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Guide d'Entretien
Nom de l'ONG :
Nom de la personne enquêtée: Responsabilité
au sein de l'ONG :
Consigne initiale
Qu'évoque pour vous l'intégration de
l'environnement ? Guide thématique
Gestion du cycle de projet (description des
pratiques)
· Comment tenez-vous compte de l'environnement ? :
-Lors de l'identification/de la formulation des projets ?
(Étude de faisabilité, EIE, autre outil)
-Lors de la mise en oeuvre ? (bonnes pratiques)
Groupes stratégiques (bailleurs de
fonds-bénéficiaires-partenaires)
· Quelle est, d'après vous, l'importance de la prise
en compte de l'environnement pour vos bailleurs ?
· Vous encouragent-ils à une meilleure prise en
compte ? Comment cela se traduit-il ?
· Comment répondez-vous à cette demande ?
· Comment réagissent vos
partenaires/bénéficiaires à cette thématique ?
Relation activités/fonctionnement de l'ONG et
environnement
· Quelles seraient les implications d'une plus grande prise
en compte de l'environnement dans votre travail ?
· Est-ce que cela serait nécessaire ?
Sensibilisation/Information de l'ONG et des
partenaires/bénéficiaires
· Que représente pour vous l'environnement/la
biodiversité ? Quelle place donnez-vous à sa protection ? (par
rapport aux objectifs de l'ONG, aux enjeux de développement, de
développement durable ?)
Pauvreté et environnement
· Est-il, d'après vous, nécessaire d'allier
protection de l'environnement et réduction de la pauvreté ?
· Pensez-vous que les objectifs environnementaux pourraient
être contradictoires avec ceux du développement dans le cadre de
vos activités ?
Fiche d'appréciation du projet Sud
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Nom de l'ONG
Titre du projet
2. Appréciation du projet
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Accepte
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Accepte
partiellement
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Refuse
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Score
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Budget demandé (CO+CG)
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Budget refusé (CO + CG)
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Budget proposé (CO+CG)
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3. Services et personnes ayant participé
à l'appréciation
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Services
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Nom des participants
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Gestionnaire (s) (D3.1)
Contrôleur financier (D3.4)
Expert(s) externe(s)
Expert(s) SPF Affaires Etrangères Attachés
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4. Documents utilisés pour l'examen du
projet
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Documents
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Remarques
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Rapports de mission
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Rapports d'évaluation établis par l'ONG et
rapports externes
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Dossiers antérieurs introduits à D3.1 dont les
fiches d'appréciation et les PV des dialogues politiques
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Autres :
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Pays Date Personnes Constatations
1. COHERENCE (Mise en corrélation des
différents résultats de l'objectif spécifique poursuivi
par l'ONG. Cette corrélation est basée sur des choix et des
priorités formulés de manière explicite)
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Cohérence avec le cadre
stratégique
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1. Le projet s'inscrit-il dans le cadre stratégique de
l'ONG, en ce qui concerne :
· la localisation géographique ?
· le secteur et les thématiques?
· le choix des partenaires et des groupes-cibles?
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Concentration sectorielle, thématique et
géographique
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2. Le projet présente-t-il une concentration
géographique (un seul pays), thématique (un seul thème) et
sectorielle (un seul secteur) ?
3. En cas d'introduction de projets antérieurs,
existe-t-il complémentarité et cohérence entre ceux-ci et
le présent projet ?
4. Le projet s'inscrit-il dans le cadre de la
spécialisation de l'ONG, basée sur ses points forts, sa
spécificité et ses avantages comparatifs ?
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
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2. PERTINENCE POUR LE DEVELOPPEMENT (Mesure selon
laquelle l'objectif de l'action de développement correspond aux attentes
des groupes-cibles, aux priorités globales, aux politiques des bailleurs
de fonds)
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L'analyse du contexte et les politiques
nationales
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5. Le projet est-il basé sur une analyse approfondie
(juridique, politique, socio-économique et culturelle) et pertinente du
contexte local?
6. Les données nécessaires à la
vérification de l'atteinte des résultats sont-elles
différenciées hommes/femmes ?
7. L'ONG analyse-t-elle les politiques nationales et
justifie-t-elle son positionnement à leur égard ?
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Correspondance avec les attentes des groupes
cibles
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8. L'objectif spécifique et les résultats attendus
répondent-ils aux besoins et aux priorités
· des partenaires ?
· des bénéficiaires, hommes et femmes ?
