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EPIGRAPHIE
« La réussite une question de ma volonté,
conscience et de ma volonté seulement »
Starck MBULU LONA Gabriel
DEDICACE
A mon père MBULU LONA
Faustin, pour les efforts consentis à mon égard ;
A ma mère NTOTO BIODI
Emilie, pour m'avoir fait découvrir le monde ;
A vous mes frères et soeurs Helene
BAYA, Didier TUMPA, Nzuzi
VUVU, Palmier MAVUNGU, Gradi
TUMUENE, Louange KIESE, pour m'avoir
encouragé, conseillé durant cette période de mes
études.
Je dédie ce travail.
AVANT PROPOS
Ce travail est le couronnement de notre formation
universitaire en graduat en gestion informatique à l'Institut
Supérieur de Commerce de Matadi, ISC/Matadi en
single
Ainsi, ce travail est le fruit de plusieurs efforts et
sacrifices engagés tout au long de l'année académique
2012-2013. Du reste, c'est-à-dire la préparation et la
rédaction de ce travail était une oeuvre de recherche et
d'encadrement.
Nous sommes très braves envers Monsieur Justin
PHOBA MVIKA, Directeur Général de notre Institut
pour sa disponibilité pour notre formation intellectuelle, morale et
religieuse au sein de notre Institut.
Nos sincères remerciements à tout le
comité de gestion de l'ISC /Matadi pour leurs
contributions à notre formation
Nous remercions l'assistant Felly BEMA
LOKWAMA qui a bien voulu respectivement assurer la direction de ce
travail par les remarques, suggestions et conseils pour l'orientation de
ce travail malgré ses multiples occupations.
Nos remerciements s'adressent à tous les enseignants de
l'ISC /Matadi en général et ceux de la section
informatique en particulier entre autre : Chef de travaux Jonas
LUKOKI, Jackson NZAU, Isabelle
TSHIBUABUA Alphonse DITONA, Cesar
MANANGA et l'assistant Jean de la sentinelle
PHOBA, Aime MBUANGI, Roger MAYANGA,
Dominique MBAMB'A, Dadou MIZWA,
Serge TSEDE.
qu'il nous soit permis d'être également
reconnaissant envers les encadreurs de B.I.E.M.
Nos pensées vont encore à nos compagnons de
mêmes aventures universitaires, les Amis de tous les temps et de tous les
jours : MAMBIMBI MAVUNGU Anatole, BASILUABO
MENAVUVU Magloire, NGOMA SITU Michel, KABEYA
MBALA Junior, KABENGELE KADIATA Joseph,
NSIMBA PUATI Guelord, MASELA KONDJI Junior, Hyllaron
KIMPUNI, Francine MAKIESE.
Enfin, que tous ceux qui ont contribué d'une
manière ou d'une autre à notre formation et à la
concrétisation de cette oeuvre que nous n'avons pas citées par
inadvertance, sans oublier Prof. Dr. Ir. MBIKAYI MPANYA
Jean Marcel, FATAKI BAZONGA
Jeannot et l'assistant BALUMANGANA
BALUSTIC. Veuillent bien nous excuser, nous leur
présentons l'expression de notre profonde gratitude.
Starcky MBULU LONA Gabriel.
1. ABREVIATION ET SIGLES UTILISES
LCP : LISTE DES CLIENTS PREFINANCES ;
LCI : LISTE
DES CLIENTS INSOLVABLE ;
LCS : LISTE DES
CLIENTS SOLVABLE ;
ATEV : ATTESTATION DE VERIFICATION ;
LIC : LICENCE D'IMPORTANCE ;
BL : BILL OF LOADING;
LSQ : LETTRE DE SEQUENCE;
SECRET: SECRETARIAT ;
CH : CHEQUE ;
CCE : CAHIER DES COURRIERS ENTRANTS ;
MOD : MODELE ORGANISATIONNEL DE
DONNEE ;
MPD : MODELE PHYSIQUE DE DONNEE ;
MPT : MODELE PHYSIQUE DE
TRAITEMENT ;
MCD : MODELE CONCEPTUEL DE DONNEE ;
MLD : MODELE LOGIQUE DE DONNEE ;
MLT : MODELE LOGIQUE DE
TRAITEMENT ;
MOT : MODELE ORGANISATIONNEL DE
TRAITEMENT ;
MCT : MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT ;
MCC : MODELE CONCEPTUEL DE LA
COMMUNICATION ;
SGBD : SYSTEME DE GESTION DE BASE DE
DONNEE ;
BDD : BASE DE DONNEE ;
SCTP : SOCIETE COMMERCIALE DES
TRANSPORTS ET DES PORTS ;
DGDA : DIRECTION GENERALE DES DOUANES ET ACCISES ;
DGRAD : DIRECTION GENERALE DES RECETTES ADMINISTRATIVES,
JUDICIAIRES ; DOMANIALES ET DES PARTICIPATIONS ;
SGF : SYSTEME DE GESTION DES FICHIERS ;
EXPEDIE : EXPEDITION
2. LISTE DES SYMBOLES UTILISES
SYMBOLES
|
EXPLICATION
|
|
Document circulant
|
|
Document permanent
|
|
Sortie
|
|
Entrée vers une nouvelle tache
|
|
Document circulant a deux exemplaires
|
|
Tâche d'exécution
|
|
Listing
|
|
Classement
|
3. LISTE DES TABLEAUX ET LES FIGURES UTILISES
0.1. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE
La problématique est la présentation d'un
problème sous différents aspects. C'est la question à la
quelle nous allons entreprendre de répondre, une problématique
mal posée est un hors sujet.
1
Le préfinancement est défini comme un
crédit spécial accordé à titre provisoire pour
permettre de financer une opération économique en attendant un
moyen de financement durable.
2
En douane le terme préfinancement est le fait que le
commissionnaire en douane paye en lieu et place du client, et se fait
rembourser à la livraison de la marchandise. Les agences sont, en
général indépendantes, c'est-à-dire sans lien
direct ni avec les annonceurs ni avec les medias, afin de garantir
l'objectivité de leurs analyses et de leurs choix.
3
L'agence envisage un intérêt sur la confiance du marché et
leur accorde une échéance de quelques mois pour rembourser le
préfinancement. Au-delà du bénéfice, l'agence doit
assurer sa pérennité. Elle s'accompagne aussi de la
volonté de développer son chiffre d'affaires et sa part de
marché, dans cette optique il faut viser la satisfaction du client.
4
Dans le cadre d'approches relationnelles, la connaissance du client pour toute
entreprise qui cherche à accroître son chiffre d'affaire est
très primordial. Pour conserver durablement ses clients, l'Agence
Pacific Trading S.P.R.L. doit les satisfaire et les fidéliser. Pour y
parvenir, cette Agence doit connaître ses clients c'est-à-dire
connaître leurs besoins et leurs attentes le profit d'une Agence en
douane comme Pacific Trading est directement lié à la
fidélité de ses clients parce que le client est la principale
source de revenu de l'entreprise. La meilleure façon que Pacific Trading
peut gérer ses clients est d'avoir une base de données
intégrée
Ainsi pour élargir notre étude nous sommes
posés les questions suivantes :
1. Est -ce que la mise en oeuvre d'un système
d'information informatisé s'avère-t-il indispensable ?
2. Le système existant répond-t-il à
l'efficacité et l'efficience pour le contrôle du
système existant ?
3. L'informatisation de la procédure de cette gestion
aura-t-elle un impact positif sur le rendement de l'entreprise ?
4. Comment allons-nous-procéder à
l'implémentation de ce nouveau système ?
C'est dans cette optique que nous allons essayer de
répondre à ces préoccupations.
0.1.2. HYPOTHESE
L'hypothèse est une proposition qui tente d'expliquer
les problèmes posés à partir de l'observation.
Elle est une directive, une tentative d'explication des faits fournis au
début de la recherche, destinée à l'investigation et
à être abandonnée ou maintenue d'après les
résultats d'observation et de l'analyse.
5
En rapport avec les problèmes que nous venons d'évoquer.
Nous affirmons que la mise en place d'une base de données
intégrée permettra à l'Agence Pacific Trading de
résoudre ses multiples difficultés telles que :
· La lenteur dans le traitement de
données ;
· L'élaboration de liste des clients
préfinancés ;
· L'élaboration de liste des clients
douteux ;
· La fiabilité des résultats
· Etc.
0.2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
0.2.1 .CHOIX DU SUJET
Notre travail s'intitule « MISE EN OEUVRE
D'UN SYSTEME INFORMATISE POUR LE SUIVI DE PAIEMENT DE PREFINANCEMENT DANS
UNE AGENCE EN DOUANE « Cas de Pacific
Trading ».
Le choix porté à ce sujet va nous permettre
d'approfondir les notions théoriques apprises et savoir comment les
appliquer dans un cas concret.
0.2.2. INTERET DU SUJET
L'importance du sujet se comprend parce que l'objectif
primordial est de mettre en place une base de données
intégrées qui aidera les décideurs de Pacific Trading de
connaître avec précision et à un temps reccord la liste des
clients qui ont été préfinancés, les
modalités de remboursement et sans oublier les clients douteux.
0.3. DELIMITATION DU SUJET
Dans le temps, nous avons mené notre étude
à l'Agence en Douane Pacific Trading plus précisément au
service de la comptabilité.
0.4. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
0.4.1. METHODES
Les méthodes sont des moyens à suivre pour
effectuer une procédure afin d'accomplir les tâches le plus
efficacement possible.
6
Les méthodes prennent en considération, l'objectif à
réaliser, le temps et les ressources nécessaires pour effectuer
le travail. Pour le cas échéant nous allons utiliser les
méthodes suivantes :
Méthode Historique : elle nous a permis de
connaître l'historique de l'agence Pacific Trading s.p.rl ;
Méthode Structuro-fonctionnelle : nous a
aidé à étudier la structure et le fonctionnement de
l'agence Pacific Trading s.p.r.l;
Méthode Analytique : à partir de cette
méthode nous avons procédé par une analyse des faits
existants, dans le but de mieux comprendre le système en place ;
7
Méthode Merise : est une méthode
d'étude et réalisation informatique pour les systèmes des
entreprises.
8
C'est aussi une méthode conception de projets informatiques, qui donne
une vision panoramique sur le domaine à étudier, en
séparant les données et les traitements pour plus
d'efficacité.
9
Elle est d'une utilité grandiose dans l'étape conceptuelle.
0.4.2. TECHNIQUES
Les techniques sont des instruments (outil) destinés
à la recherche aux fins de la collecte des données, de leur
sélection, de leur traitement, et de leur dépouillement (analyse).
10
Pour notre travail nous avons utilisé les techniques ci
-après :
Technique documentaire : est l'ensemble des techniques
mises en oeuvre dans le cadre de l'exercice du métier ou de
l'apprentissage du métier
11 ;
Technique d'interview : est une technique utilisée
non seulement au stade de l'étude d'opportunité mais à
tous les stades ultérieurs lorsque l'on veut obtenir des informations
précises sur les politiques, les procédures et les besoins des
utilisations.
12
Elle nous a permis d'entrer en contact direct avec les interviews ;
Technique d'observation : c'est l'étude des
personnes qui passent pendant une certaine période en un lieu
donné.
13
Pour notre étude, elle nous a permis d'observer comment les
activités se déroulent au sein de l'agence Pacific Trading
s.p.r.l.
0.5. DIFFICULTES RENCONTREES
Un travail scientifique est toujours pénible à
réaliser, nous nous sommes confrontés à plusieurs
problèmes sur le terrain, en faisant beaucoup de navette pour avoir des
informations pertinentes, nous n'avons pas eu le temps de manipuler certains
documents et d'aborder certains personnels. A cause de secret professionnel et
nous avons arraché difficilement une interview auprès des
responsables de cette entreprise grâce à une lettre de recherche.
0.6. DIVISION DU TRAVAIL
Hormis, l'introduction et la conclusion, notre travail se
divise en trois parties : la première est consacrée à
l'étude préalable, celle-ci se subdivise en deux chapitres et se
consacre à la présentation de l'entreprise.
· La deuxième partie quant à elle, a
porté sur la conception d'un système d'information qui se
subdivise en deux phases :
· La première phase parle de la conception
du système d'information organisationnel (SIO) et comprend en son sein
deux chapitres : Etape conceptuelle et Etape organisationnelle ;
· La seconde est basée sur la conception du
système d'information informatisé (SII) qui comprend aussi deux
chapitres : Etape logique et Etape physique ;
· La troisième partie parle sur la
réalisation et l'exploitation de la base de données, qui comprend
aussi deux chapitres : l'implantation de la base de données et La
programmation.
L'étude préalable
est une phase de l'analyse qui nous permet de faire l'évaluation
critique du fonctionnement du système d'information actuel et
l'évaluation des solutions en précisant :
· Les processus de fonctionnement du domaine ;
· La perception des informations ;
· Les modes d'organisation ;
· Le degré et le type d'automatisation.
