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L'altermondialisme comme alternative a la derive du capitalisme mondial actuel

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par Marcelline LUEMBE OMBA N'SODI
Université chretienne Cardinal Malula - Licence 2015
  

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CONCLUSION

Nous voici arrivés au terme de notre travail de mémoire dont l'intitulé est : « 

Après avoir fait l'ébauche des différentes définitions conceptuelles autour des notions tels qu'altermondialisme, mondialisation ou encore capital, nous avons eu à démontrer de quelle manière le mouvement altermondialiste s'est invité au niveau du débat de la mondialisation. Le cycle 1998-2008 a consacré la naissance et l'affirmation du mouvement altermondialiste, comme il a modifié les conditions objectives de son évolution. Nous avons pu constater tout au long de notre travail scientifique que le mouvement « altermondialiste » recouvre des réalités très diverses en termes de nature d'organisations, de projets, de priorités politiques et stratégiques pour ses composantes. Mais il bâtit son unité à travers l'affirmation de grandes revendications internationales et transversales sur les questions sociales, environnementales et de paix.

L'altermondialisme s'est au fil des années forgé en tant que mouvement formulant une nouvelle solidarité Nord / Sud contre la mondialisation néolibérale dont la domination de la finance, la marchandisation de toutes les activités humaines et l'internationalisation des forces du capital ont conduit à devoir redéfinir une nouvelle phase du développement du capitalisme plus juste et davantage équitable entre les différents pays du monde. A la soi-disant absence d'alternative invoquée par les dirigeants des ces grandes institutions, les manifestants de Seattle, Gênes ou Barcelone répondent par un slogan chargé de sens : « Un autre monde est possible ! »


En même temps qu'il la nommait, le mouvement altermondialiste a contesté cette mondialisation néolibérale. Des organisations comme Attac se sont constituées à partir de 1998 pour porter cette dénonciation publiquement et faire des propositions pour « un autre monde ». De son côté, l'emblématique mobilisation internationale de Seattle en 1999 (où se sont retrouvés syndicats, ONG, associations, mouvements sociaux, etc.) à l'occasion de la Conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a posé un acte, d'une certaine manière, fondateur. Pour la première fois, des associations et des organisations du monde entier, conscientes des méfaits causés par les prétentions des maîtres du monde, empêchèrent le bon déroulement d'une réunion d'une institution du capitalisme mondial.

Comme nous avons eu à le relever au cours de notre mémoire, le début des années 2000 sera donc marqué par une nouvelle forme de contestation internationale du capitalisme visant ses institutions et ses espaces de visibilité planétaires (FMI, Banque mondiale, OMC, etc.). Cette période a facilité la construction de réseaux au niveau continental et mondial, et la production d'un patrimoine de connaissances commun sur la mondialisation. Elle a réuni des milliers d'organisations jusque là atomisées par deux décennies de rouleau compresseur néolibéral. Dans ce contexte, les Forums sociaux (le premier s'est tenu en 2001 à Porto Alegre au Brésil) se sont enracinés dans le paysage public aux niveaux international, continental et national.

Ce sont dans ces espaces ouverts d'échange et de travail, où se regroupent associations, syndicats, mouvements sociaux, mouvements de jeunes, de femmes, de paysans, etc., qu'ont commencé à être élaborées des contre-propositions et des alternatives au capitalisme néolibéral, ainsi que de nouvelles formes d'organisation des luttes et des mobilisations. C'est ici aussi que nombre de grandes revendications thématiques ont combiné, de manière inédite, le social et l'environnemental (suppression des paradis fiscaux, abolition de la dette des pays les plus pauvres, mesures sur la préservation et la distribution de l'eau, lutte contre les OGM, taxes internationales, réforme de l'ONU, démocratie participative, etc.).

Le mouvement altermondialiste, s'appuyant sur une dynamique d'amplification du rejet du néolibéralisme a su imposé des thèmes politiques dans l'agenda mondial, auprès des opinions publiques et des gouvernements. Ces thèmes et revendications ont poussé, temporairement, les institutions financières internationales et le libéralisme sur la défensive entre 1999 et 2004-2005. Ainsi, le mouvement altermondialiste a créé une faille dans l'hégémonie culturelle du libéralisme et dans le triomphalisme du capitalisme mondial.

