Performance du chou pomme à base de bouse de porc et le chromolaena odorata à base de kikwit.( Télécharger le fichier original )par Roger Kidima Université de Kikwit - Gradue en sciences agronomiques 2014 |
CONCLUSIONL'objectif de ce travail est de comparer la croissance et le rendement du chou pommé sur les différents traitements utilisés. C'est la raison pour laquelle il s'intitule « performance du chou pommé sur la bouse de porc et Chromolaena odorata ». Après l'analyse des résultats faite sur les différents traitements, nous disons que la croissance et le rendement du chou pommé ont été obtenus dans les parcelles fertilisées en comparaison aux parcelles témoins. Ces fertilisants organiques (bouse de porc et Chromolaena odorata) et leur combinaison rendent plus le sol fertile en apportant les éléments nutritifs qui favorisent la croissance et le rendement du chou pommé. En voyant tous ces résultats obtenus, nous confirmons notre hypothèse que les sols les plus riches sont en général ceux où tous ces éléments sont mélangés en bonne proportion. En lisant les résultats obtenus sur les deux fertilisants organiques, la croissance et le rendement du chou étaient plus dans les parcelles fertilisées avec l'engrais d'origine animale que celle d'origine végétale. Et le mélange de deux fertilisants (bouse de porc plus Chromolaena odorata était toujours en tête sur la croissance et le rendement du chou pommé sur tous les traitements utilisés. Nous concluons que plus l'on fertilise le sol, plus on augmente le rendement et la production. Et ceux qui font la culture maraichère doivent beaucoup fertiliser le sol pour leur permettre d'obtenir un bon rendement avec des matières organiques à faible coût. BIBLIOGRAPHIE1. OUVRAGES 1. ANONYME (2002), Mémento de l'agronome, éd. Librairie du Cirad, Paris, 1691 p. 2. BRANDJES P. et Cie, (1995), Engrais verts et autres formes d'amélioration du sol dans les pays tropicaux, éd. CTA, Pays-Bas, 37 p. 3. DUPIEZ H et Cie, (1987), Jardins et vergers d'Afrique, éd. L'Harmattan, Paris, 354 p. 4. KROLL. R., (1994), Les cultures maraichères, éd. Maisonneuve et Larose, Paris, 219 p. 5. RAEMAEKERS R., (2001), Agriculture en Afrique tropicale, éd. DGCI, Belgique, 1634 p. 6. LUBINI et KUSEHULUKA, (1990), les jachères à Kikwit, piste et recherche, vol 5, n°5 et 3 p p 398-400 7. SHIPPERS R., (2004), Légumes africains indigènes présentation des espèces cultivées, éd. Magrat Publishers, Afrique, P. 481 2. THESE ET TRAVAIL DE FIN DE CYCLE 1. MASENS, D. M. Y. (1997), Etude de physiologique de la région de Kikwit (BDD- RD Congo) Bruxelles, Th, Doc., inédit, ULB. 2. Kapanga (2013), le rendement comparatif de la culture de l'épinard sur le Thitonia et la bouse de porc, UNIKIK, G3 agronomie, inédit 2. Mondo (2013), impact d'application d'engrais chimiques sur les champs du maïs de quelques agrimultiplicateus dans la ville de Kikwit, UNIKIK, G3 Agronomie, inédit 3. NOTES DE COURS 1. D. MAYELE, (2014), Notes de cours de statistique et biométrie, UNIKIK, G3 agronomie, inédit 2. G. PULULU, (2013), Notes de cours de physiologie végétale, UNIKIK, G2 agronomie, inédit. 3. J. TIARINA, (2013), Notes de cours d'Initiation à la Recherche Scientifique, UNIKIK, G2 Agronomie, inédit. 4. MONDJALIS, (2013), Notes de cours de Pédologie tropicale, UNIKIK, G2 agronomie, inédit. 4. WEBOGRAPHIE 1. http://fr.wikipedia.org/wiki/chou-commun 2. http://www.mon-bio-jardin.com/potager-bio/planter-et-recolter-des-choux-pommes-ou-cabus-9.html |
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