· L'évaluation des solutions proposées en
termes de :
· Equipements informatiques ;
· Coûts et détails de mise en
oeuvre ;
· Conséquences sur l'organisation
générale de l'entreprise ;
· Scenario de mise en oeuvre. L'étude
préalable privilégie la diversité des solutions par
rapport au détail des spécifications.
14
I.1. HISTORIQUE DE L'AGENCE
Pacific Trading est une
société privée
à responsabilité limitée, de nationalité
congolaise, créée le 15 juillet 1997. Dès sa constitution,
le capital social s'élevait à un montant de 66 000 000
nouveaux zaïres, représenté par 100 parts de valeur nominale
de 660 000 Nz chacune, souscrite et
libérée par deux associées à savoir, Mesdames
SAKINA AFWA avec 75 parts équivalant à 49 500 000 Nz et
NURUGULAM avec 25 parts équivalant à 16 500 000nz. La
reforme monétaire du 15 octobre 2002 a poussé les actionnaires
à réévaluer le capital social à 5 000 000
FC. Ils ont aussi procédé à la cession des parts
sociales à des nouveaux associés qui sont Messieurs MALIK avec 90
parts et PERUZI ASSANI avec 10 parts. A la création de l'entreprise, le
siège social était au 15 ème niveau de
l'appartement IV de l'immeuble ancienne galerie (ex galerie
présidentielle) dans la commune de la Gombe. Cette entreprise a connue
plusieurs transferts de son siège social entre autre 30 janvier 1997, a
l'immeuble SITREX , au 2ème niveau sur l'avenue du
marché dans la commune de la Gombe, le 15 janvier 1998, au n°260,
2ème rue, quartier industriel de la commune de Limeté,
depuis le 20 juillet 2000, le siège de l'entreprise est au n°4,16
ème rue, quartier industriel dans la commune de
Limeté.
1.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE
Le siège social de Pacific Trading s.p.r.l est
situé au n°4, 16 ème rue quartier industriel,
commune de Limeté dans la Ville de Kinshasa. Elle est à
coté de l'entreprise PARC AFRIQUE et parallèle à
l'entreprise TRANSMARC. En dehors de l'agence de Kinshasa, qui évolue
à coté de la Direction Générale, deux agences
autonomes fonctionnent dans la Province du Bas- Congo. Il s'agit de l'agence de
Matadi, située au n°28 de l'avenue Major Vangu, au quartier Ville
Basse dans la commune de Matadi, et celle de Boma située sur l'avenue
Monseigneur Ndudi n°7 /A dans la commune de Nzadi.
I.1.3.FORME JURIDIQUE
La société Pacific Trading s.p.r.l est une
société privée à responsabilité
limitée (S.P.R.L) que l'on peut identifier par la raison sociale :
Pacific Trading : le numéro d'identification nationale,
n°320047 ; le numéro d'impôt A0700205G ; le
numéro téléphonique : +243851808850 ; la boite
Postale 9398kin I ; l'adresse E-mail : Pacific
PacificTradingSprl.com ; le site Web : WWW.Pacific
TradingSprl.com.
I.1.4 .MISSION
La société a comme mission principale le
commissionnement en douane. Elle accomplit aussi les prestations suivantes
telles que définies dans ses statuts. Il s'agit principalement de la
commission en douane, le transit à la représentation maritime, le
fret aérien, le transport terrestre à l'import et export,
à la commercialisation et à la promotion telles que
la distribution des marchandises des clients et des matières de toute
nature.
I.1.5. FONCTIONNEMENT
Comme toute autre entreprise privée, Pacific Trading a
une structure composée de deux organes statutaires, à
savoir, l'Assemblée Générale et la Gérance
(Direction Générale). L'Assemblée Générale
est l'organe suprême de la société. Elle
détermine la politique, et les orientations
générales de l'entreprise et contrôle son organisation.
Elle est composée de deux associées et la gérance. Les
statuts déterminent le mode de fonctionnement de l'Assemblée
Générale. Celle -ci se tient une fois par an, dans le mois de la
clôture de l'exercice comptable. Elle examine le rapport annuel de la
gestion par la Direction Générale et décide des nouvelles
orientations. Il sied de noter que l'Assemblée Générale
extra ordinaire peut-être convoquée à chaque fois que le
besoin se fait sentir pour statuer sur des problèmes ayants trait au
fonctionnement de l'entreprise. La gérance n'est rien d'autre que la
Direction Générale qui a sa tête des Directeurs des
Départements : import, export, shipping, finances, ressources
humaines et transport. Tous ces Départements sont en liaison directe
avec les Agences.
I.2. PRESENTATION DE L'AGENCE DE MATADI
Dans cette partie, il sera question de porter de l'Agence de
Matadi qui constitue le socle de notre étude. Toutefois, nous ne
manquerons pas de dire un mot à propos de la Direction
Générale.
I.2.1 .SITUATION GEOGRAPHIQUE
L'agence de Matadi est sur la route reliant le terminus Ami
Congo et la Gare de Matadi plus précisément sur l'avenue Major
Vangu au numéro 28, dans la commune de Matadi, elle est côte
à côte avec le « night club ».
I.3.STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ET FONCTIONNELLE
I.3.1.Organigramme de l'agence de
Matadi
Source : Secrétariat
Figure n°1
I.3.2 .FONCTIONNEMENT
Comme dit précédemment, Pacific Trading a pour
mission principale la commission en douane, le transit et la
représentation maritime. Cette mission est en grande partie
remplie par l'Agence de Matadi qui est proche du port international de
Matadi.
Cette Agence compte sept(7) services qui sont :
· L'administration ;
· La comptabilité ;
· L'import ;
· L'export ;
· Le transit ;
· Le shipping ;
· L'expédition.
Tous ces services collaborent au bon fonctionnement de ces
différents services, il est impérieux de signaler que tous les
dossiers sont ouverts à Kinshasa à la Direction
Générale, qui entre en contact avec les clients et négocie
les marchés. Dès que ceux- ci sont conclus, les clients
fournissent à la Direction Générale tous les documents
relatifs au dédouanement, à l'importation, l'exportation et
la représentation maritime.
1. SERVICE ADMINISTRATIF
Il assure la Gestion Administrative et de Ressources Humaines
de l'Agence. En dehors de cette tâche, ce service s'occupe
également de la réception de tous les documents en provenance de
la Direction Générale ou des tiers, le scannage des documents
ainsi que la gestion du charroi automobile.
2. SERVICE TRANSIT
Ce service est en étroite relation avec les armateurs
et SCTP, il veille au bief maritime, c'est-à-dire qu'il est toujours en
contact avec les armateurs lors de l'accostage des navires afin de retracer
tous les envois destinés à l'Agence, le retrait de laissez suivre
après présentation du BL original. Le laissez suivre permet
à SCTP de taxer les frais de transit avant la libération de la
marchandise.
3. SERVICE SHIPPING
Outre la mission du transitaire, l'agence a une autre mission
qui est la représentation maritime. Cette mission est remplie par le
service shipping qui traite directement avec les organismes intervenants
à l'accostage des navires.
4. SERVICE D'EXPEDITION
Le service d'expédition intervient après que les
droits et taxes soient payés. Il s'occupe du chargement des marchandises
dans le camion après planning établi par SCTP à travers le
document appelé bon d'enlèvement permettant l'édition d'un
autre document appelé bon de sortie pour la livraison des marchandises
auprès des clients potentiels.
5. SERVICE IMPORT
Le service import traite toutes les marchandises
destinées à l'importation. Dès qu'il est en possession des
documents transmis par la Direction Générale, il procède
au calcul des droits et taxes du trésor public. Ces droits et
taxes sont calculés conformément à la législation
douanière en vigueur dans notre pays.
6. SERVICE EXPORT
Le service export est chargé du
dédouanement de toutes les marchandises destinées
à l'exportation. Il fonctionne presque de la même
manière que le service de douane, mais à la seule
différence qu'il ya d'autres intervenants qui n'y concourent pas
entre autre la DGRAD et la quarantaine.
7. SERVICE DE COMPTABILITE
Le service de comptabilité intervient dans tout ce qui
est paiement au sein de l'agence. Tous ces services cités
précédemment soumettent leur paiement à la
comptabilité pour un éventuel paiement.
I.3. PRESENTATION DE SERVICE DE COMPTABILITE
I.3.1 .ORGANIGRAMME
Source : Secrétariat
Figure : n°2
I.3.2 .STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
I.3.2.1 .CHEF COMPTABLE
· il coordonne toutes les activités de ce
service ;
· il est chargé de l'imputation, de
l'enregistrement et de l'élaboration de la synthèse.
I.3.2.2. COMPTABLE
· il est chargé de suivi journalier de toutes les
opérations bancaires ayant trait au dédouanement des
marchandises ;
· il est chargé des opérations diverses.
I.3.2.3 .CAISSIER
· il est chargé de la tenue de la caisse
douanière ainsi que l'élaboration des journaux auxiliaires
(encaissement et décaissement) ;
· il est chargé de tous les frais liés aux
circuits de dédouanement des marchandises ;
· il est chargé de tous les frais connexes
à l'exploitation.
I.4. DESCRIPTION DES POSTES DE TRAVAIL
Code Poste
|
Responsable
|
Fonction
|
Local
|
Tâches
|
01
|
ILUNGA TSHAMALA
|
Chef comptable
|
B13017
|
Etablissement des chèques
|
02
|
JEAN MIANTEZILA
|
Comptable
|
B14017
|
Chargé de suivi journalier
|
03
|
ILONGA et CHARLES
|
Caissiers
|
B15019
|
Chargé de tous les frais liés aux circuits
de dédouanement des marchandises
|
Source : Bureau de la Comptabilité.
Tableau N° :1
Avant de concevoir un nouveau
système d'information, il est indispensable de bien connaître le
domaine concerné. Bien que cette connaissance puisse déjà
être compilée dans leurs documentations, il est indispensable de
recueillir ou réactualiser ces informations en interrogeant les
gestionnaires et les utilisateurs et de procéder à une analyse
critique.
15
II.1. ETUDE DES DOCUMENTS
Etude de document ne permet pas toujours à
l'analyste d'élucider toutes les questions. Pour compléter sa
documentation il doit interroger responsables et exécutants.
16
2. INVENTAIRE DES DOCUMENTS
N°
|
CODE DOC
|
DESIGNATION
|
ROLE
|
EMETTEUR
|
DESTINATION
|
FREQUENCE
|
NBRE
|
Support
|
01
|
ATV
|
attestation de vérification
|
Pour contrôler la marchandise avant son embarquement
|
- Bivac
|
-Secrétariat
-Comptabilité
-Import
|
-périodique
|
1
|
Papier
|
02
|
LIC
|
Licence
|
Permis d'importance
|
- Client
|
-Secrétariat
-Import
|
-périodique
|
1
|
Papier
|
03
|
BL
|
Bill of laoding
|
Reprend la consignation du client transporté par
le navire, le document qui autorise la livraison de la marchandise au
destinataire suivant les fermes entre transporteur et le client
|
-Client
|
-Secrétariat
|
Journalier
|
2
|
Papier
|
04
|
RJ
|
Rapport journalier
|
Document qui permet de faire l'inventaire de somme
|
-Comptabilité
|
-chef agence Matadi
-chef agence kin
|
Périodique
|
2
|
Papier&Eo
|
05
|
RM
|
Rapport mensuel
|
Document qui permet de faire l'inventaire de la
période
|
-Comptabilité
|
-chef agence Matadi
-chef agence kin
|
périodique
|
2
|
Papier&Eo
|
06
|
CCE
|
Cahier des courriers entrant
|
Document tenu par le secrétariat ou sont
consignés toutes les informations concernant les documents des
clients
|
-Secrétariat
|
-secrétariat
|
journalier
|
1
|
Registre
|
07
|
CCS
|
Cahier des courriers sortant
|
Document tenu par le secrétariat ou sont
consignés toutes les informations concernant les documents des
entreprises
|
-Secrétariat
|
-secrétariat
|
journalier
|
1
|
Registre
|
08
|
CH
|
Chèque
|
Retrait au profit du titulaire de compte ou au profit d'un
tiers et le virement des fonds portés à son
crédit
|
-Comptabilité
|
-Banque
|
Journalier
|
1
|
Papier
|
Source : nous même à partir des informations
recueillies.