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Correspondance avec les objectifs de la
coopération
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9. L'ONG respecte-t-elle les objectifs de la coopération
internationale belge*
· le développement humain durable
· la réduction de la pauvreté
· la promotion de la démocratie, de l'Etat de droit,
de la bonne gouvernance et des droits de l'homme
(*voir article 3 de la Loi coordonnée du 25 mai 1999)
10. L'ONG prend-elle en compte les notes de politique de la DGCD
?
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Correspondance avec les thèmes
transversaux
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L'ONG prend-elle systématiquement en compte et
intègre-t-elle transversalement dans son projet*:
11. · le genre : le renforcement de
l'égalité homme-femme et l'autonomisation des femmes, et/ou
la réduction des discriminations et des inégalités
fondées sur le sexe ?
12. · l'environnement :
l'amélioration de l'environnement physique ou biologique ou
l'accroissement de l'attention pour la problématique de
l'environnement ?
13. · les droits de l'enfant ?
14. · l'économie sociale,
c'est-à-dire le développement d'activités
économiques avec une finalité de services à la
collectivité ou avec un intérêt solidaire et le
travail décent ?
· l'impact du VIH/SIDA ?
15.
(*voir article 8 de la Loi coordonnée du 25 mai 1999,
l'Accord du 4 mai 2009 Ministre-ONG et les marqueurs du CAD de l'OCDE)
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
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3. DURABILITE (Continuation des bénéfices
résultant d'une action de développement après la fin de
l'intervention. Probabilité d'obtenir des bénéfices pour
les femmes et pour les hommes sur le long terme. Situation par laquelle les
avantages nets sont susceptibles de résister aux risques)
|
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Impact
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16. L`ONG a-t-elle produit une réflexion sur l'impact du
projet, tant positif que négatif ?
17. Le projet aura-t-il un effet positif pour les
bénéficiaires, femmes et hommes et groupes vulnérables,
sur le long terme au plan socio-économique ?
18. Le projet tend-il vers un ancrage sociétal, par la
collaboration avec d'autres acteurs, le renforcement d'un réseau de
volontaires, etc. ?
19. Le projet cherche-t-il à atteindre un effet
multiplicateur ?
20. Le projet tient-il compte de son impact sur
l'environnement?
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Renforcement des capacités
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21. L'ONG accorde-t-elle une attention au renforcement des
capacités de la société civile ?
22. L'ONG s'implique-t-elle dans le développement des
capacités de ses partenaires, tant au niveau des ressources humaines,
qu'au niveau organisationnel et institutionnel*?
23. L'ONG a-t-elle fait, en concertation avec ses partenaires,
une analyse de leurs capacités? L'ONG
a-t-elle développé une stratégie pour renforcer les
capacités insuffisantes ? L'objectif du renforcement des
capacités est-il clair ainsi que la manière dont on veut
l'atteindre ?
24. Il y a-t-il une concertation, avec d'autres bailleurs de
fonds du partenaire, dans le domaine du renforcement des capacités ?
25. L'ONG possède-t-elle l'expertise requise pour du
renforcement des capacités?
26. Pour éviter toute forme de substitution, les
interventions de fourniture directe de biens et services par l'ONG belge
sont-elles limitées aux 4 situations suivantes : 1. groupes-cibles
faibles et absence d'autres organisations d'appui, 2.
expériences-pilotes avec rôle novateur, 3. pays en conflit ou
fragile, 4. situations d'urgence ?
(*cfr Evaluation des partenariats des ONG orientés vers
le renforcement des capacités)
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Stratégie de désengagement
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L'ONG a-t-elle développé, dès
l'élaboration du projet, une stratégie de désengagement
qui assure la pérennité des résultats:
27. · sur le plan financier? Le projet assure-t-il
qu'à la fin du financement, le partenaire du Sud aura d'autres
sources de financement en suffisance et qu'il aura également fait appel
aux moyens localement disponibles. L'ONG au Nord assure-t-elle également
sa propre autonomie financière?
28. · sur le plan institutionnel ? Le projet
veille-t-il à l'autonomie institutionnelle de ses partenaires
ou à leur intégration dans des structures locales ou
nationales ?
29. · sur le plan technique? Le projet
prévoit-il que les partenaires s'approprient les technologies et
les nouvelles techniques ?
30. · sur le plan des ressources humaines ? Le
renforcement des capacités est-il suffisamment orienté vers la
professionnalisation et l'autonomisation du personnel local ?