La production et la circulation internationales d'idées et de propositions du mouvement des mouvements a armé tous les acteurs (syndicats, ONG, mouvements politiques et sociaux, associations citoyennes, etc.) d'un nouveau logiciel critique du capitalisme néolibéral adapté à toutes ses dimensions. Il convient également d'admettre que, dans le même temps, critiques systémiques et revendications ont été absorbées par les élites mondiales et les gouvernements. Du moins, dans leur communication auprès des opinions publiques (déclarations d'intention, dialogues citoyens, commerce équitable et « bio », responsabilité sociale et éthique des entreprises, etc.) et dans leurs stratégies de mise en place des politiques néolibérales (développement des accords commerciaux bilatéraux ou multilatéraux en lieu et place des grand-messes de l'OMC).

A titre illustratif, dans un clip très dynamique et interactif, le Forum de Davos de 2008 annonce son objectif : « Rendre le monde meilleur » (How to Make the World a Better place ?). A travers une succession d'interventions intergénérationnelles et internationales - célébrant la diversité - , il nous est dit que les penseurs et les dirigeants mondiaux vont traiter, pendant le Forum de Davos, la question de la lutte contre la pauvreté mondiale, du changement climatique, de savoir comment gérer la pénurie énergétique, aborder la question des technologies de l'information, de l'éducation, de la citoyenneté globale, du sida, des désastres humanitaires, du développement économique et de la gouvernance mondiale. Le clip compte sur chaque individu pour changer le monde : « Tu peux faire entendre ta voix en envoyant une question à Davos. Les meilleures seront présentées aux penseurs et leaders de Davos qui te répondront. ». Voici la question soumise à l'internaute : « si les pays, les entreprises, ou les gens pouvaient faire quelque chose pour rendre le monde meilleur en 2008, quelle serait-elle selon vous ? »

Ici, nous pouvons dés lors répondre par l'affirmative par rapport à notre hypothèse que l'altermondialisme peut constituer un facteur de changement de l'environnement mondial,

Toutefois, en notre qualité d e chercheur scientifique nous sommes amené à constater que dans un contexte de crise financière accentuée évoluant vers une récession économique majeure, le mouvement altermondialiste perd petit à petit le monopole de la critique du néolibéralisme. Pour continuer à jouer un rôle dans le débat public, il doit donc apporter des nouvelles réponses aux diverses crises mondiales. Car un débat s'est enclenché au sein de l'altermondialisme en 2005.C'est à partir de ce moment que la question de son objet, de ses finalités et ses différents potentiels se pose de manière récurrente alors que, conjugué à la réorientation stratégique des élites et des gouvernements, un effet palier commence à se faire sentir (répétition de la formule des Forums, banalisation, manque de matérialisation dans le réel, absence de prolongement politique des mobilisations sociales, etc.). Alors que le visage de la mondialisation s'est considérablement modifié ces dix dernières années, ce débat s'avère, plus que jamais, crucial.

L'évolution de la mondialisation impose un élargissement des objectifs du mouvement altermondialiste. Nous avons déjà changé d'époque. La dernière décennie n'a pas modifié le rapport de forces dans le sens d'un affaiblissement du système capitaliste mondial, mais dans celui d'une modification des conditions dans lesquelles évolue aujourd'hui le mouvement altermondialiste. La mondialisation n'a plus, en effet, le même visage qu'en 1998.

Dans une dynamique contradictoire, la mondialisation néolibérale s'est accentuée. Elle est marquée par la continuation et l'approfondissement des politiques de marchandisation, de précarisation du travail et de fragilisation des individus et de leur reproduction socio-économique, de développement des accords de libre-échange (Accords de partenariat économique en Europe avec les pays du Sud), de concentration des richesses, de développement des inégalités, de destruction de l'environnement, etc. L'Union européenne (UE) est, à notre échelle continentale, cet agent zélé de la mondialisation néolibérale.

