Approche socio-anthropologique des institutions d'intégration des personnes à¢gées : le cas de l'êbeb chez les Odjukru (côte d?ivoire)( Télécharger le fichier original )par Fato Patrice KACOU Université Félix Houphouet Boigny de Cocody-Abidjan - Thèse Unique de Doctorat en Sociologie 2013 |
1.4-Objectifs1.4.1-Objectif généralL'objectif de cette thèse est d'étudier les mécanismes sociaux d'intégration des personnes âgées dans la société Odjukru. 1.4.2-Objectifs spécifiquesIl s'agit concrètement dans cette étude de: 1- Décrire le fonctionnement institutionnel de l'êbeb; 2- Analyser les représentations sociales de la vieillesse et de la longévité chez les Odjukru; 3- Montrer la manière dont la société Odjukru construit le statut de ses personnes âgées; 4- Appréhender la nature des rapports entre les aînés sociaux et leur système de relation. 1.5-ThèseLa Côte d'Ivoire a la double ambition d'être un pays émergent d'ici 2020 et de parvenir au développement humain durable. Cela implique l'amélioration de tous les indicateurs socio-économiques, dont la réussite de sa politique de protection sociale. Pour ce faire, elle doit rendre inclusifs les mécanismes de gestion des personnes âgées en articulant les structures formelles de prise en charge des retraités et les institutions traditionnelles d'intégration du grand âge. En ce sens, l'êbeb peut être un modèle pour la construction d'une politique de prévoyance sociale en Côte d'Ivoire. 1.6-Hypothèses de l'étude1. Les statuts et rôles sociaux assignés aux personnes âgées sont fonction des représentations sociales du grand âge. Plus la société a une image valorisante de la vieillesse, plus elle confie des rôles honorifiques aux personnes âgées. 2. Les institutions socioculturelles Odjukru favorisent l'atténuation des risques sociaux de vieillissement pathologique. Elles sont une alternative à la difficile reconstruction du parcours de vie post-retraite. 1.6.1-Plan de vérification des hypothèsesIl s'agit de définir et d'opérationnaliser les concepts de l'hypothèse que sont les représentations sociales, les risques sociaux et le vieillissement pathologique. Nous définirons le vieillissement en tenant compte de sa proximité avec les termes de vieillesse et de personne âgée. Représentation sociale : du latin repraesentare, rendre présent, la représentation renvoie à une image, un signe ou un symbole fourni à la conscience par les sens, perçu antérieurement, mais momentanément imperceptible. La représentation se distancie des pensées, des concepts et des idées par sa dépendance des expériences sensibles ou d'un objet. Pour Werner D. Frölich (1997)148(*): « est considéré comme représentation, en un sens plus large, tout contenu de conscience vécu comme un tout cohérent et qui est orienté vers un domaine d'objets, d'événements ou de situations déterminées ». Gilles Ferreol appréhende à son tour les représentations sociales sous la forme d'une diversité phénoménale parmi lesquelles on note les images du réel, les croyances, les valeurs, les systèmes de références, les théories du social. Elles répondent au besoin de l'esprit humain de se représenter les phénomènes à partir des expériences historiques et sociales des acteurs. Quelles que soient les formes que les représentations sociales prennent, elles sont une manière de penser et d'interpréter la réalité. Elles prennent source dans les idéologies, entrainent des attitudes et forgent les opinons des membres de la société. Les représentations sociales sont des savoirs produits et structurés par les individus ou la société pour donner sens au réel et comprendre les conduites sociales. En ce sens, elles sont un guide d'action qui va traduire le rapport au monde, la maîtrise de l'environnement social, l'orientation des conduites sociales et des rapports sociaux. C'est le sens auquel renvoie le concept de stéréotype issu lui-même des termes grecs « stereos », solide et de « tupos » emprunte, modèle, le stéréotype désigne une opinion toute faite qui réduit les singularités et s'applique à un individu, un groupe ou une société. En sociologie, A. Birou (1966)1(*) le