REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE
I.S.C TSHIKAPA
251705344
B.P.150
TSHIKAPA
MODELISATION ET IMPLANTATION D'UN LOGICIEL DE GESTION
DE RESSOURCES HUMAINES
CAS DE L'EDC/TSHIKAPA
Charles MBUYI TUKANDILE
Travail de fin de cycle presenté et defendu en vue
de l'obtention du Titre de Gradué en Gestion Information.
OPTION: Gestion
Informatique
Directeur :
Donat Daniel Tshiamubende
Chef de Travaux
Co-directeur : Jean Paul
Mukanya
Juillet 2011
EPIGRAPHE
« Je ne connais pas ce que me
réserve l'avenir mais, ce qui fait ma joie est que je suis dans la main
de celui qui connait l'avenir »
W.MARRION BRANHAM.
DEDICACE
Je dédie ce travail de fin de cycle à vous mes
parents biologiques Robert TUKANDILE MBUYI et WAKUTEKA MUA MBUYI.
A la famille Félix KANANGE KA KABEYA pour leur soutien
tant moral que matériel je dédie ce modeste travail.
Que tous celui qui, de prêt ou de loin a
contribué à l'élaboration de ce présent travail
trouve ici l'expression de notre profonde gratitude.
Charles MBUYI TUKANDILE
Le Chérubin
AVANT PROPOS
Au terme de trois ans d'étude il est une obligation de
dire merci à ceux qui ont contribués à la
réalisation de ce travail.
Nous remercions de tout coeur notre directeur Donat
Daniel TSHIAMUBENDE et le co-directeur Jean Paul
MUKANYA qui malgré leurs multiples occupations ont
été à pied d'oeuvre avec des remarques et suggestions afin
de donner à ce travail un sens scientifique.
Nous remercions également les autorités de
L'ISC/TSHIKAPA, entre autre, le DG Donat Daniel TSHIAMUBENDE, SGA Bruno
SHABANGI, Le SGAD Pecko KIZENGE-POLOTO, aux chefs de travaux, assistants et
CPP : MADJERE-BUKUNGU, Eugene DIULA, Jean Paul MUKANYA, Jacob MBOMBO,
LUBUERA-MAYARA, William TSHIBAYI, Freddy, Jean pierre MUTEBA.
Nos remerciement sincères s'adresse aussi à la
grande équipe Bronto Jazz que ce travail soit un model pour vous.
Nos vifs remerciements sont de nouveau adressés
à tous les camarades et compagnons de lutte : Paul MULEJA MALU,
Josué KESHI, KAPINGA Noela, Charles BANATSHINYI, Clément
TSHIMPANGA, pour l'harmonie et le sentiment de fraternité qui nous a
unis tout au long de ce parcours.
Que tous ceux dont les noms se trouveraient omis ne nous
tiennent pas rigueur mais qu'ils trouvent ici l'expression de notre profonde
reconnaissance.
Charles MBUYI TUKANDILE
0. INTRODUCTION GENERALE
La fonction Ressources Humaines évolue
considérablement sous l'influence de nombreux facteurs :
législation du travail de plus en plus, le développement de
l'informatique (exemple : le traitement de la paie), l'accroissement de la
compétitivité et la globalisation de l'économie, ce qui
nécessite de grande capacité de réactivité, de
flexibilité et d'innovation (Di Gallo, 2005, P.21).
Force est de constater que les formes «traditionnelles
»d'organisation appelées auparavant la fonction personnel ne
permettent plus d'atteindre le niveau exigé par le marché.
Il est à noter que la FRH (fonction ressources
humaines) est impactée dans son mode de fonctionnement, ses outils
méthodes et processus.
L'introduction des Nouvelles Technologies de l'information et
de Communication dans la GRH (gestion des ressources humaines) a
bouleversé le mode de son fonctionnement.
L'informatisation de la GRH est une préoccupation
majeure pour toutes les entreprises désirant rendre leur organisation et
leur gestion plus cohérente et plus
performante. Ainsi de s'adapter aux changements que
connaît l'environnement en vue d'atteindre leurs objectifs
stratégiques.
Plusieurs entreprises ont informatisé leurs GRH
grâce à l'adoption des solutions informatiques (logiciel,
progiciel pour les grandes entreprises).
0.1. PROBLEMATIQUE
A la fin de trois ans de cycle de Graduat en Gestion
Informatique à l'Institut Supérieur de Commerce de Tshikapa,
chaque étudiant finaliste présente un travail de fin de cycle sur
la gestion d'un problème quelconque relatif à la
société. Cela étant nous avons pensé à
l'Electricité du Congo, EDC en sigle où la gestion de ressources
humaines est assurée manuellement et suite à un nombre croissant
de travailleurs cela devient une source intarissable de difficultés dans
la rente des rapports et autres exigences de ce secteur d'activités
alors que cette société regorge un nombre important d'ordinateurs
qui devraient être mobilisés pour alléger la tâche au
responsable dans la gestion de ces ressources humaines.
Au regard de ce qui précède nous nous sommes
posé quelques questions de savoir :
- Que faudra-t-il faire pour contourner la difficulté
éprouvée par les responsables de l'EDC dans la gestion des
RH ?
- L'implantation d'un logiciel de gestion de ressources
humaines est-elle possible ?
0.2. HYPOTHESES
Eugène DIWULA
(2010, P.10), définit l'hypothèse comme
une proposition admise à titre provisoire pour servir de base à
un raisonnement, à une démonstration, à une explication et
qui sera vérifiée par la conséquence ou par
l'expérience. En clair, nous disons, que l'hypothèse est une
réponse provisoire à confirmer ou infirmer suivant sa
transformation ou la réalité du sujet qu'elle
régénère.
Pour ce qui concerne notre travail, nous pensons que,
- la mise sur pied d'un logiciel pour la bonne gestion de la
fonction Ressources Humaines s'avère indispensable.
- Compte tenu de la formation reçue sur le banc
académique et les outils disponibles dans ladite société,
nous sommes persuadés qu'il est possible d'implanter un logiciel
dynamique de gestion de Ressources Humaines.
0.3. CHOIX DU SUJET
Pour éviter de tomber dans les itopies scientifiques,
nous avons opté de traiter le sujet intitulé :
« la Modélisation et l'implantation d'un logiciel de gestion
de ressources humaines ». Le choix a été porté
sur la société d'Electricité du Congo (EDC).
0.4. INTERET DU SUJET
Le logiciel conçu pourra faciliter la bonne gestion de
la fonction Ressources Humaines qui depuis beaucoup de temps a rencontré
de multiples failles au sein des entreprises de Tshikapa en
général et dans l'EDC en particulier.
Nous en sommes premier bénéficiaire, du fait
que, grâce à ses investigations, nous avons su vivre la pratique
de toute une ribambelle de théories apprises lors de notre formation
trois ans durant à l'ISC/Tshikapa.
Grace à cette étude, d'autres entreprises de la
ville Tshikapa pourront s'inspirer pour pouvoir organiser leurs systèmes
de gestions de ressources humaines.
Enfin, ce travail servira de guide pratique et archive
scientifique aux futures chercheurs.
0.5. METHODE DE RECHERCHE
Selon PINTO et GRAWITZ (1971, P.289), la
méthode est un ensemble d'opérations intellectuelles par
lesquelles une discipline cherche à atteindre la vérité
qu'elle poursuit, la démontre et la vérifie.
Ainsi pour l'élaboration de ce travail, nous optons
pour les méthodes suivantes :
- Méthode
structuro-fonctionnelle : qui nous permet d'analyser la structure
concernée ainsi que son fonctionnement et elle nous a doté des
techniques et méthodes à suivre pour la conception d'une
application informatique en vue de la production d'un logiciel.
- Merise : nous a aidé
à la conception d'un système informatisé par son approche
Entité-Association; et à faire une séparation entre les
données et les traitements à travers : MCD, MLD, MPD.
0.6. TECHNIQUE DE RECHERCHE
Les techniques sont selon PINTO ET GRAWITZ
les outils mis à la disposition de la recherche et organisés par
la méthode dans un but bien déterminé. Elles sont
limitées en nombre et sont communes à la plupart des sciences.
Pour enrichir notre travail scientifiquement, voici alors les
techniques que nous avons utilisées :
- Documentaire : La recherche
documentaire est une étape du travail de recherche qui consiste à
trouver des sources afin de s'informer sur un sujet, répondre à
une question ou réaliser un travail. Elle nous a permis de parcourir des
ouvrages, TFC, Mémoires, archives, notes des cours, site web importants
ayant trait à notre application en vue d'atteindre l'objectif poursuivi
;
- Observation participative: ici le
chercheur s'intègre dans ce groupe, il partage les mêmes
problèmes du groupe et pour ce qui est de notre cas cette méthode
nous a permis de participer directement dans le mode de gestion la fonction
RH.
- Interview : est une communication
verbale entre l'intervieweur et l'interviewé. Celle-ci nous a
donné la chance d'entrer en contact direct avec les responsables de
l'EDC pour avoir les informations nécessaires sur le fonctionnement de
la FRH.
0.7. SUBDIVISION
Hormis l'introduction et la conclusion ce travail est
subdivisé en trois grands chapitres dont :
Ø Le premier traite de la définition des
concepts et l'étude préalable.
Ø Le second s'attèle sur l'analyse
détaillée et technique.
Ø Enfin le troisième parle de la
réalisation du logiciel de gestion de ressources humaines.
0.8. DELIMITATION
Dans l'espace, notre étude est menée au bureau
de l'E.D.C Tshikapa en général et dans le service qui se charge
des ressources humaines en particulier ; Tandis que dans le temps, nous
nous sommes servis des données enregistrées sur le personnel de
ladite société durant les trois dernières années
(2008-2010).
0.8. SIGLES ET ABREVIATIONS
FRH : Fonction des Ressources Humaines
EDC : Electricité du Congo
GRH : Gestion des Ressources Humaines
MERISE : Méthodes d'Etude et de
Recherche en Informatique par Système d'Entreprise
ISC : Institut Supérieur de Commerce
TPA : Tshikapa
CHAPITRE PREMIER :
DEFINITION DES CONCEPTS ET L'ETUDE PREALABLE
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
1.1.1. INFORMATIQUE
I.1.1.1. Définitions
L'informatique est définie de différentes
manières et selon les auteurs :
1. l'informatique est la science du traitement de
l'information dans les domaines scientifiques, techniques, économiques
et sociaux (Gaci Mohamed, Alger, 2004, P.13)
2. l'informatique est l'ensemble des disciplines
scientifiques et des techniques spécifiquement applicable au traitement
de l'information, effectué notamment par des moyens automatiques.
(Nébil Ben NESSIB et Khaled RAOUADI, Tunis, 2007, P.4)
3. l'informatique est l'ensemble des méthodes
scientifiques et techniques spécialement applicables au traitement de
l'information effectuée par des moyens automatiques. Les moyens
automatiques sont composés d'éléments matériels
(principalement des ordinateurs) et d'éléments logiciels (des
systèmes d'exploitation, des logiciels d'application, des progiciels ou
logiciels outils). (Jean Paul MUKANYA, ISC-TPA, 2010, P.10)
4. Définition de l'Académie
Française ; science du traitement rationnel, notamment par des
machines automatiques, de l'information considérée comme le
support des connaissances et des communications, dans les domaines technique,
économique et social. (J. Farré, Paris, 2010,
P).
I.1.1.2 Bref historique
L'histoire de l'informatique couvre environ 12000
années, c'est pourquoi je vous propose ces quelques liens réunis
dans un « petit sommaire » :
· De l'an -10000 au XIIIème siècle.
· Du XVIème siècle à la fin du
XXIIème.
· De 1884 à 1945
· De 1946 à 1968
· De 1968 à 1991.
1. De l'an -10000 au XIIIème siècle.
Les fondations de l'informatique : la saisie, le codage,
le calcul, l'écriture, la logique, le zéro.
C'est durant la période de 10000 à 3000 avant
J.C que n'acquit le traitement rationnel de l'information.
En Mésopotamie, 1300 ans plus tard, l'empereur
Hammourabi introduit la notion de norme dans le traitement de l'information
grâce à sa loi du talion...
