EPIGRAPHE
« Des impôts
lourds, parfois en diminuant la consommation des produits taxés, parfois
en encourageant la fraude, engendre souvent des recettes fiscales plus faibles
que celles qui auraient pu être obtenues avec des taxes plus
modeste ».
251672064
NSUMBU BABENA
Jonathan
AVANT PROPROS
Au terme de ce travail, j'adresse
mes remerciements à tous ceux qui ont contribué d'une
manière, quelle qu'elle soit, à l'élaboration de ce
travail de fin de cycle de graduat en sciences économiques et
d'administrations des affaires.7mois de dur labeur !
Je tiens à remercier tout
particulièrement Monsieur le chef de travaux Michel MOUSSA KALONDA qui,
malgré son emploi du temps chargé, s'est toujours montré
disponible pour m'orienter dans mes recherches. Mes remerciements s'adressent
également à l'assistant Jean-Claude ZIBOLIKULI qui a
accepté de codiriger ce travail de fin de cycle. Leurs critiques et
suggestions m'ont été d'une grande utilité tout au long de
ces 7 mois.
Je remercie, par ailleurs, les
Autorités de l'Université Notre Dam du Kasayi, en particulier,
tous les autorités de la faculté des sciences économiques
et d'administrations des affaires, en occurrence : professeur BANYINGELA
KASONGA (doyen de faculté) ; Alexis NGALAMULUME (secrétaire
facultaire) ; chef de travaux BUKASA TSHIMBALANGA 117 (membre du
comité de gestion de la faculté) et autres, qui, ont
contribué à ma formation intellectuelle.
A mes chers collègues de
promotion, KABANGE TSHINDA Victorine ; LETSHU MVEMBA Jeannot ; NTUMBA
NGANDU Yve ; MUJINGA TSHITENGE Thérèse ; MUTOMBO
KABONGO Simon ; KAZADI NKASHAMA Médard ; PELENGE TSHIBUABUA
Noëlla ; Ce fut un réel plaisir de passer ces moments
sympathiques avec vous : blagues, piscine, footing, etc. !!! A tous les autres
copains de lutte, qu'ils trouvent ici l'expression de mes remerciements pour
leur soutien. Et à tous mes copines, copains, cousins et cousines que
j'aime tant: KABINA Claudine ; KABATA NGANDU Timothée ;
BOLENZA MOKO Patrick ; YOMBO Ordive,
A toute ma Famille : A ma Maman
Chérie TUBADI MUKEBA Anastasie : Ô Femme Africaine !à Mon
Père BABENA MFUAMBA Willy : Tu as combattu le bon combat. ! A tous mes
frères et soeurs : KAPINGA BABENA Benoni ; BABENA BABENA
Willy ; MILAMBU BABENA Albert ; LUAKUSHILA BABENA Annie ; NTUMBA
BABENA Claris; Je leur dis beaucoup, mais en peu de mots : « Merci pour
tout ».
Nous adressons nos sincères
remerciements au couple MPIANA KABEMBA Alidor, qui nous a soutenus
physiquement, moralement et qui s'est consacré à nous pour
l'impression de notre travail, que le seigneur le bénisse et le comble
de grâces.
A tous ceux qui de près ou
de loin ont contribué à cette thèse et dont les noms ne
figurent pas explicitement ici, je dis MERCI.
DEDICACE
A Ma Cher maman TUBADI
MUKEBA Anastasie,
A mom Cher papa BABENA MUAMBA
A Mes frères, soeurs,
cousins et cousines
A la famille MPIANA KAMBEMBA Alidor
251673088
NSUMBU
BABENA Jonathan
ABREVIATIONS
DGDA : Direction
Générale de Douanes et Accises
DGI : Direction
Générale des Impôts
DGRAD : Direction
Générale des Recettes Administratives Judiciaires Domaniales et
participation.
Ed : Edition
ISP : Institut
Supérieur pédagogique
S.E.A.A. : Sciences
Economiques et Administration des Affaires
SBM : Sciences
Biomédicale
SCAD : Sciences Commerciales
et Administratives
TFC : Travaux de Fin de Cycle
UKA : Université
Notre-Dame du Kasayi
O.INTRODUCTION
0.1. ETAT DE LA QUESTION
Cette partie, montre la
capacité qu'a un future chercheur d'appréhender son champ
d'action et de dégager une ligne de démarcation entre lui et les
autres. Ainsi, les travaux consultés sont :
1°) MPUTU KABENA GODELIEVE,
dans le cadre de son travail de fin de cycle parlant de la
« contribution des recettes non fiscales au budget de la
province ». Cas de la DGRAD/Kasaï occidental de 2010 à
2012.
Elle a décortiqué
son travail avec les questions suivantes :
ü À quelle hauteur
peut-on évaluer la contribution de recettes non fiscales dans le budget
de Kasaï occidental ;
ü En quoi les recettes de la
DGRAD sont-elles une contribution au budget de la province du Kasaï
occidental ? et enfin, Comment la DGRAD arrive-t-elle à
prévoir les recettes non fiscales ?
Elle a abouti aux résultats
selon lesquels, depuis 2010 à 2012, la DGRAD Kasaï occidental a
marqué son implication dans le budget de la province du Kasaï
occidental pour sa reconstruction avec un taux d'exécution de 40%.
Elle a suggérée que,
la DGRAD/Kasaï-Occidental, Assure la mobilité du personnel commis
à la chaine des recettes ; la collaboration en matière de
lutte contre la fraude ; la corruption et le détournement des
recettes ; ainsi, l'application des critères définis pour
l'allocation des rétrocessions à la province.
Sa conclusion était que,
l'apport de la rétrocession est d'un impact positif sur le budget de la
province. 1(*)
2°) Amida Aimerance KAPEMBA
TUALA MANGENDA, dans son travail de fin de cycle sur « les
stratégies de son travail des recettes non fiscales » cas de
la GDRAD/Kasaï occidental de 2010 à 2012.
Dans cette étude, l'auteur
cherchait à connaitre la procédure de recouvrement des recettes
non fiscales à la DGRAD via le compte du trésor public
logé à la BCC afin, de permettre à l'Etat de faire face
à ses dépenses.
Durant la période de son
étude, il a présenté un tableau de rapprochement des
réalisations budgétaires à la DGRAD/Kasaï occidental
qui représente une étude comparative des réalisations face
aux assignations ; d'où, ils ont aussi fait allusion des
écarts en fonction des taux d'exécutions budgétaires qui
sont marquées d'un équilibre hasardeux soit, réalisation
de 50%.
Il a aussi suggéré
qu'il, est organisé à chaque exercice budgétaire la
conférence extraordinaire des directeurs, de même doit-on
organiser des séminaires de formations des cadres et agents
conformément à l'évolution de la modernisation.2(*)
3°) ALIDOR MPIANA KABEMBA,
dans son travail de fin d'études parlant de « L'impact des
recettes générées par les services de l'environnement et
développement durable sur les réalisations, Globales de la
DGRAD/Kasaï occidental démembré de 2012 à 2015.
A ce titre, le chercheur cherche
à savoir comment l'environnement arrive-t- elle à
générer des recettes, en Sa qualité de service
d'Assiette ; les recettes de service de l'environnement, ont-ils un impact
sur les recettes globales que réalisent annuellement la DGRAD/Kasaï
occidental démembré.
A l'issu de ses recherches, il a
remarqué qu'en ce qui concerne les recettes ordonnancées et
recouvrées du secteur de l'environnement et développement
durable, l'écart entre les deux est de 42,53% qui constitue le reste
à recouvrer, pendant la même période sous examen. Cette
situation dénote une très grande faiblesse de la DGRAD en
matière de mobilisation des recettes ; l'impact des recettes du
secteur de l'environnement et développement durable sur les recettes
globales réalisées par la DGRAD/Kasaï occidental
démembré pendant 4 ans est en dessous de 50% soit 38,78%.3(*)
Après avoir parcouru
certains travaux élaborer par nos prédécesseurs ayant
trait à la DGRAD Kasaï occidental démembré, nous
constatons que personne n`a aborder « LA GESTION DES RECETTES NON
FISCALES DANS UNE REGIE FINANCIERE » d'une manière
globale. Ainsi, notre préoccupation est de connaitre la façon
dont la GRAD/Kasaï occidental gère les recettes non fiscales et si
cette façon de gérer ces recettes peut-elle nous amener à
le maximiser afin de répondre aux attentes du budget provincial.
0.2. PROBLEMATIAQUE
Dans l'ensemble des objectifs de
tout Etat moderne, le développement économique et la gestion
de la chose publique sont au premier rang de chaque pays, leur
réalisation exige d'importants moyens financiers. C'est pourquoi, pour
atteindre les objectifs qu'un Etat peut s'est fixé et assurer
correctement qui lui sont assigner, il doit injecter les fonds publics dans les
circuits économiques notamment, par l'intermédiaire de ses
actions.4(*)
Le pays en développement
savent que pour bâtir une économie prospère, attirer les
entreprises, créer les emplois et éradiquer la pauvreté ;
ils doivent renforcer leurs capacité, étoffer leurs
infrastructures, lutter contre la corruption et instaurer des systèmes
financiers transparents ; ils doivent aussi à l`échelle
mondiale combattre les flux financiers illégaux et réduire
l'impact des paradis fiscaux5(*)
Ainsi, il est à noter
dès le départ que, lutter contre la pauvreté,
améliorer les conditions des vies de population, créer les
emplois, ouvrir les infrastructures de service de santé et
d'éducation adéquats dans un pays, exige les ressources
financières suffisantes, stables et prévisibles6(*). A cet effet, l'Etat doit
mobiliser ses ressources et éviter la fraude fiscale
généralisée qui limite considérablement ces
ambitions dans sa politique de maximisation des recettes publiques. Donc, tout
Etat à besoin des ressources nécessaires pour réagir
efficacement en présence de ses charges tend dans la capitale
qu'à travers le pays.
La république
démocratique du Congo ne s'échappe pas à cette
réalité commune à tous les Etats surtout dans cette
ère de la mondialisation caractérisée par le
développement croissant du rôle interventionniste de l'Etat.
Elle fait face à une
grogne sociale de plus en plus grandissante car, sa population
réclame des meilleures conditions de vie telle que : la
réhabilitation des infrastructures de base ; la construction des
autoroutes ; l'utilisation de l' électricité 24heures sur
24 ; l'usage d'eau potable dans tout le coin du pays ;
l'accès aux soins médicaux et à l'enseignement (primaire
et secondaire) ; la création des emplois dans tout l'étendue
de la RDC ; la sécurisation de la population et de leurs
biens ; augmentation de l'enveloppe salariale des différents agents
de la fonction publique (enseignants, médecins, fonctionnaires,
magistrats) etc.
En tant que premier centre des
décisions publics, l'Etat congolais doit actionner les leviers à
différents niveau plus particulièrement sur le plan
économique et sur le plan social ; procéder à la
mobilisation des recettes nécessaires à travers ces régies
financières implantées dans le pays notamment : la
DGI ; la DGDA et la GDRAD.
En outre, il peut aussi recourir
à des emprunts intérieurs et extérieurs car, selon
BUABUA WA KAYEMBE, on ne peut pas un seul instant s'imaginer tout cela sans
recourir à l'emprunt : rien qu'en utilisant les recettes
budgétaires ordinaires.7(*)
De ce fait, l'Etat congolais doit
éviter qu'il ait la fraude fiscale dans la perception des recettes par
ses régies financières car, selon les estimations fournies
par la DGI et la DGDA pour l'an 2012, la RDC perd chaque année
près de 30% des recettes budgétaires suite à la fraude
fiscale8(*). Donc, il
conviendrait de dire qu'en RDC, la fraude fiscale occasionne des pertes
énormes des recettes publiques à cause de la mauvaise gestion.
Par ailleurs, parlons de la
province du Kasaï occidental démembré, notre province qui,
traverse depuis plus d'une décennie une crise très sensible qui,
progressivement amenuise ses ressources. C'est pourquoi, dans sa mission
traditionnelle d'assurer le bien-être sociale, culturelle, politique, et
économique de sa population, le gouvernement de cette province a besoin
de disposer les moyens financiers efficaces.
Dans cette option,
l'actualité sociale de la province du Kasaï est dominée par
des grands problèmes qui handicapent le développement de cette
province, tels que :difficulté d'accès à l'eau
potable qui représente 5,4% au lieu de l'idéal qui est de 38% en
général ; difficulté d'accès à
l'électricité qui représente 0,4 au lieu de l'idéal
de 19% ; création d'emplois qui représente un taux de sous
emplois de 64,7%(2012) ;difficulté d'améliorer les
infrastructures de base.9(*)
Pour répondre à ces
revendications, la province doit mobiliser d'avantage des ressources
provinciales à travers les régies financières locales ou
nationales de l'urgence qu'elle s'attaque aux obstacles qui l'empêche de
se développer. Pour financer ses dépenses, la province du
Kasaï-Occidental démembré reçoit une
rétrocession de 40% des recettes mobiliser par la DGRAD/Kasaï
occidental ; ce qui fait que s'il y'aura une bonne gestion de ces recettes
dans la province, cette dernière, entrera dans un marché
concurrentiel sur le plan national.