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
4. APPROCHE METHODOLOGIQUE
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Identification du projet
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31. L'identification du projet s'est-elle basée sur:
· les caractéristiques socio-économiques et
culturelles ainsi que les intérêts et les attentes des
bénéficiaires, femmes et hommes et groupes vulnérables?
· les problèmes et les objectifs (basé sur un
arbre des problèmes et un arbre des objectifs)?
· un choix de stratégie qui offre la meilleure
garantie pour atteindre l'objectif du projet?
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Approche logique en fonction d'une gestion axée
sur les résultats
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32. L'ONG a-t-elle développée une
méthodologie axée sur les résultats avec une description
claire des résultats à atteindre ainsi que de la manière
dont ils seront atteints?
33. L'objectif spécifique est-ils formulé de
façon précise, synthétique et concrète?
34. La distinction et les liens entre objectif
spécifique, résultats, activités, moyens et budget
sont-ils correctement établis?
35. L'ONG a-t-elle développé un cadre logique qui
comprend:
· une description des indicateurs qui sont axés sur
les résultats, « SMART » et mesurables qualitativement et/ou
quantitativement ?
· la définition d'indicateurs spécifiques
pour le genre et l'environnement ?
· une valeur initiale de référence (baseline)
pour chaque indicateur ainsi qu'une valeur à atteindre (target) ?
· une analyse des risques et la réponse à
apporter à ceux-ci dans le cadre du projet ?
36. Les acteurs du Sud (acteurs locaux, partenaires et
bénéficiaires, femmes et hommes et groupes
vulnérables) participent-ils aux différentes
phases du cycle du projet ?
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Monitoring et évaluation
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37. L'ONG utilise-t-elle, sur base du cadre logique, un
instrument de monitoring et de rapportage basé sur des indicateurs
objectivement vérifiables? Cet instrument permet-il à l'ONG de
suivre correctement les résultats de son projet, y compris l'aspect
genre ?
38. Des évaluations sont-elles prévues pendant et
à la fin du projet? La portée et la planification des
évaluations pendant la durée du projet sont-elles
adéquates?
39. Les leçons apprises de projets ou programmes
précédents ont-elles été
intégrées?
40. L'ONG a-t-elle tenu compte des recommandations
précédentes faites par la DGCD?
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Remarques :
5. EFFICACITE (Mesure selon laquelle l'objectif de
l'action de développement sera atteint, compte tenu de son importance
relative.)
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Lien entre résultats et objectif
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41. L'objectif spécifique est-il réaliste ?
42. L'atteinte des résultats permettra-t-elle que
l'objectif spécifique fixé soit atteint au terme du projet ?
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Hypothèses et risques
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43. Les hypothèses et les risques, qui peuvent perturber
l'atteinte des résultats et leur durabilité, ont-ils
été correctement identifiés et analysés ?
44. Des mesures ont-elles été envisagées
pour prévenir ces risques ou éventuellement en réduire
l'impact ?
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
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6. EFFICIENCE (Mesure selon laquelle les ressources
(fonds, expertise, temps, etc.) seront convertis en résultats de
façon économique.)
Description des activités et des
moyens
45. Les moyens principaux nécessaires à l'atteinte
des résultats sont-ils suffisamment décrits ?
46. Les moyens matériels, humains et financiers
nécessaires à l'atteinte des résultats prévus
sont-ils adaptés?
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47. Is er een evenwicht tussen de in het project voorziene
operationele kosten en het aantal
eindbegunstigden? Indien niet, wordt dit gerechtvaardigd door de
aard van het project?
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Coûts de gestion
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48. Le rapport entre coûts opérationnels et
coûts de gestion respecte-t-il la norme (taux normal) ?
49. La ventilation entre coûts opérationnels et
coûts de gestion est-elle correcte ?
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
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7. PARTENARIAT
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Stratégie partenariale
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50. Le projet expose-t-il la raison du choix du (des)
partenaire(s) par l'ONG?
51. Le partenariat s'établit-il sur base d'une analyse
conjointe de la situation et du contexte local qui débouche sur une
formulation commune des résultats à atteindre ?
52. La répartition des tâches contribue-t-elle
à la responsabilisation et à l'autonomie du (des) partenaire(s)
?
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Valeur ajoutée de l'ONG
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53. Dans l'atteinte de l'objectif spécifique, l'ONG
apporte-t-elle une valeur ajoutée (autre que financière) à
son (ses) partenaire(s) ?