Tableau n° :2
II.3 .DESCRIPTION DES DOCUMENTS
1 .ATTESTATION DE VERIFICATION
Code rubrique
|
Désignation
|
Type
|
longueur
|
NUMAV
NUMART
PT
QT
DESP
DP
OG
PUF
PV
NIM
ADRIM
VIM
LIC
DT
NFF
CL
PE
PD
NC
N°PL
PB
CAP
|
Numéro d'attestation de vérification ;
Numéro d'article ;
Position tarifaire
Quantité unité
Description produits
Date de péremption
Origine
Prix unitaire fob
Pays vendeur
Nom importateur
Adresse importateur
Ville importateur
Licence
Date facture
Numéro facture finale
Condition de livraison
Port embarquement
Port destination
Numéro conteneur
Numéro plomb
Poids brut
Capacité conteneur
|
An
An
An
An
An
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
10
5
10
10
10
10
10
5
10
20
20
20
10
10
5
10
10
10
5
10
10
10
|
Total
|
230
|
Tableau n° :3
2. RAPPORT LCP
Code rubrique
|
Désignation
|
Type
|
longueur
|
NUMD
NUMCL
NOMCL
MONTP
NUMSQ
MONDP
MODP
MONTR
DATLM
|
Numéro d'ordre
Numéro client
Nom client
Montant préfinancé
Numéro séquence
Montant déposé
Modalité de paiement
Montant rembourser
Date limite d'échéance
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
10
16
20
15
10
15
20
10
18
|
TOTAL
|
124
|
Tableau N° :4
3. BILL OF LOADING
Code rubrique
|
Désignation
|
Type
|
longueur
|
Nub
NAD
NUCON
PD
PDD
DESIGN
PFR
PBRUT
DPF
TELT
|
Number Bill of loading
Notify address
Numéro conteneur
Port de chargement
Port de déchargement
Désignation
Port fret payable
Poids brut
Date de paiement de fret
Téléphone transporteur
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
10
15
10
10
10
10
10
10
15
17
|
TOTAL
|
117
|
Tableau N° :5
4. LICENCE
Code rubrique
|
Désignation
|
Type
|
longueur
|
CTD
CB
NV
CSTD
NRC
NIE
NQB
PD
NAE
NG
QT
NTD
PDE
PV
NAFE
MT
PFUM
MFTA
FRET
AS
AF
NABP
|
Code type déclaration
Code banque
Numéro de validation
Code sous type déclaration
Numéro de registre de commerce
Numéro import -export
Numéro et quantité du bien
Poids net, brut,
Nom agent qui établit
Nom d'agence
Quantité d'articles
Numéro tarif douanière
Poste douanier d'entre
Pays provenance
Nom et adresse du fournisseur étranger
Monnaie de transaction
Prix fob unitaire moyen
Montant fob total a payer
Fret
Assurance
Autre frais
Nom et adresse du bénéficiaire de paiement
|
AN
AN AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
10
10
5
10
10
5
10
10
10
10
20
10
10
10
10
10
10
10
10
10
10
10
|
TOTAL
|
201
|
Source : Nous même à partir des informations
recueillies.
Tableau N° :6
II.3. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES
INFORMATIONS
II.3 .1LES MOYENS HUMAINS
Le service de comptabilité comprend quatre (4)
agents représentés dans un tableau ci -dessous :
Comptabilité
|
Nombres des personnes
|
Niveau d'étude
|
Ancienneté
|
Etat civil
|
Chef comptable
|
01
|
Licencié
|
13 ANS
|
marié
|
Comptable
|
01
|
Diplômé d'Etat
|
7ANS
|
Marié
|
Caissiers
|
02
|
Diplômé d'Etat
|
5 ANS
|
Marié
|
Source : Comptabilité
Tableau N° :7
II.3.2.LES MOYENS MATERIELS
Toute entreprise qui cherche à concrétiser
ses objectifs ne possède pas seulement des moyens humains mais aussi des
moyens matériels, Pacific Trading s.p.r.l précisément dans
le service de la comptabilité possède les moyens matériels
suivants :
II.3.3. LES MOYENS FINANCIERS
La vision et les objectifs assignés par cette
l'entreprise sont les commissionnaires en douane. En ce qui concerne le
préfinancement, l'entreprise dispose d'une somme importante au niveau
des banques. Lorsque les besoins se font sentir, l'agence a la
possibilité de préfinancer de milliers de ses clients.
II.3.4. LE MODELE CONCEPTUEL DE LA
COMMUNICATION(MCC)
Le modèle conceptuel de la communication reflète
la réalité, nous présentons quelque chose qui existe
dont il y a les interactions entre les acteurs.
L'établissement des frontières du domaine
étudié et du champ d'étude amené à
différencier les acteurs internes des acteurs externes :
Un acteur interne appartient au domaine d'étude,
il participe activement : transformation, décision ;
Un acteur externe appartient généralement
à l'environnement, ou bien ne participe au
référentiel de l'étude que de manière
limitée : apport ou extraction d'information.
II.3.5. LE DIAGRAMME DE FLUX
Ces diagrammes permettent de représenter les flux entre
acteurs. Ils peuvent avoir deux niveaux détails.
II. 3. 5. 1. DIAGRAMME OU GRAPHE DE FLUX
Ce diagramme permet de représenter les flux
(échanges) des documents entre acteurs. On y fait apparaitre l'ensemble
des acteurs externes. Les sommets du graphe représentant les
acteurs et les arcs orientés entre ces sommets
matérialisent les différents échanges d'informations,
entre les acteurs.
17
Ça permet aussi de compléter le diagramme de contexte en
décomposant l'organisation en une série d'acteurs internes
18.
1. PRESENTATION DE GRAPHE DE FLUX
11
Source : à partir de L'étude de l'existant
Figure n° :1
Légende :
1. Présenter les documents au secrétariat (BL, ATEV
et LIC) ;
2. Enregistrement ;
3. Transmission et vérification ;
4. Réception et vérification ;
5. Analyse et enregistrement ;
6. Approbation (BL, ATEV et LIC) ;
7. Transmission ;
8 .Analyse, enregistrement et classement (BL ; ATEV et
LIC) ;
9 .Etablissement et transmission de lettre de
séquence ;
10. Approbation ;
11. Etablissement chèque ;
12. Réception et vérification, enregistrement et
décaissement de fond ;
13. Etablissement et transmission de liste des clients
préfinancés
14. Enregistrement.
II.3.5.2 LE DIAGRAMME DE CONTEXTE
Ce diagramme a pour but de représenter les flux
d'informations entre l'organisation et les acteurs externes selon une
représentation standard dans la quelle chaque objet porte un
nom :
· L'organisation est représentée par
un rectangle qui est une boite noire ;
· les acteurs externes sont représentés par
des ellipses ;
· les flux d'information sont représentés
par des flèches dont l'orientation désigne le sens du flux
d'information.
19
2. PRESENTATION DU
DIAGRAMME DE CONTEXTE
.
Source : Nous- même à partir des informations
recueillies.
Figure n° :3
Légende :
5. Présenter les documents au secrétariat (bl,
atev et lic) ;
6. Enregistrement et vérification ;
7. Établissement de chèque ;
8. Réception, enregistrement et décaissement de
fonds.
II .3. 6. LA MATRICE DE FLUX
C'est un tableau à deux dimensions. Ces acteurs
figurent en ligne en tant qu'émetteur d'un flux, en colonne en tant que
récepteur d'un flux échanges sont à l'intersection des
lignes acteurs émetteurs et les colonnes acteurs récepteurs. La
diagonale de la matrice est donc vide : un acteur n'émet pas de
flux vers lui -même. Parfois cette diagonale est utilisée pour
indiquer des documents internes modifiés mais ce n'est pas une
règle, même si cet écart aide à identifier des
traitements internes (la matrice n'est pas destinée à
représenter les traitements).
20
3. PRESENTATION DE LA MATRICE DE FLUX
|
Acteurs externes
|
Acteurs externes
|
Client
|
Banque
|
Secret
|
Expédie
|
Import
|
Comptabilité
|
Chef d'agence
|
Client
|
|
|
|
|
|
|
|
Banque
|
|
|
|
|
|
|
|
Secret
|
|
|
|
|
|
|
|
Expédie
|
|
|
|
|
|
|
|
Import
|
|
|
|
|
|
|
|
Comptabilité
|
|
|
|
|
|
|
|
Ch. Agence
|
|
|
|
|
|
|
|
Source : à partir de graphe de flux
Tableau n° :8
Légende :
1. Présentation muni de deux exemplaires BL, ATEV et
LIC ;
2. Transmission des documents ;
3. Transmission ;
4. Transmission de LSQ ;
5. Transmission de LCP.
II .4. ETUDE DE FLUX D'INFORMATION
Le flux d'information est l'ensemble des informations
véhiculées simultanément entre deux stations.
21
II .4.1. DISCOURS SUR LE DEROULEMENT DES ACTIVITES DES
DOMAINES ETUDIES
1. CLIENT, exprime le besoin et se présente au
secrétariat muni des deux (2) exemplaires des BL, ATEV et LIC
SECRETARIAT
· Réception et vérification des BL, ATEV et
LIC ;
· Enregistrement dans CCE ;
· Classement ;
· Transmission BL, ATEV et LIC à
l'expédition.
2. EXPEDITION
· Réception et vérification de BL, ATEV et
LIC ;
· Approbation ;
· Analyse de document et enregistrement ;
· Transmission BL, ATEV et LIC à l'import,
3. IMPORT
· Réception et vérification BL, ATEV et
LIC ;
· Analyse des documents ;
· Enregistrement ;
· Classement de BL, ATEV et LIC ;
· Etablissement de lettre de séquence ;
· Transmission de lettre de séquence à la
comptabilité,
4. COMPTABILITE
· Réception et vérification de lettre de
séquence ;
Approbation ;
· Enregistrement ;
· Sortie de fond à la banque moyennant un
cheque,
5. BANQUE
· Réception et vérification de
chèque ;
· Etablissement de note de retrait à deux
exemplaires une copie est classée et l'autre est transmise
à la comptabilité.
COMPTABILITE
· Réception et vérification de
note ;
· Enregistrement ;
· Classement ;
· Etablissement des LCP à trois exemplaires une
copie transmise au chef d'agence et les 2 autres sont classés,
CHEF D'AGENCE
· Réception et vérification de LCP ;
· Enregistrement ;
· Classement.
II .4 .3. SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
Le schéma de circulation est la
représentation synthétique de cheminement des fichiers
(documents) et de la chronologie des tâches pour un traitement
donné à une périodicité déterminée.
22
Il permet d'avoir une idée sur les documents utilisés dans un
système déterminé, ainsi que leur provenance et leur
destination.
100 CLIENTS
|
200 SECRETARIAT
|
300 EXPEDITION
|
400 IMPORT
|
- Le client exprime le besoin et se présente au secret muni deux
(2) exemplaires BL, ATEV et LIC
|
-Réception et vérification BL, LIC et
ATEV ;
-Enregistrement dans CCE ;
-classement ;
-transmission BL, ATEV, et LIC
à l'expédition.
|
-
Réception et vérification BL, ATEV et LIC ;
-Approbation ;
-Analyse de document et enregistrement ;
-transmission BL, ATEV et LIC à import.
|
- Réception et vérification BL, ATEV, et
LIC ;
-enregistrement ;
-Analyse des enregistrements ;
- classement Des BL, ATEV et LIC ;
-établissement de LSQ
-transmission de LSQ à la comptabilité
|
500 COMPTABILITE
|
600 BANQUE
|
700 CHEF D'AGENCE
|
|
|
|
- Réception et
vérification de LSQ ;
Approbation ;
Enregistrement ;
Sortie de fond à la banque moyennant un cheque ;
Classement.
502
-
Réception et vérification d e note de
retrait ;
-
Enregistrement ;
-Classement ;
-Etablissement de LCP à trois exemplaires une
copie pour le classement l'autre copie au chef d'agence.
|
- Réception et vérification de
cheque ;
-Classement de cheque ;
-Etablissement de note de retrait a deux exemplaires 1 pour le
classement et l'autre
-transmis à la comptabilité
|
- Réception et
vérification des LCP
-Enregistrement
-Classement
|
|
|
II.4.5.COMMENTAIRES DU SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
N°
|
Code poste
|
Code tâche
|
Code opération
|
Commentaires (explication)
|
1
|
100
|
101
|
101.01
|
Client exprime le besoin et se présente au secret muni
deux (2) exemplaires BL, ATEV et LIC
|
2
|
200
|
201
|
201.01
|
Réception et vérification de BL, ATEV et LIC
|
201.02
|
enregistrement
|
201.03
|
Classement
|
201.04
|
Transmission BL, ATEV et LIC à l'expédition
|
3
|
300
|
301
|
301.01
|
Réception et vérification BL, ATEV et LIC
|
301.02
|
Approbation
|
301.03
|
Analyse de document et
Enregistrement
|
301.04
|
Transmission BL, ATEV et LIC à l'import
|
4
|
400
|
401
|
401.01
|
Réception et vérification BL, ATEV et LIC
|
401.02
|
Enregistrement
|
401.03
|
Analyse des enregistrements
|
401.04
|
Classement des BL, ATEV et LIC
|
401.05
|
Etablissement de lettre de séquence
|
401.06
|
Transmission de LSQ à la comptabilité
|
5
|
500
|
501
|
501.01
|
Réception et vérification de LSQ
|
501.02
|
Approbation
|
501.03
|
Enregistrement
|
501.04
|
Classement de LSQ
|
501.05
|
Sortie de fond à la banque moyennant un CH
|
502
|
502.01
|
Réception et vérification de note de retrait
|
502.02
|
Enregistrement
|
502.03
|
Classement
|
502.04
|
Etablissement de LCP à trois exemplaires
|
6
|
600
|
601
|
601.01
|
Réception et vérification de cheque
|
601.02
|
Etablissement de note retrait à deux exemplaires
|
601.03
|
Transmission à la comptabilité
|
7
|
700
|
701
|
701.01
|
Réception et vérification des LCP
|
701.02
|
Enregistrement
|
701.03
|
Classement
|
II .5 .CRITIQUE DE L'EXISTANT
Elle constitue le point de départ, permet une
sensibilisation du groupe aux principaux problèmes, d'une part, et
d'autres parts parce qu'elle fournit les éléments chiffrés
indispensables.