En somme, faces aux charges
publique et provinciale en constante augmentation dans le pays, le
problème principal qui se pose dans se présent travail est de
savoir, la politique de la gestion des recettes non fiscales de la
DGRAD/Kasaï-Occidental peut-elle boostée la rétrocession des
recettes reçu par cette province pour son bon fonctionnement ?
De manière
spécifique, les questions suivantes seront débattu tout au long
de se travail. Il s'agit de :
v La détermination des
assignations de la DGRAD/Kasaï-Occidental démembré
seraient-elles faites de façon optimale ?
v La mobilisation des recettes non
fiscales serait-elle à la hauteur faite par la régie
financière au regard de son importance dans le budget de la
province ?
0.3. HYPOTHESES
Généralement, la
politique de la gestion des recettes non fiscales de la GDRAD/Kasaï
occidental peut boostée la rétrocession des recettes reçu
par la province du Kasaï occidental.
De manière
spécifique, La détermination des assignations de la
DGRAD/Kasaï-Occidental démembré, seraient faites de
manière optimale et La mobilisation des recettes non fiscales dans la
province du Kasaï, serait à la hauteur des assignations faite par
la régie financière au regard de son importance dans le budget de
la province.
0.4. INTERET DU TRAVAIL
L'intérêt
générale poursuit dans ce présent travail est de montrer
la politique de la gestion des recettes non fiscales encadré par la
DGRAD/Kasaï occidental, contribue au développement de la province
par l'intermédiaire des recettes reçu par celle-ci.
Ainsi, l'intérêt
spécifique sera de faire voir la façon optimale que la
DGRAD/Kasaï occidental détermine ces assignations ; et monter
comment la mobilisation des recettes non fiscales serait à la hauteur
des assignations faites par cette régie financière.
Enfin, nous aiderons les
dirigeants de cette régie financière (DGRAD/K-OCC), à
appliquer certaines stratégies efficaces dans la perception des
différentes recettes non fiscales ; à surmonter certains
problèmes liés à la gestion et la maximisation des
recettes non fiscales telle que : la fraude fiscale ; la non
réalisation des assignations prévues...
O.5. METHODES ET TECHNIQUES UTILISES
O.5.1.METHODES
Les méthodes sont une démarche qui suit l'esprit
pour découvrir et démontrer la vérité. 10(*)
D'où, en élaborant ce travail, nous avons fait
recours aux méthodes suivantes :
a) Méthode
structuro-fonctionnelle
C'est une méthode qui nous
a permis à connaitre la structure et le fonctionnement de la DGRAD.
C'est grâce à cette méthode que nous avons fait la ronde
dans tous les services se trouvant dans cette régie
financière.
b) Méthode
comparative
Elle consiste dans un procédé de confrontation
et de rapprochement de deux ou plusieurs situations à comparer. Elle
vise aussi à dégager des ressemblances et des différences
entre ses réalités en vues de trouver le juste milieu pour
établir la vérité.11(*)
Cette méthode, nous a permis à faire une
comparaison entre les différents modes de gestion de recettes au sein de
la direction générale des recettes administrative, judiciaires,
domaniales et de participation.
c) Méthode
descriptive
Elle consiste dans l'explication des données empiriques
du phénomène en étude.12(*)
C'est une méthode qui nous a permis à
interpréter toutes les données statistiques reçues
à la DGRAD ; elle nous a aussi permis de faire voir le niveau des
recettes perçu par la DGRAD/Kasaï Occidental
démembré.
d) Méthode
analytique
Est une méthode qui part de l'analyse des faits, des
phénomènes et des réalités qui entre en jeux dans
le traitement d'un sujet.13(*)
A travers cette méthode, nous avons eu à
analyser ce que la DGRAD apporte au budget de la province au regard de la
constitution.
O.5.2. Techniques de
recherche
Sont des outils utilisés dans les processus de
collecter des données d'information qui devrait être soumise suite
à l'interprétation, à l'analyse et à l'explication
grâce aux méthodes.14(*)
Ainsi, nous avons utilisés :
1) La technique
documentaire
Est une technique non vivante parce qu'elle, relève de
l'observation indirecte. Elle concerne la lecture et elle met me chercheur en
présence des informations déjà disponible et
déjà stockée dans les documents.15(*)
Cette technique, nous a permis à consulter certains
documents comme par exemple : des travaux scientifique, des rapports de
stages, ils arrêtés et les brochures sur la DGRAD/Kasaï
Occidental démembré.
2) La technique
d'observation
Est une technique qui permet de recueillir les informations
sur les comportements non-verbaux des agents.16(*)
C'est à travers cette technique, que nous avons en
recueillir certaines informations sur les différentes activités
qui découle au sein de la DGRAD/Kasaï Occidental
démembré.
3) La technique d'interview
(entretient)
Est une technique de recueille et d'information qui consiste
en des entretiens oraux, individus ou des groupes avec plusieurs personnes
sélectionnés soigneusement, afin d'obtenir des informations sur
des fait, ou des présentations, dont on analyse le degré de
pertinence, de validité et de fiabilité déterminé
en regard des objectifs du recueil d'information.17(*)
Cette technique, nous a permis à avoir les
données du travail à la DGRAD/Kasaï Occidental à
l'aide d'un questionnaire établit.
O.6. DELIMITATION DU
SUJET
Vu le cadre national que présente la gestion des
recettes non fiscales en R.D.C en général et dans la ville de
Kananga en particulier, notre travail sera focalisé à
« la gestion des recettes non fiscales dans une régie
financière ».
Dans l'espace, la DGRAD/Kasaï Occidental
démembré, sera prise comme observatrice et dans le temps, notre
travail s'empirera des données de la période de 2011-2015.
O.7. SUBDIVISION DU
TRAVAIL
En plus de l'introduction et de la conclusion, notre travail
portera sur 3 chapitres qui sont :
Ø Le premier chapitre porte sur la
généralité théorique et conceptuelle de
l'étude ;
Ø Le deuxième chapitre porte sur la
présentation de la DGRAD/Kasaï Occidental
démembré ;
Ø Le troisième chapitre porte sur la
présentation des résultats. Dans celui-ci, nous
présenterons quatre tableaux le tableau de la synthèse de la
tendance Générale des résultats.
CHAPITRE I :
GENERALITE THEORIQUE ET CONCEPTUELLE DE L'ETUDE
Dans le cadre de ce présent chapitre, il est question
de s'atteler sur les recettes, d'en présenter le type des recettes et
enfin, la notion de régie financière en RDC.
I.1. RECETTES
D'après Jean MUKUMBULA, les recettes sont des moyens
financiers de trésorerie qui permettent à un organisme, une
institution ou une entreprise de faire face aux dépenses
immédiates.18(*)
Le dictionnaire Français contemporain affirme qu'une
recette est un total de ce qui est reçu en argent par un
établissement commercial ou industriel. Par exemple la recette de vente
d'une journée.19(*)
En finance publique, on parle d'une recette, lorsqu'il s'agit
des sommes perçues par les administrations publiques provenant des
impôts et taxes. Elles n'incluent pas les cotisations sociales.20(*)
Les recettes de l'Etat, contiennent en soi les recettes
fiscales, les recettes non fiscales qui sont des recettes exceptionnelles. Et
dans le cadre de notre travail, nous allons insister sur les recettes non
fiscales, qui ont plus d'influences dans les actions du gouvernement.
I.1.1. RECETTES FISCALES
La fiscalité est un terme général qui
désigne l'ensemble de régulation concernant les
impôts.21(*)
Les recettes fiscales sont considérer d'après
Jean Yve CAPUL et Olivier Garnier, comme, toutes quantités
déterminées d'argent versée à l'Etat pour paiement
de l'impôt. Ils peuvent avoir leurs origine dans différents type
d'impôts comme par exemple l'impôt sur les patrimoines, les
revenus, bénéfices, etc. d'une part et d'autres part, ils peuvent
venir des cotisations de sécurité sociale, des taxes
prélevées sur les biens et services de prélèvement
sur le salarié...22(*)
I.1.1.1. IMPOTS
1°) NOTIONS
IMPORTANTES SUR L'IMPOTS
Selon JEZE. G, l'impôt est prestation pécuniaire
recuise et particulier par voie d'autorité, à titre
définitif et sans contre partie, en vue de la couverture de charge
publique.23(*)
Ainsi François déruel précise que
l'impôt est définit, par sa technique, comme étant une
prestation pécuniaire requise des membres de la collectivité,
perçu par voie d'autorité, à titre définitif et
sans contrepartie.24(*)
Les impôts sont des prestations pécuniaires mise
à la charge de personnes morales et physiques par fonction de leurs
capacités contributives et sans contre partie déterminée,
en vue de la couverture des dépenses publiques et de la
réalisations d'objectifs économiques et sociaux fixée par
la puissance publique.25(*)
Contrairement à l'emprunt, n'est pas à
être restitué. Tout prélèvement fiscal se
caractérise par 3 éléments : l'assiette de
l'impôt la liquidation de l'impôt et le recouvrement de
l'impôt.
a) L'ASSIETTE DE
L'IMPOT
C'est l'ensemble des opérations administratives qui ont
pour but de rechercher et d'évaluer la matière
imposable.26(*)
b) LIQUIDATION DE
L'IMPOT
D'après Bouvier, liquider l'impôt, c'est calculer
la dette fiscale du contribuable par application d'un taux d'imposition autre,
à la base imposable telle qu'elle à été
préalablement déterminer et en ayant éventuellement
pratiqué les abattements, majoritaire ou déduction prévu
par le générateur.27(*)
C)
RECOUVREMENT
C'est l'opération qui consiste à faire passer
les ressources de la poche du contribuable au compte du trésor.28(*)
2°). DIFFERENCE
ENTRE IMPOTS, TAXE, COTISATION
La taxe est un prix officiellement fixé d'une
denrée. Elle est aussi une somme que doit payer l'usager d'un service
public en contrepartie des avantages qu'il retire de ce service.29(*)
Elle est une perception ou un prélèvement en
argent, opéré par l'Etat, une collectivité publique telle
que la commune ou par un service public tel que les postes, sur les individus
en échange d'un service d'une table ou étalage dans un
marché.30(*)
En ce qui concerne la cotisation, c'est l'action de (se)
cotiser : contribuer à réussir une somme en vue d'une
dépense commune31(*).
A la différence, la taxe se distingue de l'impôt
par le fait qu'elle constitue nécessairement la contrepartie d'un
service.
Les différences avec l'impôt ne se
relèvent pas non plus extraordinaires et les difficultés
rencontrées ici sont souvent simplement d'ordre terminologique :
beaucoup « l'impôt portent le nom des taxes » sans
pour autant en posséder les caractéristiques (ainsi par
exemple : la taxe sur la valeur ajoutée ou encore les taxes
financiers).32(*)
A la différence des impôts qui, en principe, ne
sont destinés à financer une dépense particulière,
les cotisations sont affectées à une charge des organismes de
sécurité sociale.33(*)
Une taxe est facultative et possède de contrepartie
contrairement à l'impôt qui est seulement obligatoire sur les
agents économiques (ménage et entreprises). Les impôts se
différencient des cotisations par le fait qu'ils constituent les moyens
essentiels pour la couverture des dépenses publiques tandis que les
cotisations constituent la principale ressource de la sécurité
sociale.
I.1.1.2 DROITS DE DOUANE ET
ACCISE
La façon dont l'Etat et les collectivités
locales se procurent toutes sortes d'impôts, sur certains produits
importés c'est à dire venant de l'extérieur et de
l'intérieur du pays (importé) est appelé
« droits des douanes et accises».
Les droits des douanes ont d'avantage pour rôle de
freiner les importations et les consommations des produits étrangers que
de procurer des ressources à l'Etat.34(*) Ils comprennent : les recettes douanières
et arcisiennes ; ces dernières sont celle encadré par la
Direction Générale de Douane et Accise, DGDA en sigle.
D'après BARRER, R, les recettes douanières sont
des revenus provenant de droits des douanes, et sont les taxes
prélevées par l'Etat sur les marchandises, lorsque celles-ci
franchissent les frontières nationales dans un but fiscal. C'est
l'ensemble des droits des douanes.35(*)
v LA
PARAFISCALITE
La parafiscalité est une institution
intermédiaire entre celle des taxes administratives et l'impôt.
