
200
|
201
|
Réception de l'ordre de mission donnée par le
sous-proved et préparation de la fiche de collecte de données
statistiques et la fiche de viabilité et délégation du
chargé de la carte scolaire.
|
202
|
Réception du Fiche de collecte de donnée et
vérification
|
300
|
301
|
Réception de ces 3 documents et présentation au
près du chef d'Etablissement
|
302
|
Exploitation et remplissage de Fich.Via
|
400
|
401
|
Réception du chargé de la carte scolaire au
près du chef d'Etablissement, vérification des documents et
remplissage de la Fich.Col ou Fich.Via.
|
CHAPITRE 3. DIAGNOSTIC DE
L'EXISTANT ET RECHERCHE DES SOLUTIONS
Dans toute étude scientifique consiste à
critiquer le système d'information existant pour une application par ses
divers aspects de fonctionnement. Il a pour objectif de porter un jugement
clairvoyant sur se système, c'est-à-dire :
· Quels sont les points forts et ;
· Quels sont les points faibles du système en
vigueur.
But :
Le but de cette étude est établir un diagnostic
sur l'existant, lequel permettra de faire ressortir des anomalies sur base
desquelles, nous proposerons des solutions dont l'une seulement sera retenue
compte tenu de ses avantages.
SECTION 1. DIAGNOSTIC DE
L'EXISTANT
Les systèmes informatiques
présentes certains dysfonctionnements qui reviennent souvent et dont
l'analyse est censée en tenir compte :
3.1.1. Critique d'ordre
général
Généralement, la Sous-division urbaine de
l'EPSP/KIMBASEKE, malgré son organisation ou sa structure accuse des
qualités et défauts à savoir ;
a) Du point de vue
défauts :
· Exigüité du Bureau de la Sous-division;
· Pléthore des agents du Bureau de la
Sous-division ;
· Retard dans la transmission des dossiers ;
· Mauvaise conservation des documents des
écoles ;
· Difficultés de Frais de Fonctionnement (dans ce
cas nous voyons les frais recouvrés dans les écoles, souvent dans
des conditions difficiles, servent aux diverses dépenses
telles :
- Achat fournitures de bureau ;
- Frais de transport du personnel ;
- Frais de mission effectuée par le personnel de la
Sous-division à travers les écoles
- Etc...
b) Du point de vue
qualités :
· Consolidation des relations de fraternité et
d'amour avec les tiers (le Chef et les Agents de Bureau);
· Dans les relations avec les Ecoles
conventionnées et privées agréées, la Sous-division
joue son rôle de superviseur chargé de faire respecter les
instructions de l'Etat et de contrôler leur exécution.
· Engagement et dévouement des agents par rapport
à leur travail ;
· Eveil de conscience dans son engagement.
· Personnel qualifié et compétent ;
3.2.1. Critique d'ordre spécifique
Apres avoir étudié l'existant, nous avons
constaté que la Cellule de la planification et Statistiques Scolaires
est bien structurée est ses branches fonctionnent normalement.
a) Du point de vue poste de travail
Lors de notre investigation au sein de la cellule de la
planification et statistiques scolaires, nous avons constaté que les
postes de travail ne sont pas identifiés, ce qui crée de
confusion pour répertorier une école et sa structure, la Cellule
de planification n'a pas de bureaux suffisants et de matériels efficaces
pour bien travailler comme elle se doit, ce qui provoque aussi l'encombrement
des Agents devant un seul poste de travail.
b) Du point de vue documents
Nous avons constaté le non confidentialité des
informations, les documents ne sont pas bien archivés, une multitude
formes d'élaboration de document, il ya pas des modèles fixes et
la perte de documents se fait remarquer.
Concernant le stockage des informations, elles sont
stockées dans les classeurs, des tiroirs et parfois même dans le
coin de bureau. Ce qui fait que ce système cause des pertes
énormes du temps, pour retrouver par exemple un document.
c) Du point de vue moyen de traitement
1. Moyens matériels
Les moyens matériels sont insuffisants, pour l'ensemble
de traitement des informations est constitué de :
- Des machines à écrire ;
- Des papiers comme support d'information ;
- Stylos pour la transcription et pour la
reproduction ;
- Etc...
2. Moyens humains
Nous avons constaté une bonne organisation, cependant
cette Cellule n'échappe pasaux difficultés dont la plus part des
services de l'Etat sont victimes.Les Agents travaillant dans cette Cellule ne
pas vraiment motivés suite aux décadences des conditions
sociales, ils sont bien qualifiés en matière et pourrons donner
un bon rendement si toutes les conditions étaient réunies, entre
autre :
ü Les conditions de travail bien disposé ;
ü Le paiement significatif de salaire et prime.
d) Du point de vue circulation des informations
En ce qui concerne la circulation des informations,
cette dernières circule normalement sans sauter d'autres
étapes.
Synthèse des anomalies
v Le mauvais archivage des documents ;
v Le non confidentialité des
informations ;
v La maque des bureaux complets pour le personnel
SECTION 2. RECHERCHE DES
SOLUTIONS
2.1. Ebauche des solutions
Apres avoir analysé et critiqué le
système actuel, pour le Contrôle des structures des écoles
dans la Sous-division urbain de l'EPSP/KIMBASEKE par ses divers aspects de
fonctionnement, nous envisageons des solutions ci-dessous :
2.1.1. Scénario de réorganisation manuel
du système
La solution manuelle consiste à améliorer le
système existant par :
ü La bonne conservation des documents dans des endroits
appropriés;
ü Superviser le fonctionnement de tous les
établissements publics et privés agrées d'enseignement de
KIMBASEKE et veiller au respect de la réglementation scolaire ;
ü L'achat des matériels permettant de bien traiter
les informations relatives au contrôle des structures des
écoles ;
ü De disposer des moyens nécessaires et suffisants
pour assurer quotidiennement le contrôle des structures des
écoles ;
ü Eviter le favoritisme, pour assurer un bon
contrôle dans des écoles conventionnées et non
conventionnées de la Sous-division.
Avantages
v Solution moins couteuse ;
v Ne nécessite pas une formation spéciale du
personnel
v Elaboration des rapports dans un temps court.
Inconvénients
v Augmentation du nombre de personnel entrainerait une
augmentation des charges (dépenses) ;
v Le traitement manuel provoque une perte de temps
précieuse pouvant être mis au profit pour d'autres
tâches ;
v Manque de confidentialité et de
sécurité des informations;
v C'est une solution qui est adaptée aux faibles
volumes d'information à traiter ;
v Etc...
2.1.2. Scénario d'informatisation
La solution informatique qui consiste à prendre en
charge certaines tâches automatiquement dans un processus de gestion
donnée. Cette solution consiste à :
· Mettre sur pied une base de
données capable de gérer automatiquement le
contrôle de structures des écoles, en disposant d'un logiciel
d'administration et apte pour mettre en valeur ou exploiterla base de
données proposée.
Avantages
ü Rapidité dans le traitement des
informations ;
ü Conservation et diffusion rapide des
informations ;
ü Facilité d'accès aux informations
fiables ;
ü La fiabilité de gérer pour une bonne
prise de décision ;
ü La fiabilité des résultats et changement
du système ;
ü L'ordinateur est adapté aux traitements
répétitifs portant sur de gros volumes d'informations ;
ü La sécurisation des informations ;
ü Etc. .....
Inconvénients
ü La solution informatique demande beaucoup d'argent pour
son implémentation ;
ü Achat des matériels et logiciels, la formation
du personnel (les utilisateurs du système ;
ü Les coupures intempestives de l'énergie
électrique peuvent aussi endommager les ressources
informatiques ;
ü Etc...
2.2. CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION
Une gestion sans l'orientation est une gestion sans avenir.
