INTRODUCTION GENERALE
INTRODUCTION GENERALE
L
e monde de la Finance a connu un grand bouleversement avec
l'apparition du modèle de l?évaluation des actifs financiers
(MÉDAF) proposé par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin
(1966). Ce modèle présente une relation simple telle que le
rendement est expliqué par la prime de risque du marché. Cette
prime
est la rentabilité supplémentaire que les
investisseurs exigent de percevoir pour acheter des actions plutôt que
des bons du Trésor ou des obligations d?Etat, pas ou faiblement
risqués. C?est la compensation exigée par un investisseur pour
rémunérer le risque propre aux investissements en action. Ce
risque se décompose lui -même en risque systématique (ou
risque de marché) qui affecte plus ou moins toutes les actions d?un
marché boursier et en risque spécifique (ou risque
intrinsèque) qui est indépendant des phénomènes
affectant l?ensemble des titres et qui caractérise le risque propre
à une entreprise ou à un secteur d?activité.
Jusqu'à aujourd'hui, le MÉDAF est l'un des modèles
d'évaluation les plus utilisés par la communauté
financière, en dépit des critiques qui lui ont été
adressées. C'est que divers chercheurs ont avancé que le
béta du MÉDAF est insuffisant pour expliquer le rendement ; et
que certains facteurs fondamentaux y jouent un rôle
complémentaire. D'autres trouvent que le MÉDAF se fonde sur des
hypothèses assez réductrices.
L'apparition du Modèle d'évaluation par
Arbitrage l?APT, développé par Ross (1976), est l'une des
premières réponses concrètes aux critiques du
MÉDAF. Grouer et Al (1976) montrent qu?il ya des versions plus
internationales du modèle proposées par Solnik (1974), Sercu
(1980), Stulz (1981), Adler et Dumas (1983). Grouer et Al (1981)
étudient un MEDAFI à segmentation partielle où les primes
de risque sont déterminées par une combinaison de facteurs
internationaux de risque. De méme, l?un des résultats
théorique les plus importants qui à contribué à la
suivie du MEDAF est celui de Dybvig et Ross (1985) et Hansenet Richard (1987)
qui ont montré que la version conditionnelle du MEDAF est
appropriée même si le MEDAF traditionnel mis en couse.
De plus, le modèle de Fama French présente une
extension du MEDAF qui s?inspire des modèles multifactoriel : ces
derniers expriment le rendement en fonction de plus qu?un facteur et de donner
le maximum d?informations pour bien mesurer et prédire le rendement.
Markowitz formalise le problème du choix de l?investisseur en supposant
que celui-ci optimise ses placements en tenant compte non seulement de la
rentabilité espérée de son portefeuille mais aussi de son
risque mesuré par la variance de sa rentabilité. Cette
théorie de
portefeuille nous enseigne que le risque non
systématique peut être éliminé en diversifiant. Un
portefeuille d?actions offre un couple rentabilité-risque meilleur qu?un
titre individuel. En effet, contrairement à la rentabilité
anticipée du portefeuille qui est par définition égale
à la moyenne pondérée des rentabilités
anticipées des différents titres qui y sont introduits, la
variance (le risque) du portefeuille est inférieure à la somme
pondérée des variances (des risques) des titres pris
individuellement. Une corrélation faible entre les titres individuels
aboutit à un meilleur rapport rentabilité-risque.
Au niveau national, la théorie de portefeuille de
Markowitz (1952,1959) nous enseigne que l?inclusion des titres peu
corrélés dans un portefeuille réduit grandement son
risque. Au plan international, Les bénéfices des
stratégies de diversification de portefeuilles ont été
montrés depuis les travaux pionniers de Grubel (1968) et Solnik (1974).
Ces bénéfices sont souvent attribués aux
corrélations plus faibles entre marchés financiers nationaux
qu?entre titres individuels du même marché. De nombreux travaux
empiriques ont montré que la diversification internationale
réduit davantage le risque qu?un portefeuille purement domestique. En
effet, aussi longtemps que les marchés financiers sont affectés
par des facteurs spécifiques du risque, les corrélations entre
ces marchés sont relativement faibles et les gains attendus des
stratégies de diversification internationale sont importants.
L?analyse de corrélation est importante parce qu?elle
est utilisée pour vérifier la diversification d?un portefeuille.
Cette corrélation est mesurée par le degré
d?intégration entre les marchés financiers, s?il ya une faible
corrélation, le gain de la stratégie de diversification à
l?international sera important. Cette intégration des marchés
financiers a fait l'objet de notre étude qui tien leur importance du
fait qu'en présence d'une intégration financière entre les
marchés.
Quelle est l'impact de l'intégration des
marchés financiers sur la stratégie de diversification de
portefeuille à l'internationale ?
Pour répondre à cette question, notre travail
comporte trois chapitres, le premier sera consacré à exposer les
modèles d?évaluation des actifs financiers à
l?échelle nationale et internationale et les mesures du risque d?un
portefeuille. Le deuxième sera réservé aux
différents types de justifications proposées dans la
littérature financière pour expliquer les effets de la
diversification à l?international, le biais domestique et l?impact de
l?intégration des marchés
financiers. Le troisième chapitre est basé sur
létude de l?intégration des marchés financiers
et ces implications sur le risque de la diversification internationale. Nous
visons par ce travail la participation à un débat concernant
cette énigme.
CHAPITRE 1 LES MODELES D'EVALUATION DES ACTIFS
FINANCIERS
CHAPITRE 1
LES MODELES D'EVALUATION DES ACTIFS FINANCIERS
C
e chapitre aborde l?évolution récente des
méthodes d?évaluation des actifs financiers en matière de
choix de portefeuille optimal. Les recherches de Markowitz des années
cinquante, ont marqué le point de départ de la théorie
moderne relative à la gestion des actifs financiers et
au fonctionnement des marchés, bien que connu, il a affiné
l?approche moyenne - variance et le concept de la diversification. Ceci
constitue la première étape de la théorie moderne de
portefeuille, quand à la seconde étape, nous pouvons poser la
question suivante : quelle est la mesure la plus adéquate qui satisfait
au mieux les préférences de l?investisseur, à cet
égard de nombreuses études faites commencent l?approche moyenne -
variance de Markowitz (1952) en passant par le modèle
d?évaluation des actifs financiers de Sharpe (1964), Lintner (1965), et
Mossin (1966) jusqu?au modèle à trois facteurs de Fama French
(1993).
Dans le méme cadre de l?approche moyenne - variance de
Markowitz (1952), la sélection d?un portefeuille qui satisfait à
la préférence des investisseurs et leurs attitudes face au risque
est bien expliqué par le modèle le plus connu et le plus
utilisé par ces investisseurs qui font leurs choix en fonction de
l?espérance de rentabilité et la variance de rentabilité.
Mais il existe des travaux qui ne confirment pas les résultats de
l?approche moyenne - variance, Prat (1964), Feldstein, Levy (1974). Ils
montrent que le choix de portefeuille individuel selon l?approche moyenne -
variance tend vers la diversification.
Quand à la diversification, elle présente une
source de gain pour les investisseurs, ce critère de choix
dépasse la diversification nationale à la diversification
internationale qui est en lien avec d?autres conditions comme le degré
d?intégration des marchés financiers Loyze et Server (2003),
Azman et Al (2002), Harvey et Ng (2003).
Les difficultés de l?approche moyenne - variance sant
les principales couses de renforcement des travaux de recherche et la naissance
d?autres méthodes d?évaluation des actifs financiers le MEDAF de
Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966). Ce modèle est
développé en (1992 - 1993) par Fama French qui a ajouté
deux facteurs au modèle de base.
Ce chapitre sera organisé comme suit : dans la
première section on va étudier l?approche traditionnelle de
Markowitz (1952). D?une part, le modèle d?évaluation des actifs
financiers, et de l?autre part le MEDAF. De même, dans cette partie nous
nous intéressons au MEDAF conditionnel et les études faites sur
le MEDAF à l?internationale, le modèle a trois facteurs de Fama
French (1993) et l?APT. Enfin, notre étude sera faite pour le choix et
la sélection d?un portefeuille.
1.1 : L'approche traditionnelle de Markowitz (1952)
La théorie de portefeuille de Markowitz est le
modèle de gestion le plus connu et le plus utilisé. Ce
modèle suggère que les investisseurs font leurs choix en fonction
de l?espérance de rentabilité et de la variance des
rentabilités, selon une étude faite par Olga B (2009) le
portefeuille optimal et définie comme celle de la variance minimale pour
un niveau de rentabilité donnée. Le résultat essentiel du
modèle de Markowitz (1952) est le concept de diversification. Cette
théorie appelée aussi « moyenne - variance » est
compatible avec la théorie d?utilité espérée sous
certaines hypothèses, et que les rendements suivent une loi normale.
Pratt (1964), Feldstein, Levy (1974) n?est confirmé au
résultat de l?approche moyenne - variance que si les investisseurs plus
averses au risque, le rendement sera plus élevé. Suite à
l?étude d?Olga B (2009), le choix de critère de rendement -
risque suppose que tous les moments d?ordre supérieur à deux et
la distribution jointe des rentabilités ne soient pas pris en compte,
alors le portefeuille optimal est basé sur une information
considérablement réduite. « Les écarts positifs par
rapport à la moyenne de richesse espéré en autant
d?importance que les écarts négative, or le risque est plus
souvent associer avec le risque de perdre qu?avec le risque de gagner. »
Libby et Fishburn (1977).
La théorie de portefeuille de Markowitz a donné
naissance à l?équilibre des actifs financiers
développés par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966). Ce
modèle montre que le risque total d?un titre se décompose par un
risque de marché appelé risque systématique ou non
diversifiable et un risque liée au titre, lui-même est
appelé risque diversifiable ou spécifique.
La MEDAF stipule que les agents optent les mémes
portefeuilles d?actifs risqués qui prennent l?appellation de
portefeuille du marché. L?objet des investisseurs de réduire le
risque est d?augmenter la rentabilité, ce comportement de choix de
portefeuille revient à construire un
portefeuille diversifié pour éliminer le risque
spécifique des titres et ne garder que le risque systématique du
marché.
1.1.2 : Le portefeuille de H. Markowitz
Le modèle de Markowitz (1952) comme taus les
modèles se caractérise par une présentation
simplifiée à une réalité complexe dont le but d?une
description du profit, et qui consiste exclusivement à la mesure du
degré d?aversion ou risque c à d plus l?investisseur averse au
risque, plus le rendement de portefeuille est élevé, dans le
couple rendement risque les investisseurs cherchent à réaliser le
meilleur compromis possible entre le rendement espéré et le
risque correspond.
Blume et Friend (1975) ; Barber et Odean (2000) ; Kumar et
Geotzman (2003) ; Polkovnichenko (2005) montrent que le portefeuille de
H.Markowitz est très peu diversifié, aussi une approche
alternative fondé sur le concept « safety first " Roy (1952) ;
Baumol (1963) ; Arzacet et Bawa (1977) suggère de ne prendre en compte
que le « downside risk " Bawa (1975) ; Menesez, Gies, Tressler (1980) dans
ce cas, seuls les écarts négatifs par rapport à un certin
niveau souhaité sont mesuré. Dans ce même cadre de mesure
de risque an distingue :
1.1.2.1 : Volatilité
La volatilité s?interprète comme le degré de
variation moyenne des prix d?un actif ou d?un fond, de plus elle se
définit comme l?écart-type annualisé de ses variations. En
fait, plus cette variation est élevé plus l?actif
considéré est risqué, d?ailleurs elle trouve son origine
sur les facteurs internes et externes de l?actif considéré. Etant
donné que certaine action dont les fondamentaux sont faibles, ont une
volatilité supérieure au marché, c à d betas
supérieur à un.
1.1.2.2 L ll 'écaI1 ll1%p
Dans la théorie moderne du portefeuille, nous utilisons
l?écarte type du rendement R comme mesure du risque
cy = _ ~) = )
Ou représente le rendement espère ~
= E(R) =
Supposons que vous ayons deux titres x1 et x2 et que x1 est la
pondération du premier titre (0 x 1) Nous pouvons déduire par la
pondération du second titre est 1-x1
-
R-p =
Le rendement espère de portefeuille se calcule comme suit
+ (1- x1) -R
Ou -R le rendement espère du titre i
L?écart type du portefeuille est donnée par
6pd (x16 1) 2 + [(1 - x1)6 2] + [(2x(1 - x)6 16
2 )]
Ou 6 i est l?écart types des rendements des
titres i et p les corrélations des deux titres Cas
générale
Le rendement espère du portefeuille se calcule R-
p= R-Tx
Alors la variance du portefeuille est comme suit 6
p=xT
1.1.2.3 : Variance de portefeuille :
C?est la moyenne des carrées des écarts a la
moyenne
6 p=var( Rp)= x 16 1 + x 26
2 + 2x1x2cov(x1x2)
=x 16 1
|
+ (1
|
- x1) 26 2
|
+ 2x1(1 - x1)co v(x1, x2)
|
=x210" 21
|
+ (1
|
- x1)2(122
|
+ 2x1(1 - x1)
Pxix20"10" 2
|
cov(xi,x2)
On suppose 6 -6 et [11 > [12 et on pose p(x1, x2) =
62p = 6 21[x 1 + (1- x1) + 2x1(1 - x1)
P(x1, x2)]
1.1.2.4 : Minimisation de la variance du
portefeuille
=- - 2a -- ) -- )~
Si ) lo a p a a et E ( p)
Si ~ -- alors
Donc a p = 0 et E ( p) =
1.1.2.5 : La corrélation
La corrélation consiste à mesurer l?interaction
entre deux variables, le résultat de cette mesure s?appelle « Le
coefficient de correlation »
La mesure d?un coefficient de corrélation peut varier
entre +1 et -1
~ ~ Y) y
Y YY YY
Y)= N ) Y -Y)
~
N )
N Y Y)
CO ~ =
~ - ~ ~ -y) = y
Avec var(x) = ~ ~
~ = Var(y) = ~ ~ ~ ~
~ = ~~
- Plus de 0 ,75 cette mesure implique que les deux actifs
reagissent de façon très similaire aux conditions du marche et
que leurs rendements iront generalement dans la même direction
- Entre 0,25 et 0,75 implique que les deux actifs rependent de
façon assez similaire aux conditions du marche.
- Entre zero et 0,25 les actifs reagissent differemment à
la condition du marche et leurs rendements ont tendance à demeurer
indépendants l?un de l?autre
- Moins de zero les actifs reagissent differemment à la
condition du marche et leurs rendements evaluent en direction opposee.
1.1.2.6 : Mesure de la VaR
Value at risque est proposé par Baumol (1963), c?est le
niveau de la perte maximale, cette mesure est devenue très populaire ses
dernières années Duffi et Pan (1997), Jarian (2000), Linsmeier et
Person (2000), Hull (2008) la mesure de la VaR correspond au montant de la
perte qui ne devrait être dépassée au seuil de confiance t%
sur un horizon de N jours. Olga B (2008), la VaR est définie pour une
seule valeur de la probabilité 1-t contrairement à la contrainte
dans les modèles de Safety first, en autre la VaR fait partie des mesure
du risque qui sont utilisées afin de déterminé le capital
requis.
Dans ce contexte Artzner, Delbaem, Eber et Heath (1999)
proposent quatre propriétés qu?une mesure de risque doit
satisfaire pour être qualifiée, l?une de ces
propriétés sous additive c à d la mesure du risque doit
diminuer à l?effet de diversification, la VaR ne satisfait pas à
cette propriété Olga B (2008).
La mesure de la VaR est devenue très populaire dans les
années (1980) et confronté aux nombreux tests de
confirmité et de comparaison avec d?autres mesures de risque à
l?égard de ces tests différents approche ont été
proposé Harlow (1991) Shapiro (2001), Yiu (2004).
Basak et Shapiro (2001) développent un modèle
mono périodique aussi Alexander et Baptista (2002) comparent les
portefeuilles obtenu dans le cadre d?un modèle moyenne - VaR avec les
issus du modèle de Markowitz (1952) qui consiste à
maximisé les pertes maximale définie par la VaR.
1.1.2.7 : Ratio de risque / Performance
La théorie financière propose de nombreux
indicateurs de performance dont l?objet est la prise en compte de la relation
entre le risque et la rentabilité, notons qu?il existe trois ratios,
Sharpe (1966), Traynor (1965) et le de Jensen (1968). Ce sont les exemples
standards de critère de performance prenant en compte la relation
rentabilité risque, même si le premier défini le risque a
partir de l?écart-type des rentabilités alors que les autres
prennent en considération le beta d?un portefeuille analysé.
Dans ce même cadre ces indicateurs supposent l?existence
d?un actifs sans risque et : ou celle d?un portefeuille de marché, il
suppose en fait l?idée de diversification optimal en
référence à la théorie du portefeuille de Markowitz
(1952 - 1959) ou au MEDAF.
Quant ou ratio de Sharpe il est noté }, pour un
portefeuille y est défini par :
~ = ~
~
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille1.png)
Ou , le ratio de Sharpe d?un portefeuille ~ Le rendement d?un
portefeuille
f Le taux sans risque
a, Le risque de portefeuille y
-si le ratio de Sharpe est négatif ça signifie
qu?un placement dont le rendement est inferieur à celui du taux sans
risque.
Par la suite le ratio de Traynor d?un portefeuille y
défini comme suit :
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille2.png)
Ty = ~ ~
P. Roger et M. Merli (2001) montrent que le point de
différence avec le ratio précédent réside dans
la mesure du risque qui normalise l?excès de rentabilité. Quand
un portefeuille situé sur
la droite de marché des capitaux aura un T~
égale à - f.
T~ Représente un avantage par rapport au
précédent ratio c?est que si un investisseur
possède une capacité de gestion supérieur à la
moyenne. T~ Sera supérieur à la l?excès de
rentabilitédu portefeuille du marché.
Enfin, de Jensen, ce coefficient est fondé sur la
même idée que le ratio de Traynor en ayant une formulation
additive alors que la formulation de Sharpe était multiplicative. Le
coefficient de Jensen est défini pour un portefeuille y par :
~ ~ - f - ~ - f)
Notons qu?un portefeuille possédant un coefficient
significativement positif car il se situe au dessus de la droite du
marché des capitaux.
1.2 1 [11 lip 1II01II4vDMINEKII IIII IIEWV 1KIKIIIIKID
( ' $ )
1.2.1 : Definition
Le monde de la finance à connu un important
bouleversement avec l?apparition du modèle d?évaluation des
financiers (MEDAF) ou le CAPM (Capital Asset Pricing Model en anglais)
proposé par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966), c?est le
modèle le plus connu et le plus utilisé.
Une conclusion simple est facilement compréhensible
telle que le rendement est expliqué par la prime de risque de
marché, on utilise ce modèle pour estimer le cout du capital,
l?élaboration des stratégies d?investissement et
l?évaluation des performances des portefeuilles. Sharpe (1964) et
Lintner (1965) élabore un modèle d?évaluation qui
reflète l?équilibre général du marché
réalisé à partir de la confrontation entre l?offre et la
demande.
La formule du MEDAF dans sa version simple et facile
s?écrit comme suit : E(Ri) = Rf + fii E RM~ -- Rf)
Dont fii (E(RM) -- Rf) = prime de risque du titre
(E(RM) -- Rf) = prime de marché
Les fi sont estimé par MCO (Méthode des moindre
carrée)
Quant à fii, c'est la mesure du risque
systématique, non spécifique et non diversifiable de l'actif.
Cette variable reflète le risque d'un actif, qui est d'ailleurs
évalué par rapport au risque du portefeuille du marché.
fii Se calcule comme suit :
)
)
Avec fimarche =1 et fiactif sans risque =O.
Notons qu'il existe une relation positive entre le rendement
d'un actif et le risque représenté par le béta. De plus,
il est important de signaler que le risque n'est plus fonction de la variance
de l'actif en question, mais plutôt une fonction de la covariance entre
l'actif et le marché. Par ailleurs, le fii peut être
négatif (surtout dans les grands marchés).
On veut mesurer de la contribution du titre au risque de
portefeuille M On part du risque totale de M
~ =
~
~ ou ~ = cov ( , )
~
~ =
~
~ cov ( , ) =
~ cov ( , )
Car =
En normalisation, on obtient :
~
1 = ~
~
~~
) Represente la contribution normalisee du titre i ou
risque du portefeuille de
marche, on appelle le du titre i
Si t le titre i est attenue les variations de M (Moins risque que
la moyenne)
Si t 1 le titre i est amplifie les variations de M
(plus risque que la moyenne)
Si t 0 est possible mais rare
v Tout titre rapporte le taux sans risque plus une prime de
risque
v Cette prime de risque est la fonction de la prime de marche
et du Beta du titre, alors que l?utilisation du MEDAF dans la gestion de
portefeuille se fait à trouver deux strategies.
v Stratégie d?investissement passif : portefeuille
indexe
v Stratégie d?investissement Actif : recherche activement
les valeurs sous-evaluees ou sur - evaluees, pour en tirer un profit rapide
1.2.2 : Les hypothèses de MEDAF
Le marche comporte N actifs risques de rentabilite i-- i oi) et
un actif sans risque de taux d?intéret f exogène.
-Les prix des actifs cotés sur le marché sont des
prix d?équilibre. (le CAPM est modèle d?équilibre (vs
APT))
-Tous les investisseurs sur le marché sont rationnels au
sens de Markowitz (utilisent tout le critère moyenne-variance)
- L?univers d?investissement est le méme pour tous les
investisseurs (mémes titres pris en considération (=> prise en
compte de tous les titres)
- Les anticipations des investisseurs sont homogènes (tous
les investisseurs font les mêmes prévisions (espérance de
rendement, risque) et possèdent tout le même horizon de
placement)
-Les seules différences permises par le modèle
concernant les investisseurs :
- aversion pour le risque - richesse initiale
- Chaque investisseur, pris individuellement, est preneur de prix
(Price- taker) : leurs transactions ne peuvent affecter les prix de
marché.
- Il y a une divisibilité complète des actifs.
- Les marchés de capitaux sont parfaits (pas de frais de
transaction, liquidité assurée) - Il n?y a pas d?impôt
- Les investisseurs peuvent prêter ou emprunter au
même taux
1.2.3 : Validation empirique du MEDAF
Colmart, Gillet et Szafarz (2009) « efficience des
marchés, concept, bulles spéculatif et image comptable » en
étudier la validation empirique du modèle comme suit est que le
point de départ c?est la relation linéaire entre la
rentabilité attendue 1 et le risque systématique ,
1) f . ) - f
C?est une relation transversale (Cross- Section)
~ ~ ~ ~ ~ ~
Avec i = 1... .n
Y à comparer avec f
y à comparer avec ) - f
Ce résultat empirique à rencontré de
nombreux problèmes économétriques, grâce à
ces problèmes Roll(1977), Fama et French (1992 ,1995)
1.2.4 : Régression en série chronologique
Le point de départ Steve A (2007) est le modèle
suivant :
- r ) - r )
Ou la constante dans la régression est le portefeuille X
et ce qu?on prend pour le
portefeuille du marché.
Pour que la régression soit strictement valide et non
une approximation à une relation non linéaire, une
conséquence testable de la version du MEDAF est la constante dans la
régression devrait être égale à zéro, aussi
qu?il ne devrait pas y avoir de variable explicative au - delà du
facteur beta qui aide à prédire le rendement
espéré.
Finalement, il ya aussi des tests économétriques en
linéarité qu?on peut appliquer afin de confirmer ou infirmer le
MEDAF.
1.2.5 : Le MEDAF de Black (1972)
En 1970, pour contourner le problème de manque de
linéarité de l?hypothèse de prêt / emprunt à
un taux d?intérêt sans risque unique, Black a testé une
version du modèle dans la quelle cette hypothèse est remplacer
par celle de la possibilité de vente à découvert
potentiellement illimité des actifs risqué.
J.clerical (2009) montre que ses résultats lui de
permettent de définir le portefeuille à zéro beta et
à variance minimale comme étant le portefeuille efficient a
corrélation nulle avec le portefeuille du marché, il
redéfinit des lors le prime du risque au rendement excédentaire
des actifs et des portefeuilles par rapport à ce zéro- beta et
non plus en fonction du taux d?intérêt sans risque.
Dans ce même article Black (1972) montre que la
condition d?équilibre de non arbitrage implique que la condition des
portefeuilles efficients choisis par les investisseurs, pondérés
par leur proportion respective dans la richesse investie agrégé,
ne peut mener qu?à la définition du portefeuille de
marché.
1.2.6 : Les anomalies et les critiques de MEDAF
La critique la plus connue sans doute celle de Roll (1977), il
remarque qu?il est impossible de calculer avec exactitude la rentabilité
du portefeuille du marché.
Stambough (1982) à montré empiriquement que les
tests du marché sont dans les faits moins sensibles au choix du proxy,
ou l?indice de marché de Roll (1977) ne le prévoyait.
Les analyses théorique de Kandel et Stambough (1987) et
de Skamken (1987) montrent que les erreurs de mesurées sur le
portefeuille de marché n?affectent les résultats des testes du
modèle que si la corrélation entre l?indice de marché
utilisé et le vrai portefeuille de marché est diffusément
faible.
Bassu (1977) qui montre l?existence de l?effet PER les
portefeuilles qui ont de petit PER ont des rentabilités moyennes plus
élève que celles prévues à l?aide de CAPM.
Banz(1981), l?effet taille ou le fait que les actions à
faible capitalisation ont des rentabilités moyenne supérieure
à celle des prédites par le CAPM.
Reiganum (1981) confirme l?existence de ces deux effets et montre
qu?il est relié.
Keim (1983) confirme l?existence de l?effet taille et montre
qu?il est aussi relié à l?existence d?un effet janvier, aussi on
distingue d?autres effets comme l?effet sur réaction de Debondt et
Thaler (1985) et l?effet momentum de Jagadeesh et Titman (1993).
Reinganum (1981), Lakonishok et Shapiro (1986), Chopra et
Ritter (1989), Fama et French (1992) ils ont mentionné l?existence d?une
certaine relation entre les betas des actifs et les rentabilités
moyennes. Black (1993), Chan et Lakonishok (1993), Pettengil, Sundaram et
Mathur (1995), Grundy et Malkiel (1996), confirment la mort de la beta.
Le CAPM versus le modèle de neutralité ou risque
avec l?existence d?une région critique pour la prime du risque du
marché.
1.2.7 : Le MEDAF conditionnel
La version conditionnelle du MEDAF est appliquée au
marché émergent de la période 1990 à 2005,
Joelle R (2007) à mis en évidence la variabilité des
moments conditionnel des rendements boursières, permettent aussi la
variation de la prime du risque. Il constitue en
outre un outil pertinent dans l?analyse de l?intégration
en ayant recourt au variable d?informations dites variables internationales.
Le MEDAF conditionnel à utilise pour
l?évaluation des rentabilités des marchés, toutes les
différentes études théoriques et empiriques ont abouti
à une conclusion en faveur de la variabilité des
paramètres variant dans le temps dans le cadre du MEDAF conditionnel qui
est basé sur le principe suivant :
La relation entre la rentabilité d?un titre particulier et
la rentabilité espérée du portefeuille du marché ne
serait valable que conditionnellement à l?information disponible.
Dans sa version traditionnelle le MEDAF est donné par
l?expression suivante :
E ( 1) - f . 1) - f ~
Tandis que le MEDAF conditionnel s?exprimera comme suit :
1 - f i - f ~
Les variables et les coefficients de régression
s?interprètent.
1 Est l?espérance de rentabilité de t qui est en
fonction des informations disponibles en
t-1
f Le taux sans risque, Buckberg (1993) à testé
un MEDAFC appliqué au marché émergent de la période
1977 à 1991 il obtient un résultat non significatif. A
l?exception des variables aléatoires « Independent et identiquement
distribuer » les moments conditionnel il en le même facteur beta
même si la beta conditionnels est constant, il nécessairement ou
beta non conditionnel.
En se qui concerne le lien de causalité entre les deux
modèles, il est noté que la pertinence du modèle
conditionnel n?implique pas à celle du modèle non conditionnel
aussi que l?efficience au sens « moyenne- variance » du modèle
conditionnel n?implique pas à celle du modèle non
conditionnel.
Un des résultats théorique les plus important
qui a contribué à la suivie du MEDAF est celui de Dybvig et Ross
(1985) et Hansenet Richard (1987) qui ont montré que la version
conditionnelle du MEDAF est appropriée même si le MEDAF
traditionnel est mis en couse.
1.2.8 : Le mod~le d'évaluation des actifs financiers
à l'internationale (MDAFI,
Arouri M (2009) affirme que la première
génération du MEDAFI repose sur l?hypothèse que les
investisseurs independamment de leurs nationalites utilisent le même
indice des prix pour deflate les rentabilites des differents actifs financiers.
Ces modèles constituent des transpositions nominales du MEDAF
domestique, le portefeuille de tout les investisseurs est la combinaison du
portefeuille du marche mondial est l?actif sans risque. Grouer et Al (1976),
aussi ont distingue des versions plus internationales du modèle propose
par Solnik (1974), Sercu (1980), Stulz (1981), Adler et Dumas (1983). Grouer et
Al (1981) etudient un MEDAI à segmentation partielle où les
primes de risque sont determinees par une combinaison de facteurs
internationaux du risque. Les auteurs trouvent que le risque du taux de change
est apprecie internationalement pour quelques marches emergents. La conclusion
de cette etude dont être consideree avec precaution. Plus recemment,
phylaktis et Ravazola (2004) proposent un MEDAFI à deux regimes qui
specifient explicitement le risque de change comme facteur de risque. Ce
modèle considère que les marches sont strictement segmentes dans
un premier temps et doivent parfaitement integrer dans un second temps. Arouri
(2009) à presente une version conditionnelle du modèle
international d?évaluation des actifs financiers qui tient compte des
deviations de la parite des pouvoirs d?achat et d?une éventuelle
segmentation financière partielle. Il prend le MEDAFI à
integration financière propose par Adler et Dumas (1983).
Concederons un univers avec L+1 pays et N=n+L+1 avec n l?actif
risqué, l?actifs sans risque de marche et L+1 l?actifs sans risque du
pays de la monnaie de reference.
Ils designent par le prix de l?actifs X mesurer dans la monnaie
du pays de référence C. ~ La rentabilite nominale de cet actif
exprime dans la monnaie de reference.
Le modèle s?écrit comme suit.
i i ~ ) ai i
i
Ou ~ suit un processus de Wiener standard.
1. 3 : Le modèle de Fama French (1993)
1.3.1 : La logique du modèle à trois facteurs
de FF (1993)
Le modèle de Fama French présente une extension
du MEDAF s?inspire des modèles multifactoriel exprime le rendement en
fonction de plus qu?un facteur et de donner le maximum d?information pour bien
mesurer et prédire le rendement.
Le MEDAF prévoit une relation linéaire et
positive entre le rendement anticipé sur les titres et le niveau du
risque systématique, dans la mesure où le risque
spécifique peut être réduit au moyen d?une diversification
adéquate, seul ce risque est rémunéré par le
marché et permet d?expliquer les différences de rendement entre
les titres.
Le modèle de FF (1993) repose sur un facteur de risque
essentiel, la beta qui relie le rendement des titres au rendement du
marché. L?intérêt de cette relation dépend dans la
plupart des cas par l?hypothèse de non stationnarité.
L?instabilité et la variabilité du beta, Miller et sholes (1972)
c à d que les variables de nature spécifique à un
modèle jouent un rôle complémentaire pour beta, dans le but
final est de donner la meilleure et la plus complète explication
possible du rendement.