Les taxes parafiscales entrent plutôt dans, la caisse des
établissements publics tels que l'INSS et L'INPP chargés des
taches particulières d'intérêts publique par
l'Etat.36(*)
Pour le professeur Mathias BUABUA WA KAYEMBE, la
parafiscalité se rapproche de l'impôt, du fait d'être
établie par la loi, d'avoir un caractère obligatoire,
d'être recouvrée par la force et d'avoir une détermination
d'intérêt public.37(*)
La parafiscalité est presqu'un impôt parce
qu'elle est obligatoire. Sa différence avec l'impôt provient du
fait que les prélèvements opérés les sont au profit
des certains organismes publics ou semi-publics ; économiques ou
sociaux ; en vue d'assurer leurs financement autonome.il en est ainsi par
exemple des cotisations obligatoires variées à l'INSS.38(*)
Pour DUVERGER, juridiquement, les taxes parafiscales sont des
prélèvements obligatoires, recevant une affectation
déterminée, institués par voie d'autorité,
généralement dans le but d'ordre économique,
professionnelle ou sociale, et échappant en totalité ou en partie
aux règles de la législation budgétaire et fiscale en ce
qui concerne les conditions de création de la recette, de
détermination de son assiette et de son taux, de la procédure de
recouvrement de contrôle d'emploi.39(*)
Elle ne pas perçu pour la couverture de charges
publique mais, elle peut être un recouvrement si les dépenses
faites sont publiques.
I.1.2. LES RECETTES NON
FISCALES
Les recettes non fiscales sont d'origines variées. Il
n'existe pas des définitions exhaustive des recettes non fiscales,
cependant qu'il est important de comprendre que, les recettes non fiscales
représentent toutes les recettes qui sont liées ni à un
impôt ni à une taxe. Ils proviennent entre autres :
Des dividendes des recettes assimilées (dividendes des
entreprises dont l'Etat est actionnaire ; bénéfices issues
des biens dont l'Etat est propriétaires) ;
Des produits de domaine de l'Etat (produits d'allocation ou
de la vente des biens de l'Etat, redevances relatives à l'utilisation du
domaine public ou privé de l'Etat);
Des produits de la vente des biens et services (revenus des
entreprises publiques produisant des biens ou fournissant des
services) ;
Des intérêts des prêts que l'Etat consent
aux banques ou à des Etats étrangers ; du produit des
amendes (par exemple des amendes de la circulation);
Du produit des jeux et des loteries (loteries
française des jeux, Paris, etc.).40(*)
Les recettes non fiscales sont définies d'après
les journal officiels de la RDC, comme des ressources financières
provenant des droits, taxes, redevances et dividendes relevant du pouvoir
central autre que l'impôt et le droits de douanes et accises,
perçues à l'initiative des ministères et services
d'assiettes. 41(*)
Au terme du décret-loi n°0058 du 27
décembre 1995, sont considérées comme
« recettes non fiscales », toutes recettes emmenant des
droits, taxes, redevances perçues à l'initiative des
administrations et services public de l'Etat, en contrepartie des biens et
services rendus par ce dernier. Ces recettes sont encadrées par la
Direction générale des recettes administratives, judicaire,
domanial et de participation DGRAD en sigle.42(*)
Ainsi donc, dans cette partie du travail, nous analyserons les
recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participations qui font
partie des recettes non fiscales encadrées par la DGRAD.
I.1.2.1. RECETTES
ADMINISTRATIVES
Pour UMBA-DIC-NDANG, les recettes administratives
résultent d'un service que l'administration publique rend à un
tiers43(*).
Elle présente une contrepartie suite à un
service rendu par un agent de l'Etat ; elles sont des
rémunérations dans l'avantage d'une personne morale publique pour
un service rendu par elle ; sont celles qui proviennent des taxes
administratives.
DUVERGER, affirme que, les taxes administratives sont des prix
acquis par l'usager d'un service public non industriel, en contrepartie des
prestations ou avantages qu'il attire de ce service : ainsi
l'affranchissement des correspondances est une taxe postale, les droits
d'inscription dans une université d'Etat sont des taxes, de même
que le droit de timbre payé pour l'obtention d'un passeport,
etc.44(*)
I.1.2.2. LES RECETTES
JUDICIAIRES
Les recettes judiciaires sont
celles que l'Etat parvient à se faire accorder grâce au cours et
tribunaux (tribunal de grande instance, cours d'appel, Auditorat Militaire, la
police nationale congolaise, etc.) et au Parquet général
lorsqu'il y a violation des lois du pays en RDC.
Son des dividendes perçus
dans les entreprises du portefeuille de la RDC. Ces entreprises peuvent
être commerciales, industrielles ou des services.
I.1.1.2.3. LES RECETTES
DOMANIALES ET DE PARTICIPATIONS
Les recettes domaniales, sont celles qui proviennent de
l'exploitation du domaine privé de l'Etat : ledit domaine est
mobilier et immobilier.
On parle des recettes du domaine mobilier de l'Etat
lorsqu'elles sont constituée principalement des dividendes produits par
les participations de l'Etat ; tandis que, les recettes du domaine
immobiliers de l'Etat sont celles constituées des ressources provenant
de l'exploitation de la terre, sol et sous-sol. Ici, on évoquera les
forêts, faune, pèche, les mines, les concessions fonciers,
l'eau.45(*)
BUABUA WA KAYEMBA précise que les recettes domaniales
et de participations sont celle que l'Etat tire de la gestion de son domaine,
constitué du sol, sous-sol et de la gestion des entreprises publiques et
d'économie mixtes. La gestion du sol et des sous-sols, au travers
notamment de la loi financière, la loi agricole, la loi minière,
la loi sur les hydrocarbures, etc., est censée rapporter à l'Etat
des nombreuses recettes.46(*)
DUVERGER souligne que, les recettes domaniales sont
constituées des ressources de l'Etat qui proviennent du domaine
privé de l'Etat.47(*)
I.1.1.2.4. RECETTES DE
PETROLIER PRODUCTEUR
Sont celles générer par l'activité
pétrolière de production, en vertu d'une conversion ou d'un
contrat de partage des productions conclus entre l'Etat et les tiers.48(*)
Ainsi, conformément à la conversion relative
à l'exploitation des hydrocarbures et au contrat de partage de
production, l'administration des recettes non fiscales perçois les
droits dus par les entreprises pétrolières de production, au
profit du compte général du trésor public.
L'ordonnancement, le recouvrement et le contrôle des
recettes non fiscales à charge de pétroliers producteurs
relèvent de la compétence de l'administration des recettes non
fiscales.49(*)En dehors de
ces recettes ci-dessus, la DGRAD encadre aussi les recettes
ci-après :
v RECETTES PERMANENTES :
Sont les sommes d'argents encaissée continuellement par
une administration ou un établissement public.50(*)
v LES RECETTES EXTERIEURES :
Sont celles provenant principalement des dettes
bilatérales, des dons et legs fait aux pays par des pays
étrangers.
v LES RECETTES ORDINAIRES ET LES RECETTES
EXTRAORDINAIRES :
Les recettes ordinaires sont celles encadrées
généralement par les régies financières citons par
exemple : les recettes provenant de la vente aux enchères des
marchandises considérer comme abonnée, des amendes des dossiers
contentieux. Tandis que les recettes extraordinaires sont celles qui ne font
pas partie des recettes courantes, elle relève des sources
exceptionnelles.51(*)
I.2. LES REGIES
FINANCIERES
Une régie est soit un établissement public
chargé de la gestion d'un service public, soit un mode de gestion de ce
service public. Elle s'oppose à la délégation des services
publics qui incluent une relation de type contractuelle.52(*)
La régie est une administration chargé de la
perception des certaines taxes (régie de tabac)53(*).
Pour le Dictionnaire Robert, une régie est une
entreprise confiée par l'Etat à un particulier ou un
établissement qui le représente.54(*)
Ainsi, une régie financière est l'ensemble de
des directions générales du ministère des finances
chargées des recettes : contribution directe, contribution
indirecte, douanes, enregistrement-domaines-timbre. Au département de
finance, les administrations des régies financières remplissent
les fonctions de conseil d'administration avec le Directeur placé
à leurs têtes.55(*)
Enfin, pour le financement du budget, l'Etat s'organise
à travers ses services, particulièrement des régies
financières pour mobiliser les ressources dont-il a besoin.
(Impôts, taxes). En RDC, la mobilisation de ces ressources (recettes)
s'effectue à travers :
La DGI qui s'occupe des impôts (recettes
fiscales) ;
La DGDA qui s'occupe de droit de douane et accise ;
La DGRAD qui s'occupe des recettes non fiscales (recettes
administratives, judiciaires, domaniales et de participations, etc.)
Au niveau provincial, actuellement existe des régies
financières créées dans le cadre de la perception des
recettes provinciales pour l'amélioration du budget de la province.
D'où, dans la province du Kasaï occidental démembré,
nous avons : la BMR, la DGRKOC...
CHAPITRE II :
PRESENTATION DE LA DGRAD
II.1. DE LA CREATION DE LA DGRAD
II.1.1. Cadre historique de la DGRAD
Créée par
décret n°0058 du premier Ministre 27 Décembre 1995, la
Direction Générale des recettes Administratives, judiciaires,
Domaniales et de participations en sigle (DGRAD), est un service public
doté de l'autonomie administrative et financière. Cette
régie financière est placée sous l'autorité directe
du ministère ayant des finances des ces attributions.56(*)
Son personnel est régi par
le décret du premier ministre n°0059 du 27 décembre 1995
dans ses annexes 1et 2, qui portent règlement d'administration du
personnel de la DGRAD, pris conformément à la loi 81_003 du 17
juillet 1981 portant statut du personnel de carrière des services
publique de l'Etat.57(*)
Il est à noter que la
création de la DGRAD, fait suite à un constat d'échecs de
procédures des méthodes d'encadrement et de mobilisation des
recettes administratives, judiciaires et des participations ainsi que des
revenus du domaine qui, autrefois, représenter plus de 30% des recettes
du trésor public pendant l'époque colonial et après
l'indépendance, elles n'ont plus avoisiner que 2% des recettes de l'Etat
pendant les années 90 ; d'où la nécessité de
mettre en place une structure chargée de canaliser toutes les recettes
non fiscales de l'Etat vers le compte du trésor.58(*)
II.1.2. MISSIONS DE LA DGRAD
Dans le cadre des lois et
règlements et vigueur, La DGRAD est une régie financière
nationale qui :
· Exerce toutes les missions
et prérogatives en matière d'ordonnancement et de recouvrement
des recettes Administratives, judiciaires, domaniales et de
participations ;
· Elabore, en collaboration
avec les administrations en charge des taxations, le projet de loi, de
décret, d'arrêté, de circulaire et instructions dans le
domaine de ses attributions, qu'elle soumet aux autorités
compétentes ;
· Propose, âpres
consultation, la modification ou la révision de la législation et
de la règlementation en matière des recettes administratives,
judiciaires, domaniales et de participations. Initiée par les autres
administrations.59(*)
II.2. IMPLENTATION DE LA DGRAD AU KASAI OCCIDENTAL
DEMEMBRE
Cette direction provinciale est
implantée le 20/11/1997 par le chargé des missions en la
personne de monsieur KABUNGULA NGOYI.
Depuis son implantation
jusqu'à ce jour, plusieurs directeur provinciaux ce sont
succédés à la tête de cette régie
financière, il s'agit notamment de :
ü MBOKOSO NSELE Emmanuel de
1997-1999
ü BEYA MUKENI césar
de1999 à 2002
ü BIOMOMA NTUMBA Symphorien
de 2002 à2008
ü MPIA IYETI Léon de
2008 à 2011
ü KAZUBA NDAGUE Pascal de
2011 à 2015
ü TSASA NKONGO Brunot de 2015
à ce jour.60(*)
II.3. CADRE GEOGRAPHIQUE DE LA DGRAD/KASAI-OCCIDENTAL
DEMEMBRE
Le siège de la direction
provinciale de DGRAD/Kasaï occidental est située sise avenue
KINKOLE N°7, commune de Kananga, au quartier Malandji.
II.3.1. LOCALISATION
Elle est bornée :
Ø Au nord par la maison
communale de Kananga et la Direction des migrations (DGM) ;
Ø Au sud par la concession
de la mission de l'organisation de nations unies pour la
sécurité au Congo (MONUSCO) ;
Ø A l'Est par la fondation
Femme plus ;
Ø A l'ouest par
l'Immobilière du Kasaï (IMMO-KASAI).
II.3.2. DES EFFECTIFS
Dès son implantation, cette
direction provinciale avait une structure légère composée
de 20 agents. Actuellement, les effectifs sont de l'ordre de 275
unités.61(*)
II.4. STRUCURE ORGANISATIONNELLE DE LA DGRAD/
Kasaï-Occidental
Elle est constituée de
(d') :
Ø Une Direction
Provinciale ;
Ø 9 Divisions qui
sont :
a) Division de l'administration et
services généraux;
b) Division de
l'inspection ;
c) Division du contrôle et
de l'ordonnancement des recettes administratives, judiciaires, et de
participation(CORAJUP) ;
d) Division du contrôle et
de l'ordonnancement des recettes domaniales(CORDOM) ;
e) Division de recouvrement et
suivi de régime d'exception ;
f) Division des imprimés de
valeurs et administratifs ;
g) Division des études et
contentieux ;
h) Division des finances et
budget ;
i) Division d'informatique.
Ø 2 Ressorts Urbain et
Ø 10 Ressorts
Territoriaux ;
Au niveau de l'administration
centrale, il existe 10 directions qui représentent chaque division
provinciale.62(*)
II.5. ORGANIGRAMME
Est un tableau qui en donne les
services et subdivision, montre d'une part, la répartition des
responsabilités et d'autres part, la localisation des
responsabilités dans l'ensemble de l'entreprise.
