II-2. Déroulement de l'enquête
La passation des échelles de mesure ne s'est pas fait
sans difficulté. En effet, le fait que les enseignants-chercheurs ont de
multiples occupations et qu'ils ne sont pas présents à la
faculté chaque jour de la semaine a été la
difficulté majeure.
Toutefois, les rencontres avec les sujets se faisaient au
pôle scientifique dans les laboratoires et centres de recherches mais
surtout dans les départements et les allées de la
faculté.
Initialement, nous avons rencontré le secrétaire
général de la faculté qui nous a autorisé à
faire notre enquête. Dès la rencontre avec un éventuel
répondant, nous lui présentions notre recommandation
(délivré par le département de psychologie) et ensuite il
prenait connaissance du questionnaire s'il manifestait l'intérêt
de participer.
L'administration du questionnaire s'est fait suivant deux
options. Soit il était rempli sur place par le sujet disponible, soit le
sujet non disponible immédiatement mais manifestant le désir de
participer, l'emportait et nous donnait un rendez-vous pour le reprendre. Cette
deuxième option comportait un risque éventuel, c'est la perte par
le sujet du questionnaire ou l'oubli par ce dernier de le remplir. C'est
d'ailleurs ce qui s'est produit dans beaucoup de cas.
Avec les sujets disponibles, l'administration de notre
échelle de mesure s'est faite sous certaines conditions chez certaines
personnes : ils sollicitaient de notre part quelques
éclaircissements sur la portée éventuelle de cette
étude. Nous précisions que celle-ci n'avait d'autres fins que
celle de valider notre maîtrise de psychologie sur le plan pratique.
Pour répondre, le sujet interrogé devait
encercler un chiffre sur une échelle de type Likert
numérotée de 1 (pas du tout d'accord) à 6 (tout à
fait d'accord) ; cela étant valable sur l'ensemble du
questionnaire.
Sur les 60 questionnaires distribués, nous avons eu un
retour de 40 questionnaires mais vu les nombreuses omissions, seulement 36
étaient exploitable soit un taux de réponses de 60%.
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