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0.1. Etat de la question
Avec l'invention de l'ordinateur, le monde actuel
connaît une avancée technologique considérable dans tous
les secteurs d'activité. Actuellement les informations sont
traités de façon automatique et rationnelle alors qu'avant
l'invention de l'ordinateur l'enregistrement des informations se faisant
manuellement sur des supports en papier ce qui engendrait beaucoup de
problèmes tel que la perte du temps dans la recherche de ces
informations, la dégradation de ces dernières, ou la perte de ces
documents.
Jusqu'à présent l'ordinateur reste le moyen le
plus sûr pour le traitement et la sauvegarde de l'information permettant
d'informatiser les systèmes des données dans les entreprises.
Le domaine de la distribution des produits ou marchandises
fait aussi partie intégrante des secteurs dans lesquels l'information
apporte une contribution importante dans leur développement. Pour le
moment, dans quelques firmes, les opérations sont faites manuellement
d'où la difficulté de retrouver tel ou tel document ce qui
engendre la lenteur dans le traitement des dossiers. En effet, le nombre
croissant des activités et la gestion des produits surtout
pétroliers nécessite la mise en place d'un système de
gestion automatisée et rationnelle d'où l'objectif de notre
projet de mémoire intitulé «
Développement d'une application de suivi de distribution des
produits pétroliers, cas du service de distribution de la SEP-CONGO
».
0.2. Problématique
Pour détecter les problèmes existant, nous avons
interrogé les employés du SEP-CONGO et ils nous ont cité
quelques problèmes. Mais pour localiser la source de ces
problèmes, nous avons fait une descente sur terrain et après une
observation directe, nous avons pu recenser les problèmes suivants :
- Volume important des activités de SEP-CONGO où la
plupart des
données sont remplies manuellement ce qui engendre une
perte de
temps dans la recherche et parfois même la perte de
celles-ci. - Possibilité d'erreur dans le remplissage les documents ;
- Nombre important des clients qui engendre la
difficulté de le servir dans le temps strictement prévu ;
- Possibilité d'erreur dans la production des statistiques
;
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- Détérioration des archives à force de leur
utilisation trop fréquente ; - Difficultés d'avoir une vision sur
le nombre de clients ainsi que les quantités des produits
distribués.
Nous avons besoins pour le cas de SEP-CONGO d'un
système d'information informatique qui évolue dans les
spécifications des utilisateurs.
En effet, un système de gestion informatisé qui
permet d'automatiser des tâches réalisées, dans
l'entreprise, manuellement ou sur un simple fichier Excel ou Word de Microsoft.
L'ancien processus non automatisé comporte de nombreuses étapes,
et bien souvent, les données sont enregistrées en retard.
0.3. Hypothèse du travail
Pour la réalisation de notre travail, nous nous sommes
fixés comme hypothèses : l'application de gestion et de suivi de
distribution de produits pétroliers permettant :
- de réduire le temps de traitement de données
concernant les clients ;
- d'avoir une vision globale sur les quantités des
produits pétroliers distribués ;
- d'avoir les données statistiques fiables sur les
ventes des produits pétroliers et sur la distribution de ces
derniers.
0.4. Intérêt du sujet
- Intérêt personnel : ce travail
de recherche va nous permettre de nous familiariser à des recherches
approfondies, ainsi nous imprégner dans le monde d'analyse, de
conception et de développement des programmes.
- Intérêt pour l'université :
le choix de ce sujet est de vouloir remplir les exigences
académiques qui exigent à tout étudiant finaliste de faire
un mémoire. Le document produit servira de référence aux
autres chercheurs qui pourront orienter leurs travaux dans le même angle
que nous ou à toute personne qui pourrait s'en servir comme source de
documentation.
- Intérêt pour l'entreprise :
une fois implanté, ce logiciel permettra d(e) :
o Eviter la perte du temps dans la recherche des fiches ;
o Avoir une idée sur la quantité des produits
distribués à n'importe quelle période (par an, par mois,
par jour) ;
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o Savoir spécifiquement le nombre de clients servis
(personnes morales, physiques) ;
o Produire des rapports journaliers, mensuels et/ou annuels plus
complets et plus exacts.
0.5. Délimitation du sujet
Pour remédier aux différents problèmes
énumérés ci-haut, nous suggérons une solution
informatique. Notre travail se propose de développer une application de
suivi de distribution de produits pétroliers.
Nos recherches se limitent dans le cadre spatial du service de
distribution de SEP-CONGO et s'inscrit dans un espace temporel couvrant les
années 2010-2011.
0.6. Méthodologie et techniques
Toute recherche scientifique nécessite au
préalable l'utilisation des méthodes et techniques pour
acquérir des informations nécessaires pouvant faciliter son
développement.
0.6.1 Méthodes
- Méthodes historique : elle
nous a permis de savoir l'origine de l'entreprise sous étude
(SEP-CONGO), sa localisation, son but et ses objectifs;
- Méthode d'analytique : elle
nous a permis de procéder à l'analyse des
spécificités de SEP-CONGO ;
- Méthodes structuro-fonctionnelle :
elle nous a permis de comprendre la structure et les fonctions au
sein de SEP-CONGO, la manière dont les analystes opère pour
arriver au résultat final ;
- Méthodes descriptives :
elle nous a permis de mener les enquêtes sur le terrain afin de
récolter les informations franches, nécessaires, concernant notre
application ;
- Méthode clinique : elle
nous a permis d'apporter des critiques et suggestions en vue de trouver une
solution aux problèmes de SEP-CONGO ;
- La méthode UML : elle est
une méthode de modélisation de système d'information qui
nous a permis de mettre en place le système informatique ;
- La méthode perte : elle
nous a permis d'évaluer le projet.
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0.6.2. Techniques
- Technique documentaire : elle
permet de consulter un certain nombre d'ouvrage, syllabus, notes, travail de
fin de cycle et mémoire relatif à notre projet;
- Technique d'interview : elle nous
a aidé à faire une bonne récolte de données par des
questions orales posées à des personnes mieux placées de
l'entreprise ;
- Technique d'observation : elle
nous a permis d'observer et de dégager les éléments
nécessaires ayant trait à notre sujet de travail
(1).
0.7. Canevas du travail
Hormis l'introduction et la conclusion, ce travail comprend
quatre chapitres. Le premier s'intitule notions préliminaires, passe en
revue quelques concepts sur le système d'information, le système
informatique et les bases des données ainsi que sur la méthode
UML.
Le deuxième chapitre porte sur le planning
prévisionnel. Il montre de quelle manière le projet compte se
réaliser sur le plan matériel, temporel et financier.
Le troisième chapitre est axé sur la
présentation du SEP-CONGO. Il fait le tour du fonctionnement, de la
localisation, de son histoire et le statut juridique de l'entreprise sous
étude.
Le quatrième chapitre est centré sur l'analyse
de l'existant. Il fait l'analyse de l'entité de l'entreprise à
informatiser.
Le cinquième chapitre est centré sur la
modélisation de l'application. Ce chapitre se focalise sur la
présentation des diagrammes à utilisés dans cette
application.
Le sixième et dernier chapitre est essentiellement
centré sur la réalisation du projet.
(1) PITO et GRAWITZ, Méthode des
sciences, Dollez, Paris 1971
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I.1. SYSTEME
Il existe plusieurs définitions du mot système
(2):
- Joël de ROSNAY définit le système comme
étant un ensemble d'éléments en interaction,
structuré, poursuivant un but commun.
- J.L. LEMOINE, quant à lui souligne que le
système c'est quelque chose (n'importe quoi identifiable) qui fait
quelque chose pour quelque chose et évolue dans le temps.
- M'VIBIDULU, définit le système comme un
ensemble d'éléments en interaction, structuré, dynamique,
poursuivant un but selon les objectifs prédéfinis.
I.2. SYSTEMES D'INFORMATION
A l'ère de l'information et des technologies de
communication, consciemment ou inconsciemment, chacun de nous, est en contact
quasi-permanent avec un ou plusieurs systèmes d'information. Les
appréciations et les points de vue peuvent varier, mais l'impact des
systèmes d'information sur la société, l'économie
et la vie quotidienne de chacun de nous est incontestablement perceptible.
La définition usuelle d'un système d'information
(SI) ressemblait à ceci : ? Le système d'information est
l'ensemble des informations formalisables circulant dans l'entreprise et
caractérisées par des liens de dépendance, ainsi que des
procédures et des moyens nécessaires pour les définir, les
rechercher, les formaliser, les conserver, les distribuer ".
Mais cette définition n'indique ni à quoi sert
le SI, ni comment il est construit : elle ignore sa dynamique. Pour
décrire celle-ci, il faut distinguer deux faces du SI: l'une
orientée vers les moyens (système informatique), l'autre vers les
besoins et usages (fonctions d'un SI), auxquels la réflexion sur le
système d'information donne désormais une place croissante.
Historiquement, les SI ont débuté avec les
outils de gestion. Il était alors question de ?robotiser, à
l'aide de l'informatique, des tâches
(2) M'VIBIDULU, Cours d'informatique de gestion,
inédit, ISP-BUKAVU, 2006-2007
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difficiles et répétitives liées au
traitement des données, afin de gagner en rapidité et
fiabilité".
Cette informatisation a offert de nouvelles
possibilités, et a induit une nécessaire réorganisation
des tâches humaines ainsi qu'une organisation du processus
informationnel. L'informatisation d'une activité humaine devenait donc
plus qu'une simple robotisation ou automatisation d'une tâche ; elle
faisait appel à une prise en compte globale de l'information, des
traitements, de l'organisation et des aspects humains d'activité.
Afin de prendre en compte cette globalité, la notion de
système d'information (SI) est apparue. Elle peut cependant fortement
varier suivant les disciplines (informatique, organisation, management, etc.)
qui la travaillent.
Un SI est une construction formée d'informations, de
traitements, de règles d'organisation et de ressources humaines et
techniques. Les ensembles d'informations sont des représentations
partielles de faits qui intéressent l'institution, l'organisation ou
l'entreprise. Les traitements constituent des procèdes d'acquisitions,
de mémorisation, de transformation, de recherche, de présentation
et de communication d'informations. Les règles d'organisation
régissent l'exécution de traitements informationnels. Les
ressources humaines et techniques sont ce qui est requis pour le fonctionnement
du SI.
Les SI sont formés a partir de représentations
partielles de la réalité (informations, traitements,
règles) qui sont mises en oeuvre dans un espace informatique
réalisé grâce a des ressources techniques (ordinateur,
réseaux, etc.). Leur fonctionnement n'est cependant possible que
grâce à des acteurs humains qui sont en interaction avec le SI.
I.2.1. Définition
Vu le rôle primordial que joue l'information dans cette
nouvelle ère ( ère de l'information toute organisation quelle
qu'elle soit, doit consacrer une partie de son effort et de son activité
à récolter, traiter, stocker et diffuser l'information issue de
son propre fonctionnement dans le cadre de ce qu'on appelle système
d'information. C'est la tâche principale
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du système d'information, qu'on va tenter de
définir dans les pages qui suivent (3).
Pour introduire d'une manière un peu formelle le
concept de système d'information, on va recourir à ce qu'on
appelle la vision systémique d'une entreprise.
On distingue d'abord le système opérant
où les produits finaux sont fabriqués à partir d'une
certaine matière première. On réduit l'organisation
à une sorte d'usine, qui travaille sur la matière première
pour fournir un produit final.

Toute organisation est pilotée par une direction, une
équipe dirigeante. Ce système de pilotage a pour mission de
conduire l'organisation vers des objectifs qui lui sont fixés, et de
vérifier que ces objectifs ont bien été atteints. Ce qui
nécessite souvent un contrôle continu du fonctionnement du
système opérant et d'éventuelles modifications
(recrutement, investissement, nouveaux développements...) à
apporter au système opérant.
Parallèlement donc au flux physique, il y a un flux de
décision. Ce flux correspond aux décisions prises par la
direction de l'organisation pour que celle-ci fonctionne dans les meilleures
conditions et puisse atteindre ses objectifs. Et toute organisation est soumise
à des contraintes extérieures et intérieures qui
contraignent son action et l'empêche d'évoluer librement.

(3) M'VIBIDULU, Cours de questions approfondies
d'informatique de gestion, inédit, L1 ISP/GOMBE, 2009- 2010
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Et c'est dans ce contexte qu'apparaît le système
d'information. Ce sous-système de l'organisation s'occupe de
récolter l'information, de la stocker, de la traiter et de la diffuser
dans le système opérant et dans le système de pilotage.
Dans le système opérant, cette information va permettre à
celui-ci de fonctionner. Car chaque individu et chaque tâche ont besoin
d'être informés sur le flux physique qui la traverse.
En général, cette information est très
détaillée, ne concerne qu'un petit élément de
l'organisation, et elle est tournée vers le présent.
Dans le système de pilotage, l'information va permettre
à celui-ci de prendre les bonnes décisions en étant
constamment informé de ce qui se passe dans le système
opérationnel.
Cette information a tendance à être très
synthétique, elle concerne une grande partie de l'organisation (si ce
n'est toute l'organisation, tel que le Chiffre d'Affaire annuel), et elle est
tournée vers le passé et/ou le futur.
La tâche principal du SI est donc de fournir un flux
d'information qui d'une part, reflète le plus fidèlement possible
le flux physique, et d'autre part fournit au système opérationnel
les éléments nécessaires pour son fonctionnement quotidien
et au système de pilotage les éléments nécessaires
à une prise correcte de décision.