DIRETION PROVINCIALE
SECRETARIAT
PROVINCIALE
Division d'inspection
Sec
B/AUDIT
B/RESORTS
B/INTERNE
DIV. ASG
DIV. CORAJUP
DIV. CORDOM
DIV. ECON
DIV. RSRE
DIV. IVA
DIV. INFO
BG/IVA
DIV. FINANCE
SEC
COMPABLE/P
SEC
B/SG
B/P
B/I.R.P
SEC
SEC
B/CONTROLE
B/ORDON
ORDONNATEURS
B/CONTROLE
B/ORDON
ORDONNATEURS
SEC
SEC
B/STAT
B/ETUDES
B/CONTENTIEUX
REDACTEURS
B/R.P
B/SRE
RECEVEURS PROV
B/INFORMATIQUE
SEC
SEC
INSPECTEURS
251644416
251642368
251643392
Source : conception
personnelle.
II.6. DESCRIPTION DE
L'ORGANIGRAMME
II.6.1. Division de
l'administration et services généraux
Elle administre est gère l'ensemble des personnels de
la DGRAD sur toute la province. Tous ces agents sont régis par un
règlement d'administration pris conformément à la loi
n°81/003 du 27 mars 1981 portant statut du personnel de carrière
de service public de l'Etat.63(*)
Elle comprend 3 bureaux :
Bureau du personnel ;
Bureau de services généraux ;
Bureau d'intendance et relation publique.
II.6.2. Division d'inspection
des services de la DGRAD
Créer le 19/09/2008 par décision n°002/
DGRAD, DP/Kasaï occidental/MB/08 en vue de :
v Contrôler les autres divisions de la DGRAD ;
v Contrôler tous les services taxateurs et les
comportements des assujettis sur terrain ;
v Vérifier tous les documents établis par les
différentes divisions de la DGRAD, les services taxateurs en vue de se
rassurer suivant les arrêter interministériels.64(*)
II.6.3. Division De
Contrôle Et Ordonnancement Des Recettes Administratives Judiciaire Et De
Participation(CORAJUP)65(*)
Cette division technique s'occupe du contrôle et de
l'ordonnancement des recettes administratives, judiciaires et des
participations. Elle comprend deux bureaux :
Bureau contrôle : s'occupe de la
vérification sur pièces des ordonnancements, pour se rendre
compte de la régularité de la constatation et de la liquidation.
Il procède aussi à des apurements des notes de perception
payé ou acquitter.
Bureau ordonnancement : encadre les ordonnateurs qui
travaille en collaboration avec les agents taxateurs de service
générateurs des recettes. Leurs taches consistent à signer
conjointement sur la note de perception et élaborer les
répertoires des assujettis sectoriels.
La liste de service d'assiette qui génère les
recettes administratives, judiciaires et des participations sont les
suivantes :
LES RECETTES
ADMINISTRATIVES, sont générées par :
o Direction générale
de migration ;
o Division provinciale des
transports et de voies de communication ;
o Division provinciale du
travail ;
o Division provinciale de
santé ;
o Division provinciale de tourisme
et hôtellerie ;
o Division provinciale de culture
et arts ;
o Division provinciale de sport et
loisirs ;
o Division provinciale de
l'économie ;
o Division provinciale de
l'industrie ;
o Division provinciale de
l'énergie ;
o Division provinciale de
l'intérieure ;
o Direction de fonds de promotion
culturelle(FPC) ;
o Direction des Fonds de promotion
du tourisme ;
o Division provinciale des petites
et moyennes entreprises ;
o Division provinciale des postes
et télécommunication et nouvelle technologie ;
LES RECETTES
JUDICIAIRES, sont générées par les services
ci-dessous :
o Tribunal de paix ;
o Tribunal de grande
instance ;
o Parquet secondaire ;
o Parquet
général ;
o Auditorat militaire ;
o Police nationale
congolaises ;
o Police SNCC ;
o Cour d'appel.
LES RECETTES DE
PARTICIPATIONS, ici, nous pouvons citer à titre indicatif les entreprise
telles que :
o MIBA ;
o SEP CONGO ;
o SONAS ; SNCC
II.6.4. Division de contrôle et ordonnancement des
recettes domaniales(CORDOM)
Elle est chargée de
(d') :
Ø Contrôler avant
émission du titre de perception, la régularité de toutes
les opérations de constatation et de liquidation des recettes domaniales
et de mener le cas échant, les enquêtes et investigations
qu'appelle la motivation de toutes décisions de renvoi, pour
redressement des dossiers non conforme ;
Ø Gérer la
documentation de l'assiette et les dossiers individuels des assujettis ;
d'établir les notes de perception dans le domaine de terre ;
Ø Elaborer les statistiques
des recettes constatées et ordonnancées ;66(*)
Les services
générateurs des recettes domaniales sont les
suivants :
o Division provincial de mine et
géologie ;
o Division provinciale de
cadastre ;
o Division provincial de l'affaire
foncière ;
o Division provinciale des
hydrocarbures ;
o Division provinciale de
l'urbanisme ;
o Division provinciale des
habitats.67(*)
II.6.5. Division de recouvrement et suivi de régime
d'exception
Elle s'occupe de :
Percevoir les sommes dues au
trésor public au titre des recettes administratives, judiciaires,
domaniales et des participations ;
Elaborer les statistiques des
recettes recouvrées et non recouvrées ;
Valider les actes et documents
administratifs par opposition des références de paiement des
sommes dues au trésor public ;
Gérer les dossiers du
bénéficiaire du régime d'exception et gérer les
dossiers des recettes non recouvrées et de mettre en demeure le
débiteurs défaillants avant toute poursuites
forcés ;
Evaluer le manque à gagner
y relatif.68(*)
Elle est composée de deux
bureaux : de recouvrement et du suivi de régime d'exception.
II.6.6. Division des imprimes des valeurs et
administrative
Elle est chargée de la
gestion des tous les imprimés des valeurs des services
générateurs du Kasaï occidental. Elle a pour
objectif :
contrôler la
conformité de l'authenticité des besoins à titre valent
espèces ;
dégager
périodiquement le niveau de stock ;
réceptionner et
gérer tous les imprimés mis à la disposition de la
Direction province par la direction générale, en assurant une
comptabilité régulière ;
déterminer le rythme
journalière ; hebdomadaire, mensuel et annuel des imprimés
des valeurs ;
l'approvisionnement des services
d'assiette en imprimé des valeurs et administratives.69(*)
II.6.7. Division des études et contentieux
Elle est chargée
de :
mener les études de nature
à améliorer l'organisation et le fonctionnement de la direction
générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et
des participations ;
élaborer le projet de loi,
des décrets des arrêtés, d'instruction ou
circulaire ;
instruire les dossiers soumis au
directeur générale ou évoquer par lui ;
centraliser et analyser les
statistiques des recettes ;
élaborer les rapports
d'activité de la direction générale des recettes
administratives, judiciaires, domaniales et des participations.70(*)
Elle comprend 3 bureaux :
d'études, statistiques et contentieuses.
II.6.8. Division de finance et budget
Chapoter par un chef de division
et aidé par une caissière ou bien un comptable. Elle est a pour
objectif la gestion des ressources financières propre à la
DGRAD ; les frais de fonctionnement, la rétrocession des services
générateurs ; la prime de mobilisation.71(*)
II.7. COMPETENCES ET ATTRIBUTIONS ENTRE LES SERVICES
GENERATEURS
II.7.1. Attributions et compétences des services
générateurs
Ils ont comme
attribution :
a) La
constatation : opération administrative qui consiste
à identifier et évaluer la matière imposable sur base de
l'existence juridique d'une créance de l'Etat.72(*)
b) La
liquidation : détermination du montant de la
créance de l'assujetti ou le redevable en indiquant les bases, taux et
tarifs appliquées conformément aux lois et textes en
vigueur.73(*)
Ces opérations sont
effectués par des personnels qualifiés de l'administration
appelé agents taxateurs.
II.7.2. Attribution DE LA GDRAD
La DGRAD est une régie
dotée de l'autonomie financière et administrative de gestion.
Elle est a pour attribution essentielles :
ü Le contrôle avant
émission des titres de perception de la régularité des
toutes les opérations de constatation et de liquidation des recettes
administratives, judiciaires, domaniales et des participations effectués
par les ministères au service d'assiettes ou
générateurs ;
ü La perception des
droits ; taxes et redevances au titre des recettes non fiscales
constatées et liquidées par les ministères d'assiettes ou
services générateurs ;
ü La validation des actes et
documents administratifs par oppositions de preuves ou références
de paiement des sommes dues ;
ü La relance ; la
poursuite en recouvrement forcée de débiteurs défaillants
conformément aux lois en vigueurs.74(*)
II.7.3. Compétences de la DGRAD
Elle a pour
compétences :
ü Des opérations
d'ordonnancement et des recouvrements tandis que les opérations de
constatation et liquidation sont de la compétence des services
générateurs.75(*)
II.7.3.1. Ordonnancement et recouvrement
Est une opération qui
consiste à donner l'ordre à l'assujetti de s'acquitter d'une
obligation vis-à-vis du trésor public.76(*)
Tandis que le recouvrement est une
opération qui permet au receveur de l'administration des recettes non
fiscales d'encaissé une somme qui est due au trésor public,
contre remise d'acquis libératoire. 77(*)
Signalons qu'il existe deux
procédures de recouvrement à savoir :
v Recouvrement
à l'amiable : est celui qui s'y réduit
à ce que l'assujetti s'acquitte volontairement de ces dettes
vis-à-vis du trésor public ;
v Recouvrement
forcée : consiste à ce que l'assujetti qui ne
se rend pas à une convocation (défaillent), est amené
à payer par coercition (contrainte).
CHAPITRE III :
PRESENTATION DE DONNES ANALYSE ET INTERPRETATION
A l'issu de ce chapitre, il sera
question de présenter le schéma de mobilisation des recettes non
fiscales ; présenter les données d'une manière
générale (2013-201) et d'une manière beaucoup plus
synthétique c'est-à-dire les assignations et réalisation
des années sous études (2011-2015).
En effet, après
présentation des données, nous analyserons ces dernières,
afin de démontrer si, la mobilisation des recettes non fiscales est-elle
à la hauteur des assignations faites par la DGRAD/K-Occidental ? Et
si, la détermination des assignations de la DGRAD/K-Occidental
sont-elles faites de manière optimale ?
Pour parvenir, nous allons d'abord
dégager les écarts entre les assignations et réalisations
de chaque période sous examen.
En fin, nous allons
présenter un tableau général et présenter un
graphique général pour évaluer la performance et voir
l'évolution des courbes pour l'ensemble des années en termes
d'assignations et réalisations des recettes non fiscales.
III. 1. SHEMA DE
MOBILISATION DES RECETTES NON-FISCALES
251671040251659776
2
Note de défit
3
Etablissement de la note de
perception
4
251648512
Service Taxateur
- Constatation et liquide
- Notes de débit
- note de perception
251646464
ORD/DGGAD
- Analyse : note de
défit
- Ordonnance : note de
perception
Requirent
251645440
251660800
C.P.P
· Comptabilisation
· Gardes imprimés de
valeur
· Remiser des documents de
l'assujetti
251654656
7
Imprimes de valeur
8
Pour validation
251653632
BCC
· Encaissement
· Emission preuve de paiement
251651584
Receveur GRAD
· Validation paiement
· Validation imprimé de
valeur
251652608
251670016
(2). Envoi de la note de défit
a la DGRAD par le service taxateur
(3). Etablissement de la note de
perception par la DGRAD. Et le service taxateur
(4). Envoi de la note de
réception aux près de l'assujetti.
(5). Paiement à la banque par
l'assujetti
(6). Control du receveur provincial
du paiement de l'assujetti à la banque.
(7).envoi de l'imprimé de
valeur au comptable provincial
(8). Validation de l'imprimé
de valeur puis renvoi au receveur
(9).signature du comptable et envoi
de l'imprimé de valeur à l'assujetti
(10).l'assujetti renvoi
l'imprimé de valeur au comptable.
251649536
ASSUJETTI
· Réception note de
perception
· Paiement
· Obtention document
administratif
251650560
Pour signature
251664896
Imprimés de valeur
251663872 10
5 9
6
II.2. PRESENTATIONS DES
DONNEES
III.2.1.Assignations des
recettes non fiscales de 2013-2015
TABLEAU
N°1 : Les assignations de 2013-2015 (Annuelle)
PERIODE
|
2013
|
2014
|
2015
|
Janvier
|
62 000 000
|
20 800 000
|
30 000 000
|
Février
|
133 000 000
|
75 500 000
|
60 000 000
|
Mars
|
90 000 000
|
90 000 000
|
111 000 000
|
Avril
|
91 000 000
|
92 000 000
|
120 000 000
|
Mai
|
78 000 000
|
158 000 000
|
99 000 000
|
Juin
|
105 000 000
|
89 000 000
|
177 000 000
|
Juillet
|
126 000 000
|
180 000 000
|
172 000 000
|
Août
|
97 000 000
|
95 000 000
|
92 000 000
|
Septembre
|
100 000 000
|
83 000 000
|
50 000 000
|
Novembre
|
130 000 000
|
101 000 000
|
101 000 000
|
Décembre
|
150 000 000
|
103 000 000
|
91 000 000
|
TOTAL
GENERAL
|
1 256 000
000
|
1 172 300
000
|
1 202 202
000
|
Sources : Rapport
annuel de la DGRAD/DP/ K-Occidental 2013,2014 et 2015.