Parmi les différentes solutions proposées sur le plan technique,
la solution informatique s'avère la meilleure et la mieux adapter pour
le futur système qui sera mise en place, car elle nous procure ce qui
suit :
Ø La production des résultats dans le temps
réels ;
Ø La bonne sécurisation des données sur
des supports informatiques ;
Ø Le gain d'énergie lors de traitement d'une
masse d'informations ;
Ø La bonne présentation des documents ;
Ø L'accès rapide et facile à
l'information lors de la consultation ;
Ø La fiabilité des mises à jour.
2.3. Cahier des charges
Le cahier des charges est un document de synthèse des
études préalables.Il doit à la fois fournir au concepteur
les informations nécessaires et indique les problèmes que les
propositions de matériels devront résoudre17(*). Le nom de donné
à ce dossier provient de l'usage qu'on va en faire.
Le cahier de charge a un double objectif :
- C'est un catalogue destiné à la
préparation d'un contrat et un document interne qui va servir à
l'étude détaillés de la nouvelle organisation.
Compte tenu de la solution retenue, le cahier de charge a
comme objectif de définir :
§ Les besoins des utilisateurs ;
§ L'environnement du travail ;
§ Caractéristique des matériels et
logiciels ;
§ Coûts d'implémentation du
système ;
§ Coûts du projet ;
§ Délai d'exécution des travaux.
Remarque : Tous les
éléments cités ci-haut seront décrit dans la partie
conception du système d'information informatisé(SII).
TROISIEME PARTIE :
CONCEPTION ET REALISATION DU NOUVEAU SYSTEME
D'INFORMATION
CHAPITRE 1. CONCEPTION DU
SYSTEME D'INFORMATION ORGANISE(SIO)
Le Système d'Information Organisé, appelé
aussi SIO, est un ensemble de tâches complexes regroupées en
modules spécialisésqui composent l'applicative informatique : le
logiciel.Ces tâches complexes sont généralement un
assemblage de tâches plus simples. Ces tâches simples sont les
briquesde base de l'applicatif.
Si nous devrions créer une analogie, nous pourrions
dire que ces tâches simples sont comme les briques qu'un
maçonassemble pour ériger une maison. Le logiciel, tout comme une
maison, a besoin d'un plan de conception réalisé par
unarchitecte. Une maison conçue sans plan risque de présenter,
une fois finie, plus d'une erreur de conception. Il en estde même pour un
logiciel. Sans études préalables, construit sans
méthodologie, risque de surprendre son utilisateur.
L'objet de ce chapitre est de présenter de façon
pragmatique, simple et progressive la méthode Merise.Sur ce, le
système d'information organisé est un aspect non informatique de
conception qui aborde deux étapes à savoir :
§ Etape conceptuelle et
§ Etape organisationnelle.
SECTION 1. ETAPE
CONCEPTUELLE
L'Etape conceptuelle consiste à concevoir le SIO en
faisant abstraction de toutes les contraintes techniques ouorganisationnelles
et cela tant au niveau des données que des traitements. L'Etape
conceptuelle répond à la question Quoi ? (le quoi faire, avec
quelles données).
Ainsi, cette section sera sanctionnée par deux
modèles à savoir :
Ø Le Modèle Conceptuel des
Données (MCD).
Ø Le Modèle
Conceptuel des Traitements (MCT).
1.1. MODELISATION
CONCEPTUELLE DE DONNEES (MCD)
Dans la modélisation conceptuelle de données, il
est question pour le concepteur de faire la description des données.
1.1.1. Définition et But
Le MCD (modèle conceptuel de données) est un
modèle abstrait de la méthode Merise permettantde
représenter l'information d'une manière compréhensible aux
différents services de l'entreprise18(*).
Le modèle conceptuel des données
(MCD) a pour but de représenter de façon
structurée les données qui seront utilisées par le
système d'information. Le modèle conceptuel des données
décrit la sémantique c'est-à-dire le sens
attaché à ces données et à leurs rapports et non
à l'utilisation qui peut en être faite.
Le Modèle Conceptuel des Données introduit la
notion d'entités, de relations et de propriétés. Nous
allons commencerpar voir certains aspects « théoriques » avant
de nous plonger dans la pratique. La représentation graphique, simple et
accessible, permet à un noninformaticiende participer à son
élaboration19(*).
1.1.1.1. Les concepts de base
Les concepts de base du modèle
entité-association (encore appelé modèleconceptuel des
données) sont :
· propriété,
· entité,
· association et
· cardinalités.
1. Entité ou Objet
Une entité est un objet, une chose concrète ou
abstraite qui peut être reconnuedistinctement:
· ayant une existence propre,
· présentant un intérêt pour
l'entreprise,
· traduisant une préoccupation de gestion.
Fig.1.1. Représentation graphique
d'une Entité par un rectangle
2. Les propriétés
La propriété est définie comme
étant une donnée élémentaire 20(*):
ayant un sens,
pouvant être utilisée de manière
autonome.
Les propriétés servent à décrire
les entités et les associations. Ce sont donc des particules
d'information.
Ecole
Matri école
Dénomination
.........
Objet
Propriétés
Fig.1.2. Représentation graphique d'un exemple des
Propriétés
3. Association ou Relation
Une association est un lien sémantique qui a une
signification précise entre plusieurs entités. Elle est
exprimée souvent sous forme de verbe à l'infinitif ou locution
verbale21(*).
Relation ou Association
Regime
Ecole
Appartenir
Fig.1.3.Représentation graphique d'une Relation ou
Association par un cercle ovale
a. Identifiant
Une des propriétés de l'objet a un rôle
bien précis, c'est l'identifiant nommé aussi la
clé.L'identifiant permet de connaître de façon sûre
et unique l'ensemble des propriétés qui participent à
l'entité.
b. Cardinalités
Les cardinalités caractérisent le lien entre une
entité et une association. La cardinalité d'uneassociation est le
nombre de fois minimal et maximal qu'une occurrence d'une des entités
associée peut intervenir dans l'association :
- minimale: nombre minimum de fois
qu'une occurrence d'une entité participe aux occurrences de
l'association, généralement 0 ou
1.
- maximale : nombre maximum de fois
qu'une occurrence d'une entité participe aux occurrencesde
l'association, généralement 1 ou
n.
Les cardinalités maximales sont nécessaires pour
la création de la base de données. Les cardinalités
minimales sont nécessaires pour exprimer les contraintes
d'intégrités22(*).
Voici comment symboliser cet état :
Niveau
Classe
Compter
1,n
Cardinalité Max
Cardinalité Min
Fig.1.4. Représentation
graphique d'un exemple de type-cardinalité
c. Pattes(Pax) :Sont des pattes qui
relient les relations des objets.
ou
Fig1.5. Représentation graphique d'un exemple de
pattes
d. Dimension d'une relation
La dimension d'une relation est le nombre d'objets entrant
dans sa collection. Elle est dite :
- Récursive(ou réflexive ou unaire) relie la
même entité ;
- Binaire relie deux entités ;
- Ternaire relie trois entités ;
- Relation n aires relie n entités
4. Règles d'usages du MCD
Toute entité doit comporter un identifiant ;
Toutes les propriétés de l'entité
dépendent fonctionnellement de l'identifiant. C'est-à-dire que
connaissant lavaleur de l'identifiant, nous connaissons de façon
sûre et unique la valeur des propriétés
associées ;
Le nom d'une propriété ne doit apparaître
qu'une seule fois dans le modèle conceptuel des données ;
Les propriétés résultantes d'un calcul
ne doivent pas apparaître dans le modèle conceptuel des
données23(*).
1.1.2. FORMALISME DU
MCD
En ce qui
concerne notre étude nous avons fait appel à la méthode
Merise. A cette phase de conception, la méthode a prévu un
formalisme approprié dit modèle Entité -
association ou Objet - relationdont les
éléments ont été présentés
ci-haut.
1.1.3. DICTIONNAIRE DE
DONNEES
Le dictionnaire des données est un document qui permet
de recenser, de classer et de trier toutes les informations(les données)
collectées lors des entretiens ou de l'étude des documents. Le
dictionnaire peut être plus ou moinsélaboré selon le niveau
de granularité souhaité24(*).