Les horloges égyptiennes, qui furent les premiers
systèmes de traitement de l'information, apparurent en 1550 avant J.C.
les chinois arrivèrent à mesurer la durée d'une
année en utilisant un observatoire astronomique en 1200 avant J.C., ils
ont aussi, à l'origine de nombreuses inventions ; le papier qui fut
un support d'informations révolutionnaire en 105 après J.C.
2. Du XVIème siècle à la fin du
XXième siècle
Les découvertes : le binaire,
l'électricité, les logarithmes, les boucles de programmes, le
téléphone, l'imprimerie et la machine à calcul.
Le XVIIIème siècle fut le temps des
machines à calculer ; en 1624 l'Allemand Schickard présenta
sa machine mais elle fut détruite la même année. En 1642,
la Pascaline du français Pascal fut la première à
réellement fonctionner et beaucoup de personnes s'appuieront sur cette
découverte. Enfin Leibnitz construisit sa propre machine en 1694
(division et multiplication) suivant le model de Pascal.
Les cartes perforées furent utilisées en 1728
par le français Falcon et en 1800 par un autre Français,
Jacquard. Ces cartes servirent dans des machines à tisser.
En 1820, l'arithmomètre du français Thomas
connut un énorme succès, 1500 exemplaires vendus dans plusieurs
pays. Quelques années plus tard, en 1833, la machine analytique de
l'anglais Charles Babbage ne fut qu'un échec, alors qu'elle est toujours
considérée comme le premier ordinateur car elle intègre
beaucoup de concepts de l'ordinateur contemporain : mémoire,
registre, unité de calcul. Le code morse fut inventé en
1838 et le premier télégraphe fonctionna en 1844.
La mathématicienne Anglaise Lovelace, qui est
considérée comme la première programmeuse de l'histoire
informatique, instaura en 1840 l'itération d'un programme (la boucle).
Collaboratrice de Babbage, elle appela « algorithme » le
processus logique permettant l'exécution d'un programme. George Boole
est à l'origine en 1854 de l'algèbre binaire.
3. De 1884 à 1946
Les découvertes : l'effet photoélectrique,
la diode, les principes de l'automatisme, le BUG d'un programme, la
télévision, le binaire et plusieurs théories sur
l'information et le calcul.
Pour faire face aux problèmes de transfert de
données concernant la démographie, l'américain Hollerith
inventa en 1884 la mécanographie qui sera utilisée en 1890 par le
gouvernement des Etats-Unis pour recenser la population. Hollerith créa
alors la « Tabulating Machine Company » qui donnera
naissance au grand groupe IBM « International Business
Machine ».
4. De 1946 à 1968
Le triomphe du binaire, la constitution physique de
l'ordinateur, le transistor, la cybernétique, l'intelligence
artificielle, l'accès au traitement, la télécommunication
mondiale.
L'ENIAC (Electronic Numerical Integrator Computer) marqua
à tout jamais l'année 1946 car ce fut le premier véritable
ordinateur. Cette machine pèse 30tonnes, mesure 24 mètres de
long, est haute de 5.4 mètres. Elle utilise 18000 tubes à vides,
réussit à traiter à son premier essai un million de cartes
perforées, ce qui réjouit ses inventeurs américains Eckert
et Mauchly.
A la suite de ce travail, Von Neumann écrivit un
rapport sur un ordinateur qui devait succéder à l'ENIAC :
L'EDVAC (Electronic Discret Variable Computer).Un conflit entre les
différents inventeurs mit terme à sa réalisation.
Une des découvertes les plus importantes de l'histoire
humaine est le transistor. Inventé en 1947 par trois américains
de la compagnie Bell, il sera l'élément de base des
microprocesseurs.
Un an après, c'est un rapport révolutionnaire
sur l'asservissement qui fut publié par le mathématicien
Américain Wiener. Cette oeuvre reste la base de la robotique actuelle.
Shannon rendit sa publication sur la théorie mathématique de la
communication, ouvrage clef pour le développement des
télécommunications.
1. De 1968 à 1991
Cette période est très riche en
découvertes
1968-1977 constitue la période la plus vaste pour le
développement de l'informatique. Elle commence avec l'arrivée du
mini-ordinateur qui va secouer les conceptions que l'on croyait pourtant bien
assises des centres informatiques aux immenses salles à air
conditionné. Elle va se terminer en 1977 avec un autre bouleversement,
aux conséquences considérables, l'arrivée du
micro-ordinateur banalisé (l'Apple II) qui va devenir rapidement un
produit grand public, accessible à tous sur les étagères
des grandes surfaces. Entre ces deux dates, la télématique
acquerra les bases de connaissances nécessaires pour son
épanouissement.
Cette apparition des micro-ordinateurs aura pu être
réalisée grâce à la découverte fondamentale
en 1971 du micro-processeur (l'INTEL 4004). En une période très
courte, cette nouvelle puce va réussir à envahir tous les
domaines de la société. Si le micro-processeur doit être
considérer auprès de l'ENIAC et du transistor comme l'une des
trois inventions clefs de l'informatique.
Il ya lieu de retenir plus particulièrement sur cette
période les inventions suivantes :
- La souris en 1978. Notion d'interactivité homme
machine
- Le développement des différents
réseaux : ARPANET, TELENET et ETHERNET
- La définition des principes de la programmation
structurée : PASCAL, LANGAGE C.
- L'arrivée de langages utilisés par
l'intelligence artificielle.
- L'évolution des imprimantes : aiguille en 1971,
laser en 1975.
- Le disque souple : une nouvelle forme de
mémoire. (Jacob MBOMBO, 2010-2011, P.3)
1.1.1.3. Sortes d'informatiques
Actuellement les domaines couverts par l'informatique sont
innombrables. Nous citons ici quelques unes :
- L'informatique gestion : elle consiste
à simplifier la gestion d'une entreprise. Cette gestion concerne
l'administration, la facturation, la comptabilité, le stock ; les
personnels, les matériels. en d'autre terme toute activité qui
s'effectue au sein de l'entreprise.
- L'informatique industrielle : c'est
celle qui s'occupe du contrôle et de la gestion des pièces
produites par l'industrie.
- L'informatique robotique : celle-ci
concerne toute activité technique qui vise à remplacer l'homme
dans certains travaux épuisant, dangereux par des robots. Elle est
souvent utilisée pour soulager la misère physique des
handicapées ou remplacer les ouvriers qualifiés. Ici la machine
assiste la machine outil (robot).
- Informatique bancaire : elle s'occupe
de la réduction des couts, du gain de temps dans la manipulation et le
transfert des fonds.
- Informatique médicale : elle
sert dans le contrôle de processus biologique pur et médical.
Aujourd'hui elle est utilisée pour poser des diagnostics,
interprète les résultats dans les analyses médicales. Cela
ne relève pas de la fiction, procéder à une
opération chirurgicale assistée par l'ordinateur.
- Informatique domestique : elle
s'intéresse à des outils informatiques en usage de la maison. Il
s'agit généralement des capteurs qui déclenchent
automatiquement un système installé dans la maison. On parle
souvent de la maison intelligente.
- Informatique documentaire : elle
permet de gérer et, ou traiter des livres, des articles, des revues, des
publications des éditions, des auteurs et autres documents au moyens de
l'ordinateur. (Jacob MBOMBO, 2010-2011, P.6)
I.1.2. ORDINATEUR
I.1.2.1 Définition
Selon le Dictionnaire de l'informatique et
d'internet (
www.Dictofr.com), l'ordinateur est
un nom donné en 1955 aux premières
machines d'
IBM par
Jaques Perret. (En Anglais : Computer) C'est une machine à
traiter électroniquement les
données.
Jacob MBOMBO (2010-2011, P.7) quant à
lui, définit l'ordinateur comme une machine dotée d'une
unité de traitement lui permettant d'exécuter des programmes
enregistrés. C'est un ensemble de circuits électroniques servant
de manipuler des données sous forme binaire, ou bits.
I.1.2.2 Evolution
L'histoire de l'
ordinateur nous
provient du fait que l'homme, par nature paresseux, a toujours cherché
à améliorer sa façon de calculer, afin de limiter ses
erreurs et pour économiser de son temps.
· A l'origine le boulier
Le boulier, appelé aussi
« abaque », a été
inventé en l'an 700 ; il fut longtemps utilisé et l'est encore
aujourd'hui dans certains pays.
· Puis vint le
logarithme
On attribue généralement l'invention du
logarithme à l'écossais John NEPER (1550-1617, parfois
orthographié NAPIER). En effet en 1614 celui-ci
démontra que la multiplication et la division pouvaient se ramener
à une série d'additions. Ceci permit dès 1620
l'utilisation de la règle à calcul.
Pour autant le vrai père de la théorie des
logarithmes est « Mohamed Ybn Moussa Al-KHAWAREZMI », un
savant arabe issu de la ville persane appelée
« Khawarezm ». Ce savant développa par ailleurs
l'Algèbre, terme provenant de l'arabe
« Al-Jabr », qui
signifie compensation, sous-entendu « la
compensation par la recherche de la variable inconnue X afin
d'équilibrer les résultats des calculs ».
· Les premières machines à
calculer
En 1623, William Schickard inventa la première machine
à calculer mécanique. En 1642, Blaise Pascal créa
la machine
d'arithmétique (baptisée Pascaline),
une machine capable d'effectuer des additions et soustractions, destinée
à aider son père, un percepteur de taxes.
En 1673, Gottfried Wilhelm Von Leibniz ajouta à la
Pascaline la multiplication et la division. En 1834, Charles Babbage
invente la machine à différence, qui permet d'évaluer des
fonctions. Cependant il apprend qu'une machine à tisser
(métier à tisser Jacquard) est programmée à l'aide
de cartes perforées, il se lance donc dans la construction d'une machine
à calculer exploitant cette idée révolutionnaire.
C'est en 1820 qu'apparaissent les premiers calculateurs
mécaniques à quatre fonctions : addition, soustraction,
multiplication, division
Ceux-ci sont rapidement (1885) agrémentés de
clavier pour saisir les données.
Des moteurs électriques viennent rapidement supplanter
les manivelles.
· Les ordinateurs programmables
En 1938, Konrad Zuse invente un ordinateur qui
fonctionne grâce à des relais électromécaniques :
le Z3. Cet ordinateur est le premier à utiliser
le
binaire au
lieu du décimal. En 1937, Howard Aiken met au point un
ordinateur programmable mesurant 17 m de long et 2.5 mètres de hauteur,
permettant de calculer 5 fois plus vite que l'homme : C'est
le Mark I d'IBM.
Il est alors constitué de 3300 engrenages, 1400
commutateurs reliés par 800 km de fil électrique. En 1947,
le Mark II voit le jour, ses engrenages sont
remplacés par des composants électroniques.
· Les Ordinateur à
lampes
En 1942, l'ABC (Atanasoff Berry
Computer) du nom de ses concepteurs J.V.
Atanasoff et C.Berry voit le jour.
En 1943, le premier ordinateur ne comportant plus de
pièces mécaniques est créé grâce
à J.Mauchly etJ.Presper Eckert :
l'ENIAC (Electronic Numerical Integrator And
Computer). Il est composé de 18000 lampes à vide, et occupe
une place de 1500 m2. Il fut utilisé pour des calculs ayant
servi à mettre au point la bombe H. Son principal
inconvénient était sa programmation : l'ENIAC était en
effet uniquement programmable manuellement avec des commutateurs ou des
câbles à enficher.
La première erreur informatique est due à un
insecte qui, attiré par la chaleur, était venu se loger dans les
lampes et avait créé un court-circuit. Ainsi le terme anglais
pour « insecte » étant
« bug », le nom est resté pour
désigner une erreur informatique. Le terme bug a
été francisé par la suite en bogue, terme
désignant également le nom de l'enveloppe épineuse et
piquante de la châtaigne.
En effet, les tubes étant de médiocres
conducteurs, ils nécessitaient une grande quantité
d'énergie électrique qu'ils dissipaient en chaleur. Cette lacune
est palliée en 1946 avec la mise au point de l'EDVAC (Electronic
Discrete Variable Computer) permettant de stocker les programmes en
mémoire (1024 mots en mémoire centrale et 20000 mots en
mémoire magnétique).
