INTRODUCTION
Dans une société en pleine croissance
économique telle que la société Malagasy qui connaît
depuis quelques années une refonte des fondements de son économie
où le règne des règles du marché incite les
dirigeants des entreprises à réadapter leurs stratégies
selon un environnement en changement constant.
Ici à Madagascar, les éleveurs utilisent souvent
en partie ou complètement des produits chimiques pour rendre leurs
résultats plus efficaces. Par la mise en oeuvre d'un nouveau
procédé technologique où l'acquisition d'un savoir-faire,
nous avons choisi de présenter un mémoire qui a pour titre
« Projet de création d'une entreprise Bio ferme dans la
région Vakinankaratra à Talata Andraikiba ». Notre
projet est dédié à ne pas utilisé les produit
chimique dans notre production afin de permettre un avantage concurrentiel en
proposant des produits de bonne qualité, riche en
élément nutritif avec de prix accessible au plus grand nombre de
consommateurs.
L'objectif général que nous avons poursuivi tout
au long de ce projet a été d'adopter à la production de
nouvelles techniques d'élevage de poules pondeuses et du vaches laitiers
qui nous permettent d'avoir une bonne qualité des oeufs et du laits,
riche en élément nutritif et produite avec le moyenne coût
possible afin de rendre ce produit disponible sur le marché et
accessible à la classe sociale au revenu limitée.
Mais une problématique se pose : ce projet est- il
faisable et rentable ?
L'élaboration de cet ouvrage va essayer de
répondre à cette problématique, ainsi cet ouvrage est
divisé en quatre parties :
- la première partie s'introduire par la
généralité du projet qui explique sur originalité
des idéologies ou l'on établie, ainsi on va parler sur la
description des créations de ces projet
- La deuxième partie explique sur les
faisabilités marketing en exposant sur les études des
marchés et d'une autre part basé sur les actions marketing
- La troisième partie parles sur les plan techniques et
cela on va mettre en des points de vue sur les plannings et gestions de
projet, tandis que d'autre part sur les plans organisationnels et les
fonctionnements.
- La quatrième partie sera donc les plans
financière et budgétaires ; c'est-à-dire, on va
analyser sur les gestions d'investissement, d'une part sur la gestion des
chiffres d'affaires générales.
- Une conclusion terminera ce mémoire
CHAPITRE -I : LIEU
D'EXPLOITATION
La création du projet nécessite à des
grande idées d'initiative et des recherche approfondies sur les types de
projet à constitué; les études et de formation suivis ne
sont pas des sources d'inspiration, des guidages seulement, mais par contre
notre persévérances, ainsi que notre audaces sont les
éléments fondamentales qui nous persuadons de réaliser
notre propre challenges et défis dans les exploitations que on a
mené.
Dans ce premier chapitre quand on parle sur lieu
d'exploitation; c'est toujours notre pays natal qui est dans notre esprit
d'imagination. Madagascar conserve toujours ses aspect
géo-économique ; que ses activité et réseaux
de transport. La grande ile, ensemble des plusieurs point de région
ainsi à des diverses climat et sols qui le composés.
D'une autre perspective, Vakinankaratra est notre principale
lieu de bataille dans cette ouvrage, donc on va mettre notre point de vue des
élevages du lieu.
Pour entamer sur les spécificités du
projet ; on va citer aussi quelques point de vue du Vakinankaratra en
donnant des indice sur les activités et économies du
Vakinankaratra. A la fin de cette première partie on va donner nos
suggestions sur les objectifs et les attentes de ce présent projet
SECTION-I : MADAGASCAR
SOUS-SECTION-I : A PROPOS DE MADAGASCAR
NOM OFFICIELLE
|
Madagascar
|
SUPERFICIE
|
587 041 km2
|
CAPITAL
|
Antananarivo
|
DECOUPAGE GEOGRAPHIQUE
|
22 régions, 119 districts, 1693 communes, 18251
fokontany
|
POPULATION
|
24 millions d'habitants 64% vivent dans des zones rurales et
36% dans des zones urbaines 55,68% sont de 15 à 64 ans
|
LANGUE OFFICIELLE
|
Malagasy, français
|
RELIGIONS
|
Christianisme (41%), Religion traditionnelle (52%), Islam
(7%)
|
CONDITIONS METEOROLOGIQUES
|
mai à octobre : hiver (15 à 26°C dans les
régions côtières et 4 à 20°C au centre)
novembre à avril : été (20 à 37°C dans les
régions côtières et 15 à 30 ° C au centre)
|
FUSEAU HORAIRE
|
EAT (UTC +3)
|
REVENUS ANNUEL PAR HABITANT
|
440 USD (année 2014)
|
INDICE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN
MONNAIE
|
0,510 (année 2014)
|
MONNAIE
|
ARIARY (MGA)
|
CODE TELEPHONE
|
+261
|
251623936Figure N°
1 : carte de Madagascar
SOUS-SECTION-II : L'ACTIVITES ET RESEAUX DE TRANSPORT A
MADAGASCAR
I-ACTIVITES
La pêche est développée et l'île
possède un potentiel pour l'énergie hydraulique.
En 2001, les terres cultivées étaient
estimées à 5,07 %, dont 1,03 % portaient des cultures
permanentes. La culture sur brûlis a fait reculer la forêt à
26 % de la surface de l'île.
La majorité de la population vit de l'agriculture de
subsistance, principalement de la culture du riz et de l'élevage de
zébus. Le secteur industriel est restreint, mais tend à se
développer.
II-RESEAUX DE TRANSPORT
· lignes aéroportées sur les capitales de
région (avions bimoteurs à hélice),
· quelques lignes régulières, de trains
hérités de la présence française, surtout de
Tamatave, premier port de l'île à l'Est, vers la capitale,
Tananarive
· l'interurbain est essentiellement privé, le
taxi-brousse dessert lignes assez irrégulières mais
présentes dans toutes les villes ; les tarifs sont à la
convenance de la négociation et l'heure d'arrivée n'est jamais
garantie, car les routes sont plutôt dégradées et les
arrêts fréquents pour transport de marchandises et clients en
courts trajets
· dans les grandes villes, des dizaines de cyclo-pousse
et pousse-pousse permettent des déplacements sur de courtes distances
SOUS-SECTION-III: LE CLIMAT ET LES SOLS A MADAGASCAR
I-CLIMAT
Le climat est tropical humide le long de la côte Est,
tempéré à l'intérieur des terres et au nord et
aride dans le sud. L'alizé du sud-est généré par
l'anticyclone de l'océan Indien, qui se déplace au gré des
saisons, domine le régime climatique de l'île. Madagascar
connaît deux saisons : une saison chaude et humide de novembre
à avril, puis une saison sèche, plus fraîche, de mai
à octobre. Les climats sont cependant très variés selon
l'altitude et la situation par rapport aux vents dominants. La côte est,
où se trouve Tamatave, exposée directement aux alizés,
reçoit les plus importantes précipitations avec
3 500 mm par année. Les cyclones, provenant des Mascareignes,
y sont fréquents pendant la saison des pluies. Le centre, isolé
de l'alizé par le Massif d'Andringitra, est nettement plus sec et, en
raison de l'altitude, plus frais. Les précipitations à Tananarive
(capitale) atteignent 1 400 mm. Au cours de la saison sèche,
les nuits peuvent être très fraîches mais le gel est
rare ; il est par contre plus fréquent aux altitudes
supérieures. À cette période, le ciel des plaines
entourant la capitale est considéré comme parmi les plus clairs
du monde. La côte ouest (Majunga, Morondava) est encore plus sèche
(tropical sec) car l'alizé y a perdu une grande partie de son
humidité. Le sud-est est encore plus humide que toutes régions
à Madagascar, avec le fleuve de Manambato et le fleuve de Manampatrana
qui sont séparés de l'Océan Indien par une petite
embouchure, lui offre beaucoup de pluie pendant toute l'année. Le sud
est semi-désertique. Tuléar (ville du Sud) ne reçoit que
300 mm de précipitations par année.
II-SOL
Madagascar est parfois surnommé « la grande
île rouge » à cause de ses sols gorgés de
latérite. Les sols rouges sont prépondérants dans les
hauts plateaux du centre. Une bande étroite d'alluvions longe la
côte Est et les embouchures des fleuves. À l'ouest, on trouve un
mélange d'argile, de sable et de calcaire.
· A Madagascar il y a 5 types de sol :
· - Sol ferralitique ou latéritique à
Ankaratra , Itasy, Tampoketsa , Vatomandry, calcaire de Mahajanga
· - Sol ferrugineux à Mahafaly ;
bassin de Morondava, à l'Ouest ; extrême Sud et au plateau
· - Sol hydromorphe à lac Alaotra ,
cuvette d'Andapa , vallée de l'Ouest , plaine de Sakay ,
Tampoketsa , Marovoay , dépression Betsimitatatra
· - Sol volcanique à Antsirabe, Ankaratra
(betafo) , Itasy , montagne d'Ombre (bombaomby) , Androy
· - Sol calcaire à Antsirabe, plateau de
Bemaraha , plateau de Mahafaly
· Les ressources naturelles de Madagascar sont le
graphite, la chromite, le charbon, la bauxite, le sel, le quartz, le sable
bitumineux, le mica ainsi que plusieurs pierres précieuses dont
l'émeraude, le rubis et le saphir et des pierres fines, le calcaire,
granite et latérite. Il y a également la fusion biochimique des
coraux et l'érosion des roches dû aux pluies; ce qui a
formé ainsi les Tsingy. Les Tsingy forment le Kart
SOUS-SECTION IV : SITUATION POLITIQUE ET ECONOMIQUE A
MADAGASCAR
I-POLITIQUE
Les institutions de Madagascar sont définies par la
Constitution de 2010 fondant la Quatrième République.
Madagascar est une république à régime
semi-présidentiel multipartite, où le président est le
chef de l'État élu pour cinq ans, et le premier ministre le chef
du gouvernement. Le pouvoir exécutif est aux mains du gouvernement
tandis que le pouvoir législatif est partagé entre le
gouvernement et les deux chambres du Parlement. Le pouvoir judiciaire est
indépendant des deux premiers.
L'actuel président de la République est Andry
Rajoelina depuis le 19 janvier 2019
II-ECONOMIQUE
L'agriculture fait vivre quatre habitants sur cinq. Madagascar
possède un important cheptel de zébus, qui fournit la principale
viande consommée dans le pays et qui alimente un trafic clandestin.
Madagascar possède une importante biodiversité. La grande
île possède une quantité importante d'or et de saphir ainsi
que des minerais tels que le cobalt ou le pétrole, exploités
illicitement. Fautes de statistiques pertinentes les données sur le
patrimoine naturel de la grande île sont floues.
L'agriculture, essentiellement la riziculture, est la
principale source de revenu des habitants de la Grande île. Environ
80 % des habitants de l'île sont paysans. Mais l'agriculture de
Madagascar reste encore au stade d'agriculture d'autosubsistance, en
dépit des efforts des gouvernements successifs en matière
d'amélioration des techniques de production], d'où le
déséquilibre structurel de l'offre par rapport aux besoins
réels de la population. Madagascar importe du riz asiatique pour combler
le manque.
En 2011, les produits issus de l'agriculture, en particulier
la girofle, la vanille, le cacao, le sucre, le poivre et le café,
comptent parmi les douze plus grosses exportations de Madagascar. Madagascar
produit la deuxième plus grosse récolte de vanille du monde et la
vanille malgache représente le quart du marché mondial
SECTION II- VAKINANKARATRA
SOUS-SEECTION I : DESCRIPTION DE VAKINANKARATRA
I-A PROPOS DU VAKINANKARATRA
La région de Vakinankaratra, avec une superficie de 19
205 km², fait partie des hautes terres de Madagascar et constitue la
partie méridionale de la province d'Antananarivo. Localisée en
plein centre de l'Île Rouge .Les districts de Mandoto, de Betafo, de
Faratsiho, d'Antsirabe II, d'Antsirabe I, d'Antanifotsy et d'Ambatolampy
constituent ses subdivisions, dont le chef-lieu de la région est
Antsirabe I. Il se trouve à 167 km au Sud de la capitale de Madagascar
et se situe dans une cuvette entourée de volcans.
La région Vakinankaratra est connue pour les vertus de
ses eaux thermales (chaudes) et minérales. Elle se distingue
également par la présence de nombreuses collines, de hauts
plateaux et de massifs volcaniques.
Ø Superficie : La
Région Vakinankaratra couvre une superficie de 19 205 km²
(Source :
http://www.instat.mg)
Ø Localisation : La
région se trouve en plein centre de l'île, et
délimitée à l'Est par les régions d'Alaotra-Mangoro
et d'Atsinanana ; à l'Ouest par la région de Menabe ;
au Nord par les régions d'Analamanga, d'Itasy et de Bongolava ; et
au Sud par la région d'Amoron'i Mania
Ø Population : La
population compte 1 852 199 habitants en 2014 (Source :
http://www.instat.mg)
Ø Districts : Ambatolampy,
Antanifotsy, Antsirabe I, Antsirabe II, Betafo et Faratsiho
Ø Nombre de Communes :
86 - Ambatolampy : 18 communes, dont 1 commune urbaine -
Antanifotsy : 12 communes - Antsirabe I : commune
urbaine - Antsirabe II : 20 communes - Betafo :
26 communes - Faratsiho : 9 communes
Ø Principales ethnie :
Merina
Figure
N°2 :Vakinankaratra
251624960
II-ACTIVITES ET ECONOMIE DU VAKINAKARATRA
II-I : ACTIVITES
En 2005, 84.9% de la population travaillait
dans l'agriculture dont 80% dans l'élevage, contre 1.28% dans le secteur
manufacturier et 1.84% dans les services.
v L'agriculture
L'activité agricole est en majeure partie
dominée par les cultures vivrières : le riz, le manioc, le
maïs, la patate douce, le haricot, la carotte, la pomme de terre et les
fruits ; ainsi que des cultures industrielles : orge et tabac.
La morphologie générale de la Région est
caractérisée par une grande potentialité de surface
exploitable telle que les régions volcaniques de l'Ankaratra, ainsi que
les grandes plaines (Ambohibary à Antsirabe) les sols ont, dans
l'ensemble, une grande fertilité.
Les sols de la zone Sud, constitués des régions
volcaniques autour de l'Ankaratra et de Betafo offrent les conditions
agro-climatiques propices à une gamme variée de cultures
20,4% de la superficie totale de la région est
cultivable 50,86 % de cette superficie est effectivement cultivée
v Élevage
Tableau
N°1 : élevage bovins à Vakinankaratra
Cheptel bovin
|
329 401
|
Nombres des vaches laitières
|
18 418
|
TOTAL
|
347 819
|
Source : Recensement communal -
ILO 2001
v Exploitation des ressources
minérales
Trois unités industrielles se sont installées
dans le Firaisana d'Alatsinainy Ibity (Sud d'Antsirabe II) pour l'exploitation
de la calcite, talc, kaolin, dolomie, chaux.
v Le secteur manufacturier
Le secteur industriel du Vakinankaratra se caractérise
par son extrême concentration spatiale. L'ancienneté des contrats
avec les missionnaires, la capacité d'absorption du marché de
consommation de la capitale et une certaine tradition technique à
Antsirabe ont fait d'Antananarivo et de la Ville d'eaux les deux principaux
pôles industriels du pays. En effet, plus de la moitié des
unités industrielles de Madagascar sont concentrées dans ces deux
villes. L'implantation des industries dans le milieu rural est très
faible.
En 2004, le nombre d'entreprises industrielles était
de : 23 508
v Activités agroalimentaires
Les 14 rizeries et 185 décortiqueriez sont les plus
nombreuses avec une plus forte concentration dans la sous-préfecture
d'Antsirabe I. La capacité de production est en moyenne de 1 tonne
/jour, avec 5 employés par unité.
L'agro-industrie est une branche très
fractionnée dans la région du Vakinankaratra, allant des grosses
unités de transformation, telles que la minoterie de la Kobama, les
brasseries, les biscuiteries artisanales. Il en est de même pour les
boulangeries, pâtisseries qui sont répandues partout. .
v La branche textile
Elle est dominée en majorité par la
« Cotonnière d'Antsirabe » qui exerce des effets
d'entraînement dans et hors de la région.
II-II : ECONOMIE DU VAKINAKARATRA
La région du vakinankaratra a une vocation
agro-pastorale. Elle est le deuxième pole industriel de Madagascar
Vakinankaratra est une région a très haut
potentialité et d importantes capacités de production,
Dotée d une richesse naturelle favorable ; Elle est une zone à
vocation agro-pastorale, c'est à dire production agricole et
élevage diversifiés qui permet d alimenter les entreprise de
transformation agro-industriels d'Antsirabe ainsi que le marché dans le
province.la région vakinankaratra est réputée pour la
diversité et prédominance de la production industriels. Le volume
de cette production est l'une des facteurs pour le développement
économique de Madagascar. L'activités agricoles étant
majeurs partie dominée par le culture vivrières : le riz,
carotte, pomme de terre et fruits; ainsi que le culture industrielle orge et
tabac. Mais le plus important c'est l'une des zones productrice du lait a
Madagascar ; triangle laitiers sont a Antsampanimahazo, vinaninkarena et
betafo
Antsirabe, la capitale de la Région, est
considérée comme la 2ème ville industrielle de Madagascar,
après Antananarivo, par la présence entre autres de grandes
industries du Tabac, du Textile/Habillement, de Brasserie, de Minoterie, de
Laiterie et Savonnerie, de Cimenterie. En outre, 7 entreprises franches y sont
installées depuis 15 ans dans divers secteurs (Textile/Habillement,
Agroalimentaire et Bois, etc.).Le bon état des infrastructures
routières permet aux entreprises exportatrices d'acheminer directement
les produits, notamment du Textile/Habillement, vers Toamasina, le principal
port du pays. La proximité avec Antananarivo permet également
à Vakinankaratra d'être le fournisseur en produits
transformés de la capitale. La présence d'une population jeune et
qualifiée offre un vivier de main d'oeuvre facilitant l'implantation des
usines de transformation, mais également d'entreprises fournissant des
services utilisant les TIC (call center, BPO, etc.).
