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à‰conométrie financière. Une comparaison entre les données boursières et le chiffre d'affaires Paris.

( Télécharger le fichier original )
par Francisco Pitthan
Université Paris 8 - License 3 Économie et Gestion 2014
  

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UNIVERSITÉ PARIS 8 - VINCENNES SAINT-DENIS

LICENSE ÉCONOMIE ET GESTION - PARCOURS ÉCONOMIE-FINANCE
DÉPARTEMENT D'ÉCONOMIE ET GESTION

Francisco Pitthan

ECONOMÉTRIE FINANCIÈRE

Une comparaison entre les données boursières et le chiffre d'affaires

2014

Paris

Francisco Pitthan

ECONOMÉTRIE FINANCIÈRE

Une comparaison entre les données boursières et le chiffre d'affaires

Mémoire de License 3 présenté au département
d'économie et gestion de l'Université Paris 8 -
Vincennes Saint-Denis comme une exigence
partielle pour obtenir le grade de License

Directeur de Mémoire: Prof. David Guerreiro

2014

Paris

REMERCIEMENTS

Tout d'abord, je voudrais remercier mon Directeur de Mémoire énormément pour son aide, attention et patience. Monsieur David Guerreiro, sans vous mon travail n'aurait pas été possible, je vous remercie infiniment.

Je voudrais également remercier tous mes enseignants qui ont beaucoup m'aidé, même à distance, avec du support bibliographique et des conseils très importants. Sabino da Silva Porto Jr., Nelson Seixas dos Santos, Hudson da Silva Torrent et Fernando Boeira Sabino, merci beaucoup pour votre aide extraordinaire.

Je souhaite remercier mon professeur de ma bourse d'initiation scientifique à l'UFRGS au Brésil, Pedro Cezar Dutra Fonseca, pour ouvrir mon esprit à la recherche. Cela n'est pas un travail facile, quand même, avec une bonne guidance on peut arriver à des grands résultats, merci beaucoup.

Je tiens à remercier vivement l'enseignant Stefano Florissi pour ces livres d'économie de la culture, mais surtout pour avoir cru en moi. Vous m'avez beaucoup motivé à

poursuivre mes études en économie, ce qui m'a permis d'être en mesure de rêver plus grand, merci beaucoup.

Ma chère famille, je vous remercie pour tout le soutien affectif et financier, sans vous je ne serais pas ici, j'ai passé quelques moments difficiles et vous m'avez énormément aidé à les surmonter. Mon bien-aimé père, tu étais ma plus grande source d'inspiration pour continuer à travailler tous les jours, je te remercie chaque jour pour m'avoir aidé à conquérir ce rêve.

Je voudrais remercier ma cousine Leticia Pitthan, son compagnon Edouard Rogé et la petite Clara pour m'avoir accueillie quand je suis arrivé à Paris et pour me laisser faire partie de leur famille. Je vous souhaite un grand succès et beaucoup de bonheur, un bisou à Clara !

Je tiens également à remercier mes amis qui ont écoutés mes réclamations et qui m'ont fait découvrir que l'amitié existe même à distance, particulièrement Bruno de Oliveira, Lucas Beppler, Bruno Birkheur et Gustavo Jung (qui a beaucoup m'aider avec quelques idées pour mon mémoire). Je voudrais remercier mon colocataire et ami Yan Huapaya pour tous les verres, les conversations et les idées d'affaires qu'on a partagés, tu as beaucoup m'aidé à devenir plus ambitieux.

"Je dédie ce travail à mon père, aujourd'hui
je peux voir plus loin parce que je suis sur
tes épaules, merci beaucoup."

RÉSUMÉ

Ce présent travail a comme objectif principal l'analyse de l'influence des données comptables sur le marché boursier. Cet objectif a été établi par une inquiétude personnelle sur le fonctionnement des marchés financiers, plus précisément, sur la façon dont les cours des actions varient. Pour le réaliser, une étude économétrique a été réalisée en faisant des tests de stationnarité et de cointégration afin de savoir si les séries ont une relation de long terme entre elles. D'après les résultats on constate que les séries ne sont pas cointégrées et que les relations à court terme qui ont été estimés n'ont pas un grand pouvoir d'explication.

Mots-clés : Économétrie Financière ; Cours Boursier ; Chiffre d'Affaires ; Modèle à Correction d'Erreur ; Test ADF ; Test d'Engle-Granger ; Cointégration

ABSTRACT

The present work has as main objective the analysis of the influence of accounting data on the stock market. This target was set by a personal concern about the functioning of financial markets, more precisely, how stock prices vary. To achieve this, an econometric study was performed by testing for stationarity and cointegration to determine whether the series have a long-term relationship between them. From the results we see that the series are not cointegrated and that short-term relationships that have been found not to have a great explanatory power.

