UNIVERSITE GASTON BERGER DE SAINT LOUIS
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UFR DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES
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SECTION DE GEOGRAPHIE
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COMMISSION DOCTORALE
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SUJET
INITIATION AU LOGICIEL HYDRACCESS : Gestion et
planification des eaux du fleuve Sénégal
Présenté par : Papa Daouda DIOP
Sous la Direction de :
M. Ibrahima DIOP Année académique
:
Chef de la Division Régionale
de l'Hydraulique de Saint Louis 2006
SOMMAIRE
INTRODUCTION 2
I. Présentation de la Division Régionale de
l'Hydraulique de Saint Louis (D.R.H.) 3
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1. Historique de la D.R.H
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3
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2. Organisation de la D.R.H
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.3
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3. Activités de la D.R.H
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5
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4. Contraintes de développement de la D.R.H....
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6
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II. Présentation des activités durant le
stage
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8
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1. Le logiciel Hydraccess
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8
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2. Autres activités du stage
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III. Analyse des enseignements tirés du stage
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12
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1. Enseignements
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12
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2. Appréciations
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13
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3. Suggestions
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13
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CONCLUSION . 15
Sigles et Abréviations . ...16
Document annexe 17
INTRODUCTION
Dans le cadre de la formation de ses étudiants, la
section de géographie de l'UFR des Lettres et Sciences Humaines
(Université Gaston Berger de Saint Louis), a recommandé à
chacun des étudiants inscrits en DEA, de faire un stage de formation
dans une structure. Celle-ci peut être une structure administrative, de
recherche ou privée. Ce stage d'une durée de deux mois au maximum
ou d'un mois au minimum1, doit être sanctionné à
la fin par une attestation offerte par la structure d'accueil.
L'objectif de ce stage est d'améliorer les acquis
intellectuels des étudiants et de renforcer leurs capacités
opérationnelles une fois sortie de l'université. Le stage est
aussi une opportunité offerte aux étudiants pour faciliter leur
insertion dans le marché de l'emploi. Rappelons que ce stage fait parti
de l'une des conditions indispensables qui permettent à la section de
géographie de valider le DEA de l'année en cours.
C'est dans ce cadre que nous avons eu à faire un stage
à la Division Régionale de l'Hydraulique de Saint Louis (D.R.H.).
Ce stage d'une durée d'un mois2 a débuté le
mercredi 16 Août 2006 et a pris fin le vendredi 15 Septembre 2006.
L'objectif de ce stage est de renforcer les connaissances déjà
acquises au niveau de la section de géographie. Il nous a aussi permis
de prendre connaissance des activités de la vie professionnelle. De
même, grâce à ce stage, nous avons pu comprendre et saisir
la portée de la mission d'appui que la D.R.H. joue au niveau de la
région de Saint Louis et au-delà même. Enfin, ce stage a
beaucoup contribué dans nos recherches pour la rédaction de notre
mémoire de DEA.
Pour la rédaction de ce rapport, nous adoptons le plan
suivant : nous commencerons par présenter la Division Régionale
de l'Hydraulique, ensuite nous allons présenter les différentes
activités qu'on a eues à mener durant le stage et enfin, nous
terminerons par une analyse faite sur les enseignements tirés du
stage.
1 Le stage d'une durée d'un mois n'est
accordé à l'étudiant par la section de géographie
que lorsque celui-ci se retrouve à la fois avec deux structures
d'accueil. A la fin des stages, l'étudiant fera le choix sur l'un des
rapports à présenter.
2 Notre stage a duré un mois car nous devions
faire un second stage à la SAED (Société nationale
d'Aménagement et d'Exploitation des terres du Delta, de la vallée
du fleuve Sénégal et des vallées de la
Falémé).
I. Présentation de la Division Régionale
de l'Hydraulique de Saint Louis
1. Historique
La Division Régionale de l'Hydraulique est une
structure publique, rattachée au Ministère de l'Hydraulique. Elle
est située à l'extrémité de la pointe Nord de
l'île de Saint Louis. La structure a été
créée vers les années 1950 par les colons. Son objectif
était de s'occuper de la gestion et de la planification des eaux du
fleuve Sénégal.
A l'époque, elle s'appelait la MAS (Mission
d'Aménagement du fleuve Sénégal). Elle sera
baptisée plus tard la Subdivision de l'Hydraulique, avant de devenir par
la suite la Division Régionale de l'Hydraulique et de l'Assainissement
de Saint Louis (D.R.H.A.). Ce n'est que récemment, avec l'alternance,
qu'elle est finalement devenue la Division Régionale de l'Hydraulique
(D.R.H.).