GRAPHIQUES N°1
Les assignations de 2013-2015 (Annuelle)
Source : Tracer par nous même
à partir du tableau N°1
![](La-gestion-des-recettes-non-fiscales-dans-une-rgie-financire-Cas-de-la-DGRADKananga2.png)
Source : tracer
par nous même à partir du tableau N°1
Commentaire
Nous remarquons que, sur ce graphique, la courbe décroit
en 2014 suit aux différents problèmes rencontrés par le
gouvernement central lors des recettes assignées en année 2013
I.2.2. PRESENTATION DES RECETTES ORDONNANCESET RECOUVREES
POUR 2013,2014 ET 2015
Tableau
N° 2: Recettes ordonnancées de 2013
Recettes
|
Janvier
|
Février
|
Mars
|
Avril
|
MAI
|
JUIN
|
Juillet
|
Aout
|
Septembre
|
Octobre
|
Novembre
|
Décembre
|
Judiciaires
|
4411400
|
484500
|
707900
|
171300
|
288500
|
194550
|
43770
|
204500
|
174250
|
77400
|
186440
|
199910
|
administratives
|
661975
|
531913
|
342 444
|
954 554
|
659 047
|
284 971
|
372 122
|
177855
|
415 930
|
273 072
|
308 620
|
241 971
|
domaniales
|
904 000
|
757620
|
898811
|
687915
|
916790
|
477550
|
494000
|
176500
|
472257
|
186362
|
634835
|
1110102
|
Participations
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Source : Rapport annuel
de la DGRAD/K-C/2013
Tableau
n°3 : Recettes recouvrées de 2013
Recettes
|
Janvier
|
Février
|
Mars
|
Avril
|
Mai
|
JUIN
|
Juillet
|
Aout
|
Septembre
|
Octobre
|
Novembre
|
Décembre
|
Judiciaires
|
302 500
|
226 000
|
510 700
|
411800
|
200000
|
323615
|
402212
|
399000
|
511973
|
40500
|
6 700
|
60700
|
Administratives
|
332550
|
896556
|
457377
|
1010639
|
552845
|
309920
|
861883
|
563574
|
819918
|
376940
|
316863
|
517065
|
domaniales
|
1322075
|
1034985
|
1199960
|
676173
|
522820
|
688901
|
600750
|
543102
|
343000
|
408500
|
26000
|
231528
|
Participations
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Source : Rapport annuel de la
DGRAD/K-C/2013
Tableau
n°4 : recettes ordonnées de 2014
Recettes
|
Janvier
|
Février
|
Mars
|
Avril
|
MAI
|
JUIN
|
Juillet
|
AOU
|
Septembre
|
octobre
|
Novembre
|
Décembre
|
Judiciaires
|
18550317
|
11844201
|
5460800
|
7045656
|
14700420
|
11360197
|
8146042
|
8551944
|
8227825
|
4448745
|
3287810
|
60700
|
Administratives
|
332550
|
896556
|
457377
|
1010639
|
552845
|
309920
|
861883
|
563574
|
819918
|
376940
|
316863
|
517065
|
domaniales
|
1322075
|
1034985
|
1199960
|
676173
|
522820
|
688901
|
600750
|
543102
|
343000
|
408500
|
26000
|
231528
|
Participations
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Source : rapport annuel de
la DGRAD/K-occidental 2014
Tableau
N°5 : Recettes recouvrées de 2014
Recettes
|
Janvier
|
Février
|
Mars
|
Avril
|
Mai
|
JUIN
|
JUILLET
|
AOUT
|
Septembre
|
Octobre
|
Novembre
|
Décembre
|
Judiciaires
|
12 935 871
|
7 847 175
|
6 710 980
|
7 450 035
|
12 437 163
|
6 936 628
|
12 389 304
|
4 993 089
|
477 147
|
3 717 054
|
4 134 609
|
5 999 189
|
Administratives
|
7 580 134
|
11 175 285
|
9 465 793
|
9 127 487
|
26 180 836
|
3 225 438
|
35 785 358
|
35 762 085
|
25 122 405
|
14 659 212
|
38 979 942
|
9 266 704
|
Domaniales
|
17 023 287
|
9 935 202
|
2 749 177
|
15 666 352
|
54 603 543
|
89 101 792
|
100 451 144
|
429 290 954
|
37 044 625
|
24 188 147
|
27 642 800
|
42 758 435
|
Participations
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Source : rapport
annuel DGRAD/K-occidental 2014
Tableau
N° 6: Recettes ordonnées de 2015
Recettes
|
Janvier
|
Février
|
Mars
|
Avril
|
Mai
|
JUIN
|
JUILLET
|
AOUT
|
Septembre
|
Octobre
|
Novembre
|
Décembre
|
Judiciaires
|
4 622 983
|
3 277 163
|
6 099 302
|
8 949 045
|
6 715 815
|
8 623 210
|
8 661 363
|
1 597 494
|
3 206 390
|
627 912
|
410 203
|
1 565 684
|
Administratives
|
68 186 832
|
65 102 568
|
118 918 815
|
68 073 126
|
35 121 569
|
63 497 113
|
69 560 924
|
28 571 780
|
37 811 325
|
36 600 782
|
16 863 938
|
26 774 668
|
domaniales
|
47 246 500
|
18 248 500
|
35 225 618
|
18 108 077
|
36 640 000
|
32 936 120
|
37 939 800
|
22 298 720
|
29 372 012
|
22 965 951
|
16 021 300
|
14 378 482
|
Participations
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Source : Rapport
annuel de la DGRAD/K-OCC/2015
Tableau
N°7 : Recettes recouvrées de 2015
Recettes
|
Janvier
|
Février
|
Mars
|
Avril
|
Mai
|
JUIN
|
JUILLET
|
AOUT
|
Septembre
|
Octobre
|
Novembre
|
Décembre
|
Judiciaires
|
3 801 961
|
5 512 175
|
3 765 419
|
2 847 925
|
8 774 420
|
18 559 051
|
5 887 087
|
2 483 729
|
1 408 737
|
1 779 710
|
3 769 828
|
3 628 120
|
Administratives
|
16 465 001
|
19 588 660
|
8 636286
|
13 011 720
|
295 952 205
|
11 334 005
|
20 784 752
|
10 851 250
|
10 524 000
|
11 757 908
|
12 809 312
|
21 708 370
|
Domaniales
|
51 792 246
|
25 820 050
|
31 968 674
|
43 235 585
|
17 480 515
|
17 912251
|
12 386 255
|
3 123 495
|
29 379 012
|
7 294 665
|
83 601 500
|
16 315 750
|
Participations
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
0
|
Source Rapport annuel de la
DGRAD/K-OCC/2015
III.2.3. PRESENTATION
SYNTHETIQUE DES DONNEES
Nous allons nous efforcer à
présenter d'une manière beaucoup plus synthétique toutes
les données chiffrées afin de les analyser.
Tableau N°8:
les Assignation set réalisations de l'année 2011
(annuelles) en FC
INTITULE
|
ASSIGNATIONS
|
REALISATIONS
|
Janvier
|
39 000 000
|
34 226 386, 00
|
Février
|
78 000 000
|
35 927 495, 57
|
Mars
|
155 000 000
|
69 608 830, 71
|
Avril
|
128 700 000
|
47 821 626, 76
|
Mais
|
155 000 000
|
51 379 813, 78
|
Juin
|
234 000 000
|
132 851 197, 70
|
Juillet
|
221 000 000
|
55 198 310, 21
|
Aout
|
130 000 000
|
60 025 276, 06
|
Septembre
|
143 000 000
|
9 133 243, 34
|
Octobre
|
130 000 000
|
24 232 923, 10
|
Novembre
|
155 000 000
|
22 595 178, 52
|
Décembre
|
121 300 000
|
16 888 097, 44
|
TOTAL
GENERAL
|
1 690 000
000
|
641 788
371,19
|
Source : Rapport annuel 2011 de la
direction d'étude et statistiques/DGDA/DP/K. OCC
Tableau N°9 :
Les Assignations et réalisations de l'année 2012en
FC
IINTITULES
|
ASSIGNATIONS
|
REALISATIONS
|
Janvier
|
37 062 500
|
37 366 435,49
|
Février
|
72 215 000
|
44 846 382,80
|
Mars
|
92 511 166,66
|
69 106 825,89
|
Avril
|
79 844 375
|
41 905 256,93
|
Mais
|
26 915 583,34
|
48 308 011,72
|
Juin
|
234 004 000
|
247 978 033,50
|
Juillet
|
126 709 250
|
68 042 600,17
|
Aout
|
122 925 000
|
52 047 343,54
|
Septembre
|
96 133 375
|
31 905 838,09
|
Octobre
|
83 133 375
|
56 661 475,62
|
Novembre
|
61 266 750
|
57 356 215,17
|
Décembre
|
103 065 000
|
28 111 446,12
|
TOTAL
|
1 235 785 375
|
783 635 865,04
|
Source : Rapport annuel 2012 de la
direction d'étude et statistiques/DGDA/DP/K. OC
Tableau
N°10:les Assignations et réalisations de
l'année 2013 en FC
INTITULE
|
ASSIGNATIONS
|
REALISATIONS
|
Janvier
|
62 000 000
|
1 957 107, 00
|
Février
|
133 000 000
|
2 157 541, 00
|
Mars
|
90 000 000
|
2 168 037, 00
|
Avril
|
91 000 000
|
2 098 612, 00
|
Mais
|
78 000 000
|
1 275 665, 00
|
Juin
|
105 000 000
|
1 323 436, 00
|
Juillet
|
126 000 000
|
1 864 845, 00
|
Aout
|
97 000 000
|
1 705 876, 00
|
Septembre
|
100 000 000
|
1 674 891, 00
|
Octobre
|
94 000 000
|
826 050, 00
|
Novembre
|
130 000 000
|
403 563, 00
|
Décembre
|
150 000 000
|
80 993, 00
|
TOTAL
GENERAL
|
|
|
Source : Confection par
nous-mêmes à partir des recettes recouvrées et les
Assignations du Tableau N°1 et N°3
Tableau
N°11 : Les Assignations et réalisations de
l'année 2014 en FC
INTITULE
|
Assignations
|
Réalisations
|
Janvier
|
20 800 000
|
37 539 292
|
Février
|
75 500 000
|
28 957 662
|
Mars
|
90 000 000
|
42 655 950
|
Avril
|
92 000 000
|
32 243 874
|
Mais
|
158 000 000
|
93 221 542
|
Juin
|
89 000 000
|
128 285 858
|
Juillet
|
180 000 000
|
148 625 806
|
Aout
|
95 000 000
|
83 046 078
|
Septembre
|
83 000 000
|
66 938 177
|
Octobre
|
85 000 000
|
14 659 212
|
Novembre
|
101 000 000
|
70 757 345
|
Décembre
|
103 000 000
|
58 018 328
|
TOTAL GENERAL
|
|
|
Source :
Confectionné par nous-mêmes à partir du tableau N°1 et
N°5
Tableau
N°12:Les Assignations et réalisations de
l'année 2015 en FC
INTITULE
|
Assignations
|
Réalisations
|
Janvier
|
30 000 000
|
592 059 208
|
Février
|
60 000 000
|
50 920 855
|
Mars
|
111 000 000
|
44 370 379
|
Avril
|
120 000 000
|
58 995 230
|
Mais
|
99 000 000
|
47 953 163
|
Juin
|
177 000 000
|
31 102 157
|
Juillet
|
172 000 000
|
39 058 094
|
Aout
|
99 000 000
|
16 458 474
|
Septembre
|
50 000 000
|
86 251 237
|
Octobre
|
92 000 000
|
29 842 283
|
Novembre
|
101 000 000
|
99 380 637
|
Décembre
|
91 202 000
|
41 652 240
|
TOTAL
GENERAL
|
|
|
Source : Confectionné par
nous-mêmes à partir du tableau N°1 et N°7
III.3 TRAITEMENT DE DONNEES
STATISTIQUES
Dans cette branche du chapitre,
nous allons procéder à l'analyse de données
synthétiques présentées au point III.2.3. Ainsi, pour
arriver à bien analyser les données, nous nous servirons des
indicateurs suivants : les écarts entre les recettes
réalisées et assignées, le taux d'exécution
budgétaire pour mesurer la performance de recettes
réalisées et assignées mensuellement.