Keywords: Financial Econometrics; Stock Prices; Revenue; Error Correction Model; ADF test; Engle-Granger test; Cointegration

Liste des Graphiques

Graphique 1 : Exemple d'un bruit blanc (stationnaire)

Graphique 2 : Inflation aux États-Unis entre 1959 et 1995 (processus de différence stationnaire)

Graphique 3 : Consommation per capita réel aux États-Unis entre 1959 et 1995 (processus de tendance stationnaire)

Graphique 4 : Log du CA de l'entreprise TOTAL SA

Graphique 5 : Log du CA différencié de l'entreprise TOTAL SA Graphique 6 : Log du CA différencié deux fois de l'entreprise LVMH Graphique 7 : Log du CA différencié deux fois de l'entreprise Sanofi Graphique 8 : Log des cours boursiers de l'entreprise TOTAL SA Graphique 9 : Log des cours boursiers différenciés de l'entreprise TOTAL SA

Liste des Tableaux

Tableau 1 : Valeurs critiques de Dickey-Fuller pour l'hypothèse de racine unitaire

Tableau 2 : Valeurs critiques de Dickey-Fuller pour la constante et tendance temporelle

Tableau 3 : Valeurs critiques d'Engle et Yoo

Tableau 4: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA de l'entreprise TOTAL SA

Tableau 5: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA de l'entreprise TOTAL SA

Tableau 6: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA de l'entreprise TOTAL SA

Tableau 7: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié de TOTAL SA

Tableau 8: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA différencié de TOTAL SA

Tableau 9: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié de TOTAL SA

Tableau 10: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de LVMH

Tableau 11: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de Sanofi

Tableau 12: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de LVMH

Tableau 13: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de Sanofi

Tableau 14: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de LVMH

Tableau 15: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de Sanofi

Tableau 16: Modèle (3) du test ADF pour le log des cours boursiers de TOTAL SA

Tableau 17: Modèle (2) du test ADF pour le log des cours boursiers de TOTAL SA

Tableau 18: Modèle (1) du test ADF pour le log des cours boursiers de TOTAL SA

Tableau 19: Modèle (3) du test ADF pour le log des cours boursiers différenciés de TOTAL SA

Tableau 20: Modèle (2) du test ADF pour le log des cours boursiers différenciés de TOTAL SA

Tableau 21: Modèle (1) du test ADF pour le log des cours boursiers différenciés de TOTAL SA

Tableau 22: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour TOTAL SA

Tableau 23: Test d'Engle-Granger pour l'entreprise TOTAL SA

Tableau 24: Relation de court terme estimé par MCO pour TOTAL SA

Tableau 25: Relation de court terme estimé par MCO pour BNP Paribas

Tableau 26: Relation de court terme estimé par MCO pour L'Oréal

Tableau 27: Relation de court terme estimé par MCO pour LVMH

Tableau 28: Relation de court terme estimé par MCO pour Sanofi

Liste des Annexes

Annexe 1 : Chiffre d'Affaires de TOTAL SA

Annexe 2: Chiffre d'Affaires de BNP Paribas

Annexe 3: Chiffre d'Affaires de L'Oréal

Annexe 4: Chiffre d'Affaires de LVMH

Annexe 5: Chiffre d'Affaires de Sanofi

Annexe 6: Graphique de série temporelle pour le log du CA de BNP Paribas

Annexe 7: Graphique de série temporelle pour le CA de L'Oréal

Annexe 8 : Graphique de série temporelle pour le CA de LVMH

Annexe 9 : Graphique de série temporelle pour le CA de Sanofi

Annexe 10 : Test ADF pour le log du CA de BNP Paribas - Modèle (3)

Annexe 11 : Test ADF pour le log du CA de BNP Paribas - Modèle (2)

Annexe 12 : Test ADF pour le log du CA de BNP Paribas - Modèle (1)

Annexe 13 : Test ADF pour le log du CA de L'Oréal - Modèle (3)

Annexe 14 : Test ADF pour le log du CA de L'Oréal - Modèle (2)

Annexe 15 : Test ADF pour le log du CA de L'Oréal - Modèle (1)

Annexe 16 : Test ADF pour le log du CA de LVMH - Modèle (3)

Annexe 17 : Test ADF pour le log du CA de LVMH - Modèle (2)

Annexe 18 : Test ADF pour le log du CA de LVMH - Modèle (1)

