Liste des graphiques
Graphique 1 : Répartition des
patients selon les motifs de référence à l'Hôpital
Général de Mwela-Lembwa.......................p45
Graphique 2 : Répartition des
malades selon le taux
d'hémoglobine.......................................................................p50
Graphique 3: Répartition des malades
selon les types de traitement reçu avant
l'hospitalisation......................................p50
xvi
Liste des figures
Figure 1 : Prise en charge du paludisme
chez les enfants de 0-59
mois.....................................................................................p27
Figure 2 : Organigramme de l'HGR de
Mwela-Lembwa.............p35
xvii
Résumé
Le paludisme grave constitue une urgence thérapeutique,
étant donné sa grande évolutivité et son pronostic
redoutable chez l'enfant.
Notre étude a porté sur l'évaluation de
la qualité de prise en charge du paludisme grave chez les enfants de
0-59 mois.
L'objectif poursuivi était d'évaluer la
qualité de la prise en charge des enfants 0-59 mois traités pour
paludisme grave à l'Hôpital Général de
Référence de Mwela-Lembwa.
La méthode d'enquête et la technique d'entretien
ont été utilisées pour collecter les données.
Les résultats de l'étude ont
révélé que 53,7% d'enfants atteints de paludisme grave
étaient de sexe masculin contre 46, 3% de sexe féminin. La
majorité des parents (73,4 %), amenait leurs enfants à
l'hôpital 2 à 6 jours après le déclenchement de la
maladie. En ce qui concerne le mode de diagnostic, pour 88,1%, le diagnostic
était clinique et biologique ; et pour une minorité soit
11,9% il n'était que clinique.
Les schémas thérapeutiques administrés
font remarquer que 52,3 % des malades avaient réçu la quinine
injectable associée à l'ACT ou quinine comprimé ;
42,7 % avaient récu l'artésunate injectable associée
à l'ACT ou quinine comprimé alors que seulement 11 enfants soit
5,0 % avaient recu l'artémether injectable.
L'évolution des patients a été
caractérisée par la guérison pour 92,2 %; 4,1 %
étaient perdus de vue ; 2,3 % étaient
décédés et 3 enfants (soit 1,4 %) étaient
transférés. Les intrants pour le diagnostic de paludisme ont
été disponible pour 88,1 % et,81 % des patients étaient
servis en médicaments antipaludéen.
xviii
La dépendance a été très
significative entre le mode d'arrivée, types de complications, la
durée du traitement, le taux d'hémoglobine, le traitement
reçu et l'évolution finale de l'enfant à l'hôpital.
La dépendance a également été
significative entre les signes présentés à
l'arrivée et l'évolution finale de l'enfant à
l'hôpital.
Aucune dépendance significative n'a été
observée entre les pathologies associées, le mode de diagnostic,
la parasitémie, l'âge et le sexe et l'évolution finale de
l'enfant à l'hôpital.
Mots clés : Prise en charge,
Paludisme grave.
|