Cette évolution générale a sensiblement diminué la visibilité et l'espace propres du mouvement altermondialiste, en même temps qu'elle lui offre aujourd'hui de nouveaux défis stratégiques et de nouveaux points d'appui... à condition qu'il modifie ses méthodes d'action et qu'il investisse de nouveaux champs de bataille, en particulier celui de la reconstruction et du renouvellement du champ de l'action politique dans le cadre de la mondialisation néolibérale. C'est ici que la notion de post-altermondialisme intervient. Elle n'indique pas la fin de l'altermondialisme, mais sa continuation par l'intégration de nouveaux sujets. Pas de post-altermondialisme sans mouvement altermondialiste. Il s'agit moins de faire table rase du passé et de déclarer obsolètes l'ensemble de ses outils (comme les Forums), que de créer de nouveaux espaces propres à travailler la question de l'articulation entre mouvements sociaux, forces politiques et actions de gouvernement (les Forums, par nature, ne peuvent remplir cette fonction, et plusieurs acteurs qui participent à ce mouvement ne peuvent, pour des raisons structurelles et historiques, assumer cette orientation).

L'altermondialisme, espace international premier, se pose aujourd'hui la question de savoir s'il doit - et si oui comment - gagner des espaces politiques concrets :

· influence sur le champ politique ?

· intégration au champ politique ?

· ou renouvellement du champ politique ?

C'est cette nouvelle phase de son histoire que l'on désignera comme un post-altermondialisme dans laquelle vont agir une partie de ses composantes les plus actives. Du point de vue des processus, l'histoire de tout mouvement social montre que le champ de la mobilisation sociale, lorsqu'il atteint l'apogée de sa capacité d'agglutination, redéploie une partie de lui même et des forces qu'il a produite sur la voie du politique. Cette mutation ne signifie pas l'abandon du terrain social, mais la reformulation dynamique de la relation social/politique comme nécessité pour remporter des succès face à la radicalisation des forces du capital et des élites qui relaient leurs intérêts.

C'est dans ce cadre qu'il nous faut désormais parler de post-altermondialisme, mouvement se devant de soumettre une nouvelle proposition : la promotion de nouvelles convergences, au niveau international, entre mouvements sociaux disponibles, forces politiques cherchant leur dépassement et gouvernements progressistes. Cela doit se faire à partir deux principes : l'autonomie des acteurs et l'exclusion de tout suivisme. Mais cette autonomie n'empêche pas la construction d'une relation de travail et d'enrichissement mutuel basée sur une articulation dynamique. Le processus des Forums sociaux, en tant que tel, n'a pas été conçu pour remplir cette fonction. La sienne - espace d'échanges entre une diversité d'organisations et de mouvements et d'élaboration d'alternatives - reste cruciale dans le long terme. Mais une ramification dans le cycle qui s'ouvre aujourd'hui est tout aussi fondamentale.

Tel est le sens de la démarche post-altermondialiste : la réalisation des propositions portées par ce mouvement et le renouvellement du politique, y compris du champ politique.

Si la diversité d'acteurs et le mode de fonctionnement participatif séduisent, le mouvement peine toutefois à véhiculer un message clair. Si un « consensus altermondialiste » parvient à se structurer autour du refus de la marchandisation du monde, le mouvement est aujourd'hui confronté à plusieurs difficultés qui, prises ensemble, posent la question de son avenir.

Premier défi, et de taille : les logiques à l'oeuvre au sein de la mondialisation néolibérale n'ont pas connu de véritable renversement avec l'apparition des revendications altermondialistes. Une réalité qui, pour beaucoup, pose inévitablement la question de l'utilité du mouvement, de son efficacité politique. Ce constat ne doit toutefois pas faire oublier deux avancées majeures à mettre au crédit du mouvement alter. D'abord, avoir créé des plate-formes où citoyens et peuples peuvent échanger leurs expériences. Le Forum Social Mondial reste à cet égard un exemple d'autogestion et de démocratie participative particulièrement riche et encourageant. Ensuite, avoir brisé l'unanimité qui entourait les principales institutions financières internationales (IFI). L'OMC a connu des oppositions très fortes dans sa volonté de généraliser le libre-échange et ne parvient pas à conclure le cycle de Doha. Les plans d'ajustement structurels du FMI et de la Banque mondiale ont mené de nombreux pays à la catastrophe et connaissent également une crise de légitimité. Les logiques à l'oeuvre ont été dévoilées. Reste aujourd'hui à définir clairement le type d'architecture internationale que le mouvement altermondialiste appelle de ses voeux.