SOUS-SECTION II-CHAMP D'EXPLOITATION
Ø Vakinankaratra est la partie
méridionale de l'Imerina, se trouvant entre le sud du massif
d'Ankaratra, à la hauteur d'Antanifotsy, et la rivière Mania
servant de frontière entre le pays merina et le pays betsileo. Sa
capitale est Antsirabe. La population de la région est estimée en
2004 à environ 1 982 800 habitants, sur une
superficie de 16 599 km²
Ø Antsirabe I est un district urbain
de Madagascar, qui correspond à la ville d'Antsirabe et est situé
dans la partie sud-est de la province d'Antananarivo, dans la région de
Vakinankaratra.
Ø Antsirabe est une ville des hautes
terres de Madagascar, chef-lieu de la région Vakinankaratra, dans le
centre de l'île. C'est la troisième plus grande ville de
Madagascar, avec une aire urbaine estimée en 2014 à 257 163
habitants. Elle est située à 1 500 m d'altitude dans
une cuvette entourée de volcans à 167 km au sud de la
capitale Antananarivo. Elle possède le climat le plus frais de
Madagascar. En hiver, la température peut descendre jusqu'à
0 °C. Antsirabe est surnommée la Vichy malgache à cause
des nombreuses sources d'eau thermale ou minérale encore
exploitées aujourd'hui. La ville est situé près des lacs
Andraikiba et Tritriva, d'origines volcaniques, respectivement à 7 et
17 km d'Antsirabe. Le mont Ibity (2 255 m) est situé
à 30 km au sud de la ville.
Ø Andraikiba situe au 7 km à
l'ouest d'Antsirabe, en prenant un chemin de terre au PK6 de la RN 34.la
pluparts de la population du Talata Andraikiba sont dans les secteurs primaire
tels que agriculteurs, éleveurs, artisan ...
Notre projet s'exécute à l'ouest du lac
Andraikiba dans le village du Talata Ouest, au Sud de l'arrêt bus 11.la
plupart des villageois dans cette partie sont dans le secteur primaire tels que
agriculteurs, éleveurs, artisan,... heureusement, grâce à
la rizière du Marovoalavo certain gens sont des pêcheurs.
Figure N° 3:
champs d'exploitations
Champs d'exploitations
Légende
Source : promoteurs
CHAPITRE-II : PRESENTATION DU
PROJET
Notre projet consiste d'une création d'une entreprise
bio-ferme dont l'objectifs est d'avoir une entreprise de l'élevage des
vache laitiers et du poules pondeuses avec une production du provende
biologique au sein de notre région, la mise en existence de cette
entreprise va répondre a tout les besoins des agriculteurs, des
consommateurs et autres à titre de prestation commerciale au sein d'un
ferme. Il est aussi dans notre domaine de faire évoluer touts le
différent groupement d'élevage professionnels ou amateurs dans
notre région ; qu'il est même temps cette ferme, peut
s'élargir ses domaines d'exploitation dans toutes les régions en
proximités qui envisages de collaborer avec nous pour des prestations
services ou à des investissements bilatérales
Ce deuxième chapitre parlera alors aux
définitions du projet ; et en parlant sur ces définitions,
nous donnons notre point de vue sur le caractéristique
générale du projet et caractéristique de notre projet; Et
ensuite sur l'à propos de notre projet et de leurs biographie ainsi sont
statut juridique et après on va mettre des suggestions sur les objectifs
et attentes dument par ce but, et enfin on va identifier les promoteurs
SECTION-I : DEFINITION DU
PROJET
· 251625984Un projet est un ensemble
d'activités organisées en phases ou étapes et formant
l'unité de gestion permettant la réalisation d'un objectif
défini et précis. Elle est une opération ponctuelle ayant
un début et une fin, nécessitant la mise en oeuvre de
· Caractéristique du projet
ü Un projet répond à un besoin unique et
singulier
ü nécessité d'appropriation du projet par
l'équipe
ü Un projet a un début et une fin
ü Un projet est novateur unique et besoin de
créativité
ü Un projet est complexe, coopération et gestion
d'un grand nombre d'intervenants
L'élevage biologique est une
méthode de production élevage qui exclut le recours à la
plupart des produits chimiques de synthèse. Elle est un système
global de gestion d'élevage qui allie les meilleures pratiques
environnementales, un haut degré de biodiversité, la
préservation des ressources naturelles, l'application de normes
élevées en matière de bien-être animal et une
méthode de production respectant la préférence de certains
consommateurs à l'égard des produits obtenus grâce à
des substances et des procédés naturels. Elle est surtout
un
mode
de re
production
qui n'
utilise
pas
de
produit
chimique
et
s'oppose
à
l'élevage
industrielle. L'élevage biologique se préoccupe de l'impact
environnemental de son activité et de la biodiversité
SECTION-II : A PROPOS DE NOTRE
PROJET
Bio-ferme est une Ferme située
à Talata Andraikiba qui reproduire la vache, de poules pondeuses en
élevage biologique et fabrication de la provende biologique dans le
respect des composantes environnementales et sociales. Nous produisons des
oeufs et du laits sans produits chimique. Plusieurs litres des vaches laitiers
de notre ferme et des poules pondeuses sont proposées
essentiellement sous forme de vente directe à la Ferme (formules
paniers et vente au détail).
Au-delà de la satisfaction de proposer de la nourriture
saine, nous sommes fier d'oeuvrer pour la préservation d'espaces de
biodiversité. Le désir de mieux manger, d'avoir une vie plus
active et de laisser un héritage sain aux prochaines
générations est toutes des raisons qui font en sorte que nous
aimons ce que nous faisons... Nous avons choisi de consacrer notre vie à
l'élevage, aux produits de qualité, aux circuits courts et bien
sûr au bio. Nous vivons en fonction des saisons, nous acceptons ce que la
terre nous donne pour en faire des produits de qualités et ainsi
sublimer au mieux notre terroir
I-Biographie :
Nous allons créer une bio-ferme et production de la
provende biologique pour nos bétails à la région
Vakinankaratra. C'est-à-dire reproduire des vaches laitières et
poule pondeuse à base des aliments biologique. L'élevage
d'animaux pour la production des oeufs, de produits laitiers, est une
activité qui fait partie intégrante de l'élevage
biologique. Les fermes biologiques fournissent aux animaux des conditions de
vie plus respectueuse du bien-être animal que l'agriculture
conventionnelle. L'alimentation des animaux doit être
intégralement issue de cultures biologiques. Les étables sont
plus diversifié et les animaux peuvent se mouvoir librement avoir des
contacts sociaux, manger, s'occuper conformément à leurs besoins.
Les animaux sont engraissés plus lentement
Le nom de ce projet sera : SANIFERME
On va prendre ce sigle de ce bio-ferme sera établi
à talata Andraikiba car ici le point des beaucoup des paysans et puis a
cote de lac Andraikiba et JIRAMA Andraikiba pour la facilité de
l'investissement de l'eau nécessaire au ferme. D'ailleurs Talata
Andraikiba n'est pas loin du commune urbaine Antsirabe et tous les
collaborateurs nécessaires se trouvent dans cette partie. Alors il est
facile de gérer une production et organiser une ferme biologique.
II-Objectifs et attente du projet
Comme nous avons bien, le taux de chômage sont plus
élevés a Madagascar ; ainsi, Antsirabe y admis dans ce
contexte. Une ferme comme celle-ci ; pour bon fonctionnement, a besoins de
majorités des personnels pour accomplir des services bien prescrits pour
réaliser un bon déroulement de la ferme. Notre première
objectifs est donc de donner de l'emploie pour nous même et de
créer aux autres ; vue le taux de chômage plus
élevés dans toute Madagascar
Notre principal objectif est d'avoir des maximums de profit en
respectant l'éthique.
v Objectifs
Ø Objectifs sociales
· Diminution de taux de chômage et source d'emploi
pour les jeunes
· Favoriser l'emploi dans le secteur élevage
· Proposer des aliments sains et
équilibrés
· Respecter l'équité entre les
différents acteurs des filières
· La recherche de nouveau équilibre, respecter la
santé humaine et animale
Ø Objectifs
économiques
· Un équilibre économique satisfaisant des
exploitations.
· Prendre place dans des espaces ruraux devenus
insuffisamment concurrentiels pour l'élevage conventionnel
· Augmentation de l'économie du Vakinankaratra
surtout Madagascar
Ø Objectifs écologiques
· Le respect des
écosystèmes naturels
· Favoriser le recyclage,
· Rechercher l'équilibre en matières
biologiques
· Choisir les espèces animales adaptées aux
conditions naturelles
· Préserver la biodiversité
v attentes du projet
A partir de cette projet ; on a l'opportunité de
démontrer dans notre région et dans les autres lieux, qu'on a le
capacité de faire créer notre propre ferme dans notre village et
ont peu élargir cette défis dans les autres lieux qui ont besoins
d'un Co-partenariat.
Toute operateurs sur l'élevage et de et de secteurs
primaire peuvent bénéficier de ce projet car ils peuvent faires
des pratique de l'élevage biologique pour améliorer leurs
métiers.ils ont aussi des grandes occasions de faires valoriser et de
montrer ses pouvoirs et leurs savoir faire au sein de l'élevage par
rapport au ferme, notre but est de faire prioriser ces collaborateurs dans
notre région.
De nos jours, il n'y a pas des ferme installé dans
notre village, ainsi des manifestations économiques sont organisé
au sein du village, l'avantage est de les plus part de ces marché sont
organisés par nous même ; nous avons encore des boite de
capable d'en produire
D'autre part, Il y a beaucoup des entreprise agro-alimentaire
installé à Antsirabe ont besoins des plusieurs lait pour
fabriquer leurs produits. Dans ce cas, les part du marché est plus vaste
même s'il y a plusieurs fournisseurs. Et puis notre produit est pure
biologique, donc les besoins de notre produit est plus élevé pour
le donner aux clients des produit des qualités et plus saine.
CHAPITRE-III : PRESENTATION DE
L'EXPLOITATION
SECTION-I : FORME DE
L'ENTREPRISE
Raison social : SARL
Nom commerciale : SANIFERME
Siege sociale : Talata Andraikiba
Raison social : élevage bio de
vache laitiers et de poule pondeuse
Nombre d'actionnaire (02) :
RAKOTRAKOMALALA Henintsoa Patric
RANDRIANASOLO Bevola Henri Romeo
Nif : en cours
Immatricule au RCS : en cours
Capital :
SECTION-II : STATUT
JURIDIQUE
Choisir la structure juridique de l'entreprise constitue une
étape primordiale lors de démarrage. Le choix aura des
succès sur le fonctionnement interne de l'entreprise ; sur la
relation avec les autre .l' entreprise collective ou plus
précisément une SARL ou société
responsabilité Limite
Tableau N° 2 :
dossier à fournir
CENTRE FISCAL
|
SERVICE STAT
|
TRIBUNBALE DE COMMERCE/EDBM
|
· Demande de carte fiscale (01)
· Photocopie CIN(01)
· Plan de repérage(01)
· Statut(03)
· Procuration(01)
· Contrat de bail(01)
· Déclaration de l'existence (05)
· INVESTISSEMENT DES CAPITAUX(03)
· FICHE D'IDENTIFICATION (03
|
· Demande de carte fiscale (01)
· Photocopie CIN(01)
· Plan de repérage(01)
· Statut(03)
· Procuration(01)
· Contrat de bail(01)
|
· Photocopie CIN(01)
· Plan de repérage (01)
· Statut(03)
· Procuration(01)
· Contrat de bail(01)
· B1 ou DECLARATION DE COONSTITUTIN D'UNE PERSONNE MORALE
(03)
· DECLARATION DE NON CONDAMNATION(02)
|
Source : promoteur
Le nom de l'entreprise est SANIFERME veut dire SANTE+FERME
d'où notre produit d'élevage respect le protocole de la sante
grâce à l'utilisation des aliments biologique
SECTION-III : IDENTIFICATION
DES PROMOTEURS
Promoteur N°1 :
Ø ETAT CIVIL :
Nom : RAKOTOMALALA
Prénoms : Henintsoa Patric
Date et lieu de naissance : 23 Mars 2001
à Antanimandry
Nationalité : Malagasy
Situation matrimoniale :
célibataire
Adresse personnelle : Ambodivoana
Ø DIPLOMES
2011 : obtention du CEPE
2015 : obtention du BEPC
2018 : obtention de
baccalauréat
2020 : DTS en cours
Ø FORMATION
2019-2020 : formation en gestion
2019-2020 : formation en informatique
bureautique (Word, Excel, power point)
Ø LANGUES
Malagasy : langue maternelle
Français : lu, parlé,
écrit
Anglais : lu, parlé,
écrit
Chinois : débutant
Ø LOISIR
Football, écouter la musique, suivre l'actualité
mondiale surtout le football
Promoteur N°2 :
Ø ETAT CIVIL :
Nom : RANDRIANASOLO
Prénoms : Bevola Henri Romeo
Date et lieu de naissance : 10 Mars 2000
à Antanimalandy
Nationalité : Malagasy
Situation matrimoniale :
célibataire
Adresse personnelle : 03 D 45
ambavahadimangatsika
Ø DIPLOMES
2011 : obtention du CEPE
2015 : obtention du BEPC
2018 : obtention de
baccalauréat
2020 : DTS en cours
Ø FORMATION
2019-2020 : formation en gestion
2019-2020 : formation en informatique
bureautique (Word, Excel, power point)
Ø LANGUES
Malagasy : langue maternelle
Français : lu, parlé,
écrit
Anglais : moyenne
Chinois : débutant
Ø LOISIR
Football, chanté, lire le livre
CHAPITRE-I : ETUDE DU
MARCHE
L'étude de marché est une phase clef de la
création de notre entreprise. Elle nous permet de cerner le
marché sur lequel nous allons nous lancer et de convaincre nos
éventuels financeurs. Cet article nous indique une méthode ainsi
qu'une vue d'ensemble pour réaliser cette démarche.
Pour qu'une étude de marché soit efficace, il
faut respecter une démarche ordonnée et structurée et
répondre à quatre sujets majeurs : le marché, l'offre, la
demande et l'environnement de notre projet.
SECTION-I : GENERALITE SUR LE
MARCHE
I-définitions générale et types du
marché
En générale, Le marché est un
système d'échanges où se rencontrent
l'offre (les vendeurs) et la demande (les
acheteurs). C'est aussi l'ensemble des règles, juridiques ou
informelles, par lesquelles ce type d'opérations économiques peut
se réaliser. Le marché, qui concerne aussi bien les
échanges de biens, de services que les échanges actifs financiers
et immobiliers, est l'un des concepts fondamentaux de l'économie
TYPES DU MARCHE :
1. Les marchés selon la nature des
produits
Ø Le marché des biens qui
concerne les produits matériels
Ø Le marché des services qui
prend en compte les produits immatériels.
2. Les marchés selon leur taille
Ø Marché de masse ou
marché des produits de grande consommation qui se
caractérise par des chiffres d'affaires très importants.
Ø niches qui se caractérise par
sa petite taille, un potentiel de développement limité en volume,
une clientèle spécifique, des compétences très
pointues en matière de production. La niche peut déboucher sur un
marché très rentable.
3-Les marchés selon leur dimension
géographique
Ø Un marché local pour lequel
les acteurs sont géographiquement proches
Ø Un marché régional qui
concentre les acteurs d'une même région.
Ø un marché national qui
élargit le jeu des acteurs au niveau du pays tout entier
Ø Un marché international dont
les acteurs se situent dans des pays différents
4. Les marchés selon leur structure
Ø Le marché
générique qui regroupe l'ensemble des produits
satisfaisant les mêmes besoins.
Ø le marché support qui
regroupe des produits différents mais qui se caractérisent par
des comportements de consommation proches.
Ø Le marché principal qui
regroupe l'ensemble des produits semblables
5-Les marchés selon la filière
Ø le marché amont est
représenté par les marchés qui se situent avant la
production des biens et services.
Ø le marché aval concerne les
étapes qui succèdent à la production des biens et
services. Ce sont les marchés des débouchés, de la
distribution des produits.
II-
identification de notre marché
Ici notre marché est un marché régional
de biens d'où concerne le produit d'élevage et les acteurs du
notre région en commencement. Notre client sont donc des industries
agro-alimentaires et toute personnes ayant des besoins de consommation des
oeufs et du lait biologiques.de notre commencement, toutes clients du
Vakinankaratra sont les principales cible de notre produit, mais
l'élaboration de notre marché développe peu à peu
dépend de l'évolution des notre chiffres d'affaires
III-Les
produits directement ou indirectement concurrentiel
Dans ce temps, nous devrons rechercher quels sont les produits
qui seront nos concurrents directs, mais également indirects,
c'est-à-dire qui peuvent se substituer à notre produit.
Nos concurrents directs sont des éleveurs même
FIFAMANOR, ferme TOMBOTSOA, ferme d'Adranobe.des même mais nous sommes
différés automatiquement parce que nos produits sont à
base des aliments biologiques. Ainsi les produits alimentaires tels que laits
en poudre fabriqués par des industries agro-alimentaires, AGRIVET, UNOH
... sont nos concurrents indirecte
SECTION-II : ANALYSE DE LA
DEMANDE
La demande est une traduire pour la recherches des
différents produit susceptible de la satisfaire
La première étape nous a permis d'esquisser les
grandes lignes de la demande, mais il faut maintenant obtenir d'avantage
et d'informations pour pouvoir, par la suite, prendre des décisions
I-
études de comportement des clients
Faisons un portrait précis de nos clients ou nos
utilisateurs, puis essayons de déterminer leur comportement :
Quelques questions peuvent poser :
· A quelle occasion achète-t-il ou utilise-t-il le
produit que vous proposez ? Comment ? Où ? Pourquoi ?
· Sont-t-ils satisfaits ?
· Quelles sont leurs motivations ? Quels sont leurs
freins ?
