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Projet de création d'une entreprise bio-ferme.


par Henintsoa Patric RAKOTOMALALA
UPRIM Madagascar - Diplôme de technicien supérieur 2019
  

Disponible en mode multipage

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INTRODUCTION

Dans une société en pleine croissance économique telle que la société Malagasy qui connaît depuis quelques années une refonte des fondements de son économie où le règne des règles du marché incite les dirigeants des entreprises à réadapter leurs stratégies selon un environnement en changement constant.

Ici à Madagascar, les éleveurs utilisent souvent en partie ou complètement des produits chimiques pour rendre leurs résultats plus efficaces. Par la mise en oeuvre d'un nouveau procédé technologique où l'acquisition d'un savoir-faire, nous avons choisi de présenter un mémoire qui a pour titre «  Projet de création d'une entreprise Bio ferme dans la région Vakinankaratra à Talata Andraikiba ». Notre projet est dédié à ne pas utilisé les produit chimique dans notre production afin de permettre un avantage concurrentiel en proposant des produits de bonne qualité, riche en élément nutritif avec de prix accessible au plus grand nombre de consommateurs.

L'objectif général que nous avons poursuivi tout au long de ce projet a été d'adopter à la production de nouvelles techniques d'élevage de poules pondeuses et du vaches laitiers qui nous permettent d'avoir une bonne qualité des oeufs et du laits, riche en élément nutritif et produite avec le moyenne coût possible afin de rendre ce produit disponible sur le marché et accessible à la classe sociale au revenu limitée.

Mais une problématique se pose : ce projet est- il faisable et rentable ?

L'élaboration de cet ouvrage va essayer de répondre à cette problématique, ainsi cet ouvrage est divisé en quatre parties :

- la première partie s'introduire par la généralité du projet qui explique sur originalité des idéologies ou l'on établie, ainsi on va parler sur la description des créations de ces projet

- La deuxième partie explique sur les faisabilités marketing en exposant sur les études des marchés et d'une autre part basé sur les actions marketing

- La troisième partie parles sur les plan techniques et cela on va mettre en des points de vue sur les plannings et gestions de projet, tandis que d'autre part sur les plans organisationnels et les fonctionnements.

- La quatrième partie sera donc les plans financière et budgétaires ; c'est-à-dire, on va analyser sur les gestions d'investissement, d'une part sur la gestion des chiffres d'affaires générales.

- Une conclusion terminera ce mémoire

CHAPITRE -I : LIEU D'EXPLOITATION

La création du projet nécessite à des grande idées d'initiative et des recherche approfondies sur les types de projet à constitué; les études et de formation suivis ne sont pas des sources d'inspiration, des guidages seulement, mais par contre notre persévérances, ainsi que notre audaces sont les éléments fondamentales qui nous persuadons de réaliser notre propre challenges et défis dans les exploitations que on a mené.

Dans ce premier chapitre quand on parle sur lieu d'exploitation; c'est toujours notre pays natal qui est dans notre esprit d'imagination. Madagascar conserve toujours ses aspect géo-économique ; que ses activité et réseaux de transport. La grande ile, ensemble des plusieurs point de région ainsi à des diverses climat et sols qui le composés.

D'une autre perspective, Vakinankaratra est notre principale lieu de bataille dans cette ouvrage, donc on va mettre notre point de vue des élevages du lieu.

Pour entamer sur les spécificités du projet ; on va citer aussi quelques point de vue du Vakinankaratra en donnant des indice sur les activités et économies du Vakinankaratra. A la fin de cette première partie on va donner nos suggestions sur les objectifs et les attentes de ce présent projet

SECTION-I : MADAGASCAR

SOUS-SECTION-I : A PROPOS DE MADAGASCAR

NOM OFFICIELLE

Madagascar

SUPERFICIE

587 041 km2

CAPITAL

Antananarivo

DECOUPAGE GEOGRAPHIQUE

22 régions, 119 districts, 1693 communes, 18251 fokontany

POPULATION

24 millions d'habitants 64% vivent dans des zones rurales et 36% dans des zones urbaines 55,68% sont de 15 à 64 ans

LANGUE OFFICIELLE

Malagasy, français

RELIGIONS

Christianisme (41%), Religion traditionnelle (52%), Islam (7%)

CONDITIONS METEOROLOGIQUES

mai à octobre : hiver (15 à 26°C dans les régions côtières et 4 à 20°C au centre) novembre à avril : été (20 à 37°C dans les régions côtières et 15 à 30 ° C au centre)

FUSEAU HORAIRE

EAT (UTC +3)

REVENUS ANNUEL PAR HABITANT

440 USD (année 2014)

INDICE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN

MONNAIE

0,510 (année 2014)

MONNAIE

ARIARY (MGA)

CODE TELEPHONE

+261

251623936Figure N° 1 : carte de Madagascar

SOUS-SECTION-II : L'ACTIVITES ET RESEAUX DE TRANSPORT A MADAGASCAR

I-ACTIVITES

La pêche est développée et l'île possède un potentiel pour l'énergie hydraulique.

En 2001, les terres cultivées étaient estimées à 5,07 %, dont 1,03 % portaient des cultures permanentes. La culture sur brûlis a fait reculer la forêt à 26 % de la surface de l'île.

La majorité de la population vit de l'agriculture de subsistance, principalement de la culture du riz et de l'élevage de zébus. Le secteur industriel est restreint, mais tend à se développer.

II-RESEAUX DE TRANSPORT

· lignes aéroportées sur les capitales de région (avions bimoteurs à hélice),

· quelques lignes régulières, de trains hérités de la présence française, surtout de Tamatave, premier port de l'île à l'Est, vers la capitale, Tananarive

· l'interurbain est essentiellement privé, le taxi-brousse dessert lignes assez irrégulières mais présentes dans toutes les villes ; les tarifs sont à la convenance de la négociation et l'heure d'arrivée n'est jamais garantie, car les routes sont plutôt dégradées et les arrêts fréquents pour transport de marchandises et clients en courts trajets

· dans les grandes villes, des dizaines de cyclo-pousse et pousse-pousse permettent des déplacements sur de courtes distances

SOUS-SECTION-III: LE CLIMAT ET LES SOLS A MADAGASCAR

I-CLIMAT

Le climat est tropical humide le long de la côte Est, tempéré à l'intérieur des terres et au nord et aride dans le sud. L'alizé du sud-est généré par l'anticyclone de l'océan Indien, qui se déplace au gré des saisons, domine le régime climatique de l'île. Madagascar connaît deux saisons : une saison chaude et humide de novembre à avril, puis une saison sèche, plus fraîche, de mai à octobre. Les climats sont cependant très variés selon l'altitude et la situation par rapport aux vents dominants. La côte est, où se trouve Tamatave, exposée directement aux alizés, reçoit les plus importantes précipitations avec 3 500 mm par année. Les cyclones, provenant des Mascareignes, y sont fréquents pendant la saison des pluies. Le centre, isolé de l'alizé par le Massif d'Andringitra, est nettement plus sec et, en raison de l'altitude, plus frais. Les précipitations à Tananarive (capitale) atteignent 1 400 mm. Au cours de la saison sèche, les nuits peuvent être très fraîches mais le gel est rare ; il est par contre plus fréquent aux altitudes supérieures. À cette période, le ciel des plaines entourant la capitale est considéré comme parmi les plus clairs du monde. La côte ouest (Majunga, Morondava) est encore plus sèche (tropical sec) car l'alizé y a perdu une grande partie de son humidité. Le sud-est est encore plus humide que toutes régions à Madagascar, avec le fleuve de Manambato et le fleuve de Manampatrana qui sont séparés de l'Océan Indien par une petite embouchure, lui offre beaucoup de pluie pendant toute l'année. Le sud est semi-désertique. Tuléar (ville du Sud) ne reçoit que 300 mm de précipitations par année.

II-SOL

Madagascar est parfois surnommé « la grande île rouge » à cause de ses sols gorgés de latérite. Les sols rouges sont prépondérants dans les hauts plateaux du centre. Une bande étroite d'alluvions longe la côte Est et les embouchures des fleuves. À l'ouest, on trouve un mélange d'argile, de sable et de calcaire.

· A Madagascar il y a 5 types de sol :

· - Sol ferralitique ou latéritique à Ankaratra , Itasy, Tampoketsa , Vatomandry, calcaire de Mahajanga

· - Sol ferrugineux à Mahafaly ; bassin de Morondava, à l'Ouest ; extrême Sud et au plateau

· - Sol hydromorphe à lac Alaotra , cuvette d'Andapa , vallée de l'Ouest , plaine de Sakay , Tampoketsa , Marovoay , dépression Betsimitatatra

· - Sol volcanique à Antsirabe, Ankaratra (betafo) , Itasy , montagne d'Ombre (bombaomby) , Androy

· - Sol calcaire à Antsirabe, plateau de Bemaraha , plateau de Mahafaly

· Les ressources naturelles de Madagascar sont le graphite, la chromite, le charbon, la bauxite, le sel, le quartz, le sable bitumineux, le mica ainsi que plusieurs pierres précieuses dont l'émeraude, le rubis et le saphir et des pierres fines, le calcaire, granite et latérite. Il y a également la fusion biochimique des coraux et l'érosion des roches dû aux pluies; ce qui a formé ainsi les Tsingy. Les Tsingy forment le Kart

SOUS-SECTION IV : SITUATION POLITIQUE ET ECONOMIQUE A MADAGASCAR

I-POLITIQUE

Les institutions de Madagascar sont définies par la Constitution de 2010 fondant la Quatrième République.

Madagascar est une république à régime semi-présidentiel multipartite, où le président est le chef de l'État élu pour cinq ans, et le premier ministre le chef du gouvernement. Le pouvoir exécutif est aux mains du gouvernement tandis que le pouvoir législatif est partagé entre le gouvernement et les deux chambres du Parlement. Le pouvoir judiciaire est indépendant des deux premiers.

L'actuel président de la République est Andry Rajoelina depuis le 19 janvier 2019

II-ECONOMIQUE

L'agriculture fait vivre quatre habitants sur cinq. Madagascar possède un important cheptel de zébus, qui fournit la principale viande consommée dans le pays et qui alimente un trafic clandestin. Madagascar possède une importante biodiversité. La grande île possède une quantité importante d'or et de saphir ainsi que des minerais tels que le cobalt ou le pétrole, exploités illicitement. Fautes de statistiques pertinentes les données sur le patrimoine naturel de la grande île sont floues.

L'agriculture, essentiellement la riziculture, est la principale source de revenu des habitants de la Grande île. Environ 80 % des habitants de l'île sont paysans. Mais l'agriculture de Madagascar reste encore au stade d'agriculture d'autosubsistance, en dépit des efforts des gouvernements successifs en matière d'amélioration des techniques de production], d'où le déséquilibre structurel de l'offre par rapport aux besoins réels de la population. Madagascar importe du riz asiatique pour combler le manque.

En 2011, les produits issus de l'agriculture, en particulier la girofle, la vanille, le cacao, le sucre, le poivre et le café, comptent parmi les douze plus grosses exportations de Madagascar. Madagascar produit la deuxième plus grosse récolte de vanille du monde et la vanille malgache représente le quart du marché mondial

SECTION II- VAKINANKARATRA

SOUS-SEECTION I : DESCRIPTION DE VAKINANKARATRA

I-A PROPOS DU VAKINANKARATRA

La région de Vakinankaratra, avec une superficie de 19 205 km², fait partie des hautes terres de Madagascar et constitue la partie méridionale de la province d'Antananarivo. Localisée en plein centre de l'Île Rouge .Les districts de Mandoto, de Betafo, de Faratsiho, d'Antsirabe II, d'Antsirabe I, d'Antanifotsy et d'Ambatolampy constituent ses subdivisions, dont le chef-lieu de la région est Antsirabe I. Il se trouve à 167 km au Sud de la capitale de Madagascar et se situe dans une cuvette entourée de volcans.

La région Vakinankaratra est connue pour les vertus de ses eaux thermales (chaudes) et minérales. Elle se distingue également par la présence de nombreuses collines, de hauts plateaux et de massifs volcaniques.

Ø Superficie : La Région Vakinankaratra couvre une superficie de 19 205 km² (Source : http://www.instat.mg)

Ø Localisation : La région se trouve en plein centre de l'île, et délimitée à l'Est par les régions d'Alaotra-Mangoro et d'Atsinanana ; à l'Ouest par la région de Menabe ; au Nord par les régions d'Analamanga, d'Itasy et de Bongolava ; et au Sud par la région d'Amoron'i Mania

Ø Population : La population compte 1 852 199 habitants en 2014 (Source : http://www.instat.mg)

Ø Districts : Ambatolampy, Antanifotsy, Antsirabe I, Antsirabe II, Betafo et Faratsiho

Ø Nombre de Communes : 86
- Ambatolampy : 18 communes, dont 1 commune urbaine
- Antanifotsy : 12 communes
- Antsirabe I : commune urbaine
- Antsirabe II : 20 communes
- Betafo : 26 communes
- Faratsiho : 9 communes

Ø Principales ethnie : Merina

Figure N°2 :Vakinankaratra

251624960

II-ACTIVITES ET ECONOMIE DU VAKINAKARATRA

II-I : ACTIVITES

En 2005, 84.9% de la population travaillait dans l'agriculture dont 80% dans l'élevage, contre 1.28% dans le secteur manufacturier et 1.84% dans les services.

v L'agriculture

 

L'activité agricole est en majeure partie dominée par les cultures vivrières : le riz, le manioc, le maïs, la patate douce, le haricot, la carotte, la pomme de terre et les fruits ; ainsi que des cultures industrielles : orge et tabac.

La morphologie générale de la Région est caractérisée par une grande potentialité de surface exploitable telle que les régions volcaniques de l'Ankaratra, ainsi que les grandes plaines (Ambohibary à Antsirabe) les sols ont, dans l'ensemble, une grande fertilité.

Les sols de la zone Sud, constitués des régions volcaniques autour de l'Ankaratra et de Betafo offrent les conditions agro-climatiques propices à une gamme variée de cultures

20,4% de la superficie totale de la région est cultivable 50,86 % de cette superficie est effectivement cultivée

v Élevage

 
 
 

Tableau N°1 : élevage bovins à Vakinankaratra

Cheptel bovin

329 401

Nombres des vaches laitières

18 418

TOTAL

347 819

Source : Recensement communal - ILO 2001

v Exploitation des ressources minérales

Trois unités industrielles se sont installées dans le Firaisana d'Alatsinainy Ibity (Sud d'Antsirabe II) pour l'exploitation de la calcite, talc, kaolin, dolomie, chaux.

v Le secteur manufacturier

Le secteur industriel du Vakinankaratra se caractérise par son extrême concentration spatiale. L'ancienneté des contrats avec les missionnaires, la capacité d'absorption du marché de consommation de la capitale et une certaine tradition technique à Antsirabe ont fait d'Antananarivo et de la Ville d'eaux les deux principaux pôles industriels du pays. En effet, plus de la moitié des unités industrielles de Madagascar sont concentrées dans ces deux villes. L'implantation des industries dans le milieu rural est très faible.

En 2004, le nombre d'entreprises industrielles était de : 23 508

v Activités agroalimentaires

Les 14 rizeries et 185 décortiqueriez sont les plus nombreuses avec une plus forte concentration dans la sous-préfecture d'Antsirabe I. La capacité de production est en moyenne de 1 tonne /jour, avec 5 employés par unité.

L'agro-industrie est une branche très fractionnée dans la région du Vakinankaratra, allant des grosses unités de transformation, telles que la minoterie de la Kobama, les brasseries, les biscuiteries artisanales. Il en est de même pour les boulangeries, pâtisseries qui sont répandues partout. .

v La branche textile

Elle est dominée en majorité par la « Cotonnière d'Antsirabe » qui exerce des effets d'entraînement dans et hors de la région.

