ANNEXES
ANNEXE A : Pauvreté monétaire comme proxy
de l'insécurité alimentaire.
Compte tenu de l'insuffisance des données de
l'insécurité alimentaire au Bénin, il n'est pas possible
de tracer la marche du Bénin depuis 1990 jusqu'à nos jours. Il
faut par conséquent utiliser indicateur proxy dont l'évolution
entre 1990 et 2010 est connue. Pour ce faire, l'incidence de la pauvreté
permet d'approcher l'indicateur d'insécurité alimentaire. En
effet, au Bénin, la pauvreté monétaire au plan
national/départemental/communal est mesurée par l'incidence de la
pauvreté (P0) monétaire en référence à un
seuil national/départemental/communal de pauvreté. La mesure de
l'incidence de la pauvreté tient compte du niveau de vie des
ménages et l'indicateur de niveau de vie utilisé en l'occurrence
est la dépense globale du ménage par tête. Pour
déterminer le seuil de pauvreté, on définit dans un
premier temps un panier explicite de biens alimentaires habituellement
consommés par les ménages et respectant les normes
internationales de nutrition39. Ce panier contient par
définition les besoins de base des populations. Dans un second temps, on
évalue les coûts de ces besoins de base. Ceci passe une
valorisation des quantités de base par les prix locaux. On obtient ainsi
le Seuil de Pauvreté Alimentaire (SPA). Une fois le seuil de
pauvreté alimentaire connu, il suffit d'ajouter une allocation
spécifique pour les biens non alimentaires pour obtenir le Seuil de
Pauvreté Global (SPG). Dans la pratique, pour déterminer le SPG,
il suffit de rapporter le SPA à la part des dépenses alimentaires
dans la dépense totale des ménages se situant en dessous de la
médiane des dépenses totales. Si on désigne par z le seuil
de pauvreté global et par X la dépense globale du ménage
par tête, alors on définit la classe d'indices proposés par
Foster, Greer et Thorbecke (1984) par la formule suivante :
P á
|
z
= (1 ) á ( )
x
- f x 0 z
|
dx
|
Où f(x) la fonction densité de X et á
représente le paramètre d'aversion pour la pauvreté
(á peut prendre les valeurs 0, 1 et 2).
39 Au Bénin, la norme veut qu'une alimentation
équilibrée couvre les besoins énergétiques à
hauteur de 2400 kcal au minimum par jour.
Sur le terrain, la mesure de l'incidence de la pauvreté
monétaire se fait sur la base d'un échantillon de N
ménages provenant de la population béninoise. Sur cet
échantillon dont on s'assure qu'il est représentatif de la
population totale, le calcul des indices de la classe de Foster, Greer et
Thorbecke(1984) s'effectue selon la formule suivante :
N
1 x
(1 )
i
P = -
á
N z
i = 0
á
xi = z
Sur l'échantillon considéré, lorsque
á = 0, alors l'indicateur correspondant est l'incidence PO de la
pauvreté.
Cette approche montre combien importante est l'alimentation
dans la définition et la mesure de la pauvreté au Bénin.
Il apparaît donc justifié d'approcher la pauvreté et
l'insécurité alimentaire par l'incidence de la pauvreté au
Bénin, en raison du manque de données. Ceci a permis de tracer la
courbe de la figure 6.
ANNEXE B : Méthode de calcul des besoins
alimentaires minimums des populations
Pour évaluer les besoins minimums (selon le seuil de
pauvreté alimentaire) des populations des départements du
Bénin, il a été fait recours aux données de
projection de population totale béninoise en 2010, Ensuite, à
l'aide des taux d'urbanisation enregistrés en 2002, il a
été effectué une projection des populations urbaines et
rurales de ces départements pour l'année 2010, La clé de
répartition est la suivante :
Département
|
Taux d'urbanisation
|
Alibori
|
0,21738922
|
Atacora
|
0,37677029
|
Atlantique
|
0,37937564
|
Borgou
|
0,43427036
|
Collines
|
0,21986741
|
Couffo
|
0,20619879
|
Donga
|
0,3087653
|
Littoral
|
1
|
Mono
|
0,21372248
|
Ouémé
|
0,44272495
|
Plateau
|
0,29921693
|
ZOU
|
0,28292336
|
Bénin
|
0,38850316
|
Source : INSAE, RGPH 2002
Cette clé de répartition représente, par
département et pour le Bénin, le taux d'urbanisation en 2002, On
considère par exemple la population du département de l'Alibori
en 2010 (selon les projections de l'INSAE) qui est de 675709 habitants, Pour
déterminer la population urbaine de l'Alibori en 2010, il suffit de
multiplier la population totale par le taux d'urbanisation du
département de l'Alibori, La population rurale du même
département se déduit par simple soustraction, Ceci donne qu'en
2010, la zone urbaine du département de l'Alibori compte 675709
*0,21738922 = 146892 habitants et que la zone rurale en compte 528817
habitants= 675709-146892, Ensuite, avec les données du panier de
consommation de référence pour le calcul du seuil de
pauvreté alimentaire suivant le milieu de résidence (urbain ou
rural), le besoin
minimum pour le maïs est calculé de la
façon suivante : pour chaque département, on multiplie la
quantité minimale de maïs en kg/personne/jour du milieu rural
(respectivement du milieu urbain) par la population totale du milieu rural
(respectivement du milieu urbain) en 2010, Ceci donne la quantité
minimale totale de maïs que les populations du département
concerné doivent consommer pour ne pas souffrir de faim, Une fois ce
calcul effectué, une simple agrégation des données du
milieu rural et urbain donne la quantité minimale totale de maïs en
tonnes nécessaire à épargner les populations du
département de la faim.
ANNEXE C : Produits alimentaires les plus
consommés par département et sur le plan national en
2009
Rang
|
Alibori
|
Atacora
|
Atlantique
|
Borgou
|
Collines
|
Couffo
|
Donga
|
Littoral
|
Mono
|
Ouémé
|
Plateau
|
Zou
|
Bénin
|
1
|
Maïs en grains crus (18.7%)
|
Maïs en grains crus (15%)
|
Maïs en grains crus (16.2%)
|
Igname (14,7%)
|
Igname (13,4%)
|
Maïs en grains crus (27.2%)
|
Igname (14,6%)
|
Tomate fraîche (08,2%)
|
Maïs en grains crus (33.2%)
|
Maïs en grains crus (14%)
|
Maïs en grains crus (14.4%)
|
Maïs en grains crus (17.5%)
|
Maïs en grains crus (15.6%)
|
2
|
Mil (14.7%)
|
Igname (13,2%)
|
Autres poissons fumés
ou séchés (07,3%)
|
Maïs en grain crus (14,0%)
|
Maïs en grain crus (09,7%)
|
Haricot secs (06,7%)
|
Maïs en grain crus (14,6%)
|
Maïs en grain crus (06,3%)
|
Tapioca /Gari (08,9%)
|
Tomate fraîche (10,0%)
|
Tomate fraîche (07,5%)
|
Haricots secs (07,3%)
|
Tomate fraîche (05,2%)
|
3
|
Riz local (8.4%)
|
Mil (08,8%)
|
Tomate fraîche (06,1%)
|
Viande de boeuf fraîche sans
os (04,9%)
|
Autres poissons fumés ou séchés
(05,1%)
|
Tapioca /Gari (06,3%)
|
Riz local (03,9%)
|
Riz importé (05,6%)
|
Autres poissons fumés ou
séches (06,0%)
|
Autres poissons fmés ou
séchés (06,5%)
|
Pâte alimentaire locale
cuite (abolo,kom etc) (06,7%)
|
Tapioca /Gari (06,3%)
|
Autres poissons fumés
ou séchés (05,1%)
|
4
|
Sorgho (6.8%)
|
Riz local (05,7%)
|
Riz local (05,4%)
|
Sorgho (04,2%)
|
Huile de Palme (04,7%)
|
Autres poissons fumés
ou séchés (06,2%)
|
Huile de Palme (03,5%)
|
Autres poissons fumés
ou séchés (04,9%)
|
Huile d'arachide (04,5%)
|
Tapioca/ Gari (05,4%)
|
Autres poissons fumés ou séchés
(06,5%)
|
Huile de Palme (05,9%)
|
Igname (04,8%)
|
5
|
Huile d'arachide (5%)
|
Sorgho (04,7%)
|
Haricots secs (05,0%)
|
Riz local (03,8%)
|
Bouillon alimentaire (Cube Maggi,Jumbo etc
) (03,3%)
|
Sels,épices ,
sauces et
produits alimentaires n.d.a (04,5%)
|
Tomate fraîche (03,4%)
|
Huile d'arachide (03,6%)
|
Haricots secs (04,4 %)
|
Pâte alimentaire local cuite (abolo ,
kom etc) (04,2%)
|
Sel,épices,
sauces et
produits alimentaires n.d.a (05,1%)
|
Autres poissons fumés ou séchés
(05,7%)
|
Riz local (04,1%)
|
6
|
Farines, semoules et gruaux (4.9%)
|
Haricots secs (04,3%)
|
Tapioca/Gari (04,3%)
|
Viande de boeuf fraîche avec
os (03,7%)
|
Tapioca/Gari (03,3%)
|
Huile de palme (04,1%)
|
Manioc (03,3%)
|
Riz local (03,2%)
|
Tomate fraîche (04,1%)
|
Riz importé (03,9%)
|
Huile de Palme (04,0%)
|
Tomate fraîche (04,8%)
|