Depuis le Sénégal post-colonial (les
années qui ont suivi l'indépendance) jusqu'à nos jours,
trois Directeurs se sont succédés à la tête de cette
structure3. Il s'agit de M. Abdalaye Cissé, M. Cheikh Seck et
M. Ibrahima Diop. Le premier a eu à faire 15 ans à la tête
de la Division Régionale, il a été remplacé par
Cheikh Seck qui a fait lui aussi 22 ans de service. Rappelons que M. Seck a eu
à diriger le service à deux reprises4. C'est en 2002
que M. Ibrahima Diop, l'actuel Directeur, l'a succédé à la
tête de cette structure. Donc depuis quatre ans, la D.R.H. est sous la
direction de M. Diop.
2. Organisation de la D.R.H.
La D.R.H. appartient à un cadre institutionnel bien
structuré. Au sommet il y a l'Etat qui intervient au niveau de la D.R.H.
par l'intermédiaire de certains Ministères, ensuite viennent les
services et directions.
Les principales missions de l'Etat s'articulent autour de la
définition de la politique sectorielle et de l'élaboration d'un
cadre législatif et réglementaire. Il intervient principalement
à travers le Ministère de l'Hydraulique, le Ministère
chargé des réseaux hydrographiques, des cours d'eau, des lacs,
des canaux et des bassins de rétention. Ce Ministère est, depuis
le mois de novembre dernier (2006), sous la tutelle de Me El Hadj
3 Entretien avec M. Ibrahima Diop, chef de la D.R.H.
de Saint Louis
4 Entretien avec M. Ousmane Diagne hydrologue à
la D.R.H.
Diouf. Enfin, l'Etat intervient à la D.R.H. par le biais
du Ministère de l'équipement dans le cadre de l'OMVS. Ces
Ministères entretiennent d'étroites relations avec la D.R.H.
L'organigramme de la DRH est structurée comme suit :
Division Régionale de l'Hydraulique
Bureau des Ressources en eau
Bureau des Finances
Bureau Hydraulique : Urbaine et Rurale
Brigade des Puits et Forages de Ndioum
La Division Régionale de l'Hydraulique de Saint Louis
a, à sa tête, le Chef de la Division, appelé aussi le
Directeur, en l'occurrence M. Diop. Elle a trois principaux domaines
d'intervention fonctionnels que sont :
· La gestion et la planification des ressources en eau, par
le biais du bureau des ressources en eau ;
· L'hydraulique urbaine
· et l'hydraulique rurale qu'elle gère à
travers le bureau de l'hydraulique : urbaine et rurale ;
Le bureau des finances s'occupe de la gestion de la
comptabilité, alors que la brigade des puits et des forages de Ndioum
est un secteur départemental détaché. Cette brigade a pour
mission d'assurer le contrôle et le suivi des programmes et travaux de la
D.R.H. en dehors de Saint Louis, notamment les travaux destinés à
l'approvisionnement du monde rural en eau potable.
3. Activités de la DRH
La D.R.H. s'occupe de la politique de l'Hydraulique dans la
région de Saint Louis. Elle s'occupe également de l'hydraulique
rurale et urbaine et de la gestion des ressources en eau. Elle veille sur la
maintenance des ouvrages hydrauliques et enfin, elle appui les
collectivités locales et les Organisations Non Gouvernementales
(ONG)5.
Pour bien mener toutes ces activités, la D.R.H.
s'appuie sur certains services et directions dont quelques uns dépendent
d'elle. Parmi ceux-ci, il y a :
· Le Service de Gestion et de Planification des
Ressources en Eau (S.G.P.R.E.) : il est chargé des études
générales relatives aux ouvrages hydrauliques, à
l'inventaire, à la planification et à la gestion des ressources
en eau. Le S.G.P.R.E. assure le secrétariat du Comité Technique
de l'Eau (C.T.E.). Ce comité a été créé par
le décret n°98-557 du 25 juin 1998 et est présidé par
le Premier Ministre6.
· La Direction de l'Hydraulique (D.R.), quant à
elle, est chargée notamment de l'élaboration des études
d'exécution, de la réalisation et du contrôle des
réseaux et ouvrages de captage, d'adduction, de distribution des eaux
potables en milieu rural et urbain. Elle assure également la tutelle de
la SONES.