Pour cela, les formules ci-dessous
élaborées par nous-mêmes, nous aiderons à
trouver :
v Ecarts (E) =
RR/mois - RA/mois ou
RR/mois : sommation de recettes réalisées par mois
RA/mois : sommation de recettes assignées par mois
v Taux d'exécution
(Performance) : ![](La-gestion-des-recettes-non-fiscales-dans-une-rgie-financire-Cas-de-la-DGRADKananga12.png)
Exemple : les recettes
assignées pour le mois d'Avril 2011 sont de l'ordre de 128 700 000Fc et
les recettes réalisées sont de l'ordre de 47 821 626,76Fc.
Calculer l'Ecart et le taux d'exécution (performance) pour ce mois
d'Avril 2011 ?
E=47 821 626, 76-128 700 000=-80
878 373,24Fc
Performance= ![](La-gestion-des-recettes-non-fiscales-dans-une-rgie-financire-Cas-de-la-DGRADKananga14.png)
En fin, pour faire close cette
analyse, nous ferons appelle à la représentation de chaque exerce
budgétaire pour voir l'évolution de recettes
réalisées, assignées et la performance
Tableau N°13 :
CALCUL DES ECARTS ET TAUX D'EXECUTION EN FRANCS CONGOLAIS POUR
L'EXERCICE 2011
INTITULE
|
ASSIGNATIONS
|
REALISATIONS
|
ECARTS
|
PERFORMANCE
|
Janvier
|
39 000 000
|
34 226 386, 00
|
-4 773 614
|
88%
|
Février
|
78 000 000
|
35 927 495, 57
|
-42 072 554,43
|
49%
|
Mars
|
155 000 000
|
69 608 830, 71
|
-85 391 169,29
|
45%
|
Avril
|
128 700 000
|
47 821 626, 76
|
-80 878 373,24
|
37%
|
Mais
|
155 000 000
|
51 379 813, 78
|
-103 620 186,2
|
33%
|
Juin
|
234 000 000
|
132 851 197, 70
|
-101 148 802,3
|
57%
|
Juillet
|
221 000 000
|
55 198 310, 21
|
-165 801 689,78
|
25%
|
Aout
|
130 000 000
|
60 025 276, 06
|
-69 974 723,94
|
46%
|
Septembre
|
143 000 000
|
9 133 243, 34
|
-51 966 756,65
|
64%
|
Octobre
|
130 000 000
|
24 232 923, 10
|
-105 767 076,9
|
19%
|
Novembre
|
155 000 000
|
22 595 178, 52
|
-132 404 821,48
|
15%
|
Décembre
|
121 300 000
|
16 888 097, 44
|
-104 411 902,56
|
14%
|
TOTAL
|
1 690 000 000
|
641 788 371,19
|
|
38%
|
Source : Confectionné par
nous même à partir du tableau N°8
Graphiques
N°2 : les assignations et réalisations ainsi aue
les performances mensuelles
Source :
Tracer par nous même à partir du tableau N°13
Source :
Tracer par nous même à partir du tableau N°13
Commentaires :
Au regard de ce tableau et
graphiques, la DGRAD/Kasaï occidental démembre n'a pas bien
exercé son travail, celui de mobilisation de recettes non fiscales car,
son taux d'exécution (performance) dégagé pour
l'année 2011 est inférieur à 50% sur l'ensemble de ses
performances malgré qu'au mois de janvier, la courbe de recettes
réalisées est beaucoup plus proche de celle des assignations.
Pouvons-nous dire que cette contreperformance provient : de la non
collaboration entre les services de la DGRAD et ceux génératrices
de recettes ; de la consommation de recettes sur terrains par les deux
services (assiettes et DGRAD) ce qui engendre l'évasion de recettes et
leur coulage.
Tableau N°14
CALCUL DES ECARTS ET TAUX D'EXECUTION EN FRANCS CONGOLAIS POUR
L'EXERCICE 2012
IINTITULES
|
AASSIGNATIONS
|
RREALISATIONS
|
ECARTS
|
PERFORMANCE
|
Janvier
|
37 062 500
|
37 366 435,49
|
-303 935, 5
|
101%
|
Février
|
72 215 000
|
4 846 382,80
|
-27 368 617,2
|
62%
|
Mars
|
92 511 166,66
|
9 106 825,89
|
-23 404 340,8
|
74%
|
Avril
|
79 844 375
|
1 905 256,93
|
-31 536 363,3
|
52%
|
Mais
|
26 915 583,34
|
8 308 011,72
|
-78 607 571,6
|
38%
|
Juin
|
234 004 000
|
47 978 033,50
|
-13 974 033,5
|
106%
|
Juillet
|
126 709 250
|
8 042 600,17
|
-58 666 649,8
|
54%
|
Aout
|
122 925 000
|
2 047 343,54
|
-70 877 656,46
|
42%
|
Septembre
|
96 133 375
|
1 905 838,09
|
-64 227 536,9
|
33%
|
Octobre
|
83 133 375
|
6 661 475,62
|
-26 471 899,4
|
68%
|
Novembre
|
61 266 750
|
7 356 215,17
|
-3 910 534,8
|
94%
|
Décembre
|
103 065 000
|
8 111 446,12
|
-74 953 553,87
|
37%
|
TOTAL
|
1 235 785
375
|
83 635
865,04
|
|
63%
|
Source : confectionné par
nous même à partir du tableau N°9
Graphiques
N°3 : les assignations et
réalisations ainsi que les performances mensuelles
Source :
Tracer par nous-même à partir du tableau N°14
![](La-gestion-des-recettes-non-fiscales-dans-une-rgie-financire-Cas-de-la-DGRADKananga18.png)
Source : Tracer par nous-même
à partir du tableau N°14
Commentaire
Au cours de cette année
2012, la DGRAD/K. OCC commence une meilleure politique de mobilisation de
recettes non fiscales car, celles-ci sont passées de 38% à 63% en
termes de performance par rapport à l'année 2011.et ceci est
aussi observé sur le graphique des assignations et réalisations
de cette année.
Ainsi, ce bon rendement est
dû d'une imputation de tous les acteurs tant de services
générateurs que ceux de la DGRAD.
Tableau N° 15
CALCUL DES ECARTS ET TAUX D'EXECUTION EN FRANCS CONGOLAIS POUR
L'EXERCICE 2013
INTITULE
|
ASSIGNATIONS
|
REALISATIONS
|
ECARTS
|
PERFORMANCE
|
Janvier
|
62 000 000
|
1 957 107, 00
|
-60 042 893
|
3%
|
Février
|
133 000 000
|
2 157 541, 00
|
-130 842 459
|
2%
|
Mars
|
90 000 000
|
2 168 037, 00
|
-82 831 963
|
2%
|
Avril
|
91 000 000
|
2 098 612, 00
|
-88 901 388
|
2%
|
Mais
|
78 000 000
|
1 275 665, 00
|
-76 724 335
|
2%
|
Juin
|
105 000 000
|
1 323 436, 00
|
-103 676 564
|
1%
|
Juillet
|
126 000 000
|
1 864 845, 00
|
-124 135 155
|
2%
|
Aout
|
97 000 000
|
1 705 876, 00
|
-95 294 324
|
2%
|
Septembre
|
100 000 000
|
1 674 891, 00
|
-98 325 109
|
2%
|
Octobre
|
94 000 000
|
826 050, 00
|
-93 173 950
|
1%
|
Novembre
|
130 000 000
|
403 563, 00
|
-129 596 437
|
0%
|
Décembre
|
150 000 000
|
80 993, 00
|
-149 190 907
|
1%
|
TOTAL
|
1 256 000
000
|
18 264
516
|
|
2%
|
Source :
confectionné par nous même à partir du tableau N°10
Graphiques
N°4 :Les assignations et réalisations ainsi que
les performances de 2013
Source :
Tracer par nous-même à partir du tableau N°15
Source : Tracer par
nous-même à partir du tableau N°15
Commentaire
De L'analyse de ce tableau et
graphiques, il est observé que la DGRAD/K.OCC n'a pas participé
totalement à la mobilisation des recettes non fiscales pour
l'année 2013, car sa performance est très minime soit 2% sur
l'ensemble de l'année, chose grave pour cette Régie
Financière.Et nous remarquons que, sur le graphiques des assignations et
réalisations, les réalisations sont très moindres et
n'atteignentmême pas le centre du graphique.
Ainsi, les causes liées
à cette contreperformance de cette Direction Provinciale pour
l'année 2013 sont : les changements brusques de certains chefs de
divisions, chefs des ressorts, chefs des bureaux, agents... aussi, s'ajoute
l'incapacité de ce dernier en matière d'encadrement de
recettes et le non-paiement des agents.
Tableau N°16
CALCUL DES ECARTS ET TAUX D'EXECUTION EN FRANCS CONGOLAIS POUR
L'EXERCICE 2014
INTITULE
|
Assignations
|
Réalisations
|
ECART
|
PERFORMANCE
|
Janvier
|
20 800 000
|
37 539 292
|
16 793 292
|
181%
|
Février
|
75 500 000
|
28 957 662
|
-46 542 338
|
38%
|
Mars
|
90 000 000
|
42 655 950
|
-47 344 050
|
47%
|
Avril
|
92 000 000
|
32 243 874
|
-59 756 126
|
35%
|
Mais
|
158 000 000
|
93 221 542
|
-64 778 458
|
59%
|
Juin
|
89 000 000
|
128 285 858
|
39 285 858
|
144%
|
Juillet
|
180 000 000
|
148 625 806
|
-31 374 194
|
83%
|
Aout
|
95 000 000
|
83 046 078
|
-11 953 922
|
88%
|
Septembre
|
83 000 000
|
66 938 177
|
-16 061 823
|
81%
|
Octobre
|
85 000 000
|
14 659 212
|
-70 340 788
|
17%
|
Novembre
|
101 000 000
|
70 757 345
|
-3 024 655
|
70%
|
Décembre
|
103 000 000
|
58 018 328
|
-44 981 672
|
56%
|
TOTAL
|
1 177 300
000
|
804 949
124
|
|
68%
|
Source : confectionné par
nous même à partir du tableau N°10
Graphiques
N°5 :les assignations et réalisations ainsi que
les performances mensuelles de 2014
Source :
tracer par nous-même à partir du tableau N°16
Source :
Tracer par nous-même à partir du tableau N°16
Commentaire
Au cours de cette année,
nous constatons que la DGRAD/K.OCC reprend sa marche comme d'habitude
comparativement à l'année 2013 où le taux
d'exécution budgétaire ne valait rien pour le compte du
trésor public, mais pour l'année 2014, il y a eu un rendement
important de 69% et ceci est observé aussi mensuellement sur le
graphique des assignations et réalisations des recettes.Nous pouvons
dire que, c'est bon rendement, est réalisé suite à un
dynamisme du service de recouvrement de la DGRAD qui a appliqué sans
faille, les attributions qui lui sont dévolues ; à la
résolution de différents problèmes évoqués
en 2013 et l'élargissement de l'assiette fiscale en activant un acte
générateur de recettes négligées.
Tableau N°17
CALCUL DES ECARTS ET TAUX D'EXECUTION EN FRANCS CONGOLAIS POUR
L'EXERCICE 2015
INTITULE
|
ASSIGNATIONS
|
REALISATIONS
|
ECARTS
|
PERFORMANCE
|
Janvier
|
30 000 000
|
592 059 208
|
562 059 208
|
197%
|
Février
|
60 000 000
|
50 920 855
|
-9 079 115
|
85%
|
Mars
|
111 000 000
|
44 370 379
|
-66 629 621
|
40%
|
Avril
|
120 000 000
|
58 995 230
|
-114 100 770
|
49%
|
Mais
|
99 000 000
|
47 953 163
|
-51 046 837
|
48%
|
Juin
|
177 000 000
|
31 102 157
|
-145 897 843
|
16%
|
Juillet
|
172 000 000
|
39 058 094
|
-132 941 906
|
23%
|
Aout
|
99 000 000
|
16 458 474
|
-82 541 526
|
17%
|
Septembre
|
50 000 000
|
86 251 237
|
36 251 237
|
173%
|
Octobre
|
92 000 000
|
29 842 283
|
-71 157 717
|
23%
|
Novembre
|
101 000 000
|
99 380 637
|
-1 619 7363
|
98%
|
Décembre
|
91 202 000
|
41 652 240
|
-49 549 760
|
46%
|
TOTAL
GENERAL
|
1 202 202
000
|
1 129 043
957
|
|
93%
|
Source : confectionné par
nous même à partir du tableau N°11
Graphiques
N°6 :Les assignations et réalisations ainsi que
les performances mensuelles de 2015
source :
Tracer par nous-même à partir du tableau N°17
Source :
Tracer par nous-même à partir du tableau N°17
Commentaire
Analysant ces statistiques, il est
enregistré à la DGRAG/K.OCC une évolution nette de
recettes non fiscales parce que cette régie financière est
presqu'à atteindre le maximum de performance en terme de
totalité générale des assignations et réalisations
soit 93%, chose importante pour une entreprise en pleine croissance. Cette
situation de croissance est observée sur les graphiques des assignations
et réalisations mensuelles où en janvier, les recettes
réalisées sont beaucoup plus éloigné de l'origine
du graphique c'est-à-dire, les recettes réalisées pour ce
mois, sont supérieure aux assignations pour ce mois.