Haricots secs (03,5%)
|
7
|
Autres poissons fumés ou
séchés (4.2%)
|
Huile d'arachide (03,3%)
|
Riz importé (03,8%)
|
Huile d'arachide (02,7%)
|
Haricots secs (03,2%)
|
Tomate fraîche (03,8%)
|
Mil (03,3%)
|
Autres poissons frais (03,2%)
|
Sel,épices,sauces et
produits alimentaires n.d.a (03,9%)
|
Sel,épices,sauc es et produits alimentaires
n.d.a (03,2%)
|
Tapioca/ Gari (03,7%)
|
Riz Local (04,0%)
|
Tapioca /Gari (03,5%)
|
8
|
Igname (3%)
|
Moutarde,Ketch up (02,8%)
|
Huile d'arachide (03,2%)
|
Fromage (02,4%)
|
Riz local (03,0%)
|
Riz importé (02,7%)
|
Huile d'arachide (02,7%)
|
Pain de blé industriel
en baguette (02,8%)
|
Poissons et autres produits séchés
ou fumés (03,7%)
|
Haricots secs (03,0%)
|
Concentré de tomate (03,5%)
|
Pâte alimentaire locale , cuite (abolo,
kom etc) (03,4%)
|
Huile d'arachide (03,2%)
|
9
|
Bouillon alimentaire, cube maggi,jumbo) (02,3%)
|
Sel,épices, sauces et produits
alimentaire
(02,5%)
|
Sel,épisodes
sauces,et
produits alimentaire n.d.a (02,8%)
|
Mil (02,4%)
|
Huile d'arachide (02,9%)
|
Riz local (02,6%)
|
Autres poissons fumés ou séchés
(02,7%)
|
O igon frais (02,6%)
|
Riz local (02,8%)
|
Huile de palme (02,9%)
|
O igon frais (03,5%)
|
Sel,épices, sauces et
produits alimentaires n.d.a (03,4%)
|
Riz importé (03,0%)
|
10
|
Sel,épices,sauce s et produits alimentaires
n.d.a (02,0%)
|
Autres légumes secs
n.d.a (02,4%)
|
Huile de palme (02,7%)
|
O ignon frais (02,3%)
|
Pâte alimentaire locale, cuite (abolo,
kom etc) (02,6%)
|
Huile d'arachide (02,3%)
|
Riz importé
(02,6%)
|
Sel,épices,
sauces et
produits alimentaires n.d.a (02,5%)
|
Huile de palme (02,5%)
|
Autres poissons frais (02,9%)
|
Poissons
et autres produits séchés ou fumés
(03,4%)
|
Riz importé(03,2 %)
|
Sel,épices,sauc es et produits alimentaires
n.d.a (02,9%)
|
Poids to 69,9 62,7 57,1 54,9 51,2 66,4 54,6 42,8 74,1
56,2 58,4 61,5 50,7
|
Source: INSAE EMICoV-suivi 2010
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
107
|
ANNEXE D : Evaluation et priorisation des goulots
d'étranglement
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE / (EXISTENCE
DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS
POSSIBLES
|
A. AMELIORATION DE LA
PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
|
Amélioration de la disponibilité et de
l'accessibilité aux intrants spécifiques et produits
phytosanitaires de qualité.
|
Nombre limité de points de ventes des intrants
spécifiques (semences et engrais et produits phytosanitaires)
|
impact rapide et très élevé dans le court
terme.
|
des solutions existent et ont été
éprouvées dans certaines régions du pays: c'est par
exemple la construction de point communaux voir à l'échelle
villageoise de points de ventes d'intrants.
|
Le PSRSA propose l'augmentation des points de distributions
d'intrants par communes. Il serait opportun d'appuyer la réalisation de
cette solution jusqu'au niveau des arrondissements.
|
Faible capacité financière des PP pour l'achat des
intrants vivriers
|
la levée de ce goulot à un impact
élevé sur la mise en oeuvre de cette intervention
|
des solutions existent et ont été
éprouvées sur le plan national notamment dans la filière
coton.
|
Renforcer l'accès des PP au microcrédit afin qu'ils
puissent s'acquérir les intrants nécessaires. Le PSRSA propose la
mise en place d'un système de microcrédit octroyant des
crédits plus élevés au fil du temps.
|
Intrants non adaptés aux cultures vivrières
|
Impact élevé dans le court terme.
|
Existence de solutions éprouvés dans la
filière coton.
|
Demande des formules appropriées lors de la commande des
intrants.
|
coût élevé des intrants
|
Impact éléver sur les PP à long terme.
|
Le coût des intrants est élevé en raison de
leur impotation.
|
Aucune solution n'a été éprouvée
localement et au niveau internationale pour cet obstacle.
|
Très peu de multiplicateurs de semences présents
dans les communes
|
La levée de ce goulot influencera dans un premier temps la
disponibilité de
semences améliorées et dans un second temps le
prix de ces semences.
|
Existence de solutions dans les CVA maïs.
|
Les CVA proposent de former et d'augmenter le nombre de
multiplicateurs de semences présents dans les différentes
communes.
|
Faible productivité des multiplicateurs de semences
|
Impact élevé sur les PP de maïs à moyen
terme
|
Les multiplicateurs de semences étant eux même des
petits producteurs, ils sont donc touchés par les solutions
d'amélioration de la
productivité.
|
Les multiplicateurs de semences sont eux
aussitouchés par les solutions d'amélioration de la
productivité.
|
La cherté des semences
|
|
Les PP perçoit la cherté des semences du fait de
leur faible capacité financière.
|
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
108
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE / (EXISTENCE DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS
POSSIBLES
|
A. AMELIORATION DE LA
PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
|
|
forte dépendance vis-à-vis des intrants
cotonniers
|
Impact élevé que sur une petite partie des PP
notamment ceux des zones à forte production cotonnière.
|
Les solutions de distribution de semences certifiées
proposés par le PSRSA et les CVA maïs pourraient contribuer
à éliminer ce goulot.
|
|
Réticence des producteurs à l'utilisation des
intrants agricole et non renouvellement des
stocks de semences améliorées.
|
Impact élevé à court et moyen terme.
|
Existence de solution à travers le renforcement des
capacités du conseil agricole.
|
Le rapport sur le Conseil agricole de la FUPRO propose des
solutions pour la levée de ce goulot.
|
Revente des intrants par des paysans de Nikki, Tanguiéta,
Malanville au pays limitrophes (Niger, Burkina Faso)
|
Impact élevé que sur les PP des zones
frontalières.
|
Des solutions n'ont pas été proposés dans la
documentation pour éliminer ce goulot.
|
|
Insuffisance de l'appui des CeRPA
|
Impact plus ou moins à court et moyen terme.
|
|
|
Amélioration de la maîtrise et de la gestion de
l'eau à petite échelle.
|
Insuffisance d'aménagements hydro-agricoles pour les
cultures de maïs.
|
La mise en place des infrastructures de drainage permettra
d'éviter les pertes dues aux inondations.
|
Le CVA maïs propose des solutions allant dans ce sens; il
s'agit de renforcer les approches d'aménagement sommaire des bassins de
production de maïs maîtrisable par les producteurs
|
La mise en place de cette solution passe par: (i) Le
recensement des technologies adaptées pour les aménagements
sommaires ; (ii) La
formation des acteurs à la base et (iii) La dotation des
communautés bénéficiaires d'équipements
appropriés pour les aménagements. Les PP auront ainsi la
capacité de maîtriser l'eau des inondations ou encore le manque
d'eau due à la sécheresse. Par ailleurs, cette solution permettra
d'accroître les superficies cultivables de maïs en zone
inondable.
|
Renforcement du conseil-appui
agricole en faveur
des petits producteurs de maïs.
|
Non maîtrise des textes fondamentaux qui régissent
les OPA par leurs responsables.
|
Impact élevé dans le moyen terme.
|
Existence de solution dans le rapport de la FUPRO concernant le
conseil agricole.
|
La FUPRO propose des solutions pour la levée de ce goulot
dans son rapport sur le conseil agricole.
|
Manque d'expérience de la part des agents encadreurs et
prestations des conseillers agricoles peu satisfaisants.
|
Impact élevé à court et moyen terme.
|
Existence de solution dans le rapport de la FUPRO concernant le
conseil agricole.
|
La FUPRO propose des solutions pour la levée de ce goulot
dans son rapport sur le conseil agricole.
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
109
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE / (EXISTENCE DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS
POSSIBLES
|
A.