· Il y a aussi la Direction de l'Exploitation et de la
Maintenance (DEM). Cette direction est chargée de l'exploitation, de
l'entretien et de la maintenance des équipements d'exhaure en milieu
rural. D'ailleurs, dans le cadre du projet de réforme du système
de gestion des forages ruraux motorisés au Sénégal, c'est
la DEM qui a réussi à mettre en oeuvre la réforme du
système actuel de gestion des forages au niveau des régions de
Dioubel, Fatick, Kaoloack et Thiès.
5 Entretien avec M. Ibrahima Diop chef de la D.R.H.
de Saint Louis
6 Enquêtes personnelles
· Enfin, il y a l'Agence de Promotion du
Réseau Hydrographique (A.P.R.H.). Elle est chargée, entre autres,
des études d'exécution et de réalisation d'infrastructures
hydrauliques (endiguements, barrages, retenues collinaires, etc.) pour une
bonne maîtrise des eaux de surface.
Certaines sociétés issues de la réforme
de 1995 ayant permis l'introduction du privé dans la gestion du secteur
interviennent également dans l'hydraulique, mais restent sous la tutelle
de la D.R.H. Parmi celles-ci, il y a :
- La Société Nationale des Eaux du
Sénégal (SONES) : créée en 1995, la SONES est
chargée de la gestion du patrimoine de l'hydraulique urbaine (mise en
valeur, amortissement et service de la dette). Elle s'occupe aussi de la
programmation et de la maîtrise d'ouvrage, des investissements, du
contrôle de la qualité de l'exploitation et de la sensibilisation
du public.
- Quant à la Société Des Eaux (S.D.E.),
elle est opérationnelle depuis avril 1996. Elle est chargée de
l'exploitation et de l'entretien de l'infrastructure et du matériel
d'exploitation et de son renouvellement, ainsi que d'une partie du
réseau de distribution de l'eau potable. De méme, la S.D.E.
s'occupe du recouvrement des factures d'eau et de la surtaxe
(assainissement).
4. Contraintes de développement de la
DRH
A la lecture de ces nombreuses activités qui lui sont
soumises, la D.R.H. ne pourrait pas être à l'abri des contraintes
qui, naturellement, constituent des entraves à toute
société - publique ou privée -- en activité. Ainsi
quelques unes ont été identifiées au niveau du service.
· Contraintes liées aux
ressources humaines : La Division Régionale de
l'Hydraulique souffre d'un manque criard de personnels. Elle ne dispose que de
cinq agents permanents parmi lesquels le chef de la Division Régionale
qui s'occupe principalement de la gestion de l'administration du service. Il
est secondé par un hydrologue. Ce dernier assure la gestion de la banque
de données du service. L'une de ses tâches est de recueillir
régulièrement les données envoyées au quotidien par
les différentes stations météorologiques installées
le long du fleuve Sénégal (de Bango à Kayes).Une fois ces
données recueillies, il doit les traitées et les
interprétées, avant de les envoyer à la
Division Nationale de l'Hydraulique de Dakar (D.N.H.). Le troisième
agent de la division est la caissière. Elle s'occupe de la gestion de la
comptabilité et de tout ce qui est finance. Viennent, après elle,
la secrétaire et le chauffeur du Directeur.
Le constat fait entrevoir un déficit criard d'agents
de toute catégorie confondue tels que des techniciens supérieurs,
secrétaires et chauffeurs. On se rappelle que durant les années
1989-1998, la D.R.H. faisait face à une importante diminution
d'effectifs du fait des départs à la retraite et de départ
volontaire. Aujourd'hui, elle risque de connaître pour une seconde fois
un nombre important de départ à la retraite ; alors que
l'insuffisance de personnels constitue une entrave aux performances de la
DEM.
· Contraintes
financières : sur le plan financier on a constaté
une sérieuse absence de moyens propres. C'est ce qui explique le faible
schéma financier de gestion des fonds d'exhaure. La D.R.H. souffre
également d'une insuffisance de crédits alloués au
S.G.P.R.E. pour assurer la maintenance par rapport au nombre de
forages7.
· Contraintes techniques : le
constat fait au niveau du service montre que celui-ci fait face à une
autre difficulté liée à l'utilisation des véhicules
administratifs entravant l'efficacité des services de maintenance. Le
service dispose de trois véhicules8 - tous appartenant
à l'administration - et un seul chauffeur. De même, le
renouvellement du matériel d'intervention des services de maintenance
n'est pas (ou est très faiblement) assuré. S'y ajoute la
vétusté des installations existant dont le renouvellement est
devenu une nécessité.