N°
|
Nom de la donnée
|
Code
|
Nature
|
Taille
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
|
Adresse Ecole
Dénomination Ecole
Existant l'eau
Existant de latrines
Fonction
Grade
Id. SECOPE
Niveau
Nombre Bâtiments
Nombre de salle de classe
Nombre de bureaux
Nombre de bancs
Nombre Enseignants qualifiés
Nombre Option
Nombre Ouvriers
Nombre de tableau
Nom du Responsable
Référence Agrément
Régime de gestion
Téléphone
|
Adre_Eco
Denom_Eco
Exist_eau
Exist_Latr
Fonct
Grad
Id_SECO
Niv
Nbre_Bat
Nbre_Clas
Nbre_Bx
Nbre_Banc
Nbre_EnsQual
Nbre_Opt
Nbre_Ouv
Nbre_Tab
Nom_Resp
Ref_Ag
Reg
Tel
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
N
AN
N
N
N
N
N
N
N
N
AN
AN
AN
N
|
50
20
10
15
15
15
10
15
3
3
3
5
5
3
3
3
30
10
20
15
|
Fig.1.6.
Dictionnaire de données
1.1.4. REGLES DE
GESTION
Une règle de gestion est la tradition conceptuelle des
objectifs choisis et des contraintes acceptés par l'entreprise.En ce qui
concerne notre étude, les règles de gestion sont définies
comme suit:
RG1 : une école dispose d'un ou plusieurs
niveaux ;
RG2 : Une école appartient à un et un seul
régime.
RG3 : Un niveau compte une ou plusieurs classes ;
RG4 : Un responsable supervise aucune ou une
école ;
RG5 : Une école disposed'une ou plusieurs
structure ;
RG6 : Une classe peut avoir une ou plusieurs
structures ;
RG7 : Une Option peut avoir aucune ou plusieurs
classe ;
1.1.5. RECENSEMENT ET
DESCRIPTION DES OBJETS
1.1.5.1. Recensement des objets
Recenser les objets est une opération intellectuelle
qui vise à repérer les entités pouvant faire partie de la
modélisation conceptuelle des données. Lors de notre processus,
nous avons recensé les objets ci-après :
· Ecole ;
· Classe ;
· Option ;
· Niveau ;
· Régime ;
· Responsable ;
· Structure.
1.1.5.2. Description des objets
N°
|
Objet
|
Propriétés
|
Code propriétés
|
Description de la propriété
|
1
|
Ecole
|
Code Ecole
Dénomination école
Id. SECOPE
Réf. Agrément
Adresse
|
Code_ecole
Denom_ecole
Idsecop
Ref_agr
Adres
|
#code_ecole: AN(5)
Denom_ecole: AN(25)
Idsecop : N(12)
Ref_agr : AN(10)
Adres: AN(35)
|
2
|
Responsable
|
Matricule Responsable
Nom Responsable
Post nom Responsable
Sexe responsable
Grade
Fonction
Tél responsable
|
Matri_Resp
Nom_Resp
Postn_Resp
Sex_resp
Grade
Fonct
Tel_resp
|
# Matri_Resp : AN(5)
Nom_Resp : AN(25)
Postn_Resp : AN(25)
Sex_resp: AN(1)
Grade: AN(15)
Fonct: AN(15)
Tel_resp: N(10)
|
3
|
Niveau
|
Code Niveau
Libellé niveau
|
Code_niv
Lib_niv
|
#code_niv : AN(5)
Lib_niv : AN(20)
|
4
|
Régime
|
Code Régime
Libellé Régime
|
Code_reg
Lib_reg
|
#code_reg : AN(5)
Lib_reg : AN(20)
|
5
|
Classe
|
Code classe
Libellé classe
|
Code_clas
Lib_clas
|
#code_clas : AN(5)
Lib_clas : AN(20)
|
6
|
Structure
|
Code structure
Libellé structure
Nombre
|
Code_struct
Lib_struct
Nombre
|
#code_struct : AN(5)
Lib_struct: AN(25)
Nombre: N(5)
|
7
|
Option
|
Code option
Libelléoption
|
Code_opt
Lib_opt
|
#code_opt : AN(`5)
Lib_opt : AN(20)
|
Fig.1.7.
Tableau descriptif des objets
1.1.6. RECENSEMENT ET
DESCRIPTION DES RELATIONS
1.1.6.1. Recensement des relations
Dans ce processus de contrôle des structures des
écoles dans la Sous-division de KIMBASEKE, nous avons retenu les
relations suivantes :
§ Disposer ;
§ Appartenir ;
§ Compter ;
§ Etre superviser ;
§ Peut avoir.
1.1.6.2. Description des relations
Décrire une relation revient à définir
ses contraintes, sa dimension et ses objets associés. En pratique, une
relation peut ou ne pas porter des propriétés
N°
|
Relation
|
Propriétés
|
Dimension
|
Collection
|
1
2
3
4
5
6
7
|
Disposer
Appartenir
Compter
Etre superviser
Peut Avoir1
Peut Avoir2
|
-
-
-
-
-
-
-
|
Binaire
Binaire
Binaire
Binaire
Binaire
Binaire
Binaire
|
Niveau-Ecole
Régime-Ecole
Niveau-Classe
Ecole-Responsable
Classe-Structure
Option-Classe
|
Fig.1.8
présentation graphique de la description des relations
1.1.7. LES
CONTRAINTES
1.1.7.1. Contrainte de cardinalité
Les contraintes de cardinalité étant
composées des couples nombres minimum et maximum de participation d'un
objet à une relation, elles résument lorsque l'on parcourt
l'ensemble des occurrences de l'objet impliqué dans le couple à
la relation.
Dans la pratique, on distingue les cardinalités
ci-après :
0,1 : l'objet participe aucune ou une fois à
la relation;
1,1 : l'objet participe au moins une fois au plus une
fois à la relation;
0,n : l'objet participe aucune ou plusieurs fois à
la relation;
1,n : l'objet participe une fois, au plus plusieurs
à la relation.
1.1.7.2. Contrainte
d'intégrité fonctionnelle(CIF)
Une contrainte d'intégrité fonctionnelle (CIF) est
définie par le fait qu'une des entités de l'association
estcomplètement déterminée par la connaissance d'une ou de
plusieurs entités participant à cette même association.
Remarque :ce cas intervient lorsque dans le
modèle conceptuel de données, nous retrouvons les couples :
(0,1) ou (1,1) d'une part et (0,n) ou (1,n) d'autre part. C'est-à-dire
nous pouvons avoir les combinaisons suivantes :
(0,1) et (0,n)
(0,1) et (1,n)
(1,1) et (0,n)
(1,1) et (1,n)
1.1.7.3. Contrainte
d'intégrité multiple(CIM)
C'est une relation du type père-père. Ce cas
intervient dans le modèle conceptuel de données, nous retrouvons
les couples : (0,n) ou (1,n) d'une part et (0,n) ou (1,n) d'autre part.
C'est-à-dire nous pouvons avoir les combinaisons suivantes :
(0,n) et (0,n)
(0,n) et (1,n)
(1,n) et (1,n)
(0,n) : aucune ou plusieurs fois ;
(1,n) : une fois ou plusieurs fois.