AMELIORATION DE LA
PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
|
Renforcement du conseil-appui agricole en faveur des petits
producteurs de maïs.
|
Le mauvais comportement des agents sur le terrain (certains ne
résident pas à leur poste)
|
|
|
|
cumul de postes (Les agents du corps de contrôle exercent
deux fonctions incompatibles inspection/contrôle et conseil
|
|
|
|
Non actualisation des fiches techniques qui existent
|
|
|
|
Réticence/ignorance des producteurs aux nouvelles
techniques
|
Impact élevé dans le moyen terme.
|
Existence de solutions à travers le renforcement des
activités des activités
|
|
Analphabétisme des PP
|
Impact élevé dans le moyen terme.
|
Existence de solution dans le rapport de la FUPRO concernant le
conseil agricole.
|
La FUPRO propose des solutions pour la levée de ce goulot
dans son rapport sur le conseil agricole.
|
Mauvaise opérationnalisation de la stratégie de
développement des activités de génie rural
|
Impact élevé dans le court terme.
|
La prise en compte rigoureuse des axes de la stratégie de
développement des activités de génie rural apparaît
comme une solution pour la levée de ce goulot d'étranglement.
|
La prise en compte rigoureuse des axes de la stratégie de
développement des activités de génie rural apparaît
comme une solution pour la levée de ce goulot d'étranglement.
|
Mécanisation des activités agricoles des petits
exploitants de maïs.
|
Machines destinés pour l'agriculture non adaptées
aux conditions agro écologiques
|
|
|
|
faible accès des PP aux matériels agricoles
|
Impact élevé dans le court terme.
|
Des solutions sont proposées suites aux entretiens
menées par les auteurs.
|
Identifier dans chaque région le nombre de PP et
procéder par une mécanisation groupée de leurs
activités agricoles.
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
110
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE / (EXISTENCE DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS POSSIBLES
|
A. AMELIORATION DE LA PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
|
Mécanisation des activités agricoles des petits
exploitants de maïs.
|
Le mauvais comportement des agents sur le terrain (certains
ne résident pas à leur poste)
|
|
|
|
|
Impact élevé dans le moyen terme.
|
Existence de solution dans le rapport de la FUPRO concernant le
conseil agricole.
|
La FUPRO propose des solutions pour la levée de ce goulot
dans son rapport sur le conseil agricole.
|
|
Impact élevé dans le court terme.
|
La prise en compte rigoureuse des axes de la stratégie de
développement des activités de génie rural apparaît
comme une solution pour la levée de ce goulot d'étranglement.
|
|
B. AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
Amélioration de la commercialisation du maïs.
|
Les OP (unions) locales ne maîtrisent pas l'entrepreneuriat
agricole ou la gestion commerciale.
|
Fort impact à moyen terme
|
Existence de solution à travers le projet Appui aux
institutions locales et communales pour l'économie locale du FIDA
|
Le FIDA à travers son Projet d'appui aux institutions
locales et communales pour l'économie locale propose de renforcer les
capacités des OP dans la gestion commerciale et l'entrepreneuriat
agricole, dans la gouvernance et la communication et les services
spéciaux (contrôle interne) et les liens avec d'autres
privés et d'appuyer les formations en techniques de vente et en gestion
commerciale de MER adaptées à la capacité et à la
demande des MER. Appuyer
l'organisation de la faîtière des commerçants
de maïs grain.
|
|
Insuffisance de normes de qualité.
|
Améliorer la qualité de maïs mis en
circulation
|
Existence de solution dans le CVA maïs Bohicon. Le PSRSA
propose aussi une solution.
|
La vulgarisation des normes et l'encadrement des producteurs, le
PSRSA propose la mise en place d'un système efficace de contrôle
des normes commerciales. Le rapport du CVA Maïs propose la mise en place
d'un système de vulgarisation des normes existantes.
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
111
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE / (EXISTENCE DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS
POSSIBLES
|
B. AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
Amélioration de la commercialisation du maïs.
|
Manque d'itinéraires adaptés aux normes du
marché.
|
|
|
Organiser les producteurs en coopératives pour renforcer
leur pouvoir envers les collecteurs/ commerçants, appuyer les
OP/réseaux pour la gestion commerciale, le contrôle de
qualité interne, la communication interne et le lien avec le secteur
privé
|
Inexistence d'une politique de soutien au prix aux
producteurs.
|
Fort impact à long terme
|
|
|
Connaissances insuffisantes des opportunités sur les
marchés et difficultés d'accès aux informations
commerciales (prix, technologies améliorées).
|
Impact élevé à court terme. La levée
de ce goulot permettra entre autres d'influencer positivement
l'écoulement du maïs sur le marché local et
régional.
|
L'atelier sur le CVA maïs a identifié une solution
afin de faciliter la commercialisation du maïs. Le projet Appui aux
institutions locales et communales pour l'économie du FIDA propose une
solution à cet obstacle
|
Il appartiendra à la CCIB, au ministère du
commerce, à l'ADEx, à l'ABePEC de mettre en oeuvre cette
solution. Le FIDA propose d'appuyer la mise en place et le fonctionnement de
systèmes pouvant saisir
et communiquer des opportunités aux MER/producteurs
(communes, OP)
|
Dégradation/Inexistence des infrastructures des pistes
rurales dans quelques communes.
|
Fort impact dans le court terme, désenclavement des zones
de production et de consommation reculées et amélioration nette
de l'accès aux aliments
|
L'atelier CVA mené sur le maïs à Bohicon
propose des solutions à court terme pour résoudre le
problème de dégradation des routes et pistes rurales.
|
Le CVA Maïs propose la réhabilitation des pistes
existent et la réalisation de nouvelles pistes de desserte rural.
|
Insuffisance du personnel de l'ONASA, au niveau central et au
niveau décentralisé
|
|
La commercialisation du maïs ne relève pas de
l'autorité étatique.Les boutiques de l'ONASA ont
été mis en place dans le but d'amorcer les effets de la crise
alimentaire de 2007.
|
Déconcentrer certaines structures d'appui aux
activités commerciales
|
Ecoulement des produits non organisé
|
Impact élevé. Organiser l'écoulement du
maïs renforcera l'accès aux marchés
|
Les actions à mener par le PAILCE du FIDA vont dans ce
sens.
|
Le projet Appui aux institutions locales et communales pour
l'économie locale propose l'appui à l'organisation
d'écoulement des produits (structuration des OP,
vente collective
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
112
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE / (EXISTENCE DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS
POSSIBLES
|
B. AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
Amélioration de la commercialisation du maïs.
|
Analphabétisme des femmes actives dans la
commercialisation.
|
Impact élevé dans le court et moyen terme.
|
Existence de solutions dans les actions à mener par le
FIDA dans le cadre du COSOP.
|
Action proposée par le FIDA pour résoudre le
d'analphabétisme des femmes : Appuyer l'alphabétisation en post
alpha pour des jeunes femmes.
|
Taux élevé, garantie et d'autres assurance,
durée trop courte pour rembourser,
|
|
|
|
Non maîtrise des coûts de
cession du maïs stocké tant par le producteur que le
commerçant
|
|
|
|
Amélioration du processus de conservation, de stockage et
de transformation du maïs.
|
Manque de priorisation participative dans les plans de
développement
|
|
|
Mettre en place un système de veille pour la mise en
oeuvre effective des politiques de développement de la filière
maïs
|
Inexistence d'entreprise de fabrication d'emballages
appropriés au Bénin
|
|
|
Facilitation de l'approvisionnement des acteurs en emballage
|
Manque de financement des activités post-récoltes
et Problème d'accès au crédit pour les activités de
transformation
|
Impact plus ou moins élevé dans le court et le
moyen terme.
|
Existence de solutions dans les CVA Maïs.
|
Le CVA Maïs propose la facilitation de la création
des banques agricoles de développement. Le gouvernement a prévu
de mettre en place le Fond National de Développement Agricole (FNDA)
à travers l'opérationnalisation du PSRSA.
|
Sous équipement et manque de grandes unités de
transformation
|
Impact plus ou moins élevé dans le court et le
moyen terme.
|
Existence de solutions dans les CVA Maïs.
|
Renforcement des capacités des
équipementiers (formation, appui technique et financier
des constructeurs d'équipements), Respect des normes de fabrication des
équipements
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
113
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT (PRIORISES)
|
IMPACT/RAPIDITE DE L'IMPACT LIE A LA LEVEE
DU GOULOT
|
FAISABILITE /(EXISTENCE DE SOLUTIONS)
|
NOTES SUR LES PROBLEMES/SOLUTIONS
POSSIBLES
|
B. AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
Amélioration du processus de conservation, de stockage et
de transformation du maïs.
|
faibles partenariats public/privé pour ce but
|
|
|
|
Problèmes d'écoulement des produits
transformés
|
|
|
|
Problème lié à l'énergie : coupure et
prix du courant élevé
|
Impact plus ou moins élevé dans le court et le
moyen terme.
|
Existence de solutions dans les CVA Maïs
|
Le rapport sur les CVA Maïs propose (i) la stabilisation les
coûts du gaz et de l'énergie électrique pour les petites et
moyennes entreprises.(ii) le renforcement de la capacité de fourniture
d'énergie électrique et du gaz au Bénin, et (iii) la
diversification des sources d'approvisionnement en énergie
électrique et en gaz.
|
Maîtrise insuffisante des techniques de conservation et de
transformation.
|
Impact élevé dans le court terme.
|
Existence de solution dans le rapport final maïs (2011)
de la FUPRO.
|
Renforcer la formation des producteurs aux techniques de
manutention et de stockage post-récolte en vue de réduire les
pertes postrécolte, d'améliorer la qualité du maïs et
d'obtenir des revenus plus élevés (Etude documentaire sur le
maïs, FUPRO 2011)
|
Faible maintenance des infrastructures existantes.
|
Impact élevé dans le court terme.
|
Existence de solutions dans les CVA maïs.
|
Réhabiliter les infrastructures de stockage existantes et
appuyer la réalisation de nouvelles infrastructures de stockage et de
conservation de maïs.
|
Les auteurs, 2011
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
114
|
ANNEXE E : Evaluation et priorisation des
solutions
GOULOTS D'ETRANGLEMENT PRIORISES
|
SOLUTIONS POSSIBLES
|
IMPACT DE LA SOLUTION
SUR L'INTERVENTION.
|
Faible capacité financière des PP pour l'achat des
intrants vivriers.
|
Renforcer l'accès des PP au microcrédit pour
l'achat d'intrants vivriers
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: court et moyen terme.