I limaiem (2009), dans le modèle de FF il existe trois
facteurs différents influencent le rendement des actifs, la prime du
risque des marchés, le ratio valeur comptable / valeur de marché
noté (VG/VM) et la capitalisation boursière (GB), les deux
facteurs ajoutés par FF qui sont de caractère comptable et
financier. Ges deux facteurs sont classés parmi les déterminants
les plus importants, les plus populaires, ainsi que les plus
utilisés.
L?utilisation de ces variables ne trouve pas l?explication
théorique, elle se justifie par le fait que la variable explicative
représente des mesures déguisées de beta qui seraient
moins attachées d?erreurs de mesure que la beta estime
lui-même.
Le principal avantage de l?évolution fondamental selon
Rasemberg et Guy (1976) c?est qu?elle tient compte de sa structure des firmes
et étrenne peu d?erreur d?estimation, cette méthode et correspond
à des données comptables pour les fines et disponibles pour le
marché, c?est conformément à cette approche que FF (1992)
développe le modèle de rentabilité à trois
facteurs.
1.3.2 : Le modèle à trois facteurs de Fama
French (1993).
La mise en difficulté de beta et l?observation des
anomalies de rentabilité conduisent FF (1992) à entrevoir une
modélisation des rendements des titres et les variables attachées
à l?action et à l?obligation, FF(1993) confirme ce
résultat par l?examen de la relation longitudinale entre la
rentabilité et les trois facteurs de marché.
Le facteur marché affiche un rOle important dans la
rentabilité, la CB et le ratio VC/VM s?ajoute ou premier facteur,
FF(1993) parvient à améliorer l?explication de la
rentabilité, et conclue que les deux variables fondamentales
complètent la beta.
Fama French (1995) étudie la relation de la taille de la
firme et la relation avec les bénéfices, ils trouvent que les
deux variables liées aux principaux déterminants du
bénéfice.
L?expression finale du modèle à trois facteurs de
FF (1993) s?écrit comme suit :
i) -- f i ) -- f i M ) i M )
i) L?espérance de rentabilité des titres i
f Taux de rendement de l?actif sans risque
) Espérance de rendement du portefeuille du
marché
M ) La prime de rentabilité espérée
liée à la taille de la firme (Smoll Minus Big) M ) La prime de
rentabilité espéré liée ou ratio VC/VM (High Minus
Low)
i, i, i Les coefficients du risque associes aux trois facteurs
FF trouve que les deux variables ajoutées expriment une
partie non négligeable du risque et expliquent une partie importante de
la rentabilité ce qui confirme l?insuffisance de la prime du risque des
marchés dans l?explication de rendements mieux que le portefeuille du
marché alors que Moley (2000), Bellalah et Besbes (2006) trouvent un
résultat différent sur le marché français, ils
constatent que le portefeuille du marché joue un rOle
prépondérant par rapport à la CB et le ratio VC/VM. Par
ailleurs FF ont montré qu?il ya une relation significative positive
entre le rendement et le ratio VC/VM alors que la relation entre la CB et le
rendement significatif est négatif. Banz (1981) montre que les titres
à petite capitalisation considérée comme étant plus
risqué et ayant un cOut de capital plus élevé.
1.3.3 : [S 111110X1[3IBEX[7Kp1i1 [(L5S 37
Arbitrage Pricing Théory (APT) développé
par Ross (1976), c?est l?une des réponses concrètes aux critiques
du MEDAF. Dans le meme cadre d?apparition il s?agit d?une relation
d?équilibre entre le rendement attenu d?un actif et un facteur du risque
pou un CAPM classique, par la suite parmi ces facteurs on distingue l?attendu
et l?inattendu. En fait, le modèle APT est modèle multi-facteurs
est part de l?hypothèse que le rendement d?un titre pour une date t peut
être explique par plusieurs facteurs de risque
1(t) = Ri + Eicic=ithic Fic( ) +
Par la suite, les betas ont la même
interprétation et se calculent de la même manière que le
modèle CAPM, bien que les hypothèses du modèle APT soient
légèrement différentes de celle du modèle
d?évaluation des actifs financiers. D?ailleurs pour déterminer
les facteurs du modèle APT on distingue deux approches : l?une par
utilisation du facteur économique et l?autre par utilisation des
facteurs statistiques. En fait du point de vue statistique, les tests
empiriques montrent que le modèle APT est le meilleur que le
modèle CAPM.
De même N xella Ricci et C Hurson montre que le CAPM
attribué à Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966) relient
linéairement le rendement attendu de l?actif E(Ri) à son risque
dit 13i marquant sa rentabilité au mouvement de l?économie
globale prise comme unique facteur déterminant soit :
) = Rf + 13i(E(RM) -- Rf)
De plus ce modèle réside mal aux tests
empiriques, d?après les critiques de Roll (1977) sur la
testabilité de ce dernier. En fait la mise en évidence de
l?instabilité des paramètres du risque. Bref, la relation
d?équilibre dans le marché serait décrite par le CAPM,
d?où la nécessité d?une meilleurs description dont celle
fourni par L?APT de Ross (1976). L?APT propose une relation multifactorielle
entre risque et rendement, elle nécessite moins d?hypothèses
restrictives que le CAPM. L?argument de Ross veut que l?arbitragiste ne soit
pas récompensé le portefeuille en proportion VVides écarts
de prix perçus ne lui procure aucun enrichissement, ne possède
aucun risque 13 et ne génère aucun rendement
complémentaire. Etant donnée que l?argument d?arbitrage est
considéré comme la capacité de crée des
espérances de portefeuille dans le cadre d?une structure factorielle
stricte, Huberman (1982) montre que l?erreur d?évaluation est
borné supérieurement. De plus, l?argument d?équilibre au
l?aversion ou risque de l?investisseur serait reliée. Cannar (1982),
Dybvig (1982) et Grinblatt et Titman
(1982) ont développé une borne inferieure ou
supérieur pour l?écart d?évaluation qui est fonction du
dégré d?aversion au risque. En fait L?APT fondé sur
l?équilibre offre une base conceptuelle plus forte que l?APT
fondée sur l?arbitrage.
1. 4 : Choix et sélection de portefeuille.
La sélection d?un portefeuille se base sur des
stratégies de choix dépend à l?attitude face au risque et
l?exigence des agents est la façon de prévoir et d?évaluer
le risque, ces différents aspects expliquent la diversité des
approches dans la gestion de portefeuille.
La détermination des prix des actifs s?avère une
tache plus difficile, à condition de rester dans le cadre d?un
modèle précis. Donc il est possible de déterminer des
portefeuilles optimaux et les prix d?équilibre, parmi les modèles
les plus utilisés et la plus classique par exemple la théorie de
portefeuille de Markowitz (1952) et le modèle d?équilibre des
actifs financiers de Sharpe (1964), Lintner (1965), Mossin (1966) aussi
l?approche alternative Safety first.
1.4.1 : La sélection de portefeuille efficient
Benzion, Haruvy et Shavit (2004) ont fait une étude sur
la capacité des individus à former un portefeuille situé
sur la frontière efficiente déterminée sur trois types
d?actions, action, obligation et un put sur cette action et que la
rentabilité espérées sous la forme d?une loterie. Les
résultats de cette étude montrent que les portefeuilles
formés par les praticiens convergent rapidement vers celles des
portefeuilles situés sur la frontière efficiente lorsque les
possibilités de couvertures sont limitées. La vitesse de cet
ajustement dépend positivement des incitations, d?où l?existence
du rendement élevé des portefeuilles qui situé sur la
frontière efficiente. Get ajustement se fait sur la base de règle
de décision, telles que EWA (Expérience Weighted Attraction de
Gamerer et Ho 1999), et à relier a l?hypothèse d?aversion myope
ou perte de Benartzi et Thaler (1995) et Thaler et Al (1997), selon laquelle
l?attractivité de l?actif risqué diminue avec la fréquence
d?évaluation des portefeuilles par les praticiens, Marie -
Hélène Broihonne, Maxime Merlie et Patrick Roger (2006).
Ges auteurs montrent que ce résultat a
énormément d?impact dans le contexte actuel où les
investisseurs, via internet, évaluent la performance de leurs actifs sur
une base hebdomadaire alors que la gestion traditionnelle consistait le plus
souvent à investir dans des fonds qui étaient
évalué annuellement.
Barber et Odean (2002) montrent à cet égard que
la fréquence d?ajustement de ces portefeuilles opté pour une
gestion en ligne conduit à des échanges excessives. L?aversion ou
la perte expliquée également la stratégie du call couvert
est jugée inefficient dans le cadre de l?approche moyenne - variance,
Leggio et Lien (2002). Maxime Merlie et Patrick Roger (2006).
Le choix de portefeuille selon l?approche moyenne - variance
ne sont pas efficaces de même pour les investisseurs qui utilisent la
théorie des perspectives, Levy et Levy (2004) ont utilise les relations
de dominance stochastique montre que les hypothèses différent qui
fonde l?approche moyenne - variance et la théorie des perspective
conduit de manière paradoxale à définir des ensembles de
choix efficaces. Ce qui nous amenons à étudier d?autre
méthodes d?évaluation.
Conclusion
De façon générale, nous pouvons dire que
de nombreuses théories et travaux, convergent soit en fonction des
méthodes d?évaluation des actifs financiers soit en fonction des
stratégies et de sélection d?un portefeuille optimal. Nous
concluons donc, que les choix et les stratégies des analystes et des
investisseurs montrent que l?activité économique en termes de
résultat et de perspective de croissance joue un rôle
déterminant dans l?évaluation des risques que présente la
détention d?un titre, les analyses des sources de la volatilité
montrent que la variance des primes anticipés résulte
principalement de disparité entre les titres.
De plus, dans le domaine de prise de décision
concernant le choix de portefeuille à été faite par
Markowitz (1952), c?est le premier qui invoqué l?existence d?un point de
référence. La théorie de Markowitz à tout de
même ses limites participe à la naissance d?autres modèles
d?évaluation des actifs financiers, le MEDAF de Sharpe (1964), Lintner
(1965) et Mossin (1966). Enfin, et suite les critiques et les anomalies des
deux premiers modèles d?évaluation, plusieurs recherches se sont
succédées. Elles ont montré qu'il existe certains
facteurs, à part le portefeuille du marché, qui expliquent le
rendement. Le modèle à trois béta de FF (1992, 1993) est
l'un des plus populaires modèles résultants de ces recherches.
CHAPITRE 2
DIVERSIFICATION INTERNATIONALE DE PORTEFEUILLE ET
INTEGRATION FINANCIERS
CHAPITRE 2
DIVERSIFICATION INTERNATIONALE DE PORTEFEUILLE
ET INTEGRATION FINANCIERS
D
es les années cinquante la diversification du
portefeuille à été formulée par Markowitz
(1952-1956) comme un problème de programmation quadratique en même
temps une dérivation standard qui a été introduite comme
mesure de risque.
En fait, Markowitz formalise le problème du choix de
l?investisseur en tenant compte de la rentabilité espérée
de son portefeuille et son risque qui est mesuré par la variance de sa
rentabilité. Cette théorie de portefeuille nous enseigne que le
risque peut être illuminé en diversifiant un portefeuille d?action
offre un couple rentabilité risque meilleur qu?un titre individuel. En
effet, contrairement à la rentabilité anticipée des
différents titres qu?y sont introduit la variance de portefeuille est
inferieur à la somme pondéré des variances des titres pris
individuellement Arouri H (2005). Dans ce même cadre et au niveau
international de nombreuses études montrent que la diversification
internationale réduit d?avantage le risque qu?un portefeuille purement
domestique. En fait on distingue que les marchés financiers sont
affecté par des facteurs spécifiques de risque, la
corrélation entre les marchés sont relativement faible et le gain
de diversification à l?internationale est important. Quant a la
diversification l?internationale et les réformes des dernières
années sur les marchés financiers dont l?objectif principal est
d?aller vers une plus grande ouverture, cette libéralisation se
caractérisait notamment par la levée des restrictions des
mouvements internationaux des capitaux.
Etant donnée que la diversification internationale est
un phénomène récent mais elle est en relation avec le
degré d?intégration des marchés enter eux. Cette
intégration soit au marché développé et au
marché émergent, donc le véritable essor de
l?investissement international de portefeuille date de 1974 avec la
décision de Morgan Guaranty d?investir une partie de ces fonds de
pension à l?extérieur des USA. Selon la théorie moderne de
portefeuille la diversification internationale permet d?éliminer les
risques systématiques provenant des placements limités au
marché domestique Solnik (1998-2003). Le chapitre sera organisé
comme suit. Dans une première section, on s'intéressera à
la diversification du portefeuille à l?internationale. Dans une
deuxième, on va étudier l?intégration des marchés
financiers et la diversification à l?internationale.
2. 1 : Diversification internationale de portefeuille.
2.1.1 : Principe de la diversification
Blume, Crockett et Friend (1974), Blume et Friend (1975),
Caval et Markowitz (1999), Barber et Odean (2000), Benartzi (2001), Kumar et
Geotzmann (2003), Polkovnichenko (2005) ont montre que la diversification est
le résultat de l?approche moyenne - variance de Markowitz (1952)
suggère que le portefeuille parfaitement diversifiable est
composé de tous les titres négociés sur le marché.
D?ailleurs de nombreuses études faites sur des investisseurs et la
nature de leurs choix montrent que leurs portefeuilles sont composés par
des titres individuels, ce qui n?est pas optimal au sens moyenne - variance,
alors que Leggio et Lien (2002), Haigh et List (2005) montrent en doute
l?applicabilité en pratique du principe de diversification.
2.1.2 : La diversification internationale de
portefeuille.
Depuis les travaux de Markowitz (1952), les investisseurs ont
reconnu les avantages de la diversification. Solnik (1974) en particulier a
montré quun portefeuille diversifié efficacement
à linternational permet une réduction de moitié
du risque pour le méme nombre de titres. Campbell(1991) a
confirmé que la diversification internationale de portefeuille permet
à atteindre des portefeuilles présentant un meilleur couple
rentabilité-risque si on examinent les coefficients de
corrélation entre les marchés nationaux. Ainsi,
létude de Campbell (1991) montre que de nombreux
portefeuilles (français, américain, suisse, espagnol, etc.) sont
dominés par le portefeuille mondial.
Solnik et Longin (1998) insistent cependant sur le fait
quen période de crise, et donc de forts rendements
négatifs, les avantages associés à la diversification
internationale sont moindres. Les deux auteurs déclarent « Our
empirical results indicate that the case for international risk diversification
may have been somewhat overstated, since the risk protection brought by
spreading assets across markets is reduced when it is needed most, i.e. in
periods of extreme Price movements».
De plus la diversification internationale sert à la
réalisation des gains importants pour la répartition du
portefeuille à des actifs à l?étranger et de
réduire le risque de perte, mais ce gain de diversification est
lié avec la corrélation qui existe entre les marchés des
capitaux, c à d s?il ya une faible corrélation entre les
marchés le gain du capital sera important et s?il ya une forte
corrélation le gain sera faible.
Vu la globalisation, l?ouverture des barrières à
l?entrée et la libéralisation des marchés des capitaux
provoquent une forte corrélation, ce qui implique une diminution des
gains de la diversification des portefeuilles internationales, ce
résultat de bénéfice dépend de la
corrélation entre les marchés. D?ailleurs l?objet de notre
étude est de mesuré l?intégration des marchés
financiers développés et émergents est de conclure le gain
de la diversification internationale, si les marchés sont
intégrés alors le gain potentiel sera faible et si les
marchés sont segmenté alors la diversification internationale
jouera un rôle très important.
Daly (2003), Books, Forbes et Mody(2003), Aggarwol et Kyow
(2005) ont testé l?intégration entre les marchés
financiers émergents et les marchés développés par
un échantillon composé d?un ensemble de marchés existant
dans la base économique sur une période de cinq ans, cette
étude montre qu?il ya une forte intégration entre les pays
développés c à d que la corrélation entre les
marchés développés est forte, ce qui réduit le gain
de la stratégie de diversification à l?international.
2.1.3 : Le MEDAF et ces implications pour la
diversification internationale
Dans le même cadre des travaux de Markowitz (1952-1956)
portant sur l?optimisation de la richesse par le critère moyenne-
variance et de la diversification de portefeuille, Sharpe (1964), Lintner
(1965) et Mossin (1966) ont introduit le modèle d?évaluation des
actifs financiers (MEDAF). Ce modèle permet de déterminer la
rentabilité espérée des titres en fonction de leur
sensibilité au risque de marché ou risque systématique en
se basant sur l?hypothèse d?aversion au risque et choisissent des
portefeuilles efficients en terme de moyenne- variance.
En fait la relation fondamentale du modèle
d?évaluation des actifs financiers établit que les rendements
exercés d?un titre ou d?un portefeuille par rapport à l?actif
sans risque sont une fonction linéaire des rendements en excès du
marché et en supposant que les comportements des courts des actifs
financiers sont compatibles avec le concept de marché unique de
capitaux. Solnik (1974) présente une extension internationale du MEDAF.
Le modèle international d?évaluation des actifs financiers
(MEDAFI) offre un outil d?analyse permettant de spécifier empiriquement
et de manière jointe à l?évaluation de la nature
d?intégration des marchés financiers.
E(Rit) Est la rentabilité du titres i entre (t-1) et Rwt
celle du portefeuille de marché mondiale et Rft (le taux de
rentabilité de l?actifs sont risque).
2.1.4 I L5A37 CD:XX: Io:ANAeIi:AeI:DAio:Dl.
Le modèle darbitrage de Ross, et des
modèles multifactoriels en général, ont été
développées pour les portefeuilles internationaux, afin de
remédier aux critiques du modèle international
déquilibre des actifs financiers. En effet, les facteurs
intervenant dans ces modèles proviennent dune liste plus
large de facteurs. En plus des facteurs nationaux sajoutent des
facteurs internationaux ainsi que des facteurs spécifiques pour les taux
de change.
Les hypothèses sont celles des modèles
darbitrage du cadre national auxquelles sajoutent
quelques hypothèses supplémentaires liées au contexte
international. Par la suite, les investisseurs font les mêmes
anticipations sur les variations des taux de change. Ils supposent un
même modèle factoriel pour les rentabilités des actifs
exprimés dans la monnaie de leurs pays dorigine. Dans chaque
pays, il existe un actif sans risque. La rentabilité de cet actif
exprimée dans la monnaie dun autre pays. Il convient alors de
vérifier si le modèle factoriel dexplication des
rentabilités dépend ou non de la monnaie dans laquelle celles-ci
sont exprimées.
2.1 .5 : La corrélation est la diversification
internationale
La stratégie de diversification de Markowitz est
fondée sur le nombre des titres individuel d?un portefeuille et les
variances de leurs rendements respectif avec celui du portefeuille. Cette
stratégie combinait des titres ayant des rendements non
corrélés en considération des risques des titres
individuels pris séparément.
Quant à la corrélation plus la covariance est
négative, plus le risque totale du portefeuille est faible aussi, plus
le risque totale de portefeuille est faible aussi, plus le nombre des titres
inclus augmente plus le risque total démunie. En fait la
corrélation des marchés joue un rôle important dans la
diversification internationale, en général la corrélation
entre les différents marchés développés reste
positive. Dans ce même cadre en combinant des marchés
développés avec des marchés émergents il est
possible de trouves des corrélations faible ou négative, cela
permet de minimiser le risque total et d?augmenter le rendement globale d?un
portefeuille.
2.1.6 : Les gains associés à la
diversification internationale.
L?existence de cycles économiques différents
selon les zones géographiques considérées doit permettre
de diversifier le risque national et donc, de générer des gains.
Pour la plupart des auteurs, la diversification internationale de portefeuilles
permet d?optimiser le couple rentabilité / risque. Cela est
principalement dû au fait que les marchés financiers covarient
faiblement entre eux. Si on examine les coefficients de corrélation
(Campbell, 1991) entre les marchés nationaux, si la corrélation
entre les pays étudiés est faible le gain de la stratégie
de diversification à l?international est fort. Dès lors, la
diversification internationale de portefeuille permet d?atteindre des
portefeuilles présentant un meilleur couple rentabilité/risque.
Ainsi, l?étude de Campbell (1991) montre que de nombreux portefeuilles
sont dominés par le portefeuille mondial.
2.1.7 : Les avantages et les limites de la diversification
internationale.
2.1.7.1 : Les avantages de la diversification
internationale.
Dans une étude faite par Raya F (2008) depuis les
travaux de Markowitz (1952), les professionnels ont reconnu les avantages de la
diversification. Etant donnée que Solnik (1974) a montré qu?un
portefeuille diversifier à l?internationale permet une réduction
de moitié du risque pour le même nombre de titres, ce
résultat est confirmé par Compbell (1991) qui ajoute que la
diversification internationale de portefeuille présente un meilleur
couple rentabilité - risque si on étudié bien le
coefficient de corrélation entre les marchés internationaux et
montre aussi que de nombreux portefeuilles sont dominés par le
portefeuille mondial. Solnik et Login (1998) insistent sur le fait qu?en
période de crise les avantages de diversification internationale sont
moindres que dans l?état normal.
2.1.7.2.1 : Le risque de diversification
internationale
Face à la diversification internationale on distingue
plusieurs risques qui se manifestent par des pertes grâce a la variation
du taux de chaque devise de ces marchés par rapport à la monnaie
nationale de pays de l?investisseur et le risque de la volatilité.
2.1.7.1.2 : Le risque de change et le risque de
volatilité
Selon Madura (1992) le risque de change résulté
des fluctuations de différentes devises, pour améliorer la
performance du portefeuille il faut investir dans les marchés
internationaux qui sont faiblement corrélé. En fait, Kim et Al
(1994) ont étudié la notion de volatilité et ils ont
défini comme étant l?amplitude de variation constatée sur
un période donnée, et ont montré que la
libéralisation des marchés des capitaux engendre une housse de la
volatilité par contre ce résultat n?est pas vérifiable
auprès de Santis et Al (1996).
2.2 : Intégration des marchés financiers
et la diversification internationale.
Le facteur principal de la diversification internationale est
souvent attribué à la corrélation faible entre les
marchés financiers nationaux qu?entre les titres individuels d?un
méme marché. D?ailleurs ces dernières années les
marchés financiers ont subi des réformes profondes c?est d?aller
vers une plus grande ouverture, en fait ces réformes en menés
à des changements radicaux du milieu financier et ont amorcé le
processus d?intégration financiers, K Fadhlaoui (2006), de même
tels phénomène ont favorisé le rapprochement des
comportements globaux des marchés, cela est traduit par une forte
corrélation entre ces marchés, ainsi que par une grande
volatilité des actifs.
2.2.1 : intégration des marchés
financiers
Au début des années quatre vingt l?environnement
financiers international a connu des transformations est des mutations
profondes, cela et marqué par l?accélération du rythme de
circulation des biens, des services et des capitaux entre les marchés.
D?ailleurs, le secteur financier a été également
touché par la libéralisation et l?ouverture à
l?internationale des institutions financières et une orientation des
marchés financiers vers des nouveaux produits et instrument financiers.
De même ces développements sont le résultat des mouvements
de déréglementation, désintermédiation et le
décloisonnement des marchés, de plus les innovations sur le
marché financier et technologique. Quant au phénomène de
globalisation à
favorisé l?augmentation des liens entre les
différents places boursiers aussi bien en poids d?actifs
étrangers sous forme de corrélation entre leurs indices.
De méme, l?intégration financière
implique l?absence d?une différance entre les primes de risque sur les
actifs financiers. Par ailleurs deux marchés financiers sont
intégrés lorsqu?ils évoluent d?une manière
combiné c à d si la corrélation entre ces deux
marchés est élevé le gain de la diversification
internationale. La montée du degré d?intégration des
marchés financiers est expliqué dans une large mesure par le
rôle des investisseurs internationaux, qui opéré sur les
différent marchés des capitaux et accroitre les Co-mouvement des
capitaux entre les différent marchés. Bekaert et Harvey (2002),
Yi (2003), en revanche Kose, Pasard et terrones (2003) soutiennent
l?idée selon laquelle l?augmentation des liens entre les marchés
financiers n?est qu?un résultat direct de l?intégration
économique adopté par la plupart des pays. Books, Forbes et Mody
(2003) ont montré les Co-mouvement entre les marchés financiers.
Dans ce même cadre et suite à la saturation des marchés
domestiques, financiers les pays commencent par la liberté de
circulation des capitaux par la règle de 3D
[déréglementation, décloisonnement et
désintermédiation] qui met en place de la mondialisation
financiers.
2.2.1.1 : La déréglementation
monétaire et financière
Sous prisions de tout restriction juridique en fait La
déréglementation monétaire et financière, c?est
l?absence de réglementation dans le système financier
international et l?accélération de la mobilité
géographique des capitaux.
D?ailleurs, les investisseurs internationaux choisissent
?investir dans un marché bien déterminé. De plus, la
déréglementation à été
considérée comme s?inscrivant dans le cadre d?un processus de
reformes plus larges.
2.2.1.2 : Le décloisonnement
Le décloisonnement c?est l?absence des barrières
entre les pays dons le quel on distingue deux étapes. D?une part, une
ouverture entre les différents marchés internationaux tels que le
marché monétaire financier et d?autre part, une ouverture externe
par rapport au marché financier international. Quant, au
décloisonnement on distingue une meilleure rentabilité,
diversité des placements et des projets d?investissement. Grâce
à cet effet le système financier international est devenu un
méga marché.
2.2.1.3 : Désintermédiation
financiers
C?est le recours direct au marché financier sans
intermédiation bancaire. En fait, c?est la finance directe c à d
l?absence du rôle de la banque qui permet à l?institution
financière non bancaire d?accélérer au marché.
2.2.2 : l'intégration des marchés
développé
En utilisant le modèle d?évaluation des actifs
financiers MEDAF à beta conditionnel Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont
montré dans une étude d?intégration des marchés
Européens et American qu?il possède une corrélation plus
élevée et le beta conditionnel du marché Européen
avec le portefeuille du marché American qui est significativement
différent de zéro, ce qui confirme le dégré
d?intégration entre les marchés Européen et ceux de USA .
De même, Heimonen (2002) à prouvé à l?existence
d?une intégration entre les marchés des capitaux de USA ainsi que
ceux de Royaume Uni et L?Allemagne.
De plus, Baele, Grombez, et Shoors (2003) ont analysé
l?intégration des marchés financiers de l?Europe est avec ceux de
l?union Européenne ainsi qu?avec l?USA, ils trouvent une forte
corrélation entre les marchés des capitaux. Par la suite Fraser
et Oyefeso (2002) ont étudié l?interaction de court et de long
terme entre les marchés des capitaux Européens, Britannique, et
Américain, ils ont prouvé une convergence bilatérale de
court et de long terme entre ces marchés. Ils ont constaté
l?existence d?une orientation de la tendance vers les marchés des titres
d?USA, en outre ils ont examiné la convergence de long terme entre les
marchés et ont montré que sur le long terme les titres sur le
marché du Royaume Uni sont parfaitement corrélés. De
même Aggarwal et Kyaw (2005) ont examiné l?intégration au
niveau des trois marchés de capitaux de la région de NAFTA (le
marché Canadien, Américain et Mexicain) à période
avant et après la formation de cette région en 1993, le
résultat à prouvé que ces marchés sont devenus
beaucoup plus intégrés.
2.2.3 E T IFQ+.11rDtFIKI TIVP DifKpV IP 11.11ent.
Bien qu?il n?existe pas une définition précise
des marchés émergents, nous pouvons indiquer qu?ils
présentent souvent des caractéristiques communes en
matière de croissance économique, de réformes fiscales, de
processus de privatisation, de réglementation et de
libéralisation.
« .... La performance des marchés émergents
s?est relevé plus résistance en 2007 que celle des marchés
d?action des pays développés, les marchés émergents
deviennent de mois en mois dépendant des perspectives de croissance
mondiale et la principale source de risque résident aujourd?hui
d?avantage dans les pays émergents. » (Christian Deseglise,
responsable mondiale de l?activité des marchés émergents
de la gestion d?actifs de HSBC), selon lui la résidence relative des
marchés émergents est une conséquence directe des
améliorations fondamentales apporté dans ces régions au
cours des dernières années. De même des pays
émergents continuent à enregistrer une croissance robuste,
soutenue par la forte croissance de la chine, Inde et la Russie, selon le FMI,
les marchés émergents connaissent une croissance de 8% en 2007 et
de 7,6% en 2008.
En fait, Divecho, Drak et Stefek (1992), Diwan, Errunza,
Sembet (1992), Harvey (1993- 1995), Sappenfield et Speidell (1992) ont mis en
évidence les inertes des pays émergents dans une stratégie
de diversification internationale. Levine et Zervos (1996) ont prouvé
empiriquement que l?intégration financière permet à une
augmentation de la croissance économique et d?apaiser la
volatilité des rendements boursiers et de stimuler la capitalisation des
marchés financiers dans les pays émergents.
Les pays émergents ont connu une croissance
économique formidable et un développement spectaculaire de leurs
marchés a partir des années 90, cela s?explique par l?afflux d?un
grand nombre d?investisseurs sur ces marché suite aux mouvement de
libéralisation adoptés par ces pays. Cette stratégie
d?afflux d?investissement étranger a généré la
baisse de la volatilité de ces marchés émergents ainsi
qu?une réduction des coûts de capitaux et permettant ainsi le
développement d?un mouvement d?intégration aussi bien entre eux
qu?avec les marchés développés.
De même, Azman et Al (2002) ont montré en
étudient les marchés de l?Indonésie, la Malaisie, la
Thaïlande et du Singapour que ces marchés ne sont pas parfaitement
intégrés. Par conséquent il existe des
opportunités de gain sur le long terme à partir de la
diversification
internationale sur ces marchés sud et asiatique.
Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont prouvé en utilisant le modèle
d?évaluation des actifs financiers à double indices l?existence
d?une intégration régionale importante au sien des marchés
sud asiatique. De plus, Jang et Sul (2002) ont confirmé l?existence
d?une intégration importante au siens de ces marchés.
2.2.4 : Intégration des marchés
émergents - marchés développé.
Le processus de libéralisation entamé par les
pays émergents est motivé principalement par le souci de
développement de leur marché financier domestique ainsi que par
l?intégration de leur économie dans l?économie mondiale.
Cela a nécessité des changements réglementaires importants
afin de faciliter l?accès des investisseurs étrangers aux
marchés domestiques ainsi que l?accès des investisseurs
domestiques aux marchés étrangers. Pour l?investisseur
international, l?intégration des marchés génère des
opportunités de diversification beaucoup plus bénéfiques
(Bekaert et Harvey (1995)). En effet, l?ouverture de ces marchés
émergents permet à attirer les investisseurs étrangers et
à augmenter les flux des capitaux vers eux. Ainsi, on assiste de plus en
plus à une intégration de ces marchés dans le
marché international, par conséquent, la corrélation avec
les marchés développés augmente et les taux de rendement
s?affaiblissent (Bekaert et Harvey (2000), Bailey et Lim (1992). Pour les
économies émergentes, la libéralisation permet
l?augmentation du nombre des investisseurs étrangers ce qui favorise
l?allégement du défaut d?épargne de ces pays et
l?accroissement de la liquidité qui entraîne à son tour la
réduction du coüt de la dette et l?amélioration de la
rentabilité de certains projets (Henry (2000).
Defusco et al (1996) ont montré que le marché
américain et les marchés émergents du bassin pacifique, de
l?Amérique Latine et du méditerrané ne sont pas
intégrés entre eux. Cette indépendance implique
l?existence des gains à long terme à partir de la diversification
internationale sur ces marchés.