· Quelle est leur perception du produit et/ou du service
?
· Quelles sont les caractéristiques du produit et
qui pourraient favoriser l'acte d'achat ou d'utilisation ?
Ils sont occasionnés achetés par des toute
personnes ayant des besoins de consommation des oeufs et du lait biologiques.
Nous pouvons aussi de fournisseur des industries agro-alimentaires pour
fabriquer des aliments sains. Parce que nos produits sont des pures biologiques
depuis de leurs élevages à Talata Andraikiba.
Ils sont satisfaits parce que nos produits sont des pures
biologiques en utilisant des biodiversités. Et tout consommateurs de
notre produits ayant produit totalement biologique et suivant les protocoles de
la santé.
Les consommateurs du bio jugent ces produits meilleurs
pour leurs santé, des gouts bénéfique. Ils se tournent
vers ce type de références car ils les jugent meilleures pour
l'environnement. Les adeptes du bio attachent une importance aux conditions des
producteurs.
En revanche, le prix et la marque
ne sont pas critères clés. Les produits bios sont plus chers que
d'autre produit, certains consommateurs ont doutés qu'ils soient
vraiment bios. En plus plusieurs personne possède leurs propre
élevage.la manque d'animations, manque d'informations et le et
l'insuffisance des lieux d'achat habituels sont freiner les consommateurs a
acheté les produit. En plus, l'offre du bio ne correspond pas aux
besoins des consommateurs.
Une appréciation globalement positive des effets du bio
sur la santé et des comportements qui s'en éloignent. La
perception des produits bio semble faire consensus à
Madagascar, plusieurs malagasy considèrent qu'ils contribuent
à préserver l'environnement et ils pensent qu'ils sont meilleurs
pour la santé
II-segmentation de la demande
Notre objectif est de sélectionner parmi l'ensemble de
nos clients et/ou utilisateurs identifiés lesquels cibler en premier
lieu pour commercialiser notre produit ; suivant la nature de notre
marché les critères pourra être très variée.
Pour les particuliers nous pourrons utiliser des critères
distinctifs.
Elle consiste à découper un marché
déterminée en un certaine nombre de sous ensemble d'individus,
c'est-à-dire, une action de découpage des clients potentiels en
sous ensembles homogènes selon différents critères :
besoins, comportement d'achat, âge, le sexe ou les métiers. Elle
détermine les personnes qui seraient éventuellement
intéressées par nos produits
SECTION-III : ANALYSE DE
L'OFFRE
En se focalisant sur l'offre déjà
présente sur le marché, l'entrepreneur peut
acquérir toutes les données nécessaires et utiles
sur tous les produits proposés par les concurrents, qu'ils
soient directs ou indirects, qu'ils aient des activités similaires ou
différentes à celles de la future entreprise. Cette étape
permet notamment de récupérer des informations sur les produits,
leurs qualités ou leurs défauts, leur mode d'emploi et surtout le
niveau des prix proposés pour commercialiser les produits
I-analyse concurrentielles
L'analyse concurrentielles permet d'identifier leurs
forces, leurs faiblesses et d'anticiper des menaces qui pèsent sur leurs
marché, comprendre globalement ce qui les différencie
de nous... du point de vue du client. Nous sayons comment se positionner
pour déjouer les stratégies inverses et profiter
pleinement de ses capacités compétitives.la plupart des viande et
du lait a Madagascar utilise des produit chimique comme : poulet de
chaire, viande de porc accélérer...
1. Identification de nos
concurrents
Un concurrent est une entreprise qui propose un produit
semblable au nôtre sur les mêmes segments de marché que
nous. Ainsi, deux agences publicitaires peuvent exercer les mêmes
activités sans pour autant être en compétition.
Généralement, on compte trois types de
concurrents :
· Concurrents
directe : Ces entreprises offrent les
mêmes produits que les nôtres aux mêmes clients et sur le
même territoire que nous. Tels que les éleveurs, FIFAMANOR, ferme
de Tombotsoa, ferme d'Adranobe.
· concurrents indirecte : Ces
entreprises offrent des produits légèrement différents des
nôtres ou ciblent une autre clientèle sur le même territoire
que nous. Tels qu'AGRIVET, UNOH ...
· Concurrents de substitution: - Ces
entreprises offrent des produits distincts des vôtres aux mêmes
clients et sur le même territoire que vous. Tels que TIKO, SOCOLAIT,
TSARAFY,
2. Renseignements sur nos
principaux concurrents
Une fois que nous avons identifié nos principaux
concurrents, recueillons le plus de renseignements possibles à leur
sujet.
Leurs produits : presque nos concurrents sont
utilisés des produit chimiques pour reproduire sont produit ; ce
qui est contrairement à notre techniques, nous appliques seulement des
matières biologique. Dans ce cas le produit chimique ayant des maux
effets secondaires sur la santé.
Leurs prix : le prix du produit de nos
concurrents
Tableau N° 3: le
prix du produit de nos concurrents
PRODUITS
|
PRIX UNITAIRES
|
LAIT
|
1 000 Ar
|
OEUFS
|
400 Ar
|
Sources : promoteurs
Leur positionnement : elles sont des
grands fournisseurs des biens des industries agro-alimentaires à
Antsirabe et dans toutes les régions
La réputation sur le
marché : Certains consommateurs du lait et des oeufs
à Antsirabe constatent que certaines produit sont facile à
périmé.
3. Analyse des forces et des
faiblesses de nos concurrents
3-1 forces :
Disparition de la monopole et ouverture du marché
Marché constitué d'une demande nationale qui
s'élève incessamment
Possibilité de présenter une gamme de produits
importante et intéressant
Développement des coopératives
d'éleveurs.
Présence des mini-laiteries locales et augmentation
des ateliers de transformation artisanale à proximité des
villages plus ou moins enclavés
3-2 : faiblesse
Baisse de la production laitière depuis le
départ de l'usine TIKO
Disparition de réseaux de distribution plus ou moins
organisée par les acteurs du triangle laitier depuis la crise
politique
Disparition des 2 grandes entreprises potentielles (TIKO et
SOCOLAIT) constituant les plus grands débouchés sur le
marché du lait
Le prix: la formation de prix est assurée par un plus
grand nombre d'intermédiaire (collecteurs, transformateurs, ...),
d'où l'irrégularité de prix.
Prix à la collecte peu motivant
Nombres d'intermédiaires trop élevés(5)
entre les consommateurs et les producteurs.
Zones de collecte en difficulté d'accès pendant
la saison à forte production conduisant à la destruction du
lait
Pas d'opérateurs qui collectent ou transforment le
lait hors du triangle laitier
Insuffisance de contrôle qualité sur le
marché
Offre en quantité insuffisantes de qualité
très peu concurrente par rapport aux autres produits issus des autres
régions (Ambatomanga, Itasy...)
Mauvaise présentation et faute de qualité des
produits artisanaux (très douteux)
II-positionnement
Toute entreprise permettre d'augmenter leurs ventes,
d'optimiser leur expérience client et de se positionner sur leur
marché
Élaborer un positionnement oblige à avoir un
regard réflexif, à bien analyser ce qui différencie la
marque de ses concurrents.
Le positionnement est une étape clé du plan de
communication, c'est un parti pris, qui servira de fil rouge tout au long de
l'élaboration du plan de communication.
C'est un élément fondateur de l'identité
de marque, son choix est donc déterminant, et se construit par un
échange entre l'agence et l'annonceur.
1-définitions du positionnement
Le positionnement est un terme marketing dont la
définition peut varier selon le contexte d'usage. Dans son usage
dominant, le positionnement correspond à la position qu'occupe un
produit ou une marque dans l'esprit des consommateurs face à ses
concurrents sur différents critères (prix, image,
caractéristiques, etc.)
Le positionnement relève donc
généralement de la stratégie ou de la politique produit,
mais il mobilise également d'autres domaines du plan de marchéage
et notamment les volets communication et prix.
2- objectifs du positionnement
Aujourd'hui la concurrence est de plus en plus forte,
notamment sur le web où les marques sont présentes et donc
très facilement comparables. Il faut donc réfléchir aux
éléments qui constituent la marque et la rendent
différente. Choisir un positionnement c'est prendre un parti pris.
Faire coïncider positionnement et image de marque.
L'image de marque correspond à la place qu'occupe la marque dans
l'esprit du consommateur. Le travail publicitaire consiste à faire en
sorte que le positionnement choisi devienne ce que les consommateurs
perçoivent de la marque.
3-stratégie de
positionnementTableau N° 4:
stratégie de positionnement
Stratégie
|
Positionnement
|
Différenciation
|
Produit pure biologique par des biodiversités
|
Domination par marque
|
Le produit bio sont automatiquement produit de gammes et de
qualité
|
Image
|
Aliment sains et équilibrés
|
Sources : promoteur
4- analyse FFOM
Tableau N° 5:
analyses FFOM
Force
|
Ø Produits présentant des avantages
concurrentiels
Ø 2 fonctionnalités mises en avant:
esthétique et thérapeutique
Ø Large gamme de produit
Ø Produit biologique par biodiversité
|
Faiblesse
|
Ø Entreprise en cours de création
Ø Prix un peu élevé
|
Opportunité
|
Ø Marché favorable: nouveaux besoins, nouvelle
demande
Ø Distribution ouverte au marché
Ø Nombreuses cibles
Ø Possibilité d'accroître les ventes et
d'étendre le réseau
|
Menace
|
Ø Prix élevé sur le marché
Ø Concurrents déjà présents sur le
marché
|
SECTION-IV : ANALYSE
D'ENVIRONNEMENT DE NOTRE PROJET
Quand parle de l'entreprise, les deux environnements doit
être analyse ceux qui sont micro-environnement et macro-environnement.
I-MICRO-ENVIRONNEMENTS
C'est une partie de l'environnement regroupe de facteur ayant
un impact direct a la vie de l'entreprise, parmi, nous pouvons
citer : les fournisseurs, le client, l'intermédiaire, la
concurrence, le public et l'entreprise elle-même
Figure N° 4 :
micro-environnements
Fournisseurs
Clients
Micro-environnements
Distributeurs
Concurrents
Source : promoteurs
L'analyse des composant du micro environnement peut propose un
diagnostic de situation sur les forces en présente et l'évalue
les opportunités et de menace pour l'entreprise ainsi qu'est
négociation pour elle
Le micro-environnement regroupe 4 facteurs qui
influencèrent directement les performances des entreprise sur le
marché lesquels entreprise un active, sur elle peut influer : l es
fournisseurs, les distributeurs, clients et concurrents
1- Les clients :
Ce sont parmi les éléments fondamentales des
environnements.ils imposent un entreprise des enjeux de qualité, des
enjeux informa lionne sur la gamme de produit et de service offre, des enjeux
leurs respect des normes de sécurité, des enjeux des
innovations
2- Fournisseurs
La prédominance et tel éléments dans le
circuit productifs de tout entreprise impose à celle-ci le respect
délais de paiement de la dette fournisseurs.
3- Les concurrents
Cet élément est déterminant pour
éviter toute les concurrences analysées.
4- Distributeurs
C'est un acteur commercialisant les produits auprès des
consommateurs finals, particuliers aux les entreprise selon contexte les
termes de distributeurs pour désigné un point de vente
II-MACRO-ENVIRONNEMENT
Pour effectuer un diagnostic d'entreprise en vue
d'élaborer une stratégie, l'analyse porte sur plusieurs
angles. Tout d'abord les composantes internes, puis les variables
externes. C'est dans cette deuxième partie que s'inscrit la
méthode PESTEL en ²apportant un cadre d'analyse.
A l'instar du modèle de Porter (les 5 forces),
L'objectif de ce modèle est d'évaluer l'influence des
facteurs externes sur la firme étudiée. Le point de
départ indispensable pour toute étude sur l'environnement de
l'entreprise.
1-sur le facteur politique
· aux décisions prises par les responsables
publics en matière de fiscalité et de protection sociale,
notamment. Notre entreprise est donc formelle payer des impôts et taxe au
centre fiscale
· à la politique du pays sur lequel est
implantée l'entreprise en matière de commerce international
(protectionnisme, libre-échangisme, etc.) ;
· à la stabilité du régime en place
est également à prendre en compte. Tels que stabilité
politique sur notre pays, et la bonne gouvernance
2-la dimension économique
Les réalités économiques du pays ou du
territoire font partie prenante de l'environnement du marché et
impactent directement le chiffre d'affaires potentiel de l'entreprise.
· A Vakinankaratra avec un taux de
retard de croissance de 65%, la région a le taux le plus
élevé à Madagascar avec le taux de chômage faible
(2,4% en 2017)
· Avec revenue mensuel moyenne de 200 000 MGA pour
les secteurs formelle. Cela renseigne leur pouvoir d'achat.
· A Madagascar, le taux d'intérêt
réel correspond au coût de l'emprunt ou encore au rendement des
placements pour une année
3- la dimension socioculturelle
L'environnement du marché nécessite une
étude sociologique des consommateurs, en prenant en compte plusieurs
facteurs :
· Pour une vision à long terme, les
caractéristiques démographiques est nécessaire. Les
populations du Vakinankaratra sont une population jeune. de dernière
période connue en 2010 le taux de fécondité était
ainsi de 4,8 enfants par femme
· Comportement d'achat : afin de déceler
l'appétence du marché pour le produit ;
- Fréquence d'achat et de consommation :
l'habitude d'achat des oeufs et du lait sont moyenne fréquent à
Vakinankaratra
- Influence de médias : la plupart de la
population du Vakinankartara ayant des moyens de communication et de
l'information ; tels que la radio, télévision ...
- Culture : plusieurs personnes ayant des bonnes
perceptions de l'utilité et de l'intérêt du produit
· Niveau d'éducation : Il impacte les
comportements d'achat, mais aussi la capacité d'un marché
à se laisser séduire par un nouveau produit
4-La dimension technologique
Peut être fortement influencé par les
innovations technologiques ; il faut donc s'informer des évolutions,
notamment parmi la concurrence. Ce sont aussi des possibilités de
développement pour l'entreprise L'environnement du marché.
5. La dimension
écologique
Connaître l'environnement du marché, c'est, de
plus en plus, ne pas négliger l'empreinte écologique de
l'entreprise, donc regarde de près la provenance des produits, la
composition des matériaux utilisés, la gestion des ressources,
etc. L'environnement, c'est aussi des ressources qui peuvent se raréfier
et dont le prix peut fluctuer, ce qui a un impact sur le coût de
production. C'est également le climat et donc la météo, ou
encore le risque de catastrophes naturelles, qui ont des conséquences
à évaluer. Enfin, le risque de pollution et la
réglementation pour la protection de l'environnement peuvent obliger
à mettre en place des procès coûteux.
6- La dimension
légale
La législation en vigueur dans un secteur
d'activité est incontournable dans l'environnement du marché.
Elle comprend :
· Le droit du travail : Le principal texte
applicable en matière de droit du travail à Madagascar est la
loi n° 2003-044 du 28 juillet 2004 portant Code du
Travail. Issue d'une refonte récente de la législation du
travail.
· Le droit de la concurrence : Pour harmoniser les
dispositions relatives à la concurrence malagasy, l'application de
la loi N° 2005-020 du 17 octobre 2005 sur la Concurrence
est indispensable
· Le droit du consommateur : À Madagascar on
consomme un peu de tout et n'importe quoi.
· Les réglementations en matière
d'hygiène et de sécurité : respect les protocoles
internationales
Cela implique de procéder en permanence à de la
veille juridique et réglementaire
CHAPITRE-II : LE MARKETING
MIX
Le marketing mix regroupe l'ensemble des décisions et
actions marketing prises pour assurer le succès d'un produit, service,
marque ou enseigne sur son marché.
SECTION-I : NOTION SUR LE
MARKETING
I-définition
Le marketing peut être défini
comme l'analyse des besoins des consommateurs et l'ensemble des moyens d'action
utilisés par les organisations pour influencer leur comportement. Il
crée de la valeur perçue par les clients et adapte l'offre
commerciale de l'entreprise aux désirs des consommateurs.
D'autre part, Le marketing est un moyen d'action qu'utilisent
les organisations pour influencer en leur faveur le comportement des publics
dont elles dépendent.
II-rôle de marketing dans l'entreprise
Pour pousser à investir un peu plus dans une vraie
stratégie de marketing.
· Décider du produit à vendre et de
son prix : Le rôle du marketing dans l'entreprise est
fondamental, car il va permettre le produit à vendre, prix
approprié pour ce produit et atteindre les objectifs pour accomplir les
ventes.
· Aide à la différenciation face
à la concurrence : Tout consultant en marketing faire la
différence auprès des concurrents. le rôle du marketing
dans l'entreprise, c'est des aider à trouver ce plus produit, à
la travailler. Il peut s'agir de communication, d'un logo ou d'un
positionnement original de produit.
· Anticiper les risques et faire évoluer
le produit : Une entreprise doit être capable de s'adapter
rapidement aux changements possibles qui se produisent sur un marché
donné. Une stratégie de marketing durable et reconnaissable aide
à mieux anticiper les changements, pour mieux piloter la structure et
projeter dans son évolution.
· Booster les ventes : Le rôle du
marketing dans une entreprise sera aussi et surtout d'augmenter les ventes. Un
produit reconnaissable, qui sait évoluer doublé d'une bonne
campagne de communication fera ses preuves. N'oubliez pas qu'investir dans une
stratégie de marketing est un pari sur l'avenir.
· Présenter l'activité de la
meilleure manière qui soit : Chaque activité
commerciale est différente et nécessite une mission claire et une
vision axée sur les différents produits ou services offerts. Le
rôle du marketing, c'est d'éclaircir ce point crucial !
· Reconnaître les lacunes dans
l'entreprise : Le marketing digital en particulier celui des
réseaux sociaux s'adapte bien aux retours clients. Réussir sa
transformation digitale et gérer les retours des clients avec une
stratégie de marketing qui aide à créer de la confiance
avec les clients.
