Conclusions et perspectives
* UtFI IEEFIPAEYEiC HQRON EYRQN iQYIQtRriP uQ FILIEiQ QRP EII
d'EJIQtN SK IRSEtKRJqQIN que nous avons rencontrés lors de nos visites
à des jardins ou exploitations agricoles dans CE YElIPI GKE'ZEE.
Ainsi grâce au questionnaire que nous avons
utilisé ; nous avons conclu plusieurs erreurs commises par les
agriculteurs. Ces erreurs causant la propagation de certains agents
pathogènes.
Nous citons ci-dessous les plus importantes erreurs:
Les agriculteurs ne font aucune importance à la dose de
lessivage en irrigation, sachant que toutes les exploitations visitées
sont irriguée par des eaux chargées.
/ 1EENIQFI R001iQNuIIisance des brises vent dans la
plus part des exploitations IEFilitI iIEttEIuI KI FILIEiQN IEYEJIuLNGIIT :
pucerons).
La présence de certaines exploitations agricoles au
voisinage des jardins familiaux permet le retour des ravageurs luttés,
(car certains proprios de jardins familiaux Q'iQtPIINNIQt SENO: IEHMI).
/ EESluN SELIVIIN EJLiFuEIErN utiliNIQt quIREEIuP
XIIRrJEQiqDI, II ilN SIQNIQt qNIlOI remplace les engrais.
/ INiliNEtiRQ dIN IQJIEiN par les agriculteurs sans suivre un
plan, permet le lessivage dIN PlPP IQtN QutIitiIN, IMSEUIRiN EuJP IQtI
14EFiGitP du NRl.
/ IirriJEtiRQSECEriJRlI dEQN FIrtEiQIN IxSlRitEtiRQN
IQTRXEJIJ1ESSECitiRQDGIN champignons, et la germination des
mauvaises herbes.
La lutte préventive chez la majorité des
agriculteurs est une étape secondaire. En SluNEilNMQNtiliNIQt MI
III3ElEtKiRQIlRLNNdITAESSEIitiRQIdI QAiP SRrII P ElEGiINEROC ravageurs.
8zI 11,4ilNLEidIQt lIEFFliP EtEAiRQ dINEP
ElEdiINTFIINtRIEP iFIRFIiP Et FlPI1SEURIN agriculteurs lors de plantation ; ils
ne font pas la taille, ils ne respectent pas Iles règles de plantation
(lE dIQNitP dI FulturI, l'INSEFIP IQt IQtrI ESREQtIN, 11ENNRlIP IQt4 1E
rRtEtiRQ « I1F71.
Nous avons remarqué selon notre questionnaire que la
majorité des agriculteurs de OE rPJiRQ ilN Q'RQt SEN11IN FRQtEFtIN EYIF
lIN NMF urIN :I l'EJriFuOMI IdI RE wilEyE.
/ EXiNtI EIN1EJIQtN SK IRSEtKRJqQIN IPFritIRIEQN FIEI PAudI
IINNNRiQ dIr trIIFRP SlqtI. / E présence des acariens par exemple nous a
été signalée verbalement mais nous ne les avons
rencontrés durant nos sorties.
3Rur FIttI HEiNRQ, QRuN NuJJPIRQN quIM'EutrIN PMdIN, PtElPIN
dEQN lI tIP SN II dEQN (1INSEFI,IdIYrEiIQt r trI TIQtrISIiNIN EIiQ
dI EFRP SlPtIrRERiNtI dINEP ElEdiINEItAIEYEJIuLN affectant les plantes
cultivées dans la région.
Les résultats obtenus à partir de cette
étude, maladies inventoriées et déprédateurs
recensés, vont nous permettre d'ouvrir un vaste champ pour d'autres
études complémentaires.
Nous espérons, ainsi, avoir contribué favorablement
à l'inventaire des maladies et ravageurs des plantes cultivées
dans la région de Ghardaïa.
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