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Transparence et redevabilité
(accountability)
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54. Les conventions de partenariat entre l'ONG et les
partenaires respectent-elles les dispositions de l'article 7 de l'AM du
30/5/2007 ?
55. L'ONG instaure-t-elle des mécanismes visant à
rendre la relation avec son (ses) partenaire(s) du Sud
équilibrées et réciproques ?
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Ressources humaines
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56. Au vu du projet et de la (des) convention(s) de
partenariat, les compétences humaines disponibles sontelles suffisantes
pour assurer l'atteinte des résultats ?
57. L'envoi de coopérants est-il justifié et
défini par une réflexion, avec le partenaire et les autres
|
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intervenants, sur le renforcement des capacités du
partenaire et sur l'équilibre des relations de partenariat ?
58. L'envoi de coopérants est-il indispensable à
l'obtention des résultats visés ? Les profils recherchés
ne peuvent-ils être trouvés sur le marché local de l'emploi
?
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
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8. SYNERGIE/COMPLEMENTARITE
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Synergie et complémentarité dans le
projet
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59. Y a-t-il complémentarité entre le projet et
les interventions d'autres acteurs de développement (ONG belges,
européennes, société civile locale, pouvoirs publics
locaux et nationaux, secteur privé, bailleurs de fonds bilatéraux
et multilatéraux, mouvements sociaux, etc.)?
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Collaboration dans le Sud
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60. Le projet identifie-t-il les autres acteurs
impliqués dans le même secteur/la même thématique/ la
même zone d'intervention ?
61. Le projet prévoit-il d'améliorer la
coordination, la complémentarité, le partage des tâches et
responsabilités et les synergies avec les autres acteurs de
développement présents dans les mêmes
secteurs/régions/pays et avec les pouvoirs publics ?
62. Le projet fait-il l'analyse du contexte local, de
manière coordonnée avec d'autres ONG présentes dans un
même pays ?
63. Le projet prévoit-il un dialogue sur l'harmonisation
des procédures avec tous les partenaires (bailleurs de fonds) de
l'organisation locale avec laquelle elle travaille ?
64. Si le projet prévoit le financement de coordinations
locales (bureaux de représentation), est-il prévu une
coordination avec d'autres ONG ou des réseaux internationaux
implantés localement?
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Collaboration dans le Nord
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65. Le projet établit-il une collaboration, une
complémentarité, une synergie avec d'autres acteurs :
· ONG belges (une collaboration directe ou via les coupoles
11.11.11/CNCD, les fédérations Acodev/Coprogram)
· acteurs de la société civile belge
(mouvement syndical, mouvement de femmes, mutuelles, média, ...)
· les pouvoirs publics (e.a. DGCD, BTC)
66. La collaboration est-elle bien définie et
formalisée ? Est-elle clairement exposée dans le dossier et y
a-t-il
|
Remarques :
9. CAPACITE ADMINISTRATIVE DE L'ONG
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Capacité de gestion de l'ONG
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67. L'ONG dispose-t-elle de personnel suffisant - au
siège ou au bureau de coordination - pour assurer un suivi qualitatif du
projet ? (secrétariat, comptabilité, gestion du projet,
technique)
68. L'ONG a-t-elle la capacité de gérer du
personnel expatrié ? (descriptions de poste, procédure d'appel et
de sélection des candidats, suivi, encadrement, ...)
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Qualité du dossier
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69. Les informations sont-elles présentées de
façon logique, claire et concise ?
70. La mise en page est elle claire ? Table des matières,
pagination, liste des abréviations ...
71. Les tableaux budgétaires sont-ils corrects?
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Points forts
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Points faibles
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Remarques :
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10. APPRECIATION FINANCIERE
72. Dans le dernier rapport financier, y-a-t-il concordance
entre le modèle 1 et le compte des résultats de
l'ONG?
73. Lors des derniers contrôles, l'ONG a-t-elle
reçu des remarques du contrôleur financier ? Si oui, lesquelles,
et le cas échéant, l'ONG a-t-elle tenu compte de ces remarques
?
74. Quelles sont les remarques du rapport du commissaire pour le
dernier compte annuel ?
75. Quel est le pourcentage des subsides DGCD par rapport aux
autres sources de financement (public et/ou privé) ?
76. Est-ce qu'il y a des indications qui font apparaître
que l'ONG n'est pas en mesure de constituer l'apport propre nécessaire
au financement du projet introduit ?