Le Transistor
En 1948, le transistor est
créé par la firme Bell Labs (grâce aux
ingénieurs John Bardeen, Walter
Brattainet William Shockley). Il permet dans les
années 50 de rendre les ordinateurs moins encombrants, moins gourmands
en énergie électrique donc moins coûteux : c'est la
révolution dans l'histoire de l'ordinateur.
· Le circuit intégré
Le circuit intégré est mis au point en 1958
par Texas Instruments, il permet de réduire encore la
taille et le coût des ordinateurs en intégrant sur un même
circuit électronique plusieurs transistors sans utiliser de fil
électrique.
· Le Micro-ordinateur
C'est en 1971 qu'apparaît le premier micro-ordinateur :
le Kenback 1, avec une mémoire de 256 octets.
· Les
Microprocesseurs
En 1971, le premier microprocesseur, l'Intel
4004, fait son apparition. Il permet d'effectuer des opérations
sur 4 bits simultanément. A la même
époque Hewlett Packard commercialise la
calculatrice HP-35. Le processeur 8008 d'Intel
(permettant de traiter 8 bits simultanément) apparaît en 1972.
En 1973, le processeur 8080 d'Intel garnit les premiers
micro-ordinateurs : le Micral et
le Altair 8800, avec 256 octets de mémoire. A la
fin de l'année 1973, Intel commercialisait déjà des
processeurs 10 fois plus rapides que le précédent (le Intel 8080)
et comportant 64 ko de mémoire.
En 1976, Steve Wozniak et Steve Jobs créent
l'Apple I dans un garage. Cet ordinateur possède
un clavier, un microprocesseur à 1 MHz, 4 ko de RAM et 1 ko de
mémoire vidéo. La petite histoire dit que les 2
compères ne savaient pas comment nommer l'ordinateur ; Steve Jobs voyant
un pommier dans le jardin décida d'appeler
l'ordinateur pomme (en anglais apple) s'il ne trouvait pas
de nom pour celui-ci dans les 5 minutes suivantes...
En 1981 IBM commercialise le premier
« PC » composé d'un processeur 8088
cadencé à 4.77 MHz.
· Les Ordinateurs
aujourd'hui
Il est très difficile de nos jours de suivre
l'évolution de l'ordinateur. En effet cette évolution suit la loi
de Moore (Intel(c)) : « on peut placer 4 fois plus de transistor
sur une puce tous les 3 ans ».
On devrait ainsi arriver à 1 milliard de transistors sur
une puce aux alentours de 2010. (www.commentcamarche.net)
I.1.2. TYPES D'ORDINATEURS
On distingue généralement plusieurs familles
d'ordinateurs selon leur format :
- Les mainframes (en
français ordinateurs centraux), ordinateurs
possédant une grande puissance de calcul, des capacités
d'entrée-sortie gigantesques et un haut niveau de fiabilité. Les
mainframes sont utilisés dans de grandes entreprises pour effectuer des
opérations lourdes de calcul ou de traitement de données
volumineuses. Les mainframes sont généralement utilisés
dans des architectures centralisées, dont ils sont le coeur.
- Les ordinateurs personnels, parmi
lesquels on distingue :
o Les ordinateurs de bureau (en
anglais desktop computers), composés d'un boîtier
renfermant une carte mère et permettant de raccorder les
différents périphériques tels que l'écran.
o Les
ordinateurs
portables (en anglais lap
top ou notebooks), composé d'un boîtier
intégrant un écran dépliable, un clavier et un grand
nombre de périphériques incorporés.
- Les tablettes PC (en
anglais tablet PC, également
appelées ardoises électroniques), composées
d'un boîtier intégrant un écran tactile ainsi qu'un certain
nombre de périphériques incorporés.
- Les centres
multimédia (Media Center), représentant
une plate-forme matérielle, destinée à une utilisation
dans le salon pour le pilotage des éléments hifi (chaîne
hifi, téléviseur, platine DVD, etc.).
- Les
assistants
personnels (appelés PDA,
pour Personal digital Assistant, ou
encore handheld, littéralement «tenu dans la
main»), parfois encore qualifiés d'organiseur (en
anglais organizer) ou d'agenda électronique, sont des
ordinateurs de poche proposant des fonctionnalités liées à
l'organisation personnelle. Ils peuvent être dotés des fonctions
d'un téléphone portable. On parle alors souvent dans ce cas
de smartphone.
- Enfin, les netbooks sont des
ordinateurs portables dotés d'un écran de petite dimension
(généralement 12") et dont on a remplacé le
disque
dur par de la mémoire flash, afin de réduire la
consommation électrique (et le coût).
(www.commentcamarche.net)
I.1.3 SYSTEME D'EXPLOITATION
I.1.3.1 Définition
Un système d'exploitation (SE, en anglais Operating
System ou OS) est un ensemble de programmes qui remplissent deux grandes
fonction à savoir : gérer les ressources de
l'installation matérielle en assurant leurs partages entre un
ensemble plus au moins grand d'utilisateurs et assurer un ensemble de
services en présentant aux utilisateurs une interface mieux
adaptée à leurs besoins que celle de la machine
physique. Il est aussi un ensemble de programmes responsables de la liaison
entre les ressources matérielles d'un ordinateur et les applications
informatiques de l'utilisateur (traitement de texte, jeu vidéo...)
(Pascal Mulumba, 2010. P.5)
I.1.3.2 DIVERSITE DES SYSTEMES D'EXPLOITATION
On distingue plusieurs types de systèmes
d'exploitation, selon qu'ils sont capables de gérer simultanément
des informations d'une longueur de
16
bits,
32
bits,
64
bits ou plus.
Système
|
Codage
|
Mono-utilisateur
|
Multi-utilisateur
|
Mono-tâche
|
Multitâche
|
DOS
|
16 bits
|
X
|
|
X
|
|
Windows3.1
|
16/32 bits
|
X
|
|
|
non préemptif
|
Windows95/98/Me
|
32 bits
|
X
|
|
|
coopératif
|
WindowsNT/2000
|
32 bits
|
|
X
|
|
préemptif
|
WindowsXP
|
32/64 bits
|
|
X
|
|
préemptif
|
Windows7
|
32/64 bits
|
|
X
|
|
préemptif
|
Unix / Linux
|
32/64 bits
|
|
X
|
|
préemptif
|
MAC/OS X
|
32 bits
|
|
X
|
|
préemptif
|
VMS
|
32 bits
|
|
X
|
|
préemptif
|
I.1.3.3 ROLE D'UN SYSTEME D'EXPLOITATION
Les rôles du système d'exploitation sont
divers :
· Gestion du
processeur :
le système d'exploitation est chargé de gérer l'allocation
du processeur entre les différents programmes grâce à
un algorithme d'ordonnancement. Le type d'ordonnanceur est totalement
dépendant du système d'exploitation, en fonction de l'objectif
visé.
· Gestion de la
mémoire
vive : le système d'exploitation est
chargé de gérer l'espace mémoire alloué à
chaque application et, le cas échéant, à chaque usager. En
cas d'insuffisance de mémoire physique, le système d'exploitation
peut créer une zone mémoire sur le
disque
dur, appelée «mémoire virtuelle». La
mémoire virtuelle permet de faire fonctionner des applications
nécessitant plus de mémoire qu'il n'y a de mémoire vive
disponible sur le système. En contrepartie cette mémoire est
beaucoup plus lente.
· Gestion des
entrées/sorties : le système d'exploitation permet
d'unifier et de contrôler l'accès des programmes aux ressources
matérielles par l'intermédiaire des pilotes (appelés
également gestionnaires de périphériques ou gestionnaires
d'entrée/sortie).
· Gestion de l'exécution des
applications : le système d'exploitation est chargé
de la bonne exécution des applications en leur affectant les ressources
nécessaires à leur bon fonctionnement. Il permet à ce
titre de «tuer» une application ne répondant plus
correctement.
· Gestion des droits : le
système d'exploitation est chargé de la sécurité
liée à l'exécution des programmes en garantissant que les
ressources ne sont utilisées que par les programmes et utilisateurs
possédant les droits adéquats.
· Gestion des fichiers : le
système d'exploitation gère la lecture et l'écriture dans
le
système
de fichiers et les droits d'accès aux fichiers par les
utilisateurs et les applications.
· Gestion des informations : le
système d'exploitation fournit un certain nombre d'indicateurs
permettant de diagnostiquer le bon fonctionnement de la machine.
I.1.4. LOGICIEL
I.1.4.1 Définition
En
informatique,
un logiciel est un ensemble d'informations relatives
à des traitements effectués automatiquement par un appareil
informatique. Y sont incluses les
instructions de
traitement, regroupées sous forme de
programmes,
des
données et
de la documentation. Le tout est stocké sous forme d'un ensemble de
fichiers dans
une
mémoire.
(www.wikidia.net)
I.1.4.2 catégorisation des logiciels
· logiciel
applicatif, le type de logiciel le plus courant, aussi
appelé
application
informatique : un logiciel dont les automatismes sont destinés
à assister un utilisateur dans une de ses activités.
· Un
logiciel
système (ou logiciel de base). C'est un
logiciel dont les automatismes contrôlent l'utilisation du
matériel
informatique par les
logiciels
applicatifs. Les automatismes du logiciel système sont
indépendants de l'activité pour laquelle l'appareil est
utilisé.
· Le
système
d'exploitation sert d'interface entre le matériel et les
logiciels applicatifs. C'est l'ensemble de logiciels système central qui
contrôle l'utilisation de l'appareil informatique par les autres
logiciels (www.wikidia.net Op.cit.).
I.1.5 MODELISATION
La modélisation est la conception d'un
modèle ou la
modélisation consiste à créer une représentation
simplifiée d'un problème : le model grâce au model il
est possible de représenter simplement un problème, un concept et
le simuler. La modélisation comporte deux composantes :
- L'analyse, c'est-à-dire l'étude du
problème
- La conception, soit la mise au point d'une solution au
problème
I.1.6 IMPLANTATION
Implantation est nom féminin qui
signifie :
-
Action d'
implanter ou
de s'implante
-
Planter,
insérer une
chose dans une autre.
En Informatique implanter veut dire :
- installer un
logiciel ou
un sous-système donné en réalisant les adaptations
nécessaires à
leur
fonctionnement dans
un
environnement
défini.
- Proposer, offrir un service, en parlant d'un logiciel, d'un
système d'exploitation etc. (www.wikidia.net
Op.cit.)
I.1.7 GESTION
I.1.7.1 Définition
La gestion ou
le management est l'ensemble des techniques
d'organisation de ressources qui sont mises en oeuvre pour l'administration
d'une
entité, dont
l'art de diriger des hommes, afin d'obtenir une performance satisfaisante. Dans
un souci d'optimisation, il tend à respecter les intérêts
et représentations des
parties
prenantes de l'entreprise. Afin de prendre en compte le temps, le
risque et l'information sur les prises de décision de gestion, il est
d'usage de distinguer :
· Le
management
stratégique qui concerne la gestion du marché par
la stratégie (c'est aussi une vision externe de la gestion) ;
· Le
management
opérationnel qui concerne la gestion des processus propres
à l'entreprise (c'est une vision plus interne centrée sur l'
organisation).
· Le
contrôle
de gestion tend à faire le lien entre ces deux types de
management du fait de son positionnement au sein de l'entité.
I.1.8. Gestion de Ressources Humaines
Certains auteurs définissent la gestion des ressources
humaines comme étant une série d'activités en vue
d'assurer la gestion efficiente de RH au bénéfice de l'individu,
de la société et de l'entreprise. (MBASOME MULUHIRWA,
2005, P.2).
La gestion des ressources humaines (la GRH) est
aussi un ensemble de
pratiques du
management ayant
pour objectif de mobiliser et développer les ressources humaines pour
une plus grande
performance de l'
organisation. C'est une
activité qui doit tendre à améliorer une communication
transversale, tout en faisant respecter l'
organigramme de
l'entreprise. (
www.wikidia.net)
Naissance et Evolution de gestion de Ressources
Humaines
Avant la Révolution Industrielle, la fonction "
personnel " existait. C'est le superviseur qui se chargeait lui-même de
recruter les employés dont il a besoin. La paie et la
comptabilité sont gérées par la direction de
l'entreprise. A l'issue de la Révolution Industrielle, les
entreprises sont confrontées à de nombreux problèmes
sociaux et humains.