23
C'est aussi un jugement de valeur porté sur le système
d'information actuel en vue de ressortir ses effets positifs et
négatifs.
II.5.1 .CRITIQUE SUR LES MOYENS HUMAINS
Le service de la comptabilité ne dispose que
quatre (4) agents. A l'issus de nos investigations, nous avons constaté
le dysfonctionnement ci - après :
· Cumul de poste ;
· Pas d'organisation des formations de mise en
niveau ;
· Nom des cadres universitaires.
II.5.2. CRITIQUE SUR DES MOYENS MATERIELS
Toute l'entreprise qui cherche à promouvoir ses
objectifs ne dispose pas seulement des moyens humains, mais aussi les moyens
matériels en vue de réussir à leurs objectifs.
Malheureusement Pacific Trading s.p.r.l ne dispose pas des
matériels adéquats pouvant contribuer au suivi de paiement de
préfinancement et à la concrétisation des résultats
assignés par les responsables de cette organisation.
II.5.3. CRITIQUE SUR LES MOYENS FINANCIERS
Malgré leur somme importante, Pacific Trading
s.p.r.l, n'arrive pas à octroie a ses agents une prime d'encouragement
conséquente liée à l'exploitation.
II. 6. PROPOSITION DES SOLUTIONS
Au regard de ce qui précède, il s'agit de
proposer des idées claires et nettes liées aux
dysfonctionnements, les méthodes, les techniques et les objectifs
assignés par l'entreprise. Pour notre cas, nous proposons :
· Solution manuelle ;
· Solution informatique.
II.6.1 .SOLUTION MANUELLE
Pour une gestion saine, transparente et efficace en vue
d'atteindre les objectifs fixés par cette organisation, les responsables
de cette entreprise doivent au préalable bien rémunérer et
organiser régulièrement des séminaires de recyclage
à ses agents.
II.6.1.1. AVANTAGES
Les agents seront motivés à remplir
davantage leurs tâches respectives ;
L'acquisition des nouveaux matériels contribueront
à atteindre positivement des objectifs assignés par
l'entreprise.
II.6.1.2. INCONVENIENTS
Les informations ne sont pas bien
sécurisées ;
Résultats non fiables ;
Perte de temps pour la recherche des documents ;
Délai de réponse très allongé
pendant le processus.
II.6.2 .SOLUTION INFORMATIQUE
Pour faire face aux problèmes liés à une
bonne gestion, nous souscrivons à l'automatisation modernisée de
l'application (traitement informatique). Celle-ci consiste à acheter des
micros ordinateurs et à apporter au centre un service informatique
moderne permettant d'organiser les données et de les
traités, en vue d'écarter toute erreurs et la lourdeur due
à la procédure manuelle de traitement. Cette solution
informatique remédie aussi au manque d'efficacité et d'efficience
qu'on connaît du système ancien. Elle consiste à
prévoir des ordinateurs pour la rapidité de leur gestion. Cette
solution informatique envisageable présente aussi des avantages et des
désavantages.
24
II.6.2.1.AVANTAGES
· Manipulation facile et souplesse des données
à temps voulu ;
· Adaptation aux technologies nouvelles pouvant dialoguer
avec les autres systèmes ;
· Partage des tâches et reste en contact par les
réseaux ;
· Sauvegarde quotidienne des données à
temps précis et à une période donnée.
II.6.2.2. DESAVANTAGE
· Très couteuse (par l'acquisition des
matériels) ;
· Stationnement des travaux lors de la coupure du
courant ;
· La fonction du personnel est trop exigée.
II.6.3 .CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION
Pour aboutir à un meilleur traitement des
informations et à une bonne prise de décision, nous
proposons (qu'un système d'information informatisé soit mis en
place pour que l'ordinateur, par l'exploitation d'une base de données
à l'aide de l'outil de base de traitement automatique de
l'information puisse prendre en charge l'édition de tous les documents
utiles que l'entreprise pourra utiliser et permettre aux utilisateurs de
décider en temps reccord.
GENERALITE : nous signalons que cette
partie est la seconde étape de l'information qui consiste à
concevoir une application de solution à partir des informations
recueillies au niveau d'étude
préalable.
Ainsi la seconde partie est le développement du point
de vue informatique de la retenue lors de l'analyse préalable. Sur
ce, nous pouvons dire que cette partie vise à prendre en charge
toutes les capacités et potentialités du système en
fonction des besoins de l'utilisateur dans le but d'améliorer leur
gestion.
Dans le système d'information organisationnel, il faut
réfléchir sur l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre
en place, sans tenir compte de l'aspect de la machine c'est-à-dire sans
prendre en compte les aspects techniques liés à l'information.
25
Cette étape exprime les choix fondamentaux de gestion
recherche des éléments stables indépendamment des moyens
à mettre en oeuvre, de leurs contraintes et de leur
organisation.
En fonction du principe de séparation des
données et des traitements prônés par la méthode
merise, ce niveau de description comporte deux modèles de
séparation.
26
· Modèle conceptuel de données
(MCD) ;
· Modèle conceptuel de traitements(MCT).
I.1 .MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
Le modèle conceptuel de données (MCD) est la
représentation de l'ensemble des données du domaine, sans tenir
compte des aspects techniques et économiques de mémorisation,
d'accès et sans se référer aux conditions d'utilisation
par tel ou tel traitement.
27
Dans cette phase il s'agit donc d'une représentation
des données, facilement compréhensibles, permettant de
décrire les systèmes d'information à l'aide
d'entités.
I.1.1. CONCEPTS DE BASE DE MODELE CONCEPTUEL DE
DONNEES
OBJET : c'est un ensemble de propriétés
représentant un intérêt pour le système
d'information.
28
PROPRIETE : c'est la plus petite unité
d'information manipulée par un système d'information, c'est
aussi un élément qui décrit
l'objet ou la relation.
29
RELATION : Une relation ou association est définie
comme étant un type de lien entre deux ou plusieurs entités dans
un système d'information considérée.
30
OCCURRENCE : c'est la relation d'une relation type pour
une valeur de son identifiant.
CARDINALITE D'UNE RELATION : La cardinalité nous
permet de caractériser les liens existants entre une unité et une
relation à la quelle elle est reliée. La cardinalité d'une
relation est composée d'un couple comportant une borne maximale et
une borne minimale intervalle dans la quelle la cardinalité peut prendre
sa valeur.
31
I.1.2. FORMALISME DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES
Le formalisme utilisé dans Merise est
désigné par le forme « entité relation
» En dehors du contexte de la méthode, il a été
reconnu internationalement par Li iso (iso-tc95sc5WG3 1982) ; et fait
l'objet de nombreux développements .Le formalisme de données
utilise un formalisme précis simple et rigoureux pour la description de
données.
I.1.3. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES OBJETS
I.1.3.1. RECENSEMENT DES OBJETS
Pour notre cas nous avons recensé les objets
suivants :
· AGENT ;
· CLIENT ;
· PRET ;
· DOCUMENT ;
· PAIEMENT ;
· BANQUE ;
· CHEQUE.
I.1.3.2. DESCRIPTION DES OBJETS
N°
|
Objets
|
Propriété
|
code propriété
|
type
|
taille
|
identifia nt
|
Taille totale objet
|
1
|
AGENT
|
MATRICULE AGENT
|
MATRAG
|
AN
|
5
|
#
|
118
|
NOM AGENT
|
NOMAG
|
AN
|
20
|
|
POST NOM AGENT
|
PSTAG
|
AN
|
25
|
|
ETAT CIVIL AGENT
|
ETCAG
|
AN
|
12
|
|
SEXE AGENT
|
SEXAG
|
AN
|
1
|
|
ADRESSE AGENT
|
ADRAG
|
AN
|
25
|
|
FONCTION AGENT
|
FONCAG
|
AN
|
15
|
|
SERVICE AGENT
|
SERVAG
|
AN
|
10
|
|
2
|
CLIENT
|
NUMERO CLIENT
|
NUMCL
|
AN
|
10
|
#
|
123
|
NOM CLIENT
|
NOMCL
|
AN
|
20
|
|
POST NOM CLIENT
|
PSTCL
|
AN
|
25
|
|
ADRESSE CLIENT
|
ADRCL
|
AN
|
25
|
|
SEXE CLIENT
|
SEX CL
|
AN
|
1
|
|
NATIONALITE CLIENT
|
NATCL
|
AN
|
30
|
|
ETAT CIVIL CLIENT
|
ETCCL
|
AN
|
12
|
|
3
|
PRET
|
CODE PRET
|
CODEP
|
AN
|
5
|
#
|
25
|
DESIGNATION
|
DESIG P
|
AN
|
20
|
|
4
|
DOCUMENT
|
CODE DOCUMENT
|
CODEDOC
|
AN
|
10
|
#
|
30
|
LIBELLE DOCUMENT
|
LIB DOC
|
AN
|
20
|
|
5
|
BANQUE
|
CODE BANQUE
|
CODBQ
|
AN
|
5
|
#
|
85
|
LIBELLE BANQUE
|
LIB BQ
|
AN
|
25
|
|
LIEU BANQUE
|
LIEUBQ
|
AN
|
15
|
|
NOM GESTIONNAIRE BANQUE
|
NOGESBQ
|
AN
|
20
|
|
NUMERO COMPTE
|
NUMCOT
|
AN
|
10
|
|
6
|
CHEQUE
|
NUMERO CHEQUE
|
NUMCH
|
AN
|
10
|
#
|
DESIGNATION
|
MOTF
|
AN
|
20
|
|
|
MONTANT EN CHIFFRE DEVISE
|
MONTC
|
AN
|
20
|
|
MONTANT EN LETTRE
|
MONTL
|
AN
|
20
|
|
DATE ETABLIE
|
DATEE
|
D
|
10
|
|
7
|
PAIEMENT
|
CODEPAIEMENT
|
CODPAIE
|
AN
|
5
|
#
|
70
|
LIBELLE PAIEMENT
|
LIB PAIE
|
AN
|
20
|
|
MONTANT PAIEMENT
|
MONT APIE
|
AN
|
15
|
|
TYPE PAIEMENT
|
TYP PAIE
|
AN
|
20
|
|
DATE PAIEMENT
|
DAT PAIE
|
AN
|
10
|
|
Source : nous même à partir des objets
recensés.
Tableau : n°9
I.1.4 RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES RELATIONS
I.1.4.1 RECENSEMENT DES RELATIONS
Pour ce qui concerne notre cas nous avons recensé
des relations suivantes :
· SE PRESENTER ;
· ENREGISTRER ;
· EFFECTUER ;
· REMBOURSER ;
· BENEFICIER ;
· PRESENTER ;
· REMPLIR.
I.1.4.2. DESCRIPTION DES RELATIONS
N°
|
NOMS DE RELATION
|
DIMENSION
|
OBJET1
|
OBJET2
|
1
|
Présenter
|
2
|
CLIENT
|
DOCUMENT
|
2
|
Enregistrer
|
2
|
DOCUMENT
|
AGENT
|
3
|
Se présenter
|
2
|
AGENT
|
BANQUE
|
4
|
Remplir
|
2
|
AGENT
|
CHEQUE
|
5
|
Effectuer
|
2
|
BANQUE
|
PAIEMENT
|
6
|
Bénéficier
|
2
|
CLIENT
|
PRET
|
7
|
Rembourser
|
2
|
CLIENT
|
PRET
|
Source : nous même à partir du modèle
conceptuel de données.
Tableau : n°10
I.1.4.3. REGLES DE GESTION
Une règle de gestion est la traduction conceptuelle des
objectifs choisis et des contraintes acceptées par l'entreprise, elle
est plus particulièrement liée au traitement (REGLE D'ACTION) et
aux données.
32
I.1.3.1 .Règles d'action
1 - un client présente un ou plusieurs
documents ;
Un document peut être
présenté par un ou plusieurs clients.
