ABREVIATIONS.
APV : Association des Amis du Parcours Vita.
CEE : Communauté économique européenne.
CEMAC : Communauté Economique et Monétaire de
l'Afrique Centrale. CFC : Gaz chlorofluorocarbures.
C I J : Cours Internationale de Justice.
CITES: Convention on international trade of endangered species
CRTV : Radio Télévision Camerounaise.
C U D : Communauté Urbaine de Douala.
HYSACAM : Hygiène et Salubrité du Cameroun.
I D I : Institut de Droit International.
INSERM : Institut Nationale de la Santé et Recherche
Médicale en France. MAB : Man and biosphère.
MAETUR : Mission d'Aménagement et d'Equipement des
Terrains Urbains et Ruraux.
OCDE : Organisation pour la Coopération et le
Développement Economique : Elle comprend notamment les Etats de l'Europe
occidentale ainsi que les Etats -Unis, le Japon, et le Canada,
constituée en vue de favoriser l'expansion économique de ces
Etats ainsi que celle des Pays en voie de développement.
O M M : Organisation Météorologique Mondiale.
ONU : Organisation des Nations Unies.
PIC : Prior Informed consent.
PNUE : Programme des Nations Unies pour l'Environnement.
P V : Parcours Vita.
S I C : Société Immobilière du Cameroun.
UE : Union Européenne.
UNESCO : Organisation des Nations Unies pour l'Education, la
Science et la Culture. W.W.F: World Wildlife Fund.
LISTE DES SCHEMAS.
Schéma 1: mode d'approche distinct de la valeur du pv
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Schéma 2 : analyse de la valeur du pv
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.93
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Schéma 3 : connaissance du parcours Vita et les
éléments spécifiques
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RESUME
Longtemps considérer comme une affaire des Pays
développés, l'environnement s'impose aujourd'hui à nous
comme un élément, une composante de la vie, d'où la
nécessité de sa protection et de sa conservation. Cette prise de
conscience a suscité l'urgence de la communauté internationale
qui s'est mobilisée l'année dernière au dernier sommet de
Copenhague face aux multiples catastrophes et le réchauffement
climatique, pour conjuguer des efforts en vue de parer à cette menace
planétaire. Bien que les résultats restent mitigés.
Sur le plan national, le Cameroun s'est engagé dans ce
combat avec des instruments assez forts en menant des actions incitatives pour
protéger et conserver la biodiversité dont le fait clinquant
reste la lutte contre la désertification, la pollution et autres menaces
sur l'environnement. Loin de concerner seules les pouvoirs publics, parce que
nous sommes tous victimes, le danger reste imminent et précis. Il
requiert l'engagement de la population, de la Société civile et
des médias.
En même temps, l'environnement est un bien
économique, non pas un bien marchand, mais un bien qui peut procurer du
bien-être et d'énormes richesses pour le développement
local. Le gouvernement camerounais l'a compris avec la création du PV de
Douala. Bien que jusqu'à nos jours il n'a offert qu'une infirme partie
de ses atouts à la population (surtout les sportifs), la ville tout
entière ignore les capacités économiques,
environnementales et sociales qu'il regorge.
L'objectif de ce travail a été d'éclairer
la politique en vue de l'aider dans la prise de décisions dans le
domaine de la création des espaces naturels protégés comme
celui du PV de Douala.
Nous avons tout au long de ce travail montré que, un
Parcours Vita à l'instar de celui de Douala s'inscrit dans le registre
des biens économiques non marchands pouvant procurer du bien-être
et d'énormes richesses pour le développement local.
Enfin, nous sommes parvenu au fait que le Parcours Vita de
Douala ne peut favoriser cette logique de développement que si elle est
protégée et conservée pour être valorisée
avec ses lacs, la rivière Nkondi qui imprime ses pulsations sur l'espace
Vita, la forêt et le circuit de sport. Cette nature sauvage peut se
« vendre » à partir de la dynamique multifonctionnelle qui en
découle, en même temps qu'elle est un élément
d'attractivité pour la Cité et de promotion à la
protection de l'environnement.
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