C'est à ce moment qu'apparaît la fonction "
personnel " dans l'entreprise. Dans un premier temps, son rôle
était d'adapter les salariés aux emplois et à leur
évolution. Cette fonction gère donc la main d'oeuvre comme une
variable d'adaptation. Le coût de cette variable doit être minimum.
On est encore très loin de la notion de Ressources Humaines. La
dimension humaine se réduit à un simple facteur de production, le
travail de l'individu étant considéré comme une
marchandise soumise aux lois de l'échange économique du
capitalisme. Les seules activités de cette fonction sont le recrutement,
la paie, le règlement des conflits,... La dimension humaine s'efface
devant l'objectif prioritaire que constitue l'optimisation de la production.
Ainsi au début du siècle, c'est le concept d'Organisation
Scientifique du Travail (OST), développé par Taylor, qui est le
référentiel en matière d'organisation. La division, la
rationalisation et le contrôle du travail sont au coeur du taylorisme. Le
taylorisme déshumanise complètement le travail, l'homme est
réduit à la notion de " main d'oeuvre ". Cependant, dès
l'application des méthodes de Taylor, divers problèmes humains
sont apparus, déstabilisant les organisations : conflits, grèves
ou encore absentéisme. Ces nombreux problèmes vont remettre en
cause, peu à peu, la conception tayloriste du travail. Cette fonction
va énormément évoluer durant la première
moitié du vingtième siècle et ceci sous l'influence de
nombreux facteurs : mouvements sociaux, progrès scientifiques et
évolutions économiques. Au cours de cette
période, la dimension sociale et humaine va apparaître et se
développer peu à peu dans les organisations. L'école des
relations humaines, un important courant de la sociologie du travail, va jouer
un rôle majeur dans cette évolution. Entre 1930 et 1950, ce
courant va réagir contre l'Organisation Scientifique du Travail en en
montrant les limites et surtout en mettant en avant l'influence des facteurs
d'ambiance et de relations sociales dans l'entreprise sur la
productivité et le rendement. Les travaux les plus connus sont notamment
ceux de Elton Mayo, effectués aux Etats-Unis dans les années 30
à la Western Electric. Ces travaux vont contribuer à humaniser
les relations de travail. On assiste à un développement de la
fonction personnel qui se voit octroyer de nouvelles missions telles que
l'hygiène et la sécurité, l'information, les relations
sociales et aussi la formation. L'émergence et le développement
du syndicalisme de masse durant la première moitié du
XXème siècle va aussi fortement contribuer à faire
évoluer la fonction vers un rôle plus humain et plus social.
Entre 1960 et 1980, la fonction Ressources Humaines va encore
considérablement évoluer sous l'influence de nombreux facteurs
tels que l'accroissement de la législation du travail, le
développement de l'informatique dans le traitement de la paie,... La
modernisation, la forte concurrence et les restructurations industrielles ont
également accentué les problèmes d'emploi dans les
entreprises. Il faut notamment gérer les suppressions massives
d'emplois, il faut les gérer sur le plan humain mais aussi en termes
d'image pour l'entreprise. De plus, la globalisation de l'économie, la
concurrence accrue, la nécessité de créer d'autres emplois
plus qualifiés impliquent la recherche des meilleurs candidats, leur
formation et leur fidélisation.
I.1.9. BASE DE DONNEES
I.1.9.1 Définition
La base de données (BD) représente l'ensemble
(cohérent, intégré, partagé) des informations
nécessaires au fonctionnement d'une entreprise, ensemble dont la gestion
est assurée par un logiciel appelé système de gestion de
bases de données (SGBD). (Jacob MBOMBO, 2010, P.2)
I.1.9.2 Types de base de données
On distingue les types de base de données
suivants :
BD hiérarchique : stockage efficace
des données pour favoriser certains accès, en utilisant les liens
de hiérarchie entre les données. Moins souple pour
l'interrogation des données et la navigation à travers les
données.
BD réseau : les liens entre les
données sont prédéterminés et
spécifiés dans le schéma de base de données.
Navigation plus souple que les BD hiérarchiques, mais moins flexible que
celles des BD relationnelles.
BD relationnelle : les données sont
regroupées sous forme de relations (table). La navigation est
très souple, les liens entre les tables ne sont pas
prédéfinis ; ils sont établis de manière
dynamique, directement dans la requête d'interrogation.
BD Orientée Objets : les
données sont représentées par des objets. Plus souple quel
es BD relationnelles au niveau des structures de données admises. On
peut y stocker les objets d'un programme orienté objets. Permet le
partage des données entre plusieurs programmes à la fois.
BD relationnel Objets : BD relationnel
offrant en plus des mécanismes pour stocker des objets, ou pour stocker
des structures plus complexes. (Jacob MBOMBO, 2010 Op.cit)
I.1.9.3 Système de Gestion de Base de Données
(SGBD)
Un système de gestion de base de
données (SGBD, en anglais DBMS) est un ensemble de
logiciels qui sert
à la manipulation des
bases de
données. Il sert à effectuer des opérations ordinaires
telles que consulter, modifier, construire, organiser, transformer,
copier,
sauvegarder ou
restaurer des
bases de données. Il est souvent utilisé par de logiciels ainsi
que les
administrateurs ou
les
développeurs.
L'ensemble, dont le composant central est le
moteur de
base de données, peut être sous forme de
composant
logiciel, de
serveur,
de
logiciel
applicatif ou d'
environnement de programmation.
Il permet généralement à plusieurs utilisateurs et
plusieurs logiciels de manipuler plusieurs bases de données en
même temps et ceci quel que soit le contenu et l'organisation des bases
de données.
I.1.10. PROGRAMMATION
I.1.10.1 Définition
Le langage de programmation est
un
langage
informatique, permettant à un être humain d'écrire
un
code source qui
sera analysé par une machine, généralement un
ordinateur. Le code
source subit ensuite une transformation ou une évaluation dans une forme
exploitable par la machine, ce qui permet d'obtenir un
programme.
Les langages permettent souvent de faire abstraction des mécanismes de
bas niveau de la machine, de sorte que le code source représentant une
solution puisse être écrit et compris par un être humain.
I.1.10.2 Les langages de Programmation
Une famille de langages de
programmation est un ensemble de
langages de
programmation partageant un lien de
parenté ou
des caractéristiques communes - tel le
paradigme de
programmation par exemple.
De nouveaux langages de programmation apparaissent tous les
jours, souvent pour pallier les lacunes des langages déjà
existants. Ils cherchent soit à amener de nouveaux concepts à un
langage, soit à en corriger les défauts. Ils prennent souvent
comme base des langages populaires parmi les programmeurs, soit parce que le
concepteur du langage utilisait lui même le langage d'origine, soit pour
pouvoir plus facilement « convertir » les programmeurs du
langage d'origine.
Certains langages sont totalement originaux, mais empruntent
quelques concepts d'autres langages ou bien ils s'en inspirent. Par
exemple,
Boo s'inspire de
la syntaxe de
Python, mais son
fonctionnement est radicalement différent. Certains langages sont
tellement originaux, qu'ils débutent eux-mêmes une nouvelle
famille de langages de programmation avec une descendance.
Les grandes familles de langages par parenté
sont :
§ la famille du
C :
C++,
Objective-C,
Java,
C#,
Perl,
PHP,
JavaScript
§ la famille
Pascal :
Turbo Pascal,
Delphi
§ la famille
Lisp :
Common Lisp,
Scheme
§ la famille
ML :
SML,
Caml,
Objective
Caml puis
F#
§ la famille
Smalltalk :
Objective-C,
Ruby,
Lisaac
§ la famille
BASIC :
QBasic,
Visual Basic,
Visual Basic
.Net,
Visual
Basic for Applications,
VBScript,
Gambas
(
www.wikipedia.net)
I.2. L'ETUDE PREALABLE
L'étude préalable dans un contrat informatique
est celle qui intervient avant la phase d'expression des besoins. Elle permet
d'étudier l'opportunité du projet informatique. C'est une
étape important puisque la rédaction du
cahier des
charges se fait à partir des objectifs identifiés dans
l'étude préalable.
L'étude préalable consiste principalement
à recenser l'existant c'est-à-dire les solutions informatiques
déjà mises en oeuvre dans l'entreprise et à recenser les
besoins notamment en termes de fonctionnalités nouvelles. Elle
peut être l'occasion d'une étude de rentabilité du projet.
L'étude préalable identifie les contraintes budgétaires,
les contraintes d'environnement et les contraintes juridiques.
(
www.soreau.net)
I.2.1. Cadrage du Projet
I.2.1.1. Présentation du Champ d'étude
Situation géographique
L'Electricité du Congo EDC en sigle est une Sprl qui a
son siège d'exploitation dans la Ville de Tshikapa elle a deux sites
principaux :
· Le site de production de la centrale
hydroélectrique de lungudi qui se situe à 25Km de la Ville dans
le village lungudi.
· Le site administratif et commercial qui se situe au
centre ville de Tshikapa non loin du rond point Ndjendje ce site est
borné :
§ au nord par la Rivière Kasaï,
§ au sud par : la concession REGIDESO Tshikapa,
§ à l'est : la Prison Centrale de
Tshikapa,
§ a l'ouest : la Rivière Tshikapa.
Bref historique de l'EDC
EDC est une societé privé qui a remplacer la
Societé National d'Electricité SNEL siège de Tshikapa
suite aux multiples difficultés que cette société
étatique a rencontrée techniquement et financièrement,
elle n'était pas capable de servir la population de Tshikapa d'un
courant stable, permanant et efficace. C'est ainsi qu'en vue de favoriser le
développement économique et le progrès social, le
gouvernement de transition avait inscrit dans son programme prioritaire
l'accès de la population tant urbaine que rurale à
l'énergie électrique.
Suite aux décisions du conseil du ministre du 25 juin
2004 et qu'à la réunion du 26 juin de la même année,
le conseil de ministre de la république avait identifié et
sélectionné le projet pilote lungudi pour un partenariat avec
EDC.
Sur ce, le gouvernement de la République
Démocratique du Congo avait donc concédé à l'EDC le
site et la centrale hydroélectrique de lungudi, ainsi que toutes les
installations associés et leurs dépendances pour une durée
de 25 ans renouvelable.
C'est en date du 13 juillet 2004 que fut signé le
contrat de partenariat.
(Contrat entre l'EDC et le Gouvernement de la
RDC, 2004, P.5)
Mission de l'EDC
La societé EDC a pour mission :
- Fiabiliser la production et le transport de l'énergie
électrique dans la ville de Tshikapa et ses environs
- Développer la capacité de production de la
centrale hydroélectrique de lungudi de 10 Mega Watts.
- Etendre les réseaux associés en vue
d'accroitre le taux d'électrification
- Réaliser certaines actions sociales pour le
développement durable de la ville de Tshikapa et ses environs.
Fonctionnement et rôle de Chacun
- Les Administrateurs gérants :
sont les investisseurs propriétaires du projet notamment : Mr Paul
Filip Arthur Vanhoutte et Mr Daniel Blattner.
- Le Manager : s'occupe de l'avancement
du projet sur tout le plan, fait l'étude des contrats des nouveaux
clients potentiels, établis de ligne de conduit pour la bonne gestion de
l'entreprise.
- Le Superviseur : fait la suivie et la
supervision des travailleurs et fait rapport au manager.
- Le Directeur Technique : est le chef
du département technique, il donne des instructions nécessaires
et de tâches aux techniciens, surveiller le département de
production et l'exploitation et en fait rapport à la
hiérarchie.
- Chef de Production : est le
responsable permanant de la centrale hydro- électrique de Lungudi, il a
un équipage qui l'entoure pour permettre la bonne production.
- Le chargé de distribution :
s'occupe de l'exploitation électrique à Tshikapa, il fait les
études de faisabilités pour les nouveaux clients et planifie les
nouveaux raccordements, s'occupe aussi des dépannages de clients et
fait rapport à sa hiérarchie.