Durabilité: solution durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Structurer la commercialisation du maïs pour la vente dans
le but de faciliter le recouvrement des crédits et Appuyer la
création de faitières.
|
Ampleur: Impact élevé sur les commerçants de
maïs, sur les PP et sur les ménages ruraux, amélioration
nette de la réponse à la demande de maïs locale.
Rapidité: Impact immédiat. Durabilité: solution durable
à long terme. Impact défavorable: Néant.
|
Intrants non adaptés aux cultures vivrières
|
Assurer la demande des formules appropriées lors de la
commande des
intrants.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: Impact immédiat.
Durabilité: Moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
Nombre limité de
points de ventes des intrants spécifiques (semences et
engrais et produits
phytosanitaires)
|
Appuyer la création d'un point de distribution d'intrants
par arrondissement.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: Impact immédiat.
Durabilité: Moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
Très peu de multiplicateurs de semences présents
dans les communes.
|
Former et augmenter le nombre de multiplicateurs de semences
présents dans les différentes communes.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité:
Immédiate. Durabilité: Moyen et long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Réticence des producteurs à l'utilisation des
intrants agricole et non renouvellement des stocks de semences
améliorées.
|
Sensibiliser les producteurs sur les opportunités de
l'utilisation des intrants agricoles.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: court et moyen terme.
Durabilité: moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
A. AMELIORATION DE LA
PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
Amélioration de la disponibilité et de
l'accessibilité aux intrants spécifiques et produits
phytosanitaires de qualité.
|
FAISABILITE DE LA SOLUTION
Gouvernance : Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et
les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et
les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP,
intervention des ONG et secteur privé ; Capacité: bonne
capacité à planifier et à mettre en oeuvre ;
Disponibilité du financement:
Partiellement par l'Etat et les PTF ; Facteur additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
115
|
IMPACT DE LA SOLUTION
SUR L'INTERVENTION.
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: impact rapide à court terme.
Durabilité: moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: impact rapide à court terme.
Durabilité: moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: court et moyen terme.
Durabilité: moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
Renforcement du conseil-appui
agricole en faveur des petits
producteurs de maïs.
|
Manque d'expérience de la part des agents encadreurs
et
prestations des conseillers agricoles peu satisfaisants.
|
Faire des formations de mise à niveau des acteurs du
conseil agricole (conseillers et responsables du suivi des activités de
ces conseillers sur le terrain).
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: court et moyen terme.
Durabilité: moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
|
Maîtrise insuffisante des textes
fondamentaux qui régissent les OPA par leurs
responsables.
|
Renforcer la capacité des OPA dans la maîtrise et
l'application des textes qui régissent
l'organisation.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: court et moyen terme.
Durabilité: moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
|
Analphabétisme des PP de maïs.
|
Renforcer la capacité en lecture et en écriture
des producteurs déscolarisés.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: Impact immédiat.
Durabilité: Moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
|
Alphabétiser les non scolarisés pour leur rendre
accessibles les outils de conseil agricole.
|
Ampleur : Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: moyen terme. Durabilité:
solution durable sur le long terme. Impact défavorisé:
Néant.
|
|
SOLUTIONS POSSIBLES
Recenser les technologies adaptées pour les
aménagements sommaires
Former les acteurs à la base
Doter les communautés bénéficiaires
d'équipements appropriés pour les
aménagements.
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
A.
AMELIORATION DE LA
PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
INTERVENTIONS PRIORISEES
Amélioration de la maîtrise et de la gestion de
l'eau à petite échelle.
GOULOTS D'ETRANGLEMENT PRIORISES
Insuffisance d'aménagements hydroagricoles pour les
cultures de maïs.
FAISABILITE DE LA SOLUTION
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF ; Facteur
additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF ; Facteur
additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF; Facteur
additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF; Facteur
additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF; Facteur
additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF; Facteur
additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du
financement: Partiellement par l'Etat et les PTF; Facteur
additionnel:
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
116
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT PRIORISES
|
SOLUTIONS POSSIBLES
|
IMPACT DE LA SOLUTION
SUR L'INTERVENTION.
|
FAISABILITE DE LA SOLUTION
|
A.
AMELIORATION DE LA
PRODUCTIVITE
DES PETITS PRODUCTEURS DE MAIS
|
Renforcement du conseil-appui
agricole en faveur des petits
producteurs de maïs.
|
Analphabétisme des PP de maïs.
|
Traduire les outils en langues locale pour les rendre accessibles
à ceux qui sont alphabétisés en langue locale.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: Impact immédiat.
Durabilité: Moyen et long terme. Impact défavorable:
Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
|
Mécanisation des activités agricoles des petits
exploitants de maïs.
|
Mauvaise opérationnalisation de la stratégie de
développement des activités de génie rural.
|
Mettre en oeuvre dans l'immédiat et rigoureusement les
différents axes de la stratégie de développement des
activités de génie rural.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: court et moyen terme.
Durabilité: solution durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
|
Faible accès des PP aux matériels agricoles
|
Identifier dans chaque région le nombre de PP et
procéder à une
mécanisation de leurs activités agricoles par
groupe de PP.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP et sur les
ménages ruraux. Rapidité: Impact immédiat.
Durabilité: solution durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité du financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
|
B. AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
Amélioration de la commercialisation du maïs.
|
Manque de connaissances des opportunités sur les
marchés et difficultés d'accès aux informations
commerciales (prix, technologies améliorées).
|
Mettre en place un système de communication et
d'information sur les opportunités de marchés et les options
technologiques et de prix.
|
Ampleur: Impact élevé sur les commerçants de
maïs et par conséquent amélioration de la
disponibilité du produit sur le marché. Rapidité: Court et
Moyen terme. Durabilité: solution durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP et du
Ministère de l'Industrie et du Commerce (MIC) ; Capacité: bonne
capacité à planifier et à mettre en oeuvre mais quelques
préoccupations quant au suivi de la solution ; Disponilité de
Financement : Partiellement par l'Etat et les PTF ; Facteur additionnel:
|
Maîtrise insuffisante des normes de commercialisation
|
Mettre en place d'un
système de vulgarisation des normes existantes.
|
Ampleur: Impact élevé sur tout le système de
commercialisation du maïs. Rapidité: Court terme.
Durabilité: impact durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP et du MIC ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre mais quelques préoccupations quant au suivi de la solution ;
Disponilité de Financement: Partiellement par l'Etat et les PTF ;
Facteur additionnel:
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
117
|
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
Amélioration de la commercialisation du maïs.
|
GOULOTS D'ETRANGLEMENT PRIORISES
.
|
SOLUTIONS POSSIBLES
|
IMPACT DE LA SOLUTION
SUR L'INTERVENTION.
|
FAISABILITE DE LA SOLUTION
|
B.
AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
Renforcer l'encadrement des producteurs de maïs à
travers la formation de ces derniers aux normes de commercialisation.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP de maïs.
Rapidité: Court terme.
Durabilité: impact durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP et du MIC ;
Capacité: bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre mais quelques préoccupations quant au suivi de la solution ;
Disponilité de Financement : Partiellement par l'Etat et les PTF ;
Facteur additionnel:
|
Dégradation ou inexistence des infrastructures des pistes
rurales dans quelques communes.
|
Appuyer la construction/réhabilitation des pistes de
desserte
rurale prioritairement dans les zones enclavées (Mono,
Collines et Zou).
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP, les
commerçants et les ménages ruraux. Rapidité: Moyen terme.
Durabilité: Impact durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP, du
Ministère du Transport et des Travaux Publics ; Capacité: Bonne
capacité à planifier et à mettre en oeuvre ;
Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et les PTF;
Facteur additionnel:
|
Analphabétisme des femmes actives dans la
commercialisation.
|
Appuyer l'alphabétisation pour les jeunes femmes et les
autres acteurs du système de
commercialisation du
Maïs.
|
Ampleur: Impact élevé sur les
ménages agricoles et sur les commerçants de
maïs. Rapidité: Court et moyen terme. Durabilité: Impact
durable à long terme. Impact défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Les OP (unions) locales ne maîtrisent pas l'entrepreneuriat
agricole ou la gestion commerciale.
|
Appuyer les formations en techniques de vente et en gestion
commerciale de Micro entreprise Rurale (MER) adaptées à la
capacité et à la demande des MER.
|
Ampleur: Impact élevé sur les OP, les PP, et les
commerçants. Rapidité: Court et moyen terme. Durabilité:
Impact durable dans le long terme. Impact défavorable : Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Adapter le modèle de professionnalisation du Projet
Songhaï aux ménages agricoles.
|
Ampleur: Impact élevé sur les PP de maïs.