Gilmore et McManus (2002) ont examiné les liens de
court et de long terme entre le marché américain et les trois
marchés émergents de l?Europe centrale (la République
Tchèque, la Hongrie et la Pologne). Ils ont prouvé que ces
marchés ne sont pas intégrés entre eux mais à
l?inverse ils sont parfaitement segmentés. Cela signifie que ces
marchés représentent une source de diversification internationale
considérable pour l?investisseur américain. Serrano et Rivero
(2002) ont examiné les liens de long terme entre les marchés de
l?Amérique latine et le marché américain sur la
période de janvier 1995 à février 2002. Ils ont
prouvé l?existence des liens et des Co-mouvements de long terme entre
ces marchés. L?existence d?un tel Co-
mouvement implique un certain degré
d?intégration entre eux ce qui affecte négativement les gains
potentiels de long terme pour un investisseur américain sur ces
marchés. Plus généralement, l?ouverture des marchés
financiers et l?arrivée massive des capitaux étrangers ont
contribué largement au développement des marchés boursiers
émergents. En effet, à l?instant où l?intégration
des marchés développés augmente et que les gains de
diversification internationale sur ces marchés tendent à se
réduire, les marchés émergents apparaissent comme un choix
stratégique pour les investisseurs internationaux. Le potentiel
élevé qu?offrent ces marchés émergents en termes de
rendement et d?opportunité de diversification a permis la
création et le développement de nombreux fonds d?investissement
spécialisés dans ces marchés.
Gilmore et Mc Manus (2002) ont examiné de court et de
long terme entre le marché Américain et les trois marchés
émergent de l?Europe centrale (la république Tchèque, al
Hongerie et la Pologne), ils ont prouvé que ces marchés ne sont
pas intégrés entre eux.
De même, les travaux de Sappenfield et Speidell (1992)
qui ont été réalisés a partir des données
trimestrielles de mars 1986 à mars 1991, converties en dollars sur 18
marchés émergents et 18 marchés développés
en raison de l?impact mondial d?événements globaux tels le Krach
d?octobre 1987 ou l?invasion du Koweït en Aout 1990. Par ailleurs, Diwon,
Errunza et Sembet (1994) tracent les frontières efficiente construites a
partir des trois univers possibles. Marchés développés,
marchés émergents et la combinaison entre les deux en utilisant
des rendements hebdomadaire historique bien que les bénéfices de
la diversification ne soient pas aussi grands que précédemment,
ils restent très importants et conformément la
supériorité d?un portefeuille au marché
développé.
De plus, Groslambert (1998) qui étudié le cas
des pays émergents montre que les bourses de ses pays sont plus
corrélées avec la bourse des pays développés
lorsque ces derniers sont en baisse ou lorsqu?elle présente une grande
volatilité. Le gain de la diversification est lié au niveau de
l?intégration ou de la segmentation des marchés nationaux.
Par ailleurs, dans un marché parfaitement
intégré sont déterminé par des facteurs mondiaux
des risques, alors l?intégration financière des marchés
nationaux rend d?une coté la diversification international de
portefeuille plus efficace et facilitant le passage de l?un à
l?autre.
2.2.5 : Les mesures d'intégration des marchés
financiers basés sur le MEDAF
Étant donné que le modèle
d?évaluation des actifs financiers et le modèle d?arbitrage
international sont utilisés pour l?estimation des valeurs des actifs
financiers cotés sur divers marchés financiers et la validation
de l?hypothèse d?intégration des marchés financiers. Par
ailleurs l?intégration des marchés financiers s?identifie par
l?absence d?un écart entre les primes de risque pour les actifs
financiers identiques échangé sur les différentes places
financières. D?ailleurs lorsque les places financières sont
intégrées, les actifs financiers ayant la caractéristique
en terme de risque et procurent des rendements identiques. De même, si
ces marchés sont segmentés alors les actifs financiers identiques
en terme de risque et ne procurent pas nécessairement des rendements
espérés identiques s?ils ne sont pas échangé sur un
même marché national.
Dans une étude faite par K Fadlaoui (2006) Bekaert,
Harvey et Ng (2003) ont utilisé le modèle d?évaluation des
actifs financiers à beta conditionnel pour mesurer le degré
d?intégration entre les marchés européens, des USA et de
Royaume Uni, ils ont prouvé que les marchés Européens
possèdent la corrélation conditionnelle la plus
élevée avec USA, ce qui confirme leur intégration aux
marchés américains.
2.2.6 : Mesures d'intégration des marchés
financiers basés sur le coefficient de corrélation
Pour examiner l?intégration des marchés
financiers on utilise le coefficient de corrélation des rendements. En
fait, plus ce coefficient est proche de l?unité, plus l?hypothèse
d?intégration est acceptée. Etant donnée, qu?un tel
résultat signifie que les marchés incorporent l?information de
manière identique, ce qui résulte que la diversification
internationale n?est utile et il n?ya pas de gain important à cette
stratégie. Levy et Sarnat (1970) et Solnik (1974) ont identifié
les avantages à court terme de la diversification internationale.
2.2.7 : Mesures d'intégration basée sur la
Co-intégration.
Granger (1986) a étudié l?importance entre les
marchés financiers internationaux dans un contexte du non
stationnarité des séries temporelles. Dans ce même cadre
Engle et Granger (1987) ont montré qu?il ya une combinaison
linéaire de deux ou plusieurs séries non stationnaires peut
être stationnarité. Si cette combinaison existe, les séries
non stationnaires sont dites Co-intégrées.
De plus, Allen et Macdonald (1995) ont examiné les
liens entre les marchés Asiatiques et ont confirmé leur
segmentation. Gallagher (1995) n?a pas trouvé une relation de
Co-intégration entre les marchés des capitaux Irlandaise,
Allemand et de Royaume Uni, aussi Chau, Ng et Al (1994) pour les marchés
de G7, Kearney (1998) pour les marchés Irlandaises et les marchés
Européens. De même, Ratanopakorm et Sharma (2002), Manning (2002)
pour les marchés Américains, Européens et du sud Asiatique
ont trouvé une intégration significative.
2.3 : Le phénomène du Home bais
Dans la première partie de ce chapitre nous avons
essayé détudier le phénomène
dintégration/Co-intégration des marchés des
capitaux développés et émergents et ses implications sur
les gains potentiels des stratégies de diversification internationale de
portefeuille. Malgré les bénéfices qu?offre cette
dernière, les investisseurs manifestent une certaine
préférence pour les actifs domestiques.
Ce phénomène est mesuré comme suit :
Home bais = part des actifs domestiques - capitalisation de
marché de capitaux Avec ;
La part des actifs domestiques = la valeur des actions
domestiques échangées / la valeur totale des actions domestiques
et étrangères échangées.
La part des actifs domestiques est égale à la
valeur des actions domestiques échangées divisées par la
valeur totales des actions domestiques et étrangères
échangées.
La capitalisation du marché des capitaux = la
capitalisation domestique totale /la capitalisation de marché
mondiale.
Phigure1 : La diversification domestique et diversification
à l'international
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille3.png)
2.3.1 : Modèle de Merton (1987)
Lasymétrie dinformations joue un
rôle important en matière de choix de portefeuille. Effectivement,
la bonne information peut être considérée comme un avantage
naturel pour les investisseurs locaux, par rapport aux investisseurs
étrangers, cet avantage provient d?un différentiel
dinformations. Les investisseurs nationaux sont mieux
informés que les investisseurs étrangers des
spécificités du marché national.
Le modèle développé par Merton (1987) est
un modèle déquilibre de marché avec information
incomplète. Le rendement espéré dun actif
financier i est donné par léquation suivante :
Ri = r + i + âi E (Rm - r - m)
Avec :
Ri : le rendement espéré de lactif i
;
Rm : le rendement espéré du portefeuille de
marché domestique ; r : le taux dintérêt sans
risque ;
âi = cov (Ri , Rm)/var (Rm ) : le béta de
lactif i ;
i : le cout dinformation à
léquilibre pour le titre ;
m : le cout dinformation moyen pour tous les actifs au
marché
Pour les deux types de coûts informationnels, on a
choisi une fourchette de coûts aléatoires qui varient dans le
temps.
Les investisseurs sélectionnent les titres en fonction
du cout à payer pour linformation. La recherche
dinformation est couteuse et de ce fait réduit
dautant le rendement espéré du portefeuille.
Cest pourquoi un agent économique préfère
composer son portefeuille avec des actifs dont linformation est
moins coûteuse (Extension du modèle de Merton (1987),
modèle de Shapiro (2001)), cest-à-dire des actifs
nationaux et de préférence de grandes sociétés.
Ainsi, si le cout de linformation dépasse le gain de la
diversification internationale, il sera plus intéressant, en termes de
couple rendement-risque, dinvestir dans des actifs nationaux.
2.3.2 : Les avantages d'investir domestiquement
Black (1974) a développé un modèle
d?évaluation d?actifs à l?international en présence d?une
imposition sur les investisseurs étrangers. Ces taxes sont égales
pour les positions langes et à découvert mais elles varient d?un
pays à un autre, Black (1974) a prouvé que l?existence de cette
taxe qui varie d?un pays à un pays à l?autre peut expliquer la
préférence des individus aux actifs domestiques.
Stulz (1981) à critiqué l?approche de black
(1974) puisque d?après ce dernier, les investisseurs sont imposés
sur la position longue mais ils perçoivent un impôt sur les
positions à découvertes courtes. C?est la raison pour laquelle
Stulz (1981) à proposé un modèle avec des niveaux de taxes
positives quelle que soit la nature de position, il a conclu que les
investisseurs préfèrent les actifs domestiques car le gain
réalisé suite à la diversification international
n?excède pas les coûts générés par la
taxe.
Cooper et Kaplanis (1994) développent une extension du
modèle d?Adler et Dumas (1983)qui incorporent le risque d?inflation et
les coûts de transactions, les autres trouvent que la
préférence pour les titres domestiques persiste même dans
les cas où les investisseurs auraient une aversion au risque très
faible. Par ailleurs, les coûts de transactions sont trouvés par
les auteurs très élevés par rapport à ceux
effectivement observés. Cooper et Kaplanis (1994) en tirent que certes
la présence des barrières à l?investissement international
limites l?attrait de la
diversification international mais les transactions n?apportent
pas de réponses définitives l?angine du bais domestique.
Les résultats des explications institutionnelles de la
préférence pour les titres domestique sont clairement
insuffisants.
Conclusion
Dans ce chapitre on a essayé de présenter les
études qui mettent en évidence le phénomène
dintégration des marchés des capitaux
développés et émergents et ses implications sur les gains
potentiels des stratégies de diversification internationale de
portefeuille. Laccroissement de lintégration
financière favorise laugmentation des corrélations
entre les marchés nationaux ce qui réduirait les gains des
stratégies de diversification internationale.
Gilmore et McManus (2002) et Bekaert, Harvey et Ng (2003) ont
démontré que les marchés développés sont
intégrés entre eux alors que les marchés émergents
sont segmentés aussi bien entre eux quavec les marchés
développés. Cela implique que ces marchés émergents
représentent encore une source importante de diversification
internationale de portefeuilles. Bekaert et al. (2003) montrent que les
mouvements des marchés développés et
particulièrement du marché américain sont contagieux. Les
chocs sont transmis rapidement et affectent significativement les
marchés développés et les marchés
émergents.
Lexistence des différents marchés
doit permettre de diversifier le risque national et donc de produire des gains,
puisque les marchés financiers covarient faiblement entre eux. Pour la
plupart des auteurs, la diversification internationale de portefeuilles permet
doptimiser le couple rentabilité / risque. Simplement,
malgré ces gains potentiels, il ya un autre
phénomène à prendre en considération, qui peut, lui
aussi, influer les avantages de diversification internationale.
CHAPITRE 3
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille4.png)
INTEGRATION, CO-INTEGRATION DES MARCHES
FINANCIERS ET SES IMPLICATIONS SUR LE RISQUE DE LA
DIVERSIFICATION
INTERNATIONALE : UNE ANALYSE EMPIRIQUE
CHAPITRE 3
INTEGRATION, CO-INTEGRATION DES MARCHES FINANCIERS ET
SES IMPLICATIONS SUR LE RISQUE DE LA DIVERSIFICATION INTERNATIONALE : UNE
ANALYSE EMPIRIQUE
L
a stratégie de diversification de portefeuille
internationale a été adoptée par les investisseurs depuis
longtemps comme étant un outil efficace pour améliorer le
rendement de leurs portefeuilles. Elle permet d?une part de réaliser des
gains
importants en partageant le portefeuille à des actifs
étrangers et des actifs domestiques et d?autre part de réduire
son risque total. Ces bénéfices sont le résultat des
corrélations faibles entre les différents marchés
nationaux qu?entre les titres individuels d?un méme marché. En
effet, les gains de la diversification internationale sont fonction de
l?interdépendance entre les marchés nationaux. Lorsque ces
derniers ont des corrélations élevées entre eux les gains
seront faibles ou même inexistants. En revanche, lorsque les
corrélations entre les marchés nationaux sont faibles les gains
seront importants. D?ailleurs, l?accentuation des phénomènes de
déréglementation et de libéralisation des marchés
des capitaux a provoqué une forte intégration des
économies dans le monde entier. De ce fait, les indices boursiers des
marchés nationaux sont devenus de plus en plus corrélés
entre eux. Cela ne pouvait que réduire les avantages de la
diversification internationale. Dans ce contexte, on constate une diminution de
l?intérêt de la diversification internationale sur les
marchés développés à cause de leur forte
intégration ce qui pousse les investisseurs à s?orienter vers les
marchés émergents en raison de leur potentiel de croissance
élevé et de leur segmentation aussi bien entre eux qu?avec les
marchés développés.
Dans ce qui suit, nous commencerons cette étude de la
stratégie de gain de la diversification de portefeuille à
l?internationale qui est en relation avec le degré d?intégration
entre les pays. Après la définition du cadre d?analyse et la
méthodologie de notre échantillon, on va analyser graphiquement
les évolutions des indices boursiers et on estimera les statistiques
descriptives. Ensuite, nous étudions la stationnarité des
séries des indices boursiers on applique les tests ADF. Puis on va faire
le test de co-intégration.
3.1 : Méthodologie
Pour examiner la relation dinterdépendance
entre les marchés développé est les marchés
émergents et ces implication sur le gain de la diversification a
l?internationale de portefeuille an a fait recours à la théorie
de Johansen (1988) aussi aux les tests de Engle et Granger pour mesuré
le degré d?intégration entre ces marchés tout ou long de
la période d?étude du gain de la diversification à
l?internationale de portefeuille.
Le test de co-intégration consiste tout d?abord
à examiner la stationnarité des indices boursiers. En effet, la
non stationnarité de ces séries et la condition préalable
pour l?étude de la co-intégration. Dans ce même cadre il
faut que les séries doivent être intégrées de
même ordre.
D?ailleurs on a utilisé les tests de racine unitaire
pour étudier la stationnarité des séries, ensuite on a
recours à la détermination du nombre optimal du retard (F) du
modèle autorégressif (VAR) qui sert à déterminer
l?ordre maximal d?intégration, une fois la non stationnarité des
séries des indices boursiers est vérifiée et les
séries sont intégrés de même ordre, nous pouvons
appliquer le test de co-intégration de Johansen (1988)
3.1.1 : Les donnes
Ce chapitre sera consacré à la
présentation des caractéristiques et des propriétés
statistiques des séries financiers de notre étude qui porte sur
des séries temporelles d?indices boursiers de 11 marchés
développés et de 12 marchés émergents
répartis dans le tableau 1 , qui on subit des reformes et d?aller vers
une plus grande ouverture, cela provoque par l?accélération du
rythme de circulation des biens, des services et des capitaux. Le secteur
financier a été touché par la libéralisation
caractérisée par l?ouverture à l?international, ce
phénomène a favorise l?augmentation des liens entre les
différentes places boursières. Ces indices couvrent la
période 11.03.2007 jusqu?au 12.03.2010 ce qui donne 1250 observations
par marché, ils ont été extrait de la base de
donnée MCSI. Nos échantillons constitués de 23
marchés se répartissent comme suit :
LES MARCHES DES CAPITAUX ET LEURS INDICES
BOURSIERS
Zone géographique
|
Pays
|
Indice boursiers
|
Amérique du nord
|
Etats-Unis Canada
|
S&P 500 S&P / TSX
|
Amérique latine
|
Brésil
Mexique Argentine
|
Bovespa IPC
Merval
|
Europe
|
Royaume -Uni France
Allemagne
Italie
Suisse
Pays Bad
Belgique
|
FTSE 100
CAC 40
DAX MIB 30
SSMI AEX BEL20
|
Pacifique /Asie
|
Australie
Japon
Hong Kong
Chine Inde
Indonésie
Malaisie
Corée Singapour
|
All Ordinaries
Nikkei 225 Hang Seng Shang. Comp BSE 30
JKSE
KLSE
KS11
STI
|
Afrique
|
Egypte Tunisie
|
EGX/30 TUNINDEX
|
Tableau 1 : les marchés des capitaux et leurs indices
boursiers :
Les cours sont exprimés en dollar américain pour
éliminer les problèmes relatifs aux variations des taux de
change. Et ils sont utilisés pour générer des
séries de rendements financiers en utilisant la formule suivante :
= 1 -- )
Avec :
: Le rendement de lindice pour le jour t.
: Le cours de lindice en dollars pour le jour t.
: Le cours de lindice en dollars pour le jour t-1.
3.2 : Les analyses graphiques
La première description de l?évolution des cours
des indices boursiers considérés dans notre échantillon
est fournie par les représentations graphiques qui correspondent
relativement aux pays développés et aux pays émergents.
3.2.1 : Les évolutions des indices boursiers des
différentes zones étudiées
Dans un premier temps et à travers cette analyse
graphique, nous tentons de mettre en exergue la volatilité des
marchés boursiers développée qui, malgré leur
contribution a évolué jusqu?à 2010. Selon les figures des
évolutions des indices boursiers (voir annexes 1) pour la
majorité des pays étudiés, les indices boursiers sont
caractérisés par des grandes vagues de progressions brutalement
interrompues par des crises profondes et renouvelées ce qui nous
amène à supposer l?existence des relations de
co-intégration éventuelle entre les différent
marchés.
Dans le méme cadre d?évolution des indices
boursiers pour l?Amérique du nord, l?Asie et l?Australie (voir annexes
1) on constate qu?il ya une évolution commune pour la quasi-
totalité des marché étudiés sauf quelques indices
comme qui présentent une tendance baissière.
Cependant, l?évolution des indices boursiers relatifs
aux pays émergents présente une évolution partielle et
partagent la méme tendance d?évolution sur la période
d?étude on exclut quelques indices qui présentent des tendances
baissières grace à l?affection des crises (voir annexes 1).
3.3 : Estimation des statistiques descriptives
3.3.1 : Aspect théoriques du test de
normalité
Les différents tests de normalité tels que
décrits par Bourbonnais (2004, pp.230) sont au nombre de trois. Il
sagit du coefficient d?aplatissement, le coefficient
d?asymétrie et du test de Jarque -Béra.
3.3.1.1 : Le test d'aplatissement
Soit = ~ ~ ~ ~
~~
~
Le moment centré d?ordre k, le coefficient de Kurtosis
est
K= = ~
Si la distribution est normale et le nombre d?observation est
grand (n>30) alors :
K?N (0; ~ ~ ). On construit alors la statistique V2 = que
lon compare à 1.96 (valeur
~
normale au seuil de 5%).
En ce qui concerne le Kurtosis, lorsque (K) est
supérieur à zéro la distribution correspondante est
leptokurtique par rapport à une distribution normale ce qui signifie que
l?on observe beaucoup de valeurs extrêmes qui sont
éloignées de la moyenne. Cela se traduit graphiquement par des
queues de distribution relativement épaisses.
Lorsque (K) est inférieur à zéro, la
distribution correspondante est platykurtique et contient plus d?observations
moyennes qu?une distribution normale.
3.3.1.2 F Et eEIeNtEd'IN P ABE
Soit = nrii= i - )
Le moment centré dordre k, le coefficient de
Skewness.
S= =
Si la distribution est normale et le nombre
dobservation est grand (n>30) alors : S ? N (0 ; 7)
On construit alors les statistiques : V1 = que l?on compare
à 1.96 (valeur normale au
seuil de 5%).
Pour la loi normale centré réduite, le coefficient
Skewness prend la valeur zéro. Cela correspond à une distribution
symétrique.
Si S >0, la distribution correspondante est oblique à
gauche ou étalée à droite.
Si S<o, la distribution correspondante est oblique à
droite ou étalée à gauche. Si les hypothèses H0 :V1
= 0(symétrie) et V2= 0(aplatissement normal) sont
vérifiées alors V1 = 1.96 et V2=1.96 ; dans le cas contraire,
lhypothèse de normalité est rejetée.
3.3.1.3 : Test de Jarque #177; Béra
Le test de normalité de Jarque - Béra est
fondé sur les coefficients de la loi normale. La formulation est
très simple par rapport au test d?Agostine, il s?agit d?un test qui
synthétise les résultats suivants.
Si S et K obéissent à des lois normales, alors les
quantités S = ~ 4 -- 3
Suit un X2 à deux degrés de
liberté.
- Si S > on rejette l?hypothèse
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille5.png)
3.3.2 : Statistique descriptive des rendements des pays
développés. Cas de l'Amérique du nord :
Pays
|
Canada
|
Etats-Unis
|
Indice
|
S&P/TSX
|
S&P500
|
Mean
|
-8.00E-05
|
-0.000314
|
Median
|
0.000976
|
0.000796
|
Maximum
|
0.093703
|
0.109572
|
Minimum
|
-0.097880
|
-0.094695
|
Std. Dev.
|
0.015134
|
0.015498
|
Skewness
|
-0.660214
|
-0.352457
|
Kurtosis
|
10.95233
|
12.72696
|
Jarque-Bera
|
3062.330
|
4482.086
|
Probability
|
0.000000
|
0.000000
|
Sum
|
-0.090433
|
-0.355675
|
Sum Sq. Dev.
|
0.258810
|
0.271399
|
Observations
|
1250
|
1250
|
Tableau 2 : Statistique descriptive des rendements : cas de
l?Amérique du nord
|
Cas de l'Europe.
|
Pays
|
France
|
Pays Bad
|
Allemagne
|
Royaume-Uni
|
Suisse
|
Italie
|
Indice
|
CAC40
|
AEX
|
DAX
|
FTSE100
|
SSMI
|
MIB30
|
Mean
|
-0.000211
|
-0.000280
|
-2.19E-06
|
-0.000294
|
-8.31E-05
|
-0.000641
|
Median
|
0.000437
|
0.000698
|
0.001187
|
0.000233
|
0.000506
|
0.000727
|
Maximum
|
0.105946
|
0.100283
|
0.107975
|
0.093842
|
0.107876
|
0.107647
|
Minimum
|
-0.094715
|
-0.095903
|
-0.074335
|
-0.092646
|
-0.081078
|
-0.088168
|
Std. Dev.
|
0.015790
|
0.016148
|
0.015390
|
0.014605
|
0.013494
|
0.015448
|
Skewness
|
0.057303
|
-0.228170
|
0.148754
|
-0.122022
|
0.076123
|
-0.094326
|
Kurtosis
|
10.99068
|
11.78109
|
11.38429
|
11.21591
|
10.94044
|
11.31418
|
Jarque-Bera
|
3137.323
|
3798.141
|
3457.654
|
3079.643
|
2972.353
|
3152.599
|
Probability
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
Sum
|
-0.249175
|
-0.330340
|
-0.002583
|
-0.321477
|
-0.093988
|
-0.701037
|
Sum Sq. Dev.
|
0.293706
|
0.307159
|
0.279009
|
0.233147
|
0.205755
|
0.260850
|
Observations
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
Tableau 3 : Statistique descriptive des rendements : cas de
l?Europe.
|
Cas de l'Asie.
|
Pays
|
Japon
|
Hong Kong
|
Indice
|
NIKKEI
|
HANGSENG
|
Mean
|
-0.000414
|
6.99E-05
|
Median
|
0.000362
|
0.000712
|
Maximum
|
0.132346
|
0.134068
|
Minimum
|
-0.121110
|
-0.135820
|
Std. Dev.
|
0.018031
|
0.019724
|
Skewness
|
-0.455882
|
0.059662
|
Kurtosis
|
11.49515
|
11.00585
|
Jarque-Bera
|
3327.531
|
2922.249
|
Probability
|
0.000000
|
0.000000
|
Sum
|
-0.453455
|
0.076421
|
Sum Sq. Dev.
|
0.355354
|
0.425232
|
Observations
|
1250
|
1250
|
Tableau 4 : Statistique descriptive des rendements : cas de
l?Asie.
Les tableaux (2,3 et 4) regroupent les statistiques
descriptives des rendements journaliers des indices boursiers, libellés
en dollar américain, des marchés développés retenus
dans l?échantillon. Nous constatons d?après ces tableaux que pour
ces marchés, le rendement moyen le plus élevé est
attribué à la bourse de Hong Kong 6.99E-05 tandis que celui le
plus faible est enregistré ou suisse ; soit -8.31E-05. Le rendement
maximal varie de 0.134068 à Hong Kong à 0.093703 en Canada, alors
que le rendement minimal fluctue entre -0.074335 et -0.135820 au Hong Kong. En
terme de risque, la bourse de suisse possède le risque le moins
élevé ; soit 0.013494 alors que celui le plus élevé
est marqué à la bourse de Hong Kong avec un écart type de
0.019724.
En ce qui concerne l?aplatissement, les valeurs de Kurtosis
sont toutes positives, la distribution correspondante est leptokurtique par
rapport à une distribution normale, ce qui se traduit graphiquement par
des queues de distributions relativement épaisses. Les valeurs de la
statistique de Kurtosis indiquent que les séries d?indices boursiers
présentent un caractère épaisse ou leptokurtique. Les
coefficients de Skewness indiquent que la distribution est asymétrique
à gauche et rejettent la distribution normale pour la majorité
des séries. Par conséquent, l?hypothèse de
normalité n?est pas vérifié et le test de
Jarque-Béra confirme bien ce résultat et rejette
significativement la distribution normale des rendements des indices boursiers
pour tous les marchés formant cette zone.
3.3.3 : Statistique descriptive des rendements des pays
émergents.
|
Cas de l'Europe et de l'Amérique
latine.
|
pays
|
Brésil
|
Mexique
|
Argentine
|
Belgique
|
Indice
|
BOVESPA
|
IPC
|
MERVAL
|
BEL20
|
Mean
|
0.000505
|
0.000426
|
-0.000176
|
-0.000344
|
Median
|
0.001386
|
0.001557
|
0.001036
|
0.000383
|
Maximum
|
0.136766
|
0.104407
|
0.104316
|
0.092213
|
Minimum
|
-0.120961
|
-0.072661
|
-0.129516
|
-0.083193
|
Std. Dev.
|
0.021347
|
0.016467
|
0.020048
|
0.014474
|
Skewness
|
-0.045771
|
0.120414
|
-0.715403
|
-0.297856
|
Kurtosis
|
8.297069
|
7.568743
|
8.843892
|
9.397980
|
Jarque-Bera
|
1378.807
|
954.1235
|
1650.038
|
2028.323
|
Probability
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
Sum
|
0.595092
|
0.466160
|
-0.192161
|
-0.405414
|
Sum Sq. Dev.
|
0.536829
|
0.296367
|
0.439321
|
0.246776
|
Observations
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
Tableau 5 : Statistique descriptive des rendements des pays
émergents : l?Europe et de l?Amérique latine.
Le tableau (5) regroupe les statistiques descriptives des
rendements journaliers des indices boursiers, libellés en dollar
américain, des marchés émergents retenus dans
l?échantillon. On constate d?après ce tableau que pour les
marchés de l?Amérique Latine et l?Europe, le rendement moyen le
plus élevé est attribué à la bourse du
Brésil 0.000505 tandis que celui le plus faible est enregistré en
Belgique, soit -0.000344 .Le rendement maximal varie de 0.136766 ou
Brésil à 0.092213 en Belgique alors que le rendement minimal
fluctue entre -0.083193 et -0.129516. En terme de risque, la bourse de Belgique
possède le risque le moins élevé ; soit 0.014474, alors
que celui le plus élevé est marqué à la bourse du
Brésil avec un écart type de 0.021347.
En ce qui concerne l?aplatissement, les valeurs de Kurtosis
sont toutes positives, la distribution correspondante est leptokurtique par
rapport à une distribution normale, ce qui se traduit graphiquement par
des queues de distributions relativement épaisses. Les valeurs de la
statistique de Kurtosis indiquent que les séries d?indices boursiers
présentent un caractère épaisse ou leptokurtique. Les
coefficients de Skewness indiquent que la distribution est asymétrique
à gauche et rejettent la distribution normale pour la majorité
des séries. Par conséquent, l?hypothèse de
normalité n?est pas vérifié et le test de
Jarque-Béra confirme bien
ce résultat et rejette significativement la distribution
normale des rendements des indices boursiers pour tous les marchés
formant cette zone.
|
&as de l'Asie.
|
Pays
|
Australie
|
Inde
|
Indonésie
|
Malaisie
|
Singapour
|
Corée
|
Chine
|
Indice
|
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
JKSE
|
KLSE
|
STI
|
KS11
|
SHANGCOMP
|
Mean
|
3.89E-05
|
0.000603
|
0.000517
|
0.000188
|
7.11E-05
|
-1.98E-05
|
0.000490
|
Median
|
0.000608
|
0.001292
|
0.001433
|
0.000521
|
0.000659
|
0.001218
|
0.001100
|
Maximum
|
0.053601
|
0.159900
|
0.076234
|
0.198605
|
0.075305
|
0.112844
|
0.099603
|
Minimum
|
-0.085536
|
-0.116044
|
-0.109539
|
-0.192464
|
-0.092155
|
-0.111720
|
-0.092562
|
Std. Dev.
|
0.012985
|
0.019706
|
0.016876
|
0.012622
|
0.014966
|
0.016532
|
0.020715
|
Skewness
|
-0.574728
|
0.082154
|
-0.691188
|
-0.286785
|
-0.326623
|
-0.574911
|
-0.287002
|
Kurtosis
|
7.856285
|
8.887322
|
9.079709
|
110.8972
|
8.304624
|
10.13952
|
5.652760
|
Jarque-Bera
|
1223.446
|
1704.026
|
1771.998
|
530687.0
|
1346.162
|
2383.771
|
347.1517
|
Probability
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
Sum
|
0.045909
|
0.711224
|
0.566145
|
0.205810
|
0.080438
|
-0.021641
|
0.554468
|
Sum Sq. Dev.
|
0.198628
|
0.457431
|
0.311284
|
0.174120
|
0.253110
|
0.298741
|
0.484908
|
Observations
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
1250
|
Tableau 6 : Statistique descriptive des rendements des pays
émergents : cas de l?Asie.
D?après les résultats présentés
dans, Tableau (6) les rendements journaliers varient entre 7.11E-05 en
Singapour et -1.98E-05 en Corée. Par ailleurs la volatilité des
marchés de capitaux est mesurée par l?écart-type des
rendements des indices boursiers. En effet, le marché le moins
risqué est le marché de Malaisie soit 0.012622 et le
marché le plus risqué est le marché de la Chine ave un
écart type de 0.020715 .Les coefficients d?asymétrie,
généralement significativement négatifs, indiquent que la
distribution des séries est étalée vers la gauche, ce qui
illustre bien le fait qu?un choc négatif a plus d?impact qu?un choc
positif. On signale également le caractère leptokurtique des
séries des rentabilités étudiées. En effet, le
Kurtosis est positif (k >3) pour toutes les séries. L?excès de
Kurtosis témoigne d?une probabilité des points extrêmes,
donc une distribution à queue épaisse. Les résultats
montrent une certaine réserve quant à la validité de
l?hypothèse normalité. Cette conclusion est renforcée par
le test de Jaque Bera.
|
&as de l'Afrflue.
|
pays
|
Tunisie
|
Egypte
|
indice
|
TUNINDEX
|
EGX30
|
Mean
|
0.001005
|
0.000880
|
Median
|
0.000840
|
0.000000
|
Maximum
|
0.360477
|
1.076939
|
Minimum
|
-0.357687
|
-1.068751
|
Std. Dev.
|
0.016158
|
0.049646
|
Skewness
|
0.042204
|
0.406581
|
Kurtosis
|
432.2329
|
373.2062
|
Jarque-Bera
|
8682350.
|
6732743.
|
Probability
|
0.000000
|
0.000000
|
Sum
|
1.137040
|
1.037575
|
Sum Sq. Dev.
|
0.295039
|
2.903405
|
Observations
|
1250
|
1250
|
Tableau 7 : Statistique descriptive des rendements des pays
émergents : cas de l?Afrique.