Soulignons que cette
évolution nette est due à (au) : la régularisation
de toutes les situations administratives et une très bonne rotation de
cadres et agents compétents par une mise en place
générale ; recouvrement forcé des assujetties
défaillants et la multiplicité de contrôle dans
différents services générateurs de recettes non
fiscales.
III.4 COMPARAISON DES
ASSIGNATIONS ET REALISATIONS POUR TOUS LES 5 ANS
Tableau
N°18 : les assignations et réalisations ainsi que
les performances de 2011-2015
Période
Recettes
|
2011
|
2012
|
2013
|
2014
|
2015
|
Assignations
|
1 690 000 000
|
1 235 785 375
|
1 256 000 000
|
1 172 300 000
|
1 202 202 000
|
Réalisations
|
641 788 379,19
|
83 635 865,04
|
18 264 516
|
804 949 124
|
1 129 043 957
|
Performances
|
38%
|
63%
|
2%
|
68%
|
93%
|
Source :Confectionner par
nous-même à partir des tableaux N°13-17
Graphiques
N°7 :Les assignations et réalisations ainsi que
les performances de 2011-2015
Source :Tracer par
nous-même à partir du tableau N°18
![](La-gestion-des-recettes-non-fiscales-dans-une-rgie-financire-Cas-de-la-DGRADKananga26.png)
Source :
Tracer par nous -même à partir du tableau N°18
INTERPRETATION DU TABLEAU
ET GRAPHIQUES DE SYNTHESE
Ces graphiques, nous aides
à faire une comparaison générale sur l'évolution de
recettes non fiscales assignées et réalisées pour chaque
période sous étude et à voir l'évolution de la
performance dégagée par année.
Ainsi, de l'analyse du
2ème graphique, nous constatons qu'en 2011, la
DGRAD/Kasaï occidental démembre a dégagée un taux
d'exécution budgétaire de 38% en terme de performance qui marque
une reconstruction dans l'avenir car, ce taux est inférieur à la
moyenne de 50%. D'où, elle doit mettre ses batteries en marche pour
satisfaire le gouvernement central.
En 2012, le taux
d'exécution budgétaire en terme de performance, varie de 63%
comparativement à celui de 2011 qui été de 38%.C'est
pourquoi, il sied de dire que, cet évolution est le fruit d'une
meilleure politique de mobilisation des recettes et de l'engament de tous les
agents tant dans des services d'assiettes que ceux de la DGRAD.
Pour l'année 2013, la
DGRAD/Kasaï occidental est considérée comme une entreprise
qui ne connait pas son objectif car, elle parvenu affaire une agression
très exagérer de taux d'exécution budgétaire de 2%
en terme de performance.
Cela étant, cette faible
réalisation du taux d'exécution budgétaire en terme de
performance (très contreperformance manifeste par la DGRAD Kasaï
occidental en terme des recettes réalisées) dégager par la
DGRAD Kasaï occidental, bien qu'opérationnelle émane de la
faiblesse du service de recouvrement de la DGRAD ;du changementbrusque des
travailleurs ; de l'incapacité des certains agents en
matière de l'ordonnancement et de recouvrement et de la mauvaise gestion
des recettes ordonnancées.
En 2014, nous rendons compte que
la DGRAD/Kasaï occidental à compris l'importance du pourquoi, elle
a été implanté dans cette province suite à son taux
d'exécution budgétaire en terme de performance qui appris une
croissancede 69% comparativement à l'année
précédente ou elle a traversé une situation très
délicate.Cette situation est très bien visualisée sur le
graphique des assignations.
Le décalage marque la
participation accrue de tous les services de la DGRAD/Kasaï occidental
démembré ; la discipline suivit des sanctions ;une
bonne rotation des agents et une bonne enveloppe salariale (motivation) des
agents de telle sorte à garantir la conscience professionnelle.
Pour l'année 2015, nous
remarquons que, le taux d'exécution budgétaire en terme de
performance à très variés de 69% à 93% jusqu'
atteindre la barre total en terme de performance, ce qui dénote un
très bon rendement de la mobilisation des recettes non fiscales et sur
le graphique des assignations et réalisations, nous nous
réalisons que, les recettes réalisées veulent atteindre
les recettes assignées pour cette année.Ce pourquoi, nous pouvons
affirme que, ceci, est due à l'amélioration profonde et
très accrue des conditions de travail, en mettant tous les
mécanismes possibles dans le processus de recouvrement des recettes.
CRITIQUES ET
SUGGESTION
Etant arrivéau bon port de
ce travail de fin de cycle de graduat, nous constatons que la DGRAD/Kasaï
occidental qui est une régie financière de l'Etat implanté
dans la province présente des insuffisances qui constituent un frein
à la mobilisation des recettes dont-elle encadré.
Ainsi, nos critiques portes sur
plusieurs aspects en occurrence :
v La fraude et l'évasion
des recettes fiscales ou non fiscale ainsi que la corruption ;
v La méconnaissance des
lois fiscaleset non fiscales par les opérateurs
économiques ;
v L'impunité, l'absence de
la fonction à l'égard des agents et actionnaires, qui s'adonnent
au détournement des fonds publics à un effet contagions ;
v la consommation des recettes
publiques à la source par les services de l'Etat chargé de la
constatation, ordonnancement et recouvrement en posant les actes contraires
tels que : la fraude documentaire, l'enlèvement de certains noms
des assujetties sur les répertoires ;
v l'absence du contrôle par
le service de l'Etat chargé de l'audite de la réception des
recettes publiques (Inspection générale des finances et la cours
de contrôle) ;
v l'ingérence des
autorités politico-administratives et judiciaires dans le traitement des
dossiers d'assiette sur terrain par souci de protéger les
contribuables.
SUGGESTIONS
Pour pallier les risques des
baisses des recettes non fiscales dans l'avenir, la DGRAD/KASAI OCCIDENTAL
Démembre doit rendre sa politique de gestion et de mobilisation des
recettes recouvrés plus efficaces, elle est doit aussi :
o donner un salaire décent
aux fonctionnaires et mettre à leurs dispositions les moyens
adéquats de locomotion ;
o élaborer un cadre de
concertation permanente entre les services de la DGRAD/Kasaï occidental
démembre, les services d'assiettes et les opérateurs
économiques ;
o donner les moyens à
l'inspection générale des finances pour qu'elle fasse son travail
de contrôle ;
o rendre aux assujetties un
service de qualité, de sorte à encourager ce qu'ils exercent
comme travail ;
o mettre en place la politique
visant à convaincre les citoyens d'un usage utile des taxes et
redevances qui doivent inclure la performance et la justice sociale.
CONCLUSION GENERALE
Nous voici arriver à la fin
de notre oeuvre scientifique de fin cycle de graduat qui nous appris plus de 6
mois pour son élaboration en sciences économiques et
administrations des affaires intitulée « LA GESTION DES
RECETTES NON FISCALES DANS UNE REGIE FINANCIERE ». Cas de la
DGRAD/Kasaï Occidental Démembre de 2011 à 2015.
Dans ce travail, notre souci
majeur était de démonter la politique de la gestion des recettes
non fiscales encadrés par la DGRAD/Kasaï Occidental contribue au
développement de la province de manière générale,
et de manière spécifique, l'idée était de faire
voir la façon optimale que la DGRAD détermine ses assignations et
montrer comment la mobilisation des recettes non fiscales serait à la
hauteur des assignations.
Pour y parvenir, nous avons fait
recourt aux méthodes : comparative ; descriptive ;
analytique et structuro-fonctionnelle qui ont été soutenues par
les techniques suivantes : documentaire, d'observation et d'interview.
En plus de l'introduction et de la
conclusion, notre travail porte sur trois chapitres :
- Le chapitre premier est
consacrésur la généralité des concepts de base
pour bien orienter notre étude ;
- le deuxième chapitre
quant à lui parle de la présentation de la DGRAD ;
- le troisième chapitre et
le dernier, traite de la présentation des données, de leur
analyse et de l'interprétation des résultats sur les recettes
assignées et réalisées par la DGRAD/Kasaï occidental
démembrée de 2011 à 2015.
Comme apport dans ce travail, nous
nous sommes rendus compte que, la politique des gestions des recettes non
fiscales encadré par la DGRAD n'est pas efficiente car, le taux
d'exécution budgétaire d'une manière
générale esten moyen 53% en terme de performance
c'est-à-dire sur l'ensemble des années étudies la moyen de
taux d'exécution budgétaire à varié, de 3% sur base
de notre échelle en moyenne ( ).
Nous avons constaté que,
les assignations de la DGRAD/Kasaï occidental ne sont pas
déterminer des manières optimale et que la DGRAD/Kasaï
occidental démembré n'a jamais atteint les assignations
budgétaires annuelle qui ce derniers ; ne sont que de minimum.
A cet effet nous avons fait une
formation des critiques en occurrence : l'absence du contrôle par
les services de l'Etat chargé de l'audité de perception des
recettes publiques ; la consommation des recettes publiques à la
source par les services de l'Etat chargé de constatation, liquidation,
ordonnancement et recouvrement.
Pour y remédier, nous avons
suggéré qu'ils doivent organiser régulièrement le
contrôle de la gestion dans différents services pour arriver
à infliger aux agents et fonctionnaires des sanctions négatives
ou positivés ; enfin le gouvernement de la république
doit mettre les agents et les fonctionnaires de l'Etat dans des bonnes
conditions de travail en le dotant des moyens efficaces.
Enfin, voilà de quelle
manière, nous avons chuté avec notre travail (publications).
Néanmoins, nous ne prétendons pas tous dire car, tout oeuvre
humaine est imparfaite et nous sollicitons la tolérance à tous
ceux qui vont nous lire de nous enrichies, pourquoi pas nous
dépassés scientifiquement.
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES
1. BARRER, R, Economie
politique, tome 1, PUF, Paris 1969.
2. BOURVIER (M), introduction
au droit fiscal générale et à la théorie de
l'impôt, 6ème éd L.D.G.J, Paris 2014.
3. BUABUA WA KAYEMBE Mathias,
finances publiques congolaise, éd universitaires africaines
2013.
4. CONAN Mathieu et MUZELE
Raymond, finances publiques, 16ème éd Dalloz,
Paris 2003.
5. DERUEL(F), finances
publiques, droit fiscale, éd Dalloz, Paris 1995.
6. DESIE Emmanuel et SAROF
Jacques, gestion fiscale, tome 1, 12ème éd DUNOD,
Paris 2012.
7. DUVERGER, finance publique,
éd PUF, Paris 1960.
8. DUVERGER, finances
publiques, éd PUF, Paris 1984.
9. JEZE. G, finances
publiques, éd L.G.D.J, Paris 1936.
10. M. SALEE, initiation
à l'économie générale, 2ème
éd, DUNOD, Paris 1975.
11. MUKUMBULE Jean, gestion
d'un territoire en Afrique, éd Moulin-Clet, Canada, 1989.
12. UMBA-DIC-NDANG, notion de
législation sociale sur la finance publique et droit fiscal, éd.
CRP KIN, 1991.
B.
DICTIONNAIRES
1. Dictionnaire de sciences
économiques, éd ArmondCollin, 2007.
2. Dictionnaire français
contemporain illustre 1980, librairie Larousse, 17, rue du Mont Paramasse
75298, Paris cedex 06.
3. Dictionnaire français le
Robert, nouvelle éd 2011, 25, avenue Pierre-de-Coubertin, 75013,
Paris.
4. Jean YVES Capules et Olivier
Garnier, dictionnaire d'économie et sciences sociales, éd
nouvelle Hartier 2015.
C. NOTES DE
COURS
1. BAKANDEJA WA MPUNGU
Grégoire avec la collaboration du doctorant Me Ignace MUAMBA MUAMBA,
cours inédit de finance publiques, 3ème graduat
sciences économiques/U.KA, 2017-2018.
2. BWAMBA MAYI B, Marcel,
cours inédit, Méthode de recherche en économie et
science sociale, 2ème graduat, UKA/Kananga/S.E.A.A
2016-2017.
3. ILUNGA MUTSHIPAYI, OKENGE
Léon MUNABE Patrice, cours inédit, méthodologie de
la recherche, 2ème graduat SBM, UKA/Kananga
2016-2017.
4. KATIKITSHI NZEMBELE BLAISE,
cours inédit, initiation à la recherche scientifique,
1ère graduat S.E.A.A, UKA/Kananga 2015-2016.
D. MONOGRAPHIE
1. KAPEMBA TSALA MANGENDA Amiga
Aimerance, « les stratégies de recouvrement de recettes
non fiscales » cas de la DGRAD/Kasaï occidental de 2010
à 2012, TFC en SCAD, ISP/Kananga en juillet 2014.
2. MOUSSA DIA,
« dépenses et croissance
économique », mémoire en maitrise,
Sénégal 2008.
3. MPUTU KABENA Godelieve,
« la contribution des recettes au budget de la
province ». cas de la DGRAD/Kasaï occidental 2010-2012,
TFC en SCAD, ISP de Kananga, inédit juillet 2014.