définit comme étant : « le résultat d'une habitude mentale et souvent d'un préjugé par lesquels on classifie ou qualifie des personnes ou des groupes au moyen de caractéristiques parfois non prouvées ». Ce sont les affirmations telles que : les noirs sont violents, les personnes âgées sont incapables de mémorisation. Les personnes ou les groupes acceptent ces images et ces opinions sans aucune base rigoureuse, sans vérification. Toutefois, leur rapport avec ceux de qui ils ont un tel jugement est fonction de ce stéréotype. A ce stade, il convient de différencier le stéréotype du préjugé. Le préjugé est un jugement de valeur favorable ou défavorable à l'égard d'une chose ou d'une personne et qui se forme faute d'informations suffisantes. Il devient un stéréotype quant il est inscrit comme une habitude, un cliché. C'est émettre un préjugé (jugement de valeur) que de dire que la conscience fait la grandeur de l'homme. Derrière cette affirmation, il y a la personnalité de son auteur et son corpus idéologique qui s'expriment. Ce qui fait qu'un autre individu, partant de ses expériences, peut construire un discours tendant à mettre en relief les limites de la conscience. Car comme dit G. Rocher (1968)149(*): « un jugement de valeur porte sur des êtres ou des conduites qui sont jugées à la lumière de certaines valeurs, dans l'éclairage de certaines valeurs; c'est donc un jugement inspiré par les valeurs. » Les représentations sociales se forgent et se construisent avec des fils intriqués qui relient entre eux les diverses composantes du système social total et appellent les savoirs populaires. Elles sont des images que se fait la société en fonction de sa vision du monde, dans le but de comprendre et de maîtriser la réalité qui apparaît difficile d'accès. Elles sont un ciment déterminant dans la conduite et l'orientation des actions humaines. Dans le contexte de notre étude, l'objet de la représentation sociale s'identifie aux personnes âgées. Le sujet renvoie à deux entités sociales de notre champ d'étude. Ce sont les institutions sociales et les acteurs qui expriment les normes, les codes et les valeurs relatives au grand âge. Nous entendons par représentation sociale, l'ensemble des clichés et discours qui renvoient et justifient le statut des personnes âgées dans la société Odjukru. Les représentations sociales se perçoivent à travers la légende fondatrice de l'êbeb, la typologie de la vieillesse et de la longévité et les appellations socioculturelles des différentes strates d'aînés sociaux. Ces différentes représentations structurent les relations entre les acteurs sociaux. Risques sociaux: étymologiquement, le terme risque provient du latin resecum ou du verbe latin resecare qui veut dire ce qui coupe ou rocher escarpé ou encore écueil, «risque encouru en mer», «l'écueil ou le récif sont des obstacles que le navigateur doit absolument éviter». Il exprime la probabilité qu'un événement négatif ou périlleux survienne. Pour la plupart des définitions, la notion de risque évoque le danger éventuel plus ou moins prévisible. De ce fait le risque n'étant pas une fatalité, l'action humaine peut permettre de prévoir le risque et plus encore d'élaborer des réponses pour empêcher ou amoindrir sa réalisation. En droit, S. Braudo150(*) définit le risque comme un événement dont l'arrivée aléatoire est susceptible de causer un dommage aux personnes ou aux biens ou aux deux à la fois. Dans le domaine économique et financier, le risque est lié à la détention d'actifs financiers et représente une possibilité de perte monétaire due à une incertitude que l'on peut quantifier. Il y a des risques d'origine externe à une entreprise, ce sont le risque politique, le risque d'inflation et, des risques internes à l'entreprise comme le risque opérationnel ou le risque d'escroquerie. En Sécurité industrielle151(*), le risque s'appréhende comme l'existence d'une probabilité de voir une menace se concrétiser dans des scénarios prévus, avec pour conséquences dommageables sur des biens ou des personnes. On évalue quantitativement le niveau de risque par la combinaison