2 - un agent enregistré un ou plusieurs
documents ;
Un document est
enregistré par un ou plusieurs agents.
3 - un agent rempli un ou plusieurs
chèques ;
Un chèque est rempli par
un et un seul agent.
4 - un agent se présente dans une ou plusieurs
banques ;
Dans une banque, un ou
plusieurs agents peuvent se présenter.
5 - Dans une banque on effectue un ou plusieurs
paiements ;
Un paiement est
effectué dans une et une seule banque.
6 - un client bénéficie d'un ou plusieurs
prêts ;
Un prêt peut être
bénéficié par un ou plusieurs clients
7 - un client rembourse un ou plusieurs
prêts ;
Un prêt peut être
remboursé par un ou plusieurs clients.
I.1.4.4 REGLES DE CALCUL
SOLDE=MONTB-MONTRE
TOT CLI=TOT CLI+1
MONTPRET=MONTPRET+MONTBEN
MONTRE= (MONTB+TAUX) /100
I.1.5. DETERMINATION DES CONTRAINTES DE CARDINALITE
RELATION
|
OBJET SOURCE
|
OBJET CIBLE
|
REGLE DE GESTION
|
LIBELLE
|
CARDINALITE
|
LIBELLE
|
CARDINALITE
|
|
MIN
|
MAX
|
|
1
|
N
|
Présenter
|
CLIENT
|
1
|
N
|
DOCUMENT
|
1
|
N
|
RG1
|
Enregistrer
|
AGENT
|
1
|
N
|
DOCUMENT
|
1
|
N
|
RG2
|
Remplir
|
AGENT
|
1
|
N
|
CHEQUE
|
1
|
1
|
RG3
|
Se présenter
|
BANQUE
|
1
|
N
|
BANQUE
|
1
|
N
|
RG4
|
Effectuer
|
BANQUE
|
1
|
N
|
PAIEMENT
|
1
|
1
|
RG5
|
Bénéficier
|
CLIENT
|
1
|
N
|
PRET
|
1
|
N
|
RG6
|
Rembourser
|
CLIENT
|
1
|
N
|
PRET
|
1
|
N
|
RG7
|
Source : nous- même à partir des
règles de gestion.
Tableaux : n° 11
I.1.6. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES
I.2 .LA MODELISATION CONCEPTUELLE DES TRAITEMENTS
33
Dans merise, la notion de traitement n'a rien de la
compréhension classique que l'informatique propose, celle de la
transformation des données en entrées, des résultats par
un programme.
I.2.1.1 .FORMALISME DE LA MODELISATION CONCEPTUEL DES
TRAITEMENTS
La modélisation conceptuelle des traitements dans
la méthode merise s'exprime dans un formalisme spécifique
élaboré pour permettre de présenter le fonctionnement
des activités aux différents niveaux de préoccupations
(conceptuel, organisationnel, logique, et physique). Elle conserve ainsi une
unicité de structure qui évite la multiplication des formalismes.
L'adaptation aux différents niveaux se fait alors grâce à
la dénomination des concepts - types. Le formalisme propose une
représentation graphique destinée à faciliter le dialogue
entre concepteur et utilisateur.
I.2.1.2.CONCEPTS DE BASE
Pour décrire le niveau conceptuel, le formalisme des
traitements comporte les concepts suivants :
A. ACTEUR : est une unité active intervenant dans
le fonctionnement du système opérant stimulé par le flux,
il peut être interne ou externe.
B. EVENEMENT : c'est le
compte rendu ou système d'information du fait que quelque chose
s'était produit dans l'univers extérieur ou dans le
système d'information lui
-même.
C. OPERATION : est la description du comportement du
domaine et de son système d'information par rapport aux
événements types.
D. SYNCHRONISATION : c'est un événement qui
est utilisé pour marquer une liaison de deux ou plusieurs
événements qui déclenchent une seule opération.
34
Ce symbole de synchronisation est toujours placé ou dessus du symbole de
l'opération.
I.2.1.3. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DES
TRAITEMENTS.
Cette étape exprime le choix d'organisation des
ressources humaines et matérielles au travers notamment de la
définition des sites et des postes de travail.
En fonction du principe de séparation des
données et des traitements prônés par la méthode
merise, cette étape de description comporte deux
modèles :
Modèle organisationnel de données(MOD) ;
Modèle organisationnel de traitements(MOT).
35
II.1.MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES DONNEES
Le modèle organisationnel de données (MOD) est
la représentation de l'organisation des circuits des postes de travail
et de la séparation des traitements entre l'homme et la machine par
rapport au travail. Il est élaboré à partir du
modèle conceptuel de données.
36
II.1.1. PASSAGE DU MCD AU MOD
La modélisation organisationnelle des données va
permettre de prendre en compte des éléments relevant de
l'utilisation des ressources de mémorisations. Le passage du MCD au MOD
se fait en appliquant les règles suivantes :
9. Supprimer tous les objets et toutes les relations avec
leurs propriétés qui ne peuvent pas être
mémorisés dans le modèle organisationnel de
données(MCD) ;
10. En cas de nécessité, créer des objets
ou les relations qu'on à supprimé.
Pour notre cas, tous les objets et toutes les relations seront
mémorisées. Ainsi notre modèle conceptuel de
données (MCD) est égal au modèle organisationnel de
données (MOD) c'est-à-dire MCD=MOD.
II.1.1. PRESENTATION DU MODELE ORGANISATIONNEL DE
DONNEES(MOD)
II .1.3.QUANTIFICATION DU MODELE ORGANISATIONNEL
DES DONNEES
A ce niveau pour calculer le quantificateur de la
multiplicité, nous devons déterminer les valeurs de chaque objet
et relation en passant par la longueur des objets et des relations. Pour
Trouver en fin le volume global du MOD.
A ce même niveau la définition de la
cardinalité moyenne en particulier pour calculer le nombre d'occurrence
des relations.
LA
cardinalité moyenne en abrégé (CM est obtenue
par la formule suivante :
Mi = cardinalité minimale (0 exclue)
Mo = valeur modale
Max = cardinalité maximale
P = taux de participation, obtenue par la formule suivante P =
EP /ET
EP = effectif présent
ET = effectif total
Volume d'objet = N*T
Pour le nombre d'occurrence, sa formule est N' = N*Cm
Car où
N' = nombre d'occurrence pour une relation
Ns = nombre d'occurrence de objet source
Cmc = nombre d'occurrence de l'objet cible
T = taille de l'objet ou de la relation.
N°
|
OBJETS
|
PROPRIETE
|
CODE PROPRIETE
|
TYPE
|
TAILLE
|
IDENTIFIANT
|
TAILLETOTAL OBJETS
|
1
|
AGENT
|
Matricule
|
MATRAG
|
AN
|
10
|
#
|
123
|
Nom agent
|
NOMAG
|
AN
|
20
|
|
Post nom agent
|
POSTAG
|
AN
|
25
|
|
Sexe agent
|
SEXAG
|
AN
|
1
|
|
Adresse agent
|
ADRAG
|
AN
|
25
|
|
Fonction agent
|
FONCAG
|
AN
|
15
|
|
Service agent
|
SERVIAG
|
AN
|
10
|
|
|
2
|
CLIENT
|
Numéro client
|
NUMCL
|
AN
|
10
|
#
|
111
|
Nom client
|
NOMCL
|
AN
|
20
|
|
Post nom client
|
POSTCL
|
AN
|
20
|
|
Adresse client
|
ADRCL
|
AN
|
25
|
|
Sexe client
|
SEXCL
|
AN
|
1
|
|
Nationalité
client
|
NATCL
|
AN
|
20
|
|
Téléphone client
|
TELCL
|
AN
|
15
|
|
E-mail client
|
E_MAILCL
|
AN
|
20
|
|
3
|
PRET
|
Code prêt
|
CODP
|
AN
|
5
|
#
|
25
|
Désignation prêt
|
DESGP
|
AN
|
25
|
|
4
|
DOCUMENT
|
Code document
|
CODDOC
|
AN
|
10
|
#
|
30
|
Libelle document
|
LIBDOC
|
AN
|
20
|
|
5
|
BANQUE
|
Code banque
|
CODBQ
|
AN
|
5
|
#
|
100
|
Libelle banque
|
LIBBQ
|
A N
|
25
|
|
Lieu banque
|
LIEUBQ
|
AN
|
30
|
|
Nom gestionnaire banque
|
NOGSBQ
|
AN
|
20
|
|
Numéro compte
|
NUMCOMPTE
|
AN
|
20
|
|
6
|
CHEQUE
|
Numéro cheque
|
NUMCH
|
AN
|
10
|
#
|
80
|
Désignation
|
DESIGN
|
AN
|
20
|
|
Date établie
|
DATET
|
D
|
10
|
|
Montant en chiffre devise
|
MONT C
|
AN
|
20
|
|
Montant en lettre
|
MONT L
|
AN
|
20
|
|
7
|
PAIEMENT
|
Code paiement
|
CODPAIE
|
AN
|
5
|
#
|
50
|
Libelle paiement
|
LIBPAIE
|
AN
|
20
|
|
Montant paiement
|
MONTPAIE
|
AN
|
15
|
|
Date paiement
|
DATEPAIE
|
AN
|
10
|
|
II.1.3.2. DETERMINATION DU NOMBRE D'OCCURRENCES DES
OBJETS ET DES
RELATIONS
Il est très important de déterminer le nombre
maximum d'occurrences des objets et des relations que l'on voudra avoir dans la
future base pour constituer la mémoire immédiate du
système d'information.
A. DETERMINATION DU NOMBRE D'OCCURRENCES DES
OBJETS
Pour le nombre maximum d'occurrences des objets on pourra
l'estimer à partir de l'effectif du chargement initial et de la
fréquence de création de nouvelles occurrences. En prenant
notre cas précédent, nous pouvons avoir la situation suivante.
OBJETS
|
NOMBRES OCCURRENCES
|
CLIENT
|
50
|
PRET
|
10
|
DOCUMENT
|
10
|
AGENT
|
70
|
CHEQUE
|
50
|
BANQUE
|
20
|
PAIEMENT
|
15
|
TOTAL
|
225
|
Tableau N° :12
B.DETERMINATION DU NOMBRE D'OCCURRENCES DES
RELATIONS
Contrairement aux objets, le nombre maximum d'occurrences des
relations est, quant à lui, un peu plus difficile à
déterminer compte tenu de la nature même des relations des
associations entre objets. Dans la plupart des cas, le dénombrement
s'effectuera à partir du nombre d'occurrences d'un objet de sa
collection et de la quantification de la cardinalité patte.
II.1.3.3. CALCUL DE VOLUME UTILE DU MODELE ORGANISATIONNEL
DES DONNEES
Ce chiffrage n'est toujours pas facile à faire.
En effet, si le concepteur n'a pas de problèmes majeurs pour la taille
des propriétés, il peut voir plus de difficultés pour
estimer la population des objets, des relations et la
cardinalité moyenne des relations, n'ayant pas toute d'information
nécessaire.
Il est alors à tirer parti, au maximum des
estimations dont il dispose pour chiffrer son modèle.
La quantification du volume global du MOD s'effectue alors par
la formule suivante :
Volume MOD= (? volume objets +?volume
relations)*coefficient de sécurité
Avec : Volume objets = taille de l'objet (Tr)*nombre
maximum d'occurrences de l'objet(Ne)
Volume relation = taille de la relation (Tr)*nombre maximum
d'occurrences de la relation (Nr)
Coefficient de sécurité variant entre 1,5
et 2,5 selon les technologies.
A. DETERMINATION DU VOLUME DES OBJETS
En prenant notre cas antérieur, nous pouvons avoir la
situation suivante :
Objets
|
Taille des objets
|
Nombre d'occurrences
|
Volume
|
CLIENT
|
111
|
50
|
5550
|
PRET
|
25
|
10
|
250
|
DOCUMENT
|
30
|
10
|
300
|
AGENT
|
118
|
70
|
8260
|
CHEQUE
|
80
|
50
|
4000
|
BANQUE
|
100
|
20
|
2000
|
PAIEMENT
|
50
|
15
|
750
|
?VOLUME OBJETS(1)
|
21110
|
Tableau : n°13
B. DETERMINATION DU VOLUME DES REALTIONS
En prenant notre cas antérieur, nous pouvons avoir la
situation suivante :
C. DETERMINATION DU VOLUME GLOBAL DU MOD
Objets
|
Taille des relations
|
Nombre d'occurrences
|
Volume des relations
|
BENEFICIER
|
45
|
227.5
|
10237.5
|
PRESENTER
|
35
|
212.5
|
7437.5
|
SE PRESENTER
|
15
|
507,5
|
7612.5
|
ENREGISTRER
|
15
|
227,5
|
3412.5
|
REMBOURSER
|
10
|
250
|
2500
|
?VOLUME relations(2)
|
34950
|
Tableau n°14
Les sommations des volumes des objets(1) et celle des volumes
des relations (2) étant dégagées, nous pouvons maintenant
calculer sans difficiles le volume utile du MOD global.
