Annexe 2 : Fiche de comptage du trafic
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Type de véhicule
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Totaux
cumulés en nombre de véhicule
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Totaux cumulés en UVP
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2 Roues et 3 Roues
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Véhicules légers
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Poids lourd
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Ensemble articulé
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Période
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Vélo
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Moto
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Tricycles
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Taxi Véhicules Minibus
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CamionnettesAutobusAutocar
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Camions
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Remorques
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particuliers
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Sotra
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2 essieux
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6 heures à 7 heures
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7 heures à 8 heures
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8 heures à 9 heures
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9 heures à 10 heures
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10 heures à 11 heures
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11 heures à 12 heures
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12 heures à 13 heures
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13 heures à 14 heures
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14 heures à 15 heures
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15 heures à 16 heures
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16 heures à 17 heures
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17 heures à 18 heures
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18 heures à 19 heures
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19 heures à 20 heures
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20 heures à 21 heures
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Total
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Pourcentage %
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AMELIORATION DE LA FLUIDITE DU TRAFIC ROUTIER A ABOBO :
TRAITEMENT LOCALISE DES ZONES D'ENCOMBREMENT DU TRAFIC ROUTIER
Annexe 3 : Photo de la traversée des
piétons de la voie express
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AMELIORATION DE LA FLUIDITE DU TRAFIC ROUTIER A ABOBO :
TRAITEMENT LOCALISE DES ZONES D'ENCOMBREMENT DU TRAFIC ROUTIER
Annexe 4 : Photo et situation de la nouvelle gare
(SOGEGARE)
AMELIORATION DE LA FLUIDITE DU TRAFIC ROUTIER A ABOBO :
TRAITEMENT LOCALISE DES ZONES D'ENCOMBREMENT DU TRAFIC ROUTIER
Annexe 5 : Profil en travers des nouvelles voies
à réaliser
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AMELIORATION DE LA FLUIDITE DU TRAFIC ROUTIER A ABOBO :
TRAITEMENT LOCALISE DES ZONES D'ENCOMBREMENT DU TRAFIC ROUTIER
Annexe 6 : Voie nationale règles d'emprise et de
classement
Loi n° 83-788 du 02 août 1983
déterminant les règles d'emprise et de classement des voies de
communication et des réseaux divers de l'Etat et des
collectivités territoriales.
Article 1er : Les voies de communication, notamment la voirie,
les voies ferrées, les canaux de navigation, d'une part et les
réseaux divers, notamment les systèmes de distribution d'eau,
d'assainissement et de drainage, les systèmes de distribution
d'électricité et de gaz, les oléoducs et les
réseaux téléphoniques, d'autre part, font partie, selon le
cas, du domaine public de l'Etat, du département, de la ville d'Abidjan
ou de la commune.
Article 2 : L'emprise des voies de communication englobe la
partie carrossable, les voies piétonnes et cyclables, les
bas-côtés, ainsi que tous les ouvrages annexés s'y
rattachant.
L'emprise des réseaux divers englobe les installations
de production, de traitement, de transport et de distribution, ainsi que tous
les ouvrages d'infrastructure et de superstructure s'y rattachant.
Les limites de l'emprise des voies de communication et celles
des réseaux divers, lorsque ceux-ci ne sont pas partie intégrante
de la voirie, sont, pour chaque catégorie, fixées par
décret en conseil des ministres en fonction du classement et, en tant
que de besoin, des nécessités de l'environnement.
Sont déterminées dans les mêmes
conditions, les servitudes éventuelles que ces voies de communication et
réseaux imposent aux tiers.
Article 3 : Les voies de communication et les réseaux
divers sont déclarés d'intérêt national,
départemental ou urbain par décret en conseil des ministres.
Les voies de communication et les réseaux divers non
classés dans l'une ou l'autre des catégories ci-dessus sont
réputés d'intérêt communal.
Dans les limites des communes, sont également
réputées d'intérêt communal, sauf dispositions
contraires du décret de classement, les voies piétonnes longeant
la voirie déclarée d'intérêt national,
départemental ou urbain.
Sans préjudice de l'application des dispositions de
l'alinéa précédent, le classement des voies de
communication et des réseaux divers emporte celui des emprises y
afférentes.
Article 4 : Les voies de communication et les réseaux
divers construits postérieurement à la constitution d'un
département, de la ville d'Abidjan ou d'une commune, sont classés
d'intérêt national, départemental, urbain ou communal
suivant la collectivité dont le budget a assumé la charge de la
construction, compte tenu des subventions accordées. La même
règle s'applique lorsque l'Etat, avec l'assentiment du conseil
intéressé, passe une convention de financement pour le compte
d'un ou plusieurs départements ou communes, ou pour le compte de la
ville d'Abidjan.
Article 5 : Un décret en conseil des ministres
détermine les conditions dans lesquelles sont applicables aux voies de
communication privées ouvertes à la circulation publique les
règlements généraux de police et de voirie, selon le cas,
de l'Etat, du département, de la ville d'Abidjan ou de la commune.
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AMELIORATION DE LA FLUIDITE DU TRAFIC ROUTIER A ABOBO :
TRAITEMENT LOCALISE DES ZONES D'ENCOMBREMENT DU TRAFIC ROUTIER
Il en est de même pour les réseaux divers
privés éventuels raccordés à des réseaux
d'intérêt national, départemental, urbain ou communal, en
ce qui concerne les règlements propres à ces constructions.
Article 6 : Un décret en conseil des ministres peut
déclarer d'intérêt national une voie de communication ou un
réseau faisant partie du domaine départemental, urbain ou
communal, ou inversement.
Toutefois, le déclassement d'une voie de communication
ou d'un réseau d'intérêt national au profit du domaine
départemental, urbain ou communal ne peut se faire qu'avec l'assentiment
du conseil intéressé.
Article 7 : Le conseil général du
département peut transférer une voie de communication ou un
réseau communal au domaine départemental ou inversement.
Toutefois, le déclassement d'une voie de communication
ou d'un réseau départemental au profit du domaine communal ne
peut se faire qu'avec l'assentiment du ou des conseils
intéressés.
Article 8 : Le conseil de la ville d'Abidjan peut
transférer une voie de communication ou un réseau communal au
domaine urbain ou inversement.
Toutefois, le déclassement d'une voie de communication
ou d'un réseau urbain au profit du domaine communal ne peut se faire
qu'avec l'assentiment du ou des conseils intéressés.
Article 9 : La désaffectation d'une voie de
communication ou d'un réseau départemental, urbain ou communal
est décidée par le conseil général du
département, le conseil de la ville d'Abidjan ou le conseil municipal,
après enquête publique. La procédure d'enquête
publique est fixée par décret en conseil des ministres.
La décision du conseil général, du
conseil de la ville d'Abidjan ou du conseil municipal ne devient
exécutoire qu'un mois après sa publication.
Un recours contentieux est ouvert à tout
intéressé avant l'expiration du délai mentionné
ci-dessus. Ce recours est suspensif.
Article 10 : La présente loi abroge toutes dispositions
antérieures contraires, notamment la loi n° 61241 du 2 août
1961 portant statut administratif et financier de la voirie nationale.
Article 11 : La présente loi sera publiée au
Journal Officiel de la République de Côte d'Ivoire et
exécutée comme loi de l'Etat.
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