Ainsi, le flux d'information est une image du flux physique.
Il représente sous une forme plus ou moins réduite, tous les
événements
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survenus dans le système opérant ainsi que tous
les éléments d'information qui permettent de traiter ces
événements.
Cette image est forcément une réduction de la
réalité, elle ne concerne que les aspects pertinents ayant une
incidence et/ou un rôle dans le fonctionnement de l'organisation.
Plus précisément, on dit que dans le SI il y a
des modèles de la réalité organisationnelle. Ces
modèles ont été construits par ceux qui mettent en place
le SI, on parle de la conception d'un SI.
La validité et la pertinence de ces modèles sont
indispensables au fonctionnement du SI lui même, et elles garantissent la
qualité de l'information fournie.
Lorsqu'on parle de la notion de système d'information
une distinction doit être faite entre une information et une
donnée.
- Information : Faits, connaissances, concepts qui
ont un sens pour un être humain. Les informations sont déduites
des données.
- Données : Ce sont des éléments
manipulés par les technologies informatiques. Les données
déduisent les informations.
- Système d'information : Ensemble de
composants humains, techniques et organisationnels qui permet
d'acquérir, mémoriser, traiter et communiquer l'information
nécessaire au fonctionnement d'une organisation (4).
I.2.2. Composantes d'un SI (5)
- Les informations : Toutes les informations, quelle
que soit leur forme, font partie du SI. Cependant, dans le domaine de la
gestion, seules les informations formalisées (d'origine naturelle ou
technique) sont véritablement opérationnelles. C'est à
celles-là que l'on s'intéresse par la suite.
- Les moyens humains : Les moyens
humains sont composés de l'ensemble des personnes qui reçoivent,
manipulent et émettent de l'information. Exemple Toutes les personnes
d'une entreprise : les utilisateurs, les décideurs, etc.
(4) GABAY J., MERISE et UML pour la modélisation des
systèmes d'information, Paris, 2002, p.28.
(5) JOLIVET F. et REBOUL G., Informatique appliquée
à la gestion, Tome 1, 2ème édition, Paris, 1996, p.
26.
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- Les moyens matériels : Les
moyens matériels sont constitués de l'ensemble des machines, de
degré de technicité plus ou moins poussé, permettant de
recevoir, manipuler et émettre de l'information. (Exemple Machines
à écrire, machines à calculer, photocopieurs,
télécopieurs, ordinateurs, etc.). Les moyens matériels
s'entendent avec leurs supports. Exemple : Supports papier, microfiches,
supports magnétiques, supports optiques...
- Les méthodes : Les
méthodes sont l'ensemble des outils de travail et des règles
permettant de résoudre les problèmes de gestion.
On peut citer notamment :
- les modèles (mathématiques, de recherche
opérationnelle, comptables, économiques, etc.),
- les algorithmes, les plans, les normes,
- les fiches d'instructions, les modes opératoires, les
procédures administratives, les règlements, les logiciels
d'ordinateurs, etc.
Exemples :
- Algorithmes de calcul de primes en fonction du chiffre
d'affaires réalisé ;
- modèles mathématiques utilisés dans la
fonction de simulation d'un tableur ;
- procédure administrative d'inscription des
étudiants à l'université ;
- programme informatique assurant la conversion des dollars en
francs burundais,...
I.2.3. Finalités du SI (6)
a)Le SI aide à la prise de décision
Le SI met à la disposition des décideurs les
informations nécessaires à la prise de décision, permet
d'étudier les conséquences prévisibles des
décisions et permet d'automatiser certaines décisions. Pour
atteindre cet objectif, le SI fournit aux décideurs des informations
portant sur le futur. Exemple : Les prévisions de ventes et de CA pour
les six mois à venir permettent d'apprécier les résultats
attendus des décisions commerciales prises.
(6) MORLEY C., HUGUES J., et LEBLANC B., UML 2:
Pour l'analyse d'un système d'information,
3ème
éd. Dunod, Paris, 2006.
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b) Le SI permet de contrôler l'évolution de
l'organisation
Le SI permet de détecter les dysfonctionnements
internes et les situations anormales. Pour atteindre cet objectif, le SI doit
être la « mémoire collective » de l'organisation en
gardant une trace des informations portant sur le passé. Exemple : Les
documents produits par la comptabilité générale (bilan,
compte de résultat, etc.) décrivent la situation de l'entreprise
par rapport à son activité passée.
C) Le SI permet de coordonner l'activité des
différentes composantes de l'entreprise
Pour atteindre cet objectif, le SI fournit des informations
portant sur le présent. Exemple : Lors du traitement d'une commande, le
SI permet de coordonner l'activité du service comptable, du service
commercial, du service livraison, etc. par le biais des flux d'information
internes (commande reçue, commande enregistrée, commande
livrée, etc.).
I.2.4. Fonctions du système d'information
Un système d'information doit remplir les fonctions
suivantes (7): le recueil de l'information, la mémorisation
de l'information, l'exploitation de l'information et la diffusion de
l'information.
a)Recueillir l'information
Le SI dispose de deux principales sources d'alimentation en
informations : les sources externes et les sources internes. Face à ces
sources d'information, le SI remplit des tâches d'écoute,
d'analyse et de saisie.
1°Les sources externes
Les sources externes sont constituées de toutes les
composantes de l'environnement générant de l'information. Ces
sources peuvent être internationales, nationales, régionales ou
locales. Il peut s'agir de partenaires, de concurrents, d'organismes publics
et/ou privés, etc.
Aujourd'hui, l'environnement fournit une masse
considérable d'informations que le SI ne peut s'approprier sans moyens
humains, techniques et organisationnels adéquats : moyens
téléinformatiques pour
(7) LEVI-MAZLOUM D, Gestion des absences d'une
entreprise, Fribourg : Département d'Informatique de
l'Université de Fribourg, 2009.
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accéder aux informations stockées dans des
banques de données, moyens logiciels pour pratiquer la veille
informationnelle, etc.
2°Les sources internes
Les sources internes sont toutes les composantes de
l'entreprise générant de l'information. Le travail du SI consiste
à capter tous les flux d'information internes circulant dans
l'entreprise. Exemple : Documents comptables, documents commerciaux, archives
statistiques, etc.
Si l'information formalisée est facilement recueillie,
l'information informelle est beaucoup plus difficile à capturer mais qui
est aussi importante. Pour limiter le risque de perte de ce type d'information,
l'organisation peut mettre en place des moyens organisationnels de
formalisation par exemple Rédaction systématique de comptes
rendus après les réunions.
L'objectif est de structurer des informations d'origines et de
formes diverses. Des moyens humains et techniques (notamment des
matériels de saisie et des supports d'enregistrement) sont
utilisés mais aussi des méthodes, notamment des méthodes
de contrôle et de codification de l'information, afin de disposer
d'informations fiables et facilement exploitables.
b) Mémoriser l'information
Une fois saisie, l'information doit être stockée
de manière durable et stable. Le SI met en oeuvre des moyens techniques
et organisationnels (méthodes d'archivage, de protection contre le
piratage ou la destruction, etc.).
Aujourd'hui, la mémorisation des informations se fait
au moyen deux techniques principales : les fichiers et les bases de
données.
c) Exploiter l'information
Une fois mémorisée, on peut appliquer à
l'information une série d'opérations. Ces opérations de
traitement consistent à :
- Consulter les informations : les rechercher, les
sélectionner...
- Organiser les informations : les trier, les fusionner, les
partitionner...
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- Mettre à jour les informations: les modifier (sur la
forme et le contenu), les supprimer, etc.
- Produire de nouvelles informations: informations
calculées (suite à des calculs arithmétiques ou des
calculs logiques), cumuls, etc.
d) Diffuser l'information
La diffusion consiste à mettre à disposition de
ceux qui en ont besoin, au moment où ils en ont besoin et sous une forme
directement exploitable, l'ensemble des informations qui leur permettront
d'assurer leurs activités. En ce sens, le système d'information
assure la circulation des informations à destination du système
de décision et du système opérant.
I.3. SYSTEME MANUEL
Un système manuel, certes plus facile à
comprendre, est le moyen le plus sujet à erreur et le plus inefficace de
stocker et d'extraire des données financières (8). Il
se prête à des abus et à la fraude, à des erreurs
mathématiques et à la perte d'informations du fait d'un mauvais
stockage, et ne permet de produire de rapports qu'au bout d'un temps
considérable et moyennant d'énormes ressources humaines.
Enfin, ce type de système ne permet pas facilement de
procéder à une analyse statistique des tendances et de leurs
causes. Et le plus important c'est qu'il offre une réduction très
importante des coûts de gestion de l'information.
Pour une organisation ayant un fort volume d'activité,
une base de données informatisée est de loin
préférable. Beaucoup d'organisations, d'entreprises et
d'établissement utilisent encore des systèmes manuels, mais la
plupart d'entre elles informatiseraient immédiatement leur
système si elles pouvaient assumer le coût de cette
opération, avaient le personnel compétent requis et pouvaient se
procurer des logiciels répondant à leurs besoins.
Au fur et à mesure que la technologie de l'information
s'améliorera, que le coût de l'informatisation baissera, que le
volume de leurs opérations augmentera et que la concurrence
s'intensifiera et, partant, favorisera les organisations qui ont plus
facilement et plus rapidement accès à l'information, elles
éprouveront de plus en plus la nécessité de passer d'un
système manuel à un système informatisé.
(8)
http://solutionspme.lemondeinformatique.fr
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Informatisé non systèmes d'information c'est
utiliser les nouvelles technologies de l'information et de communication, c'est
tirer profit du développement rapide des solutions informatiques et
s'adapter au changement et à l'évolution pour pouvoir
résister à la concurrence et garder vie et pourquoi pas
être compétitif et se développer.
I.4. INFORMATISATION DE LA VIE D'UNE ORGANISATION
Quelque soit l'entreprise (petite, moyen ou grande) et quelque
soit son domaine d'activité (production, service, commercialisation), il
y a des fonctions communes (9):
- Les ressources humaines qu'il faut recruter, former,
rémunérer, gérer ;
- La comptabilité et la finance pour calculer les
dépenses, les recettes, la rentabilité, le taux d'endettement,
etc.
- La production où les produits (voiture, aliments,
services bancaires, cours de formation, etc.) sont «fabriqués»
et où on doit planifier, organiser, gérer le stock des produits,
les processus de fabrication, la livraison, etc.
- La vente et le marketing, où le contact avec le
client a lieu pour le démarcher et lui vendre les produits; et où
on doit gérer la relation avec le client et avoir une information
précise sur les produits, les tarifs, les promotions, la marge de
manoeuvre, etc.
- L'ingénierie, où les nouveaux produits sont
imaginés, conçus, testés et évalués et
où on se préoccupe des processus de fabrication et des
méthodes de travail; on a besoin ici d'une information plus
spécifique selon la nature du produit conçu On va donc regarder
pour toutes ces fonctions de ce qu'apporte l'informatique et les
spécificités des besoins en terme de système
d'information.
I.5. SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE
Actuellement, les SI ont pris en compte dans leur conception
une composante informatique à cause de l'émergence des
systèmes de gestion de base de données et d'applications de
gestion informatiques diversifiées qui évoluent de plus en plus.
C'est ainsi qu'a été introduit la notion de SAI (Système
Automatisé d'Information) (10).
(9) PASQUIER J. et MINH TUAN N, Introduction à
l'Informatique de Gestion I, Université de Fribourg, 2009.
(10) MEIER A., Introduction pratique aux bases de données
relationnelles, Springer, Paris, 2002.
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I.6. BASE DES DONNEES
I.6.1. Définition
Une Base des données (BD et Data Base « BD »
en anglais) est une entité dans la quelle, il est possible de stocker
des données de façon structurée et avec moins de
redondance possible (11). Ces données doivent pouvoir
être utilisées par des programmes, par des utilisateurs
différents.
Ainsi, la notion Base des données est
généralement couplée à celle de réseau, en
fin de pouvoir mettre en commun ces informations, d'où le nom Base. On
parle généralement de système d'information pour
désigner toute les structures regroupant les moyens mis en place pour
pouvoir partager les données.
Une Base des données est avantageuse dans le sens qu'il
permet de mettre les données à la disposition d'utilisateurs pour
consultation, une saisie ou une mise à jour, tout en s'assurant de droit
accorder à ces derniers. Et la majeur avantage de l'utilisation d'une
Base des données est la possibilité de pouvoir y
accédé par plusieurs utilisateurs simultanément.
I.6.2. Caractéristiques de la base des
données
- Une base de données se présent sous la forme
d'un ensemble de fichiers appelé tables ;
- Les tables peuvent être liées entre elles par
des liens par des relations hiérarchiques, par des relations de
dépendance ;
- Une base de données garantit l'intégrité
des données ; - Une base de données garantit l'unicité des
données ; - Un système de données comprend des index.
I.6.3. Les différents types de base de
données (12)
Il existe plusieurs types de base de données parmi
lesquelles
on peut citer :
- Gestion de fichiers ou de table ;
- Base de données en réseau ;
(11) LEON F., introduction à l'informatique,
éd. Destinée au Canada, 1980
(12) CT. ILUNGA Placide, Cours de base de données, ISIPA,
2010-2011
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- Base de données hiérarchique ; - Base de
données relationnelles ; - Base de données objets ;
- Base de données XML ;
- Base de données déductives.
1- Les logiciels de gestion de fichiers ou de tables
Ne peuvent être considérés comme une vraie
base de données. L'exemple le plus courant est l'utilisation d'un
tableur, par exemple Excel de Microsoft Corp.
Certes un tableur permet d'organiser ses données,
d'effectuer un certain nombre de requête, par exemple un tri, ou un
cumul, ou une extraction des données. Les tables peuvent être
liées entre elle grâce à des pointeurs qui pointent sur des
index. Mais les limites sont très vite atteintes et l'utilisation de ce
genre de base est à restreindre à quelques milliers
d'enregistrements et à des opérations simples.
Néanmoins, dans le cadre d'une utilisation
mono-utilisateur ou en partage avec quelques utilisateurs, par exemple la
gestion de documents de travail ou sein d'une même équipe, un
logiciel simple suffit.
2- Les bases de données en réseaux
C'est une base de données qui offre la
possibilité d'établir une multiplicité de lien entre des
groupes de données, organisées qui peuvent elles-mêmes
être sur des serveurs physiques et distants.
Les bases de données en réseau sont
limités car les liens entre les tables sont multiples et ne se
prêtent pas facilement à une modélisation. Néanmoins
elles permettent de mettre en relation de l'application distante. Elles
s'appuient pour la plupart du temps sur des architectures de réseau
réparties.
La base de données réseau présente comme
inconvénient, les temps de réponses qui ne sont constants
à cause des temps de transmissions de l'information dans les
réseaux.
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NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 17
Apparues dans le années 1970, elles évoluent
encore notamment grâce à de nouveaux concepts de stockages de
l'information en ligne.
3- Une base de données hiérarchique
Présente une structure en forme d'arborescence chaque
niveau de l'arborescence est lui-même réparti en plusieurs autre
sous niveau. Le modèle hiérarchique est composé de champs,
qui constituent la plus petite données, de segments, qu'est une
collection de champs. Enfin les segments sont organisés en arbre.
Ce genre de base se trouve fréquemment dans des
applications vidéotex.
Leur flexibilité est limitées par ce que le
chemin d'accès permet d'établir uniquement des liens entre les
diverses catégories appartenant à la même
hiérarchie. Elles sont apparues dans le milieu des années 1970.
Elles sont parfaitement adaptées pour les applications vidéotex,
pour le classement de données en nomenclatures, mais aussi pour tout
type d'organisation hiérarchique comme les grandes entreprises ou
administration.
4- Les bases de données relationnelles
Sont le plus répandues depuis les années 1990.
Le concept a été introduit par E.F.codd, qui travaillait au
centre de recherche d'IBM.
Le modèle relationnel est fondé sur la
théorie mathématique des relations. Ce modèle a
été normalisé en 1986. Les éléments
fondamentaux sont les objets. Ils sont reliés entre eux par des
relations ces relations peuvent avoir des valeurs multiples. Elles sont
définies par les cardinalités.
Elles offrent le grand avantage de lire les tables entre elles
par des relations. Elles ont bénéficiés de l'apport de la
modélisation « Merise », méthode d'analyse
informatique. Elles ont également bénéficié d'un
langage de requête normalisé de 4éme
génération, SQL (squery langage), largement utilisé par
les plus informaticiens et pour les utilisateurs aguerris.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 18
Ce modèle a donné les bases de données le
plus répandues telles qu'Oracle, Ingres DB2, Sybase.
5- Les bases de données objets
Sont les plus récentes et sont apparues depuis les
années 1995. Elles offrent le grand avantage de s'appuyer sur la
modélisation objet et depuis quelques années sur la
modélisation « UML ». La modélisation objet apporte la
notion de relation père-fils, la notion de polymorphisme et la notion de
persistance.
L'élément de base est l'objet, défini
dans une classe. Une classe peut avoir des sous-classe.les sous -classes
héritent des propriétés de la classe. C'est la notion
d'héritage. Le polymorphisme est la faculté pour une
opération d'avoir différentes signatures avec un code
spécifique attaché à chaque signature. Enfin un objet
persistant doit pouvoir continuer à exister au-delà du programme
qui le crée.
Les applications directes sont les jeux vidéo mais
aussi toutes les transactions informatiques en mode déconnecté
qui nécessite le maintien temporaire de la transaction. Elles offrent
des caractéristiques semblables aux bases relationnelles, mais elles
utilisent des structures plus complexes de données que l'on appelle des
objets.
6- Les bases de données orientées XML
Sont les nouvelles bases de données émergentes.
Complètement orientées Web, c'est-à-dire internet et
intranet, elles ont les gros avantages d'être compatibles quels que
soient les systèmes d'exploitation des utilisateurs, mais elles
amènent également l'indépendance des données par
rapport aux structure des données, ce qui permet entre autre à un
contenu de page web de s'afficher avec des chartes graphiques
différentes.
Pour l'instant encore à l'étude et en
expérimentation, elles commencent à être utilisées.
Elles s'appuient entièrement sur les langages, produits et logiciels
spécifiques à l'internet, tels que : PHP, SPIPE, ZOP... pour
l'instant elles sont réservées à des développeurs
confirmés.
M F I T I G r a c e P a g e | 19
7- Les bases de données déductives
Sont une autre approche nouvelle pour les bases de
données complètement orientées langages utilisateurs,
elles ont comme principal avantage de s'appuyer sur des SGBD existants sur
lequel on rajoute une couche de langage accessible par les utilisateurs. Ce
langage permet aux utilisateurs une approche déductive tout en
respectant les syntaxes et règles syntaxiques imposées par les
SGBD sur lequel s'appuie le SGBD déductif.
I.7. SYSTEME DE GESTION DE BASE DES DONNEES (SGBD)
Un SGBD est un ensemble de programmes assurant la gestion et
l'accès à une base des données. Un SGBD héberge
généralement plusieurs base des données, qui sont
destinées à des logiciels ou des thématiques
différentes (13).
La SGBD est un ensemble de service (Applications logicielles)
permettant de gérer la Base des données. C'est-à-dire :
- Permettre l'accès aux données de manière
simple ;
- Autoriser un accès aux informations par multiples
utilisateurs ;
- Manipuler les données présentes dans le Base
des données (insertion, suppression, modification).
I.8. UML
I.8.1. Historique
L'histoire d'UML se compose de 5 périodes bien
distinctes. On va passer en revue ces périodes pour comprendre pourquoi
ce langage a émergé et comment il évolue aujourd'hui
encore.
1- Première période (de 1975 à 1995) :
la diversification
Les organismes commencèrent à saisir
l'importance et la valeur des logiciels, mais ne disposaient que de fragments
de techniques permettant de les concevoir, de les produire et de les
maintenir.
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(13) Http//
www.Wikipedia.org(URL du 25 mars
2013)
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M F I T I G r a c e P a g e | 20
Cependant sur la cinquantaine des méthodes d'analyse et
de conception qui existaient alors, trois ont émergé du lot,
à savoir :
- La méthode BOOCH de Grady Booch qui mettait l'accent
sur le design et la construction des systèmes logiciels ;
- La méthode OMT (Objecting Modeling Technique)
de James Rumbaugh qui insistait sur l'analyse des systèmes
logiciels ;
- La méthode OOSE (Objectif Oriented software
Engineering) de Ivar Jabcobxon qui était très pratique pour la
formalisation des besoins.
Cependant, les adeptes d'une méthode comprenaient
difficilement les interfaces produits par d'autres méthodes. De plus,
les praticiens éprouvaient des difficultés pour passer d'une
organisation à une autre car ils devaient nécessairement
apprendre une nouvelle méthode. Par conséquent, l'apprentissage
et l'usage d'une seule méthode ne présentaient qu'un
intérêt limité.
2- Deuxième période (du milieu des
années 90) : l'unification
Dans le cadre du rapprochement, Grady Booch, James Rumbaugh et
Ivar Jabcobxon se sont retrouvés dans la société Rational
Software Corporation avec comme objectif de fusionner leurs méthodes
pour créer une méthode unique de modélisation objet : UML
(Unified Modeling Langage) vit donc le jour, dans sa première
version (UML 1.0.), durant la première moitié des années
90.
3- Troisième période (deuxième
moitié des années 90) : la normalisation
En 1997, OMG (Object Management Group), instance de
normalisation internationale du domaine de l'objet établit un standard
définissant la signification des concepts orientés objet pour
tous les outils prenant en charge l'analyse et le design orienté objet.
UML s'y conforma dans sa nouvelle version UML 1.1. C'est ainsi que OMG l'adopta
en 1997 et assuma la responsabilité du développement futur de ce
standard.
4- Quatrième période (années 2000) :
la révision
Prenant en compte les critiques constructives et commentaires
des utilisateurs de cet outil, plusieurs versions se succédèrent
après l'adoption par OLG de UML 1.1., afin d'apporter les corrections
mineures aux versions antérieures. La version en cours est UML 1.4.
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M F I T I G r a c e P a g e | 21
Toutefois, OMG prépare la version UML 2.0, qui se veut
une nouvelle génération de cet outil.
5- Cinquième période (deuxième
moitié des années 90) : l'industrialisation
Parallèlement à cette période de
révision, OMG soumet UML à une normalisation auprès de
l'organisme ISO (International Organisation for Standardization).
I.8.2. Définition
UML est l'acronyme de « Unified Modeling Langage
», en français « Langage de Modélisation
Unifiée ».
Il s'agit d'un langage permettant de modéliser
(représenter) un système de façon standard par des
pictogrammes ou diagrammes. Il est apparu dans le monde du génie
logiciel dans le cadre de la « conception orientée objet ».
De manière plus précise, UML est un langage
visuel pour la modélisation des systèmes d'information :
- Permettant la spécification, la visualisation, la
construction et la documentation des logiciels ;
- Facilitant la communication et le travail en équipe ;
- Ayant différents modèles pour différents
points de vue ;
- Utilisant une approche orientée objet.
Chacun des mots constituant l'appellation UML (à savoir
Langage, Modèle et Unifié) décrit un aspect important de
cette méthode qu'il importe donc de préciser.
1- Langage
Un langage permet de communiquer à propos d'un sujet.
Sans langage, il devient difficile pour les membres d'une équipe en
charge de l'analyse d'un système d'information de communiquer et de
collaborer au développement de ce système.
UML utilise donc à cet effet tout un ensemble de
formalismes ou symboles standards (langage), ayant une signification
précise et compréhensibles par tous, pour pouvoir
représenter un système d'information.
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M F I T I G r a c e P a g e | 22
2- Modèle
Le modèle est une représentation d'un sujet par
une combinaison harmonieuse et logique des formalismes ou symboles du langage.
Dans le cas d'UML, cette représentation se matérialise par des
diagrammes.
3- Unifié
Ce terme fait référence au fait que la
méthode UML résulte d'une combinaison des meilleures pratiques en
matière de conception des systèmes d'information en vigueur au
moment de sa mise au point. Cette combinaison a été
réalisée par le groupe OMG (Object Management Group), un
organisme de renommé internationale en matière de normalisation
dans le domaine de la modélisation orientée objet, et
l'entreprise Rational Software Corporation.
I.8.3. Caractéristiques d'UML
UML est basé sur un méta modèle. Cela
veut dire qu'UML appelle le programmeur à avoir un esprit ouvert pour
mieux représenter la structure observée par des objets, sans se
préoccuper de l'environnement programmable où il sera
implémenté.
Dès lors UML à une sémantique globale
servant de fondement pour les langages orientés objet, définit
simplement la structure d'un programme expliquant les interactions entre
objets.
La programmation orienté objet implique en premier lieu
une conception abstraite d'un modèle objet, en deuxième lieu,
l'implémentation à l'aide d'un langage orienté objet (C++,
Java, ...).
I.8.4. Le paradigme orienté objet
L'approche « objet » occupe actuellement une place
prépondérante dans le génie logiciel, à cause :
d'une utilisation plus large des langages orientés objet
de référence comme C++ et Java. ;
de l'introduction des concepts objet dans d'autres langages,
comme
VB.NET, Perl, Cobol, etc..
le développement très important des applications
liées à l'Internet
M F I T I G r a c e P a g e | 23
Eu égard à ce qui précède, il
importe que les outils d'analyse et de modélisation des systèmes
d'information s'adaptent aussi en conséquence à l'approche «
orienté objet ». C'est, comme on l'a vu dans l'historique, le cas
d'UML.
I.8.5. Modélisation du système
d'information par la méthode UML
La modélisation du système d'information par UML
se fait sous forme de diagrammes. Cette méthode propose 13 diagrammes au
total dans sa version 2.x. Ces diagrammes sont dépendants
hiérarchiquement et se complètent de façon à
permettre la modélisation d'un projet tout au long de son cycle de vie.
Enfin, ils peuvent être regroupés en deux catégories :
diagrammes structurels ou statiques et diagrammes de comportement. Tous ces
aspects sont résumés dans la figure et les lignes ci-dessous.

