Conclusion Du Partie
Le programme Moukawalati, n'a certes pas aboutit à
l'objectif tracé au début, à savoir : la création
de 30 000 TPE à l'horizon 2008, Les enseignements en sont tirés,
et un plan de relance a été adopté par les
autorités compétentes, aujourd'hui et plus que jamais, le
gouvernement s'attache au programme.
Compte tenu que l'initiative personnelle est locomotive du
développement, le gouvernement et les différentes parties
prenantes du programme Moukawalati chacun à sa façon et en
fonction de ses moyens, font des efforts colossaux pour que la roue du
développement durable tourne, que la croissance continue, le taux de
chômage diminue, la valeur ajoutée s'accumule, l'état de
santé de notre économie s'améliore et notre tissu
économique se renforce.
Il convient aussi, que l'enseignement fasse beaucoup plus
d'effort et commence à instaurer le sens d'entreprenariat, au lieu du
sens de consommation du savoir dans lequel il baigne.
Les banques quant à elles, doivent aussi contribuer au
développement et à la concrétisation du programme, et
respecter les cahiers de charges tout en facilitant les procédures et en
réduisant les délais d'étude.
CONCLUSTION GENERALE
La conjoncture internationale, impose récession et
crise même dans plusieurs pays, surtout les pays riches ;
industrialisés et qui sont nos clients.
Autrement dit, la crise nous touche, indirectement, mais nous
touche, les Entreprises nationales ont donc intérêt à
s'adapter, se développer, innover et à pratiquer des
Mix-marketing flexibles et adaptables, peut-être qu'il faut se retourner
vers le marché national, pour pallier aux pertes qui seront
considérable chez les exportateurs.
Les jeunes quant à eux doivent penser et croire en ce
qu'il pense, puisque à chaque chose il y'a un début, il faut
oser, faire travailler les neurones et défendre leurs projets
personnels, sinon juste oser et chercher d'autre objet de création
d'E/ses, telle les franchises, les sous- traitantes et autres, et ne pas rester
dans cette vocation de devenir salarié, ou même s'incliner au
Léviathan* « le chômage ».
Il convient aussi, que l'enseignement fasse beaucoup plus
d'effort et commence à instaurer le sens d'entreprenariat, au lieu du
sens de consommation du savoir dans lequel il baigne.
Les banques quant à elles, doivent aussi contribuer au
développement et à la concrétisation du programme, et
respecter les cahiers de charges et
Les conventions signées entre elles, le comité
national MOUKAWALATI, et le ministère de l'EFP.
D'autres questions se posent mutuellement :
ð Est-ce que cette nouvelle approche parviendra à
sauver ce qui reste à sauver ?
ð Les jeunes, auront-ils plus de confiance en eux, et
parviendront-ils à se concrétiser ?
ð Le programme Mouakawalidéveloppera-t-il une image
plus meilleure ?
ð Des questions, dont les réponses sont à
venir
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