Annexe 19 : Test ADF pour le log du CA de Sanofi - Modèle (3)

Annexe 20 : Test ADF pour le log du CA de Sanofi - Modèle (2)

Annexe 21 : Test ADF pour le log du CA de Sanofi - Modèle (3)

Annexe 22 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de BNP Paribas

Annexe 23 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de L'Oréal

Annexe 24 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de LVMH

Annexe 25 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de Sanofi

Annexe 26 : Test ADF pour le log du CA différencié de BNP Paribas - Modèle (3)

Annexe 27 : Test ADF pour le log du CA différencié de BNP Paribas - Modèle (2)

Annexe 28 : Test ADF pour le log du CA différencié de BNP Paribas - Modèle (1)

Annexe 29 : Test ADF pour le log du CA différencié de L'Oréal - Modèle (3)

Annexe 30 : Test ADF pour le log du CA différencié de L'Oréal - Modèle (2)

Annexe 31 : Test ADF pour le log du CA différencié de L'Oréal - Modèle (1)

Annexe 32 : Test ADF pour le log du CA différencié de LVMH - Modèle (3)

Annexe 33 : Test ADF pour le log du CA différencié de LVMH - Modèle (2)

Annexe 34 : Test ADF pour le log du CA différencié de LVMH - Modèle (1)

Annexe 35 : Test ADF pour le log du CA différencié de Sanofi - Modèle (3)

Annexe 36 : Test ADF pour le log du CA différencié de Sanofi - Modèle (2)

Annexe 37 : Test ADF pour le log du CA différencié de Sanofi - Modèle (1)

Annexe 38 : Cours Boursiers de TOTAL SA

Annexe 39 : Cours Boursiers de BNP Paribas

Annexe 40 : Cours Boursiers de L'Oréal

Annexe 41 : Cours Boursiers de LVMH

Annexe 42 : Cours Boursiers de Sanofi

Annexe 43 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas

Annexe 44 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal

Annexe 45 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de LVMH

Annexe 46 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de Sanofi

Annexe 47 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas - Modèle (3)

Annexe 48 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas - Modèle (2)

Annexe 49 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas - Modèle (1)

Annexe 50 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal - Modèle (3)

Annexe 51 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal - Modèle (2)

Annexe 52 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal - Modèle (3)

Annexe 53 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de LVMH - Modèle (3)

Annexe 54 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de LVMH - Modèle (2)

Annexe 55 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de LVMH - Modèle (1)

Annexe 56 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de Sanofi - Modèle (3)

Annexe 57 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers Différenciés de

BNP Paribas

Annexe 58 : Graphique de série temporelle pour le log des s Cours Boursiers Différenciés de L'Oréal

Annexe 59 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers Différenciés de LVMH

Annexe 60 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers Différenciés de Sanofi

Annexe 61 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de BNP Paribas - Modèle (3)

Annexe 62 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de BNP Paribas - Modèle (2)

Annexe 63 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de BNP Paribas - Modèle (1)

Annexe 64 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de L'Oréal - Modèle (3) Annexe 65 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de L'Oréal - Modèle (2) Annexe 66 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de L'Oréal - Modèle (1) Annexe 67 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de LVMH - Modèle (3) Annexe 68 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de LVMH - Modèle (2) Annexe 69 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de LVMH - Modèle (1) Annexe 70 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de Sanofi - Modèle (3) Annexe 71 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de Sanofi - Modèle (2) Annexe 72 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de Sanofi - Modèle (1) Annexe 73 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise BNP Paribas

Annexe 74 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise L'Oréal

Annexe 75 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise LVMH

Annexe 76 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise Sanofi

Annexe 77: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour BNP Paribas

Annexe 78: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour L'Oréal

Annexe 79: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour LVMH

Annexe 80: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour Sanofi

SOMMAIRE

1. AVANT-PROPOS 12

2. MÉTHODOLOGIE 14

3. MODÉLISATION 23

4. CONSIDÉRATIONS FINALES 38

5. RÉFÉRENCES 39

ANNEXES 41

12

1. AVANT-PROPOS

Ce présent travail a comme objectif principal l'analyse de l'influence des données comptables sur le marché boursier. Cet objectif a été établi par une inquiétude personnelle sur le fonctionnement des marchés financiers, plus précisément, sur la façon dont les cours des actions varient. Pour le réaliser, une étude économétrique a été réalisée.

Tout d'abord, il faut qu'on définisse la thématique de notre travail, l'économétrie et la finance. L'économétrie, d'après Frisch (1933) : "n'est pas du tout la même chose