Second défi, paradoxal, pour le mouvement : la crise de légitimité de l'idéologie néolibérale. Face à la multiplicité des crises actuelles (alimentaire, énergétique, sociale, etc.), même les défenseurs les plus acharnés de ce modèle économique global se mettent à dénoncer les « dérapages du capitalisme aveugle » et appellent à une « nécessaire régulation des marchés ». Cette remise en question du système par ses propres architectes contraint donc le mouvement altermondialiste à clarifier ses propres réponses, sous peine de disparaître du débat public.

Enfin, troisième défi, le mouvement ne pourra pas non plus faire l'économie d'une redéfinition de sa relation à la sphère politique. En raison de certaines situations nationales d'abord, où les idées issues du mouvement ont parfois été récupérées voire dénaturées. Mais à l'échelon international surtout, où des gouvernements, notamment en Amérique latine, se réfèrent de façon constante à l'antilibéralisme, obligeant ainsi le mouvement altermondialiste à s'interroger sur la posture à adopter à leur égard.

La perte de vitesse des Forums Sociaux, constatée un peu partout dans le monde, est le corollaire inévitable de la crise identitaire dont est victime la mouvance altermondialiste. Les Forums ne bénéficient plus de l'effet de surprise de leurs débuts, et ils ont créé des réseaux qui ont désormais un fonctionnement autonome. Si la diversité du mouvement est une force, elle a aussi un prix politique élevé dans la mesure où elle empêche toute prise de position forte et unanime, particulièrement requise en ces temps de crise. Le défi qui se pose est de taille : redéfinir les objectifs du mouvement tout en préservant sa diversité et son unité. « Un autre mouvement » est-il possible ? Après tout, si le capitalisme n'est pas éternel, la question de son dépassement peut être d'actualité. Et nous pourrions commencer dès maintenant à revendiquer et à construire un autre monde possible. Tel que déjà vécu au travers de la ville sainte de Nkamba au Bas-Congo.

Car en effet, il y a eu lieu de remarquer qu'en tant qu'étudiant chercheur, comme le dit le Professeur ordinaire Jean KAMBAYI BWATSHIA M.A Ph D, dans le cours de la culture, mondialisation et développement (35(*)) qui a eu à citer l'ensemble des personnes regroupant les altermondialistes, à savoir en autres, les églises et les tendances religieuses diverses. C'est sur cet aspect que nous tenons à nous attarder afin d'apporter notre pierre de construction de cette édifice appelée altermondialisme ou «  l'autre monde meilleur est possible ».

Portant notre réflexion sur les églises, nous sommes sans ignorer que l'Eglise implique directement Dieu, et qui dit Dieu, c'est le Créateur du ciel et la terre et Créateur de toute chose ici bas.. Ici, nous voyons d'abord l'homme car en créant ce monde, Dieu a fait toutes ces choses en pensant à l'être humain qu'il aura créer afin qu'il vive mieux , donc paisiblement et heureux sur cette terre afin qu'il en manque de rien.

Au travers du courant altermondialiste, nous devons donc recourir à notre Créateur pour implorer sa bonté infinie pour qu'enfin tout celui qui se sent menacé par la mondialisation puisse être fort moralement et spirituellement afin de changer ce monde en apportant un résultat escompté à cette lutte qui n'est pas facile à mener.

Dans notre travail, nous avons eu à épingler Simon Kimbangu comme l'un des précurseurs de l'altermondialisme. Ceci nous conduit à prendre pour illustration l'exemple d'une église d'autonomie ou d'authenticité noire qui, pendant l'époque coloniale a eu à mener une lutte de libération pour le peuple noir, il s'agit de l'église kimbanguiste.

En 1921, dans la colonie belge appelé Congo belge, un jeune homme au nom de KIMBANGU Simon, âgé de 34 ans, par soucis des siens, suite à la souffrance de cette colonisation, s'est mis debout pour combattre au nom du seigneur Jésus-Christ pour chercher l'indépendance de son pays, n'a pas eu peur de ce qui pouvait lui arriver car sous la colonisation, un colonisé ne pouvait pas se lever pour dire quoi que ce soit surtout pour réclamer l'indépendance. De par son courage et animé de l'esprit de Dieu, Simon Kimbangu a su convaincre les siens, malgré les tortures et les déportations subies par 37000 familles, dont celle d'une jeune fille de 12 ans répondant au nom de MIKALA MANDOMBE. Loin de leur village d'origine, comme prisonniers, parmi lesquels figurait le fils ainé de papa KIMBANGU Simon.

