Thomas Sankara et la condition féminine: un discours révolutionnaire?( Télécharger le fichier original )par Poussi SAWADOGO Université de Ouagadougou - Maà®trise sciences et techniques de l'information et de la communication 1999 |
TABLE DES MATIERESTABLE DES MATIERES 1 DEDICACE 3 REMERCIEMENTS 4 AVANT-PROPOS 5 INTRODUCTION 6 PREMIERE PARTIE : LE STATUT DE LA FEMME AU BURKINA FASO : DE LA SOCIETE PRECOLONIALE A LA REVOLUTION SANKARISTE. 14 CHAPITRE I : STATUT FEMININ 1.1 Femme Burkinabé et société précoloniale 15 1.2 Femme Burkinabé et société coloniale. 18 1.3 Femme Burkinabé et société post- coloniale 19 CHAPITRE II : RÉVOLUTION SANKARISTE ET STATUT DE LA FEMME 21 2.1 L'éducation de la femme 21 2. 2 La femme dans le secteur socio-économique 24 2. 3 Le rôle politique de la femme 26 DEUXIEME PARTIE II : LES DISCOURS DE SANKARA CHAPITRE I : AUX SOURCES DU DISCOURS FÉMINISTE DE SANKARA 30 1.1 La Révolution française 30 1.2 Le Marxisme - Léninisme 32 1.3 Les collaborateurs de Sankara 35 CHAPITRE II : DISCOURS ET ÉCHO MÉDIATIQUE 37 2.1. Contexte historique et discours féministe de sankara 37 2.2. Echo médiatique 38 TROISIEME PARTIE : L'ARGUMENTATION SANKARISTE CHAPITRE I. LES MODALITÉS DE L'ARGUMENTATION 42 1.1 Les habiletés rhétoriques 43 1.2 Les arguments. 48 1.2.1 Les arguments socioculturels 48 1.2.2 Les arguments idéologiques. 51 1.2.3 Les arguments politiques 53 CHAPITRE II : LE DISCOURS FÉMINISTE. 55 2.1. L'image de la femme dans le discours sankariste. 55 2.1.1 La femme victime 56 2.1.2 La femme coupable 58 2.1.3 La femme positive. 60 2.2. Un discours polémique 63 2.2.1 Les partisans de la cause féminine 63 2.2.2 Les ennemis de la cause féminine 65 CONCLUSION 70 ANNEXES 77 BIBLIOGRAPHIE 82 SOURCES DE PRESSE 87
DEDICACENous dédions ce travail à notre père El Hadj Issaka OUEDRAOGO, arraché à notre affection le mercredi 31 mars 1999. Qu'il soit récompensé pour la générosité, l'humilité, la sincérité et la bonté dont il a fait preuve tout au long de sa vie. Nous dédions également ce travail à notre mère, Salamata SAWADOGO, à toutes les mères, à toutes les femmes et à notre amie OUEDRAOGO Roukiatou. REMERCIEMENTSCe travail est le fruit du dévouement et de sacrifices de diverses bonnes volontés à qui nous adressons nos sincères remerciements. Nous présentons notre particulière et authentique reconnaissance à notre Directeur de mémoire Madame KRIEF Huguette qui malgré un emploi de temps très chargé nous a suivi de façon singulière. Nous saluons sa rigueur et son extrême exigence dans le travail. Nous reconnaissons tous les efforts de notre Directeur de mémoire de maîtrise d'Histoire, Monsieur Y. Georges MADIEGA, qui nous a ouvert sa documentation personnelle. Nous le remercions pour son souci constant du travail bien fait. A Monsieur Serge Théophile BALIMA, Chef de Département d'Arts et Communication et illustre enseignant au sein de cette filière, nous disons merci pour la documentation, les conseils et les soins dont nous avons bénéficiés de sa part. Nous adressons les mêmes salutations à Madame Marie Soleil FRÈRE du Département d'Arts et communication et à Madame BADINI-FOLANE Denise du Département d'Histoire et Archéologie. Nous n'oublions pas tout le corps enseignants des deux départements à qui nous devons notre formation universitaire. Nous disons merci à notre ami et frère KONSIMBO Pamoussa dont les conseils nous ont permis d'aboutir à ce résultat. Nous n'oublions pas de saluer le personnel de la bibliothèque du CNRST, ainsi que Monsieur Georges ZONGO de la Maison de la Presse, Mohammed Maïga qui nous ont permis d'accéder aux journaux de la période révolutionnaire. A nos parents, à nos amis et à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la réalisation de ce travail, nous disons simplement : « Merci ! ». |
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