A- Diagrammes structurels
Ces diagrammes ont vocation de représenter l'aspect
statique d'un système. Ils sont au nombre de 6, à savoir :
Diagramme de classes (class diagram)
Il représente les classes intervenant dans le
système ainsi que les liens entre classes ; chaque classe
intégrant la partie dédiée aux données et celle
consacrée aux traitements. Il s'agit de la classe pivot de la
modélisation du système.
Diagramme d'objets (object diagram)
Il sert à représenter les instances des classes
(objets) utilisés dans le système ainsi que les liens entre
instances.
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M F I T I G r a c e P a g e | 24
Diagramme de composants (component diagram)
Il montre les différents constituants du logiciel au
niveau de l'implémentation d'un système (fichiers, bases des
données, modules exécutables, ...), ainsi que les liens entre ces
constituants.
Diagramme de déploiement (deployment diagram)
Il sert à représenter les éléments
matériels (ordinateurs, routeurs, serveurs, supports de stockage,
etc...) formant l'architecture physique du système, les composants
produits ou utilisés par chaque matériel, les relations entre
éléments matériels, entre composants ainsi que entre
composants et éléments matériels.
Diagramme de paquetages (package diagram)
Il donne une vue d'ensemble du système structuré
en paquetages (ou package) ; chaque paquetage représentant un ensemble
homogène d'éléments du système (classes,
composants, ..).
Diagramme de structure composite (composite structure
diagram) :
Ce diagramme permet de décrire la structure interne
d'un ensemble complexe composé par exemple de classes et de composants
techniques. Ce diagramme met l'accent sur les liens entre les sous-ensembles
qui collaborent.
B- Diagrammes de comportement
Ces diagrammes représentent la partie dynamique d'un
système réagissant aux événements et permettant de
produire les résultats attendus par les utilisateurs. Ils sont au nombre
de 7, à savoir :
Diagramme des cas d'utilisation (use-cases diagram)
Il représente les besoins des utilisateurs ou acteurs
externes au système, c'est-à-dire toutes les
fonctionnalités que doit fournir le système. Il constitue l'un
des diagrammes les plus structurants dans l'analyse d'un système par
l'approche UML.
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M F I T I G r a c e P a g e | 25
Diagramme d'états-transitions (state machine
diagram)
Il montre les différents états des objets en
réaction aux
événements.
Diagramme d'activités (activity diagram)
Il donne une vision des enchaînements des actions ou
activités propres à une opération ou à un cas
d'utilisation. Il permet aussi de représenter les flots de
contrôle et les flots des données.
Diagramme de séquences (sequence diagram)
C'est une représentation du déroulement
séquentielle des traitements intervenant dans le cadre d'un cas
d'utilisation en mettant l'accent sur la chronologie des opérations en
interaction avec les objets.
Diagramme de communication (communication diagram)
C'est une représentation simplifiée d'un
diagramme des séquences, se concentrant sur les échanges de
messages entre objets.
Diagramme global d'interaction (interaction overview
diagram)
Ce diagramme fournit une vue générale des
interactions décrites dans le diagramme de séquence et de flots
de contrôle décrits dans le diagramme d'activités.
Diagramme de temps (timing diagram)
Ce diagramme représente les états et les
interactions d'objets dans un contexte où le temps a une forte influence
sur le comportement du système à gérer.
Remarque :
Dans la modélisation d'un système, il n'est pas
indispensable d'utiliser tous les 13 diagrammes proposés par la version
2.x. d'UML. Il appartient donc au développeur, dans la pratique, de
choisir ceux qui lui paraissent pertinents pour la modélisation du
système analysé.
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M F I T I G r a c e P a g e | 26
Toutefois, le diagramme de classes est
généralement considéré comme
l'élément central d'UML ; tandis que le diagramme des cas
d'utilisation comme celui par lequel débute le plus souvent l'analyse du
système.
Certains nouveaux diagrammes proposés dans la version
2.x d'UML ne sont que des structures détaillées ou globalisantes
des diagrammes existant dans les versions précédentes. C'est le
cas des 4 diagrammes suivants : diagramme de structure composite, diagramme de
communication, diagramme global d'interaction et diagramme de temps. De sorte
que dans les lignes qui suivent, on se limitera à décrire de
manière détaillée les 9 autres diagrammes,
considérés comme des diagrammes de base.
Pour le cas de notre étude, nous avons
sélectionnés les diagrammes suivants : cas d'utilisation,
séquences, classes, d'activités et déploiement.
1- Diagramme de classe
Cette vue montre la structure statique d'un système.
Une
classe est dessinée à l'aide d'un rectangle solide
à trois compartiments : En haut : le nom de la classe en gras ; il y a
un stéréotype, c'est-à-dire la mention du genre de classe,
il est placé ou dessus, centré, en police normale, noté
entre « et » ;
Au milieu : la liste des attributs, avec en africain les types
et valeur initiales, selon la syntaxe nom (paramètre : type = valeur par
défunt....) : type résultat.
Dans une vue d'ensemble, le rectangle peut-être
réduit au seul nom de la classe.
Classe
Attribut 1 : type Attribut 2 : type
+ Méthode 1 () : type + Méthode 2 () :
void
|
Notre représentation, nous montre directement qu'une
classe a trois partis à savoir : le nom, les attributs et les
méthodes (opérations) de la classe.
M F I T I G r a c e P a g e | 27
Tenant compte du principe d'encapsulation : UML définit
trois niveaux cette visibilité pour les attributs et les
opérations :
Public qui rend l'élément visible à tous les
attributs de la classe (mot UML :+) ;
Partagé qui rend l'élément visible aux sans
clases de la classe (mutation UML : #) ;
Privé qui rend l'élément visible à la
classe seule (notation UML :-). A. Relation entre classe
(14)
? Association
Une association est un lien qui unit deux classes.
A
B
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? Multiplicité ou cardinalité
La multiplicité indique combien d'objets d'une classe
peuvent être liés à d'autres classes dans une association.
La multiplicité s'affiche sans la forme d'une séquence contenant
les éléments suivants, séparés par des virgules
:
- Exactement un : 1 ou 1.1 ;
- Plusieurs : * ou 0* ;
- Au moins un : 1* ;
- De un à six : 1-6.
La notation signale deux nombres entiers séparés
par deux pains <..>. L'étoile, <*>, signifie que la borne
supérieurs ne peut pas encore être déterminée.
(14) KUTANGILA MAYOYA et WANGI NGOY, Progiciel, G3
ISP/Gombe, Kinshasa, 2011-2012
M F I T I G r a c e P a g e | 28
? Classe d'association
La conception par l'existence d'une troisième classe,
appelée classe d'association. Cette dernière permet de
spécifier les fonctionnalités de la liaison.
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Acheter
? Héritage
L'héritage, ou la relation de génération
est précisée par deux classes que l'une est une
spécialisation de l'autre : elle possède l'ensemble des attributs
et des méthodes de la première plus les siens propres.
Une classe mère, appelée aussi super clase est
la qui léguera l'ensemble de ses propriétés par
héritages. Une classe fille appelée aussi sous-classe, est une
nouvelle classe ayant par définition de l'héritage, tous les
attributs et toutes les méthodes de la classe mère.
Exemple :
Voiture
Voiture scolaire
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M F I T I G r a c e P a g e | 29
? Agrégation et composition
Une composition est une agrégation plus forte
impliquant
que :
- L'élément ne peut appartenir qu'à un
seul agrégat composition (agrégation nom partagée) ;
- La destruction de l'agrégat composite entraine la
description de tous ses éléments (le composite est responsable du
cycle de vie des parties).
Agrégat
|
|
Elément
|
|
|
|
|
|
Composition
|
|
Elément
|
|
|
|
|
|
2- Le Diagramme des cas d'utilisation
Les cas d'utilisation (use cases)
décrivent sous forme d'actions et de réactions, le comportement
d'un système du point de vue d'un utilisateur. Avant UML, ils
n'étaient pas formalisés par les autres méthodes objet
telles que OMT.
Les cas d'utilisation sont utiles lors de l'élaboration
du cahier des charges ou du document de spécifications des besoins du
logiciel.
Le modèle des cas d'utilisation comprend les
acteurs, le système et les cas d'utilisation.
L'ensemble des fonctionnalités du système est
déterminé en examinant les besoins de chaque acteur,
exprimés sous forme de famille d'interactions dans les cas
d'utilisation.
Les acteurs se représentent sous forme de petits
personnages qui déclenchent les cas. Ces derniers se représentent
par des ellipses contenues dans un rectangle représentant le
système.

Acteur A
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Cas X
Système
Acteur B
Cas Y
3- Diagramme de séquence
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NGOY
Pour commencer à décrire l'évolution d'un
ensemble d'objets, il est possible de dessiner d'abord un diagramme de
séquence.
Horizontalement, on place les instances concernées par un
scénario et on relie les instances par des flèches indiquant le
flux d'événements. Verticalement, le temps est
représenté.
Ce type de diagramme donne une première idée des
événements qui pourront être pertinents dans la
modélisation. On répète ce diagramme autant de fois qu'il
existe de scénarii d'événements possibles.
Exemple du téléphone: Dans le suivi
d'événements ci-dessous, un utilisateur appelant décroche
le téléphone qui envoie un signal sur la ligne
téléphonique et la tonalité à l'utilisateur
appelant :
UtilAppelant AppareilAppelant LigneTél AppAppelé
UtilAppelé
« Décroche » ALTdécroche
« Tonalité »
Le schéma général ci-dessous donne une
idée sur la représentation d'un diagramme de séquences
correspondant à un cas d'utilisation donné.
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
Nom du diagramme
Objet 1
(message 3)
(message 1)
(message 4)
(message 2)
Objet 2
Objet 3
4- Diagramme d'activité
4-1- Rôle du diagramme
d'activités
Le diagramme d'activités représente le
déroulement séquentiel des actions à réaliser dans
le cadre d'un cas d'utilisation. Le passage d'une activité à la
suivante est matérialisé par une transition.
L'activité est une action ou un ensemble
d'opérations liées dont l'exécution entraîne une
modification de l'état du système.
En fait, le diagramme d'activités est une vue
macroscopique du diagramme d'état-transition. En effet, alors que le
diagramme d'état-transition décrit le comportement interne d'un
objet qui, à la suite d'un événement, peut passer d'un
état à un autre, le diagramme d'activités par contre
décrit le comportement interne d'un cas d'utilisations dont les
activités se succèdent de manière logique et
séquentielle, formant une chaîne ou flot de contrôles.
On constatera du reste quelques similitudes en ce qui concerne certains
concepts et formalismes utilisés.
4-2- Eléments constitutifs du diagramme
d'activités
Le diagramme d'activités est formé des
éléments suivants : Activité ou action ;
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Transition ; Noeud ;
Couloir d'activité.
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4-3- Formalisme
CLIENT
|
AGENT GUICHET
|
RESPONS. STOCK
|
Début
|
|
|
|
|
|
Réceptionner
|
|
Analyser
|
|
|
Commander
|
|
|
un produit
|
|
|
commande
|
|
commande
|
|
|
|
stock non disponible
|
|
|
|
|
|
|
stock disponible
|
facture établie
|
|
|
|
commande établie
|
|
|
|
Préparer Facture
|
|
réceptionner produit
|
|
|
expédier le
|
|
|
|
|
produit
|
|
|
|
|
|
|
|
commande honorée
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Envoyer produit
|
|
|
|
réceptionner
|
|
|
|
|
produit et
|
facture
|
|
|
et facture
|
|
|
|
|
|
|
|
recevoir
|
|
|
|
la facture
payer
|
|
|
|
|
|
|
l'argent
|
|
Fin
|
|
|
|
facture payée
|
|
|
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY

« artefact ))
BDDClients
Serveur Applications
«artefact ))
BDDStock
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NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 34
5- Diagramme de déploiement
5-1- Rôle du diagramme de déploiement
Le diagramme de déploiement représente
l'architecture ou l'environnement physique supportant l'exploitation du
système. Il est composé des ressources matérielles de
traitement, appelées noeuds, et des composants logiciels
utilisés ou produits par ces noeuds, appelés
artefacts.
5-2- Eléments constitutifs du diagramme de
déploiement
Le diagramme de déploiement comprend donc les
éléments
suivants :
Noeuds ; Artefacts ;
Relation entre noeuds et entre artefacts ;
Spécification de déploiement.
5-3- Formalisme
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L'élaboration de ce chapitre est d'une grande
importance du fait que le planning prévisionnel de réalisation du
projet nous aide à maitriser la durée et le coût du
projet.
II.1. METHODE PERT
II.1.1. Définition
Le Pert (Program of Evaluation and Review Technique) est une
méthode consistant à mettre en ordre sous forme de réseau
plusieurs tâches qui, grâce à leur dépendance et
à leur chronologie, concourent toutes à l'obtention d'un produit
fini (15).
La méthode PERT est le plus souvent synonyme de gestion
de projets importants et à long terme. C'est pourquoi, plusieurs actions
sont nécessaires pour réussir sa mise en oeuvre.
II.1.2. Démarche
- Définir de manière très précise le
projet ;
- Définir un responsable de projet, auquel on rendra
compte et qui prendra les décisions importantes ;
- Analyser le projet par grand groupe de tâches, puis
détailler certaines tâches si besoin est ;
- Définir très précisément les
tâches et déterminer leur durée ;
- Rechercher les coûts correspondants (ce qui peut
éventuellement remettre en cause certaines tâches) ;
- Effectuer des contrôles périodiques pour
vérifier que le système ne dérive pas.
II.1.3. Formalisme
Le graphe Pert est composé d'étapes et de
tâches :
? Exemple de représentation de la tâche A :
Tâche A
? Exemple de représentation de l'étape 1 :
(15)
http://www.transdata.fr/bois/Cours/PERT/PERT.htm

M F I T I G r a c e P a g e | 36
N° de l'étape
1
5
7
Délai au plutôt
Délai au plus tard
? Règles de représentation :
- Toute tâche a une étape de début et une
tâche de fin
B
1 A
1 2 3
- Deux tâches simultanées :
C
2
1
D
3
- Deux étapes convergentes :

1
E
3 G 4
2
F
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 37
II.2. ORDONNANCEMENT II.2.1. Description des
tâches
Cette étape permet de ressortir les différentes
activités qui seront menées pour le projet soit fini. Par rapport
à notre travail, les activités suivantes s'avèrent
importantes pour sa réalisation :
- Récoltés des données ;
- Etude préalable ;
- Etude détaillée (conception) ;
- Etude technique (réalisation) ;
- Développement et test unitaire ;
- Test d'intégration ;
- Maintenance ;
- Formation des utilisateurs ;
- Acquisition des matériels ;
- Déplacement et livraison.
Il permet d'ordonner dans le temps un ensemble
d'opérations contribuant à la réalisation d'un même
projet. Le déroulement de ces diverses opérations (tâches)
doit respecter certaines contraintes qui peuvent être :
- Soit des contraintes d'antériorité : avec la
logique selon laquelle une tâche ne peut commencer que lorsque une
tâche est terminée (contraintes de succession) ou celle selon
laquelle une tâche ne peut commencer qu'un certain laps de temps
après que la tâche ait
- commencé.
- Soit des contraintes de date : qui stipule qu'une
tâche ne peut commencer avant une certaine date dans le but de minimiser
la durée totale de la réalisation du projet.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 38
II.2.2. Tableau d'ordonnancement
Code d'activités
|
Activités
|
Activités antérieures
|
Durées
|
Coût en $ /jours
|
Coût total
|
A
|
Récoltes de données
|
-
|
03
|
50
|
150
|
B
|
Etude préalable
|
A
|
05
|
500
|
2500
|
C
|
Etude détaillée
|
B
|
07
|
500
|
3500
|
D
|
Etude technique
|
C
|
10
|
300
|
3000
|
E
|
Développement et test unitaire
|
D
|
45
|
100
|
4500
|
F
|
Test d'intégration
|
E
|
1
|
50
|
50
|
G
|
Maintenance
|
F
|
10
|
100
|
1000
|
H
|
Formation des utilisateurs
|
F
|
15
|
50
|
750
|
I
|
Acquisition des matériels
|
G, H
|
2
|
50
|
100
|
J
|
Déploiement et livraison
|
I
|
1
|
100
|
100
|
M F I T I G r a c e P a g e | 39
II.2.3. Elaboration du graphe PERT


Début
0 0
0 0
A

8 8
C
3
5
3
3
B
7

15 15
D
10 25
E
25
45
70 70
F
1
71 76
10
G
86 86
1
I
15
71 71
H

88 88
J
2

5
93 93
Fin
- Chemin A: A, B, C, D, E, F, G, I, J - Chemin B: A, C, D, E,
F, H, I, J
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 40
II.4. CALCULS DES DATES FIN AU PLUS TOT
Ce sont des dates qui permettent de déterminer pour chaque
étape, une date limité de réalisation de telle sorte que
la date au plutôt de la fin des travaux ne soit pas retardée.
La formule qui nous permet de calculer la date au plus tôt
est
la suivante : DFO (x) : max[ ( ) ( )]. Les calculs
s'effectuent sur les sommets.
DFO(1)=0
DFO (2) = DFO (1) + d(A) DFO (2) = 0 + 3 = 3
DFO (3) = DFO (2) + d(B) DFO (3) = 3 + 5 = 8
DFO (4) = DFO (3) + d(C) DFO (4) = 8 + 7 = 15
DFO (5) = DFO (4) + d(D) DFO (5) = 15 + 10 = 25 DFO (6) = DFO (5)
+ d(E) DFO (6) = 25 + 45= 70 DFO (7) = DFO (6) + d(F) DFO (7) = 70 + 1 = 71 DFO
(8) = DFO (7) + d(H) DFO (8) = 71 +15 = 86 DFO (9) = DFO (8) + d(I) DFO (9) =
86 + 2 = 88 DFO (10) = DFO (9) + d(J) DFO (10) = 88 + 5 = 93
II.5. CALCULS DES DATES DE FIN AU PLUS TARD
Il permet de déterminer pour chaque tâche une
date de début au plus tard de sorte que la date de fin des travaux ne
soit pas retardée.
La formule qui nous permet de calculer la date au plus tard
est la suivante : DFA = min [ ( ) ( )] ou DFA
représente la durée au
plus tard de l'activité suivante et d(i) la durée
de l'activité.
DFA (10) = 93
DFA (9) = DFA (10) - d (J)
DFA (9) = 93 - 5 = 88
DFA (8) = DFA (9) - d (I)
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 41
DFA (8) = 88 - 2 = 86 DFA (7) = DFA (8) - d (H) DFA (7) = 86 - 15
= 71 DFA (6) = DFA (7) - d (F) DFA (6) = 71 - 1 = 70 DFA (5) = DFA (6) - d(E)
DFA (5) = 70 -45 = 25 DFA (4) = DFA (5) - d(D) DFA (4) = 25 - 10= 15 DFA (3) =
DFA (4) - d (C) DFA (3) = 15 - 7= 8
DFA (2) = DFA (3) - d (B) DFA (2) = 8 - 5 = 3
DFA (1) = DFA (2) - d (A) DFA (1) = 3- 3= 0
II.6. CALCULS DES MARGES II.6.1.
Calculs des marges libres
La marge libre est le retard maximum que l'on peut apporter
à la mise en route d'une tâche sans remettre en cause la date au
plus tôt d'aucune tâche.
Sa formule est :
ML (1) = DFO (y) - DFO (x) - d(i)
ML (A) = 3 - 0 - 3 = 0
ML (B) = 8- 5 - 3 = 0
ML (C) = 15- 7- 8 = 0
ML (D) = 25- 15-10 = 0
ML (E) = 70- 25- 45 = 0
ML (F) = 71- 1- 70 = 0
ML (G) = 86- 15- 71 = 0
ML (H) = 88- 2 - 86 = 0
ML (I) = 93- 5 - 88 = 0
M F I T I G r a c e P a g e | 42
II.6.2. Calculs des marges totales
Il traduit le retard maximum que l'on peut prendre dans la
mise en route d'une tâche, sans remettre en cause les dates au plus tard
des tâches suivantes.
Sa formule est :
MT (i) = DFA (y) - DFO (x) - d (i)
MT (A) = 3 - 0 - 3 = 0
MT (B) = 8 - 3 - 5 = 0
MT (C) = 15 - 8 - 7 = 0
MT (D) = 25 - 10 - 15 = 0
MT (E) = 70 - 45 -25 = 0
MT (F) = 71 - 70 -1 = 0
MT (G) = 86 - 71 -15 =
MT (H) = 88 - 86 -2 = 0
MT (I) = 93 - 88 - 5 = 0
II.7. DETERMINATION DU CHEMIN CRITIQUE
Le chemin critique est: d(A), d(B), d(C), d(D), d(E), d(F),
d(G), d(H), d(I) et d(J).
II.8. CALCUL DU COUT TOTAL DU PROJET
- Formule : ? ( )
- Calcul : 150 + 2500 + 3500 + 3000 + 4500 + 50 + 1000 + 750 +
100 + 100 = 15.650$
II.9. DETERMINATION DE LA DUREE DU PROJET
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3 + 5 + 7 + 10 + 45 + 1 + 15 + 2 + 5 = 93 jours
M F I T I G r a c e P a g e | 43
II.10. REPRESENTATION DU CHEMIN CRITIQUE

