· RÉSUMÉ
L'étude de polygraphie, réalisé durant
40 minutes, chez 10 sujets pratiquants le training autogène (TA) et 10
sujets pratiquant la méditation transcendantale (MT), comparée
à 10 sujets témoins, a montré les résultats
suivants :
· Rareté des épisodes de sommeil durant la
relaxation,
· Rythme cardiaque, significativement inférieur
dans le groupe méditation,
· Plus grande stabilité de l'électrodes
thermaux grammes durant la relaxation
· Diminution de la fréquence respiratoire de plus
de 33 %,
· Pause respiratoire (supérieur à 10s),
très nombreuses dans le groupe méditation, pouvant atteindre 50s.
Il s'agit de suspension respiratoire de nature centrale, comme le sujet
l'absence d'hypercapnie ou d'hyperpnée compensatoire,
· Enfin, le temps de réaction simple diminue
légèrement après la relaxation, alors qu'il s'allonge chez
les témoins,
· L'État d'hypométabolisme aérobique
avec stabilité du système nerveux autonome et maintien de la
vigilance, induit par la profonde relaxation, apparaît opposer à
l'état de stress et semble donc que pouvoir jouer un rôle
préventif dans une optique psychosomatique.
· CONCLUSIONS EN NEUROPHYSIOLOGIE
Cette étude permet d'attribuer à l'état
de profonde relaxation ou de méditation les caractéristiques
suivantes :
ü Hypométabolisme aérobique,
ü Stabilité du système nerveux autonome,
ü Maintien de la vigilance.
Les modifications caricaturalement opposées à
celles induites par le stress sont autant d'arguments pour le rôle
préventif de telles techniques en pathologies psychosomatiques
6.2. Étude en Biologie
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