ANNEXE C: LES CARACTERISTIQUES ESSENTIELLES DES OUTILS
DE LA
RECHERCHE
|
Questionnaire
|
Guide d'entretien
|
Objectifs
|
Le questionnaire élaboré vise à
confirmer ou infirmer les hypothèses d'études ; et
a les buts suivants :
- Evaluer la compréhension des intermédiaires
locaux quant au mode d'utilisation des financements ;
- Recenser les expériences des
organisations composant
l'échantillon sur l'utilisation des financements ;
- Identifier les principaux facteurs de
risques reliés à l'utilisation
des financements;
- Evaluer le niveau de compréhension
des organisations composant
l'échantillon sur les notions de risque et de gestion
des risques.
|
Le guide d'entretien élaboré a pour objectif
principal de confirmer ou infirmer les hypothèses d'études. Il
doit permettre : d'identifier les
modes de financements des fournisseurs locaux par les
sociétés
exportatrices ; d'évaluer leur compréhension
des termes risques et gestion des risques ainsi que leur intérêts
(enjeux).
|
Validation
|
le questionnaire a été élaboré et
validé suites à des avis favorables de dix (10) dirigeants de
coopératives à qui nous
avons expliqué les finalités et les
objectifs poursuivis à travers ce
questionnaire : la préparation du diplôme de
MBA en Finance de l'ESG PARIS.
|
Le guide d'entretien a été élaboré
et validé suite aux avis favorables de
trois (03) personnes, cadres et
experts, ayant exercés durant de nombreuses
années au sein de la filière à des postes de
responsabilités dans des sociétés exportatrices ; et au
sein d'organismes représentants les intérêts de ces
derniers.
|
Contenu (questions)
|
Le questionnaire élaboré est constitué
de
huit (08) questions ; dont trois (03) questions
fermées et cinq (05) questions
|
Le guide d'entretien élaboré est d'un style
directif. Il comporte douze (12)
questions se rapportant toutes au
|
131
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
|
ouvertes pour recueillir plus
d'informations. Ainsi, la structure du questionnaire peut se
résumer en deux (02) parties :
|
thème principal de notre étude. Il est
structuré en deux parties : A/ Le préambule
B/ Les questions qui ont été
|
|
A/ Informations sur l'organisation :
|
regroupées en deux rubriques :
|
|
sigle/code ; identification et fonction de
|
1. Modes d'approvisionnement et
|
|
la personne rencontrée ;
|
typologie des financements
|
|
B/ Questions : les questions posées ont portées
sur les deux thèmes centraux de notre étude : l'utilisation
réelle (utilité) des financements de campagnes et les notions de
risques et de gestion des risques telles que appréhendées par
les
sociétés coopératives et les
traitants locaux.
|
2. La gestion des risques
|
|
La phase de
|
Les enquêtes se sont bien déroulées
|
Toutes les personnes interrogées
|
la collecte
|
auprès de notre échantillon. Les
|
dans l'échantillon des sociétés
|
des données
|
difficultés ont portées sur la
|
exportatrices ont souhaités que les
|
|
disponibilité des personnes ressources,
le temps mis par certains pour
|
entretiens se fassent sans toutefois être
nommément citées dans l'étude.
|
|
renseigner correctement le
|
Tout au plus des mentions relatives
|
|
questionnaire ; et la compréhension des
|
aux organisations auxquelles elles
|
|
notions de risques et gestion des risques.
|
appartiennent pourraient être faites.
|
|
Notre échantillon a été constitué
auprès
|
La plupart des échanges se sont bien
|
|
des organisations exclusivement de
|
déroulés. Toutes les questions au
|
|
l'ouest. Il se compose de quarante
|
guide d'entretien ont été abordées.
|
|
directeurs ou gérants de sociétés
|
Notre échantillon est composé de dix
|
|
coopératives et de traitants ayant une
|
personnes ressources, exerçant ou
|
|
expérience de plus de trois (03) ans au
|
ayant exercé à des postes de
|
|
sein de leurs organisations. Ils sont
|
responsabilités dans des sociétés
|
|
répartis dans les différentes localités
des
|
exportatrices ou des organismes
|
|
régions centre-ouest et ouest : Daloa, Duekoué,
Issia, Man, Bonon, Taï.
|
représentants leurs intérêts.