- Les responsables des cabines :
s'occupe des cabines électriques et de la distribution du courant chez
les clients, ils prélèvent les valeurs électriques dans
des cabines, les enregistres dans un fichier informatique à joindre au
responsable technique.
- Operateurs : sont tous des
techniciens qui travaillent au sein de la centrale hydro-électrique.
- Finance : ce
département a : un comptable, et des caissiers chargés de
vente d'électricité prépayée.
- La Logistique : ce département
comprend : le responsable de magasin, le responsable de charroi, et les
chauffeurs.
- L'Administration et R H : le Chef du
personnel, un réceptionniste, les Officiers de Police Judicaire
restreinte de l'EDC et la garde industrielle composent ce
département.
Administrateurs Gérants
Manager Général
Superviseur
Directeur Technique
Chef de Production
Chargé de Distribution
Responsables des cabines
Operateurs de Production
Logistique
Adm & RH
Organigramme
Finances
Source : EDC Tshikapa.
1.2.1.2 l'Etude d'opportunité
Pour arriver à dire que le projet est opportun ou pas
nous nous permettrons de comparer les objectifs poursuivis dans ce projet par
rapport à ceux poursuivi par l'EDC Tshikapa dans la distribution de ses
services :
a. Objectifs du Projet :
Pour mener nos investigations, notre sujet de recherche est
intitulé : « Modélisation et implantation
d'un logiciel de gestion de ressources humaines» et cela nous a permis de
nous assigner comme objectifs, en occurrence :
- Automatiser le processus d'engagement des agents
- La procédure de licenciement
- Le pointage de présence
- L'élaboration des différents documents :
§ Note de service
§ Ordre de mission
§ et autres correspondances administratives.
- Automatiser la paie des agents
- La grille d'évaluation mensuelle
b. Objectifs informatique de l'EDC
L'EDC de par la vision de ses responsables, aimerait
informatiser toute l'entreprise c'est-à-dire automatiser la gestion de
l'électricité par les compteurs prépayé, la
gestion des fonds et aussi le reste des services y compris la gestion des
ressources humaines de sa juridiction.
Eu égard à ce dernier objectif, nous confirmons
avec fermeté que notre projet lui sera le bienvenu. Donc, tout se
passera dans les bonnes conditions sauf imprévues.
1.2.1.3.L'Etude de Faisabilité
Apres analyse du système, cette partie du travail nous
permettra de dire clairement, s'il est possible d'atteindre les objectifs que
nous nous sommes assignés, compte tenu de certaines contraintes
observées.
1. Contraintes Positives
a. Contraintes humaines
Hormis les manoeuvres et la garde industrielle, le reste
d'agents de bureau de la société EDC sont capable et connaissent
bien l'utilisation de l'outillage informatique.
Dans le même ordre d'idée le chargé de
Ressources humaines n'est pas à négliger.
b. Contraintes matérielles
Le service du Personnel de l'EDC Tshikapa possède tous
les matériels informatiques requis pour assurer la gestion
automatisée de ressources humaines à sa charge et par-dessous
tout, il a un courant permanant et stable.
c. Contraintes temporelles
Il a été mis à notre disposition 9 mois
durant lequel nous avons pu nous évertuer pour l'élaboration et
rédiger le présent travail de fin de cycle et cette
période pour atteindre les objectifs nous assignés.
2. Contraintes Négatives
Bien que nous avons jeté des fleurs à l'EDC
Tshikapa pour les efforts combien louables fournit, le principe qui se
vérifie est qu'il n'y a pas de rose sans épines. Raison pour
laquelle nous montrerons noir sur blanc que toutes les taches destinées
à être assurer par le chargé du Personnel ne sont pas
accomplies par ce dernier.
1.2.2 Planification
La planification consiste à sélectionner des
informations et à faire des hypothèses sur l'avenir afin de
détenir les activités nécessaires pour atteindre les
objectifs de l'organisation ou tentative organisée, consciente et
continue de sélectionner les meilleurs alternatives pour atteindre le
but précis. Elle consiste à ordonner les taches à
réaliser puis les inscrire dans un calendrier. (Jean Paul
MUKANYA, 2006, P.25)
Pour ordonner les taches et les inscrire dans un calendrier,
nous avons utilisé deux outils de planification dont : la
méthode PERT (Program Evaluation and Review Technic) et le diagramme de
GANTT, vu que nous nous servirons de la méthode MERISE, les
données seront traités grâce à la méthode de
RATIOS représentées dans le tableau ci-dessous :
Tableau d'évaluation des
tâches
Théorie
|
Observé
|
Estimé
|
Ratios
%
|
Charge
En J/h
|
Charge
En J/h
|
Développement de projet
Nouveau
100%
|
Analyse
Préalable
|
Lancement
|
0.4
|
|
1
|
Recueil
|
4.4
|
|
10
|
Conception
|
5
|
|
11
|
Evaluation
|
1
|
|
2
|
Analyse détaillée
|
22.2
|
|
48
|
Réalisation
|
33
|
|
71
|
Tests
|
34
|
|
73
|
Total développement
|
100
|
|
216
|
Tableau de description des tâches
Tâches
|
Descriptions
|
DD
|
FF
|
FD
|
DF
|
A
|
Lancement
|
|
|
|
|
B
|
Recueil
|
|
|
A
|
|
C
|
Conception
|
|
|
B
|
|
D
|
Evaluation
|
C
|
C
|
|
|
E
|
Analyse détaillée
|
|
|
D
|
|
F
|
Réalisation
|
|
|
E
|
|
G
|
Tests
|
|
|
H
|
|
H
|
Exploitation
|
|
|
G
|
|
Légende
DD : lien de début début
DF : lien de début-fin
FD : lien de début-fin
FF : lien de fin-fin
1.2.2.1 METHODE PERT
La méthode PERT
(Program Evaluation and Review
Technique) que nous traduisons en français par Technique
d'Evaluation, et de Révision des Programmes nous permet d'évaluer
et réviser le programme en ce qui concerne la planification. Grace
à cet outil, nous avons fait la description de l'enchainement de la
succession des taches tout en tenant compte des conditions d'ordonnancement qui
sert de liaison entre eux.
- Ce réseau vise à estimer, réduire et
contrôler le délai de récupération
- Il permet de suivre le déroulement des
activités par rapport au sous emploi et à la disponibilité
des ressources afin d'atteindre un prix de revient optimal
- Il permet de coordonner les différentes
activités.
Voici ci-dessous la présentation des différentes
taches sous forme des rectangles et les liens qui existent entre elles
(flèches).
Dx=11 Fx= 22
C m=0
Dy=11 Fy=22
Dx=0 Fx= 11
B m=0
Dy=1 Fy=11
Dx=0 Fx= 1
A m=0
Dy=0 Fy=1
1 10 11
Dx=211
H m=5
Dy=216
Dx=138 Fx=211
G m=5
Dy=143 Fy=216
Dx=67 Fx= 138
F m=5
Dy=72 Fy=143
Dx=19 Fx= 67
E m=5
Dy=24 Fy=72
Dx=17 Fx= 19
D m=5
Dy=22 Fy=21
2 48 71 73
Tableau de calcul de Marge
Tâches
|
Durée
|
Dx
|
Dy
|
Fx
|
Fy
|
Marge
|
A
|
1
|
0
|
0
|
1
|
1
|
0
|
B
|
10
|
1
|
1
|
11
|
11
|
0
|
C
|
11
|
11
|
11
|
22
|
22
|
0
|
D
|
2
|
17
|
22
|
19
|
21
|
5
|
E
|
48
|
19
|
24
|
67
|
72
|
5
|
F
|
71
|
67
|
72
|
138
|
143
|
5
|
G
|
73
|
138
|
143
|
211
|
216
|
5
|
H
|
-
|
211
|
216
|
-
|
-
|
5
|
DIAGRAMME DE GANT
|
|
|
|
|
|
|
TEMPS EN
TACHES
|
OCT
2010
|
NOV
2010
|
DEC
2010
|
JANV
2011
|
FEV
2011
|
MARS
2011
|
AVRIL
2011
|
MAI
2011
|
JUIN
2011
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LANCEMENT (A)
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RECEUIL (B)
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CONCEPTION (C)
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EVALUATION (D)
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ANALYSE DETAILLE (E)
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REALISATION (F)
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TEST (G)
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EXPLOITATION (H)
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Cet outil appelé calendrier des opérations sert
à contrôler l'emploi du temps afin de rester dans les limites de
temps fixe. Le tableau ci-dessous présente la répartition
temporelle des taches dont en colonne exprimé en mois et en lignes les
différents tâchent constituant le projet.
Les traits au milieu du tableau indiquent les nombres de jours
pendants lesquels la tache a été réalisée.
1.2.1.RECUEIL ET DIAGNOSTIC
1.2.3.1. LE RECUEIL
A cette partie du travail nous nous faisons la peine de
définir et de qualifier le système d'information en place pour
nous permettre de comprendre le fonctionnement actuel de l'EDC pour y arriver,
nous allons nous appesantir sur les quatre facteurs suivants :
- Les acteurs
- Les flux
- Les processus
- Les vocabulaires
a. Les acteurs
Apres investigation nous avons recensé plusieurs
intervenants dans le traitement de l'information du personnel de la
société cible et nous les avons regroupés dans deux
catégories dont :
Ø Acteurs internes :
Les acteurs internes dont il est question ici sont les
différentes personnes oeuvrant au sein du département qui
gère les ressources humaines de l'EDC. Pour le cas d'espèce, ce
département est dirigé par une personne, qui est le chef du
personnel.
Le Chef du Personnel
Est une personne chargée de coordonner et de promouvoir
les activités réalisées par l'ensemble des personnes
oeuvrant dans l'entreprise. Il sert de charnier entre le top manager et les
agents d'exécution. Il se charge de transmettre les idéologies
des dirigeants aux autres employés en vue de la bonne marche des
activités. Il rédige les différentes correspondances
administratives adressées aux employés, au public ...
Ø Acteurs externes :
Sont les personnes travaillant au sein ou en dehors de l'EDC
mais qui échange des informations avec le département de la
gestion de ressources humaines. Parmi eux nous avons : les administrateurs
gérants, le manager, le superviseur, le directeur technique, le
responsable de production, le chargé de distribution, le caissier, le
comptable, les responsables de cabines, les operateurs de production, la garde
industrielle.
Concernant leurs rôles et le flux qu'ils
échangent avec ce département nous consulteront le point qui
traite du fonctionnement et rôle de chacun.
b. Les flux
Les flux sont des différentes informations qui sont
échangés entre les acteurs. Ces informations sont le plus souvent
échangées sur des supports tout en respectant un certain
formalisme. Ci-dessous nous vous présentons en forme d'un diagramme les
différentes informations circulant entre les différents postes de
travail lors du traitement d'informations dans la gestion de Ressources
humaines.
Manager
Adm & RH
Superviseur
Directeur Technique
Finances
Journaliers
Employés
4 3 1 2 3 4
5 3
6 7 8
Légende
1. Instructions et autres correspondances
administratives
2. Réponse si nécessaire
3. Rapports des travailleurs
4. Instructions et Notes de service
5. Rapport de paie des journaliers
6. Fonds à donner aux journaliers
7. Paie des journaliers
8. Observations sur les agents techniques
SCHEMA DE CIRCULATION ET DE TRAITEMENT DE
L'INFORMATION.
Ce présent tableau vous présent l'enchainement
des différents traitements à travers des opérations
réalisées par chaque poste de travail et les supports des
données utilisées pour la consultation ou le traitement en
entrée et en sortie.
Les cercles représentant les événements
qui expliquent les différentes opérations tandis que les
rectangles représentent les opérations elles-mêmes.