4. PIANA KABEMBA Alidor,
« impact des recettes générale par le service de
l'environnement et développement durable sur la réalisation
globale de la DGRAD/Kasaï occidental démembré de
2012-2015 », mémoire juillet 2016 en SCAD,
ISP/Kananga.
5. SOULEYMANE DIARRA,
« choc et mobilisation des recettes publiques dans le pays
en développement », thèses Sénégal
2012.
E. REVUES ET DOCUMENTS
OFFICIELS
1. Bien-aimé KABEMBA
TUBELANGANE, la situation socio-économique du Kasaï,
problèmes, atout et aspiration, revue UKA, volume 4 n°7-8, 2016.
2. Décret n°0058 du
29/12/1995.
3. DGRAD, MEMO à
l'intention de monsieur le ministre de finance, direction
général, 1996.
4. Jean-Claude NGOLO KWETE,
« la fraude fiscale dans le contexte économique de la RDC,
revue UKA, volume 5, n°9-10, 2017.
5. JOB description de la direction
du control et de l'ordonnancement des recettes domaniales, le 15/08/2001.
6. Journal officiel de la RDC,
cabinet du président de la république, Kinshasa, 27/2/2013,
54ème année, 1ere partie numéro
spécial.
7. Journal officiel de la RDC,
numéro spécial 1ère partie du 27 juillet 2013,
Kinshasa.
8. Journal officiel, nomenclature
des actes générateurs des recettes administratives judiciaires
domaniales et de participations ainsi que leurs modalités de perception,
numéro spéciales du 18/08/2006, 47ème
année.
9. Loi n°002/DGARD,
DP/Kasaï occidental/MB/O8 du 17/09/2008.
10. Loi n°81/003 du 27 Mars
1981 portant statut du personnel de carrière de service de l'Etat.
11. Module de formation sur les
notions élémentaires de taxes et impôts, L'ushi 2016.
12. Nomenclature des recettes non
fiscales, Kinshasa, 1998.
F. WEB GRAPHIE
1. Recettes non fiscales/comptes
publics.fr (Google.com)
2.
http://fr.wikipedia.org/wiki/regie (droit fiscale).
3.
http://W.W.W.Cnrtf.fr/définition/régie.
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE
I
AVANT PROPROS
II
DEDICACE
III
ABREVIATIONS
IV
O.INTRODUCTION
1
0.1. ETAT DE LA QUESTION
1
0.2. PROBLEMATIAQUE
2
0.3. HYPOTHESES
4
0.4. INTERET DU TRAVAIL
5
O.5. METHODES ET TECHNIQUES UTILISES
5
II.1. DE LA CREATION DE LA DGRAD
16
II.1.1. Cadre historique de la DGRAD
16
II.1.2. MISSIONS DE LA DGRAD
16
II.2. IMPLENTATION DE LA DGRAD AU KASAI
OCCIDENTAL DEMEMBRE
17
II.3.1. LOCALISATION
17
II.3.2. DES EFFECTIFS
17
II.4. STRUCURE ORGANISATIONNELLE DE LA DGRAD/
Kasaï-Occidental
17
II.5. ORGANIGRAMME
18
II.6.4. Division de contrôle et
ordonnancement des recettes domaniales (CORDOM)
21
II.6.5. Division de recouvrement et suivi de
régime d'exception
22
II.6.6. division DES IMPRIMES DES VALEURS ET
ADMINISTRATIVE
22
II.6.7. Division des études et
contentieux
23
II.6.8. Division de finance et budget
23
II.7. COMPETENCES ET ATTRIBUTIONS ENTRE LES
SERVICES GENERATEURS
23
II.7.1. Attributions et compétences des
services générateurs
23
II.7.2. Attribution DE LA GDRAD
23
II.7.3. Compétences de la DGRAD
24
II.7.3.1. Ordonnancement et recouvrement
24
CHAPITRE III : PRESENTATION DE DONNES
ANALYSE ET INTERPRETATION
25
III. 1. SHEMA DE MOBILISATION DES RECETTES
NON-FISCALES
25
III.2.3. PRESENTATION SYNTHETIQUE DES
DONNEES
33
III.3 TRAITEMENT DE DONNEES STATISTIQUES
36
III.4 COMPARAISON DES ASSIGNATIONS ET
REALISATIONS POUR TOUS LES 5 ANS
45
INTERPRETATION DU TABLEAU ET GRAPHIQUES DE
SYNTHESE
47
CRITIQUES ET SUGGESTION
48
SUGGESTIONS
48
CONCLUSION GENERALE
49
BIBLIOGRAPHIE
51
A. OUVRAGES
51
B. DICTIONNAIRES
51
C. NOTES DE COURS
52
D. MONOGRAPHIE
52
E. REVUES ET DOCUMENTS OFFICIELS
52
F. WEB GRAPHIE
53
TABLE DES MATIERES
54
* 1 MPUTU KABENA GODELIEVE,
« la contribution des recettes non fiscales au budget de la
province ». Cas de la DGRAD/K-OCC de 2010-2012. TFC en SC AD,
ISP de Kananga, inédit. Juillet 2014.
* 2 Amida Aimerance KAPEMBA
TSALA MANGENDA, « les stratégies de recouvrement des
recettes non fiscales ». Cas du DGRAD/Kasaï occidental 2010
à 2012. TFC en SCAD, ISP/Kananga en juillet 2014.
* 3Alidor MPIANA KABEMBA,
impact des recettes générales par le service de
l'environnement et développement durable sur les réalisations
globales de la DGRAD/Kasaï-Occidental démembré de 2012
-2015. Mémoire juillet 2016 SCAD, ISP/Kananga.
* 4 MOUSSA DIYA,
Dépenses publique et croissance économique, mémoire
en maitrise, Sénégal 2008, P.20.
* 5
www.oecd.org/fiscalite
* 6 SOULEYMANE DIARRA, Choc
et mobilisation des recettes publiques dans les pays en
développement, thèse, Sénégal 2012, P.38.
* 7 BUABUA WA KAYEMBE M.,
Finance publiques Congolaises, éd. Universitaire Africaine
2013, P. 65.
* 8 Jean Claude NGOLO KWETE, la
fraude fiscale dans le contexte de la RDC, revue U.KA, volume4, n° 7-8,
2016, P.64-65
* 9 Bien-aimé KABEMBA
TUBELANGANE, La situation socio-économique du Kasaï, revue
U.KA, volume 4, n°7-8,2016, P.64-65
* 10 ILUNGA MUTSHIPAYI, OKENGE
LEON MUNABE PATRICE, Cours de méthodologie de la
recherché, 2ème graduat, SBM, U.KA/Kananga 2016-2017.
* 11 KATIKISHI NZEMBELE Blaise,
« Cours d'initiation à la recherche
scientifique » 1ère graduat S.E.A.A,
U.KA/Kananga 2015-2016.
* 12 KATIKISHI NZEMBELE Blaise,
op.cit.
* 13 KATIKISHI NZEMBELE Blaise,
op.cit.
* 14 KATIKISHI NZEMBELE Blaise,
op.cit.
* 15 KATIKISHI NZEMBELE Blaise,
op.cit.
* 16 KATIKISHI NZEMBELE Blaise,
op.cit.
* 17 Marcel BWAMBA MEYI B.,
Méthode de recherche en économie et science sociale cours
inédit, deuxième graduat, U.KA/Kananga, SEAA, 2017.
* 18 Jean MUKUMBULA,
Gestion d'un territoire en Afrique, éd. Moulin-clé,
Canada, 1989, P.107.
* 19Dictionnaire
Français contemporain, librairie Larousse, 17, Rue de Mont parnasse
75298, 1980, Paris cedex 06, P.993.
* 20 Dictionnaire des sciences
économiques, éd. Armand colin, 2007, P.404.
* 21 Jean YVE et OLIVIER
Garnier, Dictionnaire d'économie et des sciences sociales, éd.
Nouvelle hartier 2015.
* 22 Jean YVE et OLIVIER
Garnier, op.cit
* 23 JEZE.G, Finances
publiques, éd. LGDJ, Paris, 1936, P.37.
* 24 Deruel (F), Finance
publique, droit fiscal, éd. Dalloz, Paris , 1995, P. 1.
* 25 Emmanuel DESIE et JACQUES
SARAF, gestion fiscale, tome 1, 12ème édition
DUNODE, Paris 2012, P.2.
* 26 Grégoire BAKANDEJA
WA MPUNGU avec la collaboration du Doctorant Ignace MUAMBA MUAMBA,
« Cours de finances publiques, 3ème graduat
sciences économiques/U.KA, 2018, P.47.
* 27 Bouvier (M),
introduction au Droit fiscal général et à la
théorie de l'impôt, 6ème édition
LDGJ, Paris 2004, P.2018.
* 28 BUABUA WA KAYEMBA, op.cit,
P.154.
* 29 Dictionnaire
français comptemporain, opt.cit, p 1148
* 30Module de formation sur
les notions élémentaires des taxes et impôts, l'ushi,
2006, p4
* 31 Dictionnaire
français le robert, nouvelle éd. 2011,25 avenue
pierre-de-Coubertin,75013 ,Paris 94
* 32 Raymond MUZELE &
MATHIEU CONAN, Finance publique, 16ème
édition Dalloz, Paris 201 3. P.546.
* 33 M.
SALEE, « initiation à l'économie
générale »,2ème éd.
DUNOD ; paris 1975, p. 129
* 34 M.SALEE, Initiation
à l'économie générale, deuxième
édition DUNOD, Paris, 1975, P.129.
* 35 BARRER, R, Economie
Politique, Tome 1, PUF, Paris, 1969, P.44.
* 36 Mathias BUABUA WA KAYEMBE,
Finances Publiques Congolaise, éditions Universitaires Africaines. 2013.
P.49-50
* 37 Idem, P50
* 38 Idem, p 49
* 39 Grégoire BAKANDEJA
WA MPUNGU avec la collaboration du doctorant me Ignace MUAMBA, opte cite, p
* 40 Recettes non fiscales/
Comptes publics.fr.
* 41 Journal officiel de la
RDC, Numéro spécial, première partie du 27 février
2013 ? Kinshasa, P.49.
* 42 Décret n°0058
du 27 décembre 1995, portant création DGRAD.
* 43 UMBA-DIC-NDANG, notions de
législations sociales, finances publiqes et droit fiscal, éd. CRP
KIN, 1991, P.53.
* 44 DUVERGER (M), Finance
publique, 10ème édition, PUF, Paris, 1984,
P.111-112.
* 45 JOB description de la
direction du contrôle et de l'ordonnancement des recettes domaniales
à la DGRAD, le 15 aout 2001.
* 46 BUABUA WA KAYEMBE, op.cit,
P.38-39.
* 47 DUVERGER, finances
publiques, édition PUF, Paris 1960, P. 100-1001.
* 48 Journal officiel de la
RDC, op.cit, P.49.
* 49 Journal officiel de la
RDC, op.cit, P.75.
* 50 Journal officiel de la
RDC, op.cit, P.75.
* 51 Godeliève MPUTU
KABENA, op.cit, P.14.
* 52
http://fr.wikipedia.org/wiki/régie
(droit financier).
* 53 Dictionnaire
Français contemporain, op.cit.
* 54 Dictionnaire de
Français, le Robert, op.cit.
* 55
http://WWW.cnrtf.fr/définition/régie.
* 56 Journal officiel,
nomenclature des actes générateurs des recettes administratives,
judiciaires, domaniales et des participations ainsi que leurs modalité
de perception, numéro spécial du 18 août 2016,
47ème année, P.41.
* 57 Idem, P.42.
* 58 Idem, P.2.
* 59 Décret n°0058
du 29 décembre 1995.
* 60 Bureau du personnel de la
DGRAD/Kasai occidental démembré.
* 61 Bureau du personnel.
* 62 Bureau du personnel.
* 63 Loi n°081/003 du 27
mars 1981 portant statut du personnel de carrière de service de
l'Etat.
* 64 Loi
002/DGRAD,DP/Kasaï occidental/MB/08 du 19 septembre 2008.
* 65 Bureau du personnel de la
DGRAD/Kasaï occidental.
* 66 Journal officiel,
nomenclature des actes générateurs des recettes, op.cit, P.43.
* 67 Bureau du personnel.
* 68 Journal officiel,
nomenclature des actes , op.cit. P.43
* 69 Bureau du personnel de la
DGRAD/Kasai occidental.
* 70 Journal officiel,
nomenclature des actes, op.cit. P.43.
* 71 Bureau du personnel de la
DGRAD.
* 72 Journal officiel de la
RDC, cabinet du président de la République, Kinshasa, 27
février 2013, 54 années, première partie, numéro
spécial, P. 48.
* 73 Journal officiel de la
RDC, cabinet du président de la République, op.cit, P. 48.
* 74 Décret-loi
n°0058 du 29 décembre 1995.
* 75 DGRAD, mémo
à l'intention de monsieur le ministre de finance, Direction
générale, 1996, P.3.
* 76 Nomenclature des recettes
non fiscales, Kinshasa, 1998, P.7.
* 77 Journal officiel de la
RDC, cabinet du président de la République, op.cip, P.49.
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