Rapidité: Moyen terme. Durabilité: Impact durable dans le moyen
et long terme. Impact défavorable: Néant.
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Source : Les auteurs, 2011
|
|
|
|
Réalisé par Hamis O. Alladé BADAROU
& Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
118
|
GOULOTS D'ETRANGLEME NT PRIORISES
|
SOLUTIONS POSSIBLES
|
Maitrise insuffisante des techniques de conservation et de
transformation.
Renforcer la formation des producteurs aux techniques de
manutention et de stockage post-récolte en vue de réduire les
pertes post-récolte, d'améliorer la qualité du maïs
et d'obtenir des revenus plus élevés
Doter les PP de maïs de produits de conservation et de
traitement postrécolte.
Faible maintenance des infrastructures existantes.
Réhabiliter les infrastructures de
stockage existantes et appuyer la réalisation de nouvelles
infrastructures de stockage et de conservation de maïs.
Mettre en place un système de maintenance et d'entretien
des infrastructures
Manque de financement des activités postrécoltes et
Problème d'accès au crédit pour les activités de
transformation.
Faciliter l'accès des PP au microcrédit pour le
financement des activités post-récoltes.
DOMAINE D'INTERVENTION PRIORITAIRES
B.
AMELIORATION DE L'ACCES AUX MARCHES
|
INTERVENTIONS PRIORISEES
Améliorer du processus de conservation, de stockage et de
transformation du maïs.
|
IMPACT DE LA SOLUTION
SUR L'INTERVENTION.
Ampleur: Impact élevé sur les transformateurs, les
ménages ruraux, suite à une diminution significative des pertes
post-récoltes et l'amélioration de la qualité du
maïs. Rapidité: Court et moyen terme. Durabilité: solution
durable à long terme. Impact défavorable: Néant.
Ampleur: Impact élevé sur les transformateurs, les
ménages ruraux, suite à une diminution significative des pertes
post-récoltes et l'amélioration de la qualité du
maïs. Rapidité: Court et moyen terme. Durabilité: solution
durable à long terme. Impact défavorable: Néant.
Ampleur: Impact élevé sur les transformateurs, et
les ménages ruraux, croissance de la quantité de maïs
disponible, réduction significative des pertes post-récoltes et
amélioration de la qualité du maïs mis sur le marché.
Rapidité: Court et moyen terme. Durabilité: solution durable
à long terme. Impact défavorable: Néant.
Ampleur: Impact élevé, Rapidité: Court et
moyen terme. Durabilité: solution durable à long terme. Impact
défavorable: Néant.
Ampleur: Impact élevé sur les PP de maïs, les
commerçants, les transformateurs et sur les ménages ruraux.
Rapidité: Moyen terme. Durabilité: Impact durable à long
terme. Impact défavorable: Néant.
FAISABILITE DE LA SOLUTION
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et
les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP ;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et
les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP, du
ministère des finances ou du développement, du ministère
de l'artisanat et interventions des ONG ; Capacité: Bonne
capacité à planifier et à mettre en oeuvre ;
Disponibilité de financement ; Partiellement par l'Etat et les PTF ;
Facteur additionnel:
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et
les
PTF ; Facteur additionnel:
|
Gouvernance: Fort potentiel de coordination du MAEP,;
Capacité: Bonne capacité à planifier et à mettre en
oeuvre ; Disponibilité de financement: Partiellement par l'Etat et les
PTF; Facteur additionnel:
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
119
|
ANNEXE F : Identification des cibles pour le
costing
Libellé
|
Année de base 2012
|
Année cible 2015
|
Données de Population
|
|
|
% ménages exploitants agricoles producteurs de
maïs
|
80%
|
80%
|
% touchée de ménages exploitants agricoles
producteurs de Maïs
|
48%
|
70%
|
Engrais chimique
|
|
|
Engrais chimique par tonne /ha/année
|
0,1
|
0,15
|
% ménage ayant accès l'Engrais
chimique
|
43%
|
75%
|
Produits de conservation
|
|
|
Produits de conservation par tonne
/ha/année
|
0,1
|
0,1
|
% ménages ayant accès au Produits de
conservation
|
41%
|
80%
|
Aménagement hydroagricoles (ha)
|
|
|
Nombre d'hectares aménages
|
1371
|
4371
|
% ménage de ménages petits exploitants
agricoles ayant accès aux aménagements hydroagricoles
(ha)
|
1%
|
4%
|
Conseil agricole
|
|
|
Nombre de ménages exploitants agricoles par
conseil agricole
|
216
|
120
|
% ménage de ménages petits exploitants
agricoles ayant accès au conseil agricole
|
64%
|
100%
|
Conseiller agricole
|
|
|
Nombre de ménages petits exploitants par
conseillers agricoles
|
189
|
120
|
Ratio Homme- Femme au sein des conseiller
agricole
|
5
|
2,5
|
Unité de production de semences
certifiées
|
|
|
Nombre d'unité de production de semences
certifiées
|
6
|
1
|
% ménage de ménages petits exploitants
agricoles ayant accès aux unité de production de semences
certifiées
|
0%
|
1%
|
Points de distribution de semences
|
|
|
Ratio points de distribution de semences par
communes
|
1
|
1
|
% ménage de ménages petits exploitants
agricoles ayant accès l'points de distribution de semences
|
34%
|
80%
|
Infrastructures de stockage et d'entreposage
|
|
|
Ratio ménages par infrastructures
stockage
|
3
|
1
|
Magasin pour le stock National de sécurité
alimentaire
|
|
|
Nombre total de Magasins par
département
|
2
|
2
|
Magasin d'entreposage
|
|
|
Nombre total de Magasins d'entreposage
|
103
|
140
|
Campagne d'information et de sensibilisation % de
villages ciblés
|
21%
|
45%
|
Ratio campagne de sensibilisation par village
ciblé
|
1
|
1
|
Mise en place de CEMA
|
|
|
Centre d'Exploitation de Machines Agricoles
(CEMA)
|
|
|
Couverture (%)
|
55%
|
100%
|
Nombre de CEMA
|
40
|
74
|
Machines
|
|
|
Ratio Machines agricoles par CEMA
|
0
|
|
Bâtiment
|
|
|
Ratio bâtiments par CEMA
|
0
|
|
Personnel
|
|
|
Ratio personnel par CEMA
|
0
|
|
Couverture nationale en mécanisation
agricole
|
|
|
Nombre d'atelier de réparation
|
16
|
20
|
Nombre d'ateliers équipés
|
16
|
20
|
Nombre de tracteurs
|
811
|
1000
|
Nombre de motoculteurs
|
927
|
2000
|
Libellé
|
Année de base 2012
|
Année cible 2015
|
Nombre d'essoucheuses
|
3
|
2
|
Matériels de transformation
|
71
|
250
|
Ménages Petits exploitants agricoles
|
|
|
Type d'Intervention 1
|
|
|
Machines (Moulins, décortiqueuses,
presse)
|
|
|
Couverture
|
0
|
0
|
Ratio ménage de ménages petits exploitants
agricoles par Machines
|
0
|
|
Bâtiments
Ratio Machines par bâtiment
|
0
|
|
Personnel
Nombre de motoculteurs
|
0
|
|
Nombre de centre de production de matériels
agricoles
|
0
|
0
|
Ménages Petits exploitants agricoles
|
|
|
% de ménages exploitants agricoles
bénéficiaire de microcrédit
|
14%
|
25%
|
Ratio unités de microcrédits par
secteur
|
0
|
1
|
Ratio nombre de personnel par unité de
microcrédit
|
0
|
3
|
Taile moyenne des prêts
|
192857
|
300000
|
Fréquence des animations rurales par
an
|
3
|
3
|
Source : les auteurs, 2011
ANNEXE G : Détermination des coûts
unitaires
|
Libellé
|
Coût unitaire (en F CFA)
|
Fertilité du sol et traitement phytosanitaire
Engrais chimique
|
|
par
|
|
Coût en capital
|
|
tonne
|
260000
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
0
|
Produits de conservation
|
|
|
|
Coût en capital
|
|
|
6000000
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
0
|
Produits de traitement pré
récolte
|
|
par
|
|
Coût en capital
|
|
tonne
|
0
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
0
|
Conservation CES/DRS
|
|
par
|
|
Coût en capital
|
|
tonne
|
0
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
0
|
Culture de légumineuse à graine
|
|
par
|
|
Coût en capital
|