D?après, le tableau (7) le rendement le plus important
a été réalisé sur le marché Tunisien avec
une moyenne de 0.001005, et le plus faible en Egypte avec une moyenne de
0.000880 ; le marché de Tunisien est le moins volatil avec un
écart -type de 0.016158, en revanche, le marché le plus
risqué est celui de l?Egypte 0.049646 vu qu?il réalise
l?écart-type le plus élevé. Les distributions de
rendements présentent toutes, une asymétrie (Skewness)
négative, les distributions des rendements des indices étant
étirés vers la gauche ou oblique à droite, le coefficient
daplatissement (Kurtosis) est positif et supérieur à
trois quel que soit le pays étudié, la distribution
correspondante est leptokurtique par rapport à une distribution normale,
ce qui se traduit graphiquement par des queues de distribution relativement
épaisses.
3.3.4 : Étude des corrélations des rendements
relatives aux pays de notre échantillon
La théorie standard de la diversification est
fondée sur le nombre de titres individuels d?un portefeuille et les
covariances de leurs rendements respectifs avec celui de portefeuille. Pour
minimiser le risque sans sacrifier le rendement, la stratégie consiste
à combiner des titres ayant des rendements non corrélés.
Plus le nombre de titres appartenant au portefeuille augmente, plus le risque
total diminue. Aussi, plus la covariance est négative, plus le risque
total du portefeuille est faible. En effet, des études empiriques
montrent que les corrélations des titres d?un pays peuvent
évoluer soit à la hausse où à la baisse. Par
contre, au niveau international, on peut toujours choisir d?investir dans des
pays dont les marchés sont relativement indépendants. Par
ailleurs, on va effectuer une étude sur la variation des
corrélations dans le temps. Pour ce fait, on va étudier la
variation de degré de dépendance entre les différents
pays. Le degré d?indépendance est mesuré par le
degré de corrélation intermarché.
3.3.4.1 : Corrélations des rendements relatives
aux Pays développés
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille11.png)
zone de l'Amérique du Nord
Le tableau (17 Annexe 2) présente les coefficients de
corrélation entre les rendements des indices boursiers des
marchés développés de zone de l?Amérique du
Nord. Ce tableau, montre que les marchés
développés sont fortement corrélés entre eux.
Exemple la Canada enregistre une corrélation de 0.34788 avec
l?Etats-Unis.
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille12.png)
zone de l'Europe
Le tableau (16 Annexe 2) présente les coefficients de
corrélation entre les rendements des indices boursiers des
marchés de l?Europe. Ce tableau, montre que les marchés
développés sont fortement corrélés entre eux. On
remarque que la Suisse enregistre une corrélation de 0.61690 avec le
marché de pays Bad. La France enregistre la plus grande
corrélation avec les pays Bad. En ce qui concerne l?Allemagne, elle est
positivement corrélée avec l?Italie.
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille13.png)
3.3.4.2 : Corrélations des rendements relatives
aux Pays émergents zone de l'Asie.
Le tableau (18 Annexe 2) présente la matrice des
corrélations des rendements journaliers des indices boursiers des
marchés émergents de la zone d?Asie. On observe que les
corrélations entre les différents pays sont positives et
moyennement élevées sauf quelques exceptions.
La lecture du tableau montre que la corrélation la plus
élevée entre le Japon et l?Indonésie. Pour le couple
Corée, chine on enregistre une corrélation de 0.10038 .Il existe
une corrélation faible entre la chine et Hong Kong, aussi entre
Corée et Malaisie.
Les corrélations entre les différents
marchés boursiers, tels qu?elles figurent sur le tableau (20Annexe 2)
sont assez faibles, soit de l?ordre de 0.0005490 pour le couple l?Egypte et la
Tunisie.
3. 4 : Etude de la stationnarité des
séries des indices boursiers : Test de racine unitaire.
3.4.1 : Aspect théorique des tests de
stationnarité
Avant d?effectuer les tests de Co-intégration, il faut
d?abord tester la stationnarité des séries de base des indices
boursiers. Pour cela, on utilisera les tests Ducky- Fulle simple, Ducky- Fuller
Augmenté (APF), le test de Philips- Perron (PP) et le test de Philips,
Perron, Kwiatkowski, Schnidt et Shin (KPSS).
Les résultats montrent que les indices boursiers en
niveau sont non stationnaires. En effet, les valeurs de la statistique ADF et
celui de PP, en niveau, sont toutes supérieures à leurs valeurs
critiques pour les divers seuils de significativité. En revanche, en
passant à la différence première, toutes ces valeurs
deviennent inférieures aux différents seuils critiques, prouvant
ainsi la stationnarité de toutes les séries d?indices boursiers
en différences premières et par conséquent elles sont
intégrées d?ordre un.
3.4.1.1 : Test de Ducky- Fuller simple.
Le test de Ducky - Fuller (1979) est le test de racine
unitaire ou de non stationnarité qui permet de savoir si une
série est stationnaire ou non aussi permet de déterminer la bonne
manière de stationnarité sous les hypothèses suivantes
:
Processus non stationnaire, il correspond à une de ces
formes de non stationnarités.
(1)
(2)
(3) +bt + C +
Ou = 1
: < 1 Processus non stationnaire, il correspond à une
de ces formes de non stationnarité.
(1) D -- )
(2) D -- )
(3) D -- ) t
Ou -- ) = 0
3.4.1.2 : Test de Ducky #177; Fuller Augmente
Dans le test Ducky - Fuller que nous avant étudier le
processus est hypothèse un bruit blanc. En fait ce test permet de
prendre en compte l?autocorrélation possible de la série
différenciée via une correction en utilisant les valeurs
retardées. D?ailleurs, les hypothèses du test de Ducky- Fuller
augmenté se définissent de la falcon suivante :
Processus non stationnaire, il correspond à une de ces
formes de non stationnarité < 1
avec une estimation de moindre carrée ordinaire (MCO).
(1) A ~ ~
~ A _
(2) D ~ ~
~ ~ _ ~
(3) D ~ ~
~ A _ b ~
Ou , = 1 et ~ iid (0,a ~)
: < 1
3.4.1.3 : Test de Philips - perron (PP)
Le test de Philips - Perron (1988) permet de prendre en compte
à la fois l?autocorrélation et
l?hétéroscidasticité des erreurs. En fait il s?agit d?une
correction non paramétrique, il est plus robuste vis-à-vis les
erreurs de spécification, de plus il est moins précis que le test
ADF.
Le déroulement du test de Philips - Perron s?effectue en
quatre étapes, commençant par :
1- Estimations par la méthode de moindre carrée
ordinaire
2- La détermination de la variance
3- L?estimateur du facteur correctif appelé aussi
variance de long- terme
= ~ = - ~ =
4- Calcule de statistique de Philips et Perron avec
~
K=
3.4.1.4 : Le test de Philips, Perron, Kwiatkowski,
Schnidt et Shin (KPSS).
Le test de KPSS (1992) est testé sous
l?hypothèse nulle d?absence de racine unitaire contre l?hypothèse
de racine unitaire. D?ailleurs Kwiatkowski et al (1992) décompose la
série en une somme déterministe : d?un marché
aléatoire et d?un terme d?erreur stationnaire sous l?hypothèse
nulle et la variance de marché égal à zéro.
Puis - que est stationnaire, autour d?une tendance sous
= 0 alors est stationnaire autour d?un niveau sous
3.4.1.4 : Analyse des tests de racine unitaire.
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille16.png)
Analyse de test de Ducky- Fuller simple pour les pays
développés
|
Statistique ADF
|
Pays
|
Indice boursiers
|
ADF en niveau
|
ADF en différence première
|
Etats-Unis
|
S&P 500
|
-1,994
|
-60,791
|
Canada
|
S&P / TSX
|
-2,401
|
-58,175
|
Royaume -Uni
|
FTSE 100
|
-1,826
|
-60,494
|
France
|
CAC 40
|
-1,816
|
-6,937
|
Allemagne
|
DAX
|
-1,660
|
-58,957
|
Italie
|
MIB 30
|
-1,764
|
-58,966
|
Suisse
|
SSMI
|
-1,910
|
-58,813
|
Pays Bad
|
AEX
|
-1,604
|
-6,253
|
Australie
|
All Ordinaries
|
-1,467
|
-59,636
|
Japon
|
Nikkei 225
|
-2,276
|
-59,210
|
Hong Kong
|
Hang Seng
|
-1,850
|
-54,177
|
Tableau 8 : résultats du test ADF pour les pays
développés.
L?annexe (3) relatif au test ADF au sein de la zone
développée fait ressortir une valeur de t statistique
inférieure en valeur absolue aux valeurs critiques pour les trois seuils
(1%,5% et 10%). Les indices boursiers de ces pays sont donc non stationnaires.
En conséquence à cette non stationnarité, nous passons du
test niveau à la première différenciation (variation de
l?indice). Les t statistiques des pays de l?Europe de l?Est
étudiés sont largement supérieures en valeur absolue aux
différents seuils critiques déjà
énumérés. Nous concluons que les indices relatifs à
ces pays sont intégrés d?ordre (1) ou I(1).
Le test PP suit la même procédure que le test
ADF. Nous retrouvons les mêmes résultats que ceux du paragraphe
précédent. Le test ADF et le test PP montrent que notre variable
étudiée, soit lindice ne devient stationnaire que
suite à une première différenciation. Notre variable est
intégrée dordre 1 dans les deux cas ci
précédemment étudiés. Le test KPSS se base sur le
test de multiplicateur de Lagrange (LM) fondé sur
lhypothèse nulle de stationnarité. Nous rejetons H0 si
cette statistique est supérieure aux valeurs critiques.
|
Analyse de test de Ducky- Fuller simple pour les pays
émergents.
|
|
Statistique ADF
|
Pays
|
Indice boursiers
|
ADF en niveau
|
ADF en différence première
|
Brésil
|
Bovespa
|
-1,544
|
-56,534
|
Mexique
|
IPC
|
-2,058
|
-60,195
|
Argentine
|
Merval
|
-1,961
|
-58,934
|
Egypte
|
EGX/30
|
-1,944
|
-34,813
|
Tunisie
|
TUNINDEX
|
-2,335
|
-49,653
|
Chine
|
Shang. Comp
|
-1,862
|
-42,844
|
Inde
|
BSE 30
|
-1,922
|
-60,479
|
Indonésie
|
JKSE
|
-2,013
|
-56,170
|
Malaisie
|
KLSE
|
-1,698
|
-59,871
|
Corée
|
KS11
|
-2,054
|
-60,648
|
Singapour
|
STI
|
-1,612
|
-60,364
|
Belgique
|
BEL20
|
-1,562
|
-6,540
|
Tableau 9 : résultats du test ADF pour les pays
émergents.
L?annexe (3) relatif au test ADF au sein de la zone
émergente fait ressortir une valeur de t statistique inférieure
en valeur absolue aux valeurs critiques pour les trois seuils (1%,5% et 10%)
à l?exception de la chine et linde qui furent stationnaires
en niveau. Les indices boursiers de ces pays sont donc non stationnaires. En
conséquence à cette non stationnarité, nous passons au
test en niveau à la première différenciation (variation de
lindice). Les t statistiques des pays de lEurope de
lEst étudiés sont largement supérieurs en
valeur absolue aux différents seuils critiques déjà
énumérés. Nous concluons que les indices relatifs à
ces pays sont intégrés dordre (1) ou I(1).
Le test PP suit la même procédure que le test
ADF. Nous retrouvons les mêmes résultats (Annexes 3) que ceux du
paragraphe précédent. Le test ADF et le test PP montrent que
notre variable étudiée, soit l?indice ne devient stationnaire que
suite à une première différenciation. Notre variable est
intégrée dordre 1 dans les deux cas ci
précédemment étudiés. Le test KPSS se base sur le
test de multiplicateur de Lagrange (LM) fondé sur l?hypothèse
nulle de stationnarité. Nous rejetons H0 si cette statistique est
supérieure aux valeurs critiques.
3.5 : Les tests de co-intégration
Les modèles de co-intégration, en faisant appel
soit à la méthode d?Engle et Granger (1987), soit à la
méthode de Johansen (1988,1991). Dans ce qui suit nous souhaiterons
savoir si nos séries sont co-intégrées ou pas, et donc, si
respectivement elles présenteront la même racine unitaire ou des
racines unitaires multiples. « Rappelons que les séries non
stationnaires peuvent à court terme présenter des fluctuations
importantes. Mais à long terme, une combinaison linéaire les unit
pour une relation d?équilibre de long terme La présence d?une ou
de plusieurs relations de co-intégration nous autorise donc à
aller plus loin et d?estimer un certain modèle à correction
d?erreur permettant de spécifier la dynamique de court terme des
variables en présence en vue datteindre l?équilibre
stable de long terme » Aloui et al (2006) pp ; 214. L?objectif de
létude des relations de co-intégration est
dexpliquer la relation dun point vue économique
entre les diverses séries. Notons cependant que deux séries non
stationnaires sur le long terme peuvent être co-intégrées.
Pour estimer la co-intégration des séries sur le long terme, nous
pouvons procéder à un test de co-intégration multi
varié, ou encore appelé test de Johansen (1988) et/ ou à
un test de co-intégration bi varié d?Engle et Granger (1987) ; et
sur le court terme, nous procéderons au test du VECM (Modèle de
Vecteur à Correction d?Erreur)
3.5.1 : Test de Co-intégration multi- variée
de Johansen (1988) :
Dans le cas dutilisation de plusieurs séries,
nous utiliserons le test de co-intégration multi varié de
Johansen(1988).
L?idée sous-jacente à la théorie de
co-intégration, comme le souligne Engle et Granger(1987) est qu?une
combinaison linéaire de deux séries non stationnaires pourrait
être stationnaires, Nous parlons alors de relation de
co-intégration qui pourrait être interprétée comme
une relation d?équilibre de long terme entre les séries
co-intégrées. Pour tester la présence de
cointégration, nous adopterons lapproche multi variée
de la co-intégration développée par Johansen (1988).Pour
ce faire, nous considérons le modèle à correction d?erreur
suivant :
ÄÕt=Â0+ Â1 ÄÕt-1+ Â2
ÄÕ t-2+Âp-1ÄÕt-p+1+ÐYt-1+ît
Oü
Õt: un vecteur contenant N variables toutes I(1) et
Ði (i=1..., p) sont de taille (N*N). Pour que léquation
soit équilibrée, une condition nécessaire est que Ðp
Õt-p soit I(0) soit alors. Ðp = -âá
á: est une matrice (r, N) qui contient r vecteurs
dintégration (r le rang de co-intégration) â:
est une matrice (N,r) qui contient le poids associé à chaque
vecteur de co-intégration Sil existe r relations de
co-intégration, alors
Rg (Ðp) = r
3.5.2 : Test de co-intégration de Granger
Deux étapes fondamentaux pour saisir le test de
co-intégration de deux séries suivant le test d?Engle et Granger,
d?une part on teste l?ordre de d?intégration des variables, dans ce
méme cadre il faut que les séries doivent être
intégrées de même ordre. Pour être
co-intégré on détermine le degré
d?intégration selon le test ADF.
D?autre part nous estimerons la relation long terme, pour cela
le résidu de la régression doit être stationnaire afin
d?accepter la relation de stationnarité selon le test ADF. En fait
lorsque les séries sont non stationnaires en niveau, et en
procédant à la différenciation première. Ses
séries peuvent devenir stationnaires et donc intégrées
dordre 1 lors de la relation de cette condition.
3.5.3 : Détermination du nombre optimal de
retard
Pour analyser l?impact de l?intégration
financière sur le gain de la diversification internationale, il est
nécessaire de savoir si les marchés convergent entre eux,
d?où la nécessité d?étudier s?éparament la
convergence des marchés des pays développés et celle des
marchés émergents, par la suite nous analyserons la convergence
des marchés développés et émergents à la
fois. Or pour pouvoir étudier l?intégration des marchés il
est nécessaire de déterminer le nombre de retard optimal du
modèle autorégressif VAR : les critères AIC et VAR ont
été utilisés.
3.5.4 : Modélisation VECM et test de
causalité au sens de Granger
Engle et Granger(1987) ont démontré que toutes
les séries co-intégrées peuvent être
représentées par un VECM. D?abord, nous essayerons de
synthétiser les grandes étapes relatives à l?estimation
d?un modèle de VECM :
1. Détermination du nombre de retards p du modèle
en niveau ou en log selon les critères AIC ou SC ;
2. Estimation de la matrice Ð et tests de Johansen
permettent de connaitre le nombre de relation de co-intégration ;
3. Identification des relations de co-intégration,
c'est-à-dire les relations de long terme entre les variables ;
4. Estimation par la méthode du maximum de
vraisemblance du modèle vectoriel à correction derreur
et validation à laide du test usuel : significativité
des coefficients et vérification que les résidus sont des bruits
blancs (test de Ljung-Box).
En suite, nous pouvons vérifier que
lestimation par les MCO de la relation de long terme fournit des
résultats à peu près similaires(en termes de
significativité et de valeurs estimées des coefficients) à
ceux obtenus par la méthode du maximum de
vraisemblance.
3.5.5 : Test de causalité ou sens de Granger
Soit le modèle VAR (P) pour le quelle les variables t sont
stationnaire
Y
Y
Ce test consiste à poser ces deux hypothèses :
Ne couse pas si l?hypothèse est acceptée c à
d :
4
Ne couse pas si l?hypothèse est acceptée c à
d :
3.5.6 : Le modèle de correction des erreurs.
Si on a deux séries co-intégrées ( - - ~ --
> I(0))
On peut estimer le modèle à correction d?erreurs
(MCE) suivant : ~y ~ - - ~
Avec < 0
On peut remarquer que le paramètre doit être
négatif pour qu?il y ait un retour de à sa valeur
d?équilibre de long terme qui est ( - ~ )
En fait, lorsque est supérieur à ( - ~ )
Il n?ya pas une force de rappel vers l?équilibre de long
terme si a
Le MCE permet de modéliser conjointement les dynamiques de
court terme. La dynamique de court terme s?écrit :
y
3.6 : Analyse de la Co-intégration
La détermination du nombre de retard (P) du
modèle vectoriel autorégressif VAR(P) est une étape
importante dans notre étude empirique sur l?intégration des
marchés. Pour le cas des marchés développés, on a
un VAR dordre 4 puisque les critères AIC (Akaike information
criterion) et SC (Schwarz criterion) sont minimaux pour un P = 4. Pour
ce qui concerne les pays émergents on a aussi un VAR d?ordre 4 puisque
les critères sont nominaux pour un P= 4
3.6.1 : Détermination du nombre optimal de
retard
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille18.png)
Lors de la détermination du nombre optimal de retard on va
ce limité au VAR (4). Zone de l'Afrique
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
28.522
|
28.447
|
28.279
|
28.245
|
SC
|
28.547
|
28.488
|
28.336
|
28.319
|
Tableau n°10 : nombre optimal de retard du modèle
VAR : Zone de l?Afrique
D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard
qui minimise les critères « Al C » et « SC » est P
=4
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille19.png)
Zone de l'Europe
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
84.418
|
83.89
|
83.63
|
84.328
|
SC
|
84.648
|
84.328
|
84.269
|
84.164
|
Tableau n°11 : nombre optimal de retard du modèle
VAR : Zone de Europe
D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard
qui minimise les critères « Al C » et « SC » est P
=4
|
Zone de l'Amérique du Nord
|
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
30.42
|
30.149
|
30.042
|
29.97
|
SC
|
30.44
|
30.19
|
30.10
|
30.05
|
Tableau n°12 : nombre optimal de retard du modèle VAR
: Zone de l?Amérique du Nord
D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard
qui minimise les critères « Al C » et « SC » est P
=4
|
Zone de l'Asie
|
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
133.77
|
133.07
|
132.789
|
132.54
|
SC
|
137.14
|
133.77
|
133.826
|
133.91
|
Tableau n°13 : nombre optimal de retard du modèle VAR
: Zone de l?Asie
D?après ce tableau, on constate que le nombre de retard
qui minimise les critères « AIC » et « SC » est P
=4
3.6.2 : Test de Co-intégration.
Zones géographiques
|
Nombre de relation de Co-intégration
|
Amérique de nord
|
1
|
Europe
|
4
|
Asie
|
7
|
Afrique
|
1
|
Tableau 14 : Résultat du test de Co-intégration.
Le test de Co-intégration multi - variée pour
l?indice S&P 500 et les autres indices boursiers des différents
marchés de notre échantillons sera effectué pour un nombre
de retard .Les résultats montrent qu?il ya une relation de
co-intégration (Annexe 4) cela s?explique par les réformes mises
en place de ces dernières années dans les différents
marchés et la levée des restrictions visons la globalisation des
marchés.
D?ailleurs la détermination des tests de
causalité au sens de Granger a montré que les couples des
marchés S&P 500 et les différents marchés
présente des relations bidirectionnelles sur le long terme, donc tout
choc se répercutera sur chaque pays, ainsi le recours au test de
causalité de Granger nous nous permet d?identifier le sens de la
causalité entre ces marchés Cointégrés. En fait,
ces diverses relations de Co-intégration peuvent avoir une autre
explication qui prend origine de crises financières où on peut
parler d?une augmentation de l?intégration financière pour effet
de Co-intégration.
3.6.3 : L'analyse du test de causalité
On dit que la variable X couse au sens de Granger la variable
Y si et seulement si la connaissance du passé de X améliore la
prévision de Y à tout horizon. Dans notre étude on va
tester le lieu de causalité entre le rendement de l?indice S&P 500
et les autres rendements des indices boursiers, pour ce faire on va comparer la
probabilité obtenue ci-dessous de test de Granger par rapport à
5%.
En comparent par exemple l?indice S&P 500 et l?indice SPTSX
on déduit les résultats suivants.
Pairwise Granger Causality Tests Date: 05/30/11 Time: 12:29
Sample: 1 1249
Lags: 2
Null Hypothesis: Obs F-Statistic Prob.
SPTSX does not Granger Cause SP500 1126 2.68042 0.0690
SP500 does not Granger Cause SPTSX 43.2690 8.E-19
Si P < 0,1 on rejette donc il ya un sens de
cousalité
Sens de causalité
|
causalité
|
SPTSX ? SP500
|
Oui
|
SP500 ? SPTSX
|
Oui
|
Tableau 15 : Résultat du test decausalité : cas de
l?Amérique du Nord.
3.6.4 : L'impact de l'intégration sur la
diversification internationale de portefeuille.
Le test de Co-intégration de Johansen entre les
marchés développés tel que présenté sur
l?annexe 4 montre labsence de relation de Co-intégration au
seuil critique de 5%. En effet, la trace statistique est inférieure aux
deux valeurs critiques.
Cette absence de Co-intégration
sinterprète par labsence de relation
déquilibre stable de long terme entre ces
différentes bourses. Cela signifie donc de la segmentation de ces
marchés
entre eux sur le long terme. Par ailleurs, les tests de
Co-intégration de ces marchés asiatiques avec les marchés
développés indiquent labsence des relations de
Co-intégration ce qui se traduit par leurs segmentations avec les
marchés développés. Dans son article Kais Fadhlaoui, 2006,
p 19 explique que : « Ces résultats peuvent être
expliqués par, dune part, lapparition
récente de ces marchés qui sont déjà dans le stade
primaire de leur développement et dautre part, par les
faibles relations des économies de ces pays entre eux et avec les
marchés développés. »
L?annexe 4 montre que le test de Co-intégration pour
les marchés émergents indique lexistence
dune relation de Co-intégration au seuil de 5%. Cela implique
que ces marchés évoluent dans la même tendance à
long terme. Cette indépendance peut être liée aux effets de
long terme de la crise financière qui a frappée ces
marchés. Le test de Co-intégration entre les marches de l?Europe
montre quil existe une relations de Co-intégration entre ces
marchés. En revanche, les tests de Co-intégration des
marchés développés révèlent la
présence d?une relations de Co-intégration entre la
France-allemagne, Royoume -Uni - Suisse, Italie - pays Bad. Le test de
Co-intégration pour les marchés émergents de l?Afrique
montre qu?il y a une relation de Co-intégration.
Conclusion
Dans ce chapitre nous avons détudié
le phénomène dintégration/Co-intégration
des marchés des capitaux développés et émergents et
ses implications sur les gains potentiels des stratégies de
diversification internationale de portefeuille. L?accroissement de
lintégration financière favorise l?augmentation des
corrélations entre les marchés nationaux ce qui réduirait
les gains des stratégies de diversification internationale. Nos
résultats prouvent que les marchés développés sont
intégrés entre eux grâce à la forte
corrélation ce qui laisse les investisseurs chercher des autres pays
pour diversifier leurs portefeuilles qui représentent une faible
corrélation pour augmenter le gain de la diversification. Alors que les
marchés émergents sont segmentés aussi bien entre eux
qu?avec les marchés développés. Ces conclusions sont
conformes avec la majorité des études menées sur le
thème de l?intégration des marchés financiers tel que
celle de Gilmore et McManus (2002) et Bekaert, Harvey et Ng (2003), Fadhlaoui K
(2006). Cela implique que ces marchés émergents
représentent encore une source importante de la diversification
internationale de portefeuille.
D?ailleurs, malgré les recommandations de la
théorie financière incitant à la diversification
internationale, les investisseurs ne diversifient que partiellement leurs
portefeuilles à linternational et quils ont une
certaine préférence pour les actifs domestiques.
CONCLUSION GENERALE
CONCLUSION GENERALE
T
out au long de ce mémoire on a étudié les
modèles d?évaluations des actifs financiers, la diversification
et l?impact de l?intégration des marchés des capitaux
développés et émergents et ses implications sur les gains
potentiels des stratégies de
diversification internationale de portefeuille.
Théoriquement on a étudié le modèle
d?évaluation des actifs financiers et suite au critiques et aux
anomalies adressées à ce modèle on a testé d?autres
versions comme le MEDAFI (le modèle d?évaluation des actifs
financiers à l?international), le MEDAF conditionnel, l?APT et le
modèle de Fama French (1993), le but c?est le portefeuille optimal pour
un investisseur qui cherche à maximiser leurs rentabilités.
D?ailleurs, pour assurer cette rentabilité il faut diversifier le
portefeuille par des titres domestiques sur le plan national, mais à
l?international ça dépend de la corrélation entre les
marchés financiers. Alors que L?accroissement de l?intégration
financière favorise l?augmentation des corrélations entre les
marchés nationaux ce qui réduirait les gains des
stratégies de diversification internationale. Nos résultats
prouvent que les marchés développés sont
intégrés entre eux alors que les marchés émergents
sont segmentés aussi bien entre eux qu?avec les marchés
développés. Ces conclusions sont conformes avec la
majorité des études menées sur le thème de
l?intégration des marchés financiers tel que celle de Gilmore et
McManus (2002) et Bekaert, Harvey et Ng (2003). Cela implique que ces
marchés émergents représentent encore une source
importante de diversification internationale de portefeuille. Cependant, il
faut tenir compte des transmissions des chocs surtout suite aux nombreuses
crises qui ont frappé les marchés financiers ces dernières
années.
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![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille22.png)
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ANNEXES
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille23.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille24.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille25.png)
075
000
12
07
Annexes 1 : L'évolution des indices bousiers des
différentes zones étudiées
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille26.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille27.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille28.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille29.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille30.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille31.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille32.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille33.png)
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille34.png)
Annexe 2 : Corrélations des rendements des pays
développé.
|
Zone de l'Europe
|
|
BE20
|
CAC40
|
AEX
|
DAX
|
FTSE100
|
SSMI
|
MIB30
|
BE20
|
1
|
0.6341
|
0.6591
|
0.2998
|
0.5409
|
0.5317
|
0.1917
|
CAC40
|
|
1
|
0.9480
|
0.2508
|
0.6580
|
0.6218
|
0.2274
|
AEX
|
|
|
1
|
0.2356
|
0.6669
|
0.6169
|
0.2478
|
DAX
|
|
|
|
1
|
0.3337
|
0.2472
|
0.2371
|
FTSE100
|
|
|
|
|
1
|
0.680
|
0.1934
|
SSMI
|
|
|
|
|
|
1
|
0.2332
|
MIB30
|
|
|
|
|
|
|
1
|
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille36.png)
Tableau 16 : corrélations des rendements des zones
à économies de l?Europe. Zone de l'Amérique du
nord
|
SPTSX
|
SP500
|
SPTSX
|
1
|
0.3478
|
SP500
|
|
1
|
Tableau 17 : Corrélations des rendements des zones
à économies de l?Amérique du nord
Corrélations des rendements des pays
émergents.
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille37.png)
Zone de l'Asie.
|
ALLO RDIN ARIE
|
BSE30
|
HANG SENG
|
JKSE
|
KLSE
|
NIKK EI225
|
KS11
|
SHANGC OMP
|
STI
|
ALLORDIN ARIE
|
1
|
0.0780
|
0.2012
|
-0.0081
|
0.0212
|
0.1927
|
0.1054
|
0.0407
|
0.0330
|
BSE30
|
|
1
|
0.0755
|
0.2088
|
0.1506
|
0.2159
|
0.1484
|
0.0688
|
0.0981
|
HANGSENG
|
|
|
1
|
0.0335
|
0.0183
|
0.0885
|
0.4107
|
0.0998
|
0.2865
|
JKSE
|
|
|
|
1
|
0.0417
|
0.2818
|
0.0161
|
0.1294
|
0.2714
|
KLSE
|
|
|
|
|
1
|
0.1700
|
0.0473
|
0.0661
|
0.0597
|
NIKKEI225
|
|
|
|
|
|
1
|
0.0725
|
0.0658
|
0.1111
|
KS11
|
|
|
|
|
|
|
1
|
0.1003
|
0.2069
|
SHANGCO MP
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
0.0368
|
STI
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
Tableau 18 : Corrélations des rendements de la zone de
l?Asie
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille38.png)
=W CI l* P pUTuERINine.
|
BOVESPA
|
IPC
|
MERVAL
|
BOVESPA
|
1
|
0.4583
|
0.3461
|
IPC
|
|
1
|
0.3091
|
MERVAL
|
|
|
1
|
Tableau 19 : Corrélations des rendements de la zone de
l?Amérique latine
|
=MICR* IUTME
|
|
EGX30
|
TUNINDEX
|
EGX30
|
1
|
0.0005
|
TUNINDEX
|
|
1
|
Tableau 20 : Corrélations des rendements de la zone de
l?Afrique
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille40.png)
Annexe 3 : Test de Ducky- Fuller simple pour les pays
développé Zone de l'Europe.