1.1.7.4. Tableau de contraintes
N°
|
Relation
|
Collection
|
Cardinalités 1
|
Cardinalité 2
|
CIF
|
CIM
|
1
2
3
4
5
6
7
|
Compter
Disposer
Appartenir
Etre superviser
Disposer
Peut Avoir
Peut Avoir
|
Niveau - Classe
Niveau - Ecole
Régime - Ecole
Ecole - Responsable
Ecole - Structure
Classe - Option
Classe - Structure
|
1,n
1,n
1,n
1,1
1, n
0,n
1,n
|
1,1
1,n
1, 1
1,n
1,1
0,n
1,1
|
Oui
-
Oui
Oui
Oui
-
Oui
|
-
Oui
-
-
-
Oui
-
|
Fig.1.9 présentation graphique du tableau de
contraintes
1.1.8. MODELE CONCEPTUEL DE
DONNEES(MCD)
Disposer
Fig.1.10. présentation du MCD (Contrôle de
structure des écoles)
Compter
1,n
1,1
1,n
1,n
Appartenir
1,n
1,1
Etre superviser
1,n
1,1
Disposer
1,n
1,1
Peut Avoir
0,n
0,n
Peut Avoir
1,n
1,1
Niveau
|
Codeniv
Lib_niv
|
Classe
|
Codeclasse
Lib_classe
|
Ecole
|
Codecole
Denom_ecole
Id. SECOPE
Réf_agrement
Statut_occup
Adresse
|
Régime
|
Codereg
Lib_régime
|
Structure
|
Codestruct
Lib_struct
nombre
|
Responsable
|
MatriResp
Nom_resp
Postn_resp
Sex_resp
Grade
Fonction
Tel_resp
|
1.1.9. MODELISATION
CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCD)
1.1.9.1. Définition et but
Le Modèle Conceptuel de Traitements met en
lumière les traitements à effectuer sur les données
indépendammentde toute contrainte liée à l'organisation,
le Modèle Conceptuel des Traitements répond à la question
« Quoi ? ». LeModèle Conceptuel des Traitements ne
répond ni au comment, ni au quand, ni au qui, mais à Que
souhaite-t-onobtenir ?
Le MCT est une représentation schématique de
l'activité d'une entreprise indépendamment des choix
d'organisation et des moyens d'exécution.
1.1.9.1.1. Les concepts de Base
Dans l'élaboration du MCT, les concepts de base
suivants sont évoqués :
a. L'événement ;
b. L'opération ;
c. Le résultat ;
d. La synchronisation ;
e. Les règles de mission.
a) Evénement
Tout qui est capable de déclencher une
opération.L'arrivée d'un ou plusieurs évènements va
générer uneopération qui va elle-mêmefournir un
résultat. Selon leur origine on distingue les évènements
externeset les évènements internes générés
par le système d'information.
b) Opérations
Une opération est une suite d'actions
ininterruptibles.
c) Synchronisation
Est une condition booléenne traduisant les
règles de gestion qui doivent vérifier des
événements pour déclencher l'action. La synchronisation
agit au niveau des évènements avec des opérateurs logiques
: et, ou.
d) Règle d'Emission
Condition traduisant les règles de gestion à
laquelle est soumise l'émission de résultat d'une
opération. Symboles utilisés : OK, KO...
Ainsi, les résultats d'une opération peuvent
être conditionnés par les règles d'émission et
l'absence des règles d'émission signifie le résultat est
« TOUJOURS » produit.
e) Résultat
C'est le produit de l'exécution d'une opération,
Le résultat fait réel de même nature que
l'événement pourra être le déclencher d'une une
autre opération.
1.1.9.2. Formalisme du MCT
En ce qui concerne notre étude, nous avons fait appel
à la méthode Merise. A cette phase de conception, la
méthode a prévu un formalisme approprié :
E-O-R (Evénement-Opération-Résultat).
Evénement A
Evénement B
Evénement C
Synchronisation
N° Libellé
Opération
Descriptif de l'opération
Règle d'émission Règle
d'émission
Evénement Résultat
Evénement Résultat
Fig.1.11. Représentation schématique d'un
Modèle Conceptuel des Traitements
1.1.9.3. Identification et
description du processus
1.1.9.3.1. Identification du processus
Dans le domaine de planification et statistique scolaire
à la Sous-division urbaine de l'EPSP/KIMBASEKE, nous avons
identifiés plusieurs processus parmi lesquels nous avons opté de
traiter le processus de contrôle des structures des écoles.
1.1.9.3.2. Description du processus
N°
|
Evénement
|
Synchronisation
|
Opération
|
Règle d'émission
|
Résultat
|
1
|
-Sous-proved
-période de contrôle
|
Et
|
Etablissement OM
|
OK
KO
|
-OM établi
- OM non établi
|
2
|
-OM établi
|
-
|
Distribution OM
|
TOUJOURS
|
-Fiche préparer
|
3
|
- Fiche préparer
-fiche de collecte de données
-chargé de la carte scolaire
|
A et B UC
|
Remise fiche
|
OK
KO
|
Fiche reçu
Fiche non reçu
|
4
|
-Fiche reçu
-Chef d'établissement
|
Et
|
Remplissage fiche
|
OK
KO
|
Fiche rempli
Fiche non rempli
|
5
|
-Fiche rempli
-Fin mission
-chargé de la carte scolaire
|
A et B U C
|
Etablissement Fiche de Viabilité
|
TOUJOURS
|
Fiche établi
|
1.1.10. Chargé de la Carte
Scolaire
Sous-proved
Période de contrôle
A et B
A
B
OP.1 Etablissement O.M
- Suivie de
données
- Etablissement O.M
OK KO
OM établi
OM non établi
OP.2 Distribution OM
- Lecture OM
- distribution
TOUJOURS
Fiche préparer
A
et B UC
A
B
OP.3 Remise fiche
- Lecture OM
- Remise des intéressés
OK KO
Fiche reçu
Fiche non reçu
Fiche de Collecte de données
C
Chef d'Etablissement
Et
Op 4 : Remplissage Fiche
OK KO
A
Fiche remplie
Fiche non remplie
Fin Mission
A
A etB UC
Op5 : Etablissement de Fiche de Viabilité
OK KO
Fiche Etabli
Fiche non Etabli
MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (MCT)
CHAPITRE 2 : CONCEPTION DU SYSTEME
D'INFORMATION INFORMATISE (SII)
La conception du système d'information
informatisé est une étape qui permet à l'entreprise de
traiter automatiquement les informations grâce à un projet
réalisé en tenant compte des contraintes et des objectifs de
l'entreprise.
SECTION 1. SCENARIOS DE
MISE EN OEUVRE ET DEVELOPPEMENT
1.1. Scenario de mise en oeuvre
Ce scenario de mise en oeuvre n'est qu'un processus permettant
d'élaborer ou de réaliser un cahier de charge qui reprendra
toutes les précisions pour la mise en place de la solution
informatique.
1.2. Description de Cahier des charges
a) Besoins des utilisateurs
Lors de notre passage à la
sous-division, les utilisateurs ont exprimé leurs besoins liés au
résultat que cette application sera en mesure de produire :
Sur le plan des interfaces :
- Les interfaces de saisie
- Les interfaces de Mise à Jour
Sur le plan des états :
- Fiche de viabilité des écoles(structures des
écoles) ;
- Liste des écoles.
1.3. Environnement de travail
Après avoir conçu le système
d'information, celui-ci doit être implémenté dans un
environnement. Nous avons opté pour
l'environnement monoposte. L'environnement de travail monoposte consiste
à tout centralisé au seul ordinateur qui regorge la logique
applicative, l'accès aux données et l'interface utilisateur.
1.4. Matériels et logiciels
Un système d'information informatisé pour
être mis en place exige des ressources matérielles (HARDWARE) et
logicielles (SOFTWARE) pour prendre en charge l'application
développée.