Simon Kimbangu avait une femme et 3 enfants dont KISOLOKELE LUKELO Charles Daniel, fils ainé qui était également déporté à l'âge de 7 ans, DIALUNGANA KIANGANI Paul Salomon, son deuxieme fils était alors âgé de 5 ans et son fils cadet DIANGIENDA KUNTINA Joseph, qui est le 1er Chef spirituel de notre Sainte Eglise n'avait que 3 ans. Comme tout leader luttant pour que son peuple puisse vivre dans des conditions meilleurs , Simon Kimbangu a accepté de sacrifier sa vie. Ainsi il accepta de faire la prison pendant 3O ans dans une petite cellule au Katanga jusqu'à ce qu'il réussisse la décolonisation du Congo et aujourd'hui c'est une autre histoire du Congo que nous vivons où les revendications d'équité et de justice ont pu l'emporter sur la domination du joug coloniale.

C'est dans cet optique d'équité et de justice sociale que l'Eglise Kimbanguiste constitue en elle seule avec la création de la ville sainte de Nkamba au Bas-Congo, un bel exemple des prescrits altermondialistes. En effet NKAMBA appelée aujourd'hui Nouvelle Jérusalem accueille toutes les races confondues avec un grand temple d'une capacité de 37 000 places assises en mémoire des 37000 familles déportées pendant la colonisation L'Eglise Kimbanguiste regorge en son sein plus de 25000000 fideles répandus dans le monde.

Dans son soucis de toujours oeuvrer pour un monde meilleur l'Eglise Kimbanguiste a réaliser plusieurs oeuvres sociales dont : les écoles les universités les hôpitaux et dispensaires des centres d'accueil pour ses hôtes des champs des fermes etc...

Sans nous tromper nous pouvons affirmer que l'Eglise Kimbanguiste est l'une des rares églises qui vit de ses propres efforts qui n'a pas l'esprit de la main tendue pour quémander à l'extérieur. L'unité de tous les fideles affichés autour de leurs Chef spirituels respectifs à savoir : DIANGENDA KUNTIMA Joseph 1er chef spirituel de l'Eglise Kimbanguiste, Papa DIALUNGANA KIANGANI 2ème chef spirituel et depuis l'an 2002 Papa Simon KIMBANGU KIANGANI Chef spirituel légalement reconnu

Papa Simon KIMBANGU KIANGANI homme divin qui conduit actuellement le règne de l'Eglise kimbanguiste poursuit dans la même lignée que ses pères à savoir matérialiser au travers de la ville sainte de Nkamba qu'un autre monde est possible. Ainsi parmi ses oeuvres il y a lieu de citer : la réalisation de l'Aéroport International Simon KIMBANGU à Nkamba et du Musée Simon KIMBANGU toujours dans cette même ville sainte

En tant que chercheur j'invite tous les chercheurs scientifique et militant de l'altermondialisme d'aller à Nkamba pour s'y inspirer. Par ailleurs il y a lieu de noter la gratuité de la restauration et du logement à la ville sainte de Nkamba ce qui constitue déjà la preuve notoire qu'un autre monde est possible. Dans cet élan le chef spirituel reçoit tout le monde sans relâchement avec pour ambition de donner la joie et l'espoir à chacun.

Pour conclure ce travail nous pouvons qu' exprimer un voeu celui que tous les militants altermondialistes pour être solidaires afin de mener à bout le combat pour la justice sociale et l'équité afin d'obtenir un « autre monde ». Et pour ce faire l'exemple de l'Eglise Kimbanguiste au travers de la ville sainte de Nkamba constitue notre participation à la réflexion de rendre un monde meilleur possible. Comme dit-on «  tout peuple a son histoire et un peuple sans histoire est un peuple mort ». D'où le choix pour notre part de l'Eglise Kimbanguiste Car dans cette lutte permanente contre les dérives du mondialisme chaque peuple doit apporter sa part pour l'aboutissement d'un monde plus juste. Le Kimbanguisme en tant que patrimoine congolais en est l'exemple le plus illustratif.

* 35

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"Il faudrait pour le bonheur des états que les philosophes fussent roi ou que les rois fussent philosophes"   Platon