II-II : ECONOMIE DU VAKINAKARATRA

La région du vakinankaratra a une vocation agro-pastorale. Elle est le deuxième pole industriel de Madagascar

Vakinankaratra est une région a très haut potentialité et d importantes capacités de production, Dotée d une richesse naturelle favorable ; Elle est une zone à vocation agro-pastorale, c'est à dire production agricole et élevage diversifiés qui permet d alimenter les entreprise de transformation agro-industriels d'Antsirabe ainsi que le marché dans le province.la région vakinankaratra est réputée pour la diversité et prédominance de la production industriels. Le volume de cette production est l'une des facteurs pour le développement économique de Madagascar. L'activités agricoles étant majeurs partie dominée par le culture vivrières : le riz, carotte, pomme de terre et fruits; ainsi que le culture industrielle orge et tabac. Mais le plus important c'est l'une des zones productrice du lait a Madagascar ; triangle laitiers sont a Antsampanimahazo, vinaninkarena et betafo

Antsirabe, la capitale de la Région, est considérée comme la 2ème ville industrielle de Madagascar, après Antananarivo, par la présence entre autres de grandes industries du Tabac, du Textile/Habillement, de Brasserie, de Minoterie, de Laiterie et Savonnerie, de Cimenterie. En outre, 7 entreprises franches y sont installées depuis 15 ans dans divers secteurs (Textile/Habillement, Agroalimentaire et Bois, etc.).Le bon état des infrastructures routières permet aux entreprises exportatrices d'acheminer directement les produits, notamment du Textile/Habillement, vers Toamasina, le principal port du pays. La proximité avec Antananarivo permet également à Vakinankaratra d'être le fournisseur en produits transformés de la capitale. La présence d'une population jeune et qualifiée offre un vivier de main d'oeuvre facilitant l'implantation des usines de transformation, mais également d'entreprises fournissant des services utilisant les TIC (call center, BPO, etc.).

SOUS-SECTION II-CHAMP D'EXPLOITATION

Ø Vakinankaratra est la partie méridionale de l'Imerina, se trouvant entre le sud du massif d'Ankaratra, à la hauteur d'Antanifotsy, et la rivière Mania servant de frontière entre le pays merina et le pays betsileo. Sa capitale est Antsirabe. La population de la région est estimée en 2004 à environ 1 982 800 habitants, sur une superficie de 16 599 km²

Ø Antsirabe I est un district urbain de Madagascar, qui correspond à la ville d'Antsirabe et est situé dans la partie sud-est de la province d'Antananarivo, dans la région de Vakinankaratra.

Ø Antsirabe est une ville des hautes terres de Madagascar, chef-lieu de la région Vakinankaratra, dans le centre de l'île. C'est la troisième plus grande ville de Madagascar, avec une aire urbaine estimée en 2014 à 257 163 habitants. Elle est située à 1 500 m d'altitude dans une cuvette entourée de volcans à 167 km au sud de la capitale Antananarivo. Elle possède le climat le plus frais de Madagascar. En hiver, la température peut descendre jusqu'à 0 °C. Antsirabe est surnommée la Vichy malgache à cause des nombreuses sources d'eau thermale ou minérale encore exploitées aujourd'hui. La ville est situé près des lacs Andraikiba et Tritriva, d'origines volcaniques, respectivement à 7 et 17 km d'Antsirabe. Le mont Ibity (2 255 m) est situé à 30 km au sud de la ville.

Ø Andraikiba situe au 7 km à l'ouest d'Antsirabe, en prenant un chemin de terre au PK6 de la RN 34.la pluparts de la population du Talata Andraikiba sont dans les secteurs primaire tels que agriculteurs, éleveurs, artisan ...

Notre projet s'exécute à l'ouest du lac Andraikiba dans le village du Talata Ouest, au Sud de l'arrêt bus 11.la plupart des villageois dans cette partie sont dans le secteur primaire tels que agriculteurs, éleveurs, artisan,... heureusement, grâce à la rizière du Marovoalavo certain gens sont des pêcheurs.

Figure N° 3: champs d'exploitations

Champs d'exploitations

Légende

Source : promoteurs

CHAPITRE-II : PRESENTATION DU PROJET

Notre projet consiste d'une création d'une entreprise bio-ferme dont l'objectifs est d'avoir une entreprise de l'élevage des vache laitiers et du poules pondeuses avec une production du provende biologique au sein de notre région, la mise en existence de cette entreprise va répondre a tout les besoins des agriculteurs, des consommateurs et autres à titre de prestation commerciale au sein d'un ferme. Il est aussi dans notre domaine de faire évoluer touts le différent groupement d'élevage professionnels ou amateurs dans notre région ; qu'il est même temps cette ferme, peut s'élargir ses domaines d'exploitation dans toutes les régions en proximités qui envisages de collaborer avec nous pour des prestations services ou à des investissements bilatérales

Ce deuxième chapitre parlera alors aux définitions du projet ; et en parlant sur ces définitions, nous donnons notre point de vue sur le caractéristique générale du projet et caractéristique de notre projet; Et ensuite sur l'à propos de notre projet et de leurs biographie ainsi sont statut juridique et après on va mettre des suggestions sur les objectifs et attentes dument par ce but, et enfin on va identifier les promoteurs

SECTION-I : DEFINITION DU PROJET

· 251625984Un projet est un ensemble d'activités organisées en phases ou étapes et formant l'unité de gestion permettant la réalisation d'un objectif défini et précis. Elle est une opération ponctuelle ayant un début et une fin, nécessitant la mise en oeuvre de

 

· Caractéristique du projet

ü Un projet répond à un besoin unique et singulier

ü nécessité d'appropriation du projet par l'équipe

ü Un projet a un début et une fin

ü Un projet est novateur unique et besoin de créativité

ü Un projet est complexe, coopération et gestion d'un grand nombre d'intervenants

L'élevage biologique est une méthode de production élevage qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse. Elle est un système global de gestion d'élevage qui allie les meilleures pratiques environnementales, un haut degré de biodiversité, la préservation des ressources naturelles, l'application de normes élevées en matière de bien-être animal et une méthode de production respectant la préférence de certains consommateurs à l'égard des produits obtenus grâce à des substances et des procédés naturels. Elle est surtout un mode de re production qui n' utilise pas de produit chimique et s'oppose à l'élevage industrielle. L'élevage biologique se préoccupe de l'impact environnemental de son activité et de la biodiversité

SECTION-II : A PROPOS DE NOTRE PROJET

Bio-ferme est une Ferme située à Talata Andraikiba qui reproduire la vache, de poules pondeuses en élevage biologique et fabrication de la provende biologique dans le respect des composantes environnementales et sociales. Nous produisons des oeufs et du laits sans produits chimique. Plusieurs litres des vaches laitiers de notre ferme et des poules pondeuses  sont proposées essentiellement sous forme de vente directe à la Ferme (formules paniers et vente au détail).

Au-delà de la satisfaction de proposer de la nourriture saine, nous sommes fier d'oeuvrer pour la préservation d'espaces de biodiversité. Le désir de mieux manger, d'avoir une vie plus active et de laisser un héritage sain aux prochaines générations est toutes des raisons qui font en sorte que nous aimons ce que nous faisons... Nous avons choisi de consacrer notre vie à l'élevage, aux produits de qualité, aux circuits courts et bien sûr au bio. Nous vivons en fonction des saisons, nous acceptons ce que la terre nous donne pour en faire des produits de qualités et ainsi sublimer au mieux notre terroir

I-Biographie :

Nous allons créer une bio-ferme et production de la provende biologique pour nos bétails à la région Vakinankaratra. C'est-à-dire reproduire des vaches laitières et poule pondeuse à base des aliments biologique. L'élevage d'animaux pour la production des oeufs, de produits laitiers, est une activité qui fait partie intégrante de l'élevage biologique. Les fermes biologiques fournissent aux animaux des conditions de vie plus respectueuse du bien-être animal que l'agriculture conventionnelle. L'alimentation des animaux doit être intégralement issue de cultures biologiques. Les étables sont plus diversifié et les animaux peuvent se mouvoir librement avoir des contacts sociaux, manger, s'occuper conformément à leurs besoins. Les animaux sont engraissés plus lentement

Le nom de ce projet sera : SANIFERME

On va prendre ce sigle de ce bio-ferme sera établi à talata Andraikiba car ici le point des beaucoup des paysans et puis a cote de lac Andraikiba et JIRAMA Andraikiba pour la facilité de l'investissement de l'eau nécessaire au ferme. D'ailleurs Talata Andraikiba n'est pas loin du commune urbaine Antsirabe et tous les collaborateurs nécessaires se trouvent dans cette partie. Alors il est facile de gérer une production et organiser une ferme biologique.

II-Objectifs et attente du projet

Comme nous avons bien, le taux de chômage sont plus élevés a Madagascar ; ainsi, Antsirabe y admis dans ce contexte. Une ferme comme celle-ci ; pour bon fonctionnement, a besoins de majorités des personnels pour accomplir des services bien prescrits pour réaliser un bon déroulement de la ferme. Notre première objectifs est donc de donner de l'emploie pour nous même et de créer aux autres ; vue le taux de chômage plus élevés dans toute Madagascar

Notre principal objectif est d'avoir des maximums de profit en respectant l'éthique.

v Objectifs

Ø Objectifs sociales

· Diminution de taux de chômage et source d'emploi pour les jeunes

· Favoriser l'emploi dans le secteur élevage

· Proposer des aliments sains et équilibrés

· Respecter l'équité entre les différents acteurs des filières

· La recherche de nouveau équilibre, respecter la santé humaine et animale

Ø Objectifs économiques

· Un équilibre économique satisfaisant des exploitations.

· Prendre place dans des espaces ruraux devenus insuffisamment concurrentiels pour l'élevage conventionnel

· Augmentation de l'économie du Vakinankaratra surtout Madagascar

Ø Objectifs écologiques

· Le respect des écosystèmes naturels

· Favoriser le recyclage,

· Rechercher l'équilibre en matières biologiques

· Choisir les espèces animales adaptées aux conditions naturelles

· Préserver la biodiversité

v attentes du projet

A partir de cette projet ; on a l'opportunité de démontrer dans notre région et dans les autres lieux, qu'on a le capacité de faire créer notre propre ferme dans notre village et ont peu élargir cette défis dans les autres lieux qui ont besoins d'un Co-partenariat.

Toute operateurs sur l'élevage et de et de secteurs primaire peuvent bénéficier de ce projet car ils peuvent faires des pratique de l'élevage biologique pour améliorer leurs métiers.ils ont aussi des grandes occasions de faires valoriser et de montrer ses pouvoirs et leurs savoir faire au sein de l'élevage par rapport au ferme, notre but est de faire prioriser ces collaborateurs dans notre région.

De nos jours, il n'y a pas des ferme installé dans notre village, ainsi des manifestations économiques sont organisé au sein du village, l'avantage est de les plus part de ces marché sont organisés par nous même ; nous avons encore des boite de capable d'en produire

D'autre part, Il y a beaucoup des entreprise agro-alimentaire installé à Antsirabe ont besoins des plusieurs lait pour fabriquer leurs produits. Dans ce cas, les part du marché est plus vaste même s'il y a plusieurs fournisseurs. Et puis notre produit est pure biologique, donc les besoins de notre produit est plus élevé pour le donner aux clients des produit des qualités et plus saine.

CHAPITRE-III : PRESENTATION DE L'EXPLOITATION

SECTION-I : FORME DE L'ENTREPRISE

Raison social : SARL

Nom commerciale : SANIFERME

Siege sociale : Talata Andraikiba

Raison social : élevage bio de vache laitiers et de poule pondeuse

Nombre d'actionnaire (02) :

RAKOTRAKOMALALA Henintsoa Patric

RANDRIANASOLO Bevola Henri Romeo

Nif : en cours

Immatricule au RCS : en cours

Capital :

SECTION-II : STATUT JURIDIQUE

Choisir la structure juridique de l'entreprise constitue une étape primordiale lors de démarrage. Le choix aura des succès sur le fonctionnement interne de l'entreprise ; sur la relation avec les autre .l' entreprise collective ou plus précisément une SARL ou société responsabilité Limite

Tableau N° 2 : dossier à fournir

CENTRE FISCAL

SERVICE STAT

TRIBUNBALE DE COMMERCE/EDBM

· Demande de carte fiscale (01)

· Photocopie CIN(01)

· Plan de repérage(01)

· Statut(03)

· Procuration(01)

· Contrat de bail(01)

· Déclaration de l'existence (05)

· INVESTISSEMENT DES CAPITAUX(03)

· FICHE D'IDENTIFICATION (03

· Demande de carte fiscale (01)

· Photocopie CIN(01)

· Plan de repérage(01)

· Statut(03)

· Procuration(01)

· Contrat de bail(01)

· Photocopie CIN(01)

· Plan de repérage (01)

· Statut(03)

· Procuration(01)

· Contrat de bail(01)

· B1 ou DECLARATION DE COONSTITUTIN D'UNE PERSONNE MORALE (03)

· DECLARATION DE NON CONDAMNATION(02)

Source : promoteur

Le nom de l'entreprise est SANIFERME veut dire SANTE+FERME d'où notre produit d'élevage respect le protocole de la sante grâce à l'utilisation des aliments biologique

SECTION-III : IDENTIFICATION DES PROMOTEURS

Promoteur N°1 :

Ø ETAT CIVIL :

Nom : RAKOTOMALALA

Prénoms : Henintsoa Patric

Date et lieu de naissance : 23 Mars 2001 à Antanimandry

Nationalité : Malagasy

Situation matrimoniale : célibataire

Adresse personnelle : Ambodivoana

Ø DIPLOMES

2011 : obtention du CEPE

2015 : obtention du BEPC

2018 : obtention de baccalauréat

2020 : DTS en cours

Ø FORMATION

2019-2020 : formation en gestion

2019-2020 : formation en informatique bureautique (Word, Excel, power point)

Ø LANGUES

Malagasy : langue maternelle

Français : lu, parlé, écrit

Anglais : lu, parlé, écrit

Chinois : débutant

Ø LOISIR

Football, écouter la musique, suivre l'actualité mondiale surtout le football

Promoteur N°2 :

Ø ETAT CIVIL :

Nom : RANDRIANASOLO

Prénoms : Bevola Henri Romeo

Date et lieu de naissance : 10 Mars 2000 à Antanimalandy

Nationalité : Malagasy

Situation matrimoniale : célibataire

Adresse personnelle : 03 D 45 ambavahadimangatsika

Ø DIPLOMES

2011 : obtention du CEPE

2015 : obtention du BEPC

2018 : obtention de baccalauréat

2020 : DTS en cours

Ø FORMATION

2019-2020 : formation en gestion

2019-2020 : formation en informatique bureautique (Word, Excel, power point)

Ø LANGUES

Malagasy : langue maternelle

Français : lu, parlé, écrit

Anglais : moyenne

Chinois : débutant

Ø LOISIR

Football, chanté, lire le livre

CHAPITRE-I : ETUDE DU MARCHE

L'étude de marché est une phase clef de la création de notre entreprise. Elle nous permet de cerner le marché sur lequel nous allons nous lancer et de convaincre nos éventuels financeurs. Cet article nous indique une méthode ainsi qu'une vue d'ensemble pour réaliser cette démarche.

Pour qu'une étude de marché soit efficace, il faut respecter une démarche ordonnée et structurée et répondre à quatre sujets majeurs : le marché, l'offre, la demande et l'environnement de notre projet.

SECTION-I : GENERALITE SUR LE MARCHE

I-définitions générale et types du marché

En générale, Le marché est un système d'échanges où se rencontrent l'offre (les vendeurs) et la demande (les acheteurs). C'est aussi l'ensemble des règles, juridiques ou informelles, par lesquelles ce type d'opérations économiques peut se réaliser. Le marché, qui concerne aussi bien les échanges de biens, de services que les échanges actifs financiers et immobiliers, est l'un des concepts fondamentaux de l'économie

TYPES DU MARCHE :

1. Les marchés selon la nature des produits

Ø Le marché des biens qui concerne les produits matériels

Ø Le marché des services qui prend en compte les produits immatériels.

2. Les marchés selon leur taille

Ø Marché de masse ou marché des produits de grande consommation qui se caractérise par des chiffres d'affaires très importants.

Ø niches qui se caractérise par sa petite taille, un potentiel de développement limité en volume, une clientèle spécifique, des compétences très pointues en matière de production. La niche peut déboucher sur un marché très rentable.

3-Les marchés selon leur dimension géographique

Ø Un marché local pour lequel les acteurs sont géographiquement proches

Ø Un marché régional qui concentre les acteurs d'une même région.

Ø  un marché national qui élargit le jeu des acteurs au niveau du pays tout entier

Ø Un marché international dont les acteurs se situent dans des pays différents

4. Les marchés selon leur structure

Ø Le marché générique qui regroupe l'ensemble des produits satisfaisant les mêmes besoins.

Ø  le marché support qui regroupe des produits différents mais qui se caractérisent par des comportements de consommation proches.

Ø Le marché principal qui regroupe l'ensemble des produits semblables

5-Les marchés selon la filière

Ø le marché amont est représenté par les marchés qui se situent avant la production des biens et services.