III- Les
différents techniques marketings
Cette stratégie est une des
composantes de la stratégie d'entreprise. Selon les cas, la
stratégie marketing peut s'appréhender au niveau global de
l'entreprise ou ne s'appliquer qu'à un produit ou une famille de
produits. Il est ainsi possible pour une entreprise à l'activité
variée de combiner plusieurs stratégies marketing selon ses
domaines d'activité.
Ø Le marketing relationnel
Il vise à développer une relation
personnalisée et conviviale avec le client consommateur afin de le
fidéliser. Cette relation se construit grâce au dialogue
entre la marque et le consommateur.
Ø Le marketing direct
C'est l'ensemble des approches visant à
établir un contact personnalisé et mesurable, entre l'entreprise
et ses prospects selon certains critères.
Ø Le marketing promotionnel
Cette démarche associe un ensemble de techniques et de
moyens de communication mis en place dans le plan d'action de l'entreprise.
L'objectif est de susciter la création ou le changement du comportement
d'achat ou de consommation auprès des cibles visées.
SECTION II-DEMARCHE MARKETING
C'est une expression générale utilisée
pour décrire les différents types de choix que les organisations
doivent faire dans l'ensemble du processus de mise sur le marché d'un
produit ou d'un service. Le 4P est un moyen probablement le plus connu
Les 4P sont :
Ø La politique de produit
Ø La politique de prix.
Ø La politique de distribution
Ø La politique de communication
I-LA
POLITIQUE DE PRODUIT
Elle est une des composantes du marketing mix qui
désigne l'activité de définition, d'adaptation, de
spécification, de différenciation et plus
généralement de tarification des biens et des services au sens le
plus large possible des courants composants l'offre d'une entreprise.
1-classification de nos produits
Tableau N° 6:
classification de nos produits
Critères de classifications
|
Nos produits
|
Durée de vie du produit
|
-lait : produit périssable
-oeufs : produit semi-durable
|
Processus d'achat
|
Produit d'achat courant
|
Destination des biens
|
-matière première
-bien de consommation
|
Nature économique
|
-produit substituable
|
Source : promoteur
2- cycle de vie de produits
Comme toute être vivant un produit peut née,
croissant, veille, et puis meurt.la notion du cycle de vie fait
référence à l'évolution des ventes du produit
depuis l'introduction par le marché jusqu'à son retrait
Ont distingue en générale 4 phase
Figure N° 5 :
cycle de vie du projet
COMMENTAIRE
Introduction : démarrage
de vente avec un rendement peut négatifs en raison de dépense
important pour le premier lancement.
Croissance : cette phase est
caractérisé par une augmentation de vente et une
rentabilité plusieurs importante
Maturité : cette phase est
caractérisé par le plafonnement des ventes d'un produit connut et
une rentabilité importante
Déclin : cette phase
caractérise par une diminution de vente
II- LA
POLITIQUE DE PRIX
Cette étape est la seule variable du marketing-mix qui
n'engendre pas de coût et qui procure en fait des recettes.
La décision de prix devra donc reposer sur le
trinôme : coût/demande/concurrence et s'adapter à celui-ci
tout au long de la vie du produit
1. Définitions
· La politique de prix désigne un ensemble de
décisions et d'actions réalisées pour déterminer la
structure et le niveau de la tarification des biens et services proposés
aux clients conquis ou à conquérir.
· Elle est la traduction concrète, à un
niveau subordonné, d'éléments de plus haut niveau que sont
la vision et la stratégie générale de l'entreprise ainsi
que la politique générale d'entreprise.
2- stratégies de politique de prix
On distingue trois principales stratégies
qui consistent à se positionner par rapport à la
concurrence :
· l'écrémage,
· la pénétration,
· l'alignement.
a) La politique prix
d'écrémage.
La politique d'écrémage
consiste à fixer un prix élevé, le plus souvent
au-delà des prix de la concurrence, afin de toucher un segment
précis de clientèle à fort pouvoir d'achat.
Cette stratégie de
différenciation ou de distinction
permet de viser une marge confortable et une clientèle aisée. On
parle de produits et services à forte valeur ajoutée,
« premium » ou « haut de gamme ». Autre
avantage de la politique d'écrémage : il sera possible de viser
l'export puisque la structure de prix le permet.
b) La politique prix de
pénétration.
La politique de pénétration
consiste à fixer un prix relativement bas pour attirer une part
importante de la clientèle potentielle, et cela dès le lancement
du produit ou du service. Cela peut aussi consister à offrir des
cadeaux ou produits gratuits à ses clients.
Il s'agit ici de prendre un maximum de parts de marché,
le plus tôt possible. C'est une politique agressive et
risquée si elle prend la forme d'une guerre des
prix. Elle peut entrainer un effondrement des marges et une baisse de
rentabilité.
c) La stratégie prix
d'alignement
La politique d'alignement consiste à
pratiquer des prix proches de ceux des concurrents. Cette politique permet
d'entrer sur des marchés concurrentiels en évitant la guerre des
prix
Ø notre projet applique les stratégies de
l'écrémage car nos produits sont produits de gammes. Mais en
commencement nous utilisons les stratégies d'alignement à
pratiquer des prix proches avec nos concurrents.
3- fixation du prix
La fixation du prix de vente repose sur 3 facteurs :
· Les coûts : le prix de vente doit permettre
de couvrir les coûts et d'assurer à l'entreprise une marge de
rentabilité. Les coûts sont en partie liés aux relations de
l'entreprise avec ses fournisseurs.
· La demande : le prix doit être en
cohérence avec les attentes des consommateurs en termes de prix et
également de qualité
· La concurrence : le prix doit permettre de
positionner l'offre par rapport à celles de ses concurrents. La
compétitivité prix permet d'assurer les parts de marché de
l'entreprise et ainsi sa rentabilité.
III-LA
POLITIQUE DE DISTRIBUTION
Le distribution est l'intermédiaire entre les
producteur et les consommateurs, il permet d'acheminer les produit et
d'assurer les fonction inhérentes a l'écoulement d'un produit
depuis la production jusqu'à la consommateur.
Ainsi, les fonctions des distributeurs sont :
-le transport
-le stockage
-le service
Notre entreprise envisage de couvrir le principal grossiste et
épicerie local et en même temps créer un réseau de
distribution dans notre région.
A partie du magasin de la société, Un
véhicules vont assurer la distribution dans le magasin des grossistes,
lesquels se chargeront de la distribution qui a leur tour vont assurer le
contact avec le consommateur final.
En outre, la mise en page des crédits client devrais
être minutieusement étudiée pour faire face a la
concurrence des produit semi-chimique
Pour assurer les ventes, il est nécessaire :
-de s'assurer des débouchés permanant
grâce à la tenue d'un fichier souple des dépositaires et
de participer à la promotion des petits détaillants dans les
secteurs.
-de mettre l'entreprise en relation permanant avec ses
différentes partenaires commerciaux crédible et vouées au
technique modérée de transaction commerciales.
-déduire le frais de distribution.
Notre circuit de distribution se présente de la
manière suivante :
Figure N°6: canaux de
distributions
Sources : promoteurs
IV-POLITIQUE DE COMMUNICATION
Il est important de faire connaitre la société,
ses points de vente et les produits qu'elle compte commercialiser.
Ainsi, l'étude préconise des campagnes de
sensibilisation, des spots publicitaires sur la production, qualité, les
différents prix pratique et lieu de vente.
A travers les media (radio, réseaux sociaux,
télévisions) les consommateurs seront avisés de la
qualité du lait et des oeufs biologique et les différentes gammes
mise a leur disponible. Des affiches publicitaires seront affiches dans le
milieu public stratégique.
La communication détaille tous les choix et actions qui
touchent a la promotion du produit :
- Les ventes : dégustations,
participation a des salons et foires
-la publicité : radio,
réseaux sociaux, affichage,
-la promotion des ventes : ils `agit des
technique qui visent a accroître les vente par des offres temporaire
comme distribution d'échantillons, réductions du prix lors des
périodes de pénétration sur le marché.
Tableau N° 7:
Présentation des 4 politiques marketings de l'entreprise
Produit
- Gamme
- Sans effet secondaire
- biologiques
|
Prix
-tarif
-Condition de paiement
|
Distribution
-canal direct
(distributeur vers consommateurs)
-circuit court (avec nos
partenaires intermédiaires)
|
Communication
-promotion de vente
-publicité
-marketing direct
|
CHAPITRE-I : ETUDE DE
FAISABILITE TECNIQUE DU PROJET
Avant de lancer le projet, une étude de
faisabilité technique est primordiale
Le montage et l'analyse technique d'un projet visent à
en appréhender les résultats probables
Du point de vue des paramètres techniques. Cependant,
l'analyse technique est susceptible de s'appliquer à tout projet
Cette étude devra couvrir différents aspects :
évaluation technique du projet, la faisabilité commerciale
prévisionnels, et enfin la charge d'exploitation.
SECTION-I : EVALUATIONS
TECHNIQUES DE NOTRE PROJET
L'étude de faisabilité technique a pour
objectifs de déterminer l'ensemble des moyennes de mise en oeuvre pour
l'exercice de l'activité.
I-ETAPE
D'ELABORATION DU PROJET
I-1 : Fiche technique du projet
Avant de démarré l'activité, notre projet
doit suivre l'organisation suivante. Pour que l'entreprise soit formelle
Ø Conception du projet
Ø Etudes de marché
Ø Elaboration du dossier
Ø Recherche de financement
Ø Aménagement de l'agence
Ø Achat de matériaux
Ø Installation technique
Ø Recrutement des personnels
Ø Formation de personnels
Ø Année prévue de démarrage
I-2- Représentation graphique du
déroulement du projet
- Quelques notions
· Diagramme de Gantt : c'est
un outil utilisé en ordonnancement et en gestion de projet et
permettant de visualiser dans le temps les diverses tâches composant un
projet.
· Tâche : c'est Travail qui
doit être accompli dans des conditions fixées et
prédéfinies dans le cahier des charges.
Ø Tableau de récapitulations des
tâches
Tableau N° 8:
Tableau de récapitulations des tâches
N° de
tâches
|
Tâches
|
Durés en mois
|
A
|
Conception du projet
|
1
|
B
|
Etudes de marché
|
1
|
C
|
Elaboration du dossier
|
2
|
D
|
Recherche de financement
|
2
|
E
|
Aménagement de l'agence
|
3
|
F
|
Achat de matériaux
|
1
|
G
|
Installation technique
|
1
|
H
|
Recrutement des personnels
|
2
|
I
|
Formation de personnels
|
1
|
J
|
Année prévue de démarrage
|
1+n
|
Source : promoteurs
Tableau N° 9:
récapitulations des taches
TACHES
|
DURES
|
ANTERIORITE
|
A
|
1
|
|
B
|
1
|
|
C
|
2
|
B
|
D
|
2
|
B
|
E
|
3
|
D
|
F
|
1
|
D
|
G
|
1
|
F
|
H
|
2
|
G
|
I
|
1
|
H
|
J
|
1+n
|
I
|
Sources : promoteur
Figure
N°7 :Diagramme de GANTT
A
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
B
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
C
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
E
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
G
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
H
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
I
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
J
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1 2 3 4
Source : promoteur
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
11
|
12
|
II-ASPECT TECHNIQUES DU PROJET
L'élevage des poules pondeuses et des vaches laitiers
est comme tout élevage des animaux, nécessite des conditions
d'hygiène colossales et repose sur des critères techniques
très stricts. Ces critères concernent tout facteur, direct ou
indirect, qui entre dans cet élevage ; en particulier, le lieu
d'implantation, les installations techniques, les équipements, les
techniques d'élevage...etc.
II-I) INFRASTRICTURES
1-lieu d'implantation
Le choix du lieu d'implantation est aussi important que les
techniques d'élevage ou les processus de production; car certains
caractéristiques des lieux, qu'il faut éviter, nuisent ou
empêchent le bon élevage tel que:
- Un taux d'humidité très élevé et
un milieu environnant non sain; ces deux facteurs favorisent l'apparition des
maladies et le développement des parasites.
- La proximité d'une route à grande circulation;
car le bruit excite les cheptels.
Et d'autre part le terrain, qui devra abriter ce projet, doit
être:
- Sablonneux, bien drainé pour que l'eau
s'écoule facilement.
- D'une accessibilité facile, afin de pouvoir
approvisionner en matériaux pendant la construction, et en aliment lors
de la production, et le transport du cheptel en fin d'élevage.
2- les bâtiments
d'élevage :
Pour la réalisation de cet ouvrage, on est
obligé de tenir compte des recommandations des spécialistes qu'on
peut résumer en ce qui suit :
- le bâtiment doit être construit en
matériaux durables et bons marchés, propres et salubres, afin de
réduire ou de contrôler l'incidence des agents extérieurs
tels que la température, l'humidité
- Il faut penser à disposer les longs peaux (parties
longues des murs) perpendiculairement aux vents dominants, dans une limite de
45°, lorsque le vent souffle dans une direction, il exerce une pression
sur l'une des parois du bâtiment et par la une dépression sur la
paroi opposée, ce que va crée dans le bâtiment un mouvement
d'air latéral en direction de la dépression (évacuation de
l'air par les ouvertures du côté sous le vent). Ainsi que le
balayage transversal réside dans la dépression crée au
niveau du lanterneau, selon le même principe que pour les parois.
- Il faut prévoir de l'eau potable, une
évacuation normale des eaux de pluie.
- Le bâtiment doit être :
o bien situé
o bien étanche
o bien isolé
o bien drainé
o bien ventilé
o avec une bonne litière
- le sol doit être cimenté pour faciliter le
nettoyage et la désinfection
3-Les enclos de promenade pour le
cheptel :
La méthode consiste à prévoir un enclos
de promenade en plein air où les vaches et les poulets une fois
emplumées seront lâchés par beau temps.
Cet enclos peut contenir une végétation qui sert
de nourriture biologique et saine pour les vaches et les volailles. Pour cette
végétation dure plus longtemps, on laisse les cheptels
accéder à l'enclos quelques heures par jour seulement.
4-les capacités d'élevage de notre
projet
a- La taille de
l'élevage :
Le choix de la taille de l'élevage dépend
essentiellement des éléments suivants :
De l'objectif de l'entreprise à produire laits et des
oeufs de bons coûts et de bonne qualité.
Tableau N° 10: taille
de l'élevage moyenne
Cheptels
|
Nombres
|
Volume ou nombre des produits
|
Vaches laitiers
|
50
|
500 L/ jours
|
Poules pondeuses
|
200
|
200 oeufs/ jours
|
Sources : promoteur
b- Surfaces des bâtiments de
l'élevage
Il s'agit du principe de base essentiel pour le logement, car
l'espace disponible détermine le nombre et le type d'oiseaux pouvant
être entretenus. Donc, un poulailler à litière profonde de
6 x 11m peut accueillir 200 poules pondeuses à une densité de 3
oiseaux/m2.
Dans l'ensemble des élevages, la surface moyenne
d'hébergement par animal est de 12,1 m² par unité
équivalente du vaches laitiers
Tableau N° 11:
Surfaces des bâtiments de l'élevage
Bâtiments
|
Surfaces en m²
|
Poules pondeuses
|
67
|
Vaches laitiers
|
605
|
Bureau et magasinier
|
20
|
Sources : Promoteur
Donc, le terrain doit abriter :
· Trois(03) bâtiments d'élevage dont deux
bâtiments pour les cheptels puis un bâtiment pour le bureau
administratifs et magasin de la ferme
· Des enclos de promenade en plein air par
bâtiments des cheptels, un espace égale à la surface du
bâtiment ou supérieur.
· Un local administratif.
II-II- LES EQUIPEMENTS DE PRODUCTION:
v POULES PONDEUSES :
Ø ABREUVEMENT :
Matériel de démarrage
Abreuvoirs
Accessoires
Ø ALIMENTATION :
Mangeoires volailles
Mangeoires extérieures
Accessoires
Ø RÉGULATION :
Boitier de régulation
Organes de commande de ventilation
Régulation gaz
Ø CHAUFFAGES :
Aérothermes (générateurs d'air chaud)
Chaudière
Plancher chauffant
· Le plus important de ces équipements est le
système de ventilation. Il faut qu'il assure l'apport de
l'oxygène et l'évacuation des gaz toxiques, et il faut qu'il
règle l'apport et les pertes de la chaleur dans le bâtiment afin
de maintenir la température et l'hygrométrie dans les limites du
souhaitable.
v VACHES LAITIERS :
· Abreuvoirs, bacs à eaux et pompe doseuses
· Mangeoires avec accessoires
· Boitier de régulation avec un organe de commande
de ventilation
· Sonde
trayeuse
· Analyseurs des laits
· Ficelles
II. II : LES TECHNIQUE D'ELEVAGE :
Nous avons opté pour un élevage de 200 poussins
pondeuses et 50 vaches par an, en utilisant la méthode classique, dans
un poulailler et vaches avec un enclos de promenade où les cheptels
peuvent prendre de l'exercice, bénéficient du soleil et du sol
naturel et trouvent également une nourriture animale (vers, vermisseaux,
chenilles, insectes) et végétale.
Ces aliments glanés dans les champs sont très
intéressants du fait qu'ils soient gratuits, en plus qu'ils nourrissent
sans engraisser. Sans oublier que les volaillers produisent du fumier qui peut
être récupéré et vendu aux pépinières
et agriculteurs; ce fumier permet de transformer la terre en terreau fertile
qui constitué des engrains naturels.
PREPARATION DES CHEPTELS :
Ø POULES PONDEUSES : Le
local doit être prêt 36 heures avant l'arrivée des poussins.
Les quantités de litières nécessaires au départ
puis en cours d'élevage dépendront de plusieurs facteurs :
saison, nature du sol, comportement des animaux et aptitude de l'éleveur
bien maîtriser la ventilation.
· La température :
Chaque poussin selon sa propre régulation thermique
doit avoir le libre choix de sa température optimale entre les
25-28°C d'ambiance et les 32-35°C sous radiant.
Les températures sus indiquées constituent des
normes qui doivent être respectées et devront être
complétées par une surveillance permanente de façon
à éviter :
· Les retombées d'air froid sur les animaux qui
constituent un facteur de stress.
