II.5.Conclusion Partielle
II.5.1. Moyens et Méthodes de réduction de
CO2
Pour réduire nos émissions de CO2, il serait
pourtant possible d'avoir une politique claire et prévisible, avec un
objectif, des critères, une méthode et des actions
cohérentes ; le but étant de consommer moins d'énergie
fossile (MAZOUT) pour réduire nos émissions certes, mais surtout
pour notre sécurité d'approvisionnement en énergie alors
que l'Etat nous donne comme but de diminuer la consommation d'énergie,
égare car on diminuera parfois les émissions en augmentant la
quantité d'énergie consommée.
Un critère de coût : l'Etat doit agir au moindre
coût (en tenant compte des effets indirects). C'est une question de
morale publique, une règle à ne pas rendre obligatoire et ne pas
financer sur fonds publics les décisions qui ne seraient pas rentable si
le prix du fioul, du Gaz ou Carburant était à un
niveau fixé par un décret de l'ordre de 1.8/L de
Gasoil, 1300 ou 1400/m3 de fioul, 120/Mwh de Gaz.
La nature n'a pas de prix ! Cette position va contre l'objectif
que l'on se donne. Si avec 1000, il est possible par une voie d'éviter
l'émission de 4 tonnes de CO2 et par la seconde, c'est diviser par 4
l'efficacité de la lutte contre les émissions. C'est le plus de
mal à supporter les effets de réchauffement climatique ;
c'est-à-dire les plus pauvres.
Diminuer l'incertitude et se donner des moyens financiers ; lever
progressivement le prix de l'énergie fossile à l'aide d'un
impôt CO2, qui aujourd'hui serait d'un montant égal à
zéro. L'impôt CO2 ne s'appliquera pas à l'industrie pour ne
pas la pénaliser.
Fixer un prix planché de fioul, du gaz, du Mazout et du
carburant à la consommation finale. Le prix plancher augmentera chaque
année de 2Cm/L de carburant 20 L/m3 de fioul, 2L/Mwh de
Gaz.
II.5.2. L'impôt CO2
L'impôt CO2 sera calculé en fonction du prix mondial
du pétrole et du GAZ. Le prix plancher pourrait être aujourd'hui
de 1 de Gazole, 656/m3 du fioul. Aujourd'hui l'impôt CO2
serait nul, mais tout le monde saurait que le prix du Gaz, du fioul et du
carburant augmenterait progressivement.
Les ménages dont les revenus sont faibles recevront une
dotation financière forfaitaire indépendante de leur
consommation.
II.5.3. L'environnement, préoccupation commune
L'environnement est une préoccupation majeure non
seulement des pays riches, mais et surtout des pays pauvres, c'est pourquoi,
aujourd'hui et maintenant l'homme est considéré comme une espace
vivante faisant partie d'un système complexe de relation et
d'interrelation avec son milieu naturel. Il en résulte que toute action
humaine a des effets directs ou indirects cachés.
Le dioxyde de carbone CO2, l'oxyde d'Azote N2, le méthane
CH4, l'oxyde nitreux (N2O), l'ozone troposphérique (O3), le
chlorofluorocarbone (CFC) ainsi que la vapeur d'eau (H2O) ; Bref le gaz
à effet de serre (GES), leur concentration dans l'atmosphère a
augmenté sensiblement au cours de 250 dernières années,
depuis le début de la révolution industrielle et l'utilisation
accrue de combustible comme le Gaz, le Mazout et le Charbon.
Les populations de pays pauvres surtout de la RDC dans la
province du Nord Kivu plus particulièrement dans la ville de Goma qui
ont une faible possession d'énergie propre, c'est-à-dire non
polluant, utilisent des groupes
électrogènes à Mazout qui produit et envoi
dans l'atmosphère, le dioxyde de Carbonne, le chlorofluorocarbures en
actionnant, serait un autre facteur accentuant l'effet de serre.
L'utilisation abusive de l'énergie sur l'environnement est
néfaste pour la vie des êtres sur terre, le dégagement des
Gaz Nocifs entraine des maladies pour les êtres sur terre et provoque la
disparation des forets.
Le vent, principal vecteur de déposition de ces Gaz les
moments souvent à des endroits autour de nous pour étouffer
l'environnement pollue l'atmosphère et amène des changements
climatiques. (World Energy)
Une bonne solution est donc de réduire
considérablement la consommation d'énergie quelle qu'en soit la
source. (Wikipedia).
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CHAP III. PRESENTATION ET DISCUSSION DES
RESULTATS
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