Ø le marché aval concerne les étapes qui succèdent à la production des biens et services. Ce sont les marchés des débouchés, de la distribution des produits.

II- identification de notre marché

Ici notre marché est un marché régional de biens d'où concerne le produit d'élevage et les acteurs du notre région en commencement. Notre client sont donc des industries agro-alimentaires et toute personnes ayant des besoins de consommation des oeufs et du lait biologiques.de notre commencement, toutes clients du Vakinankaratra sont les principales cible de notre produit, mais l'élaboration de notre marché développe peu à peu dépend de l'évolution des notre chiffres d'affaires

III-Les produits directement ou indirectement concurrentiel

Dans ce temps, nous devrons rechercher quels sont les produits qui seront nos concurrents directs, mais également indirects, c'est-à-dire qui peuvent se substituer à notre produit.

Nos concurrents directs sont des éleveurs même FIFAMANOR, ferme TOMBOTSOA, ferme d'Adranobe.des même mais nous sommes différés automatiquement parce que nos produits sont à base des aliments biologiques. Ainsi les produits alimentaires tels que laits en poudre fabriqués par des industries agro-alimentaires, AGRIVET, UNOH ... sont nos concurrents indirecte

SECTION-II : ANALYSE DE LA DEMANDE

La demande est une traduire pour la recherches des différents produit susceptible de la satisfaire

La première étape nous a permis d'esquisser les grandes lignes de la demande, mais il faut maintenant  obtenir d'avantage et d'informations pour pouvoir, par la suite, prendre des décisions

I- études de comportement des clients

Faisons un portrait précis de nos clients ou nos utilisateurs, puis essayons de déterminer leur comportement :

Quelques questions peuvent poser :

· A quelle occasion achète-t-il ou utilise-t-il le produit que vous proposez ? Comment ? Où ? Pourquoi ? 

· Sont-t-ils satisfaits ? 

· Quelles sont leurs motivations ? Quels sont leurs freins ? 

· Quelle est leur perception du produit et/ou du service ?

· Quelles sont les caractéristiques du produit et qui pourraient favoriser l'acte d'achat ou d'utilisation ?

Ils sont occasionnés achetés par des toute personnes ayant des besoins de consommation des oeufs et du lait biologiques. Nous pouvons aussi de fournisseur des industries agro-alimentaires pour fabriquer des aliments sains. Parce que nos produits sont des pures biologiques depuis de leurs élevages à Talata Andraikiba.

Ils sont satisfaits parce que nos produits sont des pures biologiques en utilisant des biodiversités. Et tout consommateurs de notre produits ayant produit totalement biologique et suivant les protocoles de la santé.

Les consommateurs du bio jugent ces produits meilleurs pour leurs santé, des gouts bénéfique. Ils se tournent vers ce type de références car ils les jugent meilleures pour l'environnement. Les adeptes du bio attachent une importance aux conditions des producteurs.

En revanche, le prix et la marque ne sont pas critères clés. Les produits bios sont plus chers que d'autre produit, certains consommateurs ont doutés qu'ils soient vraiment bios. En plus plusieurs personne possède leurs propre élevage.la manque d'animations, manque d'informations et le et l'insuffisance des lieux d'achat habituels sont freiner les consommateurs a acheté les produit. En plus, l'offre du bio ne correspond pas aux besoins des consommateurs.

Une appréciation globalement positive des effets du bio sur la santé et des comportements qui s'en éloignent. La perception des produits bio semble faire consensus à Madagascar, plusieurs malagasy considèrent qu'ils contribuent à préserver l'environnement et ils pensent qu'ils sont meilleurs pour la santé

II-segmentation de la demande

Notre objectif est de sélectionner parmi l'ensemble de nos clients et/ou utilisateurs identifiés lesquels cibler en premier lieu pour commercialiser notre produit ; suivant la nature de notre marché les critères pourra être très variée. Pour les particuliers nous pourrons utiliser des critères distinctifs.

Elle consiste à découper un marché déterminée en un certaine nombre de sous ensemble d'individus, c'est-à-dire, une action de découpage des clients potentiels en sous ensembles homogènes selon différents critères : besoins, comportement d'achat, âge, le sexe ou les métiers. Elle détermine les personnes qui seraient éventuellement intéressées par nos produits

SECTION-III : ANALYSE DE L'OFFRE

En se focalisant sur l'offre déjà présente sur le marché, l'entrepreneur peut acquérir toutes les données nécessaires et utiles sur tous les produits proposés par les concurrents, qu'ils soient directs ou indirects, qu'ils aient des activités similaires ou différentes à celles de la future entreprise. Cette étape permet notamment de récupérer des informations sur les produits, leurs qualités ou leurs défauts, leur mode d'emploi et surtout le niveau des prix proposés pour commercialiser les produits

I-analyse concurrentielles

L'analyse concurrentielles permet d'identifier leurs forces, leurs faiblesses et d'anticiper des menaces qui pèsent sur leurs marché, comprendre globalement ce qui les différencie de nous... du point de vue du client. Nous sayons comment se positionner pour déjouer les stratégies inverses et profiter pleinement de ses capacités compétitives.la plupart des viande et du lait a Madagascar utilise des produit chimique comme : poulet de chaire, viande de porc accélérer...

1. Identification de nos concurrents

Un concurrent est une entreprise qui propose un produit semblable au nôtre sur les mêmes segments de marché que nous. Ainsi, deux agences publicitaires peuvent exercer les mêmes activités sans pour autant être en compétition.

Généralement, on compte trois types de concurrents :

· Concurrents directe : Ces entreprises offrent les mêmes produits que les nôtres aux mêmes clients et sur le même territoire que nous. Tels que les éleveurs, FIFAMANOR, ferme de Tombotsoa, ferme d'Adranobe.

· concurrents indirecte : Ces entreprises offrent des produits légèrement différents des nôtres ou ciblent une autre clientèle sur le même territoire que nous. Tels qu'AGRIVET, UNOH ...

· Concurrents de substitution: - Ces entreprises offrent des produits distincts des vôtres aux mêmes clients et sur le même territoire que vous. Tels que TIKO, SOCOLAIT, TSARAFY,

2. Renseignements sur nos principaux concurrents

Une fois que nous avons identifié nos principaux concurrents, recueillons le plus de renseignements possibles à leur sujet.

Leurs produits : presque nos concurrents sont utilisés des produit chimiques pour reproduire sont produit ; ce qui est contrairement à notre techniques, nous appliques seulement des matières biologique. Dans ce cas le produit chimique ayant des maux effets secondaires sur la santé.

Leurs prix : le prix du produit de nos concurrents

Tableau N° 3: le prix du produit de nos concurrents

PRODUITS

PRIX UNITAIRES

LAIT

1 000 Ar

OEUFS

400 Ar

Sources : promoteurs

Leur positionnement : elles sont des grands fournisseurs des biens des industries agro-alimentaires à Antsirabe et dans toutes les régions

La réputation sur le marché : Certains consommateurs du lait et des oeufs à Antsirabe constatent que certaines produit sont facile à périmé.

3. Analyse des forces et des faiblesses de nos concurrents

3-1 forces :

Disparition de la monopole et ouverture du marché

Marché constitué d'une demande nationale qui s'élève incessamment

Possibilité de présenter une gamme de produits importante et intéressant

Développement des coopératives d'éleveurs.

Présence des mini-laiteries locales et augmentation des ateliers de transformation artisanale à proximité des villages plus ou moins enclavés

3-2 : faiblesse

Baisse de la production laitière depuis le départ de l'usine TIKO

Disparition de réseaux de distribution plus ou moins organisée par les acteurs du triangle laitier depuis la crise politique

Disparition des 2 grandes entreprises potentielles (TIKO et SOCOLAIT) constituant les plus grands débouchés sur le marché du lait

Le prix: la formation de prix est assurée par un plus grand nombre d'intermédiaire (collecteurs, transformateurs, ...), d'où l'irrégularité de prix.

Prix à la collecte peu motivant

Nombres d'intermédiaires trop élevés(5) entre les consommateurs et les producteurs.

Zones de collecte en difficulté d'accès pendant la saison à forte production conduisant à la destruction du lait

Pas d'opérateurs qui collectent ou transforment le lait hors du triangle laitier

Insuffisance de contrôle qualité sur le marché

Offre en quantité insuffisantes de qualité très peu concurrente par rapport aux autres produits issus des autres régions (Ambatomanga, Itasy...)

Mauvaise présentation et faute de qualité des produits artisanaux (très douteux)

II-positionnement

Toute entreprise permettre d'augmenter leurs ventes, d'optimiser leur expérience client et de se positionner sur leur marché

Élaborer un positionnement oblige à avoir un regard réflexif, à bien analyser ce qui différencie la marque de ses concurrents.

Le positionnement est une étape clé du plan de communication, c'est un parti pris, qui servira de fil rouge tout au long de l'élaboration du plan de communication.

C'est un élément fondateur de l'identité de marque, son choix est donc déterminant, et se construit par un échange entre l'agence et l'annonceur.

1-définitions du positionnement

Le positionnement est un terme marketing dont la définition peut varier selon le contexte d'usage. Dans son usage dominant, le positionnement correspond à la position qu'occupe un produit ou une marque dans l'esprit des consommateurs face à ses concurrents sur différents critères (prix, image, caractéristiques, etc.)

Le positionnement relève donc généralement de la stratégie ou de la politique produit, mais il mobilise également d'autres domaines du plan de marchéage et notamment les volets communication et prix.

2- objectifs du positionnement

Aujourd'hui la concurrence est de plus en plus forte, notamment sur le web où les marques sont présentes et donc très facilement comparables. Il faut donc réfléchir aux éléments qui constituent la marque et la rendent différente. Choisir un positionnement c'est prendre un parti pris.

Faire coïncider positionnement et image de marque. L'image de marque correspond à la place qu'occupe la marque dans l'esprit du consommateur. Le travail publicitaire consiste à faire en sorte que le positionnement choisi devienne ce que les consommateurs perçoivent de la marque.

3-stratégie de positionnementTableau N° 4: stratégie de positionnement

Stratégie

Positionnement

Différenciation

Produit pure biologique par des biodiversités

Domination par marque

Le produit bio sont automatiquement produit de gammes et de qualité

Image

Aliment sains et équilibrés

Sources : promoteur

4- analyse FFOM

Tableau N° 5: analyses FFOM

Force

Ø Produits présentant des avantages concurrentiels

Ø 2 fonctionnalités mises en avant: esthétique et thérapeutique

Ø Large gamme de produit

Ø Produit biologique par biodiversité

Faiblesse

Ø Entreprise en cours de création

Ø Prix un peu élevé

Opportunité

Ø Marché favorable: nouveaux besoins, nouvelle demande

Ø Distribution ouverte au marché

Ø Nombreuses cibles

Ø Possibilité d'accroître les ventes et d'étendre le réseau

Menace

Ø Prix élevé sur le marché

Ø Concurrents déjà présents sur le marché

SECTION-IV : ANALYSE D'ENVIRONNEMENT DE NOTRE PROJET

Quand parle de l'entreprise, les deux environnements doit être analyse ceux qui sont micro-environnement et macro-environnement.

I-MICRO-ENVIRONNEMENTS

C'est une partie de l'environnement regroupe de facteur ayant un impact direct a la vie de l'entreprise, parmi, nous pouvons citer : les fournisseurs, le client, l'intermédiaire, la concurrence, le public et l'entreprise elle-même

Figure N° 4 : micro-environnements

Fournisseurs

Clients

Micro-environnements

Distributeurs

Concurrents

Source : promoteurs

L'analyse des composant du micro environnement peut propose un diagnostic de situation sur les forces en présente et l'évalue les opportunités et de menace pour l'entreprise ainsi qu'est négociation pour elle

Le micro-environnement regroupe 4 facteurs qui influencèrent directement les performances des entreprise sur le marché lesquels entreprise un active, sur elle peut influer : l es fournisseurs, les distributeurs, clients et concurrents

1- Les clients :

Ce sont parmi les éléments fondamentales des environnements.ils imposent un entreprise des enjeux de qualité, des enjeux informa lionne sur la gamme de produit et de service offre, des enjeux leurs respect des normes de sécurité, des enjeux des innovations

2- Fournisseurs

La prédominance et tel éléments dans le circuit productifs de tout entreprise impose à celle-ci le respect délais de paiement de la dette fournisseurs.

3- Les concurrents

Cet élément est déterminant pour éviter toute les concurrences analysées.

4- Distributeurs

C'est un acteur commercialisant les produits auprès des consommateurs finals, particuliers aux les entreprise selon contexte les termes de distributeurs pour désigné un point de vente

II-MACRO-ENVIRONNEMENT

Pour effectuer un diagnostic d'entreprise en vue d'élaborer une stratégie, l'analyse porte sur plusieurs angles.  Tout d'abord les composantes internes, puis les variables externes. C'est dans cette deuxième partie que s'inscrit la méthode PESTEL en ²apportant un cadre d'analyse.

A l'instar du modèle de Porter (les 5 forces), L'objectif de ce modèle est d'évaluer l'influence des facteurs externes sur la firme étudiée. Le point de départ indispensable pour toute étude sur l'environnement de l'entreprise.

1-sur le facteur politique

· aux décisions prises par les responsables publics en matière de fiscalité et de protection sociale, notamment. Notre entreprise est donc formelle payer des impôts et taxe au centre fiscale

· à la politique du pays sur lequel est implantée l'entreprise en matière de commerce international (protectionnisme, libre-échangisme, etc.) ;

· à la stabilité du régime en place est également à prendre en compte. Tels que stabilité politique sur notre pays, et la bonne gouvernance

2-la dimension économique

Les réalités économiques du pays ou du territoire font partie prenante de l'environnement du marché et impactent directement le chiffre d'affaires potentiel de l'entreprise.

· A Vakinankaratra avec un taux de retard de croissance de 65%, la région a le taux le plus élevé à Madagascar avec le taux de chômage faible (2,4% en 2017)

· Avec revenue mensuel moyenne de 200 000 MGA pour les secteurs formelle. Cela renseigne leur pouvoir d'achat.

· A Madagascar, le taux d'intérêt réel correspond au coût de l'emprunt ou encore au rendement des placements pour une année

3- la dimension socioculturelle

L'environnement du marché nécessite une étude sociologique des consommateurs, en prenant en compte plusieurs facteurs :

· Pour une vision à long terme, les caractéristiques démographiques est nécessaire. Les populations du Vakinankaratra sont une population jeune. de dernière période connue en 2010 le taux de fécondité était ainsi de 4,8 enfants par femme

· Comportement d'achat : afin de déceler l'appétence du marché pour le produit ;

- Fréquence d'achat et de consommation : l'habitude d'achat des oeufs et du lait sont moyenne fréquent à Vakinankaratra

- Influence de médias : la plupart de la population du Vakinankartara ayant des moyens de communication et de l'information ; tels que la radio, télévision ...

- Culture : plusieurs personnes ayant des bonnes perceptions de l'utilité et de l'intérêt du produit

· Niveau d'éducation : Il impacte les comportements d'achat, mais aussi la capacité d'un marché à se laisser séduire par un nouveau produit

4-La dimension technologique

Peut être fortement influencé par les innovations technologiques ; il faut donc s'informer des évolutions, notamment parmi la concurrence. Ce sont aussi des possibilités de développement pour l'entreprise L'environnement du marché.

5. La dimension écologique

Connaître l'environnement du marché, c'est, de plus en plus, ne pas négliger l'empreinte écologique de l'entreprise, donc regarde de près la provenance des produits, la composition des matériaux utilisés, la gestion des ressources, etc. L'environnement, c'est aussi des ressources qui peuvent se raréfier et dont le prix peut fluctuer, ce qui a un impact sur le coût de production. C'est également le climat et donc la météo, ou encore le risque de catastrophes naturelles, qui ont des conséquences à évaluer. Enfin, le risque de pollution et la réglementation pour la protection de l'environnement peuvent obliger à mettre en place des procès coûteux.

6- La dimension légale

La législation en vigueur dans un secteur d'activité est incontournable dans l'environnement du marché. Elle comprend :

· Le droit du travail : Le principal texte applicable en matière de droit du travail à Madagascar est la loi n° 2003-044 du 28 juillet 2004 portant Code du Travail. Issue d'une refonte récente de la législation du travail.

· Le droit de la concurrence : Pour harmoniser les dispositions relatives à la concurrence malagasy, l'application de la loi N° 2005-020 du 17 octobre 2005 sur la Concurrence est indispensable

· Le droit du consommateur : À Madagascar on consomme un peu de tout et n'importe quoi.

