Introduction générale
? Ces investissements dégageraient une VAN positive,
c'est-à-dire, les flux nets de liquidité couvriraient le
coût d'investissement avant la durée de vie estimée de
l'investissement.
? Ces investissements seront récupérés
dans un délai généralement court, c'est-à-dire les
capitaux investis seront récupérés avant même la
durée de vie du projet d'investissement.
? Le mode de financement choisit soit le moins chers possible,
car un investissement dont le financement est chers induit à la
qualité de l'ingénierie financière de l'entreprise (du
groupe BARKA).
? les investisseurs dans le secteur de transports
préconiseraient quelques stratégies pour faire face aux
éventuels risques, notamment : conclure les contrats d'assurance avec
les sociétés d'assurance au NIGER (NIYA, LEYMA ; UGAN, BANQUES
...) pour diversifier les investissements.
Choix et l'intérêt du sujet :
Le choix de ce sujet n'est pas un fait du hasard. En effet, au
Niger particulièrement dans les entreprises, depuis longtemps nous
assisterons à un problème d'évaluation des projets
d'investissement car les entreprises investissent avant d'évaluer la
rentabilité de chaque investissement effectué surtout s'il s'agit
des gros moyens. En outre le problème de financement des entreprises au
Niger est une question fondamentale à se poser car un bon nombre des
entreprises ignorent quel mode de financement choisi c'est-à-dire le
mieux approprié pour financer leurs activités.
Les agents économiques qui s'intéressent aux
investissements dans le domaine de
transport et différents secteurs trouveront dans ce
travail, un modèle d'évaluation de rentabilité de ces
derniers et son impact sur le risque de l'avenir.
Les futurs chercheurs et financiers en particulier en tireront
profit, non seulement sur le pourquoi du phénomène,
c'est-à-dire la « rentabilité» des investissements,
mais aussi sur la liaison entre l'investissement dans le domaine de transport,
le cout de chaque mode financement et les facteurs qui l'expliquent (facteurs
réels, facteurs financiers).
Amadou Aboubacar Dalhatou 5éme Année
ingénierie financière 2015-2016 7
Choix d'investissement et modes de financement des
entreprises : cas du groupe Barka
Introduction générale
En fin, ce travail servira de référence
économico-financière pour certaines prises de décision
d'investissement dans un environnement moins risqué.
Méthodologie
Entreprendre une recherche et la mener à bon port
requiert des instruments appropriés pouvant permettre d'obtenir les
informations utiles et les méthodes adaptés.
En effet, une méthode est constituée de
l'ensemble d'opérations intellectuelles par lesquelles une discipline
cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, qu'elle
démontre et qu'elle vérifie3.
Ainsi, pour atteindre le but de notre recherche,
l'élaboration d'un questionnaire
administré au groupe BARKA a été un des
moyens pour collecter les données nécessaires à notre
étude.
Nous avons également utilisé les techniques
documentaires. La technique documentaire
nous a permis d'exploiter les fiches de suivi et
différents rapports d'activités des investisseurs, des articles
et mémoires hormis les ouvrages consultés.
En ce qui concerne les méthodes, nous avons recouru aux
méthodes comptables et financières et
hypothético-déductives. La première méthode nous a
facilité le calcul des couts et de déterminer l'influence des
différents facteurs explicatifs des investissements dans le domaine de
transport et le choix de financement approprié.
Quant à la deuxième, elle nous a permis de voir
si nos hypothèses formulées sur des bases théoriques du
choix des investissements s'appliquent au cas particulier du groupe BARKA.
Délimitations spatio-temporelle du
sujet
Les opérateurs économiques visés dans ce
travail sont ceux qui investissent leur capital dans n'importe quel
investissement en particulier dans le transport.
3 M.GRAWITZ et R.PINTO, méthodes de sciences
sociales, Dalloz, 4éme éd, Paris, 1971, p128
Amadou Aboubacar Dalhatou 5éme Année
ingénierie financière 2015-2016 8
Choix d'investissement et modes de financement des
entreprises : cas du groupe Barka
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