CONCLUSION
Dans ce chapitre le plus long de cette étude, il a
été question de faire un état de lieu de la presse au
Congo depuis le temps de l'indépendance jusqu'à nos jours. Ce
choix se justifie, par le fait que nous ne pourrions pas arriver à
parler d'une critique de l'opérationnalité concrète du
journalisme de paix en RDC, sans connaitre comment cette presse a-t-elle
évolué car tous qui se fait aujourd'hui est le fruit de
l'héritage du traitement de cette presse qualifiée des presse de
révolution avec le MPR et c'est à travers l'analyse du paysage
que nous avons à nous rendre compte de la véracité des
concepts tels que : l'indépendance, la liberté de la presse.
L'applicabilité concrète de ces concepts tant parlés dans
les différentes rédactions ne peut engendrer que la
vérité du journaliste et l'impartialité
Il est vrai qu'actuellement des mutations sérieuses
doivent être signalées. Néanmoins, nous devons signaler le
faible niveau de la formation dans les filières de formation
journalistique du pays. L'information est une chose sérieuse pour la
laisser pratiquer à n'importe qui. La société
démocratique que notre pays cherche à construire, exige du
journaliste une formation de haut niveau, telle est la garantie même de
l'exercice de la conquête de la liberté de la presse
L'inventaire des différentes émissions
sélectionnées en rapport avec les programmes que nous avons
choisi pour analyse l'opérationnalité du journalisme pour la
paix, nous ont édifiés à juste titre. Car le travail du
journaliste congolais ne nous inspire pas une responsabilité sociale
personnelle de la part de tout un chacun. Moins encore l'engagement personnel
en faveur d'une promotion de la paix.
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