0 0
0 0
3
3
3
5
8 8
7
15 15
10 25
25
45
70 70
Début
A
B
C
D
E
F
1
71 76
10
86 86
1
71 71
G
15
I
2
88 88
J
H
5
93 93
Fin
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 44
III.1. PRESNETATION DE L'ENTREPRISE
III.1.1. Historique de SEP-CONGO
La société SEP-CONGO a été
fondée par la compagnie d'envers, le 30 décembre 1910, sous la
dénomination « société anonyme de pétrole du
Congo » en sigle, « Petro-Congo », en vue d'alimenter en gasoil
le chemin de fer du Bas-Congo avec le siège à Bruxelles.
Dès 1924, Petro-Congo fut sous la direction technique
et la gestion de « Petro-Fina » qui était la compagnie
financière Belge de pétrole, fondée en 1910. Quelque temps
plus tard, Petro-Fina changea d'appellation et devint la société
économique Belge de pétrole, en abrégé «
Petro-Com ».
Le 06 février 1962, Petro-Com créa une
société filiale dénommée «
société congolaise d'entreposage et de manutention », dont
le siège fut transféré de Bruxelles à Kinshasa
(Léopoldville).
En 1963, cette société prend la
dénomination de société congolaise des produits de
pétrole, en signe « SOCOPETROLE » qui fonctionna jusqu'en
1974. L'ordonnancement n°74/0012 du 10 janvier 1974 frappe toutes les
sociétés pétrolières étrangères
oeuvrant au Congo et crée alors la société «
Petro-Congo » service intégrant en son sein une unité
dénommée « Congo service » et toutes les attributions
de l'ancienne société SOCOPETROLE lui sont confiées.
C'est ainsi que l'ordonnance n°78/038 du 20 janvier 1978,
l'entité Congo service devint une société à
responsabilité limitée avec une participation de l'Etat comme
dans toutes les autres sociétés pétrolières.
L'Assemblée Générale du 28 Juillet 1978 décida la
dénomination « CONGO SERVICE DES ENTREPRISES PETROLIERES » en
signe, « CONGO SEP », dont l'autorisation d'existence fut
donnée par l'ordonnance présidentielle n°82/072 du 02 juin
1982, comme l'est pour toute société par action à
responsabilité limitée (SARL).
III.1.2. Nature juridique
SEP-CONGO est une entreprise de droit privé. Son
capital social est représenté par 120.000 actions des 7
actionnaires dont 36,6% sont détenus par un actionnaire public «
COHYDRO », et 63,4% par les actionnaires privés
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 45
essentiellement ARISTEA, ENGEN, OVERSEAS, HOLDING Ltd, MOBIL
PETROLEUM COMPANY et ELF OIL RDC dans la proportion suivante :
N°
|
NOMS D'ACTIONNAIRES
|
NOMBRE D'ACTIONS
|
POURCENTAGE D'ACTIONS
|
01
|
COHYDRO
|
43.920
|
36,60
|
02
|
ARISTEA (FINA et ENGEN)
|
43.918
|
36,58
|
03
|
SHEL OVERSAS HOLDIND Ltd
|
15.600
|
13,00
|
04
|
MOBIL PETROLEUM Cie
|
9.360
|
7,80
|
05
|
ELF OIL RDC
|
7.200
|
6,00
|
06
|
FINA MARINESA
|
01
|
0,01
|
07
|
ETMO FINA S.A
|
01
|
0,01
|
TOTAL
|
120.000
|
100,00
|
III.1.3. Objet social
Cet objet social est contenu dans les statuts qui
créent la société et qui stipulent à l'article 2
que : « la société a pour objet, l'achat, l'importation, la
revente des produits pétroliers, la réception, l'entreposage, la
manutention, le transport des produits pétroliers sur toute
l'étendue du territoire national.
A ce jour, bien que prévues dans ses statuts les
activités principales de SEP-CONGO restent limitées à :
- La réception ;
- L'analyse des produits dans les laboratoires ;
- Le transport massif et la distribution des produits
pétroliers sur toute l'étendue du territoire national dans le
strict respect de normes d'hygiène de qualité, de
sécurité et d'environnement ;
- Le dédouanement des produits pétroliers
où la SEP jouit du monopole de fait.
Comme son nom l'indique, Congo service des entreprises
pétrolières SEP-CONGO, ne commercialise pas les produits
pétroliers, mais elle assure le service de mise en place des produits
pétroliers, c'est-à-dire des opérations de
réception, stockage, transport et livraison du carburant aux
sociétés commerciales pétrolières installées
dans le pays. Elle assure également la distribution directe des grands
consommateurs.
III.1.4. Siège social
Le statut de la société prévoit à
l'article 4 que : « la siège social de SEP-CONGO est situé
à Kinshasa en RDC au n°1 de l'avenue des pétroles, dans
la
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 46
commune de la GOMBE ». Elle est inscrite au n°2667,
n°identification nationale (ID.NAT) JK 12209/F, n°CC A31, BP.2197
KINSHASA I.
Toutefois, en tout compte, par simple
délibération du conseil d'administration, le siège social
peut être déplacé en tout autre endroit de la RDC.
III.1.5. Missions de la SEP-CONGO
Etant partenaire de la politique économique du pays,
SEP-CONGO est appelé à accomplir certaines missions qu'elle s'est
donnée elle-même et celles qui lui ont confiées, à
savoir :
- garantir le respect des normes de qualité, de
sécurité et d'environnement ainsi que les étapes
d'opérations de spécifications des produits pétroliers
à toutes les phases de manipulation ;
- gérer physiquement et administrativement les stocks
de produits pétroliers pour le compte des propriétaires et en
assurer la disponibilité des produits sur toute l'étendue du pays
;
- minimiser les pertes et coulages dans tous les circuits
opératoires ;
- assurer le transport des produits pétroliers vers
tous les dépôts de l'intérieur par voie fluviale,
ferroviaire et routière ;
- effectuer les livraisons de produits pétroliers dans
les grandes agglomérations urbaines ;
- ravitailler les aéronefs nationaux ou
étrangers (internationaux) dans les aéroports du pays ;
- gérer un système douanier permettant
l'établissement des statistiques fiables des importations des produits
pétroliers et les calculs de taxes à payer à l'Etat par
les opérateurs du secteur.
III.1.6. Organigramme
Direction Générale
Direction Générale Adjoint
Direction juridique
Direction des
ressources humaines
Direction
administrative
Direction financière
Direction technique
Direction
d'exploitation
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M F I T I G r a c e P a g e | 47
III.1.7. Description des tâches de l'organigramme
de SEP-CONGO
a) la direction générale (DG)
Elle coordonne les activités de tous les
départements. Elle veille à la bonne gestion de la
société et rend compte aux actionnaires de sa gestion
journalière en tant que premier responsable de l'Assemblée
Générale des actionnaires. La direction générale a
sous sa dépendance directe deux services de haute importance : le
service d'audit interne et service d'achats.
b) La direction générale adjoint (DGA)
Elle a sous sa dépendance deux services : service
planning et le service projet. Le directeur général adjoint
assiste le directeur général dans ses lourdes tâches.
c) La direction d'exploitation (DE)
Elle s'occupe de la distribution des produits
pétroliers sur toute l'étendue de la RDC pour le compte des
sociétés commerciales. Elle gère ensuite tout les
dépôts et bases de la société.
d) La direction technique (DT)
Elle s'occupe principalement du transport des produits
pétroliers. Elle regroupe en son sein d'autres services tels que : le
magasin, les ateliers, le transport et la maintenance. Cette direction
travaille en étroite collaboration avec la direction d'exploitation.
e) La direction financière (DF)
Elle est la force motrice de la société, c'est
elle qui gère et qui suit l'évolution de l'entreprise sur le plan
financier, elle élabore le budget d'investissement et d'exploitation,
établit les bilans de la société et organise les
différentes services de comptabilité.
Son rôle principal est aussi de veiller à
l'utilisation rationnelle des fonds de la société. Toute sortie
des fonds engagent la société ne peut se faire sans l'examen et
l'approbation de cette direction.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 48
f) La direction des ressources humaines (DRH)
Cette direction s'occupe tant de la gestion de l'ensemble du
personnel de la société que de la
sécurité du patrimoine de la société ; la
politique
du personnel de cette direction consiste en :
- L'embauche et l'effectif du personnel ;
- L'accueil et la formation des nouveaux engagés ;
- La formation et le perfectionnement du personnel à tous
les niveaux
hiérarchiques ;
- La rémunération, la promotion et l'information
;
- Le maintien de la discipline, le respect des règlements
de l'entreprise et les
sanctions ;
- La protection physique du personnel ;
- Les oeuvres sociales ;
- Les soins médicaux et pharmaceutiques ;
- Les problèmes juridiques du personnel.
Cette direction est subdivisée en services
différents. Il s'agit
notamment :
- Du service administratif qui a pour charge la paie, le
mouvement (recrutement et autre traitement des dossiers des agents) ;
- La garde industrielle ;
- Du service des soins médicaux.
g) La direction administrative (DA)
Cette direction gère pratiquement tous les
problèmes d'ordre
administratif de la société, elle a pour mission
:
- l'organisation ;
- La coordination ;
- La prévision ;
- Le contrôle des activités de SEP-CONGO.
III.2. PRESENTATION DU SERVICE DE DISTRIBUTION
III.2.1. Postes du service de distribution
Le service de distribution compte six postes de travail :
- Responsable de l'assurance du respect des procédures du
service de distribution ;
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 49
- Responsable adjoint de l'assurance du respect des
procédures du service de
distribution ;
- Le responsable du mouvement des produits ;
- Le chargé du dispatching commercial ;
- Le chargé de suivi de traitement des instructions ;
- Le chargé de l'élaboration des stocks dans les
dépôts de l'intérieur.
III.2.2. Organigramme du service de distribution de
SEP
Responsable de distribution
Responsable Adjoint de distribution
Dispatching
|
|
Stocks
|
Mouvements Produit
|
Suivi des instructions
|
|
|
|
|
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 50
L'étude du système existant fournit une base
d'analyse pour identifier les éléments du problème.
IV.1. ANALYSE DE LA STRUCTURE EXISTANTE
La structure du service de distribution de SEP est la suivante
:
- Responsable de l'assurance du respect des procédures du
service de
distribution ;
- Responsable adjoint de l'assurance du respect des
procédures du service de
distribution ;
- Le responsable du mouvement des produits ;
- Le chargé du dispatching commercial ;
- Le chargé de suivi de traitement des instructions ;
- Le chargé de l'élaboration des stocks dans les
dépôts de l'intérieur.
IV.2. ANALYSE DE POSTE DE TRAVAIL
IV.2.1. Responsable de l'assurance du respect des
procédures du service de distribution
- Il garanti le respect des procédures du service de
distribution ;
- Il garanti la bonne marche des activités du service de
distribution du SEP ;
- Il fait l'intérim des unités du mouvement de
produit ;
- Il fait des différents rapports du département :
entités extérieures et
intérieures ;
- Il organise et fait le suivi de l'approvisionnement de produit
de tous les
dépôts de SEP du pays.
IV.2.2. Responsable adjoint de l'assurance du respect
des procédures du service de distribution
Le Responsable adjoint de l'assurance du respect des
procédures du service de distribution assure les responsabilités
suivantes :
- il traite des vignettes, c'est-à-dire contrôler
les factures de consommations des carburante par les entités de SEP ;
- il fait le suivi des sorties des clients de
dépôts et de bases, c'est-à-dire il s'agit de toutes les
sorties des produits pétroliers réaliser dans les
dépôts pour le compte des sociétés commerciales ;
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M F I T I G r a c e P a g e | 51
- il établi des commandes carburants pour le compte des
entités, dépôts et bases de SEP ;
- il fait le suivi des consommations de dépôts, en
d'autre terme c'est un travail qui est lié à
l'établissement des commandes ;
- il fait la coordination ou la supervision des documents.
IV.2.3. Le responsable du mouvement des produits
- il fait le traitement des programmes et bons de livraison ;
- il fait l'assurance de l'expédition des produits
pétroliers par l'unité ;
- il émet les bons et établi les programmes dans un
système de gestion de base des données (SGBD) appelés
SUN.
IV.2.4. Le chargé du dispatching commercial
- il fait le traitement des instructions commerciales,
c'est-à-dire, il vérifie si tous les éléments
importants y sont. Ces éléments sont :
o entête ;
o référence ;
o quantité ;
o nature du produit.
- il fait l'établissement du dispatching qui
découle du traitement des instructions.
IV.2.5. Le chargé de suivi de traitement des
instructions
Il fait le suivi des établissements du dispatching :
transmission des établissements du dispatching à la radio, puis
vérification de document s'il est arrivé à la destination
attesté par un accusé de réception.
IV.2.6. Le chargé de l'élaboration des
stocks dans les dépôts de l'intérieur
- il élabore des stocks par produit et par
sociétés commerciales dans chaque province. Ces données
sont générées par les messages ou les câbles de
stock dans chaque dépôt et se trouve dans toutes les destinations
concernées par les sociétés commerciales ;
- il fait la facturation des services demandés aux
sociétés commerciales.
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M F I T I G r a c e P a g e | 52
IV.3. ETUDE DES DOCUMENTS DE GESTION UTILISE
IV.3.1. Document d'entrée d'information
Les documents d'entrée des informations « les
intrants » sont des documents sur bases des quels on établit les
documents des états des synthèses.
1. Programme de dépôt du produit (PDP):
c'est un document qui étale la proportion des entrées de
produits pétroliers dans les dépôts du service de
distribution de SEP
2. Bons de commande (BC) : c'est bon de commande
sont établi sur base de commande exprimé par les
sociétés commerciales.
3. Instruction de commande (IC) : c'est un document
qui intervient lorsqu'on la commande est déjà introduite au
service de distribution de SEP.
4. Relevé des dispatchings commerciaux (RDC) :
C'est un document qui intervient lorsque le processus de dispatching est
effectué.
5. La fiche de stock(FC) : cette fiche reprend les
produits qui sont entreposés dans les dépôts du service de
distribution du SEP.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 53
IV.3.2. Document des sorties
Ces documents sont :
1. Bons de livraison (BL): c'est un document qui
établis après avoir défini le client dont on doit livrer
les produits pétroliers commandés.
2. Programme de livraison (PL) : c'est un tableau
récapitulatif des livraisons que doivent faire le service de
distributions de SEP.
3. Ordre de chargement (OC): c'est un document qui
est établi pour l'organisation de chargement des produits
pétroliers à travers le service de distribution.
4. Rapport de chargement (RC) : c'est un document
qui reprend les différents chargements effectués par le service
de distribution de SEP.
5. Le tableau récapitulatif des rapports (TRR) :
c'est tableau reprend les sorties de client établi par le service
de distribution.
6. Copie de chargement (CC) : c'est un document qui
reprend les détails sur les produits chargés par les travailleurs
du service de distribution.
7. La facturation (F) : c'est un document qui
atteste le règlement par les sociétés commerciales de la
créance de SEP.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 54
IV.4. SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS
CLIENTS 100
|
SOCOM 200
|
DTI 300
|
DMP 400
|
DDC 500
|
DSD 600
|
101
|
Passation des commandes.
|
|
101
|
201
|
|
401
|
501
|
|
301
|
|
|
|
|
|
|
201
|
Réception des
bons de
commande et
envoi des
instructions
|
301
|
Réception des
instructions de
SOCOM et
Traitement des
instructions
|
401
|
Réception du
programme de
livraison et instructions.
|
501
|
Réception des
instructions de
livraison et
établissement
des ordres de chargement
|
601
|
Réception du
tableau
récapitulatif
des rapports de distribution des produits
|
|
|
301
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
TRR
|
|
|
Lettre
|
|
IC
|
PL
|
|
IC
|
|
IC
|
|
OC
|
|
201
301
|
|
102
|
|
401
|
302
|
|
102
|
Réception de la
lettre de
livraison des
produits
|
302
|
Etablissement du
dispatching ou
programme de
livraison adressé à
la direction de DMP.
|
|
|
|
Lettre
|
|
|
|
|
|
PL
|
|
|
M F I T I G r a c e P a g e | 55
IV.4.1. Description du schéma
N°
|
POSTE
|
TACHE
|
Commentaire de la tâche
|
01
|
100
|
101
|
Passation des commandes.
|
102
|
Réception de la lettre de livraison des produits
|
02
|
200
|
201
|
Réception des bons de commande et envoi des
instructions
|
03
|
300
|
301
|
Réception des instructions de SOCOM et
Traitement des instructions
|
302
|
Etablissement du dispatching ou programme de livraison
adressé à la direction de DMP.
|
04
|
400
|
401
|
Réception du programme de livraison et instructions.
|
05
|
500
|
501
|
Réception des instructions de livraison et
établissement des ordres de chargement.
|
06
|
600
|
601
|
Réception du tableau récapitulatif des rapports
de distribution des produits.
|

IV.4.2. Légende du schéma
: Un document manuel
: Archivages
: Classement : Provenance
: Destination
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NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 56
IV.5. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES
INFORMATIONS
Par moyens de traitement des informations, nous
présentons de façon précise les moyens humains et
matériels utilisés dans la dite gestion (16).
IV.5.1. Moyens humains
Par moyens humains, nous faisons allusion aux personnes qui
participent à la gestion des commandes et des fonds y afférents.
En effet, ce service compte 6 responsables secondé par plusieurs
personnes qui travaillent sous leur direction.
Il est à noter que les agents qui prestent dans ce
service sont d'une qualité et d'un bon niveau intellectuel.
IV.5.2. Moyens matériels
Par moyens matériels, nous faisons allusions aux outils
de travail utilisés dans la gestion de commandes et programme de
livraison des produits aux clients. Notons que les agents du service de
distribution n'utilisent dans leur travail les matériels ci-après
:
- L'ordinateur ;
- Le stylo ;
- Les papiers ;
- Les tables et armoires ;
- Les imprimés ;
- Les lattes ;
- Les cahiers.
Bref, la gestion des commandes, de programme de livraison aux
clients est mixte, c'est-à-dire manuel et informatique. Au niveau
manuel, ce service utilise tout ce qu'un système manuel peut utiliser
dans une gestion. Mais sur le plan informatique, le constat est que le
système informatique utilisé est moins perfectionne manque
plusieurs éléments qui peuvent le rendre plus performant dans la
gestion des commande et programme de livraison des produits aux clients.
(16) MVIBUDULU KALUYITUKAKO, Cours de MAI, Institut
Supérieur de Commerce de la Gombe, 2010-2011, inédit
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NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 57
IV.5.3. Moyens financiers
La société fonctionne avec les recettes
réalisées par l'entreprise à travers les ventes de
produits pétroliers.
IV.6. CRITIQUE DE L'EXISTANT
IV.6.1. Aspects positifs
Au niveau manuel, nous avons observé que les moyens mis
à la disposition de services de distribution de SEP sont suffisants et
efficaces. C'est-à-dire un nombre insuffisant des travailleurs avec un
travail important à réaliser, un travail stressants, demande de
beaucoup des concentrations, ils n'ont pas droit à l'erreur et le temps
est vraiment limité.
IV.6.2. Aspects négatifs
Du point de vue informatique, le système informatique
installé dans le service de distribution connait d'une manière
récurrente les problèmes de connexion.
En effet, ce système mixte de travail au service de
distribution permet à ce dernier d'atteindre les clients et suivre
l'évolution du dossier des commandes.
Départ l'analyse que nous avons menés sur les
systèmes d'information existant du service de distribution de SEP est
purement manuel malgré la présence des certains outils
informatiques.
IV.7. PROPOSITION DES SOLUTIONS
IV.7.1. Solution manuelle améliorée (Sur
le plan manuel)
Le service de distribution de SEP est un service qui se doit
de servir aisément et rapidement sa clientèle vue l'importance
que présentent les produits distribués par SEP.
Cependant, toutes les opérations commerciales, le
facteur premier pour les opérations commerciales, le facteur pour les
réaliser c'est le temps, Le service a l'obligation de tenir compte de ce
facteur et revoir tant soit peu le circuit de la circulation des informations
d'un service à un autre.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 58
Sur ceux, en améliorant son système, le service
de distribution de SEP privilégie une bonnes tenues des
opérations qu'il effectue avec ses clients, ce qui peut entraîner
une amélioration de son travail envers le client et une attirance de la
clientèle.
IV.7.2. Solution informatique
Afin de répondre aux besoins de traitement des
informations relatives à la gestion des activités de distribution
de service de distribution de SEP, notre proposition serait de mettre à
la disposition de ce service un outil informatique conçue et
programmée afin de faciliter le travail de ce service mais rendra aussi
la tâche à exécuter par les agents des services
concernés facile et éviterait des retards d'exécution des
tâches.
C'est ainsi l'implantation d'un système
automatisée d'information (SA!) est nécessaire.
Le SA! est un sous-ensemble du système d'information
(S!) dont les événements ou informations entrées
permettent de déterminer par programme les événements ou
informations conséquents.
IV.7.3. Choix de la meilleure solution
Une solution est choisie lorsqu'elle est capable d'atteindre
les objectifs. Vue les grands nombre davantage offerts par la solution
informatique, notre choix est porté sur cette dernière et nous
proposons au service de distribution de SEP d'opter pour le système
totalement informatisé qui va lui garantir une gestion rapide, efficace
et cela dans un temps record en ce qui concerne les livraisons à
effectuer afin de fournir par le traitement automatique des informations
fiables pour la bonne prise de décisions en temps réels.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 59
V.1. INTRODUCTION
L'objectif de l'application est de faciliter le suivi de
distribution des produits pétroliers auprès des clients. Au
niveau de ce chapitre, qui constitue la première phase du processus
unifié « incubation », nous détaillons et analysons les
besoins fonctionnels et non fonctionnels de notre projet.
V.2 CAPTURE DES BESOINS
V.2.1. Besoins fonctionnels
Un besoin fonctionnel spécifie l'action qu'un
système doit être capable d'effectuer, hors contrainte physique :
besoin spécifiant un comportement d'entrée/sortie d'un
système (17).
La gestion du circuit de distribution des produits
pétroliers doit être assurée durant toutes ses phases,
dès l'initiation jusqu'à la clôture. La première
étape est la réception des commandes par les clients contenant
toutes les spécifications détaillées, puis la publication
d'un programme de livraison. Une fois le programme de livraison publié,
il faut procéder à l'exécution de programme de livraison
et l'analyse de ce dernier permet d'ordonner les livraisons aux clients.
Dans ce contexte notre application de gestion du circuit de
distribution des produits pétroliers, implémente les
fonctionnalités suivantes :
- Le suivi de la distribution : chaque responsable de la
direction de la distribution peut consulter la situation d'un circuit de
distribution, ou bien la liste de tous les clients dont on doit livrés
les produits pétroliers.
- La gestion de commande : le responsable chargé de la
gestion du mouvement de produit doit informer celui qui gère le circuit
de distribution du niveau de stock dans le dépôt.
(17) MORLEY C., LEBLANC B. et HUGUES J., UML pour
l'analyse d'un système d'information, Le
cahier des charges du maître d'ouvrage, Dunod, Paris,
2000.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 60
- L'élaboration des produits dans le stock : le
chargé de l'élaboration des produits en stock doit
présenter à celui qui est chargé de la commande de la
situation générale de chaque produit dans le
dépôt.
- Le chargé de suivi des instructions : doit informer
le responsable de la gestion de la distribution du respect des instructions ou
non en ce qui concerne le programme du dispatching des produits auprès
de clients.
V.2.2. Besoins non fonctionnels
Un besoin non fonctionnel est besoin spécifiant des
propriétés du système, telles que les contraintes
liées à l'environnement et l'implémentation, les exigences
en matière de performances, de dépendances de plate-forme, de
facilité de maintenance, d'extensibilité et de fiabilité
(18).
Dans notre système, on distingue les besoins non
fonctionnels suivant :
- Sécurité : la plateforme doit assurer la
sécurité pour les utilisateurs (Authentification).
- Convivialité : ergonomie des interfaces homme machine
et facilité d'utilisation.
- Contrôle : saisie contrôlée selon les choix
prédéfinis.
- Gagner du temps à l'intérieur de l'entreprise.
V.3. ANALYSE DES BESOINS V.3.1. Modèle cas
utilisation
La spécification des besoins représente
l'ensemble des services que doit fournir le logiciel à son utilisateur
(19). Selon le processus unifié chaque service est
modélisé sous un cas d'utilisation, pour élaborer à
la fin un diagramme UML de cas d'utilisation. Chaque cas d'utilisation est
décrit sous une forme textuelle représentant un scenario nominal
(ensemble des actions à réaliser pour atteindre l'objectif).
Dans cette partie, nous allons dégager tous les acteurs
en les décrivant. Ensuite, nous allons exprimer dans des phrases les
principales actions du système et des acteurs. Enfin, nous allons
représenter et décrire
(18) LAI M., UML : La notation unifiée de
modélisation objet - De Java aux EJB, Dunod, Paris, 2000
(19) Idem
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 61
les différents diagrammes des cas d'utilisation pour
donner une vue externe sur notre système.
V.3.1.1. Identifications des acteurs
Un acteur est une personne, un matériel ou un logiciel
qui interagit directement avec le système pour réaliser une
tâche. Ainsi, un acteur peut consulter et/ou modifier directement
l'état du système en émettant et/ou recevant des messages
susceptibles contenir des données.
Notre système comprend plusieurs utilisateurs que nous
citons : le responsable de la direction, le responsable du mouvement des
produits, le chargé du dispatching commercial, le chargé de suivi
de traitement des instructions et le chargé de l'élaboration des
stocks dans les dépôts de l'intérieur.
- Le responsable de la direction de distribution
(RDD): le système lui offre la possibilité de s'authentifier
et gérer les activités faites par le responsable du mouvement des
produits, le chargé de suivi de traitement des instructions, le
chargé de l'élaboration des stocks dans les dépôts
de l'intérieur et le chargé du dispatching commercial.
- Responsable adjoint de l'assurance du respect des
procédures du service de distribution (CRASD): traite des
vignettes, c'est-à-dire contrôler les factures de consommations
des carburante par les entités de SEP, fait le suivi des sorties des
clients de dépôts et de bases, c'est-à-dire il s'agit de
toutes les sorties des produits pétroliers réaliser dans les
dépôts pour le compte des sociétés commerciales,
établi des commandes carburants pour le compte des entités,
dépôts et bases de SEP, fait le suivi des consommations de
dépôts.
- Le responsable du mouvement des produits (RMD) :
émet les bons et établi les programmes dans un
système de gestion de base des données (SGBD) appelés
SUN.
a) Le chargé du dispatching commercial (CDC):
fait l'établissement du dispatching qui découle du
traitement des instructions.
b) Le chargé de suivi de traitement des
instructions (CSI) : fait le suivi des établissements du
dispatching.
c) Le chargé de l'élaboration des stocks
dans les dépôts de l'intérieur (CES) : élabore
des stocks par produit et par sociétés commerciales dans chaque
province et fait la facturation des services demandés aux
sociétés commerciales.
M F I T I G r a c e P a g e | 62
V.3.1.2. Identification des cas d'utilisation
Un cas d'utilisation est une fonctionnalité de
système qui produit un résultat observable pour un utilisateur
potentiel du système. Le cas d'utilisation regroupe une famille de
scénario ou chaque scénario est un traitement particulier du
système (20).
Lors de notre analyse des besoins nous avons pu identifier les
actions importantes que nous présenterons ci-dessous et nous les
modélisons par la suite avec les diagrammes cas utilisation d'UML.
Les cas d'utilisations les plus importantes par acteurs sont :
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(20) SOUTOU C., Objet-Relationnel sous Oracle8,
Modélisation avec UML, Eyrolles, Paris, 1999.
M F I T I G r a c e P a g e | 63
V.3.1.2. Identification des cas d'utilisation
Cas
d'Utilisation
|
Acteur
|
Procédures
|
S'authentifier
|
Tous les utilisateurs
|
Pour accéder au système, l'utilisateur doit
s'authentifier par la saisie de son mot de passe.
|
Gérer type
produit
|
Le chargé
d'élaboration des
stocks
|
Tous les utilisateurs ayant le souci de
connaître la situation des stocks de produits peuvent
utilise la table créée par ce dernier.
|
Gérer
fournisseur
|
Responsable de
distribution
|
Le responsable de distribution gère les
fournisseurs des produits accrédités par la
SEP.
|
Gérer le stock
|
Le chargé
d'élaboration des
stocks
|
Il met à jour la situation des stocks des produits de
la SEP
|
Gérer dépôt
|
Le responsable de distribution
|
Il veille sur base de rapport en sa possession à
l'évolution des stocks dans le dépôt
|
Gérer mode
livraison
|
Le chargé
d'élaboration des
stocks
|
Avant la livraison d'un produit, il vérifie les
informations sur la situation des stocks
|
Gérer les
factures
|
Le chargé
d'élaboration des
stocks
|
Avant que les produits soient livrés, il passe en revue
toutes les étapes liées à cette vente avant
l'élaboration des factures
|
Gérer les
clients
|
Le chargé
d'élaboration des
stocks
|
Il connaît sur base des commandes à
livrées le nombre des clients à servir.
|
Dispatching
|
Le chargé de suivi des instructions
|
Il veille à ce que toutes les actions à
entreprendre puissent s'effectuer dans le respect des
instructions
|
Gérer les
commandes
|
Le responsable de
mouvement de produits
|
Il veille sur base des données sur les
produits, les commandes des clients
|
Impression
|
Tous les utilisateurs
|
Pour certaines informations nécessaire dans
la distribution des produits, il est aussi permis à
ces utilisateurs d'imprimer un document ou plusieurs
|
Consulter
|
Tous les utilisateurs
|
Consulter les différentes phases du circuit de
distribution des produits
|
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NGOY
MFITI GracePage | 64
V.3.1.3. Diagramme de cas d'utilisation
général