Volume global MOD = (?volume objets +?volume
relation)*coefficient de sécurité.
= ((1)
+(2)*coefficient de sécurité
= (21110+34950)*2.5=56060*2.5
=140150 octet.
II.2. MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES
TRATEMENTS
Modèle organisationnel de traitements nous permet de
décrire les fonctionnements du système d'information
défini du modèle conceptuel dans le cadre d'une organisation.
Elle exprime le choix d'organisation des ressources humaines et
matérielles au travers la définition de site de postes.
37
II.2.1. FORMALISME DU MODELE ORGANISATIONNEL DE
TRAITEMENTS (MOT)
Malgré son importance en matière de
conception des systèmes d'information organisationnelle, le MOT ne
nécessité pas un formalisme spécifique ; il
reprend très largement les concepts du MLT parfois
réadaptés et enrichis, auxquels sont ajoutés de nouveaux
concepts dont celui du poste de travail.
A la différence du modèle logique de traitement
dans un MOT, la présence d'un événement formalisant le
déclenchement d'une tâche n'est pas obligatoirement
représenté sur le schéma : en particulier
lorsque deux tâches s'enchainent pour le même poste, la fin de la
première tâche déclenche immédiatement la seconde
tâche.
Par contre, tout changement de poste ou de phase doit faire
apparaître un message (ou un état) qui assure la transmission de
l' activité.
38
II.2.2 .PASSAGE DU MLT AU MOT
Le MOT est issu du MCT dont il reprend sa
représentation de base et sur tout de l'organisation choisie
à la fin de l'étude préalable.
Le MOT, la description de traitement, intègre les
notions de temps et de la durée, de lieu et de la nature de traitement
répondre aux questions posées.
La tâche peut être manuelle (TM), soit une
tâche informatique (TA ou TI), soit aussi une tâche
réelle(TR).
II.2.2.1. Délai de réponse
Le délai de réponse de la tâche, ce
délai exprime la rapidité de prise en compte d'une nouvelle
occurrence d'événement à condition que toutes les
ressources nécessaires à l'exécution de la
tâche soient disponibles.
II.2.3 .RESENTATION DU MODELE ORGANISATION DES
TRAITEMENT
Il est très important de savoir comment nous devons
élaborer notre application qui s'occupe de suivi de paiement de
préfinancement en tenant compte de la technologies informatique au
niveau informatisé
Cette partie est sous la responsabilité des
informaticiens et faits appels aux disciplines des génies logiciels,
c'est ce qui fait la dichotomie avec le système d'information
organisation.
39
Etape logique exprime les choix de moyens et ressources
informatique, en faisant abstraction de leurs caractéristiques
techniques précises. Il comporte un modèle logique de
données (MCD) et un modèle logique de traitements (MCT).
40
I.1. ENVIRONNEMENT MATERIELS DE DEVELOPPEMENTS
I.1.1 .CHOIX DE MATERIELS
Cette étape est
consacrée à déterminer les deux grandes parties
que comprend l'informatique notamment HARDWARE et SOFTWARE.
I.1.1.1. ASPECT HARD WARE
· Micro Processeur : pentium M (3,1GHZ) ;
· Disque Dur (180giga octet) ;
· Mémoire Ram :(1 giga octet) ;
· Ecran en couleur ; type SVGA :(17') ;
· Clavier Type compatible et nombre de
touches :(105) ;
· Imprimante :(jet encre, HP) ;
· Type de lecteur : (56X DVD) ;
· Souris Laser :(PS/2) ;
· Onduleur : 6KVA
· Stabilisateur : 2000MA
I.1.1.2. ASPECT SOFTWARE
· Système d'exploitation (Windows XP SWEET
Pack3)
· Système de Gestion de base de
données : Access 2007
· Les utilisateurs : Antivirus Avast 6 .0
2013
· Microsoft offices 2007.
I.2 .LA MODELISATION LOGIQUE DES
DONNEES
Le modèle logique de données est une
représentation des données, issue de la modélisation
conceptuelle puis organisationnelle des données. Elle est
exprimée dans un formalisme général et compatible avec
l'état de l'art technique et client compte des aspects couts,
performances aux traitements.
I.2.1. PASSAGE DU MOD AU MLD BRUT
Pour passé du modèle organisationnel de
données au modèle logique de données brut nous devons
respecter les règles suivantes :
· Les objets deviennent des entités dans le sens
mathématique du terme ; donc les lignes aux colonnes sous formes
des tables ;
· Les propriétés des objets deviennent des
attributs des tables ;
· Les identifiants des entités deviennent des
clés primaires ;
· Les relations dans le sens conceptuel ou
sémantique subissent plusieurs traitements selon les cas
notamment ;
*La relation du type père et fils disparaît, mais
la sémantique sera maintenue comme la table fils dépend de la
table père, elle va recevoir la clé de son père et cette
dernière (clé) sera migrée dans la table fils comme
clé étrangère ;
*Pour la relation du type autre que père et fils, cette
relation devient la table et ses attributs seront la concaténation
des clés de deux autres tables. Si la relation portait une
propriété celle-ci demeura dans la table comme attribut.
I.2.2. Formalisme du MLD
Table : conserve le formalisme de l'objet ;
Table de lien : pointe les autres tables ;
Tous les arcs sont orientés.
I.2.3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT
(MLDBRUT)
I.2.1.PASSAGE DU MLD BRUT AU MLD VALIDE
Pour passer du MLD brut au MLD validé nous devons
respecter les règles de normalisation.
I.2.1.1.NORMALISATION
La normalisation consiste à supprimer les
redondances qui peuvent encore se trouver dans MLD brut. Cela veut dire qu'au
niveau de conceptuel, nous n'avons pas tenu compte des règles de
vérification des objets pour que leurs propriétés ne
soient pas répétitives. C'est ainsi que nous allons
vérifier ces objets de manière que ceux-ci aient des
propriétés non répétitives.
REGLES DE NORMALISATION
41
1. première forme normale ;
Une table est en première forme normale si tout
attribut contient une valeur atomique.
2. deuxième forme normale
Une est en deuxième forme normale si et seulement
si :
· Elle est en première forme normale ;
· Tout attribut n'appartient pas à une clé,
ne dépend que d'une partie de cette clé.
3. troisième forme normale
Une table est en troisième forme normale si te
seulement si ;
· Elle est en deuxième forme normale.
· Tout attribut n'appartient pas à une clé,
ne dépend que d'un attribut non clé.
I.2.4 .PRESENTAT ION DU MLD
VALIDE
I.2.5.SCHEMAS RELATIONNELS ASSOCIES AU MLD VALIDE
1. AGENT : {#matrag: texte[5], nomag: texte[20], pstag:
texte[25], sexag: texte[1], #codfonc: texte[5], #codserv:
texte[5], adrag: texte[25]} ;
2.CLIENT : {#numcl: texte[10], #codnat: texte[5],
nomcl: texte[20], pstcl: texte[30], adrcl: texte[25], sexcl: texte[1], tel cl:
texte[15] , e_mailcl: texte[20]} ;
3. PRET: {#codp : texte [10], designp : texte
[20]}
4. DOCUMENT: {#coddoc : texte [10], libdoc : texte
[20]}
5. BANQUE: {#codbq : texte [5], libbq : texte [30],
lieubq: texte [30], nogsbq: texte [20], numcompt: texte [20]}
6. PAIEMENT: {#codpaie : texte[5], #codbq :
texte[5], libpaie : texte[20], montpaie: texte[15], typepaie :
texte[20] , datpaie: date[10]}
7. NATIONALITE: {#codnat : texte [5], libnat:texte
[30]}
8. REMBOURSER: {#numcl : texte [10],
#codp : texte [5], datrem: date [10]}
9. BENEFICIER: {#numcl : car [10],
#codp : car [5], MONTB : car [15] DATD : date [10]
DATF : date [10]}
10. PRESENTER: {#numcl: texte[10],
#coddoc : texte[10], cods: texte[15] ,numdoc: texte[20] datp:
date[10]}
11. ENREGISTRER: {#coddoc : texte [10],
#matrag: texte [5], datenr: date [10]}
12. SE PRESENTER: {#matrag : texte [5],
#codbq: texte (5], datpr : date [10]}
13. FONCTION: {#codfonc: texte [5], libfonc : texte
[15]}
14. SERVICE: {#codserv : texte [5], libserv : texte
[15]}
15. CHEQUE: {#numch : texte [7], #matrag :
texte [5], design : texte [30], mont c: texte [20], montl: texte [30]}.
I.2.6.1 CALCUL DU VOLUME UTILE DE LA BASE DE
DONNEES
Volume global = ?r(2)*N
Avec R : taille de l'attribut
N : nombre d'occurrence de la table
N : nombre d'attribut de la table
I : numéro de l'attribut
D'où le volume utile de notre base de
données par ?de volume de table
N°
|
TABLES
|
TAILLE
|
OCCURRENCE
|
VOLUME TOTAL
|
1
|
AGENT
|
123
|
70
|
8610
|
2
|
CLIENT
|
111
|
50
|
5550
|
3
|
PRET
|
25
|
10
|
250
|
4
|
DOCUMENT
|
30
|
10
|
300
|
5
|
BANQUE
|
100
|
20
|
2000
|
6
|
PAIEMENT
|
50
|
15
|
750
|
7
|
NATIONALITE
|
35
|
5000
|
175000
|
8
|
REMBOURSER
|
40
|
250
|
10000
|
9
|
BENEFICIER
|
50
|
250
|
12500
|
10
|
PRESENTER
|
65
|
212.5
|
13812.5
|
11
|
ENREGISTRER
|
25
|
277.5
|
6937.5
|
12
|
SE PRESENTER
|
20
|
507.5
|
10150
|
13
|
FONCTION
|
20
|
26
|
520
|
14
|
SERVICE
|
20
|
30
|
600
|
15
|
CHEQUE
|
80
|
55
|
4400
|
VOLUME UTILE
|
251380
|
1.2.6.2. CALCULE DU VOLUME DES INDEX
N°
|
TABLES
|
INDEX
|
TAILLE
|
OCCURRENCE
|
VOLUME INDEX
|
1
|
AGENT
|
#MATRAG
#CODFONC
#CODSERV
|
5
5
5
|
70
|
1050
|
2
|
CLIENT
|
#NUMCL
#CODNAT
|
10
5
|
50
|
750
|
3
|
PRET
|
#CODP
|
5
|
10
|
50
|
4
|
DOCUMENT
|
#CODDOC
|
10
|
10
|
100
|
5
|
BANQUE
|
CODBQ
|
5
|
20
|
100
|
6
|
PAIEMENT
|
CODPAIE
CODBQ
|
5
5
|
15
|
150
|
7
|
NATIONALITE
|
CODNAT
|
5
|
5000
|
25000
|
8
|
REMBOURSER
|
NUMCL
CODP
|
10
5
|
250
|
3750
|
9
|
BENEFICIER
|
NUMCL
CODP
|
10
5
|
250
|
3750
|
10
|
PRESENTER
|
NUMCL
CODP
|
10
5
|
212.5
|
3187.5
|
11
|
ENREGISTRER
|
CODDOC
MATRAG
|
10
5
|
277.5
|
4162.5
|
12
|
SE PRESENTER
|
MATRAG
CODBQ
|
5
5
|
10150
|
101500
|
13
|
FONCTION
|
CODFONC
|
5
|
20
|
100
|
14
|
SERVICE
|
CODSERV
|
5
|
30
|
150
|
15
|
CHEQUE
|
NUMCH
MATRAG
|
7
5
|
55
|
660
|
VOLUME DES INDEX
|
144460
|
I.2.6.3.VOLUME TOTALDE LA BASE DE DONNEES
Volume total = (volume utile +volume des index)*@
Coefficient multiplicateur de sécurité=2,5
Volume total = (251380+144460)*2.5=395840*2.5=989600 octet
=989600/1024=966.40625 kilo octet
=966.40625/1024=0.94 méga octet.
I.3. LA MODELISATION LOGIQUE DES
TRAITEMENTS
Le modèle logique de traitements se préoccupe
d'une vision interne des moyens que l'informaticien va utiliser pour construire
le logiciel correspondant aux activités informatisées
définies dans le modèle organisationnel de traitements. On
parlera d'enchainement de transactions, de découpage en modèle,
de répartition des données et traitements informatisées.
L'informaticien
se posera la question suivante : comment vais-je
concevoir mon logiciel par rapport aux fonctions demandées?
La modélisation logique des traitements répond
à la manière informatiser les activités prescrites dans la
modélisation organisationnelle des traitements compte tenu :
Ressources et contraintes logicielles et
matérielles ; Des principes généraux d'ergonomie.