· La répartition inégale de la
température dans l'ensemble du bâtiment qui a pour effet une
mauvaise répartition des animaux, accompagnée d'une
dégradation de la litière dans les endroits les plus
chargés.
L'installation des «gardes» (bottes de pailles ou
plaques d'isorel) est vivement recommandée pour éviter toute
mauvaise répartition dans le poulailler.
Le petit matériel doit être judicieusement
disposé pour respecter les contraintes thermiques du poussin, autour
d'un radiant se répartissent différentes zones de
températures, à chaque zone doivent correspondre mangeoires et
abreuvoirs, il est préférable de multiplier les sources de
chaleur que d'augmenter la puissance des radiants.
· L'éclairement :
Pendant les deux (02) premiers jours, l'intensité de
l'éclairement doit être maximale à 100% de son potentiel
(3w/m²) pendant 23 à 24 heures. Ensuite, l'intensité devra
être progressivement diminuée à partir du 8eme jour pour
atteindre une valeur d'environ 0,7 w/m², l'éclairement doit
être très bien réparti dans le poulailler (absence de zones
d'ombre), pour cela, il est préférable de multiplier les sources
lumineuses.
Après quelques heures de mise en place, les poussins
devraient être répartis d'une manière égale sur
toute la surface de l'élevage.
· Alimentation
Aliments de bases: nos provendes
PROVANDES :
Ø Matière
première :
blé, maïs, triticale, orge, protéagineux,
tourteaux de soja et de tournesol, luzerne déshydratée, mais
aussi calcium (viens de la coquille), phosphore, vitamines et
oligo-éléments avec, pour lier le tout, de l'huile de soja bio et
du sel.
? Céréales : avoine (pas plus
de 10%), blé, mais. Elles doivent représenter environ 70% des
rations quotidiennes.
? Légumineuses et oléagineux
qui leur donne des protéines : colza, féverole, lin, pois, soja,
tournesol. Il est indispensable de leur donner des mélanges pour un bon
équilibre alimentaire
Ø Poussin (1 - 35 jours)
La croissance demande un important apport en protéines
(méthionine, lysine, carnitine) au moins 20%, et du calcium qui
participe à la croissance des os.
Composition : Maïs
concassé, blé cassé, orge cassé, dari roux, millet,
pois cassé vert, colza, lin, huile de soja. Ce mélange convient
également aux cailles et aux gibiers.
Description :
· L'apport en calories est adapté aux besoins des
poussins en plein développement.
· Les grains sont finement concassés, afin que les
petits puissent facilement les avaler.
Ø Poules pondeuses (+ de 35
jours)
Celle-ci a des besoins nutritionnels particuliers. Son
régime est plus riche en céréales, qui lui donnent de
l'énergie et en protéines pour la constitution de l'oeuf.
Compositions : Maïs cassé,
blé, orge, pois, dari, lin, soja, coquilles d'huîtres, tournesol,
millet, huile de soja.
· Le maïs est idéal pour de
bons oeufs mais il ne doit pas être en grande quantité car il a
tendance à engraisser.
· Le calcium et autres minéraux
sont nécessaires pour la formation de la coquille
Description :
· Les coquilles d'huîtres apportent le calcium
nécessaire à la formation de la coquille des oeufs.
· Les graines de lin apportent des omégas 3,
acides gras bénéfiques.
· L'apport énergétique est adapté
aux besoins importants des pondeuses.
REMARQUE :
En hiver, les poules trouvent moins à se
mettre sous la dent, le sol est dur et il leur est difficile d'y trouver leur
pitance, et le froid provoque une dépense d'énergie
supplémentaire. Il est du coup important de leur proposer des aliments
complets, qui vont leur apporter l'énergie suffisante. Les lipides,
notamment, leur apportent de quoi mieux résister au froid. Pour
remplacer les protéines fournis par les insectes et vers de terre, il
faut leur donner des restes de poisson ou de viande. Les aliments
complets peuvent également être donnés en
complément de mélanges de céréales, pour une
meilleure ponte ou pour produire des poulets pour la viande
Ø VACHES LAITIERS : La
stabulation proposée est une stabulation libre avec une aire d'exercice
sans abris et une aire de repos couverte.
Les locaux d'élevage doivent assurer le confort et
l'hygiène aux animaux; des brochures de vulgarisation spécifiques
à l'élevage de bovins laitiers traitant ces aspects sont
disponibles au niveau du service de l'alimentation du bétail.
· Alimentations : L'alimentation
des vaches laitières dépend fortement des matières
disponibles. Les vaches laitières sont le plus souvent en enclos ou en
stabulation. Leur alimentation doit leur être apportée sur place
contrairement aux zébus. Les vaches laitières pourront être
alimentées par des produits ramassés ou cultivés : des
herbes longues, fourrages plantés (avoine, ray-grass, radis fourrager,
brachiation). Elles pourront aussi recevoir des sous-produits des cultures :
pailles de riz, feuilles ou tubercules de pomme de terre, feuilles ou
tubercules de patate douce, de bananiers....
100% aliments bio dont 60% de fourrages grossiers et donc au
maximum 40% de concentrés.
50% de l'alimentation doit provenir de l'exploitation ou
d'exploitation bio principalement située dans la même
région
L'engraissement en bâtiment ne peut excéder une
période de 3 mois.
Pas de limitation de la part d'ensilage dans la ration.
III-PLAN DE MASS
Figure N° 8: plan
de mass
Enclos de promenade avec végétations
verte
Enclos de promenade avec végétations
verte
Magasin de stockage de la matière
première
Bâtiment des vaches laitières
Bâtiments des poules pondeuses
SECURITE
Toilette
Eau usage
Parking
Magasin de stockage du produit
élevages
Bureau
SECTION-II : CAPACITE DE
PRODUCTION
I-vente
prévisionnels :
1-quantité de productions
La production nationale des oeufs et du lait,
prévisionnels :
Tableau N° 12:
quantité de productions
Année
Produit
|
Année
1
|
Année
2
|
Année
3
|
Année
4
|
Année
5
|
OEUFS (unité)
|
73 000
|
73 400
|
73 650
|
73 900
|
74 125
|
LAITS (litres)
|
167 500
|
170 200
|
170 450
|
181 200
|
185 250
|
Sources : promoteurs
2- chiffres d'affaires estimés
Tableau N° 13:
chiffre d'affaires estimé
Années
|
Jours ouvrables
|
Quantité du produit
|
Prix unitaires
|
Chiffre d'affaires HT (en Ariary)
|
LAITS
|
OEUFS
|
LAITS
|
OEUFS
|
LAITS
|
OEUFS
|
1
|
246
|
167 500
|
73 000
|
1 500
|
400
|
251 250 000
|
29 200 000
|
2
|
246
|
170 200
|
73 400
|
1 500
|
400
|
255 300 000
|
29 360 000
|
3
|
246
|
170 450
|
73 650
|
1 500
|
400
|
255 675 000
|
29 460 000
|
4
|
246
|
181 200
|
73 900
|
1 500
|
400
|
271 800 000
|
29 560 000
|
5
|
246
|
185 250
|
74 125
|
1 500
|
400
|
277 875 000
|
29 650 000
|
Sources : promoteurs
II-
charges prévisionnels
v Consommation de biens : Ces dépenses
incluent le coût du matériel biologique c'est à dire le
cheptel, fournitures de fonctionnement et les consommations d'aliments et
produits vétérinaires.
Ø MATIERE PREMIERE
Tableau N° 14:
matière première
|
Matière première
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
VACHES LAITIERS
|
- fourrages
|
9 125 000
|
9 272 100
|
9 285 750
|
9 871 350
|
10 091 900
|
-foins
|
2 750 000
|
2 794 500
|
2 798 450
|
2 974 900
|
3 041 400
|
- Orge
|
8 525 000
|
8 664 410
|
8 675 140
|
9 222 250
|
9 428 300
|
- Blé fourrager
|
7 400 000
|
7 515 225
|
7 586 205
|
8 118 085
|
8 248 380
|
- Maïs
|
20 167 000
|
20 350 000
|
20 465 830
|
20 953 438
|
21 124 326
|
- Mélange de minéraux
|
4 129 000
|
4 345 678
|
4 876 150
|
5 100 225
|
5 345 654
|
POULES PONDEUSES
|
-provendes poussin (1-35 jours)
|
15 344 500
|
15 986 438
|
16 143 430
|
16 543 540
|
16 998 000
|
-provendes poules pondeuses (+ de 35
jours)
|
24 655 660
|
24 978 354
|
25 186 320
|
25 467 830
|
25 987 450
|
Sources : promoteur
Ø PRIX DE CHEPTELS
Tableau N° 15:
prix des cheptels
CHEPTELS
|
NOMBRES
|
CU en Ariary
|
PRIX en Ariary
|
VACHES LAITIERS
|
50
|
2 000 000
|
100 000 000
|
POULES PONDEUSES
|
200
|
2500
|
500 000
|
Sources : promoteur
Ø AUTRES APPROVISIONNEMENTS
Tableau N° 16:
autres approvisionnements
Désignations
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
Fournitures consommables
|
2 163 430
|
2 436 670
|
2 637 655
|
2 987 840
|
2 998 950
|
Sources : promoteur
Ø ACHAT NON STOCKES
Tableau N° 17:
achat non stockés
Rubrique
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
Eaux et électricités
|
5 245 000
|
5 335 520
|
5 9403 00
|
650 000
|
6 910 520
|
Carburants
|
2 145 000
|
2 323 565
|
2 565 325
|
2 654 000
|
2 734 540
|
Sources : promoteur
Ø FRAIS DES PERSONNELS :
Les effectifs de la société sont estimés
à 15 agents pour une masse salariale annuelle de 51 000 000
Tableau N°18 :
frais des personnels
Rubrique
|
Nombre travailleur
|
Salaire mensuel
|
Salaire annuel
|
Taux d'augmentation annuel (%)
|
ANNE 1
|
15
|
4 250 000
|
51 000 000
|
0
|
ANNE 2
|
15
|
4 250 000
|
51 000 000
|
0
|
ANNE 3
|
15
|
4 335 000
|
52 020 000
|
2
|
ANNE 4
|
15
|
4 462 500
|
53 550 000
|
3
|
ANNE 5
|
15
|
4 632 500
|
55 590 000
|
4
|
Sources : promoteur
Ø FRAIS FINANCIER :
Les frais financiers n'ont pas étaient prévu
attendu qu'aucun prêt bancaire n'est à contracter et en l'absence
des intérêts et agios ce poste est nul.
Tableau N° 19:
frais financière
Désignation
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
-intérêt d'emprunt
|
15 272 400
|
12 217 920
|
9 163 440
|
6 108 960
|
3 054 480
|
Sources : promoteur
Ø FRAIS DIVERS :
Ce poste représente l'ensemble des frais
inhérents aux assurances de sinistres.*
Tableau N° 20:
frais divers
Désignation
|
Montant
|
Assurance
|
980 000
|
Publicité
|
1 000 000
|
Entretient et reparation
|
500 000
|
v sources : promoteurs
Ø CHARGES FISCALES
Tableau N° 21:
Charges fiscales
Désignation
|
Montant
|
-impôts et taxes
-droit d'enregistrements
-immatriculation au RCS
-immatriculation statiques
|
320 000
500 000
16 000
40 000
|
Sources : promoteurs
CHAPITRE II : ETUDE
ORGANISATION
Pour réaliser son objet social et atteindre les
objectifs de développement, de production et de gestion, l'Entreprise
sera orientée vers une structure d'organisation fonctionnelle, où
chacune des fonctions principales est contrôlées au niveau
central.
Cette organisation présente plusieurs avantages qui
permettent d'une part de concentrer les compétences afin d'être
plus efficace et ce en orientant et en regroupant les personnes dans une
activité spécialisée et d'autre part de faciliter le
contrôle des activités de l'entreprise.
Cependant, tout schéma organisationnel porte des
inconvénients et des incohérences fonctionnelles qui peuvent
apparaître selon la spécificité de chaque entreprise.
Après analyse des multiples possibilités qui s'offre à
l'entreprise, il a été opté pour l'organisation la plus
adéquate.
Car la performance de l'entreprise dépend de
l'adéquation entre sa stratégie et ses structures qui doivent
faire preuve de souplesse face à l'évolution de
l'environnement.
Ces chapitres nous va sur les fonctionnements de
l'organisation des personnels, autrement dit on va parler sur les gestions et
les managements des ressources humaines.
En première point ; on va parler sur les gestions
des personnels ; c'est-à-dire on va mettre des suggestions sur les
effectifs des personnels, les fonctions hiérarchiques ; et ensuite
on va mettre en relief la gestion de ressources humaines c'est-à-dire la
gestion de recrutement et intégration, gestion de rétribution,
gestion de formation, gestion sociale et enfin évaluation des
performances;
Et en deuxième points, on va souligner sur les
organigrammes ;
Enfin on va déduire les charges sociales.
SECTION-I: ORGANISATIONS DES
PERSONNELS
Avoir un bon nombre des personnels bien qualifiés en
termes des compétences mais non pas sureffectifs sont plus rentables
d'avantages, qu'avoir des surnombres en équipe moins
compétents ; la gestion et le management des humaines sont
très importants pour que l'entreprise ne tourne pas en catastrophe.
I-GESTION DES PERSONNELS
Gérer et manager d'une entreprise c'est d'entretenir
pour le bon fonctionnement du moteur qui faire tourner et développer la
puissance de l'entreprise.
Les nombres des personnels en effectifs doivent gérer
avec attention et avec précision ; vue sur l'ampleur des taches
à accomplir. Pour que l'entreprise reste bénéficiaires
à chaque vente, une entreprise cherches des équipe polyvalents
qui sont prés à faire des différentes services
multifonctionnels à la longueur de sa motivations et sa
compétences personnels ;que professionnels pour bien gérer
le budgets de fonctionnement générale de l'entreprises, il est
facile ainsi de gérer peu nombre de personnel bien actifs et
compétant que diriger des plusieurs humaines qui sont pas conscients des
tâches qu'on leurs afférées
Tableau N° 22:
effectifs des personnels
TITRE DE POSTE
|
NOMBRES
|
MISSIONS
|
PROFILS
|
QUALITE REQUISE
|
DG
|
1
|
Assurer la coordination des tâches administratives et
financière, commerciales et techniques et le contrôle de la
production, GRH
|
Niveau BACC+4 en gestion, parlant le français et
l'anglais couramment
Expériences d'au moins 2 ans
|
-bonne connaissances des personnels
-bonne connaissance relationnels
-il doit être exemplaire de personnels
|
DAF
|
1
|
Comportent les tâches financières, la
facturation, écriture comptable, manipulation de l'argent
(trésorier), les assurances, le crédit, suivi des dossiers
clients et fournisseurs, maîtriser les outils de gestion informatique
|
Niveau BACC+3en gestion, parlant français et
l'anglais.
Expérimenté
|
Dynamique
Sérieux
Motiver
Méthodique
Rigoureux
Réactifs
|
DC
|
1
|
se rapportent à l'orientation et au conseil commercial
afin d'adapter le produit aux attentes du consommateur suite à des
études économiques.
|
Niveau BACC+3 en commerce et marketing
|
Méthodique
Réceptifs
Sérieux
Sociables
Souples
|
PRODUCTEURS
|
5
|
entretien du cheptel, sanitaire et hygiène, maintenance
des équipements d'élevage
|
Niveau BACC minimum
|
Sérieux
Motivé sur cet emploi
Dynamique
Apte à travailler en équipe
|
CHAUFFEURS
|
2
|
-transporteurs des matières premières
-assure les livraisons des produits finis auprès de
revendeurs
|
-Avoir un permis de conduire complet avec au moins 2 ans
d'expériences
-niveau BACC minimum
|
Sérieux
Bonne conduite
|
RESPONSABLES DES STOCKS
|
1
|
Il gère et optimise la gestion des stocks
(entrées et sorties des marchandises) pour minimiser le niveau de stocks
sans risquer la rupture. En liaison étroite avec les fournisseurs et les
transporteurs, il conçoit et coordonne l'ensemble de la chaîne
d'approvisionnement dans les délais impartis.
|
Niveau BACC+2 en gestion, maîtriser les outils de
gestion informatique
|
Dynamique
Sérieux
Motiver
Méthodique
Réactifs
|
MAGASINIER
|
1
|
Chargement et déchargement des marchandises.
Traitement des commandes.
Expédition des marchandises.
Inventaire des marchandises.
Conduite du chariot élévateur
|
Niveau BACC
|
Méthodique
Sérieux
Souples
|
SECURITE
|
1
|
Veiller la sécurité de l'entreprise
|
Niveau BEPC
|
Fort
Dynamique
Sérieux
confiant
|
VENDEURS
|
2
|
Responsable de vente et de la commande
|
Niveau BACC+2 en commerce marketing
|
Méthodique
Réceptifs
Sérieux
Sociables
Souples
|
Sources : promoteurs
II-GESTION DE RESSOURCES HUMAINES
La gestion des ressources humaines, ou gestion du personnel,
est une des bases fondamentales qui permettent le développement de tout
organisme professionnel, il s'agit d'une activité qui vise à
améliorer la communication transversale, tout en faisant respecter
l'organigramme de l'entreprise.
On pourrait définir les ressources humaines comme
l'ensemble de pratiques du management, ayant pour objectif de mobiliser et
développer les ressources humaines, afin d'obtenir une plus grande
productivité et une meilleure qualité de travail.
Elle vise principalement la valorisation des
compétences, de la motivation, l'information et l'organisation.
Elle permet, également, d'aborder la relation de
l'organisation avec son collaborateur depuis son recrutement jusqu'à son
départ de l'entreprise (retraite, licenciement, démission
...).
