Conclusion de la 1ère partie
Après le tour d'horizon de l'évolution de la
finance directe, à travers le monde, et la tendance de plus en plus vers
la désintermédiation financière que nous avons
traité au cours du 1er chapitre et la répercussion de cette
évolution sur notre marché financier déjà
marginalisé dans les politiques financière du Maroc.
Il apparaît aujourd'hui plus que jamais que la bourse des
valeurs et un outil fondamental de financement de l'économie national,
vu l'évolution timide de la place casablancaise qui n'a manifesté
son dynamisme qu'au lendemain des opérations de privatisation et aux
importantes réformes boursières du 21 septembre en 1993.
On présentera dans la 2ème partie les grands axes
de cette importance réforme qui porte essentiellement sur l'organisation
et la gestion de la bourse, le contrôle de l'institution qui
désormais confie à un C.D.V.M ainsi que les O.P.C.V.M qui sont
des instruments de gestion collective de portefeuille.
|