|
hectare
|
0
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
0
|
Total des Coûts liés à la
Fertilité du sol et traitement phytosanitaire
|
|
6260000
|
Aménagement hydroagricoles (ha)
|
par
|
|
Coût en capital
|
|
hectare
|
32000000
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
|
|
en % du total des Coût en capital
|
|
1%
|
|
Coût récurrent annuel implicites
|
|
320000
|
Coût Total
|
|
|
32320000
|
Unité de production de semences
certifiées
|
|
|
|
Coût en capital
|
|
|
150000
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
30000
|
Coût Total
|
|
|
180000
|
Points de distribution de semences
|
|
|
|
Coût en capital
|
|
|
18000
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
2700
|
Coût Total
|
|
|
20700
|
Conseiller agricole
|
|
|
|
Coût en capital
|
|
|
|
|
Formation avant entrée en service
|
|
50000
|
|
Coûts des Infrastructures
|
|
1150521,078
|
|
Total Coût en capital
|
|
1200521,078
|
Coût récurrent annuel
|
|
|
|
|
Salaires annuels
|
|
|
|
Salaire annuel d'une Femme conseiller
agricole
|
|
900000
|
|
Salaire annuel d'un Homme conseiller agricole
|
|
900000
|
|
Formation continue (recyclage)
|
|
50000
|
|
Administration et coûts
récurrents
|
|
608329,0488
|
|
Total Coût récurrent
|
|
|
|
annuel
|
|
1558329,049
|
Infrastructures de stockage et d'entreposage
|
|
|
|
Infrastructure de stockage pour petit
exploitant
|
|
|
|
Coût en capital
|
|
|
35000
|
Coût récurrent
en % du capital total)
|
|
|
10%
|
Libellé
|
Coût unitaire
|
Coût récurrent implicite
|
3500
|
Magasin pour le stock National de sécurité
alimentaire
|
|
Coût en capital
|
200000
|
Coût récurrent
|
30000
|
Magasin d'entreposage
|
|
Coût en capital
|
100000
|
Coût récurrent
|
15000
|
Mécanisation agricole
|
|
Mise en place de CEMA
|
|
Coût en capital
|
|
Machine
|
1099400000
|
Bâtiment
|
90000000
|
Personnel
|
0
|
Coût de fonctionnement
|
|
Machine
|
54970000
|
Bâtiment
|
900000
|
Personnel
|
0
|
Couverture nationale en mécanisation
agricole
|
|
Atelier de réparation
|
80000000
|
Equipement d'un atelier
|
86000000
|
Tracteurs
|
9000000
|
Motoculteurs
|
3200000
|
Essoucheuses
|
1000000000
|
Matériels de transformation
|
1200000
|
Personnel
|
|
Coût en capital
|
8000000
|
Coût récurrent annuel
|
5160000
|
Microcrédit
|
|
Coût en capital du crédit
|
250000
|
Coût récurent annuel
|
12500
|
Salaire annuel du personnel
|
400000
|
Autres coûts (Fonds de Garantie) en % du montant de
crédit
|
9%
|
Animation rurale par les Mass media
Animation rurale par les Mass Media
|
250000000
|
Alphabétisation des adultes
|
|
Matériel didactique
|
|
Textes
|
|
Coût par étudiant
|
8000
|
Pourcentage du coût
|
16%
|
Cahiers, crayons, tablettes à
écrire
|
|
Coût par étudiant
|
850
|
Pourcentage du coût
|
2%
|
Formation du personnel
|
|
Formation des Faciitateurs
|
|
Coût par étudiant
|
400
|
Pourcentage du coût
|
1%
|
Formation des Superviseurs
|
|
Coût par étudiant
|
200
|
Pourcentage du coût
|
0%
|
Dépenses d'administration
|
|
Rémunération des faciitateurs
|
|
Coût par étudiant
|
12000
|
Pourcentage du coût
|
24%
|
Libellé
|
Coût unitaire
|
Rémunération des superviseurs
|
|
|
Coût par étudiant
|
|
10000
|
Pourcentage du coût
|
|
20%
|
Rémunération des coordonnateurs
|
|
|
Coût par étudiant
|
|
8500
|
Pourcentage du coût
|
|
17%
|
Rémunération des comptables
|
|
|
Coût par étudiant
|
|
3500
|
Pourcentage du coût
|
|
7%
|
Dépenses de fonctionnement
|
|
|
Coût par étudiant
|
|
6310
|
Pourcentage du coût
|
|
12%
|
Appui institutionnel
|
|
|
Coût par étudiant
|
|
1000
|
Pourcentage du coût
|
|
2%
|
Total
|
|
|
Coût total par étudiant
|
|
50760
|
Pourcentage du coût
|
|
100%
|
Coût unitaire d'entretien courant (km)
|
|
|
1. Pistes réalisées
|
|
500000
|
2. Pistes à aménager
|
|
|
|
Coût unitaire d'entretien périodique (us
dollar/km)
|
|
|
1. Pistes réalisées
|
|
2500000
|
2. Pistes à aménager
|
|
|
|
Coût unitaire des réparations d'urgence (par
km)
as % of Routine O&M
|
0,1
|
|
1. Pistes réalisées
|
|
50000
|
2. Pistes à aménager
|
|
|
|
Coût unitaire de réhabilitation (au
Km)
|
|
|
1. Pistes réalisées
|
|
5000000
|
2. Pistes à aménager
|
|
|
|
Coût unitaire de construction d'une nouvelle piste
(au Km)
|
|
|
1. Pistes réalisées
|
|
8000000
|
2. Pistes à aménager
|
|
|
|
Source : Les auteurs, 2011
ANNEXE H : Estimations des coûts.
|
2012
|
2013
|
2014
|
2015
|
Campagne d'information et de sensibilisation
|
|
|
|
|
Couverture
|
|
|
|
|
% de villages ciblés
|
21%
|
29%
|
37%
|
45%
|
Ratio campagne de sensibilisation par village
ciblé
|
1
|
1
|
1
|
1
|
Nombre total de campagnes de sensibilisation par
an
|
71
|
119
|
119
|
71
|
Coût unitaire d'une campagne de
sensibilisation
|
500 000
|
500 000
|
500 000
|
500 000
|
Coût total annuel des campagnes de
sensibilisation
|
35 714 286
|
59 523 810
|
59 523 810
|
35 714 286
|
Animation rurale par les Mass Media
|
|
|
|
|
Animation rurale par les Mass media
|
250 000 000
|
250 000 000
|
250 000 000
|
250 000 000
|
Fréquence des animations rurales par
an
|
3
|
3
|
3
|
3
|
Engrais chimique
|
|
|
|
|
Engrais chimique par tonne /ha/année
|
0,1
|
0,1
|
0,1
|
0,2
|
% ménage ayant accès à Engrais
chimique
|
43%
|
54%
|
64%
|
75%
|
Quantité Implicite d' engrais chimique
|
1 957
|
4 707
|
9 305
|
16 510
|
Nouveaux besoins en engrais chimique
|
940
|
2 751
|
4 597
|
4 738
|
Coût en Capital par tonne
|
260 000
|
260 000
|
260 000
|
260 000
|
coût de fonctionnement annuel par tonne
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Coût total en Capital
|
508 719 729
|
1 223 906 937
|
2 419 175 824
|
4 292 538 700
|
coût de fonctionnement annuel total
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Coût total lié à engrais
chimique
|
508 719 729
|
1 223 906 937
|
2 419 175 824
|
4 292 538 700
|
Produits de conservation
|
|
|
|
|
Couverture Produits de conservation
|
41%
|
54%
|
67%
|
80%
|
Produits de conservation /tonne/année
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Nombre implicite de produits de conservation
|
1 626
|
3 212
|
5 009
|
11 740
|
Nouveaux besoins en produits de conservation
|
770
|
1 585
|
1 797
|
3 071
|
Coût en Capital annuel par unité
|
6 000 000
|
6 000 000
|
6 000 000
|
6 000 000
|
coût de fonctionnement annuel par
unité
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Coût total en Capital
|
9 758 614 024
|
19 269 872 930
|
30 052 537 863
|
70 441 660 724
|
coût de fonctionnement total
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Coût total lié aux produits de
conservation
|
9 758 614 024
|
19 269 872 930
|
30 052 537 863
|
70 441 660 724
|
Aménagement hydroagricoles (ha)
|
|
|
|
|
Couverture
% ayant accès aux Aménagement
hydroagricoles (ha)
|
1%
|
2%
|
3%
|
4%
|
Nombre d'hectares aménages
|
2 228
|
2 942
|
3 657
|
4 371
|
Quantité implicite d'Aménagement
hydroagricoles (ha)
|
2 228
|
2 942
|
3 657
|
4 371
|
Quantité nouvelle d'Aménagement
hydroagricoles (ha) à faire
|
429
|
714
|
714
|
429
|
Coûts
|
|
|
|
|
Coût en Capital annuel par unité
|
32 000 000
|
32 000 000
|
32 000 000
|
32 000 000
|
coût de fonctionnement annuel par
unité
|
320 000
|
320 000
|
320 000
|
320 000
|
Coût total en Capital
|
13 714 285 714
|
22 857 142 857
|
22 857 142 857
|
13 714 285 714
|
coût de fonctionnement total
|
713 005 714
|
941 577 143
|
1 170 148 571
|
1 398 720 000
|
Total des coûts liés aux aménagements
hydroagricoles (ha)
|
14 427 291 429
|
23 798 720 000
|
24 027 291 429
|
15 113 005 714
|
Unité de production de semences
certifiées
|
|
|
|
|
Couverture
|
|
|
|
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
125
|
|
2012
|
2013
|