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Remarques :
RESUME
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Critères
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Scores
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Acceptation intégrale
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Cohérence
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Pertinence pour le développement
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Durabilité
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Acceptation partielle
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Approche méthodologique
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Efficacité
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Efficience
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Refus
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Partenariat
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Synergie/complémentarité
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Capacité administrative de l'ONG
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AVIS GENERAL
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AVIS FINAL
(Motivez votre conclusion. Indiquez les
critères que vous avez jugés les plus importants)
PROPOSITION
Fait à Bruxelles le
Nom et signature du gestionnaire Nom et signature de l'expert
D3.1 Service Relations avec les ONG
Schéma de présentation d'un
programme
Table des matières
Schéma de présentation d'un programme 1
Informations préliminaires 3
Partie I : SYNTHESE 5
1. Présentation de l'ONG 5
1.2 Présentation du programme 5
1.2.1 Généralités 5
1.2.2 Cadre logique du programme 5
1.2.3. Thèmes transversaux 6
1.2.4 Budget du programme 6
1.2.5 Coûts de gestion 8
1.2.6. Aperçu des coopérants 9
2. Volet Nord 10
2.1 Objectif spécifique n (à répéter
par objectif spécifique) 10
2.1.1 Fiche signalétique de l'objectif 10
2.1.2 Cadre logique 10
3. Volet Sud 12
3.1 Objectif spécifique n (à répéter
pour chaque objectif spécifique) 12
3.1.1 Fiche signalétique de l'objectif spécifique
12
3.1.2 Cadre logique 12
3.1.3 Budget 14
3.1.4 Chronogramme (trimestriel) 14
Partie II : DESCRIPTION DU PROGRAMME 15
Partie III : ANNEXES 16
Annexes obligatoires: 16
1. Cadre stratégique 16
2. Conventions(s) de collaboration 16
3. Convention(s) de partenariat 16
Informations préliminaires
Le schéma de présentation proposé
ci-après concerne les programmes qui seront introduits dans le cadre de
l'Arrêté Royal du 24/09/2006 relatif à la subvention des
programmes et projets présentés par les ONG agréées
< programme ».
Contenu
Le programme doit permettre une appréciation selon les
critères suivants :
· cohérence
· pertinence pour le développement
· durabilité
· méthodologie
· efficacité
· efficience
· partenariat
· synergie en complémentarité
Pour l'analyse de ces critères, l'Administration se base
sur les éléments suivants :
· Les critères tels qu'ils sont définis par
le CAD de l'OCDE.
· Les engagements pris dans l'accord entre le Ministre et
le secteur ONG du 4 mai 2009, et les trois notes de consensus qui les
accompagnent, conformément à leur calendrier
d'exécution
· Les notes politiques et les notes stratégiques
de la DGCD, plus particulièrement < Le droit à la santé
et aux soins de santé », < Santé et droits sexuels et
reproductifs », < Lutte contre le VIH/SIDA », < Soins de
santé primaires », < Infrastructures de base », <
Egalité des droits et des chances entre les femmes et les hommes »,
< Agriculture et sécurité alimentaire », <
Environnement », < Education et formation », < Economie sociale
», < Consolidation de la paix» et < Droits de l'enfant
»
Lors de l'appréciation du programme, une attention
particulière sera portée à l'application d'une
méthodologie correcte et à l'utilisation systématique de
la gestion axée sur les résultats.
Conformément à l'Arrêté Royal du
24/09/2006, les programmes doivent être préparés de
manière participative (arbres des problèmes, arbres des
objectifs), et mis en oeuvre, suivis et évalués selon une
approche logique orientée vers les résultats. Cette obligation
légale n'exige pas seulement la présentation formelle d'un cadre
logique mais également l'utilisation par l'ONG de ce cadre logique en
tant que véritable outil de gestion en vue d'atteindre les
résultats escomptés. Les ONG doivent maintenant maîtriser
la logique d'intervention présentée ainsi que la cohérence
de la chaîne des résultats (objectif global, objectif
spécifique, résultats, activités, moyens humains et
financiers).
Les indicateurs quantitatifs et qualitatifs objectivement
vérifiables doivent être formulés de manière SMART.
Chaque indicateur doit avoir une valeur initiale (baseline) et une valeur
à atteindre (target).
Une analyse approfondie des risques doit avoir été
faite, l'ONG devant également expliquer la manière dont elle
compte y répondre.
