4.3. PLAN PROVISOIRE DE LA THESE
INTRODUCTION GENERALE
Cadre conceptuel : Problématique -
Intérêt du sujet - Revue de la littérature - Objectifs -
Hypothèses.
Cadre méthodologique : Population cible -
Choix des variables - Méthodes de collecte des données -
Traitement des données - Difficultés - Plan de la
thèse.
Première Partie : LES CONDITIONS
PHYSIQUES ET HUMAINES QUI SOUS-TENDENT L'ACTIVITE AGRICOLE
Chapitre 1 : Une plaine aux potentialités
agricoles évidentes
1.1. Situation géographique
1.2. Géomorphologie et géologie
1.2.1. La pénéplaine bénino-togolaise
1.2.2. Le socle Dahoméyen
1.3. Un milieu naturel aux atouts multiples
1.3.1. Un climat propice à deux récoltes
1.3.2. Une plaine bien drainée
1.3.3. Des sols à fortes potentialités
agricoles
1.3.4. Une végétation savanicole propice
à la culture sur brûlis
Chapitre 2 : Une zone de peuplement
récent, diversifié, inachevé et à faible
densité
2.1. Une zone de peuplement récent
2.1.1. Historique du peuplement du Plateaux Est
2.1.2. L' « opération
Est-Mono »
2.2. De la faiblesse de la densité humaine à
l'inégale répartition des hommes
2.2.1. Des densités de population peu
élevées
2.2.2. Entre absence de terre et zones vierges
2.3. La diversité de peuplement
2.3.1. Les ethnies de la pénéplaine
bénino-togolaise
2.3.1.1. Les Ana et les Kpessi
2.3.1.2. Les Kabyè et Losso
2.3.1.3. Les autres peuples
2.3.2. Un peuplement aux allures inachevées
2.4. Les mouvements de la population
2.4.1. Une population extrêmement jeune
2.4.2. Un flux migratoire important vers le Nigeria
Deuxième Partie : MUTATIONS SPATIALES,
AGRAIRES ET SOCIALES
Chapitre 3 : La dynamique foncière et
agricole
3.1. Les pratiques foncières
3.1.1.À qui appartient la terre ?
3.1.1.1. Le contrat de bail des années 50
3.1.1.2. Une autochtonie relative
3.1.2. Le paysannat sans terres
3.1.2.1. Du congestionnement de certaines
contrées
3.1.2.2. La redistribution récente à Kpessi
3.2. La dynamique agricole
3.2.1. Le système de production
3.2.1.1. Une organisation du travail agricole toujours
traditionnelle
3.2.1.2. Des outils de travail encore rudimentaires
3.2.1.3. La population active agricole
3.2.2. Le parcellaire et la taille des exploitations
agricoles
3.2.2.1. Une cohabitation de parcelles de forme
régulière et irrégulière
3.2.2.2. Des exploitations de tailles variées
3.2.2.2.1. Les grandes exploitations
3.2.2.2.2. Les petites exploitations
3.2.3. Les itinéraires agricoles
3.2.3.1. Les activités d'avant-saison
3.2.3.2. Les activités culturales proprement
dites
3.3. Les mutations dans le monde rural
3.3.1. Un paysage agraire à l'image du mélange
entre plusieurs peuples
3.3.1.1. La dynamique de l'habitat rural
3.3.1.1.1. La maison traditionnelle en voie de
disparition
3.3.1.1.2. L'inévitable ascension d'un habitat
moderne
3.3.1.2. L'habitat rural entre dispersion et
regroupement
3.3.1.2.1. Le groupement de l'habitat chez les
« autochtones »
3.3.1.2.2. La dispersion de l'habitat chez les colons
3.3.2. Les innovations techniques et structurelles
3.3.2.1. La culture attelée en perte de vitesse
3.3.2.2. Une difficile mécanisation
3.3.2.3. L'incontournable valorisation de l'utilisation des
intrants
3.3.3. Un monde rural désormais tourné vers
les cultures vivrières
Chapitre 4 : Une panoplie de cultures sur des
sols tout aussi variés
4.1. La cotonculture en pleine déprise
4.1.1. L'ère de gloire du coton
4.1.2. Les déboires des années 90
4.2. Des cultures vivrières aussi nombreuses que
variées
4.2.1. Le maïs : une spécificité de
l'Est-Mono ?
