Conclusion de la 2ème partie :
La multiplication de l'imprimé ne semble donc pas
entraîner de baisse générale de la qualité : comme
nous l'avons observé, l'augmentation quantitative générale
durant la période révolutionnaire provoque des changements
concernant le type d'imprimés, leurs contenus, ainsi que la forme et la
qualité éditoriales, mais cette qualité ne paraît
pas vraiment affectée du fait de cette hausse de la production, puisque
l'on remarque que les erreurs d'édition ont lieu à n'importe quel
moment de la période. Ces modifications découlent plutôt de
l'évolution du type d'auteurs des textes produits à Angers.
Celle-ci tient évidemment de la liberté d'imprimer et de
s'exprimer.
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