Royaume - Uni (Au niveau et En
différence)
Null Hypothesis: FTSE100 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.826981 0.6912
Test critical values: 1% level -3.965494
5% level -3.413454
10% level -3.128769
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(FTSE100)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:41
Sample (adjusted): 16 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
183.4527
|
97.62340 1.879188
|
0.0605
|
@TREND(1)
|
-0.035537
|
0.034634 -1.026059
|
0.3051
|
R-squared
|
0.424041
|
Mean dependent var
|
0.590202
|
Adjusted R-squared
|
0.416475
|
S.D. dependent var
|
524.0094
|
S.E. of regression
|
400.2847
|
Akaike info criterion
|
14.83590
|
Sum squared resid
|
1.95E+08
|
Schwarz criterion
|
14.90636
|
Log likelihood
|
-9144.167
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.86240
|
F-statistic
|
56.04575
|
Durbin-Watson stat
|
1.999134
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
84
Null Hypothesis: D(FTSE100) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.49416 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(FTSE100,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:41
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
1.976530
|
25.75440 0.076745
|
0.9388
|
@TREND(1)
|
-0.001926
|
0.035679 -0.053976
|
0.9570
|
R-squared
|
0.746154
|
Mean dependent var
|
0.012260
|
Adjusted R-squared
|
0.745746
|
S.D. dependent var
|
900.5584
|
S.E. of regression
|
454.0940
|
Akaike info criterion
|
15.07689
|
Sum squared resid
|
2.57E+08
|
Schwarz criterion
|
15.08922
|
Log likelihood
|
-9404.977
|
Hannan-Quinn criter.
|
15.08152
|
F-statistic
|
1829.772
|
Durbin-Watson stat
|
2.315436
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
-France (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: CAC40 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 1 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.816092 0.6966
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(CAC40)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:40
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
24.92624
|
12.67051 1.967264
|
0.0494
|
@TREND(1)
|
-0.010028
|
0.005739 -1.747345
|
0.0808
|
R-squared
|
0.012690
|
Mean dependent var
|
-0.097075
|
Adjusted R-squared
|
0.010309
|
S.D. dependent var
|
63.15981
|
S.E. of regression
|
62.83341
|
Akaike info criterion
|
11.12205
|
Sum squared resid
|
4911358.
|
Schwarz criterion
|
11.13849
|
Log likelihood
|
-6936.160
|
Hannan-Quinn criter.
|
11.12823
|
F-statistic
|
5.329845
|
Durbin-Watson stat
|
2.004031
|
Prob(F-statistic)
|
0.001192
|
|
|
Null Hypothesis: D(CAC40) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.937211 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965543
5% level -3.413478
10% level -3.128783
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(CAC40,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:40
Sample (adjusted): 24 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
2.653840
|
3.733518 0.710815
|
0.4773
|
@TREND(1)
|
-0.004404
|
0.005150 -0.855177
|
0.3926
|
R-squared
|
0.559084
|
Mean dependent var
|
0.003415
|
Adjusted R-squared
|
0.550654
|
S.D. dependent var
|
94.19919
|
S.E. of regression
|
63.14482
|
Akaike info criterion
|
11.14810
|
Sum squared resid
|
4796683.
|
Schwarz criterion
|
11.24810
|
Log likelihood
|
-6815.362
|
Hannan-Quinn criter.
|
11.18573
|
F-statistic
|
66.32210
|
Durbin-Watson stat
|
1.997613
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
-Allemagne (Au niveau et En
différence)
Null Hypothesis: DAX has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 12 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.660388 0.7682
Test critical values: 1% level -3.965482
5% level -3.413448
10% level -3.128765
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(DAX)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:40
Sample (adjusted): 14 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
75.84281
|
38.81177 1.954119
|
0.0509
|
@TREND(1)
|
-0.018582
|
0.018921 -0.982116
|
0.3262
|
R-squared
|
0.550101
|
Mean dependent var
|
1.290493
|
Adjusted R-squared
|
0.544947
|
S.D. dependent var
|
351.0504
|
S.E. of regression
|
236.8102
|
Akaike info criterion
|
13.78445
|
Sum squared resid
|
68528616
|
Schwarz criterion
|
13.84654
|
Log likelihood
|
-8510.680
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.80780
|
F-statistic
|
106.7263
|
Durbin-Watson stat
|
2.003564
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(DAX) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.95777 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(DAX,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:41
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
7.184216
|
17.48378 0.410908
|
0.6812
|
@TREND(1)
|
-0.008515
|
0.024221 -0.351552
|
0.7252
|
R-squared
|
0.736286
|
Mean dependent var
|
0.007748
|
Adjusted R-squared
|
0.735862
|
S.D. dependent var
|
599.7965
|
S.E. of regression
|
308.2615
|
Akaike info criterion
|
14.30217
|
Sum squared resid
|
1.18E+08
|
Schwarz criterion
|
14.31450
|
Log likelihood
|
-8921.557
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.30681
|
F-statistic
|
1738.010
|
Durbin-Watson stat
|
2.276823
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Italie (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: MIB30 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 3 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.764548 0.7215
Test critical values: 1% level -3.965428
5% level -3.413422
10% level -3.128749
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(MIB30)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:41
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
438.5926
|
233.8361 1.875641
|
0.0609
|
@TREND(1)
|
-0.248286
|
0.123222 -2.014937
|
0.0441
|
R-squared
|
0.435372
|
Mean dependent var
|
-7.232592
|
Adjusted R-squared
|
0.433095
|
S.D. dependent var
|
1518.526
|
S.E. of regression
|
1143.345
|
Akaike info criterion
|
16.92611
|
Sum squared resid
|
1.62E+09
|
Schwarz criterion
|
16.95080
|
Log likelihood
|
-10538.96
|
Hannan-Quinn criter.
|
16.93539
|
F-statistic
|
191.2272
|
Durbin-Watson stat
|
1.945528
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(MIB30) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.96631 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(MIB30,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:42
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
22.44923
|
75.89679 0.295786
|
0.7674
|
@TREND(1)
|
-0.053148
|
0.105147 -0.505460
|
0.6133
|
R-squared
|
0.736342
|
Mean dependent var
|
-0.010144
|
Adjusted R-squared
|
0.735918
|
S.D. dependent var
|
2604.015
|
S.E. of regression
|
1338.174
|
Akaike info criterion
|
17.23840
|
Sum squared resid
|
2.23E+09
|
Schwarz criterion
|
17.25073
|
Log likelihood
|
-10753.76
|
Hannan-Quinn criter.
|
17.24304
|
F-statistic
|
1738.513
|
Durbin-Watson stat
|
2.273582
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Suisse (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: SSMI has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.910137 0.6486
Test critical values: 1% level -3.965494
5% level -3.413454
10% level -3.128769
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SSMI)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:42
Sample (adjusted): 16 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
107.5393
|
50.91261 2.112234
|
0.0349
|
@TREND(1)
|
-0.035588
|
0.021736 -1.637277
|
0.1018
|
R-squared
|
0.505069
|
Mean dependent var
|
0.755789
|
Adjusted R-squared
|
0.498567
|
S.D. dependent var
|
351.6663
|
S.E. of regression
|
249.0217
|
Akaike info criterion
|
13.88663
|
Sum squared resid
|
75530357
|
Schwarz criterion
|
13.95709
|
Log likelihood
|
-8557.992
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.91313
|
F-statistic
|
77.68427
|
Durbin-Watson stat
|
2.014279
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(SSMI) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.81346 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SSMI,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:42
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
6.862434
|
17.52060 0.391678
|
0.6954
|
@TREND(1)
|
-0.009322
|
0.024272 -0.384040
|
0.7010
|
R-squared
|
0.735333
|
Mean dependent var
|
-0.004968
|
Adjusted R-squared
|
0.734908
|
S.D. dependent var
|
599.9786
|
S.E. of regression
|
308.9116
|
Akaike info criterion
|
14.30639
|
Sum squared resid
|
1.19E+08
|
Schwarz criterion
|
14.31872
|
Log likelihood
|
-8924.186
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.31102
|
F-statistic
|
1729.512
|
Durbin-Watson stat
|
2.276471
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Pays - Bad (Au niveau et En
différence)
Null Hypothesis: AEX has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.604094 0.7912
Test critical values: 1% level -3.965410
5% level -3.413413
10% level -3.128744
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(AEX)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:39
Sample (adjusted): 2 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
1.684029
|
0.969984 1.736141
|
0.0828
|
@TREND(1)
|
-0.000794
|
0.000500 -1.586054
|
0.1130
|
R-squared
|
0.002679
|
Mean dependent var
|
-0.026085
|
Adjusted R-squared
|
0.001078
|
S.D. dependent var
|
5.447239
|
S.E. of regression
|
5.444302
|
Akaike info criterion
|
6.229415
|
Sum squared resid
|
36931.98
|
Schwarz criterion
|
6.241737
|
Log likelihood
|
-3887.270
|
Hannan-Quinn criter.
|
6.234048
|
F-statistic
|
1.673276
|
Durbin-Watson stat
|
2.089362
|
Prob(F-statistic)
|
0.188053
|
|
|
Null Hypothesis: D(AEX) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.253836 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965543
5% level -3.413478
10% level -3.128783
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(AEX,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:39
Sample (adjusted): 24 1250
Included observations: 1227 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
0.174247
|
0.321836 0.541414
|
0.5883
|
@TREND(1)
|
-0.000298
|
0.000444 -0.670792
|
0.5025
|
R-squared
|
0.535947
|
Mean dependent var
|
0.001899
|
Adjusted R-squared
|
0.527074
|
S.D. dependent var
|
7.937139
|
S.E. of regression
|
5.458337
|
Akaike info criterion
|
6.251532
|
Sum squared resid
|
35841.51
|
Schwarz criterion
|
6.351528
|
Log likelihood
|
-3811.315
|
Hannan-Quinn criter.
|
6.289158
|
F-statistic
|
60.40758
|
Durbin-Watson stat
|
1.996748
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
=TnFOdFOl'AP pUiINFOdN OITUd.
|
Etats #177; Unis (Au niveau et En
différence)
Null Hypothesis: SP500 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 11 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.994753 0.6031
Test critical values: 1% level -3.965476
5% level -3.413445
10% level -3.128763
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SP500)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:35
Sample (adjusted): 13 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
47.39653
|
23.84044 1.988073
|
0.0470
|
@TREND(1)
|
-0.011710
|
0.009706 -1.206422
|
0.2279
|
R-squared
|
0.430783
|
Mean dependent var
|
-0.025380
|
Adjusted R-squared
|
0.424737
|
S.D. dependent var
|
142.1047
|
S.E. of regression
|
107.7808
|
Akaike info criterion
|
12.20932
|
Sum squared resid
|
14218850
|
Schwarz criterion
|
12.26723
|
Log likelihood
|
-7543.570
|
Hannan-Quinn criter.
|
12.23110
|
F-statistic
|
71.25552
|
Durbin-Watson stat
|
2.005217
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(SP500) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.79157 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SP500,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:35
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
0.238642
|
6.975842 0.034210
|
0.9727
|
@TREND(1)
|
-0.000486
|
0.009664 -0.050290
|
0.9599
|
R-squared
|
0.748007
|
Mean dependent var
|
-0.005609
|
Adjusted R-squared
|
0.747602
|
S.D. dependent var
|
244.8209
|
S.E. of regression
|
122.9961
|
Akaike info criterion
|
12.46458
|
Sum squared resid
|
18834403
|
Schwarz criterion
|
12.47691
|
Log likelihood
|
-7774.900
|
Hannan-Quinn criter.
|
12.46922
|
F-statistic
|
1847.808
|
Durbin-Watson stat
|
2.324240
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Canada (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: SPTS has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 15 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.401543 0.3785
Test critical values: 1% level -3.965500
5% level -3.413457
10% level -3.128770
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SPTS)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:35
Sample (adjusted): 17 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
691.8556
|
290.1728 2.384288
|
0.0173
|
@TREND(1)
|
-0.015644
|
0.134818 -0.116039
|
0.9076
|
R-squared
|
0.395955
|
Mean dependent var
|
1.940640
|
Adjusted R-squared
|
0.387511
|
S.D. dependent var
|
2150.225
|
S.E. of regression
|
1682.802
|
Akaike info criterion
|
17.70879
|
Sum squared resid
|
3.44E+09
|
Schwarz criterion
|
17.78344
|
Log likelihood
|
-10908.32
|
Hannan-Quinn criter.
|
17.73687
|
F-statistic
|
46.88801
|
Durbin-Watson stat
|
1.998171
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(SPTS) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.17555 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SPTS,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:36
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(SPTS(-1))
|
-1.462133
|
0.025133 -58.17555
|
0.0000
|
C
|
7.108130
|
107.6266 0.066044
|
0.9474
|
@TREND(1)
|
-0.007065
|
0.149102 -0.047383
|
0.9622
|
R-squared
|
0.731066
|
Mean dependent var
|
0.008173
|
Adjusted R-squared
|
0.730634
|
S.D. dependent var
|
3656.309
|
S.E. of regression
|
1897.641
|
Akaike info criterion
|
17.93701
|
Sum squared resid
|
4.48E+09
|
Schwarz criterion
|
17.94934
|
Log likelihood
|
-11189.70
|
Hannan-Quinn criter.
|
17.94165
|
F-statistic
|
1692.197
|
Durbin-Watson stat
|
2.229257
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
=14J1de l' \le.
|
Japon (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: NIKKEI225 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 13 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.276598 0.4460
Test critical values: 1% level -3.965488
5% level -3.413451
10% level -3.128767
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(NIKKEI225)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:48
Sample (adjusted): 15 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
681.0832
|
288.1342 2.363771
|
0.0182
|
@TREND(1)
|
-0.290507
|
0.155949 -1.862832
|
0.0627
|
R-squared
|
0.389351
|
Mean dependent var
|
-0.786707
|
Adjusted R-squared
|
0.381844
|
S.D. dependent var
|
2111.932
|
S.E. of regression
|
1660.463
|
Akaike info criterion
|
17.68044
|
Sum squared resid
|
3.36E+09
|
Schwarz criterion
|
17.74671
|
Log likelihood
|
-10910.51
|
Hannan-Quinn criter.
|
17.70537
|
F-statistic
|
51.85840
|
Durbin-Watson stat
|
2.010682
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(NIKKEI225) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -59.21019 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(NIKKEI225,2) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:48
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(NIKKEI225(-1))
|
-1.475883
|
0.024926 -59.21019
|
0.0000
|
C
|
11.45422
|
107.5707 0.106481
|
0.9152
|
@TREND(1)
|
-0.020487
|
0.149025 -0.137477
|
0.8907
|
R-squared
|
0.737941
|
Mean dependent var
|
0.128165
|
Adjusted R-squared
|
0.737520
|
S.D. dependent var
|
3702.033
|
S.E. of regression
|
1896.653
|
Akaike info criterion
|
17.93597
|
Sum squared resid
|
4.48E+09
|
Schwarz criterion
|
17.94830
|
Log likelihood
|
-11189.05
|
Hannan-Quinn criter.
|
17.94061
|
F-statistic
|
1752.924
|
Durbin-Watson stat
|
2.239170
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Hong Kong (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: HANGSENG has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 9 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.850196 0.6795
Test critical values: 1% level -3.965464
5% level -3.413440
10% level -3.128760
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(HANGSENG) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:46
Sample (adjusted): 11 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
406.6069
|
213.7837
|
1.901955
|
0.0574
|
@TREND(1)
|
0.046825
|
0.141427
|
0.331092
|
0.7406
|
R-squared
|
0.328427
|
Mean dependent var
|
|
6.139226
|
Adjusted R-squared
|
0.322411
|
S.D. dependent var
|
|
2024.743
|
S.E. of regression
|
1666.683
|
Akaike info criterion
|
|
17.68469
|
Sum squared resid
|
3.41E+09
|
Schwarz criterion
|
|
17.73426
|
Log likelihood
|
-10952.51
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
17.70333
|
F-statistic
|
54.59483
|
Durbin-Watson stat
|
|
1.999527
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(HANGSENG) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -54.17722 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(HANGSENG,2) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:46
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(HANGSENG(-1))
|
-1.404331
|
0.025921 -54.17722
|
0.0000
|
C
|
17.02203
|
104.7772 0.162459
|
0.8710
|
@TREND(1)
|
-0.014058
|
0.145154 -0.096848
|
0.9229
|
R-squared
|
0.702165
|
Mean dependent var
|
-0.027548
|
Adjusted R-squared
|
0.701687
|
S.D. dependent var
|
3382.387
|
S.E. of regression
|
1847.394
|
Akaike info criterion
|
17.88334
|
Sum squared resid
|
4.25E+09
|
Schwarz criterion
|
17.89567
|
Log likelihood
|
-11156.20
|
Hannan-Quinn criter.
|
17.88798
|
F-statistic
|
1467.585
|
Durbin-Watson stat
|
2.242268
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
=14J1de l' XV.raXie.
|
Australie (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: ALLORDINARIES has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.467237 0.8403
Test critical values: 1% level -3.965537
5% level -3.413475
10% level -3.128781
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(ALLORDINARIES) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:45
Sample (adjusted): 23 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
74.73087
|
44.00287 1.698318
|
0.0897
|
@TREND(1)
|
-0.023159
|
0.019929 -1.162078
|
0.2454
|
R-squared
|
0.444970
|
Mean dependent var
|
0.583469
|
Adjusted R-squared
|
0.434367
|
S.D. dependent var
|
321.6468
|
S.E. of regression
|
241.9059
|
Akaike info criterion
|
13.83433
|
Sum squared resid
|
70456235
|
Schwarz criterion
|
13.93426
|
Log likelihood
|
-8470.276
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.87193
|
F-statistic
|
41.96748
|
Durbin-Watson stat
|
2.008419
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(ALLORDINARIES) has a unit root Exogenous:
Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -59.63607 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(ALLORDINARIES,2) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:45
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(ALLORDINARIES(-1))
|
-1.481406
|
0.024841 -59.63607
|
0.0000
|
C
|
3.840850
|
15.87432 0.241954
|
0.8089
|
@TREND(1)
|
-0.004965
|
0.021992 -0.225764
|
0.8214
|
R-squared
|
0.740704
|
Mean dependent var
|
-0.016106
|
Adjusted R-squared
|
0.740287
|
S.D. dependent var
|
549.2115
|
S.E. of regression
|
279.8892
|
Akaike info criterion
|
14.10907
|
Sum squared resid
|
97530790
|
Schwarz criterion
|
14.12140
|
Log likelihood
|
-8801.057
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.11370
|
F-statistic
|
1778.230
|
Durbin-Watson stat
|
2.289054
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille44.png)
Annexe 3 : Test de Ducky- Fuller simple pour les pays
émergents. =14J1de l' sie.
Chine (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: SHANGCOMP has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 8 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.862654 0.6732
Test critical values: 1% level -3.965458
5% level -3.413437
10% level -3.128758
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SHANGCOMP) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:48
Sample (adjusted): 10 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
27.59611
|
17.76672
|
1.553247
|
0.1206
|
@TREND(1)
|
0.008979
|
0.021867
|
0.410618
|
0.6814
|
R-squared
|
0.095162
|
Mean dependent var
|
|
1.459919
|
Adjusted R-squared
|
0.087806
|
S.D. dependent var
|
|
261.9954
|
S.E. of regression
|
250.2288
|
Akaike info criterion
|
|
13.89145
|
Sum squared resid
|
77015803
|
Schwarz criterion
|
|
13.93687
|
Log likelihood
|
-8608.647
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
13.90853
|
F-statistic
|
12.93594
|
Durbin-Watson stat
|
|
2.004366
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
106
Null Hypothesis: D(SHANGCOMP) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -42.84485 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(SHANGCOMP,2) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:49
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(SHANGCOMP(-1))
|
-1.191745
|
0.027815 -42.84485
|
0.0000
|
C
|
4.418153
|
14.55463 0.303556
|
0.7615
|
@TREND(1)
|
-0.004428
|
0.020163 -0.219583
|
0.8262
|
R-squared
|
0.595869
|
Mean dependent var
|
-0.033197
|
Adjusted R-squared
|
0.595219
|
S.D. dependent var
|
403.3439
|
S.E. of regression
|
256.6170
|
Akaike info criterion
|
13.93545
|
Sum squared resid
|
81986068
|
Schwarz criterion
|
13.94778
|
Log likelihood
|
-8692.719
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.94008
|
F-statistic
|
917.8407
|
Durbin-Watson stat
|
2.043789
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Inde (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: BSE30 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 10 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.922157 0.6422
Test critical values: 1% level -3.965470
5% level -3.413442
10% level -3.128762
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(BSE30)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:46
Sample (adjusted): 12 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
386.7169
|
189.7420
|
2.038119
|
0.0418
|
@TREND(1)
|
0.126252
|
0.173709
|
0.726804
|
0.4675
|
R-squared
|
0.469041
|
Mean dependent var
|
|
8.715706
|
Adjusted R-squared
|
0.463844
|
S.D. dependent var
|
|
2485.619
|
S.E. of regression
|
1820.036
|
Akaike info criterion
|
|
17.86154
|
Sum squared resid
|
4.06E+09
|
Schwarz criterion
|
|
17.91528
|
Log likelihood
|
-11052.22
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
17.88175
|
F-statistic
|
90.25262
|
Durbin-Watson stat
|
|
1.999471
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(BSE30) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.47994 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(BSE30,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:46
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(BSE30(-1))
|
-1.492129
|
0.024671 -60.47994
|
0.0000
|
C
|
17.13955
|
122.3764 0.140056
|
0.8886
|
@TREND(1)
|
-0.007632
|
0.169535 -0.045017
|
0.9641
|
R-squared
|
0.746065
|
Mean dependent var
|
0.033934
|
Adjusted R-squared
|
0.745657
|
S.D. dependent var
|
4278.398
|
S.E. of regression
|
2157.701
|
Akaike info criterion
|
18.19388
|
Sum squared resid
|
5.80E+09
|
Schwarz criterion
|
18.20621
|
Log likelihood
|
-11349.98
|
Hannan-Quinn criter.
|
18.19851
|
F-statistic
|
1828.911
|
Durbin-Watson stat
|
2.316810
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Indonésie (Au niveau et En
différence)
Null Hypothesis: JKSE has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.013647 0.5927
Test critical values: 1% level -3.965494
5% level -3.413454
10% level -3.128769
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(JKSE)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:47
Sample (adjusted): 16 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
46.19886
|
25.05773
|
1.843697
|
0.0655
|
@TREND(1)
|
0.034505
|
0.026487
|
1.302719
|
0.1929
|
R-squared
|
0.347868
|
Mean dependent var
|
|
1.268267
|
Adjusted R-squared
|
0.339302
|
S.D. dependent var
|
|
315.9742
|
S.E. of regression
|
256.8344
|
Akaike info criterion
|
|
13.94841
|
Sum squared resid
|
80344012
|
Schwarz criterion
|
|
14.01887
|
Log likelihood
|
-8596.143
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
13.97491
|
F-statistic
|
40.60757
|
Durbin-Watson stat
|
|
1.988491
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(JKSE) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -56.17038 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(JKSE,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:47
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(JKSE(-1))
|
-1.429039
|
0.025441 -56.17038
|
0.0000
|
C
|
2.502160
|
16.09798 0.155433
|
0.8765
|
@TREND(1)
|
-0.000553
|
0.022301 -0.024777
|
0.9802
|
R-squared
|
0.717055
|
Mean dependent var
|
-0.908245
|
Adjusted R-squared
|
0.716600
|
S.D. dependent var
|
533.1589
|
S.E. of regression
|
283.8286
|
Akaike info criterion
|
14.13702
|
Sum squared resid
|
1.00E+08
|
Schwarz criterion
|
14.14935
|
Log likelihood
|
-8818.500
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.14166
|
F-statistic
|
1577.574
|
Durbin-Watson stat
|
2.209962
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Malaisie (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: KLSE has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 14 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.698175 0.7518
Test critical values: 1% level -3.965494
5% level -3.413454
10% level -3.128769
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(KLSE)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:47
Sample (adjusted): 16 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
34.71808
|
20.15121
|
1.722878
|
0.0852
|
@TREND(1)
|
0.006475
|
0.010456
|
0.619253
|
0.5359
|
R-squared
|
0.456684
|
Mean dependent var
|
|
0.359490
|
Adjusted R-squared
|
0.449547
|
S.D. dependent var
|
|
161.9445
|
S.E. of regression
|
120.1507
|
Akaike info criterion
|
|
12.42904
|
Sum squared resid
|
17583285
|
Schwarz criterion
|
|
12.49950
|
Log likelihood
|
-7657.932
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
12.45555
|
F-statistic
|
63.98687
|
Durbin-Watson stat
|
|
1.980349
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(KLSE) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -59.87130 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(KLSE,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:47
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(KLSE(-1))
|
-1.484428
|
0.024794 -59.87130
|
0.0000
|
C
|
0.305564
|
7.999655 0.038197
|
0.9695
|
@TREND(1)
|
0.000297
|
0.011082 0.026778
|
0.9786
|
R-squared
|
0.742213
|
Mean dependent var
|
-0.008349
|
Adjusted R-squared
|
0.741799
|
S.D. dependent var
|
277.5792
|
S.E. of regression
|
141.0477
|
Akaike info criterion
|
12.73847
|
Sum squared resid
|
24768579
|
Schwarz criterion
|
12.75080
|
Log likelihood
|
-7945.808
|
Hannan-Quinn criter.
|
12.74311
|
F-statistic
|
1792.286
|
Durbin-Watson stat
|
2.314763
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Corée (Au niveau et En
différence)
Null Hypothesis: KS11 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 9 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.054947 0.5699
Test critical values: 1% level -3.965464
5% level -3.413440
10% level -3.128760
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(KS11)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:48
Sample (adjusted): 11 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
49.51816
|
22.51641
|
2.199203
|
0.0280
|
@TREND(1)
|
0.004518
|
0.012941
|
0.349103
|
0.7271
|
R-squared
|
0.444393
|
Mean dependent var
|
|
0.569685
|
Adjusted R-squared
|
0.439416
|
S.D. dependent var
|
|
198.2979
|
S.E. of regression
|
148.4699
|
Akaike info criterion
|
|
12.84827
|
Sum squared resid
|
27069186
|
Schwarz criterion
|
|
12.89785
|
Log likelihood
|
-7953.929
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
12.86692
|
F-statistic
|
89.29042
|
Durbin-Watson stat
|
|
2.001550
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(KS11) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.64842 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(KS11,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:48
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(KS11(-1))
|
-1.494235
|
0.024638 -60.64842
|
0.0000
|
C
|
1.417299
|
9.753594 0.145310
|
0.8845
|
@TREND(1)
|
-0.001041
|
0.013512 -0.077027
|
0.9386
|
R-squared
|
0.747117
|
Mean dependent var
|
0.007388
|
Adjusted R-squared
|
0.746711
|
S.D. dependent var
|
341.7039
|
S.E. of regression
|
171.9722
|
Akaike info criterion
|
13.13494
|
Sum squared resid
|
36820155
|
Schwarz criterion
|
13.14727
|
Log likelihood
|
-8193.205
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.13958
|
F-statistic
|
1839.115
|
Durbin-Watson stat
|
2.320236
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Singapour (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: STI has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 7 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.612052 0.7881
Test critical values: 1% level -3.965452
5% level -3.413434
10% level -3.128756
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(STI)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:49
Sample (adjusted): 9 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
40.81677
|
24.63973 1.656543
|
0.0979
|
@TREND(1)
|
-0.002505
|
0.013262 -0.188918
|
0.8502
|
R-squared
|
0.377451
|
Mean dependent var
|
0.567593
|
Adjusted R-squared
|
0.372903
|
S.D. dependent var
|
211.2849
|
S.E. of regression
|
167.3154
|
Akaike info criterion
|
13.08566
|
Sum squared resid
|
34489158
|
Schwarz criterion
|
13.12692
|
Log likelihood
|
-8116.193
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.10117
|
F-statistic
|
82.99555
|
Durbin-Watson stat
|
2.007061
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(STI) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.36464 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(STI,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:49
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(STI(-1))
|
-1.490682
|
0.024695 -60.36464
|
0.0000
|
C
|
1.711690
|
10.42473 0.164195
|
0.8696
|
@TREND(1)
|
-0.001381
|
0.014442 -0.095630
|
0.9238
|
R-squared
|
0.745341
|
Mean dependent var
|
0.006322
|
Adjusted R-squared
|
0.744932
|
S.D. dependent var
|
363.9398
|
S.E. of regression
|
183.8051
|
Akaike info criterion
|
13.26803
|
Sum squared resid
|
42061493
|
Schwarz criterion
|
13.28036
|
Log likelihood
|
-8276.251
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.27267
|
F-statistic
|
1821.945
|
Durbin-Watson stat
|
2.302288
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille45.png)
=WHI l'AP pUIue latine. Brésil (Au niveau et
En différence)
Null Hypothesis: BOVESPA has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 15 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.544407 0.8139
Test critical values: 1% level -3.965500
5% level -3.413457
10% level -3.128770
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(BOVESPA)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:31
Sample (adjusted): 17 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
1155.162
|
716.1063
|
1.613115
|
0.1070
|
@TREND(1)
|
0.879554
|
0.734394
|
1.197660
|
0.2313
|
R-squared
|
0.425773
|
Mean dependent var
|
|
35.09157
|
Adjusted R-squared
|
0.417746
|
S.D. dependent var
|
|
8494.015
|
S.E. of regression
|
6481.409
|
Akaike info criterion
|
|
20.40574
|
Sum squared resid
|
5.11E+10
|
Schwarz criterion
|
|
20.48040
|
Log likelihood
|
-12572.34
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
20.43383
|
F-statistic
|
53.03711
|
Durbin-Watson stat
|
|
1.985285
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(BOVESPA) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -56.53415 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(BOVESPA,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:31
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(BOVESPA(-1))
|
-1.439331
|
0.025460 -56.53415
|
0.0000
|
C
|
30.36987
|
430.6823 0.070516
|
0.9438
|
@TREND(1)
|
0.027810
|
0.596651 0.046609
|
0.9628
|
R-squared
|
0.719665
|
Mean dependent var
|
-0.455128
|
Adjusted R-squared
|
0.719214
|
S.D. dependent var
|
14330.59
|
S.E. of regression
|
7593.664
|
Akaike info criterion
|
20.71042
|
Sum squared resid
|
7.18E+10
|
Schwarz criterion
|
20.72275
|
Log likelihood
|
-12920.30
|
Hannan-Quinn criter.
|
20.71505
|
F-statistic
|
1598.055
|
Durbin-Watson stat
|
2.270286
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Mexique (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: IPC has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 9 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.058490 0.5679
Test critical values: 1% level -3.965464
5% level -3.413440
10% level -3.128760
*MacKinnon (1996) one-sided p-values.