En se réfèrent au cahier de charges, nous
proposons d'équiper ce service avec des matériels informatiques
et des logiciels approprié dont les caractéristiques sont ci -
après :
a) Aspect matériel
N°
|
Désignation
|
Marque
|
Nombre
|
Caractéristique
|
PU
|
1
|
Ordinateur
|
Intel
|
1
|
-Processeur: 1.70 GHz
-RAM 2.00 Go
-Disque dur 500 Go
-Système d'exploitation 32 Bits
-Lecteur DVD-R 52x
-vitesse horloge : 2.0 GHz
-Ecran plat : 24 pouces
-Clavier : standard 105 touches
-Souris : compatible USB 3.0
|
850$
|
2
|
Imprimante
|
HP
|
1
|
Modèle Laser Jet 1015
|
120$
|
3
|
Onduleur
|
ITC : IP-650
|
1
|
650/VA
|
300$
|
4
|
Clé USB
|
Kingston
|
2
|
8 Go
|
30$
|
5
|
DVD
|
Princo 16x multi
|
50
|
4.7 Go 120 MIN
|
20$
|
|
Total 1
|
1320$
|
b) Aspect logiciel
N°
|
Désignation
|
Type
|
Nombre
|
Caractéristique
|
PU
|
1
|
S.E
|
Windows
|
1 CD
|
Windows 7
|
100$
|
2
|
Logiciel bureautique
|
Kit de Microsoft Office
|
1 CD
|
Version 2007 ou 2010
|
150$
|
3
|
Langage de programmation
|
Microsoft
|
1CD
|
Microsoft Visual Studio 6.0
|
150$
|
4
|
Logiciel de protection
|
Anti-virus
|
1 CD
|
avast_free_antivirus
|
70$
|
5
|
SGBD
|
Microsoft
|
|
Microsoft SQL Server 2008 R2
|
50$
|
6
|
Crystal Report
|
Seagate Software, Inc.
|
1 CD
|
Seagate Crystal Reports 8
|
30$
|
|
Total 2
|
550$
|
Fig.2.1. Tableau descriptif des matériels et
logiciels de la mise en oeuvre
Coût d'implantation du système :
750$
Délai d'exécution du projet : 3
Mois
Coût total : Total1 + Total2 +
Coût d'implémentation = 2.620$
1.5. Scénario de
développement
Le développement du logiciel implique
l'exercice de programmation. Ainsi, cette section, présente deux aspects
à développer :
a) Aspect base de données
L'implantation de la base de données se fera en sql server
R2 2008. Les opérations à effectuer sont les suivant :
v La création de la base de données en mode
graphique ;
v La création de tables en mode graphique.
Les deux premières opérations se feront à
partir du langage de définition de données (LDD). Après la
création de la base de données et son chargement, le
développeur passe à la sécurisation de données.
b) Aspect logiciel
Du fait que les données doivent être
exploitées par un logiciel, nous avons opté pour plate-forme de
développement ; Microsoft Visual Studio 6.0 avec objectif :
v Créer des interfaces en utilisant les
différents objets que propose le dit langage ;
v Créer une source de données avec l'outil ODBC
pour connecter notre application à la base de données ;
v Chaque interface de saisie aura 6 boutons à
savoir : Enregistrer, Rechercher, Annuler, Modifier, Supprimer,
Quitter.
v La conception des états des sorties en servant d'un
outil de production des états, qui est Crystal Report.
L'application que nous allons réaliser doit avoir une page
d'accueil, suivi d'une boîte de connexion pour sécuriser. Enfin,
une interface de menu va gérer toute l'application.
On notera ici, que tous les boutons sur les interfaces feront
l'objet de procédures. Le passage de la page d'accueil à la
boîte de connexion ne nécessitera pas d'un clic.
SECTION 2 : ETAPE
LOGIQUE
2.1. Modélisation
logique des données (MLD)
Le modèle logique de données est une
étape de la conception qui consiste à décrire la structure
des données utilisées sans faire référence à
un langage de programmation. Il s'agit de préciser le type de
données utilisées lors des traitements.
2.1.1. Définition et but
L'étape logique de données est une étape
qui permet de présenter la structure statique du système
d'information sans forme d'un modèle de données
relationnelles.
Elle a pour but la traduction du modèle conceptuel de
données en fonction du SGBD à utiliser lors du
développement de l'application.
2.1.2. Concepts du modèle logique de
données relationnel
* Attribut : c'est un petit
élément (information) manipulable par le concepteur, il est
décrit par un nom.
* Relation : Appelée aussi table,
est un ensemble d'attribut significativement associés
* Clé : est le plus petit
élément (information) d'une table qui fait une
référence clé de table.
* Schéma d'une table : c'est
l'ensemble des lignes et de colonnes qui constituent une table.
* Schéma d'une base de données :
C'est l'ensemble des schémas des relations qui la composent.
2.1.3. Passage du MCD au MLD
Brut
Dans le MLD relationnel, l'unique type d'objet existant est la
table.
Le passage du MCD au MLD Brut s'effectue à deux
volets :
§ Passage sur les objets et ;
§ Passage sur les relations.
2.1.3.1. Règles de passage
La méthode depassage d'un MCD Merise aux tables
relationnelles est simple et systématique:
1. Traitement des Objet
Ø chaque Objet devient une table.
Ø chaque propriété d'une entité
devient un Attribut.
Ø l'identifiant de l'entité devient la
clé primaire.
Ø La clé faisant référence d'une
autre table dans une autre devient la clé secondaire ou la clé
étrangère ;
2. Traitement des associations :
Ø Une association (0,n)-(0,1),(1,1)-(1,n)(lien
hiérarchique) provoque la migration d'une clé
étrangère (l'identifiant coté 0,n) vers la table de
l'entité coté (0,1). Cette règle stipule que la relation
doit disparaître mais, la sémantique reste maintenue.Si des
propriétésétaient dans l'association, elles migrent du
côté (0,1).
Ø une association (0,n)-(0,n),(1,n)-(1,n) donne
naissance a une nouvelle table. Les identifiants des entités auxquelles
l'association reliait migrent dans cette table. La clé primaire de
cette nouvelle table est constituée de la réunion de ces
identifiants. Si des propriétésétaientportées par
l'association, elles migrent dans la nouvelle table.
Les schémas du MLD contiennent généralement
des flèches indiquant les reports de clé
(clésétrangères).
2.1.3.2. MODELE LOGIQUE DE
DONNEES BRUT
T_Peut Avoir
|
Code_classe
Code_opt
|
T_Classe
|
Code_classe
Lib_classe
#Code_niv
|
T_Option
Code_opt
Lib_opt
T_Disposer
Code_niv
Code_ecole
T_Ecole
Code_ecole
Denom_ecole
Id. SECOPE
Adresse_ecole
Agrément
#Code_reg
#MatriResp
T_Responsable
MatriResp
Nom_resp
Postn_resp
Sex_resp
Grade
Fonction
Tel_resp
T_Niveau
|
Code_niv
Lib_niv
|
T_Structure
|
Code_struct
Lib_struct
Nombre
#Code_ecole
#Code_classe
|
T_Régime
|
Code_reg
Lib_reg
|
2.1.4. Normalisation de la Base
de données
L'étude des formes normales permet d'éviter
certains pièges de conception risquant d'impacter la future base
dedonnées. Il est donc important que durant le processus de
modélisation, un instant soit pris pour vérifier qu'il n'y a
pasd'incohérences fonctionnelles dans la base de données.
2.1.4.1. Définition et but
La normalisation est un processus qui consiste à
éliminer les dernières redondances et les valeurs nulles.Son
objectif est d'éviter les anomalies dans les bases de
donnéesrelationnelles :
§ Problèmes de mise à jour.
§ Suppression de redondances d'informations.
§ Simplification de certaines contraintes
d'intégrité.
2.1.4.2. Les formes normales
Pour être parfaites, les relations doivent respecter
certaines règles. Cet ensemble de règles se nomme : les
formesnormales.Pour parfaire une base de données relationnelle,
il est nécessaire de connaître les trois premières formes
normales.
Ø Première forme normale (1
FN)
Unetable est en première forme normale (1 FN), si elle
a une clé primaire et que ses attributs non clés sont atomiques
(élémentaire).
Ø Deuxième forme normale (2
FN)
Une table est en deuxième forme normale (2 FN), si elle
est déjà en 1ère forme normale et que ses
attributs non clé dépendent totalement de la clé primaire.
Cette 2 FN s'appliquent aux tables à clé primaire
composée.