RDD
CSI
Gérer type produit Gérer le stock
Gérer produit
Gérer fournisseur
Gérer dépôt
« include » « include »
« include »
« includ
« include »
« include »
« Include »
Gérer mode livraison
« Include »
S'authentifier
Gérer les Gé l
factures
Dispatching
« Include »
« Include
Gérer les commandes
Gérer les clients
CES
RMP
mpressionImpression ConsultationConsultati
Figure n°1 : Diagramme de cas d'utilisation
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 65
V.3.1.4 Affectation des priorités
Les cas d'utilisation peuvent être classés selon
leur ordre d'importance pour chacun des acteurs. Ce classement donne lieu
à la définition d'un ordre de priorité pour les cas
d'utilisation.
Dans notre cas, les cas d'utilisation qui s'avèrent les
plus prioritaires ont la priorité la plus forte « 1 » et les
moins prioritaires ont la priorité « 2 ».
Nous avons considéré à haut priorité,
tout cas d'utilisation qui sont faciles a développé vu la non
maîtrise du langage de programmation.
Ceci est représenté dans le tableau ci-dessous :
Cas d'Utilisation
|
Acteurs
|
Priorité
|
Gérer type produit
|
Le responsable de distribution (RDD)
|
1
|
Gérer fournisseur
|
Le responsable de distribution (RDD)
|
1
|
Gérer stock
|
Le chargé d'élaboration des stocks (CES)
|
1
|
Gérer produit
|
Le chargé d'élaboration des stocks (CES)
|
1
|
Gérer dépôt
|
Le responsable de distribution (RDD)
|
1
|
Gérer mode livraison
|
Le chargé d'élaboration des stocks (CES)
|
1
|
Gérer facture
|
Le chargé d'élaboration des stocks (CES)
|
1
|
Gérer clients
|
Le chargé d'élaboration des stocks (CES)
|
1
|
Gérer dispatching
|
Le chargé de suivi de traitement des instructions (CSI)
|
1
|
Gérer commande
|
Le responsable de mouvement produit (RMP)
|
1
|
Consultation
|
Tous les utilisateurs
|
2
|
Impression
|
Tous les utilisateurs
|
2
|
S'authentifier
|
Tous les utilisateurs
|
2
|
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 66
V.4. RAFFINEMENT DES CAS UTILISATION
PRIORITAIRE
Les cas d'utilisation les plus importants sont :
- Gérer type produit ;
- Gérer produit ;
- Gérer fournisseur ;
- Gérer dépôt ;
- Gérer les clients ;
- Gérer le stock ;
- Gérer mode livraison ;
- Dispatching ;
- Gérer les commandes ;
- Consultation ;
- Impression ;
- Gérer les factures ;
- S'authentifier.
V.4.1. Description textuelle de cas d'utilisation
« Gérer type produit »
Nom cas
|
|
Pré- condition
|
Serveur ouvert et utilisateur authentifié
|
Post - condition
|
|
Scenario nominal
|
1. Démarrer le système
2. Saisir loging et mot de passe
3. Cliquer sur le bouton valider
4. Affichage du menu principal
5. Cliquer sur gérer type produit
6. Affichage de la fenêtre type produit
7. Saisir code produit et valider
8. Rechercher le produit et affichage du message
9. Saisir les autres informations
10. Valider l'opération (ajout, modification ou
suppression)
11. Vérification des champs obligatoire
12. Message de confirmation
|
Exception
|
10 un message est affiché dans le cas d'échec de
l'opération, dans ce cas le système vous renvoi à
l'étape 9
|
Erreur
|
3 message d'erreur « login ou mot de passe »
incorrect, le système vous renvoi à l'étape 9
11 champ obligatoire non rempli et le système vous
renvoi à l'étape 9
|
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 67
Le principal objectif recherché, lorsqu'on
détaille chaque cas d'utilisation est de décrire le flot
d'événement qui le constitue en précisant les
modalités de début et de fin ainsi que ses interactions avec les
acteurs.
V.4.2. Analyse des cas d'utilisation prioritaires
Après avoir détaillé les cas
d'utilisation, nous procédons par une analyse pour chaque cas, nous
commencerons par présenter la traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse, ensuite nous
présentons le diagramme de classe du modèle d'analyse et enfin le
diagramme de collaboration de ces cas.
a) Analyse du Cas d'Utilisation « S'authentifier »
Le cas d'utilisation « S'authentifier » correspond
dans le modèle d'analyse aux classes d'analyse suivante :
- La classe de dialogue « : Interface_utilisateurs ",
désignée par le stéréotype « boundary ", qui
permet à l'utilisateur d'interagir avec le système.
- La classe entité « : users ",
désignée par le stéréotype « entity ", qui
sert à modéliser les informations de longue durée et
souvent de nature persistante.
- La classe contrôle « :
gestionnaire_authentification ", désignée par le
stéréotype « control ", qui se charge de contrôler les
données saisies par l'utilisateur. La classe contrôle joue le
rôle de coordinateur entre la classe interface el la classe
entité.
MFITI GracePage | 68
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas d'utilisation «
S'authentifier ».

« Participate »
Users
InterfaceUtilisateurs
« Trace »
« Participate »
S'Authentifier
« Participate »
S'Authentifier
Utilisateur
GestionnaireAuthentification
Figure n°2 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « S'authentifier ».
La traçabilité ente le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse met en relation deux livrables de
deux jalons différents du cycle de vie du projet. C'est un moyen qui
favorise le passage immédiat d'une phase à une autre du processus
unifié.
2- Diagramme de classes des modèles d'analyse pour
les cas d'utilisation « s'authentifier »

Users
Utilisateur Interface_Utilisateurs
Gestionnaire_Authentification
Figure n°3 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « s'authentifier »
Le diagramme de classes d'analyse effectue la jonction entre,
d'une part, les cas d'utilisation, et d'autre part, les diagrammes de
conception logicielle que sont les diagrammes d'interaction (diagramme de
séquence d'analyse dans notre cas).
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NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 69
3- Diagramme de collaboration du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « s'authentifier »
Users
|
Gestion_ Authentification
|

1. Afficher_interface authentification
3 : Saisie (login, mot de passe)
2 : Interface_Authentification_Affiché
8 : message visualisé
7. Afficher message résultat
Utilisateur
6 : Résultat
5. Recherche (login, mot de passe)
Interface Authentification
4. Envoyer (login, mot de passe)
Figure n°4 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « s'authentifier
»
Pour accéder au système, tous les utilisateurs
doivent valider leurs authentifications. L'utilisateur tape ses
paramètres de connexion (login et mot de passe), ces paramètres
vont être envoyée au gestionnaire, après avoir
recherché ces derniers dans la base et vérifiés leurs
validités. En cas de succès, la page d'accueil est
renvoyée selon les droits d'accès. Un message d'erreur est
renvoyé le cas échéant.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 70
b) Analyse du cas d'utilisation «
Gérer Type Produit »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas d'utilisation «
Gérer Type Produit »

InterfaceType produit
Utilisateur
: Type produit
« Trace » Gérer type produit
Gérer Type produit
Gestionnaire__Type produit
Figure n°5 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Type Produit »
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Type Produit »

Interface Type Produit
Utilisateur

:Type Produit Gestionnaire_Type Produit
Figure n°6 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Type Produit
»
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
MFITI GracePage | 71
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour le
cas d'utilisation « Gérer Type Produit »
1 :Afficher_interface_Type Produit 2 : Interface_Type
Produit_affiche
: Type Produit

3 : Saisit (code Type)
9 : Saisit autres données
Utilisateur
8 : Message visualisé (existe ou n'existe pas)
7 : Affiche_message résultat
6: Résultat
Interface_Type produit
4 :4 : EnvoyerEnvoye (Code(Code Type)Typ
10 : Envoie requête
Gestionnaire_ Type Produit
5 : Recherche (Code Type)
11: Mise_à_jour)
Figure n°7 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Type
Produit »
Commentaire :
L'utilisateur demande la visualisation de l'interface_Type
Produit. L'interface affichée lui permettra de saisir le code type pour
lancer la recherche dans l'entité Type Produit. A la fin, un
résultant doit être retourné à l'utilisateur. Soit
ce type produit existe déjà, soit il n'existe pas.
L'utilisateur doit ensuite saisir les autres données
puis cliquer sur un bouton. Une requête doit être envoyée
à l'entité Type Produit selon qu'il s'agit d'une requête et
ajout, modification ou de suppression,
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 72
pour que la mise à jour s'est déclenche. Un message
signalant le déroulement ou de l'opération est visualisée
sur le poste de cet agent.
c) Analyse du cas d'utilisation «
Gérer Produit »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

Gérer Produit
Gérer Produit
« Trace »
Gestionnaire_ Produit Interface Produit
Utilisateur
Produit Type Produit
Figure n°8 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse cas
d'utilisation « Gérer Produit »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 73
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisateur « Gérer Produit »

Interface Produit
Gestionnaire_Produit
: Type Produit
: Produit
Figure n°9 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Produit »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 74
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour le
cas d'utilisation « Gérer Produit »

7: Recherche (Code Type)
5: Recherche (code Produit) 12: mise_à_jour
6: Résultat
: Produit
: Type Produit
1 : Affiche_Interface_Produit
2 : Interface_Produit affiche
3 : Saisit (code produit)
3 : Saisit autres données
Utilisateur
8: Message visualisé (Existe ou n'existe pas)
7: Affiche_message résultat
Interface Produit
4 : Envoyer (code Produit) 10 : Envoie Requête
Gestionnaire_Produit
Figure n°10 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Produit
»
Commentaire :
Pour faire la mise à jour d'un produit, l'utilisateur
demande la visualisation de l'interface Produit, puis saisit le Code produit.
Le système effectue la recherche pour savoir si c'est produit existe
déjà ou pas. A la fin de la recherche un message sera
envoyé à l'interface si c'est produit existe ou pas. Ensuite,
l'utilisateur doit saisir les autres données puis cliquer un bouton. Une
requête doit être envoyé à l'entité Type
Produit pour la
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 75
vérification du Code Type saisit puis une requête
de mise à jour (ajout ou modification ou encore suppression) sera
envoyée à l'entité Produit. Un message signalant le
déroulement de l'opération est visualisé sur le poste de
cet agent.
d) Analyse du cas d'utilisation «
Gérer Fournisseur »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

Gérer Fournisseur
Utilisateur
Gérer Fournisseur
« Trace »
Gestionnaire_ Fournisseur Interface Fournisseur
: Fournisseur
Figure n°11 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Fournisseur »
M F I T I G r a c e P a g e | 76
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Fournisseur »