Augmented Dickey-Fuller Test Equation
Dependent Variable: D(IPC) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:32 Sample (adjusted): 11 1250 Included
observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
644.0286
|
259.1141
|
2.485502
|
0.0131
|
@TREND(1)
|
0.153498
|
0.221016
|
0.694510
|
0.4875
|
R-squared
|
0.435315
|
Mean dependent var
|
|
26.27262
|
Adjusted R-squared
|
0.430257
|
S.D. dependent var
|
|
2890.722
|
S.E. of regression
|
2181.955
|
Akaike info criterion
|
|
18.22346
|
Sum squared resid
|
5.85E+09
|
Schwarz criterion
|
|
18.27304
|
Log likelihood
|
-11286.55
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
18.24211
|
F-statistic
|
86.06039
|
Durbin-Watson stat
|
|
1.991266
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(IPC) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -60.19589 0.0001
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(IPC,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:32
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(IPC(-1))
|
-1.488549
|
0.024728 -60.19589
|
0.0000
|
C
|
30.13728
|
146.1662 0.206185
|
0.8367
|
@TREND(1)
|
-0.011471
|
0.202492 -0.056651
|
0.9548
|
R-squared
|
0.744277
|
Mean dependent var
|
0.215481
|
Adjusted R-squared
|
0.743866
|
S.D. dependent var
|
5092.203
|
S.E. of regression
|
2577.148
|
Akaike info criterion
|
18.54916
|
Sum squared resid
|
8.27E+09
|
Schwarz criterion
|
18.56149
|
Log likelihood
|
-11571.67
|
Hannan-Quinn criter.
|
18.55379
|
F-statistic
|
1811.773
|
Durbin-Watson stat
|
2.335918
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Argentine (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: MERVAL has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 11 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.961026 0.6214
Test critical values: 1% level -3.965476
5% level -3.413445
10% level -3.128763
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(MERVAL)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:32
Sample (adjusted): 13 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
61.68896
|
31.73533
|
1.943858
|
0.0521
|
@TREND(1)
|
0.003945
|
0.018111
|
0.217839
|
0.8276
|
R-squared
|
0.422839
|
Mean dependent var
|
|
0.774515
|
Adjusted R-squared
|
0.416709
|
S.D. dependent var
|
|
296.1339
|
S.E. of regression
|
226.1677
|
Akaike info criterion
|
|
13.69167
|
Sum squared resid
|
62609846
|
Schwarz criterion
|
|
13.74959
|
Log likelihood
|
-8461.147
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
13.71346
|
F-statistic
|
68.97900
|
Durbin-Watson stat
|
|
2.007269
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(MERVAL) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -58.93437 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(MERVAL,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:32
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(MERVAL(-1))
|
-1.472249
|
0.024981 -58.93437
|
0.0000
|
C
|
0.365839
|
15.00572 0.024380
|
0.9806
|
@TREND(1)
|
0.001219
|
0.020788 0.058650
|
0.9532
|
R-squared
|
0.736132
|
Mean dependent var
|
0.071210
|
Adjusted R-squared
|
0.735708
|
S.D. dependent var
|
514.6466
|
S.E. of regression
|
264.5766
|
Akaike info criterion
|
13.99654
|
Sum squared resid
|
87150962
|
Schwarz criterion
|
14.00887
|
Log likelihood
|
-8730.841
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.00118
|
F-statistic
|
1736.630
|
Durbin-Watson stat
|
2.299443
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille46.png)
=14J1de l' IriTXIT
Tunisie (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: TUNINDEX has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 22 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -2.335111 0.4139
Test critical values: 1% level -3.965693
5% level -3.413552
10% level -3.128826
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(TUNINDEX)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:51
Sample (adjusted): 24 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
127.6034
|
56.27143
|
2.267641
|
0.0235
|
@TREND(1)
|
0.238132
|
0.092467
|
2.575327
|
0.0101
|
R-squared
|
0.379909
|
Mean dependent var
|
|
2.507024
|
Adjusted R-squared
|
0.367275
|
S.D. dependent var
|
|
383.5347
|
S.E. of regression
|
305.0789
|
Akaike info criterion
|
|
14.29958
|
Sum squared resid
|
1.10E+08
|
Schwarz criterion
|
|
14.40541
|
Log likelihood
|
-8576.198
|
Hannan-Quinn criter.
|
|
14.33944
|
F-statistic
|
30.07167
|
Durbin-Watson stat
|
|
2.000385
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Null Hypothesis: D(TUNINDEX) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -49.65332 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965434
5% level -3.413425
10% level -3.128751
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(TUNINDEX,2) Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:52
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(TUNINDEX(-1))
|
-1.329997
|
0.026786 -49.65332
|
0.0000
|
C
|
1.027881
|
22.37258 0.045944
|
0.9634
|
@TREND(1)
|
0.004084
|
0.031056 0.131489
|
0.8954
|
R-squared
|
0.664999
|
Mean dependent var
|
0.023671
|
Adjusted R-squared
|
0.664460
|
S.D. dependent var
|
680.4216
|
S.E. of regression
|
394.1400
|
Akaike info criterion
|
14.79370
|
Sum squared resid
|
1.93E+08
|
Schwarz criterion
|
14.80605
|
Log likelihood
|
-9206.076
|
Hannan-Quinn criter.
|
14.79834
|
F-statistic
|
1232.726
|
Durbin-Watson stat
|
2.199634
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Egypte (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: EGX30 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 4 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.449064 0.8461
Test critical values: 1% level -3.965434
5% level -3.413425
10% level -3.128751
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(EGX30)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:51
Sample (adjusted): 6 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
40.40381
|
18.90378 2.137340
|
0.0328
|
@TREND(1)
|
-0.011852
|
0.018759 -0.631801
|
0.5276
|
R-squared
|
0.112462
|
Mean dependent var
|
3.179462
|
Adjusted R-squared
|
0.108161
|
S.D. dependent var
|
226.2490
|
S.E. of regression
|
213.6633
|
Akaike info criterion
|
13.57229
|
Sum squared resid
|
56517208
|
Schwarz criterion
|
13.60111
|
Log likelihood
|
-8441.749
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.58313
|
F-statistic
|
26.14504
|
Durbin-Watson stat
|
1.988037
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Null Hypothesis: D(EGX30) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -34.81357 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965416
5% level -3.413416
10% level -3.128746
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(EGX30,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:51
Sample (adjusted): 3 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
D(EGX30(-1))
|
-0.987878
|
0.028376 -34.81357
|
0.0000
|
C
|
13.96180
|
12.82819 1.088369
|
0.2766
|
@TREND(1)
|
-0.017236
|
0.017769 -0.969978
|
0.3322
|
R-squared
|
0.493283
|
Mean dependent var
|
-0.338117
|
Adjusted R-squared
|
0.492469
|
S.D. dependent var
|
317.3484
|
S.E. of regression
|
226.0828
|
Akaike info criterion
|
13.68208
|
Sum squared resid
|
63636233
|
Schwarz criterion
|
13.69441
|
Log likelihood
|
-8534.618
|
Hannan-Quinn criter.
|
13.68672
|
F-statistic
|
605.9964
|
Durbin-Watson stat
|
1.989895
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
|
Zone de l'Europe
|
Belgique (Au niveau et En différence)
Null Hypothesis: BEL20 has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 0 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -1.562716 0.8071
Test critical values: 1% level -3.965410
5% level -3.413413
10% level -3.128744
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(BEL20)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:40
Sample (adjusted): 2 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
BEL20(-1)
|
-0.002561
|
0.001639 -1.562716
|
0.1184
|
C
|
12.59213
|
7.271996 1.731592
|
0.0836
|
@TREND(1)
|
-0.007121
|
0.004008 -1.776428
|
0.0759
|
R-squared
|
0.002892
|
Mean dependent var
|
-0.379271
|
Adjusted R-squared
|
0.001291
|
S.D. dependent var
|
42.14806
|
S.E. of regression
|
42.12084
|
Akaike info criterion
|
10.32136
|
Sum squared resid
|
2210610.
|
Schwarz criterion
|
10.33368
|
Log likelihood
|
-6442.690
|
Hannan-Quinn criter.
|
10.32599
|
F-statistic
|
1.806707
|
Durbin-Watson stat
|
1.972537
|
Prob(F-statistic)
|
0.164624
|
|
|
Null Hypothesis: D(BEL20) has a unit root
Exogenous: Constant, Linear Trend
Lag Length: 21 (Automatic based on Modified SIC, MAXLAG=22)
t-Statistic Prob.*
Augmented Dickey-Fuller test statistic -6.540594 0.0000
Test critical values: 1% level -3.965543
5% level -3.413478
10% level -3.128783
*MacKinnon (1996) one-sided p-values. Augmented Dickey-Fuller
Test Equation Dependent Variable: D(BEL20,2)
Method: Least Squares
Date: 05/30/11 Time: 11:40
Sample (adjusted): 24 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
1.357337
|
2.497141 0.543557
|
0.5868
|
@TREND(1)
|
-0.002682
|
0.003448 -0.777831
|
0.4368
|
R-squared
|
0.504682
|
Mean dependent var
|
0.031410
|
Adjusted R-squared
|
0.495212
|
S.D. dependent var
|
59.57730
|
S.E. of regression
|
42.32875
|
Akaike info criterion
|
10.34818
|
Sum squared resid
|
2155443.
|
Schwarz criterion
|
10.44817
|
Log likelihood
|
-6324.606
|
Hannan-Quinn criter.
|
10.38580
|
F-statistic
|
53.29309
|
Durbin-Watson stat
|
1.998207
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
|
|
Annexe 4 : Test de Co-intégration
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille48.png)
Détermination du nombre de retard
L'Afrique
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
28.522
|
28.447
|
28.279
|
28.245
|
SC
|
28.547
|
28.488
|
28.336
|
28.319
|
Co-intégration
Date: 05/30/11 Time: 12:08
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments Trend
assumption: Linear deterministic trend Series: TUNINDEX EGX30
Lags interval (in first differences): 1 to 3
Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)
Hypothesized Trace 0.05
No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**
None * 0.010609 17.06710 15.49471 0.0288
At most 1 0.003083 3.831361 3.841466 0.0503
Trace test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level *
denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level **MacKinnon-Haug-Michelis
(1999) p-values
Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)
Hypothesized Max-Eigen 0.05
No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**
None 0.010609 13.23574 14.26460 0.0722
At most 1 0.003083 3.831361 3.841466 0.0503
130
Max-eigenvalue test indicates no cointegration at the 0.05 level
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by
b'*S11*b=I):
TUNINDEX EGX30
-0.001294 0.000120
0.000111 -0.000451
Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):
D(TUNINDEX) 37.78661 -0.856175
D(EGX30) 1.115461 11.92958
1 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -17510.11
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
TUNINDEX EGX30
1.000000 -0.092706
(0.09328)
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
D(TUNINDEX) -0.048887
(0.01346)
D(EGX30) -0.001443
(0.00793)
VECM
Vector Error Correction Estimates
Date: 05/30/11 Time: 12:10
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in
( ) & t-statistics in [ ]
Cointegrating Eq:
|
CointEq1
|
|
TUNINDEX(-1)
|
1.000000
|
|
EGX30(-1)
|
-0.092706
|
|
|
(0.09328)
|
|
|
[-0.99387]
|
|
C
|
-1999.875
|
|
Error Correction:
|
D(TUNINDEX)
|
D(EGX30)
|
CointEq1
|
-0.048887
|
-0.001443
|
|
(0.01346)
|
(0.00793)
|
|
[-3.63280]
|
[-0.18206]
|
D(TUNINDEX(-1))
|
-0.458310
|
0.004906
|
|
(0.02934)
|
(0.01728)
|
|
[-15.6209]
|
[ 0.28388]
|
D(TUNINDEX(-2)) -0.367095 0.008873
(0.02976) (0.01753)
[-12.3342] [ 0.50612]
D(TUNINDEX(-3)) -0.201106 0.004213
(0.02796) (0.01647)
[-7.19282] [ 0.25584]
D(EGX30(-1)) 0.035288 0.027945
(0.04840) (0.02851)
[ 0.72911] [ 0.98023]
D(EGX30(-2)) 0.008266 -0.310527
(0.04613) (0.02717)
[ 0.17917] [-11.4271]
D(EGX30(-3)) 0.000116 0.037777
(0.04850) (0.02857)
[ 0.00238] [ 1.32244]
C 5.306338
(10.4074)
|
3.904617 (6.13027)
|
[ 0.50986]
|
[ 0.63694]
|
R-squared 0.235406
|
0.096835
|
Adj. R-squared 0.231066
|
0.091708
|
Sum sq. resids 1.66E+08
|
57438218
|
S.E. equation 366.4228
|
215.8335
|
F-statistic 54.23165
|
18.88560
|
Log likelihood -9083.490
|
-8426.654
|
Akaike AIC 14.65188
|
13.59332
|
Schwarz SC 14.68491
|
13.62635
|
Mean dependent 2.692554
|
3.046640
|
S.D. dependent 417.8668
|
226.4676
|
Determinant resid covariance (dof adj.)
|
6.25E+09
|
Determinant resid covariance
|
6.17E+09
|
Log likelihood
|
-17510.11
|
Akaike information criterion
|
28.24836
|
Schwarz criterion
|
28.32267
|
CausalitéPairwise Granger
Causality Tests
Date: 05/30/11 Time: 12:14 Sample: 1 1250
Lags: 2
Null Hypothesis: Obs F-Statistic Prob.
LNEGX30 does not Granger Cause TUNDEX 1195 0.35261 0.7029
TUNDEX does not Granger Cause LNEGX30 0.26659 0.7660
L'Europe
![](Integration-financiere-internationale-face--une-strategie-de-diversification-de-portefeuille49.png)
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
84.418
|
83.89
|
83.63
|
84.328
|
SC
|
84.648
|
84.328
|
84.269
|
84.164
|
Co-integration
Date: 05/30/11 Time: 12:21
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Trend assumption: Linear deterministic trend
Series: AEX BEL20 CAC40 DAX FTSE100 MIB30 SSMI Lags interval (in
first differences): 1 to 3
Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)
Hypothesized
|
|
Trace
|
0.05
|
|
No. of CE(s)
|
Eigenvalue
|
Statistic
|
Critical Value
|
Prob.**
|
None *
|
0.164028
|
481.9300
|
125.6154
|
0.0001
|
At most 1 *
|
0.105691
|
258.6972
|
95.75366
|
0.0000
|
At most 2 *
|
0.051739
|
119.5148
|
69.81889
|
0.0000
|
|
|
|
|
At most 3 * 0.028793 53.32009 47.85613
|
0.0141
|
|
|
At most 4 0.007990 16.91762 29.79707
|
0.6461
|
|
|
At most 5 0.005310 6.921606 15.49471
|
0.5868
|
|
|
At most 6 0.000231 0.287433 3.841466
|
0.5919
|
|
|
Trace test indicates 4 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level
|
|
|
|
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
|
|
|
|
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
|
|
|
|
Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)
|
|
|
|
Hypothesized Max-Eigen 0.05
No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value
|
Prob.**
|
|
|
None * 0.164028 223.2328 46.23142
|
0.0000
|
|
|
At most 1 * 0.105691 139.1824 40.07757
|
0.0001
|
|
|
At most 2 * 0.051739 66.19468 33.87687
|
0.0000
|
|
|
At most 3 * 0.028793 36.40247 27.58434
|
0.0029
|
|
|
At most 4 0.007990 9.996014 21.13162
|
0.7451
|
|
|
At most 5 0.005310 6.634173 14.26460
|
0.5333
|
|
|
At most 6 0.000231 0.287433 3.841466
|
0.5919
|
|
|
Max-eigenvalue test indicates 4 cointegrating eqn(s) at the 0.05
level
|
|
|
|
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
|
|
|
|
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
|
|
|
|
Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by
b'*S11*b=I):
|
|
|
|
AEX BEL20 CAC40 DAX
|
FTSE100
|
MIB30
|
SSMI
|
0.034568
|
-0.000769
|
-0.000404
|
0.000212
|
-0.004491
|
-8.35E-05
|
0.001268
|
-0.007753
|
-0.000220
|
0.011351
|
-0.001289
|
-0.000295
|
-0.000628
|
-0.002328
|
0.021450
|
0.003925
|
-0.004807
|
-0.001709
|
0.000575
|
-0.000409
|
0.002591
|
-0.040584
|
0.010464
|
-0.003706
|
0.000933
|
-0.000365
|
-0.000121
|
-0.001267
|
-0.072717
|
0.001981
|
0.005398
|
0.000509
|
-2.67E-05
|
-5.53E-05
|
0.000418
|
-0.027666
|
-0.001601
|
0.003155
|
-0.000900
|
-4.89E-05
|
0.000232
|
-7.66E-05
|
0.005651
|
0.000136
|
-0.000372
|
-0.000217
|
-7.14E-05
|
0.000113
|
-3.23E-05
|
Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):
D(AEX) 0.023321 -0.096130 0.455220 0.611344 0.034319 0.235723
0.011370
D(BEL20) 0.729314 0.201091 2.118592 -0.814212 -0.869777 2.724958
-0.077413
D(CAC40) 1.258077 -1.711614 6.453219 7.176462 -1.277136 2.190449
0.114149
D(DAX) 2.895387 58.92608 27.07687 -6.041505 0.194546 -0.649005
1.155793
D(FTSE100) 152.5412 18.68268 -23.50317 11.07254 -0.178076
3.241806 -0.043924
D(MIB30) 2.990069 275.1332 133.9618 -6.465772 10.05649 -7.144862
-4.690851
D(SSMI) -39.72783 44.46723 -35.06098 18.60810 -8.209885 4.514054
-0.088367
1 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -51840.25
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
AEX BEL20 CAC40 DAX FTSE100 MIB30 SSMI
1.000000 -0.022232 -0.011678 0.006143 -0.129930 -0.002417
0.036681
(0.01952) (0.02468) (0.00461) (0.00817) (0.00151) (0.00685)
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
D(AEX) 0.000806
(0.00525)
D(BEL20) 0.025211
(0.03993)
D(CAC40) 0.043489
(0.06088)
D(DAX) 0.100088
(0.23014)
D(FTSE100) 5.273059
(0.36829)
D(MIB30) 0.103361
(1.07477)
D(SSMI) -1.373316
(0.27042)
136
2 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -51770.66
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
AEX
|
BEL20
|
CAC40
|
DAX
|
FTSE100
|
MIB30
|
SSMI
|
1.000000
|
0.000000
|
-0.649325
|
0.076453
|
-0.056158
|
0.034232
|
0.152423
|
|
|
(0.05177)
|
(0.01187)
|
(0.02102)
|
(0.00358)
|
(0.01758)
|
0.000000
|
1.000000
|
-28.68091
|
3.162474
|
3.318224
|
1.648457
|
5.205995
|
|
|
(2.30712)
|
(0.52886)
|
(0.93683)
|
(0.15967)
|
(0.78342)
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
D(AEX)
|
0.001551
|
3.25E-06
|
|
|
|
|
|
(0.00538)
|
(0.00012)
|
|
|
|
|
D(BEL20)
|
0.023652
|
-0.000605
|
|
|
|
|
|
(0.04092)
|
(0.00092)
|
|
|
|
|
D(CAC40)
|
0.056759
|
-0.000590
|
|
|
|
|
|
(0.06237)
|
(0.00141)
|
|
|
|
|
D(DAX)
|
-0.356750
|
-0.015204
|
|
|
|
|
|
(0.22818)
|
(0.00515)
|
|
|
|
|
D(FTSE100)
|
5.128217
|
-0.121348
|
|
|
|
|
|
(0.37696)
|
(0.00851)
|
|
|
|
|
D(MIB30)
|
-2.029675
|
-0.062899
|
|
|
|
|
|
(1.06562)
|
(0.02405)
|
|
|
|
|
D(SSMI)
|
-1.718058
|
0.020738
|
|
|
|
|
|
(0.27345)
|
(0.00617)
|
|
|
|
|
3 Cointegrating Equation(s):
|
Log likelihood
|
-51737.56
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
AEX
|
BEL20
|
CAC40
|
DAX
|
FTSE100
|
MIB30
|
SSMI
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.007651
|
-0.116156
|
-0.006389
|
0.039775
|
|
|
|
(0.00399)
|
(0.00769)
|
(0.00067)
|
(0.00560)
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-0.552417
|
0.668088
|
-0.145809
|
0.230287
|
|
|
|
(0.06727)
|
(0.12951)
|
(0.01126)
|
(0.09424)
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
-0.129525
|
-0.092401
|
-0.062560
|
-0.173485
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.01692)
|
(0.03257)
|
(0.00283)
|
(0.02370)
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
D(AEX)
|
0.011316
|
0.001790
|
-0.003289
|
|
|
|
|
(0.00627)
|
(0.00061)
|
(0.00187)
|
|
|
|
D(BEL20)
|
0.069097
|
0.007710
|
-0.008196
|
|
|
|
|
(0.04777)
|
(0.00462)
|
(0.01423)
|
|
|
|
D(CAC40)
|
0.195184
|
0.024736
|
-0.050958
|
|
|
|
|
(0.07251)
|
(0.00701)
|
(0.02159)
|
|
|
|
D(DAX)
|
0.224061
|
0.091062
|
0.537560
|
|
|
|
|
(0.26482)
|
(0.02561)
|
(0.07887)
|
|
|
|
D(FTSE100)
|
4.624063
|
-0.213589
|
0.263477
|
|
|
|
|
(0.43980)
|
(0.04253)
|
(0.13098)
|
|
|
|
D(MIB30)
|
0.843868
|
0.462847
|
2.477955
|
|
|
|
|
(1.23559)
|
(0.11949)
|
(0.36798)
|
|
|
|
D(SSMI)
|
-2.470133
|
-0.116863
|
0.689341
|
|
|
|
|
(0.31697)
|
(0.03065)
|
(0.09440)
|
|
|
|
4 Cointegrating Equation(s):
|
Log likelihood
|
-51719.36
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
AEX
|
BEL20
|
CAC40
|
DAX
|
FTSE100
|
MIB30
|
SSMI
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.132189
|
-0.005210
|
0.036280
|
|
|
|
|
(0.00726)
|
(0.00061)
|
(0.00508)
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.489538
|
-0.060646
|
-0.022055
|
|
|
|
|
(0.06563)
|
(0.00549)
|
(0.04588)
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-0.363828
|
-0.042591
|
-0.232651
|
|
|
|
|
(0.03766)
|
(0.00315)
|
(0.02633)
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
-2.095564
|
0.154165
|
-0.456795
|
|
|
|
|
(0.22497)
|
(0.01883)
|
(0.15728)
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
D(AEX) -0.013495 0.008187 -0.005555 -7.88E-05
(0.00872) (0.00168) (0.00194) (0.00035)
|
|
|
|
|
|
|
D(BEL20)
|
0.102141
|
-0.000810
|
-0.005178
|
-0.004486
|
|
|
|
(0.06687)
|
(0.01292)
|
(0.01485)
|
(0.00270)
|
|
|
D(CAC40)
|
-0.096068
|
0.099830
|
-0.077557
|
-0.001861
|
|
|
|
(0.10082)
|
(0.01948)
|
(0.02239)
|
(0.00408)
|
|
|
D(DAX)
|
0.469251
|
0.027844
|
0.559952
|
-0.127284
|
|
|
|
(0.37064)
|
(0.07162)
|
(0.08232)
|
(0.01499)
|
|
|
D(FTSE100)
|
4.174692
|
-0.097728
|
0.222439
|
0.058817
|
|
|
|
(0.61549)
|
(0.11893)
|
(0.13670)
|
(0.02489)
|
|
|
D(MIB30)
|
1.106277
|
0.395191
|
2.501919
|
-0.589132
|
|
|
|
(1.72993)
|
(0.33427)
|
(0.38422)
|
(0.06997)
|
|
|
D(SSMI)
|
-3.225329
|
0.077850
|
0.620373
|
0.011535
|
|
|
|
(0.44271)
|
(0.08554)
|
(0.09833)
|
(0.01791)
|
|
|
5 Cointegrating Equation(s):
|
Log likelihood
|
-51714.36
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
AEX
|
BEL20
|
CAC40
|
DAX
|
FTSE100
|
MIB30
|
SSMI
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.001402
|
-0.071257
|
|
|
|
|
|
(0.00235)
|
(0.01491)
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.046543
|
-0.420295
|
|
|
|
|
|
(0.01051)
|
(0.06669)
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.032111
|
-0.528627
|
|
|
|
|
|
(0.00758)
|
(0.04810)
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.214531
|
-2.161544
|
|
|
|
|
|
(0.04413)
|
(0.28006)
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.028807
|
-0.813503
|
|
|
|
|
|
(0.01839)
|
(0.11668)
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
D(AEX)
|
-0.015990
|
0.008255
|
-0.005370
|
-6.13E-05
|
-3.87E-05
|
|
|
(0.01399)
|
(0.00171)
|
(0.00210)
|
(0.00036)
|
(0.00068)
|
|
D(BEL20)
|
0.165389
|
-0.002533
|
-0.009873
|
-0.004928
|
-0.001798
|
|
|
(0.10724)
|
(0.01312)
|
(0.01610)
|
(0.00277)
|
(0.00525)
|
|
D(CAC40)
|
-0.003198
|
0.097300
|
-0.084450
|
-0.002510
|
-0.004021
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.16168)
|
(0.01978)
|
(0.02427)
|
(0.00417)
|
(0.00791)
|
|
D(DAX)
|
0.455104
|
0.028230
|
0.561002
|
-0.127185
|
-0.012661
|
|
|
(0.59448)
|
(0.07273)
|
(0.08926)
|
(0.01534)
|
(0.02910)
|
|
D(FTSE100)
|
4.187641
|
-0.098080
|
0.221477
|
0.058726
|
-0.708188
|
|
|
(0.98722)
|
(0.12077)
|
(0.14822)
|
(0.02547)
|
(0.04832)
|
|
D(MIB30)
|
0.374996
|
0.415113
|
2.556201
|
-0.584017
|
-0.015672
|
|
|
(2.77461)
|
(0.33943)
|
(0.41659)
|
(0.07159)
|
(0.13581)
|
|
D(SSMI)
|
-2.628328
|
0.061585
|
0.576058
|
0.007359
|
0.138582
|
|
|
(0.70976)
|
(0.08683)
|
(0.10656)
|
(0.01831)
|
(0.03474)
|
|
6 Cointegrating Equation(s):
|
Log likelihood
|
-51711.04
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
AEX
|
BEL20
|
CAC40
|
DAX
|
FTSE100
|
MIB30
|
SSMI
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.081534
|
|
|
|
|
|
|
(0.00688)
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.761600
|
|
|
|
|
|
|
(0.06325)
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.764096
|
|
|
|
|
|
|
(0.04443)
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.588376
|
|
|
|
|
|
|
(0.16111)
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-0.602261
|
|
|
|
|
|
|
(0.03729)
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
-7.333040
|
|
|
|
|
|
|
(0.94100)
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
D(AEX)
|
-0.022512
|
0.007877
|
-0.004626
|
-0.000273
|
-5.02E-05
|
-0.000149
|
|
(0.01458)
|
(0.00173)
|
(0.00215)
|
(0.00039)
|
(0.00068)
|
(0.00012)
|
D(BEL20)
|
0.090000
|
-0.006895
|
-0.001276
|
-0.007381
|
-0.001931
|
-0.000274
|
|
(0.11162)
|
(0.01322)
|
(0.01647)
|
(0.00295)
|
(0.00524)
|
(0.00092)
|
D(CAC40)
|
-0.063799
|
0.093793
|
-0.077540
|
-0.004482
|
-0.004128
|
-0.001959
|
|
(0.16857)
|
(0.01996)
|
(0.02487)
|
(0.00445)
|
(0.00791)
|
(0.00139)
|
D(DAX)
|
0.473060
|
0.029269
|
0.558954
|
-0.126601
|
-0.012629
|
-0.047766
|
|
(0.62023)
|
(0.07344)
|
(0.09151)
|
(0.01638)
|
(0.02910)
|
(0.00512)
|
D(FTSE100)
|
4.097953
|
-0.103270
|
0.231705
|
0.055809
|
-0.708347
|
-0.015467
|
|
(1.02993)
|
(0.12196)
|
(0.15195)
|
(0.02721)
|
(0.04832)
|
(0.00849)
|
D(MIB30)
|
0.572667
|
0.426550
|
2.533661
|
-0.577587
|
-0.015323
|
-0.229325
|
|
(2.89469)
|
(0.34277)
|
(0.42708)
|
(0.07646)
|
(0.13581)
|
(0.02387)
|
D(SSMI)
|
-2.753214
|
0.054360
|
0.590299
|
0.003296
|
0.138361
|
-0.011063
|
|
(0.74039)
|
(0.08767)
|
(0.10923)
|
(0.01956)
|
(0.03474)
|
(0.00611)
|
VECM
Vector Error Correction Estimates
Date: 05/30/11 Time: 12:21
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in
( ) & t-statistics in [ ]
Cointegrating Eq: CointEq1
AEX(-1) 1.000000
BEL20(-1) -0.022232
(0.01952)
[-1.13919]
CAC40(-1) -0.011678
(0.02468)
[-0.47323]
DAX(-1) 0.006143
(0.00461)
[ 1.33296]
FTSE100(-1) -0.129930
(0.00817)
[-15.9069]
MIB30(-1) -0.002417
(0.00151)
[-1.60295]
SSMI(-1) 0.036681
(0.00685)
[ 5.35757]
C 208.2633
Error Correction: D(AEX) D(BEL20) D(CAC40) D(DAX) D(FTSE100)
D(MIB30) D(SSMI)
CointEq1 0.000806 0.025211 0.043489 0.100088 5.273059 0.103361
-1.373316
(0.00525) (0.03993) (0.06088) (0.23014) (0.36829) (1.07477)
(0.27042)
[ 0.15345] [ 0.63138] [ 0.71433] [ 0.43489] [ 14.3178] [ 0.09617]
[-5.07843]
D(AEX(-1)) 0.196660 2.852896 1.830724 0.964952 -0.339623
-9.602110 3.048412
(0.08552) (0.65001) (0.99107) (3.74646) (5.99525) (17.4959)
(4.40212)
[ 2.29955] [ 4.38898] [ 1.84722] [ 0.25756] [-0.05665] [-0.54882]
[ 0.69249]
D(AEX(-2)) -0.145930 -0.079490 -2.079784 1.774018 5.336141
1.045396 3.471691
(0.08568) (0.65126) (0.99296) (3.75361) (6.00670) (17.5293)
(4.41052)
[-1.70311] [-0.12206] [-2.09452] [ 0.47262] [ 0.88836] [ 0.05964]
[ 0.78714]
D(AEX(-3)) 0.026540 -1.062147 0.088737 2.944510 -3.677627
31.48520 0.702597
(0.08521) (0.64763) (0.98744) (3.73273) (5.97328) (17.4318)
(4.38599)
[ 0.31148] [-1.64005] [ 0.08987] [ 0.78884] [-0.61568] [ 1.80620]
[ 0.16019]
D(BEL20(-1)) 0.022909 -0.143406 0.254962 0.371046 0.725088
1.541486 0.687198
(0.00446) (0.03387) (0.05164) (0.19522) (0.31241) (0.91170)
(0.22939)
[ 5.14058] [-4.23379] [ 4.93692] [ 1.90061] [ 2.32097] [ 1.69079]
[ 2.99575]
D(BEL20(-2)) 0.006403 -0.031288 0.064764 0.529527 0.546551
1.726186 0.292853
(0.00463) (0.03517) (0.05363) (0.20273) (0.32441) (0.94673)
(0.23821)
[ 1.38355] [-0.88955] [ 1.20764] [ 2.61203] [ 1.68474] [ 1.82331]
[ 1.22941]
D(BEL20(-3)) 0.005314 0.008555 0.009840 0.476399 0.078105
2.846244 -0.045368
(0.00434) (0.03296) (0.05025) (0.18997) (0.30399) (0.88713)
(0.22321)
[ 1.22544] [ 0.25957] [ 0.19581] [ 2.50783] [ 0.25693] [ 3.20836]
[-0.20325]
D(CAC40(-1)) -0.029807 -0.040019 -0.332149 0.616962 -0.244969
0.717107 0.073005
(0.00732) (0.05562) (0.08481) (0.32058) (0.51301) (1.49712)
(0.37669)
[-4.07306] [-0.71949] [-3.91658] [ 1.92449] [-0.47751] [ 0.47899]
[ 0.19381]
D(CAC40(-2)) 0.008033 0.039834 0.083231 0.163735 -0.731970
1.687685 -0.103343
(0.00732) (0.05563) (0.08482) (0.32064) (0.51310) (1.49738)
(0.37675)
[ 1.09744] [ 0.71604] [ 0.98127] [ 0.51065] [-1.42656] [ 1.12709]
[-0.27430]
D(CAC40(-3)) -0.008977 0.066696 -0.070384 0.083483 0.218564
-1.375739 0.019420
(0.00727) (0.05528) (0.08429) (0.31863) (0.50989) (1.48801)
(0.37440)
[-1.23426] [ 1.20644] [-0.83502] [ 0.26200] [ 0.42865] [-0.92455]
[ 0.05187]
D(DAX(-1)) -0.000347 -0.006931 -0.005571 -0.732005 0.326012
-0.498287 0.076858
(0.00101) (0.00771) (0.01175) (0.04443) (0.07110) (0.20749)
(0.05221)
[-0.34236] [-0.89915] [-0.47399] [-16.4750] [ 4.58521] [-2.40147]
[ 1.47217]
D(DAX(-2)) -0.002407 -0.019322 -0.027662 -0.586939 0.172197
-0.777929 0.074634
(0.00112) (0.00850) (0.01296) (0.04897) (0.07837) (0.22870)
(0.05754)
[-2.15310] [-2.27406] [-2.13520] [-11.9850] [ 2.19727] [-3.40149]
[ 1.29700]
D(DAX(-3)) -0.000395 -0.000338 0.000121 -0.455492 0.083365
-0.936259 0.108990
(0.00098) (0.00746) (0.01138) (0.04302) (0.06885) (0.20092)
(0.05055)
[-0.40169] [-0.04533] [ 0.01062] [-10.5869] [ 1.21082] [-4.65979]
[ 2.15591]
D(FTSE100(-1)) 0.000283 0.004959 0.006435 -0.002136 -0.200321
-0.039135 -0.159889
(0.00064) (0.00484) (0.00738) (0.02789) (0.04464) (0.13027)
(0.03278)
[ 0.44492] [ 1.02472] [ 0.87212] [-0.07658] [-4.48771] [-0.30042]
[-4.87825]
D(FTSE100(-2)) -5.94E-05 0.003303 0.000200 -0.027275 -0.097493
-0.073939 -0.150426
(0.00056) (0.00423) (0.00644) (0.02435) (0.03897) (0.11374)
(0.02862)
[-0.10689] [ 0.78162] [ 0.03097] [-1.11989] [-2.50152] [-0.65009]
[-5.25650]
D(FTSE100(-3)) 2.37E-05 0.002730 0.001616 0.060033 0.009479
0.285405 0.055499
(0.00042) (0.00320) (0.00488) (0.01845) (0.02952) (0.08615)
(0.02168)
[ 0.05630] [ 0.85284] [ 0.33117] [ 3.25428] [ 0.32111] [ 3.31293]
[ 2.56042]
D(MIB30(-1)) -5.03E-05 0.000907 0.000141 -0.017571 0.013809
-0.647967 -0.006502
(0.00023) (0.00173) (0.00264) (0.00996) (0.01594) (0.04652)
(0.01170)
[-0.22108] [ 0.52467] [ 0.05333] [-1.76397] [ 0.86633] [-13.9295]
[-0.55550]
D(MIB30(-2)) 0.000540 0.004680 0.006431 -0.017226 0.021062
-0.421731 -0.000196
(0.00025) (0.00189) (0.00288) (0.01087) (0.01740) (0.05077)
(0.01277)
[ 2.17462] [ 2.48115] [ 2.23612] [-1.58451] [ 1.21066] [-8.30672]
[-0.01535]
D(MIB30(-3)) 0.000152 0.000460 0.000814 -0.019429 0.013038
-0.263843 -0.004297
(0.00022) (0.00168) (0.00257) (0.00970) (0.01553) (0.04532)
(0.01140)
[ 0.68503] [ 0.27349] [ 0.31702] [-2.00200] [ 0.83955] [-5.82169]
[-0.37679]
D(SSMI(-1)) -7.40E-05 -0.002428 -0.001010 0.029268 -0.136217
0.238025 -0.647691
(0.00054) (0.00412) (0.00628) (0.02374) (0.03799) (0.11086)
(0.02789)
[-0.13647] [-0.58940] [-0.16086] [ 1.23289] [-3.58578] [ 2.14707]
[-23.2201]
D(SSMI(-2)) -0.000582 -0.005066 -0.007380 0.016615 -0.097617
0.230174 -0.418012
(0.00061) (0.00460) (0.00702) (0.02653) (0.04246) (0.12392)
(0.03118)
[-0.96047] [-1.10044] [-1.05137] [ 0.62617] [-2.29895] [ 1.85751]
[-13.4072]
D(SSMI(-3)) -0.000441 -0.003412 -0.004692 0.010680 -0.047369
0.155393 -0.205658
(0.00053) (0.00401) (0.00611) (0.02310) (0.03696) (0.10787)
(0.02714)
[-0.83699] [-0.85149] [-0.76784] [ 0.46238] [-1.28152] [ 1.44055]
[-7.57734]
C -0.001863 -0.289613
(0.15218) (1.15664)
[-0.01224] [-0.25039]
|
0.114079 (1.76352) [ 0.06469]
|
3.826050 (6.66646) [ 0.57393]
|
0.997372 (10.6680) [ 0.09349]
|
-11.95328 (31.1323) [-0.38395]
|
1.879133 (7.83315) [ 0.23990]
|
R-squared 0.048695 0.082476
|
0.048989
|
0.556566
|
0.489530
|
0.486890
|
0.388942
|
Adj. R-squared 0.031582 0.065971
|
0.031882
|
0.548589
|
0.480347
|
0.477660
|
0.377950
|
Sum sq. resids 35196.42 2033283.
