CONCEPTION GENERALE DU PROBLEME
0.1. Problématique
La machine comme l'homme subit des menaces dans toute sa vie
(1) . Pour l'un, de même que pour l'autre, les mesures
préventives, en dépit du défi irrésistible qui est
la mort, sont mises en oeuvre pour enrayer ces dernières et survivre le
plus longtemps possible. Les utilisateurs de ces ordinateurs, comme des grandes
entreprises, pour la plupart, ne maintiennent pas dans de bonnes conditions ces
derniers qui, du jour le jour, tombent en panne ou connaissent des
sérieux problèmes de fonctionnement.
Il s'ensuit que dans ces grandes entreprises, tout comme dans
des sociétés modernes, les ordinateurs sont d'application dans
leurs activités ; et qui, à leur tour, prennent une fonction
vitale dans celles-ci et semblent réduire la multiplicité des
postes de travail. Ici, nous pouvons épingler le cas de
sociétés comme la SNCF (Société Nationale de Chemin
de Fer de la France) et la SNCB (Société Nationale de Chemin de
Fer de la Belgique) et de bien d'autres sociétés, travaillant
dans différents secteurs répartis en domaines divers. Ces
sociétés ont mis en application des ordinateurs au centre
d'intérêt de leurs activités quotidiennes et qui leur
servent comme outil de gestion et de contr6le dans ces divers secteurs. Ainsi,
certains services sont automatiquement exécutés par ces
derniers.
Eu égard à ce qui précède, cette
haute technologie, ici le cas présent du secteur routier de la SNCF et
SNFB, appliquée dans les autoroutes, n'est pas encore mise en
application dans notre pays. Néanmoins, ces machines appelées
<< ordinateurs >, utilisées dans ce secteur, existent dans
notre pays en général ; et en particulier, dans notre province du
Sud-Kivu et sont d'application surtout dans le domaine de
télécommunication, cas des entreprises Celtel, Vodacom,... Ces
dernières nous arrivent déjà amorties, pour beaucoup
d'entre elles, en provenance des pays occidentaux et/ou arabes unis à
destination de notre province. Elles servent notre population Sud-Kivucienne
dans de nombreux services dont la bonne présentation des documents
(rapports, journaux,....), l'impression des états bien soignés,
la sauvegarde des gigantesques données de manière permanente en
remplacement de la sauvegarde en dur (sauvegarde manuelle), la facturation
à la SNEL, à la REGIbESO, l'obtention des
résultats fiables (cas de l'EPIINFO,...), la communication avec le bout
du monde entier, ... et surtout l'automatisation des multiples services des
entreprises et/ou sociétés de la place, mais également la
gravure des Cb, VbC, bVb et la production des bandes cassettes ou vidéos
de plusieurs activités et cérémonies sans oublier le
décodage de téléphone pour ne citer que ceux-là.
Retenons que par la suite ces machines ne sont
épargnées de problèmes et pannes dues à des
multiples raisons dont la mauvaise utilisation, le manque de notion de gestion
des équipements,.... Elles tombent ainsi en panne et rencontrent des
problèmes pour un moment et souvent ne fonctionnent même plus.
Pour le cas de deux sociétés précitées, c'est tout
le secteur routier qui serait arrêté avec tous les dég8ts
possibles qu'elles auraient causé pour tant d'autres services : le
retard des agents au travail peut être à titre illustratif. bans
le cas présent de notre province, certaines maisons d'édition ne
sauraient publier leurs journaux, la bonne marche de certaines
sociétés ou entreprises de la place serait handicapée tant
au niveau de la présentation, de l'impression que celle de la
communication avec l'extérieur. Le temps d'exécution de travail
serait alourdi. Des données importantes pourraient se perdre ; et tout
cela, c'est tout le travail qui serait remis à zéro. Des
apprenants n'auraient plus accès à l'apprentissage, des
internautes auraient des difficultés de surfer,... Ce serait peut
être l'enclavement de certains coins de la ville. Par conséquent,
les gestionnaires de ces machines, par manque d'information, allouent des
sommes importantes pour la réparation même des plus simples pannes
ou problèmes alors que, dans la mesure du possible, ils pourraient
eux-mêmes les résoudre sans l'assistance d'un technicien en la
matière. Voilà donc tous ces problèmes
évoqués qui nous poussent à nous poser un certain nombre
de préoccupations :
o b'oO proviennent les problèmes et pannes de ces
ordinateurs et quelles en sont les causes ?
o Les conditions de détention (maintenance) sont-elles
respectées ou connues par leurs gestionnaires ?
o Quelles sont les techniques ou stratégies que doit
remplir tout gestionnaire de ces machines pour les tenir à bon port ?
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