Candidats
|
Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Superviseur
|
Employés.
|
Besoin
En RH
Dossier
Dossier
Orignal dossier
Copie scellé
Dossier
Dossier
Dossier approuvé
Dossier et instruction
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Candidats
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Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Superviseur
|
Employés.
|
Réponse
Appréciations
Appréciations
Appréciations
OU
Instructions
Contrat
Contrat
Copie contrat
Contrat signé
Demande d'emploi
Durée
Départ
Copie contrat
|
|
OP.13Réception et signature du
contratToujours
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Candidats
|
Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Superviseur
|
Employés.
|
Listes de présence
Fin du mois
ET
Rapport du personnel
Toujours
Prestation
Rapport de présence
Fin du mois
Grille d'évaluation
I.2.3.2 DIAGNOSTIC
Après avoir analysé petit à petit le
fonctionnement de l'EDC, nous voici arrivé au point où nous nous
faisons l'obligation d'exhiber les quelques faiblesses rencontrées dans
le traitement de l'information sur la gestion des ressources humaines, ainsi
que les solutions y afférents
a. Critiques de l'existent
1. Critique Positives
Il s'avère important pour nous, de pouvoir jeter des
fleurs à la société EDC pour les efforts fournis dans
l'organisation den ses activités et les points parmi lesquels nous avons
apprécié nous pouvons citer :
§ La permanence et la stabilité du courant
§ Chaque agent à la maitrise de l'utilisation de
l'outil informatique et chaque bureau est doté d'un ordinateur.
§ L'EDC a un réseau local d'entreprise qui permet
d'échanger les informations rapide.
b. Critiques Négatives.
Bien que nous ayons apprécié du talon aux
cheveux la société EDC , les français disent qu'il n
y a pas de rose sans épines c'est par cet adage que nous épingler
les quelques difficultés éprouvées par l'EDC en
général et la cellule du personnel en particulier dans la gestion
de ses employés ces facteurs sont les suivants :
§ Tous les agents employés et chargé de
chapoter chacun au moins une branche n'ont pas de job descriptions qui leurs
montre ce qu'ils doivent faire et comment ils le doivent.
§ L'organigramme de l'entreprise ne donne pas une structure
clair et nette pouvant permettre à chaque agent de connaitre de qu'il
dépend et à qu'il doit précisément donner
rapport.
§ L'évaluation du personnel est faite par superviseur
et non par le chef du personnel.
§ Le chef du personnel n'étant pas limité
sur la gestion du personnel de son entreprise certaines tâches les
passent par-dessus bord
§ Bien que détenant l'outil informatique
adapté, le chef du personnel de l'EDC continue à traiter, de
gérer ce secteur d'activité manuellement. Ces informations
étant tenues manuellement court le risque de perte et
accessibilité.
c. Proposition de pistes des solutions
En vue de sortir le chargé du personnel dans le gouffre
dans lequel il se trouve actuellement et moderniser ce service nous avons
proposé ce qui suit comme solutions indispensables ;
§ Pour permettre chaque agent de connaitre ce qu'il doit
faire, il serait mieux de mettre à leurs dispositions un document
reprenant et détaillant les taches que doit accomplir chacun d'eux.
§ L'organigramme est outil indispensable dans
l'entreprise qui démontre l'arborescence des structures dans une
entreprise. Il mérite d'être soigneusement élaboré
et mis à la disposition des employés pour les permettre de savoir
à qu'ils doivent donner des rapports et de ce qu'ils doivent recevoir
des instructions.
§ Le chef du personnel étant chargé du
recrutement du personnel, il mobilise, coordonne, contrôle les
activités réalisées par les agents à la
satisfaction (et) des travailleurs et de l'employer.
Par la voie de conséquence, il est tenu à
l'obligation d'évaluer chacun d'eux et de fournir le rapport à
l'Administratif et l'administratif au superviseur et non le contraire.
§ Quand on confie à quelqu'une la
responsabilité, il convient de pouvoir organiser les séminaires
de formation pouvant le permettre de se familiariser à cette nouvelle
fonction et relie ver la qualité de son rendement professionnel.
§ Pour l'aider à ne pas commettre des erreurs
Administratives et garder en permanence les informations sur chaque employer,
nous proposons la conception du logiciel d'aide à la gestion du
personnel comme moyen propice.
Ainsi, toute personne désirant l'emploi à la
société cible doit déposer sa lettre de demande d'emploi
pour les uns et de demande de stage pour les autres (Technicien) à la
cellule du personnel et ce dernier informe l'administratif analyse et s'informe
à la branche pour laquelle le candidat sollicite l'emploi en vue dd
savoir s'il y a besoin ;si besoin il ya le dossier est transmis chez le
superviseur pour étude et remarques. Au cas où c'est accepter le
superviseur recommande à l'administratif de faire appel à ce
candidat.
§ L'Administratif intime l'ordre au CP de faire appel au
candidat. Le CP intime le candidat et lui demande d'écrire une lettre
demande d'emploi. Le candidat écrit la lettre lui exigée et remet
le dossier au CP le C.P l'oriente au service qui pourra l'utiliser. Pendant la
période de stage, ce candidat est évaluer le chef de la cellule
qui l'utilise et fournit le rapport d'évaluer le chef de la cellule qui
l'utilise et fournit le rapport d'évaluation au C.P si le rapport est
positif, à la fin de la période de stage l'intéresser est
envoyé au superviseur pour la conclusion du contrat de travail. Si le
rapport est négatif le CP lui écrit une lettre de remerciement et
le candidat s'en va.
Nouveau Schéma
Candidats
|
Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Administratif
|
Superviseur
|
Besoin
En RH Technicien
Demande acceptée
Rejet
Lettre d'offre d'emploi
Besoin en RH non technicien
OU
Demande de stage
Dossier
|
OP.1
Réception et analyse besoinNONOUI
OP.2
Emission lettre d'offre d'emploi
Toujours
|
|
|
|
|
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|
|
|
|
|
Candidats
|
Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Superviseur
|
Employés.
|
Dossier
Dossier
OU
Réponse
Instruction
Dossier
Dossier
Dossier
Réponse négative
|
OP.4
Réception et enregistrement en deux exemplaires
Toujours
|
OP.5
Réception et étude du dossier Non
techniqTechnicien
OP.7Rédaction lettre de réponse
et transmissionToujours
OP.9Analyse des instructions et
réponse au candidatToujours
|
OP.6Réception et analyse du dossier
techniquesNONOK
|
OP.8Réception analyse et
appréciation sur le dossierToujours
|
|
Candidats
|
Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Superviseur
|
Employés.
|
réponse
Durée
Appréciation
Appréciation
Appréciation
ET
Instruction
Départ
Réponse
Départ
Prestation
OP.10Transmission lettre de réponse
Toujours
|
OP.13Appréciations,
Suggestions et réponse au candidatToujours
|
|
|
|
|
Candidats
|
Secrétariat
|
Ressources Humaines
|
Directeur Technique
|
Superviseur
|
Employés.
|
Contrat signé
Copie contrat
Début du jour
ET
Prestation
Réponse favorable
Contrat Validé
I.2.4. CAHIER DE CHARGE
Le cahier de charge est un document par lequel un technicien
propose a son fournisseur le type de fourniture dont il a besoin pour
accomplir ou réaliser son travail. Dans le cadre de notre travail nous
avons proposé deux types de cahiers de charge dont :
· Cahier de charge de matériel informatique
· Cahier de charge de logiciel
I.2.4.1. Cahier de charge de matériels s
informatiques
· Un ordinateur de marque ASUS, avec
disque dur d'au moins 80 G.O,
· 2 lecteurs CD dont un graveur,
· 4 Port USB
· Un scanner
· Une caméra numérique
· 2 imprimantes : LAZER et Jet d'encre
Cout total pour l'achat de ses matériels informatiques
et évaluer à 1.500$ (Mille cinq cent
dollars).
I.2.4.2. Cahier de charge de logiciel
· Windows XP Professional. 50$
· OFFICE 2003 50$
· M.S Visual Basic 6.0 100$
· Antivirus (Norton 2010) 50$
Cout total : 250$(Deux cent cinquante
Dollars).
Description des supports utilisés.
Dans le traitement de l'information le chef du personnel de
l'EDC utilise les différents documents parmi eux, il ya ceux qui accuse
l'entrée de données dans la branche et d'autres sanctionne la
sortie.
A. Documents d'entrée de données
· Demande d'emploi ou de stage
· Diplôme ou son équivalent
· Ordre de mission
· Lettre d'affectation
· La fiche de présence
B. Document de sortie des données
Le Chargé du Personnel émet :
· Les notes de services
· Les lettres de demande d'exploitation
· Les lettres de mis à pied
· Les lettres Licenciement
· La fiche de paie.
CHAPITRE DEUX : ANALYSE DETAILLE ET TECHNIQUE.
II.1. MODEL CONCEPTUEL DE COMMUNICATION
En vue de mettre à nu les échanges des
données effectuées au sein de l'EDC le model conceptuel ou le
schéma conceptuel des données en d'autres termes ci-dessous
facilite la tâche.
Chef du personnel
Candidat
Superviseur
Directeur Technique
Dossier
Réponse Instructions Dossier
Prestation
Dossier rapport personnels rapport de
prestation
II.2. MODEL CONCEPTUEL DES DONNEES
II.2.0. Généralités
Pour permettre la présentation transparente des
données d'un système d'information, nous nous sommes servis du
schéma conceptuel des données qui se fait au moyen des concepts
(ternes) dont la mise en oeuvre abouti à une représentation sous
forme des rectangles et des flèches qui les lies.
A fin de faire comprendre à nos lecteur le bien
fondé de ce schéma, nous nous faisons la peine de définir
le concept tel que propriété, entité, identifiant,
association et cardinalité.
II.2.0.1. Propriété.
Une propriété désigne bien le plus petit
élément d'information manipulable par le concepteur lors de
formalisation. Cette propriété se décrit toujours par son
nom, elle prend une valeur dans un domaine de valeur et doit avoir un sens dans
ce système étudié. Exemple, Nom de la personne, date de
naissance âge, etc...
II.2.0.2. Entité
Une propriété étant définie comme
une donnée élémentaire ou une rubrique, l'entité
quand à elle est considérée comme un groupe des
données ou une classe d'objets du monde réel et de même
nature.
Exemple :
Personne
|
Numéro
Nom
Post nom
Age
Sexe
|
Entête de l'entité
Propriétés
II.2.0.3. Identifiant
Un identifiant peut être définie comme une
propriété ou groupe des propriétés qui joue un
rôle particulier pour permette de distingue chaque occurrence de
l'entité par rapport à toute les autres et cet identifiant est
appelé en d'autres terme clé primaire qui doit toujours
être souligné pour être différenciées du
reste. Si nous nous serrons du même exemple on notera :
Personne
|
Numéro
Nom
Post nom
Age
Sexe
|
Entête de l'entité
Identifiant
Propriété
II.2.0.4. ASSOCIATION
L'entité regroupant les données qui lui
appartiennent à elle et elle seule et qui sont enregistré une et
une seule fois l'association à son tour enregistré les
données qui ont trait à plus au moins deux tables.
Le nom de cette association doit être
généralement un verse d'action et est l'entrer prétable
dans le servis du lien
Exemple : Entité 1 Entité 2
Affecter
SALARIE
|
N°duclient
Adresse
Tel
|
SERVICE
|
N°service
Description
|
Association
II.2.0.5. CARDINALITE
La notion de cardinalité complète la description
du système d'information et explicite le lien entre entité et
association. Cette opération est bien sur mesurée au moyen d'un
couple de valeurs appelé cardinalité maximum et
cardinalité minimum.
Association
La cardinalité indique le nombre d'occurrence pouvant
participer dans une entité alors que la cardinalité max indique
le nombre d'occurrence pouvant participer dans une entité au max.
mix,max
max,min
II.2.1. REGLE DE GESTION.
Une règle de gestion est un élément de
description global, de fonctionnent de l'organisation.
Pour arriver a démontré le fonctionnement de
l'EDC dans la gestion du personnel de sa juridiction, les règles de
gestion en occurrence ont été établies :
1. Chaque poste de travail est identifié par son code
il a une appellation, des biens, meubles et immeubles, un personnel,
candidats.
2. Chaque travailleur est identifié par un
numéro, il a un nom, catégorie un sexe, une date de naissance,
date d'engagement, une nationalité, adresse physique, adresse mai,
no Tel et peut être affecté à un poste,
no matricule. Travailler durant une période.