1- La
gestion du recrutement et de l'intégration
On a recruté et conservé les profils les plus
compétents qui font cruellement défaut .La performance d'une
entreprise est avant tout directement dépendante des qualités de
ses salariés, que ce soient la motivation, la capacité
d'innovation ou la volonté de travailler en groupe
Tableau
N° 23: gestion du recrutement et de l'intégration
Recrutement interne
|
Recrutement externe
|
· une note de service
· dans le journal de l'entreprise
· par performance individuel
|
· Internet
· journaux et presse
· médias
· annonce
|
Sources : promoteurs
2- La
gestion des rétributions
L'estimation du juste salaire est dépendante de
multiples paramètres dont l'offre de la concurrence n'est pas le
moindre.
3- La
gestion de la formation
Elle doit être un jeu gagnant-gagnant et répondre
à la fois aux besoins en compétence à court terme de
l'entreprise et aux souhaits de construction d'une solide carrière des
salariés à plus long terme.
4- La
gestion sociale
L'entreprise est une organisation humaine, elle est donc
confrontée à tous les aspects des relations inter personnelles.
Il faut aussi aller plus avant et bâtir des organisations plus
humaines et plus pro-actives à la fois
5-Evaluation de la performance
La mesure de la performance correspond à
l'évaluation périodique de l'aptitude des personnels à
atteindre les objectifs qui sont fixés. La compétition entre les
salariés et la quête de la performance à court terme aux
dépens du long terme en sont bien trop souvent le résultat.
III-CONDITION DE TRAVAIL
Horaires de travail
Pour étoffer les structures en personnel
qualifié permettant à l'Entreprise de profiter de la formation
spécifique et de l'expérience acquise qui améliorent la
qualité et la quantité de travail fourni, nous avons opté
de pouvoir les postes de travail par une main d'oeuvre
spécialisée dans le domaine des activités élevage
et ce selon le programme journalier d'emploi arrêté comme
suit :
Tableau N° 24:
horaires du travail
Fonctions
|
Poste de travail
|
Effectif prévue permanent
|
Durée d'emploi
|
Horaires par jours
|
Direction
|
DG
|
1
|
CDI
|
8h
|
Finances, GRH, Comptabilité, administration
|
DAF
|
1
|
CDI
|
8h
|
Marketing, commerce
|
DC
|
1
|
CDI
|
8h
|
Vente
|
Vendeurs
|
2
|
CDI
|
8h
|
Stockage et achat
|
Responsable de stocks
|
1
|
CDI
|
8h
|
Stockage de produit
|
Magasinier
|
1
|
CDI
|
8h
|
Productions
|
Producteurs
|
5
|
CDI
|
10h
|
Transport
|
Chauffeurs
|
2
|
CDI
|
6h
|
Sécurisation
|
Sécurité
|
1
|
CDI
|
12h
|
Sources : promoteur
SECTION II- ORGANIGRAMME DE
L'ENTREPRISE
L'organigramme est avant tout un outil de communication
destiné à faciliter la compréhension des rapports et liens
existants au sein de la ferme. Ici la nomination de la ferme est
mentionnée par l'abréviation SANIFERME. Le mot
SANI est tiré par le mot santé, en additionnant
par la FERME, c'est-à-dire, ferme de la santé,
donc les produits biologiques de notre ferme grâce à la
biodiversité naturels est largement gamme de la santé.
L'entreprise SANIFERME est dirigée par son
Directeurs Générale (DG) ;
qui est la première responsable et le décideur principal de la
ferme. Un Directeur Administratif et Financier (DAF) est
sous la supervision de la directeurs générale ; en
parallèle avec lui, un Directeurs Commercial
(DC) est aussi sous la supervision de la Directeurs
Générale. Cinq producteurs, un responsable de stocks,
deux chauffeurs et une sécurité sont dirigés et
surveillé par DAF et parallèlement avec les, un
magasinier et deux vendeurs sont dirigé et surveillé par
DC
ORGANIGRAMME GENERALE DE LA FERME
Figure N° 9:
organigramme de l'entreprise
Sources : promoteurs
SECTION 3:CHARGE
SALARIALES
Les couts salariaux sont constitué par l'ensemble des
dépenses qui incombent l'entreprise pour l'emploi d'un salarié
Tableau N° 25:
charges salariales
SALAIRE NET = SALAIRE BRUT +CNAPS + SMIA
Poste
|
Nombre
|
Salaire mensuel
|
Salaire annuel
|
SMIA (5%)
|
CNaPS (13%)
|
Charge patronale
|
Charge salariale mensuel
|
Charge salariale annuel
|
DG
|
1
|
500 000
|
6 000 000
|
300 000
|
780 000
|
1 080 000
|
590 000
|
7 080 000
|
DAF
|
1
|
400 000
|
4 800 000
|
240 000
|
624 000
|
864 000
|
472 000
|
5 664 000
|
DC
|
1
|
400 000
|
4 800 000
|
240 000
|
624 000
|
864 000
|
472 000
|
5 664 000
|
PRODUCTERURS
|
5
|
1 250 000
|
15 000 000
|
750 000
|
1 950 000
|
2 700 000
|
1 475 000
|
17 700 000
|
CHAUFFEURS
|
2
|
400 000
|
4 800 000
|
240 000
|
624 000
|
864 000
|
472 000
|
5 664 000
|
RESPONSABLES DE STOCKS
|
1
|
250 000
|
3 000 000
|
150 000
|
390 000
|
540 000
|
295 000
|
3 540 000
|
SECURITE
|
1
|
200 000
|
2 400 000
|
120 000
|
312 000
|
432 000
|
236 000
|
2 832 000
|
MAGASINIER
|
1
|
250 000
|
3 000 000
|
150 000
|
390 000
|
540 000
|
295 000
|
3 540 000
|
VENDEURS
|
2
|
600 000
|
7 200 000
|
360 000
|
936 000
|
1 296 000
|
708 000
|
8 496 000
|
Total
|
|
4 250 000
|
51 000 000
|
2 550 000
|
6 630 000
|
9 180 000
|
5 015 000
|
60 180 000
|
Source : promoteur
Dans cette partir on va parler sur la concrétisation du
projet exécuter par la ferme ; c'est-à-dire la mise en
évidence de l'établissement des réalisations et de
l'existence pour la bonne activité et le déroulement sur la mise
en oeuvre de l'entreprise.
Le contexte constitue à introduire la ferme aux actions
de la réalité et les cas courantes des organisations et des
productions des laits et des oeufs. L'introduction détermine à
l'ensemble des investissements et gestion sur les plan de fonctionnements
financière et budgets de la ferme.les sources financières sont
tous les clés d'avancement et de retraits pour toutes entreprises ;
un plan ou une prévision de budgets mal mené ou ma
géré fait reculée les autres collaborateurs, alors, il
faut toutes faires en sorte qu'un plan est une prévision doivent bien
approprier aux affres et aux engagements élaborer et tant que proposer
par la ferme
Remarque : les chiffres
budgétaires présentés sont en Ariary
CHAPITRE I : DETERMINATION DES
COÛTS DES INVESTIMENT
Le mot investissement indique l'introduction des apports des
fonds de déroulements par des personne morales ou physiques qui
s'associé pour réaliser un mise en existences d'un projet et de
tirer en profit des bénéfices rentables ; après avoir
conclure un accord d'associé eux sont des actionnaires actifs au sein de
la ferme et l'accord qui définira les part apporté et ou gagner
par chaque actionnaire. L'investissement est l'acte par lequel un entreprise
dépense de l `argents pour en gagner plus
Section-I : immobilisations
incorporelles
Les immobilisations incorporelles augmentent l'actif de
l'entreprise alors même que les investissements qu'elles
représentent ne sont pas des biens palpables (contrairement aux
immobilisations corporelles). Les immobilisations incorporelles sont, par
exemple, les brevets, les licences, logiciels et marques détenus par
l'entreprise, mais aussi le fonds de commerce.
Pour bien réaliser le présent projet ; le
tableau ci-après montre que les immobilisations incorporelles
nécessaires s'élèvent à 400 000
Ariary et amortissable pendant 4 ans.
Tableau N° 26:
immobilisations incorporelles
Rubriques
|
Quantité
|
Prix unitaire
|
Prix totale
|
Frais de développements
|
1
|
400 000
|
400 000
|
Total
|
1
|
0
|
400 000
|
Source : promoteur
Section II : immobilisations
corporelles
Une immobilisation est un élément du patrimoine
de société ayant une valeur positive, c'est donc
un actif.
Construction et aménagement
divers
Tableau N° 27:
Construction et aménagement divers
Rubrique
|
Caractéristique
|
Nombres
|
Prix unitaire
|
Prix totale
|
Constructions
|
-bâtiment vaches laitiers
-bâtiment poules pondeuses -magasins
-autres
|
1
1
2
3
|
15 000 000
8 000 000
4 000 000
1 500 000
|
15 000 000
8 000 000
8 000 000
4 500 000
|
Aménagement et installation divers
|
Aménagement et installation divers
|
1
|
2 500 000
|
2 500 000
|
Source : promoteur
Matériels informatique et mobilier de
bureau
Tableau N° 28:
Matériels informatique et mobilier de bureau
Rubrique
|
caractéristique
|
Nombres
|
Prix unitaire
|
Prix totale
|
matériels informatiques
|
-ordinateurs
- téléphone fixe
|
3
3
|
500 000
100 000
|
1 500 000
300 000
|
Mobilier de bureau
|
-armoire
-chaises
-table de bureau
|
3
15
5
|
150 000
25 000
100 000
|
450 000
375 000
500 000
|
Source : promoteur
Matériels de bases
Tableau N° 29:
Matériels de bases
Rubriques
|
Nombres
|
Prix unitaire
|
Prix totale
|
-combinaisons
|
15
|
20 000
|
300 000
|
-botte de ferme
|
15
|
15 000
|
225 000
|
-cache bouche
|
15
|
2 000
|
30 000
|
-pompe de désinfections
|
4
|
40 000
|
160 000
|
Balais
|
10
|
500
|
5 000
|
Matériels de transport
Tableau N° 30:
Matériels de transport
Nature
|
Nombre
|
Prix unitaire
|
Prix totale
|
Camionnette pour transport de la matière
première
|
1
|
15 000 000
|
15 000 000
|
Mazda fourgon pour la livraison du produit
|
1
|
10 000 000
|
10 000 000
|
Source : promoteur
Matériels et outillages
Tableau N° 31:
Matériels et outillages
Cheptels
|
natures
|
Nombre
|
Prix unitaires
|
Prix totales
|
Poules pondeuses
|
-Abreuvoirs
-Mangeoires
-Régulations
-chauffages
|
30
30
10
10
|
15 000
15 000
20 000
20 000
|
450 000
450 000
200 000
200 000
|
Vaches laitiers
|
-Abreuvoirs
-Mangeoires
-Boite de régulations
-Sondes trayeuse
-Analyseurs des laits
- ficèles
|
20
20
5
5
2
10
|
30 000
25 000
30 000
80 000
100 000
1 000
|
600 000
500 000
150 000
400 000
200 000
10 000
|
Source : promoteur
Totales des immobilisations
corporelles
Tableau N° 32:
Totales des immobilisations corporelles
Rubriques
|
Montant
|
Construction et aménagements divers
|
38 000 000
|
Terrains
|
20 000 000
|
Matériels informatiques et mobilier de bureau
|
3 125 000
|
Matériels de bases
|
720 000
|
Matériels de transport
|
25 000 000
|
Matériels et outillages
|
3 160 000
|
TOTAL
|
90 005 000
|
Source : promoteur
Section III : immobilisation
cheptels
Cheptels
Tableau N° 33:
immobilisations cheptels
Cheptels
|
Nombres
|
Prix unitaire
|
Prix totale
|
Vaches laitiers
|
50
|
2 000 000
|
100 000 000
|
Poules pondeuses
|
200
|
2500
|
500 000
|
Source : promoteur
TABLEAU DE RECAPITULATIONS DES
IMMOBILISATIONS
Tableau N° 34:
récapitulations des immobilisations
Rubriques
|
Montants
|
Immobilisation incorporelle
|
400 000
|
Immobilisation corporelles
|
90 005 000
|
Immobilisation cheptels
|
100 500 000
|
Total
|
190 905 000
|
Source : promoteur
Section-IV : fond de
roulement initial
Le fond de roulement correspond à la différence
entre la ressource stable de l'entreprise et les actifs immobilisé il
constitue un élément clé de l'équilibre financier
d'une entreprise
I-RECAPITULATION DE CHARGE ANNUEL DE PREMIERE ANNEE
Tableau N° 35:
récapitulations des charges de la première année
N° de compte
|
Rubriques
|
Prix totales
|
60
601
602
606
|
Achat consommés :
-matière première
-autres approvisionnements
-achat non stockés
|
92 655 660
2 163 430
7 390 000
|
61-62
615
623
|
Service extérieur et autre service
extérieur
-entretient et réparations
-publicité
|
500 000
1 000 000
|
628
|
-cotisation divers
|
980 000
|
63
631
6312
63123
|
Impôts et taxes et versement
assimilés:
-impôts et taxes
-droit d'enregistrements
-droit de délivrances des documents divers
|
320 000
500 000
56 000
|
64
641
645
|
Charges personnels
-rémunération des personnels
-cotisations aux organismes sociaux
|
51 000 000
9 180 000
|
TOTAL
|
CHARGES ANNUELLE
|
165 745 090
|
Source : promoteur
II-
CALCUL DE FOND DE ROULEMENT
Pour déterminer la valeur de fond de roulement initial
sur trois mois d'exploitation, voici la formule
D'où FDRI
3
FDRI= 41 436 272, 5 Ariary
Alors
Nature du FDRI
Tableau N° 36:
nature du FDRI
Montant
|
Apport des promoteurs
|
A financier
|
41 436 272, 5
|
41 436 272, 5
|
0
|
Source : promoteur
Récapitulation des
investissements
Tableau N° 37:
récapitulations des investissements
Rubriques
|
Montant
|
Immobilisation incorporelles
|
400 000
|
Immobilisations corporelles
|
190 505 000
|
Fond de roulement initial
|
41 436 272, 5
|
TOTAL
|
232 341 272, 5
|
Source : promoteur
CHAPITRE-II : PLAN DE
FINANCEMENT
Section-I :
Schéma de l'investissement
Io = immobilisation + FDRI
Calculons d'abord l'investissement initial
(Io)
I0 = 232 341 272, 5
Ariary
I0 = 190 905 000 + 41 436 272, 5
Figure
N°10 :Figure de l'investissement
I0 = 232 341 272, 5
En nature
20 000 000
En numéraire
94 543 000
A financier
0
Apport
41 436 272, 5
APPORT
114 543 000
A FINANCIER
76 362 000
Immobilisations
190 905 000
FDRI
41 436 272, 5
Section-II : plan de
financements prévisionnels
Le plan de financement prévisionnels est un tableau qui
permet de s'assurer de l'équilibre financier d'un projet, autrement dit
de l'adéquation entre les besoins qu'il généré et
le ressources les besoin contribuera former la trésorerie.
TABLEAU DE FINANCEMENT
Tableau N° 38:
plan de financements
RUBRIQUE
|
MONTANT
|
APPORT
|
A FINANCIER
|
Ressource :
- Fond propre en nature
- fond propre en numéraire
-Emprunt à long terme
-Emprunt à court terme
|
20 000 000
135 979 272, 5
76 362 000
0
|
20 000 000
135 979 272, 5
0
0
|
0
0
76 362 000
0
|
Totale de ressource
|
232 341 272, 5
|
155 976 272, 5
|
76 362 000
|
Besoins :
- investissement en immobilisation
-FDRI
|
190 905 000
41 436 272, 5
|
114 543 000
41 436 272, 5
|
76 362 000
0
|
Totale des besoins
|
232 341 272, 5
|
155 976 272, 5
|
76 362 000
|
Source : promoteur
Section-III : remboursement d'emprunts
Le remboursement correspond à la restitution par
l'emprunteur au créancier de la somme empruntée
Tableau de remboursement d'emprunt
Annuité = amortissement + intérêt
V0 = 76 362 000
t = 20%
n = 5 ans
a = 15 272 400
Tableau N° 39:
tableau de remboursement d'emprunt
Période
|
Capital en début de période
|
Intérêt (20%)
|
Amortissement
|
Annuité
|
Capital en fin de périodes
|
1
|
76 362 000
|
15 272 400
|
15 272 400
|
30 544 800
|
61 089 600
|
2
|
61 089 600
|
12 217 920
|
15 272 400
|
27 490 320
|
45 817 200
|
3
|
45 817 200
|
9 163 440
|
15 272 400
|
24 435 840
|
30 544 800
|
4
|
30 544 800
|
6 108 960
|
15 272 400
|
21 381 360
|
15 272 400
|
5
|
15 272 400
|
3 054 480
|
15 272 400
|
18 326 880
|
0
|
Source : promoteur
CHAPITRE-III : AMORTISSEMENT
DES MATERIELS
L'amortissement est la constatation comptable et annuelle de
la perte de valeur des actifs d'une entreprise subie du fait de l'usure, du
temps ou de l'obsolescence. L'amortissement comptable permet d'étaler le
coût d'une immobilisation sur sa durée d'utilisation.
Il existe plusieurs méthodes d'amortissements dans la
comptabilité. Tout d'abord, l'amortissement
linéaire, qui consiste à répartir de
manière égal la perte de valeur des immobilisations de
manière constante sur la durée de vie de celui-ci. Il
existe également l'amortissement dégressif,
qui permet aux entreprises d'appliquer un coefficient fiscal au taux
linéaire. Enfin, l'amortissement variable, qui
consiste à amortir un bien sur la base des unités d'oeuvre qu'il
consomme (en kilomètre pour un véhicule par exemple).