Ø Troisième forme normale (3
FN)
Une table est en troisième est troisième forme
normale lorsqu'elle est déjà en deuxième forme normale et
que ses attributs non clés de la table ne dépendent pas
transitivement de la clé primaire.En appliquant les principes ci-dessus
définis, nous avons repérés que certains attributs de la
table Responsable et Ecole sont décomposables et à leur tour ses
attributs deviendront des tables à part entière dans le
modèle logique de données valide.
Il s'agit des attributs de la table Responsableet Ecole comme
:
ü Fonction ;
ü Grade et ;
ü Agrément;
2.1.4.3. MODELE LOGIQUE DE
DONNEES VALIDE
T_Niveau
Codeniv
Lib_niv
T_Classe
Codeclasse
Lib_classe
# Codeniv
T_Peut Avoir
Codeclasse
Codeopt
T_Option
Codeopt
Lib_opt
T_Régime
Codereg
Lib_reg
T_Agrement
Ref.agrem
Lib_agrem
Date_agrem
Disposer
Codeniv
codecole
T_Structure
Codestruct
Lib_struct
Nombre
#codecole
# codeclasse
T_Ecole
Codecole
Denome_cole
Id. SECOPE
Adresse
#Ref_agrement
#code_reg
#matriresp
T_Responsable
Matriresp
Nom_resp
Postn_resp
Sex_resp
#code_grade
#code_fonct
T_Grade
Codegrade
Lib_grade
T_Fonction
Codefonct
Lib_fonct
2.1.4.4. SCHEMA RELATIONNEL
ASSOCIE AU MLD VALIDE
T_NIVEAU : Code_niv : AN(5), Lib_niv :C(50)
(20)
T_CLASSE : Code_clas : AN (5),
Lib_classe :AN (25), Code_niv # :AN (5)
T_PEUT AVOIR : code_clas # :AN (5), code_opt
# :AN (5)
T_OPTION : code_opt : AN (5),
Lib_opt :AN (25)
T_DISPOSER :code_niv # : AN (5), Code_ecole
# :AN (5)
T_REGIME : code_reg :AN (5), Lib_reg :AN
(15)
T_ECOLE : code_ecole :AN (5),
Denom_ecole :AN (30), Id. SECOPE :AN (12), Adresse : AN (50),
Code_reg # :AN (5), Ref.Agr # :AN (12), Matri_Resp # :AN
(5)
T_AGREMENT : Ref.agr : AN (12),
Lib_agr :AN (15), Date_agr :date
T_RESPONSABLE :Matri_resp : AN (5),
Nom_resp : AN (25), Postn_resp :AN (25), Code_grade # : AN (5),
code_fonct # :AN (5)
T_GRADE :code_grad : AN (5),
Lib_grade :AN (15)
T_STRUCTURE :code_struct : AN (5),
Lib_struct :AN (15), Nombre :N(5), code_ecole #: AN (5),
code_clas # :AN (5)
T_FONCTION : code_fonct :AN (5),
Lib_fonct :AN (15)
2.1.4.5. Descriptions générales de
rôles des tables
N°
|
Table
|
Rôles
|
1
|
T_Niveau
|
Enregistrement des informations liées aux niveaux des
écoles (Maternel, Primaire et Secondaire)
|
2
|
T_Classe
|
Enregistrement des informations liées aux
différentes classes
|
3
|
T_Peut Avoir
|
Une table de
lien enregistre les informations de deux tables
|
4
|
T_Régime
|
Enregistrement des informations concernant le système de
gouvernement des écoles
|
5
|
T_Ecole
|
Enregistrement des informations liées aux Etablissements
où l'on enseigne.
|
6
|
T_Option
|
Enregistrement des informations liées aux
différentes options des écoles
|
7
|
T_Disposer
|
Une table de lien enregistre les informations de deux tables
|
8
|
T_Agrement
|
Une table de lien enregistre les informations liées aux
agréments des écoles
|
9
|
T_Structure
|
Enregistrement des informations concernant les structures des
écoles ou la manière dont une école est bâti
|
10
|
T_Grade
|
Enregistrement des informations concernant les types de grade des
responsables
|
11
|
T_Fonction
|
Enregistrement des informations concernant les types des
fonctions des responsables
|
12
|
T_Responsable
|
Enregistrement des informations concernant les différents
responsables des écoles
|
SECTION 3 : ETAPE
PHYSIQUE
3.1. Modélisation physique de
données
Le Modèle physique des données est
l'étape ultime dans le processus de gestion des données de la
méthode Merise.Toute l'analyse ayant été
réalisée en amont, l'essentiel du travail de réflexion
ayant été encadré par le modèleconceptuel ;
à ce niveau, il est question pour le concepteur, de présenter la
structure de la base de données.
Il peut être donné à un développeur
pourqu'il puisse créer la base de données correspondante sur un
serveur de base de données quelconque. L'implémentation des bases
de données peutêtre réalisée de façon
optimale.
2.1.1. Définition et brut
Le MPD est l'implémentation particulière du
modèle logique de données par un logiciel. Le MPD a pour but la
construction de la structure de la base de données en fonction du SGBD
à utiliser.
2.1.2. Passage du MLD au
MPD
Comme au modèle relationnel, quelques vocabulaires
changent notamment :
- La table devient le fichier
- La clé primaire devient la clé d'accès
aux données
- Les attributs de la table deviennent les champs du
fichier.
2.1.3. Modèle physique de données
(structure de la base de données)
La structure de la base de données est obtenue à
partir de l'organisation ci-après :
MLD
UT 01
Création de la BDD
MPD
BDD VIDE
Fig.3.1. : Création de la structure de la base
de données
MLD : Modèle logique de données
(Schéma relationnel)
UT 01 : Unité de traitement 01 (Création de
la BDD)
MPD : Modèle physique de données (structure
de la base de données)
BDD : Base de données
Remarque :Lorsqu'on crée une base
de données, on crée sa structure et la base de données est
vide. Les enregistrements seront créés lors du chargement de la
base de données.
Dans la présentation de la structure de la base de
données, trois éléments sont nécessaires : Nom
du champ de la table, type du champ, taille. On peut ajouter à cela la
définition de la clé primaire.
1. Fichier NIVEAU
2. Fichier CLASSE
3. Fichier ECOLE
4. Fichier REGIME
5. Fichier GRADE
6. Fichier FONCTION
7. Fichier STRUCTURE
8. Fichier RESPONSABLE
9. Fichier OPTION
10. Fichier DISPOSER
11. Fichier PEUT_AVOIR
12. Fichier DISPOSER
13. Fichier Connexion
CHAPITRE 3 : REALISATION DU SYSTEME
D'INFORMATION INFORMATISE
Cette étape consiste
à réaliser concrètement dans des langages, sur du
matériel. C'est au cours de cette étape qu'à lieu la
véritable naissance du futur système d'information, la
responsabilité du système d'information est
transférée de l'analyste programmeur (maître d'oeuvre) aux
utilisateurs (maître d'ouvrage).