3. Chaque bien est identifié par un code, il a une
description, une marque, date d'acquisition et peut être
géré par travailleur.
4. Chaque période est identifié par un code et a
une description
5. Chaque catégorie est identifiée par un code,
elle a une description.
II.2.2. DICTIONNAIRE DES DONNEES
Pseudo Code
|
Signification
|
Domaine de valeur
|
Commentaire
|
Règle de gestion
|
Type
|
Longueur
|
Codepostal
|
Code du poste de travail
|
Texte
|
4
|
1000-1999
|
>999 et <2000
|
Appelposte
|
Appellation du poste de travail
|
Texte
|
50
|
|
|
Numtrav
|
Numero du travailleur
|
Numérique
|
4
|
2000-2999
|
|
Nomtrav
|
Nom du travailleur
|
Texte
|
40
|
|
|
Sexetrav
|
Sexe du travailleur
|
Texte
|
1
|
|
|
Datenaisstrav
|
Date de naissance du travailleur
|
Date
|
|
|
|
Datengagtrav
|
Date d'engagement travailleur
|
Date
|
|
|
|
Datelicetrave
|
Date de licenciement travailleur
|
Date
|
|
|
|
Nationtrav
|
Nationalité du travailleur
|
Texte
|
50
|
|
|
Adressphystrav
|
Adresse physique du travailleur
|
Texte
|
50
|
|
|
Adressmailtrav
|
Adresse mail du travailleur
|
Texte
|
20
|
|
|
Numteltrav
|
Numéro téléphone du travailleur
|
Numérique
|
10
|
|
|
Mattrav
|
Matricule du travailleur
|
Texte
|
10
|
|
|
Cocat
|
Code de la catégorie
|
Texte
|
4
|
I-IV
|
|
Descat
|
Description de la catégorie
|
Texte
|
50
|
|
|
Numcadi
|
Numéro du candidat
|
Numauto
|
|
|
|
Nomcandi
|
Nom du candidat
|
Texte
|
50
|
|
|
Sexecandi
|
Sexe du candidat
|
Texte
|
1
|
|
|
Datenaisscandi
|
Date de naissance du candidat
|
Date
|
|
|
|
Adressphycandi
|
Adresse physique candidat
|
Texte
|
50
|
|
|
Codebien
|
Code du bien meuble et immeuble
|
Texte
|
4
|
|
|
Designbien
|
Designation du bien
|
Texte
|
100
|
|
|
Dateacqbien
|
Date d'acquisition du bien
|
Date
|
|
|
|
Codeperiod
|
Code de la periode
|
Texte
|
7
|
|
01/2011
|
II.2.3. DEPENDANCE FONCTIONNEL
A. Matrice de dépendance fonctionnelle.
Propriétés
sources
Propriétés buts
|
Code poste
|
Num Trav
|
Cocat
|
Num candidat
|
Code bien
|
Code period
|
Apelposte
|
+
|
|
|
|
|
|
Montrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Sexetrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Datenaiss trav
|
|
+
|
|
|
|
|
Date engag trav
|
|
+
|
|
|
|
|
Date licetrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Nationtrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Adressphytrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Adressmail trav
|
|
+
|
|
|
|
|
Rumteltrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Mattrav
|
|
+
|
|
|
|
|
Descat
|
|
|
+
|
|
|
|
Moncandi
|
|
|
|
+
|
|
|
Sexe candi
|
|
|
|
+
|
|
|
Date naiss candi
|
|
|
|
+
|
|
|
Adressphycandi
|
|
|
|
+
|
|
|
Designbien
|
|
|
|
|
+
|
|
Date acqbien
|
|
|
|
|
+
|
|
Libelperiod
|
|
|
|
|
|
+
|
B. Graphe de dépendance fonctionnelle
Numtrav
- Nomtrav
- Mattrav
- Sexetrav
- Datenaistrav
- Adressephytrav
- Emailtrav
- Nattrav
- Numteltrav
- Dateengagtrav
- Fonctiontrav
- Datelicetrav
Refsanctiontrav
- Objetsanct
- Copieinformsancttrav1
- Copieinformsancttrav2
- Dateelabodoc
- Datedebutsanct
- Datefinsanct
- Nbrejoursanct
- causesanct
Numcandi
- Nomcandi
- Datenaiscandi
- Adrephyscandi
- Numtelcandi
Codeaffecttrav
- Motifaffecttrav
- Lieuaffecttrav
- Dateaffecttrav
Numordrefichpres
- Nomtrav
Numaffeccandi
- Motifaffectcandi
- Dateaffectcandi
- Lieuaffectcandi
Codebien
- Descbien
- Prixacqbien
- Dateacqbien
Codeposte
- Appelposte
Cocat
- Descat
Numsanction
- Descsanction
Codeperiode
- Libelleperiode
Codeevaltrav
- Critereevaltrav
- coteevaltrav
Refnoteserv
- Objetnoteserv
- Detailnoteserv
- Datenoteserv
- Nomsignnote
- Fonctsignnote
II.2.4. REALISATION DU M.C.D
Avoir
Affecter candi
Motifaffect
Numaffectcandi
Dateaffectcandi
Lieuaffectcandi
Affecter trav
Numaffect
Motifaffecttrav
Lieuaffecttrav
Dateaffecttrav
Sanctionner
Refsanct
Objetsanct
Copieinformsansttra1
Copieinformsansttra2
Date labodoc
Datedebutsanct
Datefinsanct
Nbrejour sanct
Conseqsanct
causesanct
Couvrir
Evaluer
Codeeval
Critereeval
coteeval
Appartenir
Marquer
Numordrefich pres
Heurearrivee
Datejour pres
Observ pres
II.3. ETAT TECHNOLOGIQUE (M.LD)
1) Catégorie (Cocat, Desccat)
2) Travailleur (Numtrav, Nomtrav, Mottrav, sexetrav,
Datenaistrav, Adressephystrav, Emailtrav, Numteltrav, Dateengagtrav, Foncttrav,
Datelicetrav, Cocat #)
3) Période (codeperiode, Libelleperiode) Note de
service
(Refnoteserv,Objetnoteserv, Detailnoteserv, Datenoteserv,
Nomsignnote, Numtrav)
4) Marquer (Numordrefichepres, Datejour pres,
Heurearrivee,Codeperiode, Numtrav)
5) Evaluer (Codetrav, Codeperiode, Numtrav,
Nomtrav, Critereevaltrav, Coteeval)
6) Poste (codeposte, Appelposte)
7) Affecter travailleurs (Numaffecttrav, codeposte,
Numtrav, Nomtrav, Motifaffecttrav,Lieuaffecttrav,Dateaffecttrav)
8) Sanctions (Numsanct,Descsanction)
9)
Sanctionner(Refsanct ;Numtrav,Numsanct,Nomtrav,Descsanction,Objetsact,
Copieinformsanct1,Copieinformsanct2,Dateelabodoc,Datedebutsanct,Datefinsanct,Nombrejoursanct,conseqsanct,causesanct).
10) Candidat
(Numcandi,Nomcandi,Sexecandi,Adrephyscandi,Numtelcandi)
11)
Affecterlescandidats(Numaffectcandi,codeposte,Numcandi,motifaffectcandi,Dateafffectcandi,Lieuaffectcandi,Nomposte,Nomcandi)
12)
Immobilisations(Codebien,Descbien,Prixacqbien,Dateacqbien,Codeposte).
II.4. MODEL PHYSIQUE DES DONNEES
251681792
I.5Model Conceptuel De Traitement
(Jean Paul MUKANYA, 2011, Pge 115).
Le Model Conceptuel de Traitement (MCT) est constitué
d'un enchainement d'opérations. Chaque opération est
déclenchée par un événement unique ou par plusieurs
événement liés par une condition de synchronisé.
L'opération exécute alors des techniques et produit un ou
plusieurs résultats qui peuvent être éventuellement
commandés par des règles d'émission.
Les événements déclencheurs sont
représentés par des cercles, ils peuvent être eux
-même le résultat d'une autre opération. Les
résultats de l'opération sont représenté par des
cercles, ils peuvent eux-mêmes devenir des événements
déclencheurs pour d'autres opérations. L'opération est
représenté un rectangle avec en partie supérieur le nom de
l'opération, et à l'intérieur les principaux traitements
réalisés, ce sont les actions, la figure supérieure
représente la synchronisation. A l'intérieur est inscrite la
condition de déclenchement de l'opération (E1 et E2) en toute
expression logique plus complexe. Les conditions d'émission figurent en
bas du rectangle (si R=o alors émettre R2, sinon émettre R1).
II.5.1. Règles De Gestion.
- Le chef du personnel reprend la liste de présence des
travailleurs qu'il enregistre dans le programme au début de la
journée.
- A la fin du mois le chef du personnel prépare les
grilles d'évaluation pour chaque agent et transmet au superviseur comme
rapport et une copie réservée au travailleur
- Le chef du personnel émet des lettres Administratives
aux agents en cas de défaillance du travailleur ou des notes de services
- Le chef du personnel reçoit en cas de besoin des
différentes lettres de demandes d'emploi de candidat qu'il traite et
dépose au service concerne si c'est un technicien le dossier est
transmis chez le Directeur Technique si non chez l'Administratif si le candidat
est retenu, il lui écrit une lettre de début de stage et six mois
après en cas de satisfaction le chef du personnel prépare un
contrat que le candidat contre signe avec le superviseur.
- L e chef du personnel prend la paie des journaliers.
II.5.2. Diagramme des flux
Superviseur
Comptabilité
Ressources humaines
Travailleurs
Journaliers
Directeur Techniques
Manager
Rapport agents rapport paie
Argent a payé aux journaliers
Note de service et grille évaluation rapport
agents
Argent
II.5.3 Graphe des Flux
Enregistrement
Des listes de présences
Dossier
Contrat
Liste personnel
Début du jour
Fin du mois
Argent
Grille de salaire
Lettre administrat
Liste d'évaluation
II.5.4. Présentation Du Model Conceptuel De
Traitement
Dossier
Dossier refusé
Dossier accepté
Candidat engagé
Liste personnel
Début du jour
ET
Liste de présence
Fin du mois
Lettre administrative
Prime + lettre d'encouragement
Fin du mois
O.P1
|
Analyse et transmission
|
NON
|
OUI
|
O.P2
|
Conclusion et signature contrat
|
Toujours
|
O.P3
|
Elaboration liste définitifs agents
|
Toujours
|
O.P5
|
Elaboration grille d'évaluation
|
Faible
|
OK
|
O.P4
|
Enregistrement
Listes de présence
|
Chaque jour
|
Argent
II.6.Chaine Fonctionnelle
Période
|
Nature
|
Ressources Humains
|
Superviseur
|
Comptabilité
|
Directeur Technique
|
Travailleur
Candidat
|
Dossier
Lettre vague
Dossier accepté
Candidat engagé
Copie liste de travaille
Prestation
Liste de personnel
Date
ET
Manuel
Manuel
Automatique
|
OP.1
Réception et analyse des dossiers
OKNON
OP.2
Conclusion et signature du contratToujours
OP.3Elaboration
Liste de présenceToujours
OP.4
Enregistrement travailleurs sur la machineToujours
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
II.6.2. Fiches descriptives de procédure
fonctionnelles.
Fiches descriptives de procédure
fonctionnelles
|
EVENEMENTS
Entrées : Dossier
Sorties : Lettre vague ou dossier
|
Environnement.
Poste de travail : Département de ressources
Humaines.
Type de traitement : Manuel
Période d'activité : Lundi - Vendredi
Volume (moyen) : 4 dossiers
Durée d'exécution : 20 minutes
|
Résumé du traitement
Chaque candidat apporte son dossier au bureau du chef du
personnel. Les reçoit analyse et lui réserve une
réponse ; Au cas où le dossier et unitive une réponse
vague lui est réservée ; Si c'est utile, le dossier est
accepté et gardé.
|
Fiches descriptives de procédure
fonctionnelles
|
EVENEMENTS
Entrées : Dossier accepté
Sorties : Candidat engagé
|
Environnement.
Poste de travail : Département de ressources
Humaines.