Nos principales difficultés se sont
|
132
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
Toutefois la taille de notre échantillon demeure
insuffisant par rapport à l'ensemble de la population cible
réparties sur le territoire ivoirien. Il existe environ trois milles
sociétés coopératives de café - cacao et de
traitants déclarés en Côte d'ivoire dont plus du tiers
n'exercent pas effectivement.
posées tant au niveau des critères de choix des
personnes ressources et des
organisations auxquelles elles appartiennent que de la
disponibilité de ces derniers.
|
Source : Elaboré dans le
cadre de cette étude
133
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« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
ANNEXE D: DEPOUILLEMENT DU
QUESTIONNAIRE (partie A)
Types de financements
|
Sociétés coopératives :
25
|
Traitants : 15
|
Mandat
|
Quinze coopératives sur vingt-cinq
(15/25) ont bénéficié d'un mandat au
moins une fois au cours des deux dernières campagnes.
(60%)
Les montants varient entre dix millions
(10.000.000) et quatre-vingt millions (80.000.000) de FCFA.
|
Treize traitants sur quinze (13/15)
ont bénéficié d'un mandat au moins une
fois au cours des deux campagnes antérieurs. (86.67%) Les montants
varient entre quinze
millions (15.000.000) et cent millions (100.000.000) de
FCFA.
|
Révolvings
|
Vingt-trois coopératives sur vingt-cinq (23/25) ont
bénéficié d'un revolving au
moins une fois au cours des deux campagnes
antérieurs. (92%)
Les montants varient entre quinze
millions (15.000.000) et cent millions (100.000.000) de
FCFA.
|
Quinze traitants sur quinze (15/15) ont
bénéficié d'un revolving au moins une fois au cours des
deux campagnes antérieurs. (100%)
Les montants varient entre trente
millions (30.000.000) et deux cents millions (200.000.000)
de FCFA.
|
Source des
financements
|
Vingt-quatre (24) coopératives ont
bénéficié de financements provenant des
sociétés exportatrices : CWA, ADM, SACO, OUTSPAN
et CEMOI. (96%) Une seule coopérative n'a pas
bénéficié
des financements de sources
sociétés exportatrices. Elle a été
financée par un particulier, personne physique. (04%).
|
Quinze traitants sur quinze (15/15)
ont bénéficié de financements
provenant des sociétés exportatrices au cours
des deux dernières campagnes. (100%)
|
134
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« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
ANNEXE E: DEPOUILLEMENT DU
QUESTIONNAIRE (partie B)
Types de
financements
|
Sociétés coopératives :
25
|
Traitants : 15
|
Mandat
|
Trois coopératives sur quinze n'ont pas pu solder les
mandats qui leur ont été octroyés par les
sociétés exportatrices au cours des deux campagnes
antérieures. (20%)
|
Deux traitants sur
treize n'ont pas pu solder les mandats qui leur ont
été octroyés
par les sociétés exportatrices.
(15,4%)
|
Révolvings
|
Dix coopératives sur vingt-quatre n'ont pas pu solder
le dernier revolving qui leur a été octroyé par les
sociétés exportatrices après l'échéance de
fin de campagne principale. (41,66%)
|
Trois traitants sur
quinze n'ont pas pu
solder le dernier révolving qui leur a
été octroyé par les
sociétés exportatrices
après l'échéance de
fin de campagne principale. (20%)
|
Causes (facteurs
de risques)
|
Les différentes causes (facteurs de risques) qui ont
provoqué ces dettes sont de deux ordres : les causes internes et les
causes externes.