linéaire des multiplications entre la probabilité d'occurrence de chaque scénario et l'amplitude de la gravité des conséquences du scénario associé. En géographie le mot risque se comprend comme l'addition d'un aléa (séisme, cyclone, volcan, inondation ...) et d'un enjeu (présence d'une population humaine, d'infrastructures...). Autrement dit, on considère comme risque, la survenue d'un phénomène naturel qui impacte sur l'homme. Lorsqu'un séisme a lieu dans le désert et qu'il ne cause pas de dommages humains, on ne parle pas de risque. Il y a risque que lorsqu'il y a une menace sur les sociétés. P. Peretti-Watel (2000)152(*), qui a travaillé sur la sociologie du risque a reconnu la récence et la complicité de ce champ de recherche. Toutefois, il présente le risque social comme une construction sociale c'est-à-dire, les sociétés définissent elles-mêmes les phénomènes ou facteurs susceptibles de compromettre l'harmonie sociale. Elles mettent en place donc des mécanismes sociaux pour atténuer les risques, ou exprimer leur solidarité aux membres victimes de précarité. C'est le sens qu'on peut donner à l'institution des organismes de sécurité sociale et aux politiques de protection sociale. Dans la présente étude, les risques sociaux sont des phénomènes ou états que la société Odjukru n'admet pas dans le parcours de vie de ses aînés sociaux et qu'elle reconnait comme facteurs de vieillissement pathologique. Au nombre des risques sociaux, on peut citer: les ruptures de liens sociaux, l'isolement social, l'indigence économique (manque de logement, absence de ressources financières), la réclusion, l'évocation des défauts de l'âge et l'inquiétude de fin de vie. Vieillissement (pathologique): le terme de vieillissement tire son origine du mot latin vetulus ou vetus qui signifie vieux, allusion faite à ce qui n'est pas nouveau, qui subit le poids des années, état de ce qui est usé ou démodé ou encore synonyme de désuétude. Ainsi, selon les champs disciplinaires, il existe plusieurs définitions du vieillissement. Il se définit en biologie comme étant un processus irréversible et inévitable commun à tous les êtres vivants qui commence dès la conception et qui entraîne un affaiblissement de toutes les structures de l'organisme -molécules, cellules, tissus, organes- puis s'achève par la mort; on parle en médecine de sénescence - formé du latin senex, vieillard -. Il n'est donc pas inhérent à la vieillesse mais est présent dans l'ensemble du processus vital en termes de perte. En psychologie, il correspond à un ralentissement des fonctions cognitives, une diminution des facultés d'attention, de concentration, d'apprentissage, des capacités mnésiques et de la vie affective de l'individu -désinvestissement affectif-. En démographie, il désigne l'augmentation de la proportion de personnes âgées par rapport à la population totale due à une baisse du taux de natalité. Le vieillissement social, lui, est la rupture et la recomposition du statut social et des rapports sociaux de l'individu. En fonction de son âge ou de son état, l'individu adapte son comportement en vue d'assurer son maintien dans le milieu social. Dans le contexte social, il y aura une influence du vieillissement sur les rôles sociaux entraînant une reconstruction des rapports. Ainsi, si au plan psychologique et physiologique, le vieillissement représente un changement dans l'organisme de l'homme, au plan sociologique il renvoie à une modification des rapports de l'individu avec la société, un changement de statut. Le vieillissement, en tant que construction sociale est perçu de deux façons. On a le vieillissement dit réussi qui signifie l'intégration de la personne âgée dans son milieu social, la capacité de satisfaction des besoins primaires, la participation à la vie sociale. Il y a en outre le vieillissement dit pathologique qui est synonyme d'un état de dégénérescence, de polypathologie, de dépendance, de perte d'autonomie et d'isolement social. La vieillesse, elle, est considérée comme la dernière période de vie. Le vieillissement est le processus dont la vieillesse en est l'état. En