SECTION 1 :
IMPLEMENTATION DE LA BASE DE DONNEES
Pour l'implémentation de la base de données
« STRUCTURECOL », nous avions opté comme SGBD ;
SQL Server 2008 R2
SECTION 2 :
PRESENTATION ET REALISATION DU LOGICIEL
Apres avoir créé la
source de données et la relier à l'application, Lors du test des
différentes fonctionnalités de nos interfaces (fiches), nous nous
sommes assuré que l'application tournait parfaitement bien. Ainsi, dans
cette section il sera question présenté les interfaces
accompagnées de codes.
a) Page d'Accueil
Codes chargement
PrivateSub Timer1_Timer()
If ProgressBar1.Value <= 99 Then
ProgressBar1.Value = ProgressBar1.Value + 1
Label2.Caption = ProgressBar1.Value & "%"
Else
Timer1.Enabled = False
FenConnexion.Show
ProgressBar1.Visible = False
End If
End Sub
b) Connexion
Codes connexion
PrivateSub Frmconnexion_Click()
Set CN = New ADODB.Connection
CN.Open "STRUCTURE"
Set RS = New ADODB.Recordset
RS.Open "select* from T_connexion where Nom='"
&NOM.Text& "' and pass='" &PASS.Text& "'", CN, adOpenKeyset,
adLockOptimistic
If Not RS.EOF Then
Me.Hide
Menu.Show
Else
MsgBox "Mot de Pass est incorrect"
NOM = ""
PASS = ""
NOM.SetFocus
End If
End Sub
c) Menu principal
Appel des interfaces
PrivateSubAGREMENT_Click()
FrmAgrement.Show
End Sub
Private Sub CLASSE_Click()
FrmClasse.Show
End Sub
Private Sub DISPOSER_Click()
FrmDisposer.Show
End Sub
Private Sub ECOLE_Click()
FrmEcole.Show
End Sub
Private Sub FONCTION_Click()
FrmFonction.Show
End Sub
Private Sub GRADE_Click()
FrmGrade.Show
End Sub
Private Sub NIVEAU_Click()
FrmNiveau.Show
End Sub
Private Sub OPTION_Click()
FrmOption.Show
End Sub
Private Sub PEUT_Click()
FrmPeutAvoir.Show
End Sub
Private Sub QUITTER_Click()
End
End Sub
Private Sub REGIME_Click()
FrmRegime.Show
End Sub
Private Sub RESPONSABLE_Click()
FrmResponsable.Show
End Sub
Private Sub structure_Click()
FrmStructure.Show
End Sub
d) Interface Ecole
e) Interface Structure
Ecriture de Codes
Codes Ajouter
PrivateSubAjouter_Click()
Adodc1.Refresh
Set CN = New ADODB.Connection
CN.Open "STRUCTURE"
Set RS = New ADODB.Recordset
RS.Open "select* from T_ECOLE where code_ecole='" &
Text1.Text & "'", CN, adOpenKeyset, adLockOptimistic
If RS.EOF Then
RS.AddNew
RS!code_ecole = Text1.Text
RS!denomination = Text2.Text
RS!id_secope = Text3.Text
RS!adresse = Text4.Text
RS!AGREMENT = Text5.Text
RS!code_reg = Text6.Text
RS!matri_resp = Text7.Text
RS.Update
Adodc1.Refresh
Initialiser
Else
MsgBox ("ce code existe deja")
Text1 = ""
Text1.SetFocus
End If
End Sub
Codes recherche
Private Sub Text1_KeyPress(KeyAscii As Integer)
If KeyAscii = 13 Then
If Ltrim(Text1) = "" Then
MsgBox "Veuillez Saisir votre zone de texte SVP!!!"
Text1 = ""
Text1.SetFocus
Else
Set CN = New ADODB.Connection
CN.Open "STRUCTURE"
Set RS = New ADODB.Recordset
RS.Open "select* from T_ECOLE where code_ecole='" &
Text1.Text & "'", CN, adOpenKeyset, adLockOptimistic
If Not RS.EOF Then
Text1.Text = RS!code_ecole
Text2.Text = RS!denomination
Text3.Text = RS!id_secope
Text4.Text = RS!adresse
Text5.Text = RS!AGREMENT
Text6.Text = RS!code_reg
Text7.Text = RS!matri_resp
Else
MsgBox ("Le code Ecole est introuvable")
Text1 = ""
Text1.SetFocus
End If
End If
End If
End Sub
Codes modifier
Private Sub Modifier_Click()
Adodc1.Refresh
Set CN = New ADODB.Connection
CN.Open "STRUCTURE"
Set RS = New ADODB.Recordset
RS.Open "select* from T_ECOLE where code_ecole='" &
Text1.Text & "'", CN, adOpenKeyset, adLockOptimistic
If Not RS.EOF Then
RS!code_ecole = Text1.Text
RS!denomination = Text2.Text
RS!id_secope = Text3.Text
RS!adresse = Text4.Text
RS!AGREMENT = Text5.Text
RS!code_reg = Text6.Text
RS!matri_resp = Text7.Text
RS.Update
Adodc1.Refresh
Initialiser
Else
MsgBox ("Modification non éffectué")
Text1 = ""
Text1.SetFocus
End If
End Sub
Codes suppression
PrivateSubSupprimer_Click()
Adodc1.Refresh
Set CN = New ADODB.Connection
CN.Open "STRUCTURE"
Set RS = New ADODB.Recordset
RS.Open "select* from T_ECOLE where code_ecole='" &
Text1.Text & "'", CN, adOpenKeyset, adLockOptimistic
If Not RS.EOF Then
RS.Delete
Adodc1.Refresh
Initialiser
Else
MsgBox ("Suppression non éffectué")
Text1 = ""
Text1.SetFocus
End If
End Sub
Etats de sortie
CONCLUSION
Nous voici à la fin de notre travail de fin de cycle
qui a consisté à informatiser le contrôle de structures des
écoles au sein de la Sous-division urbaine de l'EPSP/KIMBASEKE. Pour y
arriver, nous avons subdivisé notre travail en trois grandes parties
dont les fondements conceptuels, l'Etudes préalable et la conception et
réalisation du nouveau système d'information.
Dans la première partie, il a été
question d'expliquer certains concepts liés à l'informatique
ainsi qu'au sujet développé tout au long de ce travail.
La seconde partie a concerné l'étude
préalable, où nous avions mené une étude analytique
du système existant avant de passer à la phase de critique
à l'issue de laquelle plusieurs solutions ont été
proposées avec chacune ses avantages et inconvénients ; pour
permettre une bonne prise de décision de la part des gestionnaires.
Dans la troisième partie, nous avons
développé la solution informatique et résolu les
problèmes ci-après :
* La conception d'une base de données ;
* L'utilisation de la base de données ;
* Enfin, la programmation.
La conception de ce nouveau système nous a
été rendu facile grâce à la méthode Merise,
ce pendant la base de données a été créé en
SQL Server 2008 R2 et l'application en Visual Basic 6.0.
Ainsi les deux outils nous ont produit les résultats
suivants :
* Fiche de viabilité ;
* Liste des écoles.
Ce travail étant une composition scientifique et
humaine, loin de nous est l'intention de lui garantir un caractère
excellent. Nous osons croire que les insuffisances éventuelles qui
pourront être observées, mériteront une correction
scientifique valable permettant l'amélioration et la perfection de
l'esprit scientifique et surtout dans le domaine de mise en place des
structures informatiques en général.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. Christian MUKUA BWATSHIA L., Essai méthodologique
sur la rédaction d'un travail scientifique, Ed. CRIGED, Kinshasa,
2006,
2. Claude GRENIER et Camille MOINE, construction
d'information de l'entreprise, Ed. Foucher, paris, 2003,
3. NacerBoudjlida, Base de données et système
d'informations. Ed. Dunod, Paris, 1999 P
4. J.A. M'VIBUDULU, L.D. KONKFIE, Technique des bases de
données Etudes et Cas : 2emeEdition Corrigée et
révisée, Kinshasa, CRIGED, Décembre 2012,
5. Philipe Mathieu Cours de base de données (de Merise
à JDBC) Inédit. Lille(France), 1999
6. Philipe Mathieu Cours de base de données (de
Merise à JDBC) Inédit. Lille(France), 1999
7. Jean Luc BATISTE Cours de Modélisation des
données et de traitement, Langage SQL, inédit France,
8. P. Buche Cours de Bases de données,
inédit, Paris, 2005
9. P.A POUNET, le lancement d'un système
informatique de gestion, Dunod, France, 1969
II. COURS
- F. DI GALLO, Méthodologie des systèmes
d'information Merise, cours du cycle probatoire, CNAM ANGOULEME
2000-2001.
- KOLA
MASALA, Cours d'initiation à l'informatique. Inédit,
ISC-Gombe.