: Fournisseur
|
Gestionnaire Fournisseur
|
|
: Utilisateur
Figure n°12 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Fournisseur
»
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour
le cas d'utilisation « Gérer Fournisseur »
|
|
1 : Affiche_Interface_Fournisseur
|
2 : Interface_Fournisseur_Affiché
|
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3 :Saisit (code fournisseur)
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Interface Fournisseur
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|
: Utilisateur
9 : Saisit autres données
8 : Message visualisé (existe ou n'existe pas)
7 : Afficher_message_résultat
4 : Envoyer (code fournisseur) 10 : Envoie requête

|
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|
6 : Résultat
|
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|
: Fournisseur
|
5 : Recherche (Code fournisseur)
11 eà
11 : mise_à_jour ()
|
Gestionnaire_Fournisseur
|
Figure n°13 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer
Fournisseur »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 77
Commentaire :
Pour faire la mise à jour d'un fournisseur,
l'utilisateur demande la visualisation de l'interface Fournisseur, puis saisit
le Code de Fournisseur .Le système doit effectuer la recherche pour
savoir si fournisseur existe déjà ou pas. A la fin de la
recherche un message sera envoyé à l'interface si c'est
fournisseur existe ou pas. Ensuite, l'utilisateur doit saisir les autres
données puis cliquer un bouton. Puis une requête de mise à
jour (ajout ou modification ou encore suppression) sera envoyée à
l'entité fournisseur. Un message signalant le déroulement de
l'opération est visualisé sur le poste de cet agent.
e) Analyse du cas d'utilisation «
Gérer dépôt »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

« Trace »
Utilisateur
Gérer Dépôt
Gestionnaire_ Dépôt Interface Dépôt
: Dépôt
Figure n°14 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Dépôt »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 78
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Dépôt »

Interface Dépôt
: Utilisateur
GestionnaireDépôt
: Dépôt
Figure n°15 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Dépôt
»
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour
le cas d'utilisation « Gérer Dépôt »

Interface Dépôt
6 : Résultat
: Dépôt
Gestionnaire_Dépôt
5 : Recherche (Code Dépôt) 11 : mise_à_jour
()
1 : Affiche_Interface_Dépôt
2 : Interface_Dépôt_Affiché
: Utilisateur
9 : Saisit autres données
8 : Message visualisé (existe ou n'existe pas)
7 : Afficher_message_résultat
4 : Envoyer (code dépôt)
10 : Envoie requête
3 :Saisit (Code Dépôt)
Figure n°16 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer
Dépôt »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 79
Commentaire :
Pour mettre à jour le dépôt, l'utilisateur
demande la visualisation de l'interface dépôt, puis saisit le Code
dépôt. Le système effectue la recherche pour savoir si le
dépôt existe déjà ou pas. A la fin de la recherche
un message sera envoyé à l'interface si c'est dépôt
existe ou pas. Ensuite, l'utilisateur doit saisir les autres données
puis cliquer un bouton puis une requête de mise à jour (ajout ou
modification ou encore suppression) sera envoyée à
l'entité dépôt. Un message signalant le déroulement
de l'opération est visualisé sur le poste de cet agent.
f) Analyse du cas d'utilisation «
Gérer stock »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

Utilisateur
: stock
: Dépôt
: Fournisseur
Gérer stock
: Produit Gestionnaire_ stock Interface stock
« Trace »
Figure n°17 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer stock »
M F I T I G r a c e P a g e | 80
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer stock »

Interface
Gestionnaire_ stock
: Produit
: Dépôt
: Fournisseur
Utilisateur
: stock
Figure n°18 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer stock »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 81
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse
pour le cas d'utilisation « Gérer stock »

Gestionnaire_Stock
12 : mise_à_jour ()
1 : Affiche_Interface_Stock
2 : Interface_Stock_Affiché
5 : Recherche (code fournisseur)
Interface stock
: Utilisateur
9 : Message visualisé
4 : Envoyer (code fournisseur ou code produit)
8 : Afficher_message_résultat
7 : Recherche (code produit)
11 : Envoie requête
: Dépôt
: Fournisseur
: Stock
3 :Saisit (Code produit)
: Produit
6 : Recherche (code dépôt)
10 : Saisit autres données
Figure n°19 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer stock
»
Commentaire :
Pour mettre à jour le stock, l'utilisateur demande la
visualisation de l'interface stock, puis saisit le Code Produit, Code
dépôt et Code fournisseur. Le système doit effectuer la
recherche pour savoir si les codes saisis existent réellement. A la fin
de la recherche un message sera
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 82
envoyé à l'interface si une des codes saisis
n'est pas dans la base de données. Ensuite, l'utilisateur doit saisir
les autres données puis cliquer un bouton. Puis une requête de
mise à jour (ajout ou modification ou encore suppression) sera
envoyée à l'entité stock. Un message signalant le
déroulement de l'opération est visualisé sur le poste de
cet agent.
g) Analyse du cas d'utilisation «
Gérer clients »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

« Trace »
Utilisateur
Gérer clients
GestionnaireClients Interface Clients
:Clients
Figure n°20 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Clients »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 83
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « gérer clients »

: Client
GestionnaireClient
Interface Clients
: Utilisateur
Figure 21 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Clients »
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour
le cas d'utilisation « Gérer clients »
|
|
|
1 : Affiche_Interface_Clients
|
2 : Interface_Clients_Affiché
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3 : Saisit (Code Clients)
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Interface Client
|
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|
: Utilisateur
9 : Saisit autres données
8 : Message visualisé
7 : Afficher_message_résultat
4 : Envoyer (code client) 10 : Envoie requête

|
|
|
6 : Résultat
|
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|
|
: Client
|
5 : Recherche (Code Client) 11 : mise_à_jour ()
|
Gestionnaire_Client
|
Figure n°22 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Clients
»
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 84
Commentaire :
Pour mettre à jour le client, l'utilisateur demande la
visualisation de l'interface client, puis saisit le Code client. Le
système effectue la recherche pour savoir si le client existe
déjà ou pas. A la fin de la recherche un message sera
envoyé à l'interface si c'est client existe ou pas. Ensuite,
l'utilisateur doit saisir les autres données puis cliquer un bouton.
Puis une requête de mise à jour (ajout ou modification ou encore
suppression) sera envoyée à l'entité client. Un message
signalant le déroulement de l'opération est visualisé sur
le poste de cet agent.
H. Analyse du cas d'utilisation « Gérer Mode
livraison »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

« Trace »
Gérer Mode Livraison
Utilisateur
Gestionnaire_Mode Livraison Interface_ModeLivraison
Mode Livraison
Figure n°23 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Mode Livraison »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 85
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer Mode Livraison »

Interface Mode Livraison

: Mode Livraison GestionnaireMode Livraison
: Utilisateur
Figure n°24 : Diagramme de classe du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Mode Livraison
»
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour
le cas d'utilisation « Gérer Mode Livraison »

6 : Résultat
: ModeLivraison
Gestionnaire_ModeLivraion
5 : Recherche (Code Livraison) 11 : mise_à_jour ()
1 : Affiche_Interface_ModeLivraison
F F
2 : Interface_ModeLivraison_Affiché
F F
8 : Message visualisé
7 : Afficher_message_résultat
Interface ModeLivraison
4 : Envoyer (code Livraison)
10 : Envoie requête
: Utilisateur
3 : Saisit (Code Livraison)
9 : Saisit autres données
Figure n°25 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer Mode
Livraison »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 86
Commentaire :
Pour mettre à jour le programme de livraison,
l'utilisateur demande la visualisation de l'interface livraison, puis saisit le
Code livraison. Le système doit effectuer la recherche pour savoir si la
livraison existe déjà ou pas. A la fin de la recherche un message
sera envoyé à l'interface si cette livraison existe ou pas.
Ensuite, l'utilisateur doit saisir les autres données puis cliquer un
bouton. Puis une requête de mise à jour (ajout ou modification ou
encore suppression) sera envoyée à l'entité Mode
Livraison. Un message signalant le déroulement de l'opération est
visualisé sur le poste de cet agent.
h) Analyse du cas d'utilisation «
Dispatching »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

« Trace »
Utilisateur
Dispatching
Gestionnaire_Dispatching Interface_Dispatching
Dispatching
Figure n°26 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse «
Dispatching »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 87
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Dispatching »

Utilisateur
Interface
Gestionnaire_ Dispatching
: Produit
: Dépôt
: Fournisseur
: Dispatching
Figure n°27 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Dispatching »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
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3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse
pour le cas d'utilisation « Dispatching »

Gestionnaire_Dispatching
12 : mise_à_jour ()
1 : Affiche_Interface_Dispatching
2 : Interface_Dispatching_Affiché
3 :Saisit (Code produit)
5 : Recherche (code fournisseur)
Interface Dispatching
: Utilisateur
9 : Message visualisé
4 : Envoyer (code produit)
8 : Afficher_message_résultat
7 : Recherche (code produit)
11 : Envoie requête
: Dépôt
: Fournisseur
Dispatching
: Produit
6 : Recherche (code dépôt)
10 : Saisit autres données
Figure n°28 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Dispatching
»
Commentaire :
Pour mettre à jour le dispatching, l'utilisateur
demande la visualisation de l'interface dispatching, puis saisit le Code
dispatching. Le système doit effectuer la recherche pour savoir si le
dispatching existe déjà ou pas. A la fin de la recherche un
message sera envoyé à l'interface si ce
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 89
dispatching existe ou pas. Ensuite, l'utilisateur doit saisir
les autres données puis cliquer un bouton. Une requête doit
être envoyé à l'entité Produit pour la
vérification du Code Produit, une autre à l'entité
dépôt pour la vérification de code dépôt et
enfin un autre à l'entité fournisseur, pour la
vérification du code fournisseur. Puis une requête de mise
à jour (ajout ou modification ou encore suppression) sera envoyée
à l'entité dispatching. Un message signalant le
déroulement ou non de l'opération est visualisé sur le
poste de cet agent.
i) Analyse du cas d'utilisation
«Gérer les commandes »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

« Trace »
Gérer les commandes
Utilisateur
Gestionnaire_Commandes Interface_Commandes
Commandes
Figure n°28 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse «
Gérer les commandes »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
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2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Gérer les commandes »

Utilisateur
Interface
: Produit
: Dépôt
: Fournisseur
Gestionnaire_ Commandes
: Commandes
Figure n°29 : Diagramme de classes du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer les commandes
»
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
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3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse
pour le cas d'utilisation «Gérer les commande »

Interface Commandes
1 : Affiche_Interface_Commandes
3 :Saisit (Code produit)
2 : Interface_Commandes_Affiché
: Utilisateur
9 : Message visualisé
4 : Envoyer (code produit)
: Produit
6 : Recherche (code dépôt)
8 : Afficher_message_résultat
7 : Recherche (code produit)
11 : Envoie requête
Gestionnaire_Commandes
12 : mise_à_jour ()
: Dépôt
: Fournisseur
Commandes
5 : Recherche (code fournisseur)
10 : Saisit autres données
Figure n°30 : Diagramme de collaboration du
modèle d'analyse pour le cas d'utilisation « Gérer les
commandes »
Commentaire :
Pour mettre à jour la commande, l'utilisateur demande
la visualisation de l'interface commande, puis saisit le Code commande. Le
système doit effectuer la recherche pour savoir si la commande existe
déjà ou pas. A la fin de la recherche un message sera
envoyé à l'interface si cette
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 92
commande existe. Ensuite, l'utilisateur doit saisir les autres
données puis cliquer un bouton. Une requête doit être
envoyée à l'entité Type Produit pour la
vérification du Code Produit. De même pour l'entité
dépôt et fournisseur. Puis une requête de mise à jour
(ajout ou modification ou encore suppression) sera envoyée à
l'entité commande. Un message signalant le déroulement ou non de
l'opération est visualisé sur le poste de cet agent.
j) Analyse du cas d'utilisation «
Facturation »
1- Traçabilité entre le modèle de cas
d'utilisation et le modèle d'analyse

Facturation
Gérer Facture
Facture
commande
« Trace »
Utilisateur
Interface Facturation
Gestionnaire_ Facture
Figure n°31 : Traçabilité entre le
modèle de cas d'utilisation et le modèle d'analyse «
Facturation »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 93
2- Diagramme de classes du modèle d'analyse pour le cas
d'utilisation « Facturation »

Gestionnaire_Facture
Utilisateur
Interface Facturation
Commande
: Facturation
Figure 32 : Diagramme de classes du modèle d'analyse
pour le cas d'utilisation « Facturation »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 94
3- Diagramme de collaboration du modèle d'analyse pour le
cas d'utilisation «Facturation»

7: Recherche (Refcom)
5: Recherche (code Facture) 12: mise_à_jour
6: Résultat
: Facture
Commande
2 : Interface_Facture_affiche
1 : Affiche_Interface_Facture
8: Message visualisé
7: Affiche_message résultat
Interface Facture
4 : Envoyer (code Facture) 10 : Envoie Requête
Utilisateur
3 : Saisit (code Facture)
3 : Saisit autres données
Gestionnaire_Facture
Figure 33 : Diagramme de collaboration du modèle
d'analyse pour le cas d'utilisation «Facturation»
Commentaire :
Pour mettre à jour la facturation, l'utilisateur
demande la visualisation de l'interface facturation, puis saisit le Code
facture. Le système doit effectuer la recherche pour savoir si la
facture existe déjà ou pas. Ensuite, l'utilisateur doit saisir
les autres données puis cliquer un bouton. Puis une requête de
mise à jour (ajout ou modification ou encore
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 95
suppression) sera envoyée à l'entité
facture. Un message signalant le déroulement de l'opération est
visualisé sur le poste de cet agent.
I.5. Diagramme de séquences
A cette étape, nous allons présenter nos diagrammes
de séquences qui montrent les échanges de messages entre les
différents objets du système.
Pour des raisons du temps, nous allons réalisés
uniquement les séquences de cas d'utilisation à haut
priorité.
a) Diagramme de séquence pour cas d'utilisation «
Gérer Type Produit »
Utilisateur
Form
Authentification

Form
Type Produit
T : Users
Form
Menu principal
T : Type Produit

3 : Accepté
1 :s'authentifier
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat

8 : Saisie (Code Type Produit)
11 : Saisie autres données
5 : Affichage du formulaire
6 : Choix Type Produit
7 : Changement
13 : Message de confirmation
9 : Recherche (Code Type Produit)
10 : Résultat
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 96
Figure 34 : Diagramme de séquence pour le cas «
Gérer Produit » Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
Type Produit dans le menu principal, puis le système lance le chargement
du formulaire, type produit. Dès que le formulaire est chargé,
l'utilisateur saisi le code Type après cela, le système lance la
recherche code type dans la table TypeProduit, après le système
renvoi le résultat. Ce résultat est de deux types soit il existe
déjà ou il n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les
autres données et le valide, après la mise à jour qui est
de deux types soit la modification ou la suppression (est enfin, il y a un
message de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise à jour
consistera à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre
cas le système doit envoyer un message de confirmation.
M F I T I G r a c e P a g e | 97
b) Diagramme de séquence pour « Gérer Produit
»

Form
Authentification
Form
Menu principal
Form
Produit
T : Users
Utilisateur
1 :s'authentifier
3 : Résultat
4 : Accepté
5 : Choix Produit
6 : Changement
9 : Résultat
12 : Mise à jour
8 : Recherche
(Code Produit)
11 : Recherche (Code Type)
Produit
7 : Saisie (Code Produit)
10 : Saisie autres données
13 : Message de confirmation
4 : Affichage du formulaire
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
Type Produit
Figure 35 : Diagramme de séquence pour le cas «
Gérer Produit »
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 98
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
produit dans le menu principal, puis le système lance le chargement du
formulaire produit. Dès que le formulaire est chargé,
l'utilisateur saisi le code produit après cela, le système lance
la recherche code produit dans la table Produit, après le système
renvoie le résultat. Ce résultat est de deux types soit il existe
déjà ou il n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les
autres données et le valide, après la mise à jour qui est
de deux types soit la modification ou la suppression (est enfin, il y a un
message de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise à jour
consistera à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre
cas le système doit envoyer un message de confirmation.
M F I T I G r a c e P a g e | 99
c) Diagramme de séquence pour « Gérer
Fournisseur »
Utilisateur
Form
Authentification

Form
Fournisseur
T : Users
Form
Menu principal
T : Fournisseur

3 : Accepté
8 : Saisie (Code fournisseur)
1 :s'authentifier
11 : Saisie autres données
13 : Message de confirmation
5 : Affichage du formulaire
6 : Choix fournisseur
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat
7 : Changement
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
10 : Résultat
9 : Recherche (Code
fournisseur)
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
fournisseur dans le menu principal, puis le système lance le chargement
du formulaire fournisseur. Dès que le formulaire est chargé,
l'utilisateur saisi le code fournisseur après cela, le système
lance la recherche code fournisseur dans la table fournisseur, après le
système renvoi le résultat. Ce résultat est de deux types
soit il existe déjà ou il n'existe pas. S'il existe,
l'utilisateur saisi
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 100
les autres données et le valide, après la mise
à jour qui est de deux types soit la modification ou la suppression (est
enfin, il y a un message de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise
à jour consistera à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans
l'une ou l'autre cas le système doit envoyer un message de
confirmation.
d) Diagramme de séquence pour « Gérer
Dépôt »
Utilisateur
Form
Authentification