2014
|
2015
|
% de ménages ayant accès aux Unité
de production de semences certifiées
|
0%
|
1%
|
1%
|
1%
|
Nombre d'unité de production de semences
certifiées
|
0
|
1
|
1
|
1
|
Nombre implicite d'unité de production de semences
certifiées
|
6
|
8
|
10
|
12
|
Nombre de nouvelle unité de production de semences
certifiées à créer
|
1
|
2
|
2
|
1
|
Coûts
|
|
|
|
|
Coût en Capital annuel par unité
|
150 000
|
150 000
|
150 000
|
150 000
|
coût de fonctionnement annuel par
unité
|
30 000
|
30 000
|
30 000
|
30 000
|
Coût total en Capital
|
187 013
|
311 688
|
311 688
|
187 013
|
coût de fonctionnement total
|
172 987
|
235 325
|
297 662
|
360 000
|
Total des Coûts relatifs aux unités de
production de semences certifiées
|
360 000
|
547 013
|
609 351
|
547 013
|
Points de distribution de semences
|
|
|
|
|
Couverture
% de ménages ayant accès aux Points de
distribution de semences
|
34%
|
49%
|
65%
|
80%
|
Ratio points de distribution de semences par
communes
|
1
|
1
|
1
|
1
|
Nombre implicite d'points de distribution de
semences
|
2 700
|
2 700
|
2 700
|
2 700
|
Nombre de nouveaux points de distribution de semences
à créer
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Coûts
|
|
|
|
|
Coût en Capital annuel par unité
|
18 000
|
18 000
|
18 000
|
18 000
|
coût de fonctionnement annuel par
unité
|
2 700
|
2 700
|
2 700
|
2 700
|
Coût total en Capital
|
0
|
0
|
0
|
0
|
coût de fonctionnement total
|
7 290 000
|
7 290 000
|
7 290 000
|
7 290 000
|
Total des Coûts liés aux unités de
points de distribution de semences
|
7 290 000
|
7 290 000
|
7 290 000
|
7 290 000
|
Conseil agricole
|
|
|
|
|
Couverture
% de ménages ayant accès aux Conseil
agricole
|
59%
|
73%
|
86%
|
100%
|
Nombre de ménages exploitants agricoles par
conseil agricole
|
189
|
166
|
143
|
120
|
Nombre implicite d'unité de conseil
agricole
|
328
|
693
|
1266
|
2184
|
Nombre de nouvelles unités de conseil agricole
à créer
|
138
|
365
|
573
|
610
|
Conseiller agricole
|
|
|
|
|
Couverture
|
|
|
|
|
Nombre de ménages petits exploitants par
conseillers agricoles
|
189
|
166
|
143
|
120
|
Taux de couverture en conseiller agricole
|
64%
|
72%
|
84%
|
100%
|
Nombre implicite de conseiller agricole
|
2358
|
2738
|
2992
|
3500
|
Ratio homme-femme au niveau des conseiller
agricole
|
4,29
|
3,69
|
3,10
|
2,5
|
Nombre implicite de femmes conseiller
agricole
|
446
|
584
|
731
|
1 000
|
Nombre implicite d'hommes conseiller agricole
|
1 912
|
2 155
|
2 262
|
2 500
|
Nombre de nouveaux conseiller agricole
nécessaire
|
190
|
381
|
254
|
617
|
Nombre de nouvelles femmes conseiller
agricole
|
62
|
138
|
147
|
252
|
Nombre des nouveaux hommes conseiller
agricole
|
128
|
243
|
107
|
364
|
Coûts
|
|
|
|
|
Coûts en capital
|
|
|
|
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
126
|
|
2012
|
2013
|
2014
|
2015
|
Coûts unitaires des Infrastructures
|
1 150 521
|
1 150 521
|
1 150 521
|
1 150 521
|
Coût unitaire de la formation
|
1 200 521
|
1 200 521
|
1 200 521
|
1 200 521
|
Coût total des infrastructures
|
219 068 605
|
438 137 210
|
292 091 474
|
709 486 661
|
Coût total de la formation
|
228 589 013
|
457 178 027
|
304 785 351
|
740 319 937
|
Total des coûts en Capital coût de
fonctionnement
|
228 589 013
|
457 178 027
|
304 785 351
|
740 319 937
|
Salaires annuels
|
|
|
|
|
Salaire annuel d'une femme conseiller
agricole
|
900 000
|
900 000
|
900 000
|
900 000
|
Salaire annuel d'un homme conseiller agricole
|
900 000
|
900 000
|
900 000
|
900 000
|
Salaire total des femmes conseiller agricole
|
401 420 849
|
525 432 922
|
657 598 007
|
900 000 000
|
Salaire total des hommes conseiller agricole
|
1 720 375 069
|
1 939 097 690
|
2 035 422 402
|
2 250 000 000
|
Formation continue (recyclage)
|
|
|
|
|
Coût annuel par conseiller
|
50 000
|
50 000
|
50 000
|
50 000
|
Total des Coûts de formation continue
|
108 357 143
|
117 877 551
|
136 918 367
|
144 166 725
|
Administration et coût de
fonctionnement
|
|
|
|
|
Coût annuel récurrent par
conseiller
|
608 329
|
608 329
|
608 329
|
608 329
|
Total des coûts administratifs et
récurrents
|
1 318 335 953
|
1 434 166 770
|
1 665 828 404
|
1 754 016 131
|
Total des coût de fonctionnement
|
3 549 147 343
|
4 017 233 262
|
4 496 425 508
|
5 048 841 185
|
Total des coûts liés aux conseiller
agricole
|
3 777 736 357
|
4 474 411 289
|
4 801 210 859
|
5 789 161 121
|
Infrastructures de stockage et d'entreposage
|
|
|
|
|
Ménages Petits exploitants agricoles
|
|
|
|
|
Ratio ménages par infrastructures
stockage
|
3
|
2
|
2
|
1
|
Nombre implicite d'Infrastructures de stockage et
d'entreposage
|
33 199
|
64 884
|
122 045
|
262 060
|
Nombre de nouvelles Infrastructures de stockage et
d'entreposage
|
12 201
|
31 684
|
57 162
|
101 698
|
Magasin pour le stock National de sécurité
alimentaire
|
|
|
|
|
Nombre total de Magasins par
département
|
2
|
1
|
2
|
2
|
Nombre implicite de magasins
|
24
|
12
|
24
|
24
|
Nombre de nouveaux Magasins
|
12
|
-12
|
12
|
0
|
Magasin d'entreposage
|
|
|
|
|
Nombre total de Magasins d'entreposage
|
103
|
115
|
128
|
140
|
Nombre des nouveaux Magasins d'entreposage à
construire
|
7
|
12
|
12
|
7
|
Coût
|
|
|
|
|
Coût en capital par tonne d'une infrastructure de
stockage
|
35 000
|
35 000
|
35 000
|
35 000
|
Coût de fonctionnement annuel par tonne d'une
infrastructure de stockage
|
3 500
|
3 500
|
3 500
|
3 500
|
Ménages Petits exploitants agricoles
|
|
|
|
|
Coût total en Capital
|
427 048 675
|
1 108 955 042
|
2 000 657 581
|
3 559 414 447
|
Coût de fonctionnement total
|
116 197 483
|
227 092 987
|
427 158 745
|
917 209 124
|
Magasin d'entreposage
|
|
|
|
|
Coût total en Capital
|
742 857
|
1 238 095
|
1 238 095
|
742 857
|
Coût de fonctionnement total
|
1 542 857
|
1 728 571
|
1 914 286
|
2 100 000
|
Coût total des infrastructures
d'entreposage
|
2 285 714
|
2 966 667
|
3 152 381
|
2 842 857
|
Magasin pour le stock National de sécurité
alimentaire
|
|
|
|
|
Coût total en Capital
|
2 400 000
|
-2 400 000
|
2 400 000
|
0
|
Coût de fonctionnement total
|
60 000
|
30 000
|
60 000
|
60 000
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
127
|
|
2012
|
2013
|
2014
|
2015
|
Total des coûts liés aux infrastructures de
stockage
|
|
|
|
|
Infrastructures de stockage et d'entreposage
|
545 706 158
|
1 333 678 029
|
2 430 276 326
|
4 476 683 571
|
Mécanisation agricole
|
|
|
|
|
Ménages Petits exploitants agricoles
|
|
|
|
|
Mise en place de CEMA
couverture pour la mise en place de CEMA
|
55%
|
70%
|
85%
|
100%
|
Nombre de CEMA
|
40
|
52
|
63
|
74
|
Nombre total de CEMA
|
40
|
52
|
63
|
74
|
Nombre total de nouveaux CEMA
|
7
|
11
|
11
|
7
|
Machines
|
|
|
|
|
Atelier de réparation
|
16
|
18
|
19
|
20
|
Nombre total de nouveaux ateliers de
réparation
|
1
|
1
|
1
|
1
|
Equipement d'un atelier
|
16
|
18
|
19
|
20
|
Nombre total de nouveaux équipements
|
1
|
1
|
1
|
1
|
Tracteurs
|
811
|
874
|
937
|
1 000
|
Nombre total de nouveaux tracteurs
|
38
|
63
|
63
|
38
|
Motoculteurs
|
927
|
1 285
|
1 642
|
2 000
|
Nombre total de nouveaux motoculteurs
|
215
|
358
|
358
|
215
|
Essoucheuses
|
3
|
2
|
2
|
2
|
Nombre total de nouvelles Essoucheuses
|
|
|
|
|
Matériels de transformation
|
71
|
131
|
190
|
250
|
Nombre total de nouveaux matériels de
transformation
|
36
|
60
|
60
|
36
|
Mise en place de CEMA
|
|
|
|
|
Machines
|
|
|
|
|
Coût en capital par machine
|
1 099 400 000
|
1 099 400 000
|
1 099 400 000
|
1 099 400 000
|
Atelier de réparation
|
|
|
|
|
Equipement d'un atelier
|
86 000 000
|
86 000 000
|
86 000 000
|
86 000 000
|
Tracteurs
|
9 000 000
|
9 000 000
|
9 000 000