|
4726747.
|
67545040
|
1.73E+08
|
1.47E+09
|
93255717
|
S.E. equation 5.364583 40.77422
|
62.16815
|
235.0085
|
376.0712
|
1097.485
|
276.1369
|
F-statistic 2.845558 4.997031
|
2.863642
|
69.77360
|
53.31048
|
52.75028
|
35.38397
|
Log likelihood -3849.444 -6376.620
|
-6902.174
|
-8559.078
|
-9144.894
|
-10479.36
|
-8760.027
|
Akaike AIC 6.215801 10.27226
|
11.11585
|
13.77541
|
14.71572
|
16.85772
|
14.09796
|
Schwarz SC 6.310454 10.36692
|
11.21050
|
13.87006
|
14.81037
|
16.95237
|
14.19261
|
Mean dependent -0.023114 -0.361790
|
-0.073836
|
1.313002
|
0.552167
|
-7.232592
|
0.715730
|
S.D. dependent 5.451357 42.18960
|
63.18351
|
349.7820
|
521.6912
|
1518.526
|
350.1160
|
Determinant resid covariance (dof adj.) 3.69E+27
|
|
|
|
|
|
Determinant resid covariance 3.24E+27
|
|
|
|
|
|
Log likelihood -51840.25
|
|
|
|
|
|
Akaike information criterion 83.48034
|
|
|
|
|
|
Schwarz criterion 84.17171
|
|
|
|
|
|
Causalité
|
|
|
|
|
|
Pairwise Granger Causality Tests
|
|
|
|
|
|
Date: 05/30/11 Time: 12:23
|
|
|
|
|
|
Sample: 1 1250
|
|
|
|
|
|
Lags: 2
|
|
|
|
|
|
Null Hypothesis:
|
Obs
|
F-Statistic
|
Prob.
|
|
|
BE20 does not Granger Cause AEX
|
1247
|
15.4092
|
2.E-07
|
|
|
AEX does not Granger Cause BE20
|
|
12.0595
|
6.E-06
|
|
|
CAC40 does not Granger Cause AEX
|
1247
|
7.00492
|
0.0009
|
|
|
AEX does not Granger Cause CAC40
|
|
5.95261
|
0.0027
|
|
|
DAX does not Granger Cause AEX AEX does not Granger Cause
DAX
|
1239
|
0.46252 252.221
|
0.6298 1.E-92
|
FTSE100 does not Granger Cause AEX
|
1219
|
0.53042
|
0.5885
|
AEX does not Granger Cause FTSE100
|
|
6.58360
|
0.0014
|
MIB30 does not Granger Cause AEX
|
1235
|
14.8616
|
4.E-07
|
AEX does not Granger Cause MIB30
|
|
188.739
|
3.E-72
|
SSMI does not Granger Cause AEX
|
1239
|
3.57518
|
0.0283
|
AEX does not Granger Cause SSMI
|
|
3.69904
|
0.0250
|
CAC40 does not Granger Cause BE20
|
1247
|
8.15722
|
0.0003
|
BE20 does not Granger Cause CAC40
|
|
16.2514
|
1.E-07
|
DAX does not Granger Cause BE20
|
1239
|
1.05474
|
0.3486
|
BE20 does not Granger Cause DAX
|
|
127.902
|
3.E-51
|
FTSE100 does not Granger Cause BE20
|
1219
|
1.40439
|
0.2459
|
BE20 does not Granger Cause FTSE100
|
|
48.2435
|
7.E-21
|
MIB30 does not Granger Cause BE20
|
1235
|
15.1355
|
3.E-07
|
BE20 does not Granger Cause MIB30
|
|
97.8911
|
4.E-40
|
SSMI does not Granger Cause BE20
|
1239
|
3.41556
|
0.0332
|
BE20 does not Granger Cause SSMI
|
|
23.7874
|
7.E-11
|
DAX does not Granger Cause CAC40
|
1239
|
1.06033
|
0.3467
|
CAC40 does not Granger Cause DAX
|
|
255.165
|
2.E-93
|
FTSE100 does not Granger Cause CAC40
|
1219
|
2.04248
|
0.1302
|
CAC40 does not Granger Cause FTSE100
|
|
6.88765
|
0.0011
|
MIB30 does not Granger Cause CAC40
|
1235
|
12.4472
|
4.E-06
|
CAC40 does not Granger Cause MIB30
|
|
177.961
|
1.E-68
|
SSMI does not Granger Cause CAC40
|
1239
|
7.29282
|
0.0007
|
CAC40 does not Granger Cause SSMI
|
|
4.48664
|
0.0114
|
|
|
|
|
|
146
|
|
|
FTSE100 does not Granger Cause DAX DAX does not Granger
Cause FTSE100
|
1215
|
186.999 5.80865
|
2.E-71 0.0031
|
MIB30 does not Granger Cause DAX
|
1235
|
1.33238
|
0.2642
|
DAX does not Granger Cause MIB30
|
|
173.669
|
4.E-67
|
SSMI does not Granger Cause DAX
|
1231
|
102.042
|
1.E-41
|
DAX does not Granger Cause SSMI
|
|
6.00895
|
0.0025
|
MIB30 does not Granger Cause FTSE100
|
1211
|
10.7499
|
2.E-05
|
FTSE100 does not Granger Cause MIB30
|
|
249.484
|
2.E-91
|
SSMI does not Granger Cause FTSE100
|
1212
|
4.86855
|
0.0078
|
FTSE100 does not Granger Cause SSMI
|
|
1.15702
|
0.3148
|
SSMI does not Granger Cause MIB30
|
1227
|
134.987
|
1.E-53
|
MIB30 does not Granger Cause SSMI
|
|
14.6184
|
5.E-07
|
|
I P pLiThF dh noLd
|
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
30.42
|
30.149
|
30.042
|
29.97
|
SC
|
30.44
|
30.19
|
30.10
|
30.05
|
Co-integration
Date: 05/30/11 Time: 12:28
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments Trend assumption:
No deterministic trend Series: SP500 SPTS
Lags interval (in first differences): 1 to 3
Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)
Hypothesized Trace 0.05
No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**
None * 0.072997 94.82575 12.32090 0.0001
At most 1 0.000305 0.380540 4.129906 0.6005
Trace test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level *
denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level **MacKinnon-Haug-Michelis
(1999) p-values
Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)
Hypothesized Max-Eigen 0.05
No. of CE(s) Eigenvalue Statistic Critical Value Prob.**
None * 0.072997 94.44521 11.22480 0.0001
At most 1 0.000305 0.380540 4.129906 0.6005
Max-eigenvalue test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05
level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by
b'*S11*b=I):
SP500 SPTS
-0.006210 0.000661
0.000612 2.09E-05
Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):
D(SP500) 10.17572 -1.853936
D(SPTS) -404.7969 -16.70047
1 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -18665.66
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
SP500 SPTS
1.000000 -0.106474
(0.00140)
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
D(SP500) -0.063193
(0.01978)
D(SPTS) 2.513849
(0.30529)
VECM
Vector Error Correction Estimates
Date: 05/30/11 Time: 12:28
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in
( ) & t-statistics in [ ]
Cointegrating Eq:
|
CointEq1
|
|
SP500(-1)
|
1.000000
|
|
SPTS(-1)
|
-0.106474
|
|
|
(0.00140)
|
|
|
[-76.2824]
|
|
Error Correction:
|
D(SP500)
|
D(SPTS)
|
CointEq1
|
-0.063193
|
2.513849
|
|
(0.01978)
|
(0.30529)
|
|
[-3.19464]
|
[ 8.23434]
|
D(SP500(-1)) -0.694513 -2.559175
(0.03181) (0.49097)
[-21.8317] [-5.21247]
D(SP500(-2)) -0.459081 -2.230026
(0.03401) (0.52492)
[-13.4976] [-4.24828]
D(SP500(-3)) -0.216340 -0.246524
(0.02878) (0.44418)
[-7.51700] [-0.55501]
D(SPTS(-1)) -0.003336 -0.430587
(0.00235) (0.03622)
[-1.42173] [-11.8894]
D(SPTS(-2)) -0.001232 -0.233782
(0.00227) (0.03506)
[-0.54247] [-6.66885]
D(SPTS(-3)) -0.003383 -0.169750
(0.00188) (0.02896)
[-1.80309] [-5.86169]
R-squared 0.372979 0.345559
Adj. R-squared 0.369943 0.342390
Sum sq. resids 15663066 3.73E+09
S.E. equation 112.4353 1735.271
F-statistic 122.8352 109.0366
Log likelihood -7648.571 -11058.30
Akaike AIC 12.28824 17.76132
Schwarz SC 12.31704 17.79012
Mean dependent -0.030562 1.846926
S.D. dependent 141.6488 2139.849
Determinant resid covariance (dof adj.) 3.56E+10
Determinant resid covariance 3.52E+10
Log likelihood -18665.66
Akaike information criterion
|
29.98661
|
|
|
Schwarz criterion
|
30.05246
|
|
|
CausalitéPairwise Granger
Causality Tests
|
|
|
|
Date: 05/30/11 Time: 12:29
|
|
|
|
Sample: 1 1250
|
|
|
|
Lags: 2
|
|
|
|
Null Hypothesis:
|
Obs
|
F-Statistic
|
Prob.
|
SPTSX does not Granger Cause SP500
|
1126
|
2.68042
|
0.0690
|
SP500 does not Granger Cause SPTSX
|
|
43.2690
|
8.E-19
|
|
I \iF1SIIifiThF
|
|
VAR 1
|
VAR 2
|
VAR 3
|
VAR 4
|
AIC
|
133.77
|
133.07
|
132.789
|
132.54
|
SC
|
137.14
|
133.77
|
133.826
|
133.91
|
Co-integration
Date: 05/30/11 Time: 12:32
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments
Trend assumption: Linear deterministic trend
Series: ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225
SHANGCOMP STI Lags interval (in first differences): 1 to 3
Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)
Intégration financière internationale
face à une stratégie de diversification de
portefeuille
|
Hypothesized
No. of CE(s) Eigenvalue
|
Trace Statistic
|
0.05 Critical Value
|
Prob.**
|
None * 0.193499
|
973.0867
|
197.3709
|
0.0001
|
At most 1 * 0.154207
|
705.1337
|
159.5297
|
0.0000
|
At most 2 * 0.126327
|
496.4526
|
125.6154
|
0.0001
|
At most 3 * 0.087022
|
328.1820
|
95.75366
|
0.0000
|
At most 4 * 0.073948
|
214.7418
|
69.81889
|
0.0000
|
At most 5 * 0.059403
|
119.0180
|
47.85613
|
0.0000
|
At most 6 * 0.026600
|
42.71173
|
29.79707
|
0.0010
|
At most 7 0.004880
|
9.119399
|
15.49471
|
0.3545
|
At most 8 0.002424
|
3.024395
|
3.841466
|
0.0820
|
Trace test indicates 7 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level
|
|
|
|
* denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
|
|
|
|
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
|
|
|
|
Unrestricted Cointegration Rank Test (Maximum Eigenvalue)
|
|
|
Hypothesized
|
Max-Eigen
|
0.05
|
|
No. of CE(s) Eigenvalue
|
Statistic
|
Critical Value
|
Prob.**
|
None * 0.193499
|
267.9530
|
58.43354
|
0.0000
|
At most 1 * 0.154207
|
208.6811
|
52.36261
|
0.0001
|
At most 2 * 0.126327
|
168.2706
|
46.23142
|
0.0000
|
At most 3 * 0.087022
|
113.4402
|
40.07757
|
0.0000
|
At most 4 * 0.073948
|
95.72386
|
33.87687
|
0.0000
|
At most 5 * 0.059403
|
76.30625
|
27.58434
|
0.0000
|
At most 6 * 0.026600
|
33.59233
|
21.13162
|
0.0006
|
At most 7 0.004880
|
6.095004
|
14.26460
|
0.6010
|
At most 8 0.002424
|
3.024395
|
3.841466
|
0.0820
|
Max-eigenvalue test indicates 7 cointegrating eqn(s) at the 0.05
level * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level
**MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values
Unrestricted Cointegrating Coefficients (normalized by
b'*S11*b=I):
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
HANGSENG
|
JKSE
|
KLSE
|
KS11
|
NIKKEI225
|
SHA
|
0.001370
|
0.000269
|
-0.000315
|
0.001165
|
-0.014373
|
-0.001189
|
-0.000317
|
0.
|
0.000628
|
0.000527
|
-6.08E-05
|
-0.005301
|
0.007759
|
0.001715
|
-0.000295
|
-0.
|
-0.003074
|
0.000102
|
0.000480
|
-0.001628
|
-0.003130
|
-0.006400
|
0.000239
|
0.
|
0.000464
|
0.000407
|
-0.000217
|
0.001042
|
0.003013
|
-0.006451
|
0.000125
|
-4.
|
-0.002372
|
0.000157
|
-0.000443
|
-0.000529
|
-0.001264
|
0.003696
|
0.000121
|
-1.
|
-0.000811
|
0.000334
|
0.000146
|
-0.000494
|
-0.003241
|
0.001168
|
0.000416
|
0.
|
5.04E-05
|
5.74E-05
|
0.000260
|
0.000888
|
-0.002463
|
0.000185
|
-9.18E-05
|
-0.
|
-0.000694
|
0.000110
|
3.38E-05
|
0.000552
|
-0.000644
|
2.44E-05
|
-0.000128
|
0.
|
0.000490
|
-1.27E-05
|
4.19E-06
|
8.06E-05
|
3.93E-06
|
0.000276
|
1.31E-05
|
0.
|
Unrestricted Adjustment Coefficients (alpha):
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-12.61048
|
-24.32550
|
35.74549
|
-14.70375
|
25.40403
|
-6.116341
|
-10
|
D(BSE30)
|
-95.90700
|
-403.3727
|
156.0923
|
-226.5825
|
-69.97491
|
-216.4804
|
-33
|
D(HANGSENG)
|
300.1810
|
-0.551286
|
-285.2605
|
159.3466
|
176.1558
|
-101.4958
|
-82
|
D(JKSE)
|
23.56179
|
72.86116
|
35.39353
|
-28.24612
|
1.370294
|
-0.347172
|
-8.
|
D(KLSE)
|
45.28884
|
-0.196880
|
5.946693
|
-11.04083
|
-3.005862
|
7.444522
|
3.
|
D(KS11)
|
15.13820
|
1.702805
|
23.63166
|
29.15006
|
-11.81490
|
-13.61403
|
-0.
|
D(NIKKEI225)
|
200.7021
|
267.5029
|
-56.92639
|
-96.95929
|
-112.5904
|
-287.6652
|
48
|
D(SHANGCOMP)
|
-17.68201
|
23.30591
|
-21.71445
|
15.82100
|
13.71273
|
-0.111036
|
26
|
D(STI)
|
5.520858
|
1.803964
|
-21.58795
|
-6.281806
|
-28.99748
|
9.434907
|
-7.
|
1 Cointegrating Equation(s):
|
|
Log likelihood
|
-82592.82
|
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
|
|
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
HANGSENG
|
JKSE
|
KLSE
|
KS11
|
NIKKEI225
|
SHA
|
1.000000 0.196338 -0.230075 0.850115 -10.48760 -0.867554
-0.231648 0.
(0.03513) (0.03310) (0.24692) (0.74455) (0.42662) (0.02326)
(0.
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
D(ALLORDINARIES) -0.017282
(0.00981)
D(BSE30) -0.131434
(0.07147)
D(HANGSENG) 0.411378
(0.06502)
D(JKSE) 0.032290
(0.01028)
D(KLSE) 0.062065
(0.00467)
D(KS11) 0.020746
(0.00591)
D(NIKKEI225) 0.275049
(0.06727)
D(SHANGCOMP) -0.024232
(0.00962)
D(STI) 0.007566
(0.00665)
2 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -82488.48
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHA
1.000000
|
0.000000
|
-0.270743
|
3.688753
|
-17.46586
|
-1.966764
|
-0.158742
|
0.
|
|
|
(0.04832)
|
(0.32622)
|
(1.12617)
|
(0.63215)
|
(0.03504)
|
(0.
|
0.000000
|
1.000000
|
0.207133
|
-14.45788
|
35.54198
|
5.598548
|
-0.371328
|
-2.
|
|
|
(0.13398)
|
(0.90444)
|
(3.12230)
|
(1.75264)
|
(0.09716)
|
(0.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-0.032553
|
-0.016208
|
|
|
|
|
|
|
(0.01074)
|
(0.00421)
|
|
|
|
|
|
D(BSE30)
|
-0.384659
|
-0.238301
|
|
|
|
|
|
|
(0.07666)
|
(0.03008)
|
|
|
|
|
|
D(HANGSENG)
|
0.411032
|
0.080479
|
|
|
|
|
|
|
(0.07151)
|
(0.02806)
|
|
|
|
|
|
Intégration financière internationale
face à une stratégie de diversification de
portefeuille
|
D(JKSE)
|
0.078030
|
0.044723
|
|
(0.01086)
|
(0.00426)
|
D(KLSE)
|
0.061942
|
0.012082
|
|
(0.00514)
|
(0.00202)
|
D(KS11)
|
0.021815
|
0.004970
|
|
(0.00650)
|
(0.00255)
|
D(NIKKEI225)
|
0.442979
|
0.194923
|
|
(0.07308)
|
(0.02868)
|
D(SHANGCOMP)
|
-0.009601
|
0.007520
|
|
(0.01053)
|
(0.00413)
|
D(STI)
|
0.008698
|
0.002436
|
|
(0.00731)
|
(0.00287)
|
3 Cointegrating Equation(s): Log likelihood -82404.35
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHA
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-4.417774
|
26.33932
|
7.467030
|
-0.005741
|
-1.
|
|
|
|
(0.51649)
|
(1.82718)
|
(0.95049)
|
(0.05642)
|
(0.
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-8.255953
|
2.028647
|
-1.618815
|
-0.488382
|
-0.
|
|
|
|
(0.55976)
|
(1.98025)
|
(1.03011)
|
(0.06114)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
-29.94173
|
161.7959
|
34.84404
|
0.565117
|
-8.
|
|
|
|
(2.96748)
|
(10.4980)
|
(5.46101)
|
(0.32414)
|
(1.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-0.142417
|
-0.012562
|
0.022604
|
|
|
|
|
|
(0.02413)
|
(0.00423)
|
(0.00407)
|
|
|
|
|
D(BSE30)
|
-0.864409
|
-0.222382
|
0.129665
|
|
|
|
|
|
(0.17342)
|
(0.03041)
|
(0.02924)
|
|
|
|
|
D(HANGSENG)
|
1.287781
|
0.051386
|
-0.231460
|
|
|
|
|
|
(0.15997)
|
(0.02805)
|
(0.02698)
|
|
|
|
|
D(JKSE)
|
-0.030752
|
0.048333
|
0.005117
|
|
|
|
|
|
(0.02441)
|
(0.00428)
|
(0.00412)
|
|
|
|
|
D(KLSE)
|
0.043664
|
0.012689
|
-0.011415
|
|
|
|
|
Intégration financière internationale
face à une stratégie de diversification de
portefeuille
|
|
(0.01165)
|
(0.00204)
|
(0.00196)
|
D(KS11)
|
-0.050817
|
0.007380
|
0.006460
|
|
(0.01459)
|
(0.00256)
|
(0.00246)
|
D(NIKKEI225)
|
0.617942
|
0.189117
|
-0.106867
|
|
(0.16587)
|
(0.02909)
|
(0.02797)
|
D(SHANGCOMP)
|
0.057138
|
0.005305
|
-0.006260
|
|
(0.02383)
|
(0.00418)
|
(0.00402)
|
D(STI)
|
0.075049
|
0.000234
|
-0.012207
|
|
(0.01647)
|
(0.00289)
|
(0.00278)
|
4 Cointegrating Equation(s):
|
|
Log likelihood
|
-82347.63
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
ALLORDINARIES BSE30 HANGSENG JKSE KLSE KS11 NIKKEI225 SHA
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-2008.825
|
144.0679
|
-36.43127
|
89
|
|
|
|
|
(146.779)
|
(82.4024)
|
(5.17381)
|
(1
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-3801.294
|
253.6615
|
-68.56055
|
17
|
|
|
|
|
(276.380)
|
(155.160)
|
(9.74208)
|
(3
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-13631.65
|
960.6649
|
-246.3111
|
61
|
|
|
|
|
(995.644)
|
(558.958)
|
(35.0953)
|
(1
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
-460.6764
|
30.92076
|
-8.245222
|
20
|
|
|
|
|
(33.4247)
|
(18.7647)
|
(1.17818)
|
(4.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-0.149243
|
-0.018545
|
0.025800
|
0.040741
|
|
|
|
|
(0.02431)
|
(0.00510)
|
(0.00434)
|
(0.04054)
|
|
|
|
D(BSE30)
|
-0.969601
|
-0.314584
|
0.178910
|
1.536155
|
|
|
|
|
(0.17356)
|
(0.03643)
|
(0.03099)
|
(0.28944)
|
|
|
|
D(HANGSENG)
|
1.361758
|
0.116228
|
-0.266092
|
0.983060
|
|
|
|
|
(0.16067)
|
(0.03373)
|
(0.02869)
|
(0.26794)
|
|
|
|
D(JKSE)
|
-0.043866
|
0.036839
|
0.011256
|
-0.445819
|
|
|
|
|
(0.02448)
|
(0.00514)
|
(0.00437)
|
(0.04082)
|
|
|
|
D(KLSE)
|
0.038539
|
0.008196
|
-0.009015
|
0.032617
|
|
|
|
|
(0.01171)
|
(0.00246)
|
(0.00209)
|
(0.01952)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(KS11)
|
-0.037284
|
0.019242
|
0.000124
|
0.000534
|
|
(0.01443)
|
(0.00303)
|
(0.00258)
|
(0.02407)
|
D(NIKKEI225)
|
0.572929
|
0.149662
|
-0.085794
|
-1.192548
|
|
(0.16711)
|
(0.03508)
|
(0.02984)
|
(0.27869)
|
D(SHANGCOMP)
|
0.064483
|
0.011743
|
-0.009698
|
-0.092301
|
|
(0.02399)
|
(0.00504)
|
(0.00428)
|
(0.04001)
|
D(STI)
|
0.072133
|
-0.002322
|
-0.010841
|
0.025459
|
|
(0.01661)
|
(0.00349)
|
(0.00297)
|
(0.02771)
|
5 Cointegrating Equation(s):
|
|
Log likelihood
|
-82299.76
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
HANGSENG
|
JKSE
|
KLSE
|
KS11
|
NIKKEI225
|
SHA
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.395232
|
-0.104617
|
-0.
|
|
|
|
|
|
(0.18084)
|
(0.01056)
|
(0.
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-18.21000
|
0.180279
|
0.
|
|
|
|
|
|
(1.45748)
|
(0.08509)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-14.28136
|
0.197344
|
0.
|
|
|
|
|
|
(1.24055)
|
(0.07243)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-2.027176
|
0.085435
|
0.
|
|
|
|
|
|
(0.19152)
|
(0.01118)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
-0.071521
|
0.018084
|
-0.
|
|
|
|
|
|
(0.04057)
|
(0.00237)
|
(0.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-0.209490
|
-0.014553
|
0.014535
|
0.027303
|
-0.195803
|
|
|
|
(0.02933)
|
(0.00519)
|
(0.00532)
|
(0.04049)
|
(0.11861)
|
|
|
D(BSE30)
|
-0.803650
|
-0.325582
|
0.209938
|
1.573168
|
-2.834192
|
|
|
|
(0.21036)
|
(0.03725)
|
(0.03814)
|
(0.29043)
|
(0.85082)
|
|
|
D(HANGSENG)
|
0.943991
|
0.143913
|
-0.344203
|
0.889882
|
-3.168266
|
|
|
|
(0.19373)
|
(0.03431)
|
(0.03512)
|
(0.26747)
|
(0.78357)
|
|
|
D(JKSE)
|
-0.047115
|
0.037054
|
0.010648
|
-0.446544
|
0.029048
|
|
|
|
(0.02969)
|
(0.00526)
|
(0.00538)
|
(0.04099)
|
(0.12009)
|
|
|
D(KLSE)
|
0.045667
|
0.007723
|
-0.007682
|
0.034207
|
-0.700527
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.01419)
|
(0.00251)
|
(0.00257)
|
(0.01960)
|
(0.05741)
|
D(KS11)
|
-0.009264
|
0.017385
|
0.005363
|
0.006783
|
-0.175560
|
|
(0.01745)
|
(0.00309)
|
(0.00316)
|
(0.02409)
|
(0.07057)
|
D(NIKKEI225)
|
0.839946
|
0.131966
|
-0.035869
|
-1.132993
|
-0.780720
|
|
(0.20225)
|
(0.03582)
|
(0.03667)
|
(0.27924)
|
(0.81804)
|
D(SHANGCOMP)
|
0.031962
|
0.013898
|
-0.015779
|
-0.099554
|
0.533271
|
|
(0.02906)
|
(0.00515)
|
(0.00527)
|
(0.04012)
|
(0.11752)
|
D(STI)
|
0.140903
|
-0.006880
|
0.002017
|
0.040797
|
0.019949
|
|
(0.01985)
|
(0.00351)
|
(0.00360)
|
(0.02740)
|
(0.08028)
|
6 Cointegrating Equation(s):
|
|
Log likelihood
|
-82261.61
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
HANGSENG
|
JKSE
|
KLSE
|
KS11
|
NIKKEI225
|
SHA
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.120703
|
-0.
|
|
|
|
|
|
|
(0.01067)
|
(0.