Causes internes :
|
Idem
|
- Les taux de prélèvements jugés
élevés par rapport au différentiel (mandat) ;
- Les avances et prêts scolaires à des
producteurs irrécouvrables ;
- Les fonds alloués à certains
délégués de sections dilapidés ;
- L'incapacité de certains
délégués de sections à assurer une bonne gestion
des fonds alloués ;
- L'incompétence du personnel en matière de gestion
;
|
135
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
|
- La mauvaise gestion des financements ;
|
|
|
- L'insuffisance et le mauvais état des
véhicules de collectes;
|
|
|
- La qualité des produits collectés aux mains
des producteurs ;
|
|
|
- L'intensité de la concurrence.
|
|
|
Causes externes :
|
|
|
- L'insécurité dans les zones de forte production
;
|
|
|
- L'état de dégradation avancée des pistes
villageoises ;
|
|
|
- L'inaccessibilité de certaines zones rurales par voie
routière ;
|
|
|
- Le déficit de moyens de communications dans certaines
zones de production.
|
|
Les mesures de
|
Les mesures de précaution couramment utilisées
sont
|
Idem
|
protections
|
les suivantes :
|
|
couramment
|
- Sélection des producteurs crédibles pour les
avances
|
|
utilisées par les
|
et prêts divers ;
|
|
fournisseurs
|
- Suivi régulier des avances et prêts remis aux
délégués
|
|
locaux
|
de sections ;
|
|
|
- Contrôle inopinée des stocks en brousse ;
|
|
|
- Mise en place de procédures de sécurité
discrétionnaires pour convoyer les fonds en brousse ;
|
|
|
- Entretien et renouvellement du parc auto.
|
|
136
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
Modes d'approvisionnement
Toutes les sociétés exportatrices
s'approvisionnent en produits (café-cacao) exclusivement auprès
des sociétés coopératives de base et des traitants
agréés.
Les trois COOPEX de notre échantillon
s'approvisionnent
auprès des
sociétés coopératives de base, des traitants
agréés, des producteurs et des pré-collecteurs.
Typologie des financements
Les deux modes de financement que les exportateurs proposent
à leurs fournisseurs locaux pour collecter les produits en brousse sont
effectivement le Mandat et le Revolving.
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
ANNEXE F: RESUME DES
REPONSES AUX ENTRETIENS (GUIDE D'ENTRETIEN)
A/ Modes
d'approvisionnement et
Typologie des financements.
|
B/ Gestion des risques
|
Les différents types de risques
Les risques énumérés sont les suivants :
- Non-respect du délai de livraison par les
fournisseurs.
- Non recouvrement des financements octroyés :
mandat et revolving.
Les impacts/conséquences des risques
Les impacts de la survenance de ces risques sur les
activités des sociétés exportatrices
interrogées sont
les suivants :
- Ralentissement de la production ;
- Non-respect des délais de livraison aux clients
étrangers ;
- Perte de crédibilité à
l'extérieur;
- Accroissement des charges financières liées
aux
emprunts bancaires ;
- Surendettement ;
- Risque de faillite.
Les mécanismes de protection contre les risques
Les sociétés exportatrices interrogées
affirment gérer les risques dans les financements de
|
137
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
Caractéristiques essentielles du
|
campagne de la manière suivante :
- Cinq sociétés exportatrices sur sept (5/7)
octroient des financements à des fournisseurs sans demander des
garanties ou des cautions. Elles se basent sur le
critère de la confiance pour attribuer
des financements aux fournisseurs. Ce critère renferme
l'historique des livraisons et des relations,
la crédibilité du fournisseur. (environ 71%)
- Deux sociétés exportatrices sur sept
(2/7) demandent des garanties physiques telles que la mutation ou le gage de
véhicule particulier ou de collectes. (environ 29%)
- Toutes les sociétés exportatrices
intègrent la
gestion des risques dans leur stratégie
d'approvisionnement et leur organisation. Elles assurent la
gestion des risques à travers le suivi des activités des
fournisseurs par des commerciaux qui visitent régulièrement les
installations (magasins) de ces derniers pour vérifier l'existence des
stocks physiques ; et veiller à la bonne utilisation des financements.