4.2.2. La riziculture en pleine expansion
4.2.3. Les autres spéculations
4.3. Les oléagineux et les légumineuses
4.4. De l'utilisation des sols
4.4.1. L'association des cultures
4.4.2. La rotation des cultures
Chapitre 5 : Une structure sociale fondée
sur les origines
5.1. Les différentes déclinaisons de la notion
de famille
5.1.1. Chez les peuples dits
« autochtones » : Ifè et Kpessi
5.1.2. Chez les colons : Kabyè et Losso
5.2. Une multitude de croyance
5.2.1. La foi traditionnelle
5.2.1.1. Les Kpessi et le culte
« vodou »
5.2.1.2. La profusion des « dieux »
chez les Ifè
5.2.1.3. L'incubation des rites initiatiques chez les
colons
5.2.2. Les religions modernes
5.2.2.1. Les premiers évangélistes
catholiques et protestants
5.2.2.2. Les églises charismatiques des
années 90
5.3. L'organisation administrative de la
société
5.3.1. L'héritage colonial
5.3.2. La chefferie traditionnelle en question
5.3.2.1. Les chefs ethniques et claniques
5.3.2.2. Le chef canton et son autorité
Chapitre 6 : Des indices économiques assez
indicateurs
6.1. Des activités
économiques variées
6.1.1. La chasse, la pêche et l'artisanat : des
activités de contre-saison
6.1.2. Le commerce : activité
privilégiée des femmes
6.1.3. L'élevage : une simple exigence
culturelle
6.1.4. L'agriculture, véritable pourvoyeuse d'emplois
et de ressources
6.2. Un bilan vivrier excédentaire soubassement de la
commercialisation
6.2.1. Les indices d'évaluation des besoins
alimentaires
6.2.2. Une production agricole massive
6.2.3. De la nécessité de drainer le surplus
vers des points de vente
Troisième Partie : LE PLATEAU-EST ENTRE
OUVERTURE ET FERMETURE
Chapitre 7 : La discontinuité spatiale
entre faits physiques et facteurs humains
7.1. Le bassin du Mono : obstacle avéré
dans la circulation
7.1.1. Le Mono
7.1.2. L'Ogou
7.2. L'enclavement : une simple question
d'aménagement du territoire
7.2.1. De l'absence d'ouvrages de franchissement
7.2.2. De l'ouverture à l'entretien des pistes
rurales
7.3. L'enclavement au-delà d'une absence de routes
7.3.1. Un réseau de téléphonie rurale
inadéquat
7.3.2. L'accessibilité aux médias
nationaux : un véritable défi
Chapitre 8 : La commercialisation des produits
agricoles : un véritable parcours de combattant
8.1. Les principaux flux des produits agricoles
8.1.1. L'orientation des flux nationaux
8.1.1.1. L'axe sud vers Lomé : une exigence
commerciale
8.1.1.2. L'axe nord : la nécessité
d'approvisionner les parents
8.1.2. Les flux extra territoriaux, apanage des zones
frontalières
8.1.2.1. L'axe Oké - Tchetti
8.1.2.2. Doumé : une destination de
prédilection
8.2. Typologie des marchés dans la zone
d'investigation
8.2.1. Anié : un marché de
1ière catégorie
8.2.2. Les marchés de 3ième
catégorie : Nyamassila, Elavagnon
8.2.3. Une profusion de marchés locaux
8.3. Les voies de communication, véritables
artères dans la vie de la région
8.3.1. Un réseau routier très lâche
8.3.1.1. Les routes nationales
8.3.1.2. Les routes secondaires
8.3.1.3. Les pistes rurales
8.3.2. Un réseau ferroviaire pauvre et en
décadence
8.4. Les bassins de production, véritables noeuds dans
les réseaux aux réalités diverses
8.4.1. Des zones désenclavées quasi
inexistantes
8.4.2. Les zones d'enclavement supportable : moins de
10 km d'une piste
8.4.3. Les zones très enclavées :
au-delà de 10 km d'une piste
Chapitre 9 : L'enclavement : un
phénomène aux effets multiples
9.1. Les dimensions sociologique et morale
9.1.1. Un complexe d'infériorité dans les
masses paysannes
9.1.2. Une unité nationale en balbutiement
9.1.3. Une exclusion du milieu des réseaux de
communication
91.1.4. Une zone en pleine régression sociologique
9.2. Des indices sociaux et culturels alarmants
9.2.1. Un accès difficile aux centres de
santé
9.2.2. Des infrastructures scolaires inégalement
réparties
9.2.3. Une absence chronique de centres culturels
9.2.4. Une zone en marge de l'actualité nationale et
internationale
9.3. L'enclavement, véritable objet de stagnation
économique
9.3.1. Un coût de production à la hausse
9.3.1.1. De la difficulté d'approvisionnement en
intrants
9.3.1.2. De la rareté de la main d'oeuvre à
sa cherté
9.3.1.3. Du coût élevé des outils
agricoles
9.3.1.4. Du coût élevé des
transports
9.3.2. Une complexité dans la gestion et la
commercialisation des produits agricoles
9.3.2.1. De la difficulté d'accès au
marché
9.3.2.2. De la faiblesse des prix dû à un
nombre réduit d'acheteurs
9.3.2.3. De contraintes liées à la
conservation des produits
9.3.2.4. Du bradage des produits agricoles à la
récolte
Chapitre 10 : Le désenclavement des zones
rurales du Plateau est : une amorce du développement.
10.1. De nombreuses raisons pour désenclaver
10.1.1. L'impérieuse valorisation des produits
vivriers
10.1.1.1. L'autosuffisance alimentaire, un défi
politique de l'heure
10.1.1.2. Les vivriers : nouveaux pourvoyeurs de
devises à l'Etat ?
10.1.2. L'ouverture spatiale : une preuve
d'unité nationale
10.1.2.1. La fin des économies extraverties des
zones frontalières
10.1.2.2. L'information, un puissant outils de
l'intégration des peuples
10.1.3. Le désenclavement : pierre angulaire de
toute politique agricole viable
10.1.3.1. De l'approvisionnement en intrants à la
collecte des produits
10.1.3.2. De l'accessibilité paysanne aux
innovations par l'information
10. 2. Les possibilités physiques d'un processus de
désenclavement à long terme
10.2.1. Un véritable atout en
aménagement : le bassin du Mono
10.2.2. La plaine orientale : un espace apte aux
aménagements routiers
10.2.3. De la nécessité de rendre plus
performants les réseaux de télécommunication et
l'accès aux médias nationaux
10.3. Les initiatives à court et à moyen
terme
10.3.1. La question de l'achèvement des ouvrages de
franchissement : le pont de Landa sur le Mono
10.3.2. La problématique de l'entretien des
infrastructures de communication
10.3.3. Le renforcement de la capacité des antennes
de relais : téléphonie mobile, téléphonie
fixe, radio et télévision.
CONCLUSION
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