Durée et taux
d'amortissement
Tableau N° 40:
durée et taux d'amortissements
Types d'immobilisation
|
Duré (par ans)
|
Taux %
|
-Frais de développements
-Immobilisation cheptels
-Construction
-Aménagement et installation technique
-Mobilier de bureau
-Matériels informatique
-Matériels de transport
-Matériels et outillages
|
3
1
20
5
10
4
5
5
|
20
100
5
20
10
20
20
10
|
Source : promoteur
SECTION-I : AMORTISSEMENT DES
IMMOBILISATION INCORPORELLES
Frais de développement
Valeurs d'origine : 400 000 Ar
Durée : 3 ans
Tableau N° 41:
amortissements de frais de développement
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
cumul
|
VCN
|
1
|
400 000
|
133 333, 3333
|
133 333, 3333
|
386 666, 666 7
|
2
|
400 000
|
133 333, 3333
|
266 666, 6666
|
133 333, 333 4
|
3
|
400 000
|
133 333, 3333
|
400 000
|
0
|
Source : promoteur
SECTION-II : AMORTISSEMENT
DES IMMOBILISATION CORPORELLES
I-constructions :
V0 = 35 500 000
n = 20 ans
Tableau N° 42:
amortissements de constructions
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
cumul
|
VCN
|
1
|
35 500 000
|
1 775 000
|
1 775 000
|
33 725 000
|
2
|
35 500 000
|
1 775 000
|
3 550 000
|
31 950 000
|
3
|
35 500 000
|
1 775 000
|
5 325 000
|
30 175 000
|
4
|
35 500 000
|
1 775 000
|
7 100 000
|
28 400 000
|
5
|
35 500 000
|
1 775 000
|
8 875 000
|
26 625 000
|
Source : promoteur
II-mobilier de bureau
V0 = 13 250 00
n=10
Tableau N° 43:
amortissements de mobilier de bureau
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
Cumul
|
VCN
|
1
|
1 325 000
|
132 500
|
132 500
|
1 192 500
|
2
|
1 325 000
|
132 500
|
265 000
|
1 060 000
|
3
|
1 325 000
|
132 500
|
397 500
|
927 500
|
4
|
1 325 000
|
132 500
|
530 000
|
795 000
|
5
|
1 325 000
|
132 500
|
662 500
|
662 500
|
Source : promoteur
III- aménagements et installation divers
Tableau N° 44:
amortissements des aménagements et installations divers
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
Cumul
|
VCN
|
1
|
2 500 000
|
500 000
|
500 000
|
200 000
|
2
|
2 500 000
|
500 000
|
1 000 000
|
1 500 000
|
3
|
2 500 000
|
500 000
|
1 500 000
|
1 000 000
|
4
|
2 500 000
|
500 000
|
2 000 000
|
500 000
|
5
|
2 500 000
|
500 000
|
2 500 000
|
0
|
Source : promoteur
IV- matériels de transport :
V0 = 25 000 000
n = 5
Tableau N° 45:
amortissements de matériels de transport
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
Cumul
|
VCN
|
1
|
25 000 000
|
5 000 000
|
5 000 000
|
20 000 000
|
2
|
25 000 000
|
5 000 000
|
10 000 000
|
15 000 000
|
3
|
25 000 000
|
5 000 000
|
15 000 000
|
10 000 000
|
4
|
25 000 000
|
5 000 000
|
20 000 000
|
5 000 000
|
5
|
25 000 000
|
5 000 000
|
25 000 000
|
0
|
Source : promoteur
V- matériels informatiques
V0 = 1 800 000
n = 4
Tableau N° 46:
amortissements de matériels informatiques
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
Cumul
|
VCN
|
1
|
1 800 000
|
450 000
|
450 000
|
1 350 000
|
2
|
1 800 000
|
450 000
|
900 000
|
900 000
|
3
|
1 800 000
|
450 000
|
1 350 000
|
450 000
|
4
|
1 800 000
|
450 000
|
1 800 000
|
0
|
Source : promoteur
VI- matériels et outillages
V0 = 3 160 000 n = 5
Tableau N° 47:
amortissements des matériels et outillages
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
Cumul
|
VCN
|
1
|
3 160 000
|
632 000
|
632 000
|
2 528 000
|
2
|
3 160 000
|
632 000
|
1 264 000
|
1 896 000
|
3
|
3 160 000
|
632 000
|
1 896 000
|
1 264 000
|
4
|
3 160 000
|
632 000
|
2 528 000
|
632 000
|
5
|
3 160 000
|
632 000
|
3 160 000
|
0
|
VII- cheptels (poules pondeuses)
V0 = 500 000
n = 1
Tableau N° 48:
amortissements des cheptels
Année
|
Valeurs d'origine
|
Amortissement
|
Cumul
|
VCN
|
1
|
500 000
|
500 000
|
500 000
|
0
|
Section-III :
récapitulations des amortissements
Tableau N° 49:
récapitulations des amortissements
V0
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
|
Cumul amorti
|
VCN
|
Cumul amorti
|
VCN
|
Cumul amorti
|
VCN
|
Cumul amorti
|
VCN
|
Cumul amorti
|
VCN
|
400 000
|
133 333, 3333
|
386 666, 666 7
|
266 666, 6666
|
133 333, 333 4
|
400 000
|
0
|
400 000
|
0
|
400 000
|
0
|
500 000
|
500 000
|
0
|
500 000
|
0
|
500 000
|
0
|
500 000
|
0
|
500 000
|
0
|
1 325 000
|
132 500
|
1 192 500
|
265 000
|
1 060 000
|
397 500
|
927 500
|
350 000
|
795 000
|
662 500
|
662 500
|
1 800 000
|
450 000
|
1 350 000
|
900 000
|
900 000
|
1 350 000
|
450 000
|
1 800 000
|
0
|
1 800 000
|
0
|
2 500 000
|
500 000
|
200 000
|
1 000 000
|
1 500 000
|
1 500 000
|
1 000 000
|
2 000 000
|
500 000
|
2 500 000
|
0
|
3 160 000
|
632 000
|
2 528 000
|
1 264 000
|
1 896 000
|
1 896 000
|
1 264 000
|
2 528 000
|
632 000
|
3 160 000
|
0
|
25 000 000
|
5 000 000
|
20 000 000
|
10 000 000
|
15 000 000
|
15 000 000
|
10 000 000
|
20 000 000
|
5 000 000
|
25 000 000
|
0
|
35 500 000
|
1 775 000
|
33 725 000
|
3 550 000
|
31 950 000
|
5 325 000
|
30 175 000
|
7 100 000
|
28 400 000
|
8 875 000
|
26 625 000
|
CHAPITRE-IV : ETUDE DE
FAISABILITE ET RENTABILITE FINANCIER
SECTION-I : BILAN
D'OUVERTURE
L'intangibilité du bilan d'ouverture
est un principe comptable selon lequel le bilan d'ouverture d'un
exercice doit être identique au bilan clôturé au terme de
l'année précédente. Le bilan d'ouverture de l'année
n doit donc reprendre à l'identique l'ensemble des comptes et
des éléments chiffrés à la clôture du bilan
n - 1, et ainsi de suite.
L'actif représente l'ensemble du patrimoine d'une
entreprise, la majeure partie de ce qu'elle possède. A contrario, le
passif est la somme de ce qu'elle doit à ses créanciers, etc. Les
éléments d'actif et de passif sont évalués
séparément, aucune compensation n'étant opérable
entre ces 2 postes.
Tableau N° 50:
bilan d'ouverture
ACTIFS
|
MONTANT
|
PASSIFS
|
MONTANT
|
Actifs non courants
Immobilisation incorporelles
-Frais d'établissements
Immobilisation corporelles
-Terrains
-Constructions
-aménagement et installation
-Mobilier de bureau
-Matériels informatique
-Matériels de transport
-Matériels de bases
-Matériels et outillages
Immobilisations cheptels
Cheptels
|
400 000
20 000 000
35 500 000
2 500 000
1 325 000
1 800 000
25 000 000
720 000
3 160 000
100 500 000
|
Capitaux propre
capital
total capitaux propre
passifs non courant
emprunts auprès de l'établissement de
crédit
|
137 616 392, 5
137 616 392, 5
94 724 880
|
Total ANC
|
190 905 000
|
Total PNC
|
94 724 880
|
Actifs courants
-trésorerie
|
41 436 272, 5
|
Passifs courants
|
|
Total AC
|
41 436 272, 5
|
Total PC
|
0
|
TOTAL ACTIFS
|
232 341 272, 5
|
TOTAL PASSIFS
|
232 341 272, 5
|
Source : promoteur
SECTION II : COMPTE DE
RESULTAT
Le compte de résultat prévisionnel est un
tableau qui anticipe l'ensemble des entrées et des sorties pour chacune
des trois premières années de notre entreprise. Il permet de
déterminer, à l'avance et approximâtes, le résultat
(bénéfice ou perte) que nous pensons réaliser grâce
à l'activité de notre entreprise
I:
comptes des charges.
Les charge comprennent tous les compte des classes 6 du plan
comptable 2005. Ici, nos charges sont constitue des achats, charges personnels,
impôts et taxes et charges financier et dotations aux
amortissements, les services extérieur.
Tableau N° 51:
compte de charges
Rubrique
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Anne 5
|
Achats
|
102 209 090
|
104 002 460
|
106 160 555
|
109 925 458
|
112 909 420
|
Service extérieurs
|
2 480 000
|
2 480 000
|
2 480 000
|
2 480 000
|
2 480 000
|
Charges des personnels
|
60 180 000
|
60 180 000
|
61 383 600
|
63 189 000
|
65 596 200
|
Dotations aux amortissements
|
9 122 833, 333
|
8 622 833, 333
|
8 622 833, 333
|
8 489 500
|
8 039 500
|
Charges financières
|
15 272 400
|
12 217 920
|
9 163 440
|
6 108 960
|
3 054 480
|
Impôts et taxes
|
876 000
|
876 000
|
876 000
|
876 000
|
876 000
|
TOTAL
|
190 140 323, 3
|
188 379213 ,3
|
188 686 428, 3
|
191 068 918
|
192 955 600
|
Source : promoteur
II-compte des résultats par nature
Tableau N° 52:
compte de résultats par nature
Rubriques
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
-chiffres d'affaires
|
280 450 000
|
284 660 000
|
285 135 000
|
301 360 000
|
307 525 000
|
I-production de l'exercice
-achats consommés
-services extérieurs
|
102 209 090
2 480 000
|
104 002 460
2 480 000
|
106 160 555
2 480 000
|
109 925 458
2 480 000
|
112 909 420
2 480 000
|
II- consommations de l'exercice
|
104 689 090
|
106 482 460
|
108 640 555
|
112 405 458
|
115 389 420
|
III- valeurs ajouté
|
175 760 910
|
178 177 540
|
176 494 445
|
188 954 542
|
192 135 580
|
-charges personnels
|
60 180 000
|
60 180 000
|
61 383 600
|
63 189 000
|
65 596 200
|
-impôts et taxes
|
876 000
|
876 000
|
876 000
|
876 000
|
876 000
|
IV- excédent brute d'exploitations
(EBE)
|
114 704 910
|
117 121 540
|
114 234 845
|
124 889 542
|
125 663 380
|
-dotations aux amortissements
|
9 122 833, 333
|
8 622 833, 333
|
8 622 833, 333
|
8 489 500
|
8 039 500
|
V-résultats
opérationnels
-produit financier
-charge financier
|
105 582 076,7
0
15 272 400
|
108 498 706,7
0
12 217 920
|
105 612 011,7
0
9 163 440
|
116 400 042
0
6 108 960
|
117 623 880
0
3 054 480
|
VI-résultat financier
|
(15 272 400)
|
(12 217 920)
|
(9 163 440)
|
(6 108 960)
|
(3 054 480)
|
VII-résultat avant
impôts
-impôts sur les résultats (20%)
|
90 309 676,67
18 061 935,33
|
96 280 786,67
19 256 157,33
|
96 448 571,67
19 289 714,33
|
110 291 082
22 058216,4
|
114 569 400
22 913 880
|
VIII- résultats net des activités
ordinaires
|
72 247 741,34
|
77 024 629,34
|
77 158 857,34
|
88 232 865,6
|
91 655 520
|
-produit extraordinaire
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-charges extraordinaires
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
IX-résultats extraordinaires
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
X-résultats net de
l'exploitation
|
72 247 741,34
|
77 024 629,34
|
77 158 857,34
|
88 232 865,6
|
91 655 520
|
Source : promoteur
Section-III : flux de
trésorerie
Les flux de trésorerie désignent les mouvements
de liquidités entrants ou sortants, que connaît une entreprise au
cours d'une période spécifique.
Les flux de trésorerie sont généralement
déterminés à partir des activités commerciales
courantes. Deux méthodes ont été établies pour
procéder à leur calcul :
· par méthode directe : le flux
de trésorerie est déterminé par la différence entre
les paiements et les décaissements.
· par méthode indirecte : le flux
de trésorerie résulte alors d'un ajustement du
bénéfice net de l'exercice, les charges hors caisse et les
charges à payer étant prises en compte.
La méthode directe est souvent
préférée, puisque toutes les données pertinentes
sont déjà disponibles dans le compte de résultat ou le
bilan.
Tableau N° 53:
flux de trésorerie
Année
Désignations
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
Flux de trésoreries liés aux
activités opérationnelles
|
|
|
|
|
|
-Encaissements reçus des clients
|
280 450 000
|
284 660 000
|
285 135 000
|
301 360 000
|
307 525 000
|
-Somme versées aux fournisseurs -et au personnel
|
164 869 090
|
166 662 460
|
170 024 155
|
175 594 458
|
180 985 620
|
-Intérêt et autre frais financier
|
16 148 400
|
13 093 920
|
10 039 444
|
6 984 960
|
3 930 480
|
-IBS
|
18 061 935,33
|
19 256 157,33
|
19 289 714,33
|
22 058216,4
|
22 913 880
|
(A) Flux de trésoreries net provenant des
activités opérationnelles
|
81 370 574,67
|
85 647 462,67
|
85 781 686,67
|
96 722 365,5
|
99 690 020
|
Flux de trésorerie liés aux
activités d'investissement
|
|
|
|
|
|
-Décaissement sur acquisitions d'immobilisations
|
232 341 272, 5
|
0
|
0
|
0
|
0
|
(B) Flux de trésoreries net provenant des
activistes d'investissement
|
(232 341 272, 5)
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Flux de trésoreries lie aux activités de
financement
|
|
|
|
|
|
-Encaissement suite à l'émission d'action
|
155 976 272, 5
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-Encaissement provenant d'emprunt
|
76 362 000
|
0
|
0
|
0
|
0
|
-remboursements d'emprunts
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
(C) Flux de trésoreries net provenant des
activités financement
|
217 065 872,5
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
(15 272 400)
|
Variation de trésoreries de la période
(A+B+C)
|
66 095 174,67
|
70 375 062,67
|
70 509 468,67
|
81 449 965,6
|
84 417 620
|
Trésorerie et équivalentes de
trésoreries a l'ouverture de l'exercice
|
41 436 272, 5
|
107 531 447,2
|
177 906 509,9
|
248 415 978,5
|
329 865 944,1
|
Trésoreries et équivalentes a la
clôtures de l'exercice
|
107 531 447,2
|
177 906 509,9
|
248 415 978,5
|
329 865 944,1
|
414 283 564,1
|
Section-IV : bilan
prévisionnels
Le bilan prévisionnel est une composante de la partie
financière du business plan. La finalité de ce document comptable
sera de représenter la situation patrimoniale de
l'entreprise à un moment donné, un instant
« t » appelé date de clôture de l'exercice
comptable. Il permet de vérifier l'équilibre
financier de notre projet et d'observer l'évolution de nos
chiffres au fil des années. Le bilan donne une vision de la
création de valeur de l'entreprise face à ses
« financements» au sens large du terme (dettes,
investissements, etc.). Plus synthétique que les autres types de bilan
(bilan comptable ou financier), le bilan prévisionnel permet une lecture
rapide et facile des chiffres clés de notre entreprise.