· Les réglementations en matière d'hygiène et de sécurité : respect les protocoles internationales

Cela implique de procéder en permanence à de la veille juridique et réglementaire

CHAPITRE-II : LE MARKETING MIX

Le marketing mix regroupe l'ensemble des décisions et actions marketing prises pour assurer le succès d'un produit, service, marque ou enseigne sur son marché.

SECTION-I : NOTION SUR LE MARKETING

I-définition

Le marketing peut être défini comme l'analyse des besoins des consommateurs et l'ensemble des moyens d'action utilisés par les organisations pour influencer leur comportement. Il crée de la valeur perçue par les clients et adapte l'offre commerciale de l'entreprise aux désirs des consommateurs.

D'autre part, Le marketing est un moyen d'action qu'utilisent les organisations pour influencer en leur faveur le comportement des publics dont elles dépendent. 

II-rôle de marketing dans l'entreprise

Pour pousser à investir un peu plus dans une vraie stratégie de marketing.

· Décider du produit à vendre et de son prix : Le rôle du marketing dans l'entreprise est fondamental, car il va permettre le produit à vendre, prix approprié pour ce produit et atteindre les objectifs pour accomplir les ventes. 

· Aide à la différenciation face à la concurrence : Tout consultant en marketing faire la différence auprès des concurrents. le rôle du marketing dans l'entreprise, c'est des aider à trouver ce plus produit, à la travailler. Il peut s'agir de communication, d'un logo ou d'un positionnement original de produit.

· Anticiper les risques et faire évoluer le produit : Une entreprise doit être capable de s'adapter rapidement aux changements possibles qui se produisent sur un marché donné. Une stratégie de marketing durable et reconnaissable aide à mieux anticiper les changements, pour mieux piloter la structure et projeter dans son évolution.

· Booster les ventes : Le rôle du marketing dans une entreprise sera aussi et surtout d'augmenter les ventes. Un produit reconnaissable, qui sait évoluer doublé d'une bonne campagne de communication fera ses preuves. N'oubliez pas qu'investir dans une stratégie de marketing est un pari sur l'avenir.

· Présenter l'activité de la meilleure manière qui soit : Chaque activité commerciale est différente et nécessite une mission claire et une vision axée sur les différents produits ou services offerts. Le rôle du marketing, c'est d'éclaircir ce point crucial !

· Reconnaître les lacunes dans l'entreprise : Le marketing digital en particulier celui des réseaux sociaux s'adapte bien aux retours clients. Réussir sa transformation digitale et gérer les retours des clients avec une stratégie de marketing qui aide à créer de la confiance avec les clients.

III- Les différents techniques marketings

Cette stratégie est une des composantes de la stratégie d'entreprise. Selon les cas, la stratégie marketing peut s'appréhender au niveau global de l'entreprise ou ne s'appliquer qu'à un produit ou une famille de produits. Il est ainsi possible pour une entreprise à l'activité variée de combiner plusieurs stratégies marketing selon ses domaines d'activité.

Ø Le marketing relationnel

Il vise à développer une relation personnalisée et conviviale avec le client consommateur afin de le fidéliser. Cette relation se construit grâce au dialogue entre la marque et le consommateur.

Ø Le marketing direct

C'est l'ensemble des approches visant à établir un contact personnalisé et mesurable, entre l'entreprise et ses prospects selon certains critères.

Ø Le marketing promotionnel

Cette démarche associe un ensemble de techniques et de moyens de communication mis en place dans le plan d'action de l'entreprise. L'objectif est de susciter la création ou le changement du comportement d'achat ou de consommation auprès des cibles visées.

SECTION II-DEMARCHE MARKETING

C'est une expression générale utilisée pour décrire les différents types de choix que les organisations doivent faire dans l'ensemble du processus de mise sur le marché d'un produit ou d'un service. Le 4P est un moyen probablement le plus connu

Les 4P sont :

Ø La politique de produit

Ø La politique de prix.

Ø La politique de distribution

Ø La politique de communication

I-LA POLITIQUE DE PRODUIT

Elle est une des composantes du marketing mix qui désigne l'activité de définition, d'adaptation, de spécification, de différenciation et plus généralement de tarification des biens et des services au sens le plus large possible des courants composants l'offre d'une entreprise.

1-classification de nos produits

Tableau N° 6: classification de nos produits

Critères de classifications

Nos produits

Durée de vie du produit

-lait : produit périssable

-oeufs : produit semi-durable

Processus d'achat

Produit d'achat courant

Destination des biens

-matière première

-bien de consommation

Nature économique

-produit substituable

Source : promoteur

2- cycle de vie de produits

Comme toute être vivant un produit peut née, croissant, veille, et puis meurt.la notion du cycle de vie fait référence à l'évolution des ventes du produit depuis l'introduction par le marché jusqu'à son retrait

Ont distingue en générale 4 phase

Figure N° 5 : cycle de vie du projet

COMMENTAIRE

Introduction : démarrage de vente avec un rendement peut négatifs en raison de dépense important pour le premier lancement.

Croissance : cette phase est caractérisé par une augmentation de vente et une rentabilité plusieurs importante

Maturité : cette phase est caractérisé par le plafonnement des ventes d'un produit connut et une rentabilité importante

Déclin : cette phase caractérise par une diminution de vente

II- LA POLITIQUE DE PRIX

Cette étape est la seule variable du marketing-mix qui n'engendre pas de coût et qui procure en fait des recettes.

La décision de prix devra donc reposer sur le trinôme : coût/demande/concurrence et s'adapter à celui-ci tout au long de la vie du produit

1. Définitions

· La politique de prix désigne un ensemble de décisions et d'actions réalisées pour déterminer la structure et le niveau de la tarification des biens et services proposés aux clients conquis ou à conquérir.

· Elle est la traduction concrète, à un niveau subordonné, d'éléments de plus haut niveau que sont la vision et la stratégie générale de l'entreprise ainsi que la politique générale d'entreprise.

2- stratégies de politique de prix

On distingue trois principales stratégies qui consistent à se positionner par rapport à la concurrence :

· l'écrémage,

· la pénétration,

· l'alignement.

a) La politique prix d'écrémage.

La politique d'écrémage consiste à fixer un prix élevé, le plus souvent au-delà des prix de la concurrence, afin de toucher un segment précis de clientèle à fort pouvoir d'achat.

Cette stratégie de différenciation ou de distinction permet de viser une marge confortable et une clientèle aisée. On parle de produits et services à forte valeur ajoutée, « premium » ou « haut de gamme ». Autre avantage de la politique d'écrémage : il sera possible de viser l'export puisque la structure de prix le permet.

b) La politique prix de pénétration.

La politique de pénétration consiste à fixer un prix relativement bas pour attirer une part importante de la clientèle potentielle, et cela dès le lancement du produit ou du service. Cela peut aussi consister à offrir des cadeaux  ou produits gratuits à ses clients.

Il s'agit ici de prendre un maximum de parts de marché, le plus tôt possible. C'est une politique agressive et risquée si elle prend la forme d'une guerre des prix. Elle peut entrainer un effondrement des marges et une baisse de rentabilité.

c) La stratégie prix d'alignement

La politique d'alignement consiste à pratiquer des prix proches de ceux des concurrents. Cette politique permet d'entrer sur des marchés concurrentiels en évitant la guerre des prix

Ø notre projet applique les stratégies de l'écrémage car nos produits sont produits de gammes. Mais en commencement nous utilisons les stratégies d'alignement à pratiquer des prix proches avec nos concurrents.

3- fixation du prix

La fixation du prix de vente repose sur 3 facteurs :

· Les coûts : le prix de vente doit permettre de couvrir les coûts et d'assurer à l'entreprise une marge de rentabilité. Les coûts sont en partie liés aux relations de l'entreprise avec ses fournisseurs.

· La demande : le prix doit être en cohérence avec les attentes des consommateurs en termes de prix et également de qualité

· La concurrence : le prix doit permettre de positionner l'offre par rapport à celles de ses concurrents. La compétitivité prix permet d'assurer les parts de marché de l'entreprise et ainsi sa rentabilité.

III-LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION

Le distribution est l'intermédiaire entre les producteur et les consommateurs, il permet d'acheminer les produit et d'assurer les fonction inhérentes a l'écoulement d'un produit depuis la production jusqu'à la consommateur.

Ainsi, les fonctions des distributeurs sont :

-le transport

-le stockage

-le service

Notre entreprise envisage de couvrir le principal grossiste et épicerie local et en même temps créer un réseau de distribution dans notre région.

A partie du magasin de la société, Un véhicules vont assurer la distribution dans le magasin des grossistes, lesquels se chargeront de la distribution qui a leur tour vont assurer le contact avec le consommateur final.

En outre, la mise en page des crédits client devrais être minutieusement étudiée pour faire face a la concurrence des produit semi-chimique

Pour assurer les ventes, il est nécessaire :

-de s'assurer des débouchés permanant grâce à la tenue d'un fichier souple des dépositaires et de participer à la promotion des petits détaillants dans les secteurs.

-de mettre l'entreprise en relation permanant avec ses différentes partenaires commerciaux crédible et vouées au technique modérée de transaction commerciales.

-déduire le frais de distribution.

Notre circuit de distribution se présente de la manière suivante :

Figure N°6: canaux de distributions

Sources : promoteurs

IV-POLITIQUE DE COMMUNICATION

Il est important de faire connaitre la société, ses points de vente et les produits qu'elle compte commercialiser.

Ainsi, l'étude préconise des campagnes de sensibilisation, des spots publicitaires sur la production, qualité, les différents prix pratique et lieu de vente.

A travers les media (radio, réseaux sociaux, télévisions) les consommateurs seront avisés de la qualité du lait et des oeufs biologique et les différentes gammes mise a leur disponible. Des affiches publicitaires seront affiches dans le milieu public stratégique.

La communication détaille tous les choix et actions qui touchent a la promotion du produit :

- Les ventes : dégustations, participation a des salons et foires

-la publicité : radio, réseaux sociaux, affichage,

-la promotion des ventes : ils `agit des technique qui visent a accroître les vente par des offres temporaire comme distribution d'échantillons, réductions du prix lors des périodes de pénétration sur le marché.

Tableau N° 7: Présentation des 4 politiques marketings de l'entreprise

Produit

- Gamme

- Sans effet secondaire

- biologiques

Prix

-tarif

-Condition de paiement

Distribution

-canal direct (distributeur vers consommateurs)

-circuit court (avec nos partenaires intermédiaires)

Communication

-promotion de vente

-publicité

-marketing direct

CHAPITRE-I : ETUDE DE FAISABILITE TECNIQUE DU PROJET

Avant de lancer le projet, une étude de faisabilité technique est primordiale

Le montage et l'analyse technique d'un projet visent à en appréhender les résultats probables

Du point de vue des paramètres techniques. Cependant, l'analyse technique est susceptible de s'appliquer à tout projet

Cette étude devra couvrir différents aspects : évaluation technique du projet, la faisabilité commerciale prévisionnels, et enfin la charge d'exploitation.

SECTION-I : EVALUATIONS TECHNIQUES DE NOTRE PROJET

L'étude de faisabilité technique a pour objectifs de déterminer l'ensemble des moyennes de mise en oeuvre pour l'exercice de l'activité. 

I-ETAPE D'ELABORATION DU PROJET

I-1 : Fiche technique du projet

Avant de démarré l'activité, notre projet doit suivre l'organisation suivante. Pour que l'entreprise soit formelle

Ø Conception du projet

Ø Etudes de marché

Ø Elaboration du dossier

Ø Recherche de financement

Ø Aménagement de l'agence

Ø Achat de matériaux

Ø Installation technique

Ø Recrutement des personnels

Ø Formation de personnels

Ø Année prévue de démarrage

I-2- Représentation graphique du déroulement du projet

- Quelques notions

· Diagramme de Gantt : c'est un outil utilisé en ordonnancement et en gestion de projet et permettant de visualiser dans le temps les diverses tâches composant un projet.

· Tâche : c'est Travail qui doit être accompli dans des conditions fixées et prédéfinies dans le cahier des charges.

Ø Tableau de récapitulations des tâches

Tableau N° 8: Tableau de récapitulations des tâches

N° de

tâches

Tâches

Durés en mois

A

Conception du projet

1

B

Etudes de marché

1

C

Elaboration du dossier

2

D

Recherche de financement

2

E

Aménagement de l'agence

3

F

Achat de matériaux

1

G

Installation technique

1

H

Recrutement des personnels

2

I

Formation de personnels

1

J

Année prévue de démarrage

1+n

Source : promoteurs

Tableau N° 9: récapitulations des taches

TACHES

DURES

ANTERIORITE

A

1

 

B

1

 

C

2

B

D

2

B

E

3

D

F

1

D

G

1

F

H

2

G

I

1

H

J

1+n

I

Sources : promoteur

Figure N°7 :Diagramme de GANTT

A

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

B

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

C

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

E

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

G

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

H

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

I

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

J

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1 2 3 4

Source : promoteur

5

6

7

8

9

10

11

12

II-ASPECT TECHNIQUES DU PROJET

L'élevage des poules pondeuses et des vaches laitiers est comme tout élevage des animaux, nécessite des conditions d'hygiène colossales et repose sur des critères techniques très stricts. Ces critères concernent tout facteur, direct ou indirect, qui entre dans cet élevage ; en particulier, le lieu d'implantation, les installations techniques, les équipements, les techniques d'élevage...etc.

II-I) INFRASTRICTURES

1-lieu d'implantation

Le choix du lieu d'implantation est aussi important que les techniques d'élevage ou les processus de production; car certains caractéristiques des lieux, qu'il faut éviter, nuisent ou empêchent le bon élevage tel que:

- Un taux d'humidité très élevé et un milieu environnant non sain; ces deux facteurs favorisent l'apparition des maladies et le développement des parasites.

- La proximité d'une route à grande circulation; car le bruit excite les cheptels.

Et d'autre part le terrain, qui devra abriter ce projet, doit être:

- Sablonneux, bien drainé pour que l'eau s'écoule facilement.

- D'une accessibilité facile, afin de pouvoir approvisionner en matériaux pendant la construction, et en aliment lors de la production, et le transport du cheptel en fin d'élevage.

2- les bâtiments d'élevage :

Pour la réalisation de cet ouvrage, on est obligé de tenir compte des recommandations des spécialistes qu'on peut résumer en ce qui suit :

- le bâtiment doit être construit en matériaux durables et bons marchés, propres et salubres, afin de réduire ou de contrôler l'incidence des agents extérieurs tels que la température, l'humidité

- Il faut penser à disposer les longs peaux (parties longues des murs) perpendiculairement aux vents dominants, dans une limite de 45°, lorsque le vent souffle dans une direction, il exerce une pression sur l'une des parois du bâtiment et par la une dépression sur la paroi opposée, ce que va crée dans le bâtiment un mouvement d'air latéral en direction de la dépression (évacuation de l'air par les ouvertures du côté sous le vent). Ainsi que le balayage transversal réside dans la dépression crée au niveau du lanterneau, selon le même principe que pour les parois.

- Il faut prévoir de l'eau potable, une évacuation normale des eaux de pluie.

- Le bâtiment doit être :

o bien situé

o bien étanche

o bien isolé

o bien drainé

o bien ventilé

o avec une bonne litière

- le sol doit être cimenté pour faciliter le nettoyage et la désinfection

3-Les enclos de promenade pour le cheptel :

La méthode consiste à prévoir un enclos de promenade en plein air où les vaches et les poulets une fois emplumées seront lâchés par beau temps.

Cet enclos peut contenir une végétation qui sert de nourriture biologique et saine pour les vaches et les volailles. Pour cette végétation dure plus longtemps, on laisse les cheptels accéder à l'enclos quelques heures par jour seulement.

4-les capacités d'élevage de notre projet

a- La taille de l'élevage :

Le choix de la taille de l'élevage dépend essentiellement des éléments suivants :

De l'objectif de l'entreprise à produire laits et des oeufs de bons coûts et de bonne qualité.

Tableau N° 10: taille de l'élevage moyenne

Cheptels

Nombres

Volume ou nombre des produits

Vaches laitiers

50

500 L/ jours

Poules pondeuses

200

200 oeufs/ jours

Sources : promoteur

b- Surfaces des bâtiments de l'élevage

Il s'agit du principe de base essentiel pour le logement, car l'espace disponible détermine le nombre et le type d'oiseaux pouvant être entretenus. Donc, un poulailler à litière profonde de 6 x 11m peut accueillir 200 poules pondeuses à une densité de 3 oiseaux/m2.

