Impact de la filiere textile coton camerounaise sur le développement socio-économique national: Bilan et perspectives( Télécharger le fichier original )par Raphaël Athanase Elisée Hamadjam Institut sous-regional multisectoriel de technologie appliquée de planification et d'évaluation de projets - DESS Analyse et Evaluation des Projets 2004 |
V.3. Hypothèses sur les valeurs ajoutéesLes taux de valeurs ajoutées33(*) pour chaque composante de la filière permettent d'estimer cet aspect. V.3.1. Culture du cotonPour la branche culture du coton, la valeur ajoutée a représenté entre 69% et 82% des ventes de coton graines au cours de la période 1992-2003. Au cours des cinq dernières années, ce taux s'est presque stabilisé au tour de 70%, taux considéré dans nos projections. V.3.2. SODECOTONPour le cas de la SODECOTON, nous avons noté au chapitre 2 qu'en 1998, le chiffre d'affaires de 84 718 millions de FCFA, correspondait à une valeur ajoutée de 30 439,1 millions de FCFA. Il en ressort que le taux de valeur ajoutée pour cette année est de 35,93%, taux pris en compte pour l'analyse prospective. V.3.3. Industrie de filature, tissage et ennoblissementDans la période 1998-2003, la valeur ajoutée de la CICAM a représentée entre 21,5% et 29,3% de la production de l'entreprise, avec une tendance à la hausse. Nous prendrons comme hypothèse le taux de 25,45% qui représente la moyenne sur cette période. * 33 Le taux de valeur ajoutée représente le rapport entre la valeur ajoutée et la production. |
|