Form
Dépôt
T : Users
Form
Menu principal
T : Dépôt
1 :s'authentifier
3 : Accepté
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat

5 : Affichage du formulaire
6 : Choix dépôt
7 : Changement
8 : Saisie (Code dépôt)
11 : Saisie autres données
13 : Message de confirmation
9 : Recherche (Code dépôt)
10 : Résultat
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
dépôt dans le menu principal, puis le système lance le
chargement du formulaire
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 101
dépôt. Dès que le formulaire est
chargé, l'utilisateur saisi le code dépôt après
cela, le système lance la recherche code dépôt dans la
table dépôt, après le système renvoi le
résultat. Ce résultat est de deux types soit il existe
déjà ou il n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les
autres données et le valide, après la mise à jour qui est
de deux types soit la modification ou la suppression (est enfin, il y a un
message de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise à jour
consistera à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre
cas le système doit envoyer un message de confirmation.
M F I T I G r a c e P a g e | 102
e) Diagramme de séquence pour « Gérer les
clients »
Utilisateur
Form
Authentification

Form Clients
T : Users
Form
Menu principal
T : Client
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat
1 :s'authentifier

3 : Accepté


5 : Affichage du formulaire
6 : Choix client
7 : Changement
8 : Saisie (Code client)
9 : Recherche (Code client)
11 : Saisie autres données
10 : Résultat
13 : Message de confirmation
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
client dans le menu principal, puis le système lance le chargement du
formulaire client. Dès que le formulaire est chargé,
l'utilisateur saisi le code client après cela, le système lance
la recherche code client dans la table client, après le système
renvoi le résultat. Ce résultat est de deux types soit il existe
déjà ou il n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les
autres données et le valide, après la mise à jour qui est
de deux types soit la modification ou la
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY

Stock
T : Users
M F I T I G r a c e P a g e | 103
suppression (est enfin, il y a un message de confirmation.
S'il n'existe pas, alors la mise à jour consistera à l'ajout
d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre cas le système doit
envoyer un message de confirmation.
f) Diagramme de séquence pour « Gérer le stock
»
Form Produit
Form Dépôt
Form Fournisseur
Utilisateur
1 :s'authentifier 4 : Accepté
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
3 : Résultat
11 : Recherche (Code dépôt)
12 : Mise à jour
8 : Recherche
(Code Produit)
9 : Résultat
7 : Saisie (Code fournisseur, Code dépôt)
10 : Saisie autres données
6 : Changement
4 : Affichage du formulaire
5 : Choix stock
13 : Message de confirmation
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 104
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
stock dans le menu principal, puis le système lance le chargement du
formulaire stock. Dès que le formulaire est chargé, l'utilisateur
saisi le code produit, code fournisseur et le code dépôt
après cela, le système passe à la vérification des
codes saisis, après le système renvoi le résultat. Ce
résultat est de deux types soit il existe déjà ou il
n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les autres données et le
valide, après la mise à jour qui est de deux types soit la
modification ou la suppression (est enfin, il y a un message de confirmation).
S'il n'existe pas, alors la mise à jour consistera à l'ajout
d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre cas le système doit
envoyer un message de confirmation.
M F I T I G r a c e P a g e | 105
g) Diagramme de séquence pour « Gérer le mode
livraison »

Form
Authentification
Form
Menu principal
Form
Livraison
T : Users
Utilisateur
|
|
|
T : Livraison
|
1 :s'authentifier
|
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
|
|
4 : Résultat

3 : Accepté


8 : Saisie (Code client)
11 : Saisie autres données
5 : Affichage du formulaire
6 : Choix de la livraison
7 : Changement
13 : Message de confirmation


12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
10 : Résultat
9 : Recherche (Code client)
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix de la
livraison dans le menu principal, puis le système lance le chargement du
programme de livraison. Dès que le programme est chargé,
l'utilisateur saisi le code client après cela, le système lance
la recherche code client dans la table livraison, après le
système renvoi le résultat. Ce résultat est de deux types
soit il existe déjà ou il n'existe pas. S'il existe,
l'utilisateur saisi les autres données et le valide, après la
mise à jour qui est de deux types soit la
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY

T : Users
M F I T I G r a c e P a g e | 106
modification ou la suppression (est enfin, il y a un message
de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise à jour consistera
à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre cas le
système doit envoyer un message de confirmation.
h) Diagramme de séquence pour « Dispatching »
Form
Authentification
Form
Menu principal
Utilisateur

3 : Accepté
1 :s'authentifier
T : Dispatching
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat

5 : Affichage du formulaire
6 : Choix dispatching
7 : Changement
8 : Saisie (Code dispatching)
11 : Saisie autres données
13 : Message de confirmation
9 : Recherche (Code
dispatching)
10 : Résultat
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix du
dispatching dans le menu principal, puis le système lance le chargement
du dispatching. Dès que le programme est chargé, l'utilisateur
saisi le code
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 107
dispatching après cela, le système lance la
recherche code dispatching dans la table dispatching, après le
système renvoi le résultat. Ce résultat est de deux types
soit il existe déjà ou il n'existe pas. S'il existe,
l'utilisateur saisi les autres données et le valide, après la
mise à jour qui est de deux types soit la modification ou la suppression
(est enfin, il y a un message de confirmation). S'il n'existe pas, alors la
mise à jour consistera à l'ajout d'une nouvelle donnée.
Dans l'une ou l'autre cas le système doit envoyer un message de
confirmation.
M F I T I G r a c e P a g e | 108
i) Diagramme de séquence pour « Gérer les
commandes »
|
Form
Authentification
|
Form
Menu principal
|
Form
Commandes
|
T : Users
|
|
|
|

Utilisateur
3 : Accepté
8 : Saisie (Code commandes)
1 :s'authentifier
11 : Saisie autres données
13 : Message de confirmation
5 : Affichage du formulaire
6 : Choix commandes
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat
7 : Changement
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
10 : Résultat
9 : Recherche (Code
commandes)
T : Commandes
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix de la
commande dans le menu principal, puis le système lance le chargement de
la commande. Dès que le programme est chargé, l'utilisateur saisi
le code de commande après cela, le système lance la recherche
code commande dans la table commande, après le système renvoi le
résultat. Ce résultat est de deux types soit il existe
déjà ou il n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les
autres données et le valide, après la mise à jour qui est
de deux
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 109
types soit la modification ou la suppression (est enfin, il y
a un message de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise à jour
consistera à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre
cas le système doit envoyer un message de confirmation.
j) Diagramme de séquence pour « Authentification
»

Utilisateur
3 : Accepté
1 :s'authentifier
Form
Authentification
2 : Rechercher (login ou mot de passe)
4 : Résultat
Form
Menu principal
T : Users
Commentaire :
Pour accéder au système, l'utilisateur doit
s'authentifier en saisissant son login et mot de passe. Ensuite, le
système passe à l'authentification des informations saisies si
l'utilisateur est reconnu, alors le système charge le menu principal.
S'il n'est pas reconnu, un message doit être renvoyé.
M F I T I G r a c e P a g e | 110
k) Diagramme de séquence pour « Facturation »

Form
Authentification
Form
Menu principal
Form
Facturation
T : Users
T : Facturation
Utilisateur
1 :s'authentifier
2 : Rechercher (login ou mot de passe)

3 : Accepté
4 : Résultat

8 : Saisie (Code facture)
11 : Saisie autres données
13 : Message de confirmation
5 : Affichage du formulaire
6 : Choix de la facture
7 : Changement
9 : Recherche (Code
facture)
10 : Résultat
12 : Mise à jour (ajout, modification, suppression)
Commentaire :
Après s'authentifier, l'utilisateur fait le choix de la
facture dans le menu principal, puis le système lance le chargement de
la facture. Dès que le programme est chargé, l'utilisateur saisi
le code de la facture après cela, le système lance la recherche
code facture dans la table facturation, après le système renvoi
le résultat. Ce résultat est de deux types soit il existe
déjà ou il n'existe pas. S'il existe, l'utilisateur saisi les
autres données et le valide, après la mise à jour qui est
de deux types soit la
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 111
modification ou la suppression (est enfin, il y a un message
de confirmation). S'il n'existe pas, alors la mise à jour consistera
à l'ajout d'une nouvelle donnée. Dans l'une ou l'autre cas le
système doit envoyer un message de confirmation.
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 112

La réalisation d'un programme est l'objectif capital de
notre travail qui s'oriente vers l'informatique de gestion, cela a
été prouvé par les besoins ressentis au cours de l'Analyse
de la gestion du circuit de distribution de la SEP.
La matérialisation du nouveau système par
l'analyse organique prépare l'analyse d'un programme en facilitant la
compréhension du langage par l'ordinateur afin d'obtenir les
résultats voulus.
VI.1. ENVIRONNEMENT MATERIEL
L'implémentation du nouveau système
d'information s'avère obligatoire de prendre des ressources
informatiques. Vu cette évidence, notre application sera pris en charge
par un ordinateur. Le matériel informatique est l'ensemble des
pièces détaches des appareils informatique. En vue
développement de système, nous proposons les matériel
suivants :
1°) Aspect Hardware
Celui-ci n'est rien d'autre que l'ensemble des
matériels, physiques, palpables constituant l'ordinxateur outre les
matériels présentés dans l'existant qui servent aux
travaux bureautique, nous proposons m'acquisition d'une nouvelle configuration
dont les caractéristiques techniques ci-après :
- Micro-ordinateur ;
- Processeur : coreDuo ;
- Vitesse : 3 GHz ;
- Disque dure : 500 GO ;
- Mémoire RAM : 2GO ;
- Lecteur DVD Rewrite table ;
- Clavier AZERTY ;
- Port USB ;
- Port parallèle ;
- Port serie ;
- Ecrans plat `'17» ;
- Carte son ;
Mémoire dirigé par Eric WANGI
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M F I T I G r a c e P a g e | 113
- Carte réseau internet ;
- Sourie optique ;
- Imprimante : HP Laserjet 2015P ; - Onduleur 1500 VA
2°) Aspect Software
C'est une partie immatérielle ou intelligente de
l'ordinateur, c'est-à-dire ce qu'on ne peut pas voir, ni toucher :
- système exploitation Windows XP
- MS office 2013
- Logiciel d'antivirus : Microsoft Essential Security -
Plate-forme de développement : java
V.2. CHOIX DES OUTILS DE DEVELOPPEMENT ET DU SGBD
V.2.1. Langage de programmation
Le langage de programmation est un ensemble des moyens
(symboles, mots, conventions), utilisés pour décrire sous la
forme d'un programme, les opérations demandées à un
ordinateur. Tout langage se caractérise par sa sémantique
(étude des mots considérés dans leur signification) et par
sa syntaxe (étude de la fonction et de la disposition des mots dans la
phrase).
V.2.1.1. Choix du langage de programmation
La programmation adoptée dépend souvent du type
d'application que l'on souhaite développer, ce choix prenant en compte,
suivant les cas, des critères de rapidité, de facilité de
traitement du graphisme ou de calcul, etc. Il existe de nombreux types de
programmation couramment employés, parmi lesquels on peut mentionner les
programmations ascendante, descendante, linéaire, logique, modulaire,
structurée et orientée objet.
Notre choix s'est porté sur le langage de programmation
JAVA. C'est un langage permettant de créer des applications et des
Applets.
Il possède des avantages par rapport aux autres
langages de programmation, nous pouvons cités :
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 114
- Le Java est neutre d'architecture, c'est-à-dire, il
ne tient pas compte des processeurs de la machine ;
- Il permet de créer des applications qui peuvent
être exécuté sur le net ;
- Le programme Java communique avec n'importe quel SGBD
(Access, Paradoxe, ORACLE...) ;
- Il permet de créer des applications qui peuvent se
communiquer à distance et les deux applications peuvent être
écrites avec des langages différents : Java par exemple pour le
client, et Visual Dbase pour le serveur.
V.2.TI.2. Présentation de l'environnement
V.2.2. SGBD
Le SGBD (système de gestion de base de données)
est un écran qui joue le rôle d'interface entre l'homme
(utilisateur) et la machine. Il est considéré comme un outil
permettant d'insérer, de modifier et de chercher efficacement des
données spécifiques dans une grande masse d'informations
partagées par tous les utilisateurs.
V.2.2.1. Choix du Système de Gestion de la Base de
Données
Nous avons opté notre choix pour l'utilisation de SQL
serveur.
V.2.2.2. Présentation de l'environnement
Microsoft SQL Server est un système de gestion de base
de données (abrégé en SGBD ou SGBDR pour «
Système de gestion de base de données relationnelles »)
développé et commercialisé par la société
Microsoft.
SQL Server est un SGBD relationnel. Il est possible de
définir des relations entre les tables de façon à garantir
fortement l'intégrité des données qui y sont
stockées. Ces relations peuvent être utilisées pour
modifier ou supprimer en chaîne des enregistrements liés.
V.2.2.3. Modèle relationnel
Le modèle relationnel est basé sur une
organisation des données sous forme de tables. La modélisation
relationnelle permet de représenter les relations à l'aide de
tables (à deux dimensions) dont chaque
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
M F I T I G r a c e P a g e | 115
colonne a un identificateur qui représente un domaine.
Une ligne du tableau représente donc une entité et chacune des
cases représente un de ses attributs.
1- Règle de passage du modèle de classe en
modèle relationnel
- Les classes deviennent des tables ;
- Les attributs de la classe deviennent les attributs de la
table et la méthode de la classe disparaît ;
- Si la classe possède un identifiant celui-ci devient
la clé primaire de la table ;
- Cas de relation un vers plusieurs : la classe ayant la
multiplicité un envoie sa clé vers l'autre classe et devient la
clé étranger ;
- Cas de relation plusieurs vers plusieurs : cette relation
créée une nouvelle classe appelée ci-haut une classe
d'association qui hérite des clés provenant de classe
participante a cette relation ;
- Décomposition par distinction, il faut transformer
chaque sous-classe en une relation. La clé de la super-classe migre dans
la (les) relation(s) de la (des) sous-classe(s) et devient à la fois
clé étrangère ;
- Décomposition descendante, deux cas sont possibles ;
s'il existe une contrainte de totalité ou de partition sur
l'association, il est possible de ne pas traduire la relation issue de la
surper-classe. Il faut alors faire migrer tous les attributs dans la (les)
relation(s) de la (des) sous-classes. Dans le cas contraire, il faut faire
migrer tous les attributs dans la (les) relation(s) issues de la (des)
sous-classes.
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2- Présentation du modèle relationnel
Nom table
|
Champ
|
Type
|
Taille
|
Contrainte
|
Produit
|
Codepro
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Designapro
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Typespro
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
|
Prixunit
|
Varchar
|
10,2
|
Not null
|
|
Quantistock
|
Varchar
|
10,2
|
Not null
|
Fournisseur
|
Codefournis
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Nomfournis
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
|
Téléphonefourn
|
Varchar
|
15
|
|
|
Paysfourn
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
Type produit
|
Codetype
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Libeltype
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
Dépôt
|
Codep
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Libedep
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
Client
|
Codecli
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Nomcli
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
|
Adrcli
|
Varchar
|
20
|
Not null
|
|
Télephocli
|
Varchar
|
15
|
|
Mode livraison
|
Codeliv
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Libeliv
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
Commande
|
Refcom
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Codecli
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Codeliv
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Datecom
|
Varchar
|
8
|
Not null
|
|
Delait
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
|
Lieuliv
|
Varchar
|
20
|
Not null
|
|
stacom
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
Souscription
|
Noumsous
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Codepro
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Refcom
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Avant
|
Varchar
|
10,2
|
Not null
|
|
prixto
|
Varchar
|
10,2
|
Not null
|
Stock
|
Codstock
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Codev
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Codepro
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Datestocks
|
Varchar
|
8
|
Not null
|
|
Quantentr
|
Varchar
|
10,8
|
Not null
|
|
Étatpro
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
|
codefour
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
Facture
|
Numfact
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
|
Refcom
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Datfac
|
Date
|
8
|
Not null
|
|
Totalfact
|
Decimal
|
10,2
|
Not null
|
Dispatching
|
Codedispa
|
Varchar
|
10
|
Primary key
|
Mémoire dirigé par Eric WANGI
NGOY
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|
Codel
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Refcom
|
Varchar
|
10
|
Not null
|
|
Date disp
|
Varchar
|
15
|
Not null
|
3- Description des tables
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