L'objectif spécifique doit être spécifique,
c'est-à-dire qu'il doit pouvoir être atteint au cours du programme
et qu'il doit être formulé de manière précise,
concrète et synthétique.
L'Administration s'attachera avec plus de rigueur et un niveau
d'exigence plus élevé que par le passé à
vérifier la qualité de cette approche logique orientée
vers les résultats.
Une attention particulière sera portée aux
thèmes transversaux, et plus particulièrement au genre et
à l'environnement:
· L'égalité des sexes, l'autonomisation et
le renforcement des capacités des femmes (empowerment) constituent une
des clefs de voûte de la réduction de la pauvreté et des
inégalités, d'une croissance durable et équitable, ainsi
que de l'atteinte de tous les Objectifs de Développement du
Millénaire. Promouvoir l'égalité hommes-femmes constitue
un moyen d'accroître l'efficacité globale de l'aide et d'avoir un
impact durable sur les conditions de vie des hommes, des femmes et des
enfants.
· La dégradation de l'environnement influe en
premier lieu sur les moyens de subsistance et la santé des pauvres,
aggravant encore leur vulnérabilité. Les revenus de la plupart
des pauvres, en particulier en milieu rural, dépendent largement des
ressources naturelles. La protection de l'environnement doit donc faire partie
intégrante du processus de développement et ne peut être
considérée isolément. Dès lors, le programme
présentera une analyse des effets ou de la pression qu'il produit sur le
milieu et sur l'environnement et/ou des améliorations qu'il vise
à produire.
Nombre d'objectifs spécifiques
Conformément aux principes d'appropriation et
d'harmonisation, il est important de s'aligner autant que possible sur les
stratégies de développement des partenaires du Sud ainsi que sur
le contexte local du pays dans lequel l'ONG et ses partenaires sont actifs.
Afin que cela soit possible pour chaque objectif spécifique,
l'Administration insiste pour que, en ce qui concerne le volet Sud, il y ait
seulement 1 pays par objectif
spécifique, sans pour autant perdre de vue l'approche
programmatique et la cohérence. Ceci permet non seulement une analyse
contextuelle plus spécifique mais facilite également la poursuite
de synergies et de complémentarités ainsi que la gestion et le
suivi du programme.
Etant donné l'importance de la continuité avec
le précédent programme à l'intérieur du même
cadre stratégique, il revient à chaque ONG de déterminer
dans quelle mesure elle peut suivre cette recommandation.
Structure
Outre les annexes, le dossier d'un programme se compose de deux
parties:
1. PARTIE I: la première partie se compose d'une
synthèse avec un canevas de présentation
à respecter. Elle a pour objectif de présenter brièvement
le programme et de pouvoir retrouver rapidement certaines informations. Si
cette partie n'est pas complétée correctement selon les
indications données, le programme n'est pas recevable.
2. PARTIE II: la deuxième partie comprend la
description du programme. L'ONG a la liberté de la
présenter de la façon qui lui paraît la plus pertinente et
qui correspond le mieux à la spécificité du programme.
Exigences quant à la forme:
Le programme doit être présenté de
manière synthétique. La partie II et les annexes (à
l'exception des annexes obligatoires que sont le cadre stratégique, les
conventions de collaboration et les conventions de partenariat, voir partie
III), ne peuvent ensemble dépasser 150 pages.
Afin de faciliter et d'affiner l'appréciation du
programme, la lisibilité du document doit être optimale. C'est
pourquoi, il est important d'insister sur la nécessité de pouvoir
retrouver facilement l'information recherchée, notamment grâce
à une bonne mise en page, à une table des matières
détaillée et paginée, à une liste des
abréviations,... Les abréviations non-usuelles doivent être
évitées et la taille des caractères choisis doit
être lisible.
Le programme doit être introduit en version papier ainsi
qu'en version électronique. Pour la version papier, l'ONG doit
déposer 1 exemplaire non relié et 3 exemplaires reliés. La
version électronique doit comporter un seul document, annexes comprises,
dans un format compatible avec Word ou en PDF. Les tableaux budgétaires
doivent en plus se trouver dans un document séparé, compatible
avec Excel.
Lors de l'appréciation ou du suivi du dossier,
l'Administration se réserve le droit de demander des compléments
techniques par objectif spécifique (dossier technique).
Annexes:
1. Explication de la codification des marqueurs relatifs aux
thèmes transversaux
2. Liste des codes CAD pour les secteurs
|