(100%)
- Sept sociétés exportatrices sur dix
demandent aux fournisseurs de consentir des épargnes de 5 à
10
F/KG pour constituer des cautions de remboursement des
financements. (70%)
Les réactions des sociétés
exportatrices face aux
|
Mandat/Revolving
|
Mandat : c'est un financement octroyé
à certains fournisseurs
(loyaux et crédibles) pour réparer ou
acquérir du matériel
ou des équipements. Il est
remboursable par des prélèvements à
taux fixe (25 à
50 F/KG) sur les livraisons effectuées par les
fournisseurs. La période de remboursement
s'étend du début de la
campagne (septembre ou octobre) à fin
décembre, le plus souvent. Le remboursement est
plus difficile en raison
principalement de la relative
étroitesse de la marge de
fonctionnement des fournisseurs locaux définis par
le Conseil du café-cacao (60 f/KG).
Revolving : c'est un
financement octroyé à certains fournisseurs
(réguliers et à fort
|
différents dénouements des
financements
|
octroyés à des fournisseurs
locaux
|
|
138
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
potentiel) pour collecter plus de volumes de produits en
brousse. Le remboursement s'effectue par la livraison de valeur égale ou
supérieure au montant du financement. La période d'octroi de ce
financement dépend du niveau de la production. Il est plus souvent
octroyé au cours de la campagne principale, et pour certains pendant
l'intermédiaire à des fournisseurs historiques très
crédibles. Les montants sont plus élevés que ceux du
Mandat. Le remboursement est moins contraignant en raison de sa souplesse.
Les garanties et cautions usuelles assorties à ces
financements
Cinq sociétés exportatrices sur sept (5/7),
environ 71% d'entre elles ne demandent ni cautions ni garanties pour financer
ces fournisseurs et se basent sur l'historique des livraisons, la
Les réactions couramment adoptées par les
sociétés exportatrices suite au dénouement d'une
opération de financement d'un fournisseur local sont les suivantes :
- Respect du délai de livraison mais
remboursement partiel des financements (révolvings) : lorsque
la valeur marchande de la livraison effectuée ne permet pas de
rembourser la totalité du financement octroyé (révolving),
la plupart des sociétés exportatrices (60%) ne renouvellent pas
le financement (révolving) tandis que certaines (40%) renouvellent le
financement si toutefois le solde restant est relativement infime et peut
être couvert par son épargne.
- Non - respect du délai de livraison par
le fournisseur : lorsque le fournisseur n'effectue pas la livraison
à l'expiration du terme convenu et les jours suivants jusqu'à une
durée jugée critique, toutes les sociétés
exportatrices optent pour divers moyens de pressions pour obtenir la livraison
des produits ou le remboursement des fonds octroyés.
Ces pressions peuvent être menaces de
dépôts de plaintes ; ou le dépôt de plainte à
la gendarmerie et au commissariat du lieu d'implantation du fournisseur
défaillant à l'échéance du contrat pour obtenir le
remboursement des fonds octroyés.
- Insolvabilité du fournisseur qui est incapable
de rembourser le financement (mandat ou révolvings)
:
139
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
crédibilité et la confiance. Deux
sociétés exportatrices (2/7), environ 29%, demandent des
garanties : gages de véhicules de collectes ou de transferts.
Les sociétés coopératives exportatrices
ne demandent pas de garanties ou de cautions pour les financements
octroyés à leurs représentants.
|
lorsqu'il est fait état de l'incapacité du
fournisseur à solder le financement, les sociétés
exportatrices réagissent différemment en fonction des liens avec
le fournisseur. La plupart constitue des provisions pour pertes ; et reporte le
remboursement de la créance sur la prochaine période de
commercialisation.