· Contraintes
institutionnelles : sur le plan institutionnel, on note une
absence d'efficacité du C.S.E. De méme, l'instrument juridique
existant n'a pas d'incidences sur la gestion des ressources en eau.
7 Plusieurs dizaines de forages sont
dénombrés entre Bango et Bakel.
8 Un camion citerne, et deux 4*4 MUTSHIBISHI
5. Présentation des activités durant le
stage
Dès l'entame du stage, le Directeur de la D.R.H. a mis
à notre disposition des documents de la division. Ceux-ci nous ont
permis de comprendre le fonctionnement de la division et ses principales
activités notamment celles qui nous seront confiées durant ce
stage.
1. Le logiciel Hydraccess
Cette revue littéraire a été suivie par
des travaux pratiques. Il s'agissait cette fois-ci de nous initier au logiciel
Hydraccess. Rappelons que ce logiciel que nous avons eu le plaisir de
découvrir pour la première fois dans les locaux de la D.R.H.,
nous a beaucoup appris en ce qui concerne la gestion et la planification des
eaux du fleuve Sénégal. Ce fleuve, long de 1 750 Km, a un bassin
versant de 337 000 km2 dont 60 000 km2 en territoire
national. Il est la septième artère fluviale du continent, et la
deuxième de la sous région Quest africaine. Il est formé
du Bafing et du Bacoye. Dans son bief aval, le réseau présente
deux dépressions majeures : le lac de Guiers, sur la rive gauche au
Sénégal et le lac R'Kiz sur la rive droite en Mauritanie. Le
bassin du fleuve comprend :
· le Haut Bassin, en amont du Félou sur le fleuve et
le Fadougou sur la Falémé,
· le cours moyen ou vallée,
· le cours inférieur ou Delta, en aval.
Pour couvrir toute cette superficie, plusieurs stations
hydrologiques sont implantées sur toute sa longueur de Bango au
Sénégal à Kayes au Mali. Il fallait, chaque jour et
pendant toute l'année, recueillir les données des
différentes stations météorologiques de Bakel, Matam,
Podor, Kidira, Kayes, Qualia, Bafing Mbakhana, Gourbassy, Diama Amont, Diama
Aval, Manantali aval, Daka Saïdou, Fadougou village et Diangola. Au niveau
de chaque station on doit prendre le relevé des niveaux d'eau du fleuve
Sénégal deux fois par jour : à 8h le matin et 18h dans
l'après midi. Il fallait aussi faire de méme pour les
débits.
Les informations, une fois recueillies, devraient être
sauvegardées dans la banque de données avant leur traitement.
Avec ces données, il nous était possible de faire le bilan de
l'évolution de la côte journalière, mensuelle, voire
annuelle ou méme sur plusieurs années (voire graphique).
Rappelons que sur la banque de données, des informations datant des
années 1950 sont toujours disponibles et exploitables.
Sur ce graphique on peut facilement observer l'évolution
de la crue à Saint Louis avant la brèche (avant octobre 2003) et
après la brèche (d'octobre 2003 à septembre 2006).
Pour arriver à la conception de ce graphique, nous
devons d'abord faire le calcul des
Cotes Moyennes Journalières de la Staion :
StLouis et du Captur J1
côtes journalières de chaque station pour chaque
mois ou chaque année, suivant le graphique sollicité. Il faut
ensuite faire le choix sur l'une des stations s'il s'agit d'un traitement mono
station ; sinon on devrait faire de même pour chacune des stations si le
graphique concernait plusieurs stations. Par ailleurs, il fallait pour la
réalisation des graphiques avoir les valeurs matinales et celles de la
soirée de chaque jour et pour chaque station. Enfin, il faut avoir
l'origine de la source des données. L'origine peut être L
(c'est-à-dire obtenue par Lecture), E
203
204
(par Enregistrement) ou R (par Reconstitution). Ce n'est
qu'après avoir rassemblé toutes ces
2005
informations qu'on peut parvenir à réaliser les
graphiques. Les données ainsi traitées sont
2006
envoyées sur Dakar chaque lundi et vendredi. Elles
devaient être présentées à la
télévision nationale après le journal de 20h30 de chaque
lundi et vendredi par le service de la météo nationale qui
siège à Dakar.
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