effet, la notion est définie par la médecine comme étant la troisième période de la vie qui succède à l'enfance et à l'âge adulte. D'un point de vue médical, la vieillesse s'identifie par une fréquence importante d'affections majeures. Au plan juridique, on note à la place d'une définition, des lois qui visent à assurer la protection des aînés sociaux (l'âge de la retraite, le montant des pensions). En sociologie, la vieillesse représente la période terminale de la vie sans pouvoir lui fixer une limite d'âge précise. Toutefois, du passage des sociétés traditionnelles aux sociétés industrielles, on a transité d'un statut honorifique reconnaissant le pouvoir et la sagesse du grand âge à un rejet de la vieillesse, justifié par la recherche de rendement. Faute de définition précise, la vieillesse se définit à partir de critères propres à chaque discipline. En médecine, il s'agit du critère d'usure physiologique, en démographie, c'est celui de catégorie d'âge. N. Zay quant à lui distingue cinq manières principales permettant d'évaluer l'âge de l'individu. Il s'agit de l'âge chronologique qui se déduit à partir du calendrier ou de l'extrait d'acte de naissance. Il est facile à trouver. L'âge biologique fait allusion au déclin des fonctions de l'organisme. L'âge mental concerne le niveau de développement des fonctions cognitives. Il est déterminé à travers un test psychologique. L'âge fonctionnel indique la capacité de l'individu à assurer son autonomie tant aux plans psychologique que physique et sa capacité à exercer ses rôles sociaux. L'âge légal s'appuie sur l'âge chronologique et juge de la capacité de l'individu à un certain âge de changer de statut, d'avoir des droits et des obligations. Ces cinq types d'âge bien qu'ils soient complémentaires à certains endroits, s'opposent ailleurs. C'est le cas par exemple du conflit entre l'âge chronologique, l'âge fonctionnel et l'âge social. On met les personnes âgées de 60 ans (âge chronologique) à la retraite bien qu'elles aient la capacité psychologique et physique de continuer les activités (âge fonctionnel). En d'autres termes, le vieillissement social peut être entendu comme la perte progressive des rôles et des statuts de l'individu du fait de l'avance en âge. Soit l'individu vieillissant change de rôle, soit il quitte son rôle, soit il voit son rôle se réduire. Ce qui inexorablement provoque une recomposition des statuts sociaux. Généralement, cette recomposition de statuts sociaux est régressive. D'où la perception négative que certains se font de la retraite vue comme une mort sociale ou une négation de l'identité sociale de l'individu. L'individu vieillissant voit ses manières d'agir, de penser et de sentir se modifier de façon régressive. Cela n'est pas sans entraîner une transformation de la nature des rapports sociaux avec l'environnement social. Cependant, contrairement à ces prédécesseurs, J. Messy (2002)153(*) perçoit le vieillissement comme étant: «... un processus qui s'inscrit dans la temporalité de l'individu du début à la fin de sa vie. ... fait d'une succession de pertes et d'acquisitions à l'instar des mouvements de vie.». Il s'agit d'un mouvement ambivalent alliant le positif et le négatif ou le négatif succède au positif et vice versa. Le vieillissement n'est pas un processus qui se déroule chez le vieux, mais est présent à tous les stades de vie. Ainsi, l'homme vieillit parce qu'il vit. A ce propos, il affirme que: « Ces notions -vieux et jeune-, antonymes, contenues dans le terme de vieillissement, sont d'une part celles qui renvoient à l'idée d'usure, d'affaiblissement, de diminution, et d'autre part celles qui évoquent la bonification, dont bénéficie le vin par exemple, la maturation, l'accroissement. Si l'immaturité prend l'excuse du jeune âge, l'espoir parental invoque souvent le temps pour mettre quelque plomb dans la cervelle de l'enfant, en épargnant l'aile. Le vieillissement exprime à la fois une idée de perte et une idée d'acquisition. Notre société réserve à la jeunesse le bénéfice, et à la vieillesse le déficit. ». Dans la société moderne, à 60 ans pour certains