- Le ratio moyen des créances
irrécouvrables des sociétés exportatrices
interrogées : Ce ratio moyen est de 0, 015%
à 2,3% de l'enveloppe des financements octroyés sur
une campagne principale.
|
140
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
ANNEXE G : LA
CLASSIFICATION DES CRITERES DE SELECTIONS DES FOURNISSEURS ET LEUR DEGRE
D'IMPORTANCE SELON DICKSON.G (1966) ET WEBER ET AL. (1991)
Critères de sélections
fournisseurs
|
des
|
Degré d'importance selon Dickson
(1966)
|
Degré d'importance selon Weber et Al.
(1991)
|
Qualité
|
|
1
|
3
|
Livraison
|
|
2
|
2
|
Performance passée
|
|
3
|
9
|
Politique de garantie
|
|
4
|
14
|
Capacité de production
|
|
5
|
4
|
Prix
|
|
6
|
1
|
Capacité technique
|
|
7
|
6
|
Situation financière
|
|
8
|
9
|
Conformité des processus
|
|
9
|
12
|
Système de communication
|
|
10
|
12
|
Réputation et position
l'industrie
|
dans
|
11
|
8
|
Désir de faire des affaires
|
|
12
|
13
|
Gestion et organisation
|
|
13
|
7
|
Contrôle des opérations
|
|
14
|
11
|
Services de réparation
|
|
15
|
9
|
Attitude
|
|
16
|
10
|
Impression
|
|
17
|
12
|
Habilité d'emballage
|
|
18
|
11
|
Relations sociales
|
|
19
|
12
|
Localisation géographique
|
|
20
|
5
|
Volume des achats dans le passé
|
|
21
|
13
|
Formation et support
|
|
22
|
12
|
141
ESG de Paris Mémoire de MBA FINANCE DJE STEVE
« Étude et Analyse des risques encourus
par les Exportateurs/Usiniers dans le financement de la commercialisation
intérieure du café-cacao en Côte d'Ivoire
»
Réciprocité de la relation
|
23
|
12
|
ANNEXE H : LISTE DE QUELQUES
PERSONNES INTERROGEES AU COURS DES ENQUETES
Noms et Prénoms
|
Fonctions
|
Organisations
|
Contacts
|
YAMEOGO ABEL
|
PCA
|
CAREVA
|
07 81 78 66
|
KOUAKOU THOMAS
|
Directeur Général
|
UIRECGO
|
07 65 60 97
|
SAWADOGO SIBIRI
|
Traitant
|
Traitant
|
65 10 13 12
|
HOUPHOUET K. NOEL
|
Directeur
|
COOPATD
|
09 04 90 02
|
N'GUESSAN K. JOEL
|
Directeur
|
ECOOPAD
|
08 52 68 56
|
CISSE EL ADJI
|
Directeur
|
CASAHS
|
04 17 75 61
|
SYLLA MOUSSA
|
PCA
|
CABHS
|
07 44 56 75
|
COULIBALY ABDOULAYE
|
Traitant
|
Traitant
|
55 46 67 27
|
KOUAME ALAIN
|
Directeur Administratif et Financier
|
RAZCOM
|
07 00 25 40
|
N'DIAYE. A
|
Directeur Général
|
RAZCOM
|
07 07 20 57
|
KOSSONOU ALPHONSE
|
Directeur Général Cadre supérieure
|
COMKA
ADM COCOA SIFCA
|
08 08 95 04
|
KRA
|
Directeur Général
|
COOPEX COOPAYA
|
Non disponible
|
Mme EHUIMA
|
Secrétaire Générale
|
UNOCC
|
Non disponible
|
Mr COULIBALY
|
Gestionnaire clientèle
café-cacao
|
BACI
|
Non disponible
|
DAGO FULBERT
|
Directeur General
|
CAKD
|
48 96 48 51
|
ABOULE JACQUES
|
Président du directoire
|
UCOOPEXCI
|
07 80 02 16
|
142
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»
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