2. Définition des concepts de base
1. Procédure logique : c'est un enchainement
logique de plusieurs unités logiques de traitement.
2. unité logique de traitement(ULT) :c'est un
ensemble d'actions organisées des tâches exécutables d'une
manière automatique.
1.2.2 .PASSAGE DU MOT AU MLT
Le passage du MOT au MLT concerne notre réflexion et
imagination étant développeur de logiciel d'application
verticale, selon la maîtrise et la pensée dans laquelle nous
appliquerons sur la conception des interfaces graphiques.
Dans cette optique nous allons éliminer à
partir du MOT les tâches qui ne seront pas informatisées et les
tâches restantes, celles - ci détermineront l'unité logique
de traitement où les événements fonctionnels disparaissent
et cèdent la place aux actions des utilisateurs. Cliquer ou saisir bref,
les tâches deviennent des procédures logiques(PL). C'est
l'ensemble de (PL) constitueront le MLT et les poste de travail deviennent des
sites.
1.2.3. PRESENTATION DU MLT
1. DESCRIPTION DES ULT
Dans la description des ULT donne le détaille
sur les différentes unités logiques de traitements des
ULT.
Pour chaque présentation (écran)
une description se fera suivre par :
1. Interface ;
2. Logique de dialogue : présente les
taches accomplies par l'homme et la machine ;
3. Enchainement : présente les
contrôles des écrans dans un tableau contenant : Objet,
Action, Résultat.
2.1.5. Logique de Dialogue
ULT 01 : LOGO
a. Interface
B.Enchainement
Boutons
|
Actions
|
Résultats
|
Aucun bouton
|
Attente pendant 5 secondes
|
Affichage l'interface connexion
|
C.Dialogue Homme /Machine
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Un clic sur icône du logiciel
|
Affichage du logo pendant une
période de 20 secondes
Appel ULT 001
|
|
2. ULT 02 :
A. Interface
B .Enchainement
D. Logique de Dialogue
3. ULT03 :
A. Interface
B.Enchainement
Menus
|
Actions
|
Resultats
|
Saisie
|
cliquer
|
Affichage formulaires
|
Consultation
|
cliquer
|
Affichage tables
|
Edition
|
cliquer
|
Affichage etat en sortie
|
Programme
|
cliquer
|
Retour au MP
|
B. Logique de Dialogue
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Click sur un bouton au
choix.
Clic sur quitter
|
Affichage du menu principal
Affichage du contenu de ce sous menu pour mise
à jour, soit consulter ou éditer
Quitter le programme
|
|
4.ULT 04
A. Interface
B.Enchainement
BOUTONS
|
ACTIONS
|
RESULTATS
|
Enregistrer
|
Cliquer
|
Enregistrer les données dans la base de
données
|
Rechercher
|
Cliquer
|
Rechercher les données dans la base de
données
|
Modification
|
Cliquer
|
modifier les données dans la base de
données
|
Supprimer
|
Cliquer
|
supprimer les données dans la base de
données
|
Annuler
|
Cliquer
|
Annuler les données dans les
formulaires
|
Quitter
|
Cliquer
|
Quitter les formulaires
|
C. Logique de
Dialogue
5. ULT 05
A. Interface
B.Enchainement
Menus
|
Actions
|
Résultats
|
Vertical
|
Cliquer
|
Défilement des données de gauche vers
droite et de droite vers la gauche
|
Horizontal
|
Cliquer
|
Défilement des données de haut vers le
bas ou de bas vers le haut
|
Quitter
|
Cliquer
|
Arrêt l'application
|
B. Logique de Dialogue
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Click sur un bouton au choix et visualiser
Retour au menu principal
|
Affichage du sous menu consultation
affichage des enregistrements de ce bouton
Affichage du menu principal
|
Affichage tout les enregistrements sur la
table
|
6. ULT06
A. Interface
B .Enchainement
BOUTONS
|
ACTION
|
RESULTATS
|
Aperçu
|
Cliquer
|
Affichage avant l'impression
|
Impression
|
Cliquer
|
Impression des données
|
Fermer
|
Cliquer
|
Retour au MP
|
C. Logique de Dialogue
Homme
|
Machine
|
Observation
|
Click sur un bouton au choix.
retour au menu principal
|
Affichage du sous
menu édition
Affichage de l'imprimante pour imprimer
Affichage du menu principal
|
|
II.1. MODELISATION
PHYSIQUE DE DONNEES.
Il n'existe pratiquement pas aujourd'hui une approche
normalisée pour la description et la présentation du niveau
physique des données. Ce niveau est étroitement lié aux
choix techniques informatiques en rapport avec le système de gestion de
bases de données. Ce pendant, quelques règles sont à
émettre selon l'orientation des choix techniques effectués. Nous
pouvons dire que le MPD représente le résultat du MLD sur support
magnétique.
42
II.1.1.PASSAGE Du MLD au MPD
Ce passage est automatique du système de gestion de
fichier au système de gestion de base de données choisi. Il
consiste à présenter les schémas relationnels
associés au MLD validé en fonction des contraintes et du langage
de description des données imposées par le SGBD ou le SGF choisi.
43
II.1.2.Présentation du modèle physique
des données(MPD)
1 .TABLE CLIENT
2. TABLE PRESENTER
3 .TABLE DOCUMENT
4. TABLE ENREGISTRER
5 .TABLE AGENT
6 .TABLE CHEQUE
7. TABLE SE PRESENTER
8. TABLE BANQUE
9 .TABLE PAIEMENT
10. TABLE BENEFICIER
11 .TABLE REMBOURSER
12. TABLE PRET
13 .TABLE NATIONALITE
14.
TABLE SERVICE
15 .TABLE FONCTION
II.1. MODELISATION PHYSIQUE DES TRAITEMENTS
Modèle physique de traitements représente la
solution technique de la construction du logiciel. C'est l'ensemble des
programmes informatiques assurant l'exécution des traitements
informatisés du système d'information. Cet ensemble est
organisé en une architecture technique de programmes
matérialisant la logique des traitements spécifiée dans le
MLT en fonction des possibilités techniques et des moyens de
programmation. Voici le modèle physique de traitements de l'application
suivi de paiement de préfinancement.
II.2.1 PRESENTATION DU DIAGRAMME HIERARCHIQUE DES
TRAITEMENTS
1. DEFINITIONS D'UNE BASE DE DONNEES
Pour Castellani, une base de données est un ensemble
d'informations hétérogènes, structurées,
organisées et évolutives susceptibles de répondre
rapidement aux besoins d'un ou des plusieurs applications. Une base de
données comprend des informations relatives à un ou
plusieurs ensembles, individus ou objets.
44
Dans l'encyclopédie libre comment ça marche, une
base de données (en abrégé BD, en anglais DB,
data base) est une entité dans laquelle il est possible de
stocker des données de façon structurée et avec le moins
de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être
utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents.
45
2. UTILITE DE LA BASE DE DONNEES
Une base de données permet de mettre des données
à la disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie
ou bien une mise à jour, tout en s'assurant des droits
accordés à ces derniers. Cela est d'autant plus utile
que les données informatiques sont de plus en plus nombreuses.
Une base de données peut être locale,
c'est-à-dire utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien
répartie, c'est-à-dire que les informations sont stockées
sur des machines distantes et accessibles par réseau.
L'avantage majeur de l'utilisation de bases de données
est la possibilité de permettre au plusieurs utilisateurs
d'accèdent simultanément à la base de données.
3. SYSTEME DE GESTION
Pour carrez, un SGBD est un logiciel général qui
permet à l'utilisateur (qu'il soit programmeur ou utilisateur exploitant
un logiciel pour ses besoins propres ou de l'entreprise) de manipuler les
données sans tenir compte de la manière dont l'ordinateur le voit.
46
Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs,
le besoin d'un système de gestion s'est vite fait ressentir. La gestion
de la base de données se fait grâce à un système
appelé SGBD (système de gestion de bases de
données) ou en anglais DBMS (Data base management system). Le SGBD est
un ensemble de services (applications logicielles) permettant de gérer
les bases de données, c'est-à-dire Permettre l'accès aux
données de façon simple, Autoriser un accès aux
informations à de multiples utilisateurs, Manipuler les données
présentes dans la base de données (insertion, suppression,
modification). Le SGBD peut se décomposer en trois sous-systèmes
: Le système de gestion de fichiers : il permet le stockage des
informations sur un support physique, Le SGBD interne : il gère
l'ordonnancement des informations le SGBD externe : il représente
l'interface avec l'utilisateur. Auparavant, les données des applications
étaient organisées dans les fichiers ; en d'autres
termes, la gestion de données et de traitement présentent
certaines conséquences avec la méthode classique. Telles que :
11. La redondance.
12. La dépendance entre les données et
programmes.
13. Le manque de normalisation au niveau de stockage.
Vu tous ces méfaits précisés, il nous
faut une organisation de ces données permettant leur mise en
commun. Les partages entre plusieurs utilisateurs et applications a
été permis avec cette approche dite « base
de données ».
Une base de données est l'ensemble
structuré de données archivées dans une
mémoire accessible à l'ordinateur pour satisfaire un ou
plusieurs utilisateurs simultanément en temps opportun et doit
répondre aux trois critères suivants :
14. L'exhaustivité : implique la présence
dans la base de données de tous les enregistrements qui ont trait
aux applications en question ;
15. La non redondance : décrit une et une seule
fois la présence de chaque donnée sur un support
magnétique ;
16. La structuration : implique l'adaptation du mode de
stockage des enregistrements aux traitements qui seront exploités et mis
à jour, ainsi jusqu'au coût de stockage dans l'ordinateur.
La programmation tient
à la fois de l'art et de la technique, elle peut -être facile
ou complexe ; pour le néophyte, la programmation relève
souvent de la magie :
47
II.1. CHOIX DU
LANGAGE DE PROGRAMMATION
Pour la compilation de notre application, nous rappelons que
notre choix est porté sur le langage de programmation Visual basic
for Application(VBA) intégré dans Microsoft Access, car avec
celui-ci nous pouvons aussi créer des applications complètes.
A.AVANTAGES :
L'apprentissage de VBA représente donc un très
bon investissement car, si vous n'utilisez, pour exemple, que Word et Excel,
vous pourrez très facilement apprendre la programmation Access
étant donné que le langage est rigoureusement le même.
Le fait qu'office propose un même langage pour toutes ses applications
est réellement un avantages déterminant et nous pensons qu'il va
inciter plus d'un utilisateur à se lancer dans l'aventure de
l'apprentissage de la programmation VBA.
48
II.2. CHOIX DE LA
METHODE DE PROGRAMMATION
La réalisation de la base de données nous
amène à recourir à notre SGBD choisi
à l'occurrence Microsoft Office Access qui met à la
disposition des utilisateurs toute sa puissance d'organisation, de recherche et
de présentation des informations.
1. Création de la base de
données
Figure : n°5
2. CREATION DES
TABLES
3. CREATION DE
REQUETE
4. CREATION DE L'ETAT EN SORTIE
6.
PRESENTATION DE L'ETAT EN SORTIE
7. CODIFICATION : Pour la codification, hormis les codes
sources de l'état en sortie, consultation et connexion nous allons
présenter que les codes sources de l'interface père
et de l'interface de jointure.