Type de traitement : Manuel
Période d'activité : Lundi - Vendredi
Volume (moyen) : 1 dossier
Durée d'exécution : 25 minutes
|
Résumé du traitement
Le candidat étant déjà retenu devra
procéder à la signature de contrat de travail.
|
Fiches descriptives de procédure
fonctionnelles
|
EVENEMENTS
Entrées : Candidat engagé
Sorties : Liste de personnel
|
Environnement.
Poste de travail : Département de ressources
Humaines.
Type de traitement : Automatique
Période d'activité : Lundi - Samedi
Volume (moyen) : 1 liste
Durée d'exécution : 20 minutes
|
Résumé du traitement
Le charger du Personnel imprime une liste des travailleurs
où chaque agent signe la présence
|
Fiches descriptives de procédure
fonctionnelles
|
EVENEMENTS
Entrées : Candida engagé
Sorties : liste de personnel
|
Environnement.
Poste de travail : Département de ressources
Humaines.
Type de traitement : Automatique
Période d'activité : Lundi - Samedi
Volume (moyen) : 1liste
Durée d'exécution : 30 minutes
|
Résumé du traitement
Le charger du Personnel enregistre sur son ordinateur la liste
des travailleurs et les heures d'arrivée de chaque jour.
|
II.7. Model Opérationnel De Traitement
Menu Bienvenue
Menu Principal
Menu Bienvenue
Mot de passe
Mot de passe
Zone auteur
Menu Sortie
Note de Service
Fiche de Presence
Grille d'evaluation
Lettre de mis à pied
Menu Entrées
Periode
Travailleur
Note de service
Marquer
Evaluer
Affecter travailleur
Poste
Sanctionner
Sanctions
Affecter Candidat
Candidat
Immobilisation
CHAPITRE TROIS :
REALISATION DU LOGICIEL DE GESTION DE RESSOURCES
HUMAINES.
III. SYSTEME DE GESTION DE BASES DES DONNES.
III.1.1. Définition :
Un système de gestion de bases des données
(SGBD) est un ensemble des logiciels qui manipule le contenu des bases des
données.
Il permet d'organiser, contrôler, consulter et modifier
la base des données. Il existe plusieurs sortes des systèmes de
gestion de bases des données sur ce nous prouvons citer : Oracle,
FoxPro, MySQL, Informix, D BASE. MS ACCES etc.
III.1.2. Choix du système de gestion de bases des
données
Vu l'indisponibilité de la plupart des
systèmes de gestion de bases des données ci-haut cité,
nous allons travailler avec Access de la société MICROSOFT.
III.2. La base des données
Comme définit précédemment, la base des
données est l'ensemble (cohérent, intégré,
partagé) des informations nécessaires au fonctionnement de
l'entreprises, ces informations sont gérer par un logiciel
appelé (SGBD).
Pour ce qui concerne le type des bases des données
nous vous prierons de vous référer au premier chapitre du
présent travail. Personnellement avons utilisés le type de base
des données relationnel.
II.2.1. Tables
Est un espace mémoire disponible à la
conservation de la base des données notre base des données.
III.2.2 Requête
Est le moyen le plus simple qui nous permet de questionner
notre base des données et d'obtenir de résultat
escompté.
III.2.3. Formulaires.
Objet de la base des données Access, sur lequel on
peut placer le contrôle permettant d'exécuter des actions,
d'entrer, d'afficher et de modifier des données dans de champ.
Dans le cache de ce travail, nous avons crée un
formulaire pour chaque table. Ex : Formulaire recensement
employés.
III.2.4. Etat
Appelé aussi rapport. L'état est une page
imprimable, qui permet d'afficher ces différents résultats sur
les enregistrements. Ici dessous nous vous présentons un exemple de
l'Etat :(fiche de Présence)
III.3 Choix du Langage de Programmation
Quant au choix du langage nous avons
préféré travailler avec Visual Basic parce qu'il est un
des langages les plus utilisés pour l'écriture d'applications
commerciales.
III.3.1 Historique
VB 1.0 a vu le jour en
1991. Le
principe de connexion d'un langage de programmation avec une interface
utilisateur graphique est dérivé d'un prototype appelé
Tripod, développé par
Alan Cooper. Microsoft
avait alors contacté Cooper et ses associés pour
développer un Shell programmable pour
Windows 3.0, sous le nom
de code Ruby (aucun lien avec le
langage de
programmation Ruby).
Tripod ne contenait aucun langage de programmation et Ruby
contenait uniquement un processeur de commandes rudimentaire suffisant pour
tenir le rôle d'un Shell Windows. Finalement,
Microsoft décida d'utiliser le simple Program
Manager comme Shell pour
Windows 3.0, à la
place de Ruby, et de combiner Ruby avec le langage
Basic pour créer
Visual Basic.
Ruby a fourni la partie « Visual » de
Visual basic - L'éditeur de fenêtres et les outils
d'édition - associé avec la possibilité de charger des
librairies dynamiques, contenant des contrôles additionnels (qui
s'appelaient alors des « gizmos »). Les extensions
« gizmos » de Ruby devinrent par la suite l'interface
VBX.
§ Le projet `Thunder' est
lancé
§ Visual Basic 1.0 (
mai
1991) pour
Windows est présenté au Comdex/Windows à Atlanta,
Géorgie.
§ Visual Basic 1.0 pour
DOS est
présenté en
septembre
1992. Le
langage n'était pas totalement compatible avec Visual Basic pour
Windows, car il était en fait la nouvelle version des compilateurs
Microsoft BASIC pour DOS,
Quick
Basic et BASIC Professional Development System.
L'interface était en mode texte et utilisait le jeu de
caractères
ASCII
étendu pour simuler une interface graphique.
§ Visual Basic 2.0 est présenté en
novembre
1992.
L'environnement de développement était plus facile à
utiliser et la vitesse avait été améliorée. Un fait
marquant était que les formulaires étaient devenus des objets
instanciables, posant ainsi le concept de base de modules de classe, qui
devinrent plus tard disponibles dans VB4.
§ Visual Basic 3.0 fut présenté pendant
l'été
1993,
disponibles en édition Standard ou Professionnelle. VB3 intégrait
la version 1.1 du
moteur de
base de données
Microsoft Jet, qui
pouvait lire et écrire les bases de données Jet (ou Access)
1.x.
§ Visual Basic 4 (
août
1995) a
été la première version qui pouvait générer
des programmes Windows 16 et/ou 32 bits. Cette version introduisait
également la possibilité d'écrire des classes sans
interface utilisateur. Des incompatibilités entre les différentes
versions de VB4 causèrent des problèmes d'installation et de
fonctionnement.
§ La version 5.0 de Visual Basic, sortie en
1997 ne
fonctionnait plus qu'avec les versions 32 bits de Windows. Les
programmeurs préférant développer des applications 16-bits
pouvaient importer les programmes de VB4 vers VB5, et inversement. Visual Basic
5.0 a aussi introduit la possibilité de créer des contrôles
utilisateurs personnalisés ainsi que la possibilité de
générer des exécutables Windows natifs, ce qui
améliorait la vitesse d'exécution des programmes effectuant
beaucoup de calculs.
§ Visual Basic 6.0 (mi-
1998) a
apporté de nombreuses améliorations dans différents
domaines, notamment la possibilité de créer des applications
Web-based.
CONCLUSION GENERALE
La gestion du personnel est une tâche délicate dans
l'entreprise compte tenu de l'importance du facteur humain dans une
société.
Dans ce travail, hormis l'introduction et la conclusion, avons
commencé par définir les principaux concepts ayant trait à
notre sujet d'étude. Le chapitre suivant était consacré
à une analyse approfondie, technique et détaillée de
l'entreprise, cette analyse était très capital pour nous car,
elle nous a permis de pouvoir abordé le chapitre trois et le dernier
avec toute force. Le troisième chapitre était essentiellement
consacré à la réalisation de programme de gestion de
l'entreprise.
A notre humble avis, la gestion du personnel au sein de
l'électricité du Congo pourra bien marcher avec le nouvel outil
de travail mis à leur disposition.
Nous prierons aussi aux responsables de l'EDC planifié
des formations professionnelles chaque année pour permettre aux agents
particulièrement au responsable de ressources humaines d'être
apte aux exigences de cette tache.
BIBLIOGRAPHIE
I.OUVRAGES
1. PINTO et GRAWITZ :
Méthodes des sciences sociales : Paris, 1971
2. Dictionnaire universelle
II. NOTES DE COURS
1. DI GALLO Frédéric, cours de
Génie Logiciel, inédit, cycle probatoire, CNAM BORDEAUX,
1999-2000, P. 24, tiré du site
www.développer.com.
2. Nebil Ben BESSIB et Khaled RAOUADI, Cours
d'informatique général : Tunis 2007
3. Paul Mukanya. Cours de Méthode
d'analyse informatique ISC/TPA 2010-2011.inédit.
4. Pascal Mulumba T. Cours de Méthodes
d'analyse informatique ISC/TPA 2009-2010. Inédit
5. Jacob Mbombo. Cours de Technique de Banque de
Données. ISC/TPA, 2009-2010, Inédit.
6. Eugene Diiwula. Cours de Méthodes de
Recherche Scientifique G2,ISC/TPA, 2009-2010.Inédit.
IV. SITES INTERNET
1. www.Google.fr
2. www.edc-rdc.com
3. www.commentcamarche.net
4. www.wipikedia.com
5. www.développer.com
6. www.Dictofr.com
TABLE DE MATIERE
Page
INTRODUCTION
GENERALE.......................................................................1
PROBLEMATIQUE.....................................................................................2
HYPOTHESE.............................................................................................3
CHOIX ET INTERET DU
SUJET.....................................................................3
SUBDIVISION DU
TRAVAIL........................................................................4
DELIMITATION DU
TRAVAIL......................................................................5
SIGLES ET
ABREVIATIONS.........................................................................6
CHAPITRE PREMIER DEFINITION DES CONCEPTS ET L'ETUDE
PREALABLE.............................................................................................6
BREF
HISTORIQUE....................................................................................7
SORTES
D'INFORMATIQUE.........................................................................10
ORDINATEUR............................................................................................11
TYPES
D'ORDINATEURS.............................................................................14
SYSTEMES
D'EXPLOITATIONS....................................................................................15
ROLE D'UN SYSTEME
D'EXPLOITATION.......................................................16
LOGICIEL..................................................................................................17
GESTION..................................................................................................18
BASES DES
DONNEES.................................................................................20
PROGRAMMATION.....................................................................................21
L'ETUDE
PREALABLE.................................................................................22
MISSION DE
L'EDC.....................................................................................23
ORGANIGRAMME......................................................................................25
ETUDE
D'OPPORTUNITE.............................................................................26
METHODE
PERT.........................................................................................27
TABLEAU DE CALCUL DE
MARGE...............................................................30
DIAGRAMME DE
GANT...............................................................................31
RECEUIL ET
DIAGNOSTIC............................................................
..............32
SCHEMA DE CIRCULATION
D'INFORMATION................................................33
DIAGNOSTIC..............................................................................................37
NOUVEAU
SCHEMA....................................................................................39
CAHIER DE
CHARGE...................................................................................43
CHAPITRE DEUX ANALYSE DETAILLE ET
TECHIQUE.......................................45
REGLES DE
GESTION...................................................................................47
DICTIONNAIRE DES
DONNEES......................................................................47
DEPENDANCE
FONCTIONNEL.......................................................................49
REALISATION DU
MCD.................................................................................51
ETAT
TECHNOLOGIQUE...............................................................................52
MODEL PHYSIQUE DES
DONNEES..................................................................53
DIAGRAMME DE
FLUX.................................................................................54
PRESENTATION DU
MCT...............................................................................55
CHAINE
FONCTIONNEL.................................................................................56
FICHE DESCRIPTIVE DES
PROCEDURES...........................................................59
MODEL OPERATIONNEL DE
TRAITEMENT.......................................................59
CHAPITRE TROIS REALISATION DU LOGICIEL DE
G.R.H....................................60
TABLES.......................................................................................................61
ETAT...........................................................................................................62
CONCLUSION..................................................................................................64
BIBLIOGRAPHIE...............................................................................................65
TABLE DE
MATIIERES.......................................................................................66
|