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.921444
|
0.
|
|
|
|
|
|
|
(0.11853)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.778610
|
0.
|
|
|
|
|
|
|
(0.10298)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.167943
|
0.
|
|
|
|
|
|
|
(0.01520)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.020995
|
-0.
|
|
|
|
|
|
|
(0.00237)
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.040701
|
-0.
|
|
|
|
|
|
|
(0.00704)
|
(0.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-0.204531
|
-0.016598
|
0.013643
|
0.030326
|
-0.175978
|
-0.073860
|
|
|
(0.02986)
|
(0.00569)
|
(0.00541)
|
(0.04062)
|
(0.12073)
|
(0.07064)
|
|
D(BSE30)
|
-0.628118
|
-0.397976
|
0.178355
|
1.680137
|
-2.132483
|
-0.626154
|
|
|
(0.21261)
|
(0.04055)
|
(0.03854)
|
(0.28925)
|
(0.85960)
|
(0.50300)
|
|
D(HANGSENG)
|
1.026289
|
0.109971
|
-0.359011
|
0.940033
|
-2.839273
|
0.972267
|
|
|
(0.19693)
|
(0.03755)
|
(0.03569)
|
(0.26792)
|
(0.79619)
|
(0.46590)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
D(JKSE)
|
-0.046834
|
0.036938
|
0.010597
|
-0.446372
|
0.030173
|
0.057300
|
|
(0.03024)
|
(0.00577)
|
(0.00548)
|
(0.04114)
|
(0.12226)
|
(0.07154)
|
|
D(KLSE)
|
0.039631
|
0.010213
|
-0.006596
|
0.030529
|
-0.724658
|
-0.023427
|
|
|
(0.01443)
|
(0.00275)
|
(0.00262)
|
(0.01963)
|
(0.05833)
|
(0.03414)
|
|
D(KS11)
|
0.001775
|
0.012833
|
0.003377
|
0.013510
|
-0.131431
|
-0.413938
|
|
|
(0.01769)
|
(0.00337)
|
(0.00321)
|
(0.02407)
|
(0.07154)
|
(0.04186)
|
|
D(NIKKEI225)
|
1.073199
|
0.035767
|
-0.077838
|
-0.990850
|
0.151731
|
0.457850
|
|
|
(0.20297)
|
(0.03871)
|
(0.03679)
|
(0.27614)
|
(0.82062)
|
(0.48019)
|
|
D(SHANGCOMP)
|
0.032052
|
0.013861
|
-0.015795
|
-0.099500
|
0.533631
|
0.148432
|
|
|
(0.02960)
|
(0.00564)
|
(0.00536)
|
(0.04026)
|
(0.11965)
|
(0.07002)
|
|
D(STI)
|
0.133252
|
-0.003724
|
0.003393
|
0.036135
|
-0.010634
|
0.079051
|
|
|
(0.02018)
|
(0.00385)
|
(0.00366)
|
(0.02746)
|
(0.08160)
|
(0.04775)
|
|
7 Cointegrating Equation(s):
|
|
Log likelihood
|
-82244.81
|
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
|
|
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
HANGSENG
|
JKSE
|
KLSE
|
KS11
|
NIKKEI225
|
SHA
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-3.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-2.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
-0.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
-0.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
4.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES) -0.205035
|
-0.017172
|
0.011042
|
0.021448
|
-0.151340
|
-0.075712
|
0.
|
|
|
|
|
|
|
|
(0.
|
|
(0.02984)
|
(0.00570)
|
(0.00570)
|
(0.04106)
|
(0.12185)
|
(0.07060)
|
D(BSE30)
|
-0.629794
|
-0.399883
|
0.169709
|
1.650622
|
-2.050579
|
-0.632310
|
0.
|
|
(0.21259)
|
(0.04064)
|
(0.04065)
|
(0.29256)
|
(0.86815)
|
(0.50299)
|
(0.
|
D(HANGSENG)
|
1.022118
|
0.105226
|
-0.380517
|
0.866623
|
-2.635555
|
0.956955
|
-0.
|
|
(0.19669)
|
(0.03760)
|
(0.03761)
|
(0.27067)
|
(0.80320)
|
(0.46536)
|
(0.
|
D(JKSE)
|
-0.047271
|
0.036441
|
0.008345
|
-0.454059
|
0.051505
|
0.055697
|
-0.
|
|
(0.03022)
|
(0.00578)
|
(0.00578)
|
(0.04159)
|
(0.12343)
|
(0.07151)
|
(0.
|
D(KLSE)
|
0.039815
|
0.010423
|
-0.005646
|
0.033775
|
-0.733665
|
-0.022750
|
-0.
|
|
(0.01442)
|
(0.00276)
|
(0.00276)
|
(0.01985)
|
(0.05890)
|
(0.03412)
|
(0.
|
D(KS11)
|
0.001742
|
0.012796
|
0.003209
|
0.012936
|
-0.129837
|
-0.414058
|
-0.
|
|
(0.01770)
|
(0.00338)
|
(0.00338)
|
(0.02435)
|
(0.07226)
|
(0.04187)
|
(0.
|
D(NIKKEI225)
|
1.075661
|
0.038569
|
-0.065139
|
-0.947504
|
0.031444
|
0.466891
|
-0.
|
|
(0.20290)
|
(0.03879)
|
(0.03879)
|
(0.27922)
|
(0.82858)
|
(0.48007)
|
(0.
|
D(SHANGCOMP)
|
0.033384
|
0.015376
|
-0.008930
|
-0.076065
|
0.468600
|
0.153320
|
-0.
|
|
(0.02942)
|
(0.00562)
|
(0.00563)
|
(0.04049)
|
(0.12014)
|
(0.06961)
|
(0.
|
D(STI)
|
0.132885
|
-0.004142
|
0.001498
|
0.029666
|
0.007318
|
0.077702
|
-0.
|
|
(0.02017)
|
(0.00385)
|
(0.00386)
|
(0.02775)
|
(0.08235)
|
(0.04771)
|
(0.
|
8 Cointegrating Equation(s):
|
|
Log likelihood
|
-82241.77
|
|
|
|
|
Normalized cointegrating coefficients (standard error in
parentheses)
|
|
|
|
|
|
ALLORDINARIES
|
BSE30
|
HANGSENG
|
JKSE
|
KLSE
|
KS11
|
NIKKEI225
|
SHA
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.
|
|
|
|
|
|
|
|
0.
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
0.000000
|
1.
|
Adjustment coefficients (standard error in parentheses)
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINARIES)
|
-0.206264
|
-0.016977
|
0.011102
|
0.022424
|
-0.152480
|
-0.075669
|
0.
|
|
(0.03023)
|
(0.00576)
|
(0.00571)
|
(0.04124)
|
(0.12193)
|
(0.07060)
|
(0.
|
D(BSE30)
|
-0.594264
|
-0.405514
|
0.167981
|
1.622394
|
-2.017626
|
-0.633556
|
0.
|
|
(0.21529)
|
(0.04099)
|
(0.04066)
|
(0.29372)
|
(0.86837)
|
(0.50278)
|
(0.
|
D(HANGSENG)
|
1.055895
|
0.099873
|
-0.382159
|
0.839787
|
-2.604228
|
0.955770
|
-0.
|
|
(0.19918)
|
(0.03792)
|
(0.03762)
|
(0.27174)
|
(0.80338)
|
(0.46515)
|
(0.
|
D(JKSE)
|
-0.042558
|
0.035694
|
0.008116
|
-0.457804
|
0.055876
|
0.055531
|
-0.
|
|
(0.03061)
|
(0.00583)
|
(0.00578)
|
(0.04176)
|
(0.12346)
|
(0.07148)
|
(0.
|
D(KLSE)
|
0.042008
|
0.010075
|
-0.005752
|
0.032032
|
-0.731631
|
-0.022827
|
-0.
|
|
(0.01461)
|
(0.00278)
|
(0.00276)
|
(0.01993)
|
(0.05892)
|
(0.03411)
|
(0.
|
D(KS11)
|
0.004071
|
0.012426
|
0.003096
|
0.011085
|
-0.127676
|
-0.414139
|
-0.
|
|
(0.01792)
|
(0.00341)
|
(0.00339)
|
(0.02445)
|
(0.07229)
|
(0.04186)
|
(0.
|
D(NIKKEI225)
|
1.046323
|
0.043218
|
-0.063713
|
-0.924195
|
0.004234
|
0.467920
|
-0.
|
|
(0.20550)
|
(0.03912)
|
(0.03881)
|
(0.28036)
|
(0.82887)
|
(0.47991)
|
(0.
|
D(SHANGCOMP)
|
0.039456
|
0.014414
|
-0.009225
|
-0.080890
|
0.474231
|
0.153107
|
-0.
|
|
(0.02979)
|
(0.00567)
|
(0.00563)
|
(0.04064)
|
(0.12015)
|
(0.06956)
|
(0.
|
D(STI)
|
0.134764
|
-0.004440
|
0.001407
|
0.028173
|
0.009061
|
0.077636
|
-0.
|
|
(0.02043)
|
(0.00389)
|
(0.00386)
|
(0.02787)
|
(0.08239)
|
(0.04770)
|
(0.
|
VECM
Vector Error Correction Estimates
Date: 05/30/11 Time: 12:33
Sample (adjusted): 5 1250
Included observations: 1250 after adjustments Standard errors in
( ) & t-statistics in [ ]
Cointegrating Eq: CointEqi
ALLORDINARIES(-1) 1.000000
BSE30(-1) 0.196338
(0.03513)
[ 5.58864]
HANGSENG(-1) -0.230075
(0.03310)
[-6.95054]
JKSE(-1) 0.850115
(0.24692)
[ 3.44292]
KLSE(-1) -10.48760
(0.74455)
[-14.0859]
KS11(-1) -0.867554
(0.42662)
[-2.03353]
NIKKEI225(-1) -0.231648
(0.02326)
[-9.95861]
SHANGCOMP(-1) 0.433636
(0.07780)
[ 5.57358]
STI(-1) 2.182948
(0.28198)
|
|
|
|
|
|
|
|
C
|
[ 7.74150]
4094.793
|
|
|
|
|
|
|
D(ALLORDINA
|
|
|
|
|
|
|
Error Correction:
|
RIES)
|
D(BSE30)
|
D(HANGSENG)
|
D(JKSE)
|
D(KLSE)
|
D(KS11)
|
D
|
CointEq1
|
-0.017282
|
-0.131434
|
0.411378
|
0.032290
|
0.062065
|
0.020746
|
|
|
(0.00981)
|
(0.07147)
|
(0.06502)
|
(0.01028)
|
(0.00467)
|
(0.00591)
|
|
|
[-1.76194]
|
[-1.83892]
|
[ 6.32738]
|
[ 3.14152]
|
[ 13.2910]
|
[ 3.50876]
|
[
|
D(ALLORDINARIES(-1))
|
-0.648577
|
0.523284
|
-0.224502
|
-0.047129
|
-0.078627
|
-0.028931
|
-
|
|
(0.03069)
|
(0.22363)
|
(0.20343)
|
(0.03216)
|
(0.01461)
|
(0.01850)
|
|
|
[-21.1337]
|
[ 2.33993]
|
[-1.10361]
|
[-1.46547]
|
[-5.38138]
|
[-1.56385]
|
[
|
D(ALLORDINARIES(-2))
|
-0.401180
|
0.644307
|
-0.169185
|
-0.121554
|
-0.085849
|
-0.030494
|
-
|
|
(0.03429)
|
(0.24984)
|
(0.22726)
|
(0.03593)
|
(0.01632)
|
(0.02067)
|
|
|
[-11.7011]
|
[ 2.57890]
|
[-0.74444]
|
[-3.38320]
|
[-5.25932]
|
[-1.47546]
|
[
|
D(ALLORDINARIES(-3))
|
-0.212269
|
0.482392
|
-0.096007
|
0.079158
|
-0.086553
|
0.068994
|
|
|
(0.02966)
|
(0.21612)
|
(0.19659)
|
(0.03108)
|
(0.01412)
|
(0.01788)
|
|
|
[-7.15710]
|
[ 2.23204]
|
[-0.48835]
|
[ 2.54694]
|
[-6.12966]
|
[ 3.85907]
|
[
|
D(BSE30(-1)) 0.006037 -0.691396 0.005537 -0.001906 -0.001786
0.000130
(0.00429) (0.03127) (0.02845) (0.00450) (0.00204) (0.00259)
[ 1.40666] [-22.1082] [ 0.19464] [-0.42382] [-0.87429] [ 0.05034]
[
D(BSE30(-2)) 0.000574 -0.540992 0.061736 0.009528 -0.001787
3.54E-05
(0.00458) (0.03340) (0.03038) (0.00480) (0.00218) (0.00276)
[ 0.12530] [-16.1988] [ 2.03215] [ 1.98388] [-0.81913] [ 0.01281]
[
D(BSE30(-3)) 0.004268 -0.332318 0.038310 0.001209 -0.002117
-0.002325
(0.00395) (0.02881) (0.02621) (0.00414) (0.00188) (0.00238)
[ 1.07943] [-11.5347] [ 1.46183] [ 0.29186] [-1.12480] [-0.97557]
[
D(HANGSENG(-1)) -0.010067 -0.042574 -0.563062 0.001247 0.011978
0.000200
(0.00475) (0.03458) (0.03146) (0.00497) (0.00226) (0.00286)
[-2.12133] [-1.23108] [-17.8991] [ 0.25070] [ 5.30147] [ 0.06975]
[
D(HANGSENG(-2)) -0.008102 -0.054421 -0.367188 3.25E-06 0.006897
-0.000853
(0.00508) (0.03699) (0.03365) (0.00532) (0.00242) (0.00306)
[-1.59585] [-1.47104] [-10.9113] [ 0.00061] [ 2.85338] [-0.27886]
[
D(HANGSENG(-3)) -0.001812 -0.007216 -0.169047 0.004764 0.003167
0.004027 -
(0.00445) (0.03242) (0.02949) (0.00466) (0.00212) (0.00268)
[-0.40735] [-0.22258] [-5.73190] [ 1.02181] [ 1.49496] [ 1.50154]
[
D(JKSE(-1)) -0.001479 1.129301 -0.605538 -0.607721 0.003231
0.031138
(0.03030) (0.22081) (0.20086) (0.03175) (0.01443) (0.01827)
[-0.04882] [ 5.11431] [-3.01472] [-19.1381] [ 0.22397] [ 1.70467]
[
D(JKSE(-2)) -0.009444 -0.041734 -0.333934 -0.367369 -0.011184
0.004415
(0.03344) (0.24368) (0.22166) (0.03504) (0.01592) (0.02016)
[-0.28243] [-0.17127] [-1.50651] [-10.4834] [-0.70247] [ 0.21902]
[
D(JKSE(-3)) 0.004917 0.179374 -0.128975 -0.155022 -0.010925
-0.006684
(0.02928) (0.21336) (0.19408) (0.03068) (0.01394) (0.01765)
[ 0.16794] [ 0.84070] [-0.66453] [-5.05235] [-0.78369] [-0.37870]
[
D(KLSE(-1)) -0.180497 -0.379257 4.380679 0.435628 -0.279480
0.245694
(0.09899) (0.72136) (0.65618) (0.10374) (0.04713) (0.05967)
[-1.82333] [-0.52575] [ 6.67602] [ 4.19936] [-5.92998] [ 4.11727]
[
D(KLSE(-2)) -0.138371 0.898484 2.513913 0.483563 -0.159616
0.162138
(0.08846) (0.64460) (0.58636) (0.09270) (0.04211) (0.05332)
[-1.56423] [ 1.39386] [ 4.28733] [ 5.21652] [-3.79000] [ 3.04062]
[
D(KLSE(-3)) -0.114223 0.150938 1.239412 0.177168 -0.066914
0.108560
(0.06706) (0.48867) (0.44452) (0.07027) (0.03193) (0.04042)
[-1.70328] [ 0.30888] [ 2.78823] [ 2.52110] [-2.09582] [ 2.68548]
[
D(KS11(-1)) -0.073844 -1.020135 0.980640 -0.057213 -0.005239
-0.722083 -
(0.04836) (0.35241) (0.32057) (0.05068) (0.02302) (0.02915)
[-1.52690] [-2.89473] [ 3.05907] [-1.12893] [-0.22754] [-24.7688]
[
D(KS11(-2)) -0.047981 -0.281880 0.433435 -0.038299 0.007127
-0.449274 -
(0.05567) (0.40564) (0.36899) (0.05833) (0.02650) (0.03356)
[-0.86193] [-0.69490] [ 1.17465] [-0.65655] [ 0.26891] [-13.3886]
[
D(KS11(-3)) -0.037238 -0.170908 0.187575 -0.028723 0.008190
-0.223785 -
(0.04774) (0.34790) (0.31647) (0.05003) (0.02273) (0.02878)
[-0.77997] [-0.49125] [ 0.59271] [-0.57411] [ 0.36030] [-7.77570]
[
D(NIKKEI225(-1)) -0.005322 0.059736 0.126654 0.010138 0.011704
0.003899 -
(0.00443) (0.03226) (0.02934) (0.00464) (0.00211) (0.00267)
[-1.20220] [ 1.85184] [ 4.31630] [ 2.18553] [ 5.55351] [ 1.46130]
[
D(NIKKEI225(-2)) 0.009241 0.039673 0.097802 0.004527 0.006924
0.003061 -
(0.00484) (0.03525) (0.03206) (0.00507) (0.00230) (0.00292)
[ 1.91055] [ 1.12557] [ 3.05039] [ 0.89303] [ 3.00654] [ 1.04997]
[
D(NIKKEI225(-3)) 0.003736 0.002131 0.083205 -0.002591 0.001383
0.006269 -
(0.00414) (0.03018) (0.02746) (0.00434) (0.00197) (0.00250)
[ 0.90201] [ 0.07059] [ 3.03048] [-0.59694] [ 0.70130] [ 2.51060]
[
D(SHANGCOMP(-1)) 0.275524 1.460187 0.290867 -0.009179 0.003767
0.027456 -
(0.03005) (0.21898) (0.19920) (0.03149) (0.01431) (0.01812)
[ 9.16842] [ 6.66799] [ 1.46019] [-0.29147] [ 0.26327] [ 1.51561]
[
D(SHANGCOMP(-2)) 0.039401 -0.795413 -0.434941 -0.054484 -0.017841
-0.037005 -
(0.03142) (0.22895) (0.20827) (0.03293) (0.01496) (0.01894)
[ 1.25403] [-3.47411] [-2.08838] [-1.65477] [-1.19266] [-1.95382]
[
D(SHANGCOMP(-3)) 0.029752 -0.512194 -0.353870 -0.012373 0.004600
-0.080497 -
(0.03115) (0.22700) (0.20649) (0.03264) (0.01483) (0.01878)
[ 0.95506] [-2.25635] [-1.71374] [-0.37904] [ 0.31013] [-4.28668]
[
D(STI(-1)) 0.045249 0.652464 -1.052226 0.034744 -0.047883
-0.071795
(0.04624) (0.33692) (0.30648) (0.04845) (0.02201) (0.02787)
[ 0.97867] [ 1.93656] [-3.43330] [ 0.71709] [-2.17524] [-2.57592]
[
D(STI(-2)) 0.038708 0.055075 -0.590828 -0.013887 -0.047490
-0.093401
(0.05052) (0.36812) (0.33486) (0.05294) (0.02405) (0.03045)
[ 0.76623] [ 0.14961] [-1.76441] [-0.26233] [-1.97453] [-3.06711]
[
D(STI(-3)) 0.024115 -0.185761 -0.292175 0.080433 -0.026362
-0.055093
(0.04348) (0.31682) (0.28819) (0.04556) (0.02070) (0.02621)
[ 0.55467] [-0.58633] [-1.01382] [ 1.76539] [-1.27358] [-2.10210]
[
C 0.825267 19.48715 11.72583 2.462879 0.674493 1.318499 -
(7.15917) (52.1688) (47.4550) (7.50225) (3.40844) (4.31562)
[ 0.11527]
|
[ 0.37354]
|
[ 0.24709]
|
[ 0.32829]
|
[ 0.19789]
|
[ 0.30552]
|
[
|
R-squared 0.388153
|
0.460749
|
0.328087
|
0.307668
|
0.455971
|
0.420654
|
|
Adj. R-squared 0.374076
|
0.448342
|
0.312628
|
0.291739
|
0.443454
|
0.407325
|
|
Sum sq. resids 77676235
|
4.12E+09
|
3.41E+09
|
85299295
|
17606558
|
28226022
|
|
S.E. equation 252.6381
|
1840.969
|
1674.628
|
264.7448
|
120.2796
|
152.2929
|
|
F-statistic 27.57354
|
37.13688
|
21.22313
|
19.31527
|
36.42899
|
31.55877
|
|
Log likelihood -8646.146
|
-11120.81
|
-11002.82
|
-8704.469
|
-7721.440
|
-8015.480
|
-
|
Akaike AIC 13.92479
|
17.89697
|
17.70757
|
14.01841
|
12.44051
|
12.91249
|
|
Schwarz SC 14.04414
|
18.01632
|
17.82691
|
14.13775
|
12.55986
|
13.03183
|
|
Mean dependent 0.482825
|
8.362552
|
5.920722
|
1.226549
|
0.332014
|
0.537408
|
-
|
S.D. dependent 319.3287
|
2478.629
|
2019.866
|
314.5798
|
161.2283
|
197.8205
|
|
Determinant resid covariance (dof adj.)
|
3.76E+46
|
|
|
|
|
|
Determinant resid covariance
|
3.04E+46
|
|
|
|
|
|
Log likelihood
|
-82592.82
|
|
|
|
|
|
Akaike information criterion
|
133.0061
|
|
|
|
|
|
Schwarz criterion 134.1173
Causalité
Pairwise Granger Causality Tests Date: 05/30/11 Time: 12:33
Sample: 1 1250
Lags: 2
Null Hypothesis:
|
Obs
|
F-Statistic
|
Prob.
|
BSE30 does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1156
|
4.36975
|
0.0129
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause BSE30
|
|
1.23135
|
0.2923
|
HANGSENG does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1194
|
1.84859
|
0.1579
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause HANGSENG
|
|
38.3245
|
7.E-17
|
JKSE does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1156
|
1.66814
|
0.1891
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause JKSE
|
|
1.04722
|
0.3512
|
KLSE does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1180
|
0.68969
|
0.5019
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause KLSE
|
|
2.99836
|
0.0503
|
KS11 does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1184
|
4.37455
|
0.0128
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause KS11
|
|
22.0771
|
4.E-10
|
NIKKEI225 does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1148
|
3.24389
|
0.0394
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause NIKKEI225
|
|
1.09710
|
0.3342
|
SHANGCOMP does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1208
|
0.92917
|
0.3952
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
3.40938
|
0.0334
|
STI does not Granger Cause ALLORDINARIE
|
1215
|
3.22035
|
0.0403
|
ALLORDINARIE does not Granger Cause STI
|
|
6.78728
|
0.0012
|
HANGSENG does not Granger Cause BSE30
|
1125
|
0.18878
|
0.8280
|
BSE30 does not Granger Cause HANGSENG
|
|
10.0392
|
5.E-05
|
JKSE does not Granger Cause BSE30 BSE30 does not Granger
Cause JKSE
|
1104
|
26.1222 3.74719
|
8.E-12 0.0239
|
KLSE does not Granger Cause BSE30
|
1123
|
6.16689
|
0.0022
|
BSE30 does not Granger Cause KLSE
|
|
14.4001
|
7.E-07
|
KS11 does not Granger Cause BSE30
|
1126
|
5.91924
|
0.0028
|
BSE30 does not Granger Cause KS11
|
|
10.6902
|
3.E-05
|
NIKKEI225 does not Granger Cause BSE30
|
1097
|
13.5299
|
2.E-06
|
BSE30 does not Granger Cause NIKKEI225
|
|
9.46306
|
8.E-05
|
SHANGCOMP does not Granger Cause BSE30
|
1146
|
1.49760
|
0.2241
|
BSE30 does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
0.63645
|
0.5294
|
STI does not Granger Cause BSE30
|
1144
|
10.4669
|
3.E-05
|
BSE30 does not Granger Cause STI
|
|
8.51489
|
0.0002
|
JKSE does not Granger Cause HANGSENG
|
1127
|
0.04334
|
0.9576
|
HANGSENG does not Granger Cause JKSE
|
|
10.6329
|
3.E-05
|
KLSE does not Granger Cause HANGSENG
|
1159
|
0.66933
|
0.5122
|
HANGSENG does not Granger Cause KLSE
|
|
0.35523
|
0.7011
|
KS11 does not Granger Cause HANGSENG
|
1167
|
4.90611
|
0.0076
|
HANGSENG does not Granger Cause KS11
|
|
5.58634
|
0.0039
|
NIKKEI225 does not Granger Cause HANGSENG
|
1129
|
0.14080
|
0.8687
|
HANGSENG does not Granger Cause NIKKEI225
|
|
3.07827
|
0.0464
|
SHANGCOMP does not Granger Cause HANGSENG
|
1185
|
0.73570
|
0.4794
|
HANGSENG does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
26.9575
|
4.E-12
|
STI does not Granger Cause HANGSENG
|
1190
|
6.76244
|
0.0012
|
HANGSENG does not Granger Cause STI
|
|
35.0109
|
2.E-15
|
KLSE does not Granger Cause JKSE
|
1147
|
6.22995
|
0.0020
|
JKSE does not Granger Cause KLSE
|
|
20.6849
|
1.E-09
|
168
KS11 does not Granger Cause JKSE JKSE does not Granger Cause
KS11
|
1132
|
21.8117 5.61677
|
5.E-10 0.0037
|
NIKKEI225 does not Granger Cause JKSE
|
1101
|
11.6705
|
1.E-05
|
JKSE does not Granger Cause NIKKEI225
|
|
27.0345
|
3.E-12
|
SHANGCOMP does not Granger Cause JKSE
|
1138
|
2.72690
|
0.0659
|
JKSE does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
9.70568
|
7.E-05
|
STI does not Granger Cause JKSE
|
1155
|
34.9244
|
2.E-15
|
JKSE does not Granger Cause STI
|
|
2.90162
|
0.0553
|
KS11 does not Granger Cause KLSE
|
1148
|
3.49125
|
0.0308
|
KLSE does not Granger Cause KS11
|
|
1.55831
|
0.2109
|
NIKKEI225 does not Granger Cause KLSE
|
1117
|
14.8676
|
4.E-07
|
KLSE does not Granger Cause NIKKEI225
|
|
1.11680
|
0.3277
|
SHANGCOMP does not Granger Cause KLSE
|
1166
|
3.20636
|
0.0409
|
KLSE does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
2.12369
|
0.1201
|
STI does not Granger Cause KLSE
|
1184
|
5.68529
|
0.0035
|
KLSE does not Granger Cause STI
|
|
9.23541
|
0.0001
|
NIKKEI225 does not Granger Cause KS11
|
1126
|
0.39173
|
0.6760
|
KS11 does not Granger Cause NIKKEI225
|
|
15.2059
|
3.E-07
|
SHANGCOMP does not Granger Cause KS11
|
1173
|
2.05511
|
0.1285
|
KS11 does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
4.53632
|
0.0109
|
STI does not Granger Cause KS11
|
1176
|
4.59313
|
0.0103
|
KS11 does not Granger Cause STI
|
|
80.5746
|
2.E-33
|
SHANGCOMP does not Granger Cause NIKKEI225
|
1134
|
4.40740
|
0.0124
|
NIKKEI225 does not Granger Cause SHANGCOMP
|
|
1.71246
|
0.1809
|
STI does not Granger Cause NIKKEI225
|
1145
|
17.7276
|
3.E-08
|
NIKKEI225 does not Granger Cause STI
|
|
2.09098
|
0.1240
|
STI does not Granger Cause SHANGCOMP
|
1197
|
3.15280
|
0.0431
|
SHANGCOMP does not Granger Cause STI 3.08377 0.0462
TABLE DE MATIERE
Introduction generale 2
Chapitre 1 : les modèles d?évaluation des actifs
financiers 6
1.1 : l?approche traditionnelle de markowitz (1952) 7
1.1.2 : le portefeuille de h. Markowitz 8
1.1.2.1 : volatilité 8
1.1.2.2 : l?écart type 8
1.1.2.3 : variance de portefeuille 9
1.1.2.4 : minimisation de la variance du portefeuille 10
1.1.2.5 : la corrélation 10
1.1.2.6 : mesure de la var 11
1.1.2.7 : ratio de risque / performance 11
1.2 : le modèle d?évaluation des actifs financiers
(medaf) 13
1.2.1 : définition 13
1.2.2 : les hypothèses de medaf 14
1.2.3 : validation empirique du medaf 15
1.2.4 : régression en série chronologique 16
1.2.5 : le medaf de black (1972) 16
1.2.6 : les anomalies et les critiques de medaf 17
1.2.7 : le medaf conditionnel 17
1.2.8 : le modèle d?évaluation des actifs
financiers à l?internationale (mdafi) 19
1. 3 : le modèle de fama french (1993) 20
1.3.1 : la logique du modèle à trois facteurs de
ff (1993) 20
1.3.2 : le modèle à trois facteurs de fama french
(1993) 21
1.3.3 : arbitrage pricing théory (l?apt) 22
1.4 : choix et sélection de portefeuille 23
1.4.1 : la sélection de portefeuille efficient 23
Chapitre 2 : diversification internationale de portefeuille et
intégration financiers 27
2. 1 : diversification internationale de portefeuille 28
2.1.1 : principe de la diversification 28
2.1.2 : la diversification internationale de portefeuille 28
2.1.3 : le medaf et ces implications pour la diversification
internationale 29
2.1.4 : l?apt dans un contexte international 30
2.1 .5 : la corrélation est la diversification
internationale 30
2.1.6 : les gains associés à la diversification
internationale 31
2.1.7 : les avantages et les limites de la diversification
internationale 31
2.1.7.1 : les avantages de la diversification internationale
31
2.1.7.2.1 : le risque de diversification internationale 32
2.1.7.1.2 : le risque de change et le risque de volatilité
32
2. 2 : intégration des marchés financiers et la
diversification internationale 32
2.2.1 : intégration des marchés financiers 32
2.2.1.1 : la déréglementation monétaire et
financière 33
2.2.1.2 : le décloisonnement 34
2.2.1.3 : désintermédiation financiers 34
2.2.2 : l?intégration des marchés
développés 34
2.2.3 : l?intégration des marchés émergent
35
2.2.4 : intégration des marchés émergents -
marchés développé 36
2.2.5 : les mesures d?intégration des marchés
financiers basés sur le medaf 38
2.2.6 : mesures d?intégration des marchés
financiers basés sur le coefficient
De corrélation 38
2.2.7 : mesures d?intégration basée sur la
co-intégration 38
2.3: le phénomène du home bais 39
2.3.1 : modèle de merton (1987) 40
2.3.2 : les avantages d?investir domestiquement 41
chapitre 3 : intégration, co-intégration des
marchés financiers et ces implications sur le risque
de la diversification internationale : une analyse empirique
45
3.1 : méthodologie. 46
3.1.1 : les données. 46
3.2 : les analyses graphiques 48
3.2.1 : evolution des indices boursiers des différentes
zones étudiées. 48
3.3 : estimation des statistiques descriptives relatives aux pays
de notre échantillon 49
3.3.1 : aspect théoriques du test de normalité
49
3.3.1.1 : le test d?aplatissement 49
3.3.1.2 : le test d?asymétrie 50
3.3.1.3 : test de jarque - béra 50
3.3.2 : statistique descriptive des rendements des pays
développé. 51
3.3.3 : statistique descriptive des rendements des pays
émergents. 53
3.3.4 : étude des corrélations des rendements
relatives aux pays de notre échantillon 56
3.3.4.1 : corrélations des rendements relatives aux pays
développés 56
3.3.4.2 : corrélations des rendements relatives aux pays
émergents 56
3. 4 : etude de la stationnarité des séries des
indices boursiers :
Test de racine unitaire. 57
3.4.1 : aspect théorique des tests de stationnarité
57
3.4.1.1 : test de ducky- fuller simple. 58
3.4.1.2 : test de ducky - fuller augmente 58
3.4.1.3 : test de philips - perron (pp) 59
3.4.1.4 : le test de philips, perron, kwiatkowski, schnidt et
shin (kpss). 59
3.4.1.4 : analyse des tests de racine unitaire. 60
3.5 : les tests de co-intégration 62
3.5.1 : test de co-intégration de granger 62
3.5.2 : test de co-intégration multi variée de
johansen (1988) 63
3.5.3 : détermination du nombre optimal de retard 63
3.5.4 : modélisation vecm et test de causalité au
sens de granger 64
3.5.5 : test de causalité ou sens de granger 64
3.5.6 : le modèle de correction des erreurs. 65
3.6 : analyse de la co-intégration 65
3.6.1 : détermination du nombre optimal de retard 66
3.6.2 : test de co-intégration. 67
3.6.3 : l?analyse du test de causalité 68
3.6.4 : l?impact de l?intégration sur la diversification
internationale de portefeuille. 68
Conclusion générale 72
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