1. INTERFACE CLIENT
A.BOUTON ENREGISTRER
Private Sub CMDENREGISTRER_Click ()
Set MBULU = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)
Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)
B.Index = "numcl"
B.Seek "=", NUMCL
Dim D As String
D = MsgBox("Voulez-vous enregistrer?", vbQuestion + vbYesNo,
"Confirmer")
If B.NoMatch Then
B.AddNew
B.Fields("numcl") = NUMCL
B.Fields("codnat") = CODNAT
B.Fields("nomcl") = NOMCL
B.Fields("typcl") = typcl
B.Fields("pstcl") = PSTCL
B.Fields("adrcl") = ADRCL
B.Fields("sexcl") = SEXCL
B.Fields("telcl") = TELCL
B.Update
NUMCL = ""
CODNAT = ""
NOMCL = ""
typcl = ""
PSTCL = ""
ADRCL = ""
SEXCL = ""
TELCL = ""
NUMCL.SetFocus
MsgBox "Enregistrement avec succès", vbExclamation
Else
NUMCL = ""
CODNAT = ""
NOMCL = ""
typcl = ""
PSTCL = ""
ADRCL = ""
SEXCL = ""
TELCL = ""
NUMCL.SetFocus
MsgBox "Enregistrement existant déjà",
vbInformation
NUMCL.SetFocus
End If
End Sub
B.BOUTON EFFACER
Private Sub CMDEFFACER_Click ()
NUMCL = ""
CODNAT = ""
NOMCL = ""
typcl = ""
PSTCL = ""
ADRCL = ""
SEXCL = ""
TELCL = ""
NUMCL.SetFocus
End Sub
C.BOUTON MODIFIER
Private Sub CMDMODIFIER_Click()
Set MBULU = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)
Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)
B.Index = "numcl"
B.Seek "=", numcl
Dim D As String
D = MsgBox("voulez-vous Modifier?", vbQuestion + vbYesNo,
confirmation")
If D = vbYes Then
B.Edit
B.Fields("numcl") = numcl
B.Fields("codnat") = codnat
B.Fields("nomcl") = NOMCL
B.Fields("typcl") = typcl
B.Fields("pstcl") = PSTCL
B.Fields("adrcl") = ADRCL
B.Fields("sexcl") = SEXCL
B.Fields("telcl") = TELCL
B.Update
MsgBox "Modification avec succès", vbExclamation
NUMCL = ""
CODNAT = ""
NOMCL = ""
typcl = ""
PSTCL = ""
ADRCL = ""
SEXCL = ""
TELCL = ""
NUMCL.SetFocus
ElseIf D = vbNo Then
NUMCL.SetFocus
End If
End Sub
D. BOUTON RECHERCHER
Private Sub CMDRECHERCHER_Click()
Set MBULU= DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)
Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)
B.Index = "numcl"
B.Seek "=", NUMCL
If B.NoMatch Then
MsgBox "Enregistrement inexistant", vbInformation
NUMAS.SetFocus
Else
NUMCL = B.Fields("numcl")
CODNAT = B.Fields("codnat")
NOMCL = B.Fields("nomcl")
typcl = B.Fields("typcl")
PSTCL = B.Fields("pstcl")
typcl = B.Fields("typcl")
ADRCL = B.Fields("adrcl")
SEXCL = B.Fields("sexcl")
TELCL = B.Fields("telcl")
End If
End Sub
E. BOUTON SUPPRIMER
Private Sub CMDSUPPRIMER_Click()
Set MBULU = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)
Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)
B.Index = "numcl"
B.Seek "=", NUMCL
Dim D As String
D = MsgBox("voulez-vous supprimer?", vbQuestion + vbYesNo,
"confirmation")
If D = vbYes Then
B.Delete
NUMCL = ""
CODNAT = ""
NOMCL = ""
typcl = ""
PSTCL = ""
ADRCL = ""
SEXCL = ""
TELCL = ""
NUMCL.SetFocus
MsgBox "Suppression avec succès", vbInformation
ElseIf D = vbNo Then
NUMCL.SetFocus
End If
End Sub
F.BOUTON QUITTER
Private Sub CMDQUITTER_Click()
DoCmd.Close
End Sub
Private Sub Commande11_Click()
DoCmd.OpenForm "FCLIENT"
End Sub
2. INTERFACE ENREGISTRER
A.BOUTON ENREGISTRER
Private Sub Cmdenregistrer_Click()
Set mbulu = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)
Set gabriel = mbulu.OpenRecordset("Acheter", DB_OPEN_TABLE)
Dim s As String
s = MsgBox("Voulez-vous enregistrer ?", vbQuestion + vbYesNo,
"Confirmation")
If s = vbYes Then
cpa.AddNew
cpa.Fields("coddoc") = coddoc
cpa.Fields("matrag") = matrag
cpa.Fields("datenr") = datenr
cpa.Update
coddoc = ""
matrag = ""
datenr = ""
MsgBox "Enregistrement avec succès", vbExclamation, "G3
INFO JOUR"
coddoc.SetFocus
ElseIf s = vbNo Then
coddoc.SetFocus
End If
End Sub
B.bouton effacer
Private Sub CmdEffacer_Click()
coddoc = ""
matrag = ""
datenr = ""
coddoc.SetFocus
End Sub
C.BOUTON QUITTER
Private Sub CmdQuitter_Click()
DoCmd.Close
End Sub
D.CODES SOURCES CONSULTATION
Private Sub Commande47_Click()
DoCmd.OpenForm "consultationclient"
End Sub
E.CODES SOURCES DE L'INTERFACE CONNEXION
Private Sub CMDCONNEXION_Click()
If NU = UCase("PACIFICTRADING") And MP = "2013" Then
MsgBox "BIENVENUE DANS L'APPLICATION", vbOKOnly
DoCmd.Close
DoCmd.OpenForm "menu principal"
MsgBox "PACIFICTRADING"
Else
NU = ""
MP = ""
NU.SetFocus
End If
End Sub
F. QUITTER
Private Sub CMDDECONNEXION_Click()
DoCmd.Close
End Sub
G.CODES SOURCES DE L'APPEL DE L'ETAT SORTIE LISTE
DES CLIENTS PREFINANCES
Private Sub Option56_Click()
DoCmd.OpenReport "LISTE DE CL PREFN", acViewNormal
End Sub
Private Sub Commande44_Click()
DoCmd.OpenReport "liste de cl prefn", acViewReport
End Sub
CONCLUSION
Vaut mieux la fin d'une chose que son commencement, le
présent travail est basé sur l'efficacité et
l'efficience qu'apporte l'épanouissement informatique dans la gestion de
n'importe quel système. Notre thème de recherche
s'intitule « Mise en oeuvre d'un système informatisé
pour le suivi de paiement de préfinancement dans une agence en douane
« Cas de Pacific Trading agence de Matadi.
Pour réaliser ce travail nous sommes partis de
l'étude préalable qui a fait l'objet de notre première
partie dont l'objectif s'est inscrit à présenter le cadre de
l'étude en vue de faire ressortir les points forts et faibles y
relatifs.
Les failles découvertes dans la première partie
nous ont donné opportunité de choisir la solution informatique
comme la plus meilleure. La deuxième partie quant à elle, a
porté sur la conception d'un système d'information qui se
subdivise en deux phases. La première phase parle de la conception
du système d'information organisationnelle (SIO) et comprend en son sein
deux chapitres : Etape conceptuelle et Etape organisationnelle. La seconde
est basée sur la conception du système d'information
informatisé (SII) qui comprend aussi deux chapitres : Etape logique
et Etape physique. La troisième partie parle de la
réalisation et l'exploitation de la base de données qui comprend
aussi deux chapitres : l'implantation de la base de données et La
« programmation » au cours de laquelle, nous avons
conçu notre programme qui a abouti à la
concrétisation de notre projet en prenant en compte les besoins des
utilisateurs. La réalisation de ce programme a été rendue
possible grâce a l'utilisation d'un système de gestion de base de
données ACCESS version 2007 et sa codification en Visual Basic for
Application (VBA).
Nous affirmons avoir atteint notre objectif, celui d'aider les
dirigeant de Pacific Trading /Matadi de faire confiance à notre
Projet pour la bonne prise des décisions en temps opportun.
Etant donné que la science informatique est en
plein essor, nous demeurons ouvert aux critiques, aux ajouts des uns et des
autres pour améliorer le dit travail et sollicitons l'indulgence des
lecteurs pour les imperfections entachées à toute oeuvre
humaine.
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES
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Paris, éd, 2006, P.32.
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outils, afnor, 1994, P.351.
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Paris, 1975, P.25.
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25. REIX R., l'analyse en informatique de gestion,
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26. VIRGA&MESTER, J-P., le nouveau dictionnaire de
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27. YVES, T., de l'autre coté de merise,
éd, d'organisation, Paris 1986, P.125.
B. NOTES DE COURS
A. KINKELA J -k., Notes de cours méthodes de
recherche en science sociales L1, science sociales unikin, 2012-2013.
B. NDEBALONGI R., Notes de cours de méthode d'analyse
informatique G3 Gestion Informatiques ISC-Matadi 2012-2013.
C. MBIKAYI J -M., notes de cours de méthode d'analyse
informatique G3 Gestion Informatique ISC-Matadi 2011-2012.
C. WEBOGRAPHIES
III.www.commentçamarche.net
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE
DEDICACE
AVANT
PROPOS
1. ABREVIATION ET SIGLES
UTILISES................................................................................................
2. LISTE DES SYMBOLES
UTILISES......................................................................................................
3. LISTE DES TABLEAUX ET LES FIGURES
UTILISES ........................................................................
0.
INTRODUCTION.................................................................................................................................
0.1. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE..............................................................................................
0.2.
HYPOTHESE....................................................................................................................................
0.3. CHOIX ET INTERET DU
SUJET......................................................................................................
0.2.1 .CHOIX DU
SUJET.........................................................................................................................
0.3.2. INTERET DU
SUJET.....................................................................................................................
0.4. DELIMITATION DU
SUJET.............................................................................................................
0.5. METHODES ET TECHNIQUES
UTILISEES....................................................................................
0.5.1.
METHODES........................................................................................................................
.........
0.5.2.
TECHNIQUES................................................................................................................................
0.5 .DIFFICULTES
RENCONTREES.......................................................................................................
0.6. DIVISION DU
TRAVAIL..................................................................................................................
PREMIERE PARTIE : ETUDE
PREALABLE..........................................................................................
Chapitre premier : PRESENTATION DE L'AGENCE PACIFIC TRADING
S.P.R.L......................................
I.1. HISTORIQUE DE
L'AGENCE...........................................................................................................
1.1.2. SITUATION
GEOGRAPHIQUE....................................................................................................
I.1.3.FORME
JURIDIQUE.......................................................................................................................
I.1.4
.MISSION.........................................................................................................................................
I.1.5.
FONCTIONNEMENT....................................................................................................................
I.2. PRESENTATION DE L'AGENCE DE
MATADI................................................................................
I.2.1 .SITUATION
GEOGRAPHIQUE.....................................................................................................
I.3.STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ET
FONCTIONNELLE........................................................
I.3.1.Organigramme de l'agence de
Matadi........................................................................................
I.3.2
.FONCTIONNEMENT....................................................................................................................
I.3. PRESENTATION DE SERVICE DE
COMPTABILITE......................................................................
I.3.1
.ORGANIGRAMME........................................................................................................................
I.3.2 .STRUCTURE
ORGANISATIONNELLE.........................................................................................
I.3.2.1 .CHEF
COMPTABLE...................................................................................................................
I.3.2.2.
COMPTABLE.............................................................................................................................
I.3.2.3
.CAISSIER...................................................................................................................................
I.4. DESCRIPTION DES POSTES DE
TRAVAIL....................................................................................
Chapitre deuxième : ANALYSE DE
L'EXISTAT................................................................................
II.1. ETUDE DES
DOCUMENTS.........................................................................................................
2. INVENTAIRE DES
DOCUMENTS......................................................................................................
II.3 .DESCRIPTION DES
DOCUMENTS.................................................................................................
II.3. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES
INFORMATIONS.................................................
II.3 .1.LES MOYENS
HUMAINS.............................................................................................................
II.3.2.LES MOYENS
MATERIELS..........................................................................................................
II.3.3. LES MOYENS
FINANCIERS........................................................................................................
II.3.4. LE MODELE DE CONCEPTUEL DE LA
COMMUNICATION(MCC)............................................
II.3.5. LE DIAGRAMME DE
FLUX.............................................................................................................
II.3.5.1 LE DIAGRAMME OU GRAPHE DE
FLUX..................................................................................
1. PRESENTATION DU GRAPHE DE
FLUX...........................................................................................
II. 3. 5. 2. DIAGRAMME DE
CONTEXTE...............................................................................................
2. PRESENTATION DE DIAGRAMME DE
CONTEXTE......................................................................
II .3. 6. LA MATRICE DE
FLUX.............................................................................................................
3. PRESENTATION DE LA MATRICE DE
FLUX...................................................................................
II .4. ETUDE DE FLUX
D'INFORMATION.............................................................................................
II .4.1. DISCOURS SUR LE DEROULEMENT DES ACTIVITES DES DOMAINES
ETUDIE....................
II .4 .3 SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATION...................................................................
II. 4.5 COMMENTAIRES DU SCHEMA DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS..............................
II .5 CRITIQUE DE
L'EXISTANT........................................................................................................
...
II.5.1 CRITIQUE SUR LES MOYENS
HUMAINS....................................................................................
II.5.2 CRITIQUE SUR DES MOYENS
MATERIELS...........................................
.....................................
II.5.3 CRITIQUE SUR LES MOYENS
FINANCIERS...............................................................................
II. 6 PROPOSITION DES
SOLUTIONS.................................................................................................
II.6.1 .SOLUTION
MANUELLE..............................................................................................................
II.6.1.1.
AVANTAGES.............................................................................................................................
II.6.1.2.
INCONVENIENTS.......................................................................................................................
II.6.2. SOLUTION
INFORMATIQUE......................................................................................................
II.6.2.1
.AVANTAGES............................................................................................................................
II.6.2.2.
DESAVANTAGE.......................................................................................................................
II.6.3. CHOIX DE LA MEILLEURE
SOLUTION.....................................................................................
DEUXIEME PARTIE : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
FUTUR..................................
PHASE I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
ORGANISATIONNEL(S.I.O)....................
Chapitre Première : ETAPE
CONCEPTUELLE....................................................................................
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