|
9 000 000
|
Motoculteurs
|
3 200 000
|
3 200 000
|
3 200 000
|
3 200 000
|
Essoucheuses
|
1 000 000 000
|
1 000 000 000
|
1 000 000 000
|
1 000 000 000
|
Matériels de transformation
|
1 200 000
|
1 200 000
|
1 200 000
|
1 200 000
|
coût de fonctionnement annuel par
machine
|
54 970 000
|
54 970 000
|
54 970 000
|
54 970 000
|
Atelier de réparation
|
|
|
|
|
Equipement d'un atelier
|
4 300 000
|
4 300 000
|
4 300 000
|
4 300 000
|
Tracteurs
|
450 000
|
450 000
|
450 000
|
450 000
|
Motoculteurs
|
160 000
|
160 000
|
160 000
|
160 000
|
Essoucheuses
|
50 000 000
|
50 000 000
|
50 000 000
|
50 000 000
|
Matériels de transformation
|
60 000
|
60 000
|
60 000
|
60 000
|
Coût total en capital
|
1 131 628 571
|
1 886 047 619
|
1 886 047 619
|
1 131 628 571
|
Coût total de fonctionnement
|
56 581 429
|
94 302 381
|
94 302 381
|
56 581 429
|
Total
|
1 188 210 000
|
1 980 350 000
|
1 980 350 000
|
1 188 210 000
|
Bâtiment
|
|
|
|
|
Coût en Capital ou coût de construction d'un
bâtiment
|
90 000 000
|
90 000 000
|
90 000 000
|
90 000 000
|
Coût total en Capital
coût de fonctionnement annuel ou coûts
d'entretien annuel d'un bâtiment
|
90 000 000 900 000
|
90 000 000 900 000
|
90 000 000 900 000
|
90 000 000 900 000
|
coût de fonctionnement annuel total
|
90 900 000
|
90 900 000
|
90 900 000
|
90 900 000
|
Personnel
|
|
|
|
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
128
|
|
|
2012
|
|
2013
|
|
2014
|
|
2015
|
Ratio nombre de personnel par CCMA
|
|
10
|
|
10
|
|
10
|
|
10
|
Nombre implicite de personnel
|
|
272
|
|
271
|
|
272
|
|
277
|
Nombre supplémentaire de personnel
|
|
1
|
|
1
|
|
1
|
|
1
|
Coût en Capital par personnel
|
|
8 000 000
|
|
8 000 000
|
|
8 000 000
|
|
8 000 000
|
coût de fonctionnement annuel par
personnel
|
|
5 160 000
|
|
5 160 000
|
|
5 160 000
|
|
5 160 000
|
Total capital personnel
|
|
8 000 000
|
|
8 000 000
|
|
8 000 000
|
|
8 000 000
|
Total fonctionnement personnel
|
1
|
403 520 000
|
1
|
398 360 000
|
1
|
403 520 000
|
1
|
429 320 000
|
Coût total en capital
|
1
|
221 628 571
|
1
|
976 047 619
|
1
|
976 047 619
|
1
|
221 628 571
|
Coût total de fonctionnement
|
1
|
461 001 429
|
1
|
493 562 381
|
1
|
498 722 381
|
1
|
486 801 429
|
Total
|
2
|
682 630 000
|
3
|
469 610 000
|
3
|
474 770 000
|
2
|
708 430 000
|
Microcrédit
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Ménages Petits exploitants agricoles
% de ménage ayant accès au
microcrédit
|
|
14%
|
|
18%
|
|
21%
|
|
25%
|
Nombre implicite de ménages ayant accès au
microcrédit
|
|
14 906
|
|
28 138
|
|
44 833
|
|
65 515
|
Nombre de nouveaux ménages ayant accès au
microcrédit
|
|
5 800
|
|
13 233
|
|
16 695
|
|
13 152
|
Ratio unités de microcrédits par
secteur
|
|
0
|
|
1
|
|
1
|
|
1
|
Nombre implicite d'unité de
microcrédit
|
|
22
|
|
40
|
|
59
|
|
77
|
Nombre de nouvelles unités de
microcrédit
|
|
11
|
|
18
|
|
18
|
|
11
|
Ratio nombre de personnel par unité de
microcrédit
|
|
1
|
|
2
|
|
2
|
|
3
|
Nombre implicite de personnel
|
|
19
|
|
63
|
|
134
|
|
231
|
Nombre de nouveau personnel
|
|
14
|
|
45
|
|
71
|
|
61
|
Montant moyen des prêts
|
|
192 857
|
|
228 571
|
|
264 286
|
|
300 000
|
Coût en Capital
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2 750 000
|
|
4 583 333
|
|
4 583 333
|
|
2 750 000
|
Coût en capital par clients
|
|
400 000
|
|
400 000
|
|
400 000
|
|
400 000
|
Part du montant global du crédit pour le Fonds
de
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Garantie
|
|
9%
|
|
9%
|
|
9%
|
|
9%
|
Fonds de Garantie du Crédit
|
|
-
|
|
-
|
|
-
|
|
-
|
Ménages Petits exploitants agricoles
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Coût en capital du microcrédit
|
2
|
319 828 679
|
5
|
293 017 732
|
6
|
677 857 580
|
5
|
260 708 804
|
Montant total du microcrédit
|
2
|
874 689 913
|
6
|
431 621 458
|
11
|
848 718 211
|
19
|
654 481 229
|
Coût total
|
5
|
194 518 592
|
11
|
724 639 189
|
18
|
526 575 791
|
24
|
915 190 033
|
Coût de fonctionnement
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Coût de fonctionnement des structures de
microcrédit
|
|
275 000
|
|
504 167
|
|
733 333
|
|
962 500
|
Coût récurrent du crédit
|
|
-
|
|
-
|
|
-
|
|
-
|
Coût total de fonctionnement
|
|
275 000
|
|
504 167
|
|
733 333
|
|
962 500
|
Cout total nécessaire pour le
Microcrédit
|
5
|
194 793 592
|
11
|
725 143 356
|
18
|
527 309 124
|
24
|
916 152 533
|
Alphabétisation des adultes
|
|
|
|
|
|
|
|
|
% ménages exploitants agricoles producteurs de
maïs
|
|
80%
|
|
80%
|
|
80%
|
|
80%
|
% touchée de ménages exploitants agricoles
producteurs de maïs
|
|
48%
|
|
55%
|
|
63%
|
|
70%
|
Nombre implicite de petits exploitants producteurs de
maïs
|
|
39 948
|
|
69 633
|
|
104 810
|
|
146 753
|
Nombre implicite de nouveaux petits exploitants
ciblés
|
|
13 893
|
|
29 685
|
|
35 177
|
|
26 580
|
Coût total par étudiant
|
|
50 760
|
|
50 760
|
|
50 760
|
|
50 760
|
Coût total Alphabétisation des
adultes
|
2
|
027 737 272
|
1
|
506 834 907
|
1
|
785 561 221
|
1
|
349 200 556
|
Pistes rurales
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
|
129
|
|
2012
|
2013
|
2014
|
2015
|
linéaire (km) de piste d'état moyen
à réhabiliter en
|
|
|
|
|
BON
|
|
|
|
|
Pistes réalisées
|
46
|
46
|
46
|
46
|
Pistes à aménager
linéaire (km) d'état moyen restant à
réhabiliter
|
0
|
0
|
0
|
0
|
(OUTPUT)
|
|
|
|
|
Pistes réalisées
|
138
|
92
|
46
|
0
|
Pistes à aménager
linéaire (km) de piste en ETAT MAUVAIS à
réhabiliter en BON
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0
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0
|
0
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0
|
Pistes réalisées
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277
|
277
|
277
|
277
|
Pistes à aménager
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0
|
0
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0
|
0
|
Linéaire (en Km) de piste en Etat Mauvais restant
à réhabiliter
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|
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Pistes réalisées
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3 709
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3 432
|
3 155
|
2 877
|
Pistes à aménager
|
15 535
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15 535
|
15 535
|
15 535
|
Linéaire de nouvelle piste à construire(en
km)
|
|
|
|
|
Pistes réalisées
|
1 306
|
1 306
|
1 306
|
1 306
|
Pistes à aménager
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Coûts
|
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Entretien courant
|
6 978 785 714
|
7 631 714 286
|
8 284 642 857
|
8 937 571 429
|
Entretien périodique
|
1 744 696 429
|
1 907 928 571
|
2 071 160 714
|
2 234 392 857
|
Maintenance d'urgence
|
174 469 643
|
190 792 857
|
207 116 071
|
223 439 286
|
Construction
|
10 446 857 143
|
10 446 857 143
|
10 446 857 143
|
10 446 857 143
|
Réhabilitation
|
1 212 991 071
|
1 212 991 071
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1 212 991 071
|
1 212 991 071
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Total Pistes rurales
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20 557 800 000
|
21 390 283 929
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22 222 767 857
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23 055 251 786
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Source : les auteurs, 2011
Réalisé par Hamis O. Alladé
BADAROU & Ruben B. DJOBGENOU | ENEAM, 2011
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130
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