Dans cette partie, il permet de déterminer les futures
situations financières du ferme.les tableaux suivantes nous renseigne
ces bilans pendant les 5 années d'exploitations
I-bilan 31 décembre année 1
Tableau N° 54:
bilan 31 décembre année 1
ACTIFS
|
PASSIFS
|
Libellés
|
Montants bruts
|
Amortissements
|
Montant net
|
Libellés
|
Montant
|
Actifs non courants
|
|
|
|
Capitaux propre
|
|
Immobilisation incorporelles
|
|
|
|
Capital
|
155 976 272, 5
|
-Frais d'établissements
|
400 000
|
133 333, 3333
|
266 666 ,667
|
Résultat prévisionnels
|
72 247 741,34
|
Immobilisation corporelles
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
0
|
-Terrains
|
20 000 000
|
0
|
20 000 000
|
Total capitaux propre
|
228 224 013,8
|
-Constructions
|
35 500 000
|
1 775 000
|
33 725 000
|
|
|
-aménagement et installation
|
2 500 000
|
500 000
|
2 000 000
|
|
|
-Mobilier de bureau
|
1 325 000
|
132 500
|
1 192 500
|
Passifs non courant
|
|
-Matériels informatique
|
1 800 000
|
450 000
|
1 350 000
|
Dette financière
|
61 089 600
|
-Matériels de transport
|
25 000 000
|
5 000 000
|
20 000 000
|
Total passifs non courants
|
61 089 600
|
-Matériels de bases
|
720 000
|
0
|
720 000
|
|
|
-Matériels et outillages
|
3 160 000
|
632 000
|
2 528 000
|
|
|
Immobilisations cheptels
|
|
|
|
Passifs courants
|
|
Vaches
|
100 000 000
|
0
|
100 000 000
|
|
|
Poules pondeuses
|
500 000
|
500 000
|
0
|
|
|
Total ANC
|
190 905 000
|
9 122 833, 333
|
18 782166,7
|
|
|
Actifs courants
|
|
|
|
Total passifs courants
|
0
|
-trésorerie
|
107 531 447,2
|
0
|
107 531 447,2
|
|
|
Total AC
|
107 531 447,2
|
0
|
107 469 514,3
|
|
|
TOTAL ACTIFS
|
298 436 447,2
|
9 122 833, 333
|
289 313 613,9
|
TOTAL PASSIFS
|
289 313 613,9
|
Source : promoteur
II-bilan 31 décembre année 2
Tableau N° 55:
bilan 31 décembre année 2
ACTIFS
|
PASSIFS
|
Libellés
|
Montants bruts
|
Amortissements
|
Montant net
|
Libellés
|
Montant
|
Actifs non courants
|
|
|
|
Capitaux propre
|
|
Immobilisation incorporelles
|
|
|
|
Capital sociales
|
155 976 272, 5
|
-Frais d'établissements
|
400 000
|
266 666,666
|
133 333,333
|
Résultat prévisionnels
|
77 024 629,34
|
Immobilisation corporelles
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
72 495 581,36
|
-Terrains
|
20 000 000
|
0
|
20 000 000
|
Total capitaux propre
|
305 496 483,2
|
-Constructions
|
35 500 000
|
3 550 000
|
31 850 000
|
|
|
-aménagement et installation
|
2 500 000
|
1 000 000
|
1 500 000
|
|
|
-Mobilier de bureau
|
1 325 000
|
265 000
|
1 060 000
|
Passifs non courant
|
|
-Matériels informatique
|
1 800 000
|
900 000
|
900 000
|
Dette financière
|
45 817 200
|
-Matériels de transport
|
25 000 000
|
10 000 000
|
15 000 000
|
Total passifs non courants
|
45 817 200
|
-Matériels de bases
|
720 000
|
0
|
720 000
|
|
|
-Matériels et outillages
|
3 160 000
|
1 264 000
|
1 896 000
|
|
|
Immobilisations cheptels
|
|
|
|
Passifs courants
|
|
Vaches
|
100 000 000
|
0
|
100 000 000
|
|
|
Poules pondeuses
|
500 000
|
0
|
500 000
|
|
|
Total ANC
|
190 905 000
|
17 245 666,67
|
173 559 333,3
|
|
|
Actifs courants
|
|
|
|
Total passifs courants
|
0
|
-trésorerie
|
177 906 509,9
|
0
|
177 906 509,9
|
|
|
Total AC
|
177 906 527,9
|
0
|
177 906 509,9
|
|
|
TOTAL ACTIFS
|
368 811 509,9
|
17 245 666,67
|
351 565 843,2
|
TOTAL PASSIFS
|
351 565 843,2
|
Source : promoteur
III - bilan 31desembre année 3
Tableau N° 56:
bilan 31decembre année 3
ACTIFS
|
PASSIFS
|
Libellés
|
Montants bruts
|
Amortissements
|
Montant net
|
Libellés
|
Montant
|
Actifs non courants
|
|
|
|
Capitaux propre
|
|
Immobilisation incorporelles
|
|
|
|
Capital sociales
|
155 976 272, 5
|
-Frais d'établissements
|
400 000
|
400 000
|
0
|
Résultat prévisionnels
|
77 158 857,34
|
Immobilisation corporelles
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
149 520 210,7
|
-Terrains
|
20 000 000
|
0
|
20 000 000
|
Total capitaux propre
|
382 655 340,5
|
-Constructions
|
35 500 000
|
3 325 000
|
32 175 000
|
|
|
-aménagement et installation
|
2 500 000
|
1 500 000
|
1 000 000
|
|
|
-Mobilier de bureau
|
1 325 000
|
395 500
|
929 500
|
Passifs non courant
|
|
-Matériels informatique
|
1 800 000
|
1 350 000
|
450 000
|
Dette financière
|
30 544 800
|
-Matériels de transport
|
25 000 000
|
15 000 000
|
10 000 000
|
Total passifs non courants
|
30 544 800
|
-Matériels de bases
|
720 000
|
0
|
720 000
|
|
|
-Matériels et outillages
|
3 160 000
|
1 896 000
|
1 264 000
|
|
|
Immobilisations cheptels
|
|
|
|
Passifs courants
|
|
Vaches
|
100 000 000
|
0
|
100 000 000
|
|
|
Poules pondeuses
|
500 000
|
0
|
500 000
|
|
|
Total ANC
|
190 905 000
|
23 865 500
|
167 038 500
|
|
|
Actifs courants
|
|
|
|
Total passifs courants
|
0
|
-trésorerie
|
248 415 978,5
|
0
|
248 415 978,5
|
|
|
Total AC
|
439 320 978,5
|
0
|
439 320 978,5
|
|
|
TOTAL ACTIFS
|
368 811 509,5
|
23 865 500
|
415 455 478 5
|
TOTAL PASSIFS
|
415 455 478 5
|
Source : promoteur
Bilan 4 : bilan 31decembre année
4
Tableau N° 57:
bilan 31decembre année 4
ACTIFS
|
PASSIFS
|
Libellés
|
Montants bruts
|
Amortissements
|
Montant net
|
Libellés
|
Montant
|
Actifs non courants
|
|
|
|
Capitaux propre
|
|
Immobilisation incorporelles
|
|
|
|
Capital sociales
|
155 976 272, 5
|
-Frais d'établissements
|
400 000
|
0
|
400 000
|
Résultat prévisionnels
|
88 232 865,6
|
Immobilisation corporelles
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
226 679 068
|
-Terrains
|
20 000 000
|
0
|
20 000 000
|
Total capitaux propre
|
470 888 206,1
|
-Constructions
|
35 500 000
|
7 100 000
|
28 400 000
|
|
|
-aménagement et installation
|
2 500 000
|
2 000 000
|
500 000
|
|
|
-Mobilier de bureau
|
1 325 000
|
530 000
|
795 000
|
Passifs non courant
|
|
-Matériels informatique
|
1 800 000
|
1 800 000
|
0
|
Dette financière
|
15 272 400
|
-Matériels de transport
|
25 000 000
|
20 000 000
|
5 000 000
|
Total passifs non courants
|
15 272 400
|
-Matériels de bases
|
720 000
|
0
|
720 000
|
|
|
-Matériels et outillages
|
3 160 000
|
2 528 000
|
632 000
|
|
|
Immobilisations cheptels
|
|
|
|
Passifs courants
|
|
Vaches
|
100 000 000
|
0
|
100 000 000
|
|
|
Poules pondeuses
|
500 000
|
0
|
500 000
|
|
|
Total ANC
|
190 905 000
|
33 958 000
|
156 947 000
|
|
|
Actifs courants
|
|
|
|
Total passifs courants
|
0
|
-trésorerie
|
329 865 944,1
|
0
|
329 865 944,1
|
|
|
Total AC
|
329 865 944,1
|
0
|
329 865 944,1
|
|
|
TOTAL ACTIFS
|
520 770 944,1
|
33 958 000
|
486 812 944,1
|
TOTAL PASSIFS
|
486 812 944,1
|
Source : promoteur
V-bilan 31decembre année 5
Tableau N° 58:
bilan 31decembre année 5
ACTIFS
|
PASSIFS
|
Libellés
|
Montants bruts
|
Amortissements
|
Montant net
|
Libellés
|
Montant
|
Actifs non courants
|
|
|
|
Capitaux propre
|
|
Immobilisation incorporelles
|
|
|
|
Capital sociales
|
155 976 272, 5
|
-Frais d'établissements
|
400 000
|
0
|
400 000
|
Résultat prévisionnels
|
91 655 520
|
Immobilisation corporelles
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
314 911 933,6
|
-Terrains
|
20 000 000
|
0
|
20 000 000
|
Total capitaux propre
|
561 991 064,1
|
-Constructions
|
35 500 000
|
8 875 000
|
26 625 000
|
|
|
-aménagement et installation
|
2 500 000
|
2 500 000
|
0
|
|
|
-Mobilier de bureau
|
1 325 000
|
662 500
|
662 500
|
Passifs non courant
|
|
-Matériels informatique
|
1 800 000
|
0
|
1 800 000
|
Dette financière
|
0
|
-Matériels de transport
|
25 000 000
|
25 000 000
|
0
|
Total passifs non courants
|
0
|
-Matériels de bases
|
720 000
|
0
|
720 000
|
|
|
-Matériels et outillages
|
3 160 000
|
3 160 000
|
0
|
|
|
Immobilisations cheptels
|
|
|
|
Passifs courants
|
|
Vaches
|
100 000 000
|
0
|
100 000 000
|
|
|
Poules pondeuses
|
500 000
|
0
|
500 000
|
|
|
Total ANC
|
190 905 000
|
40 197 500
|
150 707 500
|
|
|
Actifs courants
|
|
|
|
Total passifs courants
|
0
|
-trésorerie
|
414 283 564,1
|
0
|
414 283 564,1
|
|
|
Total AC
|
605 188 564,1
|
0
|
605 188 564,1
|
|
|
TOTAL ACTIFS
|
605 188 564,1
|
40 197 500
|
561 991 064,1
|
TOTAL PASSIFS
|
561 991 064,1
|
CHAPITRE-V : EVALUATION
FINANCIERE
Ce chapitre permet d'analyse la viabilité de notre
projet en fonction des conditions internes et externes de notre
projet.
Section-I-CALCUL DE SEUIL
RENTABILITE
Le seuil rentabilité est le chiffre d'affaires que
l'entreprise doit atteindre pour avoir ni perte ni profit.il est important de
déterminer ce seuil. D'une part, en matière de gestion
prévisionnelle, cela permet de prévoir à quelle date et
pour quel chiffre d'affaires on devrait couvrir l'ensemble des dépenses
engagées, c'est-à-dire devenir rentable.
D'autre part, en matière de commerce, il permet de
fixer des objectifs ou de modifier sa stratégie si les perspectives
constatées en cours d'années semblent insuffisantes.
Tableau N° 59:
seuil de rentabilité
Rubrique
|
Année 1
|
Année2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
Chiffre d'affaires
|
280 450 000
|
284 660 000
|
285 135 000
|
301 360 000
|
307 525 000
|
Charge variables
|
|
|
|
|
|
Achat consommés
|
102 209 090
|
104 002 460
|
106 160 555
|
109 925 458
|
112 909 420
|
Services extérieurs
|
2 480 000
|
2 480 000
|
2 480 000
|
2 480 000
|
2 480 000
|
Total charges variables
|
104 689 090
|
106 482 460
|
108 640 555
|
112 405 458
|
115 389 420
|
Marges sur cout variables
|
175 760 910
|
178 177 540
|
176 494 445
|
188 954 542
|
192 135 580
|
Taux marges sur cout variables
|
62,67103227
|
62,59310
|
61,89555
|
62,7006
|
62,4780
|
Charges fixes
|
|
|
|
|
|
Charges du personnel
|
60 180 000
|
60 180 000
|
61 383 600
|
63 189 000
|
65 596 200
|
Charges financières
|
15 272 400
|
12 217 920
|
9 163 440
|
6 108 960
|
3 054 480
|
Dotations aux amortissements
|
9 122 833, 333
|
8 622 833, 333
|
8 622 833, 333
|
8 489 500
|
8 039 500
|
Total charges fixes
|
84 575 233,33
|
81 020 753,3
|
79 169 873,3
|
77 789 460
|
76 690 180
|
Résultat différentiel
|
91 185 676,67
|
97 156 786,7
|
97 324 571,7
|
111 165 082
|
115 445 400
|
SR
|
134 951 077,7
|
129 440 390,9
|
127 949 925,45
|
124 061 747,4
|
122 747 495,1
|
Source : promoteur
Section-II : MARGES BRUTE
D'AUTOFINANCEMENTS
La marge brute d'autofinancement (MBA) est l'un des ratios
majeurs d'évaluation financière de notre entreprise. Elle est
aussi destinée à mettre en évidence l'autonomie
financière d'une entreprise au cours d'un exercice comptable.
La MBA peut être obtenue en ajoutant le résultat
net de l'exercice (après impôt), les dotations aux amortissements
et les dotations aux provisions (en totalité ou en partie).
La MBA représente la capacité
d'autofinancement qu'une entreprise dégage au cours d'un
exercice (avant une éventuelle distribution de dividendes).
MBA = résultat net de l'exercice + dotations
aux amortissements
|
Tableau N° 60:
MBA
|
Année 1
|
Année 2
|
Année 3
|
Année 4
|
Année 5
|
MBA
|
81 370 574,67
|
85 674 462,67
|
85 781 690,67
|
96 722 365,6
|
99 695 020
|
Cumul MBA
|
81 370 574,67
|
167 045 037,3
|
252 826 728
|
349 549 093,6
|
449 244 113,6
|
Source : promoteur
Section-III : LA VALEURS
ACTUELS NETTE
Un investissement est rentable si la valeur actuelle nette des
recettes nettes d'exploitations est positive.
Alors le fonctionnement de la VAN est tout simple, il consiste
à comparer les grains d'un projet à son investissement
initial.
I-Calcule de la valeur actuelle nette (20%)
Calcul de la VAN au taux de 20%
Tableau N° 61:
calcul de la VAN au taux 20%
Année
|
MBA
|
(1 + i) - n
|
MBA (1+i) - n
|
1
|
81 370 574,67
|
0,833333
|
67 808 785,1
|
2
|
85 674 462,67
|
0,6944444
|
59 496 154,63
|
3
|
85 781 690,67
|
0,5787037
|
49 642 181,86
|
4
|
96 722 365,6
|
0,48225309
|
46 644 659,34
|
5
|
99 695 020
|
0,40187757
|
40 065 192,58
|
TOTAL
|
263 656 973,5
|
Source : promoteur
VAN = 263 656 973,5 - 232 341 272, 5
|
D'où
Alors, on a :
II-indice de profitabilité (IP)
L'indice de profité de la rentabilité relative
par rapport à l'investissement engagée est donc à la
taille de profit
IP =
|
Ainsi, l'IP de notre future ferme est :
IP =
Un IP est interpréter comme suit : pour 1 Ar
d'investissement, on obtient 0,1347 Ar de bénéfice. Ou pour d'un
investissement de 100 Ar, on obtient 13,47 Ar de profit.
Grace à ce chiffre indiquer par l'indice de
profitabilité, l'entreprise est faisable.
III-
taux de rentabilité interne (TRI)
Le taux de rentabilité interne (TRI) est le taux pour
lequel la VAN est nulle, c'est-à-dire qu'il y a équivalence entre
le capital investi et l'ensemble de la ferme actualisée
MBA 40%
Tableau N° 62:
TRI
Année
|
MBA
|
(1 +i) - n
|
MBA (1 +i) - n
|
1
|
81 370 574,67
|
0,714285
|
58 121 780,93
|
2
|
85 674 462,67
|
0,510204
|
43 711 453,55
|
3
|
85 781 690,67
|
0,364431
|
31 261 507,31
|
4
|
96 722 365,6
|
0,260308
|
22 329 660,33
|
5
|
99 695 020
|
0,185934
|
18 536 693,85
|
TOTAL
|
173 961 096
|
Source : promoteur
Pour t = 20% VAN = 31 315 701 Ar
Pour t = 40% VAN = - 58 380 176 ,53 Ar
La fonction VAN étant continue sur I;R+ on en
déduit qu'elle s'annule pour un nombre t compris entre 20% et 40%, on
veut chercher pour quelle valeur t de cette fonction VAN est nulle.
D'où 20 TRI 40
- 58 380 176,53 0 31 315 701
Par interpolation des deux encadrements ; on a
=
=
TRI = 0,349131998 x 20 + 20
Interprétation : à
un taux d'emprunt inferieur à 26,98 %, le BCM peut encore faire des
bénéfices mais plus le taux ne s'approche de 26,98 %plus le
bénéfice ne fait diminuer.
IV : le délai de récupération
(DRCI)
Le délai de récupération d'un capital
investi est le temps au bout duquel le montant cumulé des MBA est
égal au capital investi. L'actualisation est faite aux taux de
rentabilité minimum exigé par l'entreprise.
Tableau N° 63:
DRCI
MBA
|
81 370 574,67
|
85 674 462,67
|
85 781 690,67
|
96 722 365,6
|
99 695 020
|
Cumul MBA
|
81 370 574,67
|
167 045 037,3
|
252 826 728
|
349 549 093,6
|
449 244 113,6
|
Source : promoteur
Le capital investi est de 232 341 272,5 Ar
Ainsi la durée de récupération est entres
la deuxième année de l'exercice et la troisième.
Alors, 2 DRCI 3
167 045 037,3 232 341 272,5 252 826
728
Par l'exploitation des deux encadrements, on a
=
=
0 ,761190816
DRCI=2,76
DRCI = 2 ans 9 mois 4 jours
Tableau N° 64:
Résumé des outils de rentabilité
Outils
|
VAN
|
IP
|
TRI
|
DRCI
|
Valeurs
|
31 315 701
|
1,134783203
|
26,98
|
2ans 9 mois 4 jours
|
V-Evaluation économique
L'évaluation économique du SANIFERME
démontre l'implication de l'entreprise dans le développement de
la collectivité locale.
Par le bais « impôts et taxes »
versé aux administrations publique, le SANIFERME est un acteur de
développement économique Nationale et un foyer de propagation du
bien-être collectif.
Cependant, les avantage économiques offerts par les
entreprises sont multiple tel que :
- Augmentation des emplois et amélioration dans le
domaine du secteur primaire, ce qui implique au taux de salariés.
- Développement de la collectivité locale
siège de l'entreprise due aux impôts versés par
l'entreprise.
CONCLUSION
Face à l'incapacité des approches
théoriques traditionnelles à analyser la complexité du
secteur élevage notamment la filière de production du poules
pondeuses et des vaches laitières à trouver les solutions
adéquates pour résoudre les problèmes posés par les
différents acteurs ,en amont et en aval , de l'économie Malagasy,
l'approche marketing prend naissance pour fournir , comme nous l'avons
démontré dans notre étude , à l'Entreprise les
moyens d'accomplir sa mission et atteindre ses objectifs dans un environnement
économique caractérisé par l'informel et la
spéculation .
Dans ce contexte , nous considérons notre projet de
création de l'entreprise BIO-FERME, dans le
domaine d'élevage biologique de poules pondeuses et du vaches laitiers,
comme la pierre angulaire d'un nouveau marché avicole et
laitières biologique compte tenu de l'absence sur marché
biologique Malagasy de produit présentant des performances zootechniques
et par voie de conséquence constater le succès sur le plan
nutritive et gustative ainsi que sur la réduction des prix de vente.
|