 Dans l'ensemble des élevages, la surface moyenne d'hébergement par animal est de 12,1 m² par unité équivalente du vaches laitiers

Tableau N° 11: Surfaces des bâtiments de l'élevage

Bâtiments

Surfaces en m²

Poules pondeuses

67

Vaches laitiers

605

Bureau et magasinier

20

Sources : Promoteur

Donc, le terrain doit abriter :

· Trois(03) bâtiments d'élevage dont deux bâtiments pour les cheptels puis un bâtiment pour le bureau administratifs et magasin de la ferme

· Des enclos de promenade en plein air par bâtiments des cheptels, un espace égale à la surface du bâtiment ou supérieur.

· Un local administratif.

II-II- LES EQUIPEMENTS DE PRODUCTION:

v POULES PONDEUSES :

Ø ABREUVEMENT :

Matériel de démarrage

Abreuvoirs

Accessoires

Ø ALIMENTATION :

Mangeoires volailles

Mangeoires extérieures

Accessoires

Ø RÉGULATION :

Boitier de régulation

Organes de commande de ventilation

Régulation gaz

Ø CHAUFFAGES :

Aérothermes (générateurs d'air chaud)

Chaudière

Plancher chauffant

· Le plus important de ces équipements est le système de ventilation. Il faut qu'il assure l'apport de l'oxygène et l'évacuation des gaz toxiques, et il faut qu'il règle l'apport et les pertes de la chaleur dans le bâtiment afin de maintenir la température et l'hygrométrie dans les limites du souhaitable.

v VACHES LAITIERS :

· Abreuvoirs, bacs à eaux et pompe doseuses

· Mangeoires avec accessoires

· Boitier de régulation avec un organe de commande de ventilation

· Sonde trayeuse

· Analyseurs des laits

· Ficelles

II. II : LES TECHNIQUE D'ELEVAGE :

Nous avons opté pour un élevage de 200 poussins pondeuses et 50 vaches par an, en utilisant la méthode classique, dans un poulailler et vaches avec un enclos de promenade où les cheptels peuvent prendre de l'exercice, bénéficient du soleil et du sol naturel et trouvent également une nourriture animale (vers, vermisseaux, chenilles, insectes) et végétale.

Ces aliments glanés dans les champs sont très intéressants du fait qu'ils soient gratuits, en plus qu'ils nourrissent sans engraisser. Sans oublier que les volaillers produisent du fumier qui peut être récupéré et vendu aux pépinières et agriculteurs; ce fumier permet de transformer la terre en terreau fertile qui constitué des engrains naturels.

PREPARATION DES CHEPTELS :

Ø POULES PONDEUSES : Le local doit être prêt 36 heures avant l'arrivée des poussins. Les quantités de litières nécessaires au départ puis en cours d'élevage dépendront de plusieurs facteurs : saison, nature du sol, comportement des animaux et aptitude de l'éleveur bien maîtriser la ventilation.

· La température :

Chaque poussin selon sa propre régulation thermique doit avoir le libre choix de sa température optimale entre les 25-28°C d'ambiance et les 32-35°C sous radiant.

Les températures sus indiquées constituent des normes qui doivent être respectées et devront être complétées par une surveillance permanente de façon à éviter :

· Les retombées d'air froid sur les animaux qui constituent un facteur de stress.

· La répartition inégale de la température dans l'ensemble du bâtiment qui a pour effet une mauvaise répartition des animaux, accompagnée d'une dégradation de la litière dans les endroits les plus chargés.

L'installation des «gardes» (bottes de pailles ou plaques d'isorel) est vivement recommandée pour éviter toute mauvaise répartition dans le poulailler.

Le petit matériel doit être judicieusement disposé pour respecter les contraintes thermiques du poussin, autour d'un radiant se répartissent différentes zones de températures, à chaque zone doivent correspondre mangeoires et abreuvoirs, il est préférable de multiplier les sources de chaleur que d'augmenter la puissance des radiants.

· L'éclairement :

Pendant les deux (02) premiers jours, l'intensité de l'éclairement doit être maximale à 100% de son potentiel (3w/m²) pendant 23 à 24 heures. Ensuite, l'intensité devra être progressivement diminuée à partir du 8eme jour pour atteindre une valeur d'environ 0,7 w/m², l'éclairement doit être très bien réparti dans le poulailler (absence de zones d'ombre), pour cela, il est préférable de multiplier les sources lumineuses.

Après quelques heures de mise en place, les poussins devraient être répartis d'une manière égale sur toute la surface de l'élevage.

· Alimentation

Aliments de bases: nos provendes

PROVANDES :

Ø Matière première :

blé, maïs, triticale, orge, protéagineux, tourteaux de soja et de tournesol, luzerne déshydratée, mais aussi calcium (viens de la coquille), phosphore, vitamines et oligo-éléments avec, pour lier le tout, de l'huile de soja bio et du sel.

? Céréales : avoine (pas plus de 10%), blé, mais. Elles doivent représenter environ 70% des rations quotidiennes.

? Légumineuses et oléagineux qui leur donne des protéines : colza, féverole, lin, pois, soja, tournesol. Il est indispensable de leur donner des mélanges pour un bon équilibre alimentaire

Ø Poussin (1 - 35 jours)

La croissance demande un important apport en protéines (méthionine, lysine, carnitine) au moins 20%, et du calcium qui participe à la croissance des os.

Composition : Maïs concassé, blé cassé, orge cassé, dari roux, millet, pois cassé vert, colza, lin, huile de soja. Ce mélange convient également aux cailles et aux gibiers.

Description :

· L'apport en calories est adapté aux besoins des poussins en plein développement.

· Les grains sont finement concassés, afin que les petits puissent facilement les avaler.

Ø Poules pondeuses (+ de 35 jours)

Celle-ci a des besoins nutritionnels particuliers. Son régime est plus riche en céréales, qui lui donnent de l'énergie et en protéines pour la constitution de l'oeuf.

Compositions : Maïs cassé, blé, orge, pois, dari, lin, soja, coquilles d'huîtres, tournesol, millet, huile de soja.

· Le maïs est idéal pour de bons oeufs mais il ne doit pas être en grande quantité car il a tendance à engraisser.

· Le calcium et autres minéraux sont nécessaires pour la formation de la coquille

Description :

· Les coquilles d'huîtres apportent le calcium nécessaire à la formation de la coquille des oeufs.

· Les graines de lin apportent des omégas 3, acides gras bénéfiques.

· L'apport énergétique est adapté aux besoins importants des pondeuses.

REMARQUE :

En hiver, les poules trouvent moins à se mettre sous la dent, le sol est dur et il leur est difficile d'y trouver leur pitance, et le froid provoque une dépense d'énergie supplémentaire. Il est du coup important de leur proposer des aliments complets, qui vont leur apporter l'énergie suffisante. Les lipides, notamment, leur apportent de quoi mieux résister au froid. Pour remplacer les protéines fournis par les insectes et vers de terre, il faut leur donner des restes de poisson ou de viande.
Les aliments complets peuvent également être donnés en complément de mélanges de céréales, pour une meilleure ponte ou pour produire des poulets pour la viande

Ø VACHES LAITIERS : La stabulation proposée est une stabulation libre avec une aire d'exercice sans abris et une aire de repos couverte.

Les locaux d'élevage doivent assurer le confort et l'hygiène aux animaux; des brochures de vulgarisation spécifiques à l'élevage de bovins laitiers traitant ces aspects sont disponibles au niveau du service de l'alimentation du bétail.

· Alimentations : L'alimentation des vaches laitières dépend fortement des matières disponibles. Les vaches laitières sont le plus souvent en enclos ou en stabulation. Leur alimentation doit leur être apportée sur place contrairement aux zébus. Les vaches laitières pourront être alimentées par des produits ramassés ou cultivés : des herbes longues, fourrages plantés (avoine, ray-grass, radis fourrager, brachiation). Elles pourront aussi recevoir des sous-produits des cultures : pailles de riz, feuilles ou tubercules de pomme de terre, feuilles ou tubercules de patate douce, de bananiers....

100% aliments bio dont 60% de fourrages grossiers et donc au maximum 40% de concentrés.

50% de l'alimentation doit provenir de l'exploitation ou d'exploitation bio principalement située dans la même région

L'engraissement en bâtiment ne peut excéder une période de 3 mois.

Pas de limitation de la part d'ensilage dans la ration.

III-PLAN DE MASS

Figure N° 8: plan de mass

Enclos de promenade avec végétations verte

Enclos de promenade avec végétations verte

Magasin de stockage de la matière première

Bâtiment des vaches laitières

Bâtiments des poules pondeuses

SECURITE

Toilette

Eau usage

Parking

Magasin de stockage du produit élevages

Bureau

SECTION-II : CAPACITE DE PRODUCTION

I-vente prévisionnels :

1-quantité de productions

La production nationale des oeufs et du lait, prévisionnels :

Tableau N° 12: quantité de productions

Année

Produit

Année

1

Année

2

Année

3

Année

4

Année

5

OEUFS (unité)

73 000

73 400

73 650

73 900

74 125

LAITS (litres)

167 500

170 200

170 450

181 200

185 250

Sources : promoteurs

2- chiffres d'affaires estimés

Tableau N° 13: chiffre d'affaires estimé

Années

Jours ouvrables

Quantité du produit

Prix unitaires

Chiffre d'affaires HT (en Ariary)

LAITS

OEUFS

LAITS

OEUFS

LAITS

OEUFS

1

246

167 500

73 000

1 500

400

251 250 000

29 200 000

2

246

170 200

73 400

1 500

400

255 300 000

29 360 000

3

246

170 450

73 650

1 500

400

255 675 000

29 460 000

4

246

181 200

73 900

1 500

400

271 800 000

29 560 000

5

246

185 250

74 125

1 500

400

277 875 000

29 650 000

Sources : promoteurs

II- charges prévisionnels

v Consommation de biens : Ces dépenses incluent le coût du matériel biologique c'est à dire le cheptel, fournitures de fonctionnement et les consommations d'aliments et produits vétérinaires.

Ø MATIERE PREMIERE

Tableau N° 14: matière première

 

Matière première

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

VACHES LAITIERS

- fourrages

9 125 000

9 272 100

9 285 750

9 871 350

10 091 900

-foins

2 750 000

2 794 500

2 798 450

2 974 900

3 041 400

- Orge

8 525 000

8 664 410

8 675 140

9 222 250

9 428 300

- Blé fourrager

7 400 000

7 515 225

7 586 205

8 118 085

8 248 380

- Maïs

20 167 000

20 350 000

20 465 830

20 953 438

21 124 326

- Mélange de minéraux

4 129 000

4 345 678

4 876 150

5 100 225

5 345 654

POULES PONDEUSES

-provendes poussin (1-35 jours)

15 344 500

15 986 438

16 143 430

16 543 540

16 998 000

-provendes poules pondeuses (+ de 35 jours)

24 655 660

24 978 354

25 186 320

25 467 830

25 987 450

Sources : promoteur

Ø PRIX DE CHEPTELS

Tableau N° 15: prix des cheptels

CHEPTELS

NOMBRES

CU en Ariary

PRIX en Ariary

VACHES LAITIERS

50

2 000 000

100 000 000

POULES PONDEUSES

200

2500

500 000

Sources : promoteur

Ø AUTRES APPROVISIONNEMENTS

Tableau N° 16: autres approvisionnements

Désignations

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

Fournitures consommables

2 163 430

2 436 670

2 637 655

2 987 840

2 998 950

Sources : promoteur

Ø ACHAT NON STOCKES

Tableau N° 17: achat non stockés

Rubrique

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

Eaux et électricités

5 245 000

5 335 520

5 9403 00

 650 000

6 910 520

Carburants

2 145 000

2 323 565

2 565 325

2 654 000

2 734 540

Sources : promoteur

Ø FRAIS DES PERSONNELS :

Les effectifs de la société sont estimés à 15 agents pour une masse salariale annuelle de 51 000 000

Tableau N°18 : frais des personnels

Rubrique

Nombre travailleur

Salaire mensuel

Salaire annuel

Taux d'augmentation annuel (%)

ANNE 1

15

4 250 000

51 000 000

0

ANNE 2

15

4 250 000

51 000 000

0

ANNE 3

15

4 335 000

52 020 000

2

ANNE 4

15

4 462 500

53 550 000

3

ANNE 5

15

4 632 500

55 590 000

4

Sources : promoteur

Ø FRAIS FINANCIER :

Les frais financiers n'ont pas étaient prévu attendu qu'aucun prêt bancaire n'est à contracter et en l'absence des intérêts et agios ce poste est nul.

Tableau N° 19: frais financière

Désignation

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

-intérêt d'emprunt

15 272 400

12 217 920

9 163 440

6 108 960

3 054 480

Sources : promoteur

Ø FRAIS DIVERS :

Ce poste représente l'ensemble des frais inhérents aux assurances de sinistres.*

Tableau N° 20: frais divers

Désignation

Montant

Assurance

980 000

Publicité

1 000 000

Entretient et reparation

500 000

v
sources : promoteurs

Ø CHARGES FISCALES

Tableau N° 21: Charges fiscales

Désignation

Montant

-impôts et taxes

-droit d'enregistrements

-immatriculation au RCS

-immatriculation statiques

320 000

500 000

16 000

40 000

Sources : promoteurs

CHAPITRE II : ETUDE ORGANISATION

Pour réaliser son objet social et atteindre les objectifs de développement, de production et de gestion, l'Entreprise sera orientée vers une structure d'organisation fonctionnelle, où chacune des fonctions principales est contrôlées au niveau central.

Cette organisation présente plusieurs avantages qui permettent d'une part de concentrer les compétences afin d'être plus efficace et ce en orientant et en regroupant les personnes dans une activité spécialisée et d'autre part de faciliter le contrôle des activités de l'entreprise.

Cependant, tout schéma organisationnel porte des inconvénients et des incohérences fonctionnelles qui peuvent apparaître selon la spécificité de chaque entreprise. Après analyse des multiples possibilités qui s'offre à l'entreprise, il a été opté pour l'organisation la plus adéquate.

Car la performance de l'entreprise dépend de l'adéquation entre sa stratégie et ses structures qui doivent faire preuve de souplesse face à l'évolution de l'environnement.

Ces chapitres nous va sur les fonctionnements de l'organisation des personnels, autrement dit on va parler sur les gestions et les managements des ressources humaines.

En première point ; on va parler sur les gestions des personnels ; c'est-à-dire on va mettre des suggestions sur les effectifs des personnels, les fonctions hiérarchiques ; et ensuite on va mettre en relief la gestion de ressources humaines c'est-à-dire la gestion de recrutement et intégration, gestion de rétribution, gestion de formation, gestion sociale et enfin évaluation des performances;

Et en deuxième points, on va souligner sur les organigrammes ;

Enfin on va déduire les charges sociales.

SECTION-I: ORGANISATIONS DES PERSONNELS

Avoir un bon nombre des personnels bien qualifiés en termes des compétences mais non pas sureffectifs sont plus rentables d'avantages, qu'avoir des surnombres en équipe moins compétents ; la gestion et le management des humaines sont très importants pour que l'entreprise ne tourne pas en catastrophe.

I-GESTION DES PERSONNELS

Gérer et manager d'une entreprise c'est d'entretenir pour le bon fonctionnement du moteur qui faire tourner et développer la puissance de l'entreprise.

Les nombres des personnels en effectifs doivent gérer avec attention et avec précision ; vue sur l'ampleur des taches à accomplir. Pour que l'entreprise reste bénéficiaires à chaque vente, une entreprise cherches des équipe polyvalents qui sont prés à faire des différentes services multifonctionnels à la longueur de sa motivations et sa compétences personnels ;que professionnels pour bien gérer le budgets de fonctionnement générale de l'entreprises, il est facile ainsi de gérer peu nombre de personnel bien actifs et compétant que diriger des plusieurs humaines qui sont pas conscients des tâches qu'on leurs afférées

Tableau N° 22: effectifs des personnels

TITRE DE POSTE

NOMBRES

MISSIONS

PROFILS

QUALITE REQUISE

DG

1

Assurer la coordination des tâches administratives et financière, commerciales et techniques et le contrôle de la production, GRH

Niveau BACC+4 en gestion, parlant le français et l'anglais couramment

Expériences d'au moins 2 ans

-bonne connaissances des personnels

-bonne connaissance relationnels

-il doit être exemplaire de personnels

DAF

1

Comportent les tâches financières, la facturation, écriture comptable, manipulation de l'argent (trésorier), les assurances, le crédit, suivi des dossiers clients et fournisseurs, maîtriser les outils de gestion informatique

Niveau BACC+3en gestion, parlant français et l'anglais.