- J.A. MIBUDULU, L.D. KONKFIE, Méthodes d'analyse
informatique, Kinshasa, ISC-Gombe, 2012-2013.
III. WEBOGRAPHIE
-
Http://www.techniques-ingenieur.fr/objectifs de base de données
-
http://www.win-design.com/fr/index.htm,
- (
http://laurent-audibert.developpez.com/Cours-BD/)
- Http://www.Commentçamarche.net, Merise-initiation
à la conception de système d'information
TABLE DES MATIERES
Epigraphe.......................................................................................................i
Dédicace........................................................................................................ii
Remerciement.................................................................................................iii
Avant-propos...................................................................................................iv
Liste des
abréviations.........................................................................................v
0. INTRODUCTION
1
1. Problématique
1
2. Hypothèse
2
3. Choix et intérêt du
sujet
2
4. Délimitation du travail
3
5. Méthodologie et techniques
utilisées
3
6. Canevas du travail
5
PREMIERE PARTIE :
Erreur ! Signet non
défini.
LES FONDEMENTS CONCEPTUELS
Erreur ! Signet non
défini.
CHAPITRE 1 : LES CONCEPTS INFORMATIQUES DE
BASE
6
SECTION 1 : LA NOTION DU SYSTEME
6
1.3. Organisation du système dans
l'entreprise
7
1.4. L'information
9
SECTION 2 : LA NOTION DES BASES DE DONNEES
9
2.1. Définition
9
2.2. Différents modèles des
bases de données
10
2.3. Objectif d'une base de
données.
11
CHAPITRE 2 : LES CONCEPTS RELATIFS AU CONTROLE
DES STRUCTURES DES ECOLES
12
SECTION 1 : GENERALITES
12
SECTION 2. LES CONCEPTS CONTROLE, STRUCTURE ET
ECOLE
12
1.1. Différents types de
Contrôle de structure des écoles
13
DEUXIEME PARTIE :
Erreur ! Signet non
défini.
ETUDE PREALABLE
Erreur ! Signet non
défini.
CHAPITRE 1. PRESENTATION DE LA SOUS-DIVISION DE
L'EPSP/KIMBASEKE
15
SECTION1. DENOMINATION, SITUATION GEOGRAPHIQUE ET
APERÇU HISTORIQUE
15
1.3. Aperçu Historique
16
SECTIONS2. STATUT ET OBJECTIF
16
2.1. Statut Juridique
16
2.2. Objectif
16
SECTION 3. ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT
16
3.3. Organigramme Général
19
CHAPITRE 2. ANALYSE DE L'EXISTANT
20
SECTION 1. DESCRIPTION DES ACTIVITES DE LA
CELLULE DE LA PLANIFICATION
20
SECTION 2. ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT
21
2.4. Organigramme spécifique de la
cellule de la planification scolaire
22
SECTION 3. DESCRIPTION DE L'APPLICATION
22
SECTION 4. ETUDE DE POSTE DE TRAVAIL
23
4.2. Description des postes
23
SECTION 5. ETUDE DE DOCUMENT
27
5.1. Recensement des documents
27
SECTION 6. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES
INFORMATIONS
32
SECTION 7. ETUDE DE LA CIRCULATION DES
INFORMATIONS
33
7.1. Schéma de circulation des
informations
34
CHAPITRE 3. DIAGNOSTIQUE DE L'EXISTANT ET
RECHERCHE DES SOLUTIONS
36
SECTION 1. DIAGNOSTIC DE L'EXISTANT
36
SECTION 2. RECHERCHE DES SOLUTIONS
38
CHAPITRE 1. CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
ORGANISE(SIO)
42
SECTION 1. ETAPE CONCEPTUELLE
42
1.1. MODELISATION CONCEPTUELLE DE DONNEES
(MCD)
43
1.1.2. FORMALISME DU MCD
46
1.1.3. DICTIONNAIRE DE DONNEES
46
1.1.4. REGLES DE GESTION
46
1.1.5. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES
OBJETS
47
1.1.6. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES
RELATIONS
48
1.1.7. LES CONTRAINTES
49
1.1.7.2. Contrainte
d'intégrité fonctionnelle(CIF)
49
1.1.7.3. Contrainte
d'intégrité multiple (CIM)
50
1.1.8. MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES(MCD)
51
1.1.9. MODELISATION CONCEPTUEL DE
TRAITEMENTS (MCD)
52
1.1.9.3. Identification et description du
processus
53
1.1.10. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT
(MCT)
55
CHAPITRE 2 : CONCEPTION DU SYSTEME
D'INFORMATION INFORMATISE (SII)
56
SECTION 1. SCENARIOS DE MISE EN OEUVRE ET
DEVELOPPEMENT
56
SECTION 2 : ETAPE LOGIQUE
59
2.1. Modélisation logique des données
(MLD)
59
2.1.3. Passage du MCD au MLD Brut
59
2.1.3.2. MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT
61
2.1.4. Normalisation de la Base de
données
62
2.1.4.3. MODELE LOGIQUE DE DONNEES VALIDE
63
2.1.4.4. Schéma relationnel associé
au MLD valide
64
SECTION 3 : ETAPE PHYSIQUE
65
2.1.2. Passage du MLD au MPD
65
CHAPITRE 3 : REALISATION DU SYSTEME
D'INFORMATION INFORMATISE
69
CONCLUSION
78
* 1Christian
MUKUA BWATSHIA L., Essai méthodologique sur la rédaction d'un
travail scientifique, Ed. CRIGED, Kinshasa, 2006, p.28
* 2 Cyril Gruau, Conception
d'une base de données [en ligne] disponible sur
http://www.win-design.com/fr/index.htm,
(consulter le 14/01/2013
à20:45)
* 3Christian
MUKUA BWATSHIA L., op.cit, p.37
* 4 Idem
* 5 Idem
* 6 Idem
* 7 Cyril Gruau, Conception
d'une base de données [en ligne] disponible sur
http://www.win-design.com/fr/index.htm,
(consulter le 14/01/2013 à20:45)
* 8 Claude GRENIER et Camille
MOINE, construction d'information de l'entreprise, Ed. Foucher, paris,
2003, p.61
* 9Nacer Boudjlida, Base de
données et système d'informations. Ed. Dunod, Paris, 1999
Page 1.
* 10J.A. M'VIBUDULU, L.D.
KONKFIE, Technique des bases de données Etudes et Cas :
2emeEdition Corrigée et révisée, Kinshasa,
CRIGED, Décembre 2012, P19
* 11Nacer Boudjlida,
Op.cit.Page 1.
* 12 Philipe Mathieu Cours
de base de données (de Merise à JDBC) Inédit.
Lille(France), 1999
* 13 Laurent -Audibert,
Cours de Base de données [en ligne] disponible sur (
http://laurent-audibert.developpez.com/Cours-BD/),
(consulter le 14/02/2013 à 15:45)
* 14MVIBUDULU KALUYIT, Méthode d'analyse
informatique, ISC Gombe, 2012, Inédit.
* 15MVIBUDULU KALUYIT, Op.cit, ISC Gombe, 2012,
Inédit
* 16 MVIBUDULU KALUYIT, Op.cit,
ISC Gombe, 2012, Inédit.
* 17 P.A POUNET, le lancement
d'un système informatique de gestion, Dunod, France, 1969, P48.
* 18Philipe Mathieu Cours de base de données (de Merise à JDBC)
Inédit. Lille(France), 1999
* 19 Jean Luc BATISTE Cours
de Modélisation des données et de traitement, Langage SQL,
inédit France, P23
* 20P. Buche Cours de Bases
de données, inédit, Paris, 2005 p. 22
* 21 J.A. MVIBUDULU et L.D.
KONKFIE, Op.cit., P.20
* 22 Philipe Mathieu,
Op.cit.
* 23Idem
* 24 MVIBUDULU KALUYIT,
Op.cit,
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