pays et à 65 ans pour d'autres, les individus sont appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Or, dans la société traditionnelle comme ce fut le cas chez les gouro154(*), c'est au plus âgé du lignage qu'il revenait la fonction de chef de famille (le goniozan). On pourrait donc définir la vieillesse comme étant l'âge à partir de 60 ans marqué par une recomposition de statut, de rôle et de rapports sociaux. Personne âgée: de prime abord, il faut reconnaître la difficulté liée à tout essai de définition de l'expression personne âgée. La difficulté de cet exercice est illustrée par le titre de l'ouvrage de J. Messy (2002)155(*) ainsi libellé: « la personne âgée n'existe pas », tant la notion est très relative et est sujette à de nombreuses polémiques et contestations. Même la gérontologie n'arrive pas à formuler une définition stricte et acceptable pour tous. Car, le vieillissement est un processus progressif et l'on ne devient pas une personne âgée du jour au lendemain. Tandis que l'OMS définit une personne âgée comme étant un individu ayant atteint au moins 60 ans, l'ONU parle de personne âgée à partir de 65 ans. La gériatrie définit la personne âgée en se référant moins à un âge particulier pour s'intéresser à l'état d'incapacité fonctionnelle éprouvé subjectivement ou objectivement par les individus. Chez les anglo-américains156(*), après le premier programme de recherche sur les oldest old en 1985, il a été fait une distinction conceptuelle des personnes âgées au lieu d'une définition littérale du terme. Les personnes âgées ont été divisées en trois âges démographiques: les «young old» (65-74 ans), les «old old» (75-84 ans) et les « oldest old » (85 ans et plus). Contrairement aux anglo-américains, les travaux d'obédience française proposent une autre alternative. Elle consiste à une catégorisation interne des personnes âgées. Ainsi, a-t-on de 60 à 74 ans, le troisième âge, de 75 à 99 le quatrième âge et à partir de 100 ans, les centenaires et les supercentenaires. Cependant, pour la comprendre, l'on se réfère à deux approches. La première se réfère à l'âge de l'individu. C'est ainsi qu'on classe dans la catégorie des personnes âgées, les individus d'au moins 60 ans. La deuxième fait référence au statut social de l'individu. Ainsi, est considérée comme personne âgée tout individu non productif ou à la retraite. En somme, c'est une personne d'un certain âge qui, à un moment donné de son évolution, constate une diminution générale de ses capacités. A cause des stéréotypes rattachés au terme vieux, il a été jugé plus commode de le substituer à ceux de personne âgée, personne aînée, aîné social, senior, grand âge ou de troisième âge. Toutes ces appellations postérieures au terme de «vieux» veulent dépouiller celui-là du sceau des représentations négatives dont il fait l'objet, aux fins de présenter la personne âgée comme un être à part entière. La présente étude définit la personne âgée en prenant en compte la norme nationale et le contexte socioculturel Odjukru. Ainsi, est-il considéré comme personne âgée tout individu d'au moins 60 ans à qui la société Odjukru confère le titre d'êbeb. * 148Werner D. Fröhlich, Dictionnaire de la psychologie, la pochothèque, 1997, p. 36. * 1 Alain Birou, vocabulaire pratique des sciences sociales, Editions économie et humanisme, les Editions ouvrières, 1966, p. 267. * 149 G.uy Rocher, introduction à la sociologie. Action sociale, tome 1, Editions, HMH, 1968, p. 73. * 150Serge Braudo, Dictionnaire du droit privé, http://www.dictionnaire-juridique.com/definition/risque.php, le 05 février 2013. * 151 http://fr.wikipedia.org/wiki/Risque, le 05 février 2013. * 152Patrick Peretti-Watel, Sociologie du risque, Paris, 2000.* 153Jack Messy, La personne âgée n'existe pas, Paris, Petite Bibliothèque Payot, 2002, pp. 24-26. * 154Claude Meillassoux, Anthropologie économique des Gouros de Côte d'Ivoire. De l'économie de subsistance à l'agriculture commerciale, Paris, Mouton, 1970. * 155Jack Messy, idem. * 156Wikipedia.org/wiki/personne_%C3%A2g%C3%A9e |
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