Expérimenté

Dynamique

Sérieux

Motiver

Méthodique

Rigoureux

Réactifs

DC

1

se rapportent à l'orientation et au conseil commercial afin d'adapter le produit aux attentes du consommateur suite à des études économiques.

Niveau BACC+3 en commerce et marketing

Méthodique

Réceptifs

Sérieux

Sociables

Souples

PRODUCTEURS

5

entretien du cheptel, sanitaire et hygiène, maintenance des équipements d'élevage

Niveau BACC minimum

Sérieux

Motivé sur cet emploi

Dynamique

Apte à travailler en équipe

CHAUFFEURS

2

-transporteurs des matières premières

-assure les livraisons des produits finis auprès de revendeurs

-Avoir un permis de conduire complet avec au moins 2 ans d'expériences

-niveau BACC minimum

Sérieux

Bonne conduite

RESPONSABLES DES STOCKS

1

Il gère et optimise la gestion des stocks (entrées et sorties des marchandises) pour minimiser le niveau de stocks sans risquer la rupture. En liaison étroite avec les fournisseurs et les transporteurs, il conçoit et coordonne l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement dans les délais impartis.

Niveau BACC+2 en gestion, maîtriser les outils de gestion informatique

Dynamique

Sérieux

Motiver

Méthodique

Réactifs

MAGASINIER

1

Chargement et déchargement des marchandises.

Traitement des commandes.

Expédition des marchandises.

Inventaire des marchandises.

Conduite du chariot élévateur

Niveau BACC

Méthodique

Sérieux

Souples

SECURITE

1

Veiller la sécurité de l'entreprise

Niveau BEPC

Fort

Dynamique

Sérieux

confiant

VENDEURS

2

Responsable de vente et de la commande

Niveau BACC+2 en commerce marketing

Méthodique

Réceptifs

Sérieux

Sociables

Souples

Sources : promoteurs

II-GESTION DE RESSOURCES HUMAINES

La gestion des ressources humaines, ou gestion du personnel, est une des bases fondamentales qui permettent le développement de tout organisme professionnel, il s'agit d'une activité qui vise à améliorer la communication transversale, tout en faisant respecter l'organigramme de l'entreprise.

On pourrait définir les ressources humaines comme l'ensemble de pratiques du management, ayant pour objectif de mobiliser et développer les ressources humaines, afin d'obtenir une plus grande productivité et une meilleure qualité de travail.

Elle vise principalement la valorisation des compétences, de la motivation, l'information et l'organisation.

Elle permet, également, d'aborder la relation de l'organisation avec son collaborateur depuis son recrutement jusqu'à son départ de l'entreprise (retraite, licenciement, démission ...).

1- La gestion du recrutement et de l'intégration

On a recruté et conservé les profils les plus compétents qui font cruellement défaut .La performance d'une entreprise est avant tout directement dépendante des qualités de ses salariés, que ce soient la motivation, la capacité d'innovation ou la volonté de travailler en groupe

Tableau N° 23: gestion du recrutement et de l'intégration

Recrutement interne

Recrutement externe

· une note de service 

· dans le journal de l'entreprise 

· par performance individuel

· Internet 

· journaux et presse 

· médias 

· annonce 

Sources : promoteurs

2- La gestion des rétributions

L'estimation du juste salaire est dépendante de multiples paramètres dont l'offre de la concurrence n'est pas le moindre.

3- La gestion de la formation

Elle doit être un jeu gagnant-gagnant et répondre à la fois aux besoins en compétence à court terme de l'entreprise et aux souhaits de construction d'une solide carrière des salariés à plus long terme.

4- La gestion sociale

L'entreprise est une organisation humaine, elle est donc confrontée à tous les aspects des relations inter personnelles.
Il faut aussi aller plus avant et bâtir des organisations plus humaines et plus pro-actives à la fois

5-Evaluation de la performance

La mesure de la performance correspond à l'évaluation périodique de l'aptitude des personnels à atteindre les objectifs qui sont fixés. La compétition entre les salariés et la quête de la performance à court terme aux dépens du long terme en sont bien trop souvent le résultat.

III-CONDITION DE TRAVAIL

Horaires de travail

Pour étoffer les structures en personnel qualifié permettant à l'Entreprise de profiter de la formation spécifique et de l'expérience acquise qui améliorent la qualité et la quantité de travail fourni, nous avons opté de pouvoir les postes de travail par une main d'oeuvre spécialisée dans le domaine des activités élevage et ce selon le programme journalier d'emploi arrêté comme suit :

Tableau N° 24: horaires du travail

Fonctions

Poste de travail

Effectif prévue permanent

Durée d'emploi

Horaires par jours

Direction

DG

1

CDI

8h

Finances, GRH, Comptabilité, administration

DAF

1

CDI

8h

Marketing, commerce

DC

1

CDI

8h

Vente

Vendeurs

2

CDI

8h

Stockage et achat

Responsable de stocks

1

CDI

8h

Stockage de produit

Magasinier

1

CDI

8h

Productions

Producteurs

5

CDI

10h

Transport

Chauffeurs

2

CDI

6h

Sécurisation

Sécurité

1

CDI

12h

Sources : promoteur

SECTION II- ORGANIGRAMME DE L'ENTREPRISE

L'organigramme est avant tout un outil de communication destiné à faciliter la compréhension des rapports et liens existants au sein de la ferme. Ici la nomination de la ferme est mentionnée par l'abréviation SANIFERME. Le mot SANI est tiré par le mot santé, en additionnant par la FERME, c'est-à-dire, ferme de la santé, donc les produits biologiques de notre ferme grâce à la biodiversité naturels est largement gamme de la santé.

L'entreprise SANIFERME est dirigée par son Directeurs Générale (DG) ; qui est la première responsable et le décideur principal de la ferme. Un Directeur Administratif et Financier (DAF) est sous la supervision de la directeurs générale ; en parallèle avec lui, un Directeurs Commercial (DC) est aussi sous la supervision de la Directeurs Générale. Cinq producteurs, un responsable de stocks, deux chauffeurs et une sécurité sont dirigés et surveillé par DAF et parallèlement avec les, un magasinier et deux vendeurs sont dirigé et surveillé par DC

ORGANIGRAMME GENERALE DE LA FERME

Figure N° 9: organigramme de l'entreprise

Sources : promoteurs

SECTION 3:CHARGE SALARIALES

Les couts salariaux sont constitué par l'ensemble des dépenses qui incombent l'entreprise pour l'emploi d'un salarié

Tableau N° 25: charges salariales

SALAIRE NET = SALAIRE BRUT +CNAPS + SMIA

Poste

Nombre

Salaire mensuel

Salaire annuel

SMIA (5%)

CNaPS (13%)

Charge patronale

Charge salariale mensuel

Charge salariale annuel

DG

1

500 000

6 000 000

300 000

780 000

1 080 000

590 000

7 080 000

DAF

1

400 000

4 800 000

240 000

624 000

864 000

472 000

5 664 000

DC

1

400 000

4 800 000

240 000

624 000

864 000

472 000

5 664 000

PRODUCTERURS

5

1 250 000

15 000 000

750 000

1 950 000

2 700 000

1 475 000

17 700 000

CHAUFFEURS

2

400 000

4 800 000

240 000

624 000

864 000

472 000

5 664 000

RESPONSABLES DE STOCKS

1

250 000

3 000 000

150 000

390 000

540 000

295 000

3 540 000

SECURITE

1

200 000

2 400 000

120 000

312 000

432 000

236 000

2 832 000

MAGASINIER

1

250 000

3 000 000

150 000

390 000

540 000

295 000

3 540 000

VENDEURS

2

600 000

7 200 000

360 000

936 000

1 296 000

708 000

8 496 000

Total

 

4 250 000

51 000 000

2 550 000

6 630 000

9 180 000

5 015 000

60 180 000

Source : promoteur

Dans cette partir on va parler sur la concrétisation du projet exécuter par la ferme ; c'est-à-dire la mise en évidence de l'établissement des réalisations et de l'existence pour la bonne activité et le déroulement sur la mise en oeuvre de l'entreprise.

Le contexte constitue à introduire la ferme aux actions de la réalité et les cas courantes des organisations et des productions des laits et des oeufs. L'introduction détermine à l'ensemble des investissements et gestion sur les plan de fonctionnements financière et budgets de la ferme.les sources financières sont tous les clés d'avancement et de retraits pour toutes entreprises ; un plan ou une prévision de budgets mal mené ou ma géré fait reculée les autres collaborateurs, alors, il faut toutes faires en sorte qu'un plan est une prévision doivent bien approprier aux affres et aux engagements élaborer et tant que proposer par la ferme

Remarque : les chiffres budgétaires présentés sont en Ariary

CHAPITRE I : DETERMINATION DES COÛTS DES INVESTIMENT

Le mot investissement indique l'introduction des apports des fonds de déroulements par des personne morales ou physiques qui s'associé pour réaliser un mise en existences d'un projet et de tirer en profit des bénéfices rentables ; après avoir conclure un accord d'associé eux sont des actionnaires actifs au sein de la ferme et l'accord qui définira les part apporté et ou gagner par chaque actionnaire. L'investissement est l'acte par lequel un entreprise dépense de l `argents pour en gagner plus

Section-I : immobilisations incorporelles

Les immobilisations incorporelles augmentent l'actif de l'entreprise alors même que les investissements qu'elles représentent ne sont pas des biens palpables (contrairement aux immobilisations corporelles). Les immobilisations incorporelles sont, par exemple, les brevets, les licences, logiciels et marques détenus par l'entreprise, mais aussi le fonds de commerce.

Pour bien réaliser le présent projet ; le tableau ci-après montre que les immobilisations incorporelles nécessaires s'élèvent à 400 000 Ariary et amortissable pendant 4 ans.

Tableau N° 26: immobilisations incorporelles

Rubriques

Quantité

Prix unitaire

Prix totale

Frais de développements

1

400 000

400 000

Total

1

0

400 000

Source : promoteur

Section II : immobilisations corporelles

Une immobilisation est un élément du patrimoine de société ayant une valeur positive, c'est donc un actif.

Construction et aménagement divers

Tableau N° 27: Construction et aménagement divers

Rubrique

Caractéristique

Nombres

Prix unitaire

Prix totale

Constructions

-bâtiment vaches laitiers

-bâtiment poules pondeuses
-magasins

-autres

1

1

2

3

15 000 000

8 000 000

4 000 000

1 500 000

15 000 000

8 000 000

8 000 000

4 500 000

Aménagement et installation divers

Aménagement et installation divers

1

2 500 000

2 500 000

Source : promoteur

Matériels informatique et mobilier de bureau

Tableau N° 28: Matériels informatique et mobilier de bureau

Rubrique

caractéristique

Nombres

Prix unitaire

Prix totale

matériels informatiques

-ordinateurs

- téléphone fixe

3

3

500 000

100 000

1 500 000

300 000

Mobilier de bureau

-armoire

-chaises

-table de bureau

3

15

5

150 000

25 000

100 000

450 000

375 000

500 000

Source : promoteur

Matériels de bases

Tableau N° 29: Matériels de bases

Rubriques

Nombres

Prix unitaire

Prix totale

-combinaisons

15

20 000

300 000

-botte de ferme

15

15 000

225 000

-cache bouche

15

2 000

30 000

-pompe de désinfections

4

40 000

160 000

Balais

10

500

5 000

Matériels de transport

Tableau N° 30: Matériels de transport

Nature

Nombre

Prix unitaire

Prix totale

Camionnette pour transport de la matière première

1

15 000 000

15 000 000

Mazda fourgon pour la livraison du produit

1

10 000 000

10 000 000

Source : promoteur

Matériels et outillages

Tableau N° 31: Matériels et outillages

Cheptels

natures

Nombre

Prix unitaires

Prix totales

Poules pondeuses

-Abreuvoirs

-Mangeoires

-Régulations

-chauffages

30

30

10

10

15 000

15 000

20 000

20 000

450 000

450 000

200 000

200 000

Vaches laitiers

-Abreuvoirs

-Mangeoires

-Boite de régulations

-Sondes trayeuse

-Analyseurs des laits

- ficèles

20

20

5

5

2

10

30 000

25 000

30 000

80 000

100 000

1 000

600 000

500 000

150 000

400 000

200 000

10 000

Source : promoteur

Totales des immobilisations corporelles

Tableau N° 32: Totales des immobilisations corporelles

Rubriques

Montant

Construction et aménagements divers

38 000 000

Terrains

20 000 000

Matériels informatiques et mobilier de bureau

3 125 000

Matériels de bases

720 000

Matériels de transport

25 000 000

Matériels et outillages

3 160 000

TOTAL

90 005 000

Source : promoteur

Section III : immobilisation cheptels

Cheptels

Tableau N° 33: immobilisations cheptels

Cheptels

Nombres

Prix unitaire

Prix totale

Vaches laitiers

50

2 000 000

100 000 000

Poules pondeuses

200

2500

500 000

Source : promoteur

TABLEAU DE RECAPITULATIONS DES IMMOBILISATIONS

Tableau N° 34: récapitulations des immobilisations

Rubriques

Montants

Immobilisation incorporelle

400 000

Immobilisation corporelles

90 005 000

Immobilisation cheptels

100 500 000

Total

190 905 000

Source : promoteur

Section-IV : fond de roulement initial

Le fond de roulement correspond à la différence entre la ressource stable de l'entreprise et les actifs immobilisé il constitue un élément clé de l'équilibre financier d'une entreprise

I-RECAPITULATION DE CHARGE ANNUEL DE PREMIERE ANNEE

Tableau N° 35: récapitulations des charges de la première année

N° de compte

Rubriques

Prix totales

60

601

602

606

Achat consommés :

-matière première

-autres approvisionnements

-achat non stockés

92 655 660

2 163 430

7 390 000

61-62

615

623

Service extérieur et autre service extérieur

-entretient et réparations

-publicité

500 000

1 000 000

628

-cotisation divers

980 000

63

631

6312

63123

Impôts et taxes et versement assimilés:

-impôts et taxes

-droit d'enregistrements

-droit de délivrances des documents divers

320 000

500 000

56 000

64

641

645

Charges personnels

-rémunération des personnels

-cotisations aux organismes sociaux

51 000 000

9 180 000

TOTAL

CHARGES ANNUELLE

165 745 090

Source : promoteur

II- CALCUL DE FOND DE ROULEMENT

Pour déterminer la valeur de fond de roulement initial sur trois mois d'exploitation, voici la formule

D'où FDRI  3

FDRI= 41 436 272, 5 Ariary

Alors

Nature du FDRI

Tableau N° 36: nature du FDRI

Montant

Apport des promoteurs

A financier

41 436 272, 5

41 436 272, 5

0

Source : promoteur

Récapitulation des investissements

Tableau N° 37: récapitulations des investissements

Rubriques

Montant

Immobilisation incorporelles

400 000

Immobilisations corporelles

190 505 000

Fond de roulement initial

41 436 272, 5

TOTAL

232 341 272, 5

Source : promoteur

CHAPITRE-II : PLAN DE FINANCEMENT

Section-I : Schéma de l'investissement

Io = immobilisation + FDRI

Calculons d'abord l'investissement initial (Io)

I0 = 232 341 272, 5 Ariary

I0 = 190 905 000 + 41 436 272, 5

Figure N°10 :Figure de l'investissement

I0 = 232 341 272, 5

En nature

20 000 000

En numéraire

94 543 000

A financier

0

Apport

41 436 272, 5

APPORT

114 543 000

A FINANCIER

76 362 000

Immobilisations

190 905 000

FDRI

41 436 272, 5

Section-II : plan de financements prévisionnels

Le plan de financement prévisionnels est un tableau qui permet de s'assurer de l'équilibre financier d'un projet, autrement dit de l'adéquation entre les besoins qu'il généré et le ressources les besoin contribuera former la trésorerie.

TABLEAU DE FINANCEMENT

Tableau N° 38: plan de financements

RUBRIQUE

MONTANT

APPORT

A FINANCIER

Ressource :

- Fond propre en nature

- fond propre en numéraire

-Emprunt à long terme

-Emprunt à court terme

20 000 000

135 979 272, 5

76 362 000

0

20 000 000

135 979 272, 5

0

0

0

0

76 362 000

0

Totale de ressource

232 341 272, 5

155 976 272, 5

76 362 000

Besoins :

- investissement en immobilisation

-FDRI

190 905 000

41 436 272, 5

114 543 000

41 436 272, 5

76 362 000

0

Totale des besoins

232 341 272, 5

155 976 272, 5

76 362 000

Source : promoteur

Section-III : remboursement d'emprunts

Le remboursement correspond à la restitution par l'emprunteur au créancier de la somme empruntée

Tableau de remboursement d'emprunt

Annuité = amortissement + intérêt

V0 = 76 362 000

t = 20%

n = 5 ans

a = 15 272 400

Tableau N° 39: tableau de remboursement d'emprunt

Période

Capital en début de période

Intérêt (20%)

Amortissement

Annuité

Capital en fin de périodes

1

76 362 000

15 272 400

15 272 400

30 544 800

61 089 600

2

61 089 600

12 217 920

15 272 400

27 490 320

45 817 200

3

45 817 200

9 163 440

15 272 400

24 435 840

30 544 800

4

30 544 800

6 108 960

15 272 400

21 381 360

15 272 400

5

15 272 400

3 054 480

15 272 400

18 326 880

0

Source : promoteur

CHAPITRE-III : AMORTISSEMENT DES MATERIELS

L'amortissement est la constatation comptable et annuelle de la perte de valeur des actifs d'une entreprise subie du fait de l'usure, du temps ou de l'obsolescence. L'amortissement comptable permet d'étaler le coût d'une immobilisation sur sa durée d'utilisation.

Il existe plusieurs méthodes d'amortissements dans la comptabilité. Tout d'abord, l'amortissement linéaire, qui consiste à répartir de manière égal la perte de valeur des immobilisations de manière constante sur la durée de vie de celui-ci.  Il existe également l'amortissement dégressif, qui permet aux entreprises d'appliquer un coefficient fiscal au taux linéaire. Enfin, l'amortissement variable, qui consiste à amortir un bien sur la base des unités d'oeuvre qu'il consomme (en kilomètre pour un véhicule par exemple). 

Durée et taux d'amortissement

Tableau N° 40: durée et taux d'amortissements

Types d'immobilisation

Duré (par ans)

Taux %

-Frais de développements

-Immobilisation cheptels

-Construction

-Aménagement et installation technique

-Mobilier de bureau

-Matériels informatique

-Matériels de transport

-Matériels et outillages

3

1

20

5

10

4

5

5

20

100

5

20

10

20

20

10

Source : promoteur

SECTION-I : AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATION INCORPORELLES

Frais de développement

Valeurs d'origine : 400 000 Ar

Durée : 3 ans

Tableau N° 41: amortissements de frais de développement

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

cumul

VCN

1

400 000

133 333, 3333

133 333, 3333

386 666, 666 7

2

400 000

133 333, 3333

266 666, 6666

133 333, 333 4

3

400 000

133 333, 3333

400 000

0

Source : promoteur

SECTION-II : AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATION CORPORELLES

I-constructions :

V0 = 35 500 000

n = 20 ans

Tableau N° 42: amortissements de constructions

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

cumul

VCN

1

35 500 000

1 775 000

1 775 000

33 725 000

2

35 500 000

1 775 000

3 550 000

31 950 000

3

35 500 000

1 775 000

5 325 000

30 175 000

4

35 500 000

1 775 000

7 100 000

28 400 000

5

35 500 000

1 775 000

8 875 000

26 625 000

Source : promoteur

II-mobilier de bureau

V0 = 13 250 00

n=10

Tableau N° 43: amortissements de mobilier de bureau

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

Cumul

VCN

1

1 325 000

132 500

132 500

1 192 500

2

1 325 000

132 500

265 000

1 060 000

3

1 325 000

132 500

397 500

927 500

4

1 325 000

132 500

530 000

795 000

5

1 325 000

132 500

662 500

662 500

Source : promoteur

III- aménagements et installation divers

Tableau N° 44: amortissements des aménagements et installations divers

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

Cumul

VCN

1

2 500 000

500 000

500 000

200 000

2

2 500 000

500 000

1 000 000

1 500 000

3

2 500 000

500 000

1 500 000

1 000 000

4

2 500 000

500 000

2 000 000

500 000

5

2 500 000

500 000

2 500 000

0

Source : promoteur

IV- matériels de transport :

V0 = 25 000 000

n = 5

Tableau N° 45: amortissements de matériels de transport

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

Cumul

VCN

1

25 000 000

5 000 000

5 000 000

20 000 000

2

25 000 000

5 000 000

10 000 000

15 000 000

3

25 000 000

5 000 000

15 000 000

10 000 000

4

25 000 000

5 000 000

20 000 000

5 000 000

5

25 000 000

5 000 000

25 000 000

0

Source : promoteur

V- matériels informatiques

V0 = 1 800 000

n = 4

Tableau N° 46: amortissements de matériels informatiques

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

Cumul

VCN

1

1 800 000

450 000

450 000

1 350 000

2

1 800 000

450 000

900 000

900 000

3

1 800 000

450 000

1 350 000

450 000

4

1 800 000

450 000

1 800 000

0

Source : promoteur

VI- matériels et outillages

V0 = 3 160 000 n = 5

Tableau N° 47: amortissements des matériels et outillages

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

Cumul

VCN

1

3 160 000

632 000

632 000

2 528 000

2

3 160 000

632 000

1 264 000

1 896 000

3

3 160 000

632 000

1 896 000

1 264 000

4

3 160 000

632 000

2 528 000

632 000

5

3 160 000

632 000

3 160 000

0

VII- cheptels (poules pondeuses)

V0 = 500 000

n = 1

Tableau N° 48: amortissements des cheptels

Année

Valeurs d'origine

Amortissement

Cumul

VCN

1

500 000

500 000

500 000

0

Section-III : récapitulations des amortissements

Tableau N° 49: récapitulations des amortissements

V0

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

 

Cumul amorti

VCN

Cumul amorti

VCN

Cumul amorti

VCN

Cumul amorti

VCN

Cumul amorti

VCN

400 000

133 333, 3333

386 666, 666 7

266 666, 6666

133 333, 333 4

400 000

0

400 000

0

400 000

0

500 000

500 000

0

500 000

0

500 000

0

500 000

0

500 000

0

1 325 000

132 500

1 192 500

265 000

1 060 000

397 500

927 500

350 000

795 000

662 500

662 500

1 800 000

450 000

1 350 000

900 000

900 000

1 350 000

450 000

1 800 000

0

1 800 000

0

2 500 000

500 000

200 000

1 000 000

1 500 000

1 500 000

1 000 000

2 000 000

500 000

2 500 000

0

3 160 000

632 000

2 528 000

1 264 000

1 896 000

1 896 000

1 264 000

2 528 000

632 000

3 160 000

0

25 000 000

5 000 000

20 000 000

10 000 000

15 000 000

15 000 000

10 000 000

20 000 000

5 000 000

25 000 000

0

35 500 000

1 775 000

33 725 000

3 550 000

31 950 000

5 325 000

30 175 000

7 100 000

28 400 000

8 875 000

26 625 000

CHAPITRE-IV : ETUDE DE FAISABILITE ET RENTABILITE FINANCIER

SECTION-I : BILAN D'OUVERTURE

L'intangibilité du bilan d'ouverture est un principe comptable selon lequel le bilan d'ouverture d'un exercice doit être identique au bilan clôturé au terme de l'année précédente. Le bilan d'ouverture de l'année n doit donc reprendre à l'identique l'ensemble des comptes et des éléments chiffrés à la clôture du bilan n - 1, et ainsi de suite.

L'actif représente l'ensemble du patrimoine d'une entreprise, la majeure partie de ce qu'elle possède. A contrario, le passif est la somme de ce qu'elle doit à ses créanciers, etc. Les éléments d'actif et de passif sont évalués séparément, aucune compensation n'étant opérable entre ces 2 postes.

Tableau N° 50: bilan d'ouverture

ACTIFS

MONTANT

PASSIFS

MONTANT

Actifs non courants

Immobilisation incorporelles

-Frais d'établissements

Immobilisation corporelles

-Terrains

-Constructions

-aménagement et installation

-Mobilier de bureau

-Matériels informatique

-Matériels de transport

-Matériels de bases

-Matériels et outillages

Immobilisations cheptels

Cheptels

400 000

20 000 000

35 500 000

2 500 000

1 325 000

1 800 000

25 000 000

720 000

3 160 000

100 500 000

Capitaux propre

capital

total capitaux propre

passifs non courant

emprunts auprès de l'établissement de crédit

137 616 392, 5

137 616 392, 5

94 724 880

Total ANC

190 905 000

Total PNC

94 724 880

Actifs courants

-trésorerie

41 436 272, 5

Passifs courants

 

Total AC

41 436 272, 5

Total PC

0

TOTAL ACTIFS

232 341 272, 5

TOTAL PASSIFS

232 341 272, 5

Source : promoteur

SECTION II : COMPTE DE RESULTAT

Le compte de résultat prévisionnel est un tableau qui anticipe l'ensemble des entrées et des sorties pour chacune des trois premières années de notre entreprise. Il permet de déterminer, à l'avance et approximâtes, le résultat (bénéfice ou perte) que nous pensons réaliser grâce à l'activité de notre entreprise

I: comptes des charges.

Les charge comprennent tous les compte des classes 6 du plan comptable 2005. Ici, nos charges sont constitue des achats, charges personnels, impôts  et taxes et charges financier et dotations aux amortissements, les services extérieur.

Tableau N° 51: compte de charges

Rubrique

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Anne 5

Achats

102 209 090

104 002 460

106 160 555

109 925 458

112 909 420

Service extérieurs

2 480 000

2 480 000

2 480 000

2 480 000

2 480 000

Charges des personnels

60 180 000

60 180 000

61 383 600

63 189 000

65 596 200

Dotations aux amortissements

9 122 833, 333

8 622 833, 333

8 622 833, 333

8 489 500

8 039 500

Charges financières

15 272 400

12 217 920

9 163 440

6 108 960

3 054 480

Impôts et taxes

876 000

876 000

876 000

876 000

876 000

TOTAL

190 140 323, 3

188 379213 ,3

188 686 428, 3

191 068 918

192 955 600

Source : promoteur

II-compte des résultats par nature

Tableau N° 52: compte de résultats par nature

Rubriques

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

-chiffres d'affaires

280 450 000

284 660 000

285 135 000

301 360 000

307 525 000

I-production de l'exercice

-achats consommés

-services extérieurs

102 209 090

2 480 000

104 002 460

2 480 000

106 160 555

2 480 000

109 925 458

2 480 000

112 909 420

2 480 000

II- consommations de l'exercice

104 689 090

106 482 460

108 640 555

112 405 458

115 389 420

III- valeurs ajouté

175 760 910

178 177 540

176 494 445

188 954 542

192 135 580

-charges personnels

60 180 000

60 180 000

61 383 600

63 189 000

65 596 200

-impôts et taxes

876 000

876 000

876 000

876 000

876 000

IV- excédent brute d'exploitations (EBE)

114 704 910

117 121 540

114 234 845

124 889 542

125 663 380

-dotations aux amortissements

9 122 833, 333

8 622 833, 333

8 622 833, 333

8 489 500

8 039 500

V-résultats opérationnels

-produit financier

-charge financier

105 582 076,7

0

15 272 400

108 498 706,7

0

12 217 920

105 612 011,7

0

9 163 440

116 400 042

0

6 108 960

117 623 880

0

3 054 480

VI-résultat financier

(15 272 400)

(12 217 920)

(9 163 440)

(6 108 960)

(3 054 480)

VII-résultat avant impôts

-impôts sur les résultats (20%)

90 309 676,67

18 061 935,33

96 280 786,67

19 256 157,33

96 448 571,67

19 289 714,33

110 291 082

22 058216,4

114 569 400

22 913 880

VIII- résultats net des activités ordinaires

72 247 741,34

77 024 629,34

77 158 857,34

88 232 865,6

91 655 520

-produit extraordinaire

0

0

0

0

0

-charges extraordinaires

0

0

0

0

0

IX-résultats extraordinaires

0

0

0

0

0

X-résultats net de l'exploitation

72 247 741,34

77 024 629,34

77 158 857,34

88 232 865,6

91 655 520

Source : promoteur

Section-III : flux de trésorerie

Les flux de trésorerie désignent les mouvements de liquidités entrants ou sortants, que connaît une entreprise au cours d'une période spécifique.

Les flux de trésorerie sont généralement déterminés à partir des activités commerciales courantes. Deux méthodes ont été établies pour procéder à leur calcul :

· par méthode directe : le flux de trésorerie est déterminé par la différence entre les paiements et les décaissements.

· par méthode indirecte : le flux de trésorerie résulte alors d'un ajustement du bénéfice net de l'exercice, les charges hors caisse et les charges à payer étant prises en compte.

La méthode directe est souvent préférée, puisque toutes les données pertinentes sont déjà disponibles dans le compte de résultat ou le bilan.

Tableau N° 53: flux de trésorerie

Année

Désignations

1

2

3

4

5

Flux de trésoreries liés aux activités opérationnelles

 
 
 
 
 

-Encaissements reçus des clients

280 450 000

284 660 000

285 135 000

301 360 000

307 525 000

-Somme versées aux fournisseurs -et au personnel

164 869 090

166 662 460

170 024 155

175 594 458

180 985 620

-Intérêt et autre frais financier

16 148 400

13 093 920

10 039 444

6 984 960

3 930 480

-IBS

18 061 935,33

19 256 157,33

19 289 714,33

22 058216,4

22 913 880

(A) Flux de trésoreries net provenant des activités opérationnelles

81 370 574,67

85 647 462,67

85 781 686,67

96 722 365,5

99 690 020

Flux de trésorerie liés aux activités d'investissement

 
 
 
 
 

-Décaissement sur acquisitions d'immobilisations

232 341 272, 5

0

0

0

0

(B) Flux de trésoreries net provenant des activistes d'investissement

(232 341 272, 5)

0

0

0

0

Flux de trésoreries lie aux activités de financement

 
 
 
 
 

-Encaissement suite à l'émission d'action

155 976 272, 5

0

0

0

0

-Encaissement provenant d'emprunt

76 362 000

0

0

0

0

-remboursements d'emprunts

(15 272 400)

(15 272 400)

(15 272 400)

(15 272 400)

(15 272 400)

(C) Flux de trésoreries net provenant des activités financement

217 065 872,5

(15 272 400)

(15 272 400)

(15 272 400)

(15 272 400)

Variation de trésoreries de la période (A+B+C)

66 095 174,67

70 375 062,67

70 509 468,67

81 449 965,6

84 417 620

Trésorerie et équivalentes de trésoreries a l'ouverture de l'exercice

41 436 272, 5

107 531 447,2

177 906 509,9

248 415 978,5

329 865 944,1

Trésoreries et équivalentes a la clôtures de l'exercice

107 531 447,2

177 906 509,9

248 415 978,5

329 865 944,1

414 283 564,1

Section-IV : bilan prévisionnels

Le bilan prévisionnel est une composante de la partie financière du business plan. La finalité de ce document comptable sera de représenter la situation patrimoniale de l'entreprise à un moment donné, un instant « t » appelé date de clôture de l'exercice comptable. Il permet de vérifier l'équilibre financier de notre projet et d'observer l'évolution de nos chiffres au fil des années. Le bilan donne une vision de la création de valeur de l'entreprise face à ses « financements» au sens large du terme (dettes, investissements, etc.). Plus synthétique que les autres types de bilan (bilan comptable ou financier), le bilan prévisionnel permet une lecture rapide et facile des chiffres clés de notre entreprise.

Dans cette partie, il permet de déterminer les futures situations financières du ferme.les tableaux suivantes nous renseigne ces bilans pendant les 5 années d'exploitations

I-bilan 31 décembre année 1

Tableau N° 54: bilan 31 décembre année 1

ACTIFS

PASSIFS

Libellés

Montants bruts

Amortissements

Montant net

Libellés

Montant

Actifs non courants

 
 
 

Capitaux propre

 

Immobilisation incorporelles

 
 
 

Capital

155 976 272, 5

-Frais d'établissements

400 000

133 333, 3333

266 666 ,667

Résultat prévisionnels

72 247 741,34

Immobilisation corporelles

 
 
 

Report à nouveaux

0

-Terrains

20 000 000

0

20 000 000

Total capitaux propre

228 224 013,8

-Constructions

35 500 000

1 775 000

33 725 000

 
 

-aménagement et installation

2 500 000

500 000

2 000 000

 
 

-Mobilier de bureau

1 325 000

132 500

1 192 500

Passifs non courant

 

-Matériels informatique

1 800 000

450 000

1 350 000

Dette financière

61 089 600

-Matériels de transport

25 000 000

5 000 000

20 000 000

Total passifs non courants

61 089 600

-Matériels de bases

720 000

0

720 000

 
 

-Matériels et outillages

3 160 000

632 000

2 528 000

 
 

Immobilisations cheptels

 
 
 

Passifs courants

 

Vaches

100 000 000

0

100 000 000

 
 

Poules pondeuses

500 000

500 000

0

 
 

Total ANC

190 905 000

9 122 833, 333

18 782166,7

 
 

Actifs courants

 
 
 

Total passifs courants

0

-trésorerie

107 531 447,2

0

107 531 447,2

 
 

Total AC

107 531 447,2

0

107 469 514,3

 
 

TOTAL ACTIFS

298 436 447,2

9 122 833, 333

289 313 613,9

TOTAL PASSIFS

289 313 613,9

Source : promoteur

II-bilan 31 décembre année 2

Tableau N° 55: bilan 31 décembre année 2

ACTIFS

PASSIFS

Libellés

Montants bruts

Amortissements

Montant net

Libellés

Montant

Actifs non courants

 
 
 

Capitaux propre

 

Immobilisation incorporelles

 
 
 

Capital sociales

155 976 272, 5

-Frais d'établissements

400 000

266 666,666

133 333,333

Résultat prévisionnels

77 024 629,34

Immobilisation corporelles

 
 
 

Report à nouveaux

72 495 581,36

-Terrains

20 000 000

0

20 000 000

Total capitaux propre

305 496 483,2

-Constructions

35 500 000

3 550 000

31 850 000

 
 

-aménagement et installation

2 500 000

1 000 000

1 500 000

 
 

-Mobilier de bureau

1 325 000

265 000

1 060 000

Passifs non courant

 

-Matériels informatique

1 800 000

900 000

900 000

Dette financière

45 817 200

-Matériels de transport

25 000 000

10 000 000

15 000 000

Total passifs non courants

45 817 200

-Matériels de bases

720 000

0

720 000

 
 

-Matériels et outillages

3 160 000

1 264 000

1 896 000

 
 

Immobilisations cheptels

 
 
 

Passifs courants

 

Vaches

100 000 000

0

100 000 000

 
 

Poules pondeuses

500 000

0

500 000

 
 

Total ANC

190 905 000

17 245 666,67

173 559 333,3

 
 

Actifs courants

 
 
 

Total passifs courants

0

-trésorerie

177 906 509,9

0

177 906 509,9

 
 

Total AC

177 906 527,9

0

177 906 509,9

 
 

TOTAL ACTIFS

368 811 509,9

17 245 666,67

351 565 843,2

TOTAL PASSIFS

351 565 843,2

Source : promoteur

III - bilan 31desembre année 3

Tableau N° 56: bilan 31decembre année 3

ACTIFS

PASSIFS

Libellés

Montants bruts

Amortissements

Montant net

Libellés

Montant

Actifs non courants

 
 
 

Capitaux propre

 

Immobilisation incorporelles

 
 
 

Capital sociales

155 976 272, 5

-Frais d'établissements

400 000

400 000

0

Résultat prévisionnels

77 158 857,34

Immobilisation corporelles

 
 
 

Report à nouveaux

149 520 210,7

-Terrains

20 000 000

0

20 000 000

Total capitaux propre

382 655 340,5

-Constructions

35 500 000

3  325 000

32 175 000

 
 

-aménagement et installation

2 500 000

1 500 000

1 000 000

 
 

-Mobilier de bureau

1 325 000

395 500

929 500

Passifs non courant

 

-Matériels informatique

1 800 000

1 350 000

450 000

Dette financière

30 544 800

-Matériels de transport

25 000 000

15 000 000

10 000 000

Total passifs non courants

30 544 800

-Matériels de bases

720 000

0

720 000

 
 

-Matériels et outillages

3 160 000

1 896 000

1 264 000

 
 

Immobilisations cheptels

 
 
 

Passifs courants

 

Vaches

100 000 000

0

100 000 000

 
 

Poules pondeuses

500 000

0

500 000

 
 

Total ANC

190 905 000

23 865 500

167 038 500

 
 

Actifs courants

 
 
 

Total passifs courants

0

-trésorerie

248 415 978,5

0

248 415 978,5

 
 

Total AC

439 320 978,5

0

439 320 978,5

 
 

TOTAL ACTIFS

368 811 509,5

23 865 500

415 455 478 5

TOTAL PASSIFS

415 455 478 5

Source : promoteur

Bilan 4 : bilan 31decembre année 4

Tableau N° 57: bilan 31decembre année 4

ACTIFS

PASSIFS

Libellés

Montants bruts

Amortissements

Montant net

Libellés

Montant

Actifs non courants

 
 
 

Capitaux propre

 

Immobilisation incorporelles

 
 
 

Capital sociales

155 976 272, 5

-Frais d'établissements

400 000

0

400 000

Résultat prévisionnels

88 232 865,6

Immobilisation corporelles

 
 
 

Report à nouveaux

226 679 068

-Terrains

20 000 000

0

20 000 000

Total capitaux propre

470  888 206,1

-Constructions

35 500 000

7 100 000

28 400 000

 
 

-aménagement et installation

2 500 000

2 000 000

500 000

 
 

-Mobilier de bureau

1 325 000

530 000

795 000

Passifs non courant

 

-Matériels informatique

1 800 000

1 800 000

0

Dette financière

15 272 400

-Matériels de transport

25 000 000

20 000 000

5 000 000

Total passifs non courants

15 272 400

-Matériels de bases

720 000

0

720 000

 
 

-Matériels et outillages

3 160 000

2 528 000

632 000

 
 

Immobilisations cheptels

 
 
 

Passifs courants

 

Vaches

100 000 000

0

100 000 000

 
 

Poules pondeuses

500 000

0

500 000

 
 

Total ANC

190 905 000

33 958 000

156 947 000

 
 

Actifs courants

 
 
 

Total passifs courants

0

-trésorerie

329 865 944,1

0

329 865 944,1

 
 

Total AC

329 865 944,1

0

329 865 944,1

 
 

TOTAL ACTIFS

520 770 944,1

33 958 000

486 812 944,1

TOTAL PASSIFS

486 812 944,1

Source : promoteur

V-bilan 31decembre année 5

Tableau N° 58: bilan 31decembre année 5

ACTIFS

PASSIFS

Libellés

Montants bruts

Amortissements

Montant net

Libellés

Montant

Actifs non courants

 
 
 

Capitaux propre

 

Immobilisation incorporelles

 
 
 

Capital sociales

155 976 272, 5

-Frais d'établissements

400 000

0

400 000

Résultat prévisionnels

91 655 520

Immobilisation corporelles

 
 
 

Report à nouveaux

314 911 933,6

-Terrains

20 000 000

0

20 000 000

Total capitaux propre

561 991 064,1

-Constructions

35 500 000

8 875 000

26 625 000

 
 

-aménagement et installation

2 500 000

2 500 000

0

 
 

-Mobilier de bureau

1 325 000

662 500

662 500

Passifs non courant

 

-Matériels informatique

1 800 000

0

1 800 000

Dette financière

0

-Matériels de transport

25 000 000

25 000 000

0

Total passifs non courants

0

-Matériels de bases

720 000

0

720 000

 
 

-Matériels et outillages

3 160 000

3 160 000

0

 
 

Immobilisations cheptels

 
 
 

Passifs courants

 

Vaches

100 000 000

0

100 000 000

 
 

Poules pondeuses

500 000

0

500 000

 
 

Total ANC

190 905 000

40 197 500

150 707 500

 
 

Actifs courants

 
 
 

Total passifs courants

0

-trésorerie

414 283 564,1

0

414 283 564,1

 
 

Total AC

605 188 564,1

0

605 188 564,1

 
 

TOTAL ACTIFS

605 188 564,1

40 197 500

561 991 064,1

TOTAL PASSIFS

561 991 064,1

CHAPITRE-V : EVALUATION FINANCIERE

Ce chapitre permet d'analyse la viabilité de notre projet en fonction des conditions internes et externes de notre projet.

Section-I-CALCUL DE SEUIL RENTABILITE

Le seuil rentabilité est le chiffre d'affaires que l'entreprise doit atteindre pour avoir ni perte ni profit.il est important de déterminer ce seuil. D'une part, en matière de gestion prévisionnelle, cela permet de prévoir à quelle date et pour quel chiffre d'affaires on devrait couvrir l'ensemble des dépenses engagées, c'est-à-dire devenir rentable.

D'autre part, en matière de commerce, il permet de fixer des objectifs ou de modifier sa stratégie si les perspectives constatées en cours d'années semblent insuffisantes.

Tableau N° 59: seuil de rentabilité

Rubrique

Année 1

Année2

Année 3

Année 4

Année 5

Chiffre d'affaires

280 450 000

284 660 000

285 135 000

301 360 000

307 525 000

Charge variables

 
 
 
 
 

Achat consommés

102 209 090

104 002 460

106 160 555

109 925 458

112 909 420

Services extérieurs

2 480 000

2 480 000

2 480 000

2 480 000

2 480 000

Total charges variables

104 689 090

106 482 460

108 640 555

112 405 458

115 389 420

Marges sur cout variables

175 760 910

178 177 540

176 494 445

188 954 542

192 135 580

Taux marges sur cout variables

62,67103227

62,59310

61,89555

62,7006

62,4780

Charges fixes

 
 
 
 
 

Charges du personnel

60 180 000

60 180 000

61 383 600

63 189 000

65 596 200

Charges financières

15 272 400

12 217 920

9 163 440

6 108 960

3 054 480

Dotations aux amortissements

9 122 833, 333

8 622 833, 333

8 622 833, 333

8 489 500

8 039 500

Total charges fixes

84 575 233,33

81 020 753,3

79 169 873,3

77 789 460

76 690 180

Résultat différentiel

91 185 676,67

97 156 786,7

97 324 571,7

111 165 082

115 445 400

SR

134 951 077,7

129 440 390,9

127 949 925,45

124 061 747,4

122 747 495,1

Source : promoteur

Section-II : MARGES BRUTE D'AUTOFINANCEMENTS

La marge brute d'autofinancement (MBA) est l'un des ratios majeurs d'évaluation financière de notre entreprise. Elle est aussi destinée à mettre en évidence l'autonomie financière d'une entreprise au cours d'un exercice comptable.

La MBA peut être obtenue en ajoutant le résultat net de l'exercice (après impôt), les dotations aux amortissements et les dotations aux provisions (en totalité ou en partie).

La MBA représente la capacité d'autofinancement qu'une entreprise dégage au cours d'un exercice (avant une éventuelle distribution de dividendes).

MBA = résultat net de l'exercice + dotations aux amortissements

Tableau N° 60: MBA

 

Année 1

Année 2

Année 3

Année 4

Année 5

MBA

81 370 574,67

85 674 462,67

85 781 690,67

96 722 365,6

99 695 020

Cumul MBA

81 370 574,67

167 045 037,3

252 826 728

349 549 093,6

449 244 113,6

Source : promoteur

Section-III : LA VALEURS ACTUELS NETTE

Un investissement est rentable si la valeur actuelle nette des recettes nettes d'exploitations est positive.

Alors le fonctionnement de la VAN est tout simple, il consiste à comparer les grains d'un projet à son investissement initial.

I-Calcule de la valeur actuelle nette (20%)

VAN= MBA (1+i)-n - I0

Calcul de la VAN au taux de 20%

Tableau N° 61: calcul de la VAN au taux 20%

Année

MBA

(1 + i) - n

MBA (1+i) - n

1

81 370 574,67

0,833333

67 808 785,1

2

85 674 462,67

0,6944444

59 496 154,63

3

85 781 690,67

0,5787037

49 642 181,86

4

96 722 365,6

0,48225309

46 644 659,34

5

99 695 020

0,40187757

40 065 192,58

TOTAL

263 656 973,5

Source : promoteur

VAN = 263 656 973,5 - 232 341 272, 5

D'où


Alors, on a :

VAN = 31 315 701

II-indice de profitabilité (IP)

L'indice de profité de la rentabilité relative par rapport à l'investissement engagée est donc à la taille de profit

IP =

Ainsi, l'IP de notre future ferme est :

IP =

IP·= 1,134783203

Un IP est interpréter comme suit : pour 1 Ar d'investissement, on obtient 0,1347 Ar de bénéfice. Ou pour d'un investissement de 100 Ar, on obtient 13,47 Ar de profit.

Grace à ce chiffre indiquer par l'indice de profitabilité, l'entreprise est faisable.

III- taux de rentabilité interne (TRI)

Le taux de rentabilité interne (TRI) est le taux pour lequel la VAN est nulle, c'est-à-dire qu'il y a équivalence entre le capital investi et l'ensemble de la ferme actualisée

MBA 40%

Tableau N° 62: TRI

Année

MBA

(1 +i) - n

MBA (1 +i) - n

1

81 370 574,67

0,714285

58 121 780,93

2

85 674 462,67

0,510204

43 711 453,55

3

85 781 690,67

0,364431

31 261 507,31

4

96 722 365,6

0,260308

22 329 660,33

5

99 695 020

0,185934

18 536 693,85

TOTAL

173 961 096

Source : promoteur

Pour t = 20% VAN = 31 315 701 Ar

Pour t = 40% VAN = - 58 380 176 ,53 Ar

La fonction VAN étant continue sur I;R+ on en déduit qu'elle s'annule pour un nombre t compris entre 20% et 40%, on veut chercher pour quelle valeur t de cette fonction VAN est nulle.

D'où 20 TRI 40

- 58 380 176,53 0 31 315 701

Par interpolation des deux encadrements ; on a

= =

TRI = 0,349131998 x 20 + 20

TRI = 26,98 %

Interprétation : à un taux d'emprunt inferieur à 26,98 %, le BCM peut encore faire des bénéfices mais plus le taux ne s'approche de 26,98 %plus le bénéfice ne fait diminuer.

IV : le délai de récupération (DRCI)

Le délai de récupération d'un capital investi est le temps au bout duquel le montant cumulé des MBA est égal au capital investi. L'actualisation est faite aux taux de rentabilité minimum exigé par l'entreprise.

Tableau N° 63: DRCI

MBA

81 370 574,67

85 674 462,67

85 781 690,67

96 722 365,6

99 695 020

Cumul MBA

81 370 574,67

167 045 037,3

252 826 728

349 549 093,6

449 244 113,6

Source : promoteur

Le capital investi est de 232 341 272,5 Ar

Ainsi la durée de récupération est entres la deuxième année de l'exercice et la troisième.

Alors, 2 DRCI 3

167 045 037,3 232 341 272,5 252 826 728

Par l'exploitation des deux encadrements, on a

= = 0 ,761190816

DRCI=2,76

DRCI = 2 ans 9 mois 4 jours

Tableau N° 64: Résumé des outils de rentabilité

Outils

VAN

IP

TRI

DRCI

Valeurs

31 315 701

1,134783203

26,98

2ans 9 mois 4 jours

V-Evaluation économique

L'évaluation économique du SANIFERME démontre l'implication de l'entreprise dans le développement de la collectivité locale.

Par le bais « impôts et taxes » versé aux administrations publique, le SANIFERME est un acteur de développement économique Nationale et un foyer de propagation du bien-être collectif.

Cependant, les avantage économiques offerts par les entreprises sont multiple tel que :

- Augmentation des emplois et amélioration dans le domaine du secteur primaire, ce qui implique au taux de salariés.

- Développement de la collectivité locale siège de l'entreprise due aux impôts versés par l'entreprise.

CONCLUSION

Face à l'incapacité des approches théoriques traditionnelles à analyser la complexité du secteur élevage notamment la filière de production du poules pondeuses et des vaches laitières à trouver les solutions adéquates pour résoudre les problèmes posés par les différents acteurs ,en amont et en aval , de l'économie Malagasy, l'approche marketing prend naissance pour fournir , comme nous l'avons démontré dans notre étude , à l'Entreprise les moyens d'accomplir sa mission et atteindre ses objectifs dans un environnement économique caractérisé par l'informel et la spéculation .

Dans ce contexte , nous considérons notre projet de création de l'entreprise BIO-FERME, dans le domaine d'élevage biologique de poules pondeuses et du vaches laitiers, comme la pierre angulaire d'un nouveau marché avicole et laitières biologique compte tenu de l'absence sur marché biologique Malagasy de produit présentant des performances zootechniques et par voie de conséquence constater le succès sur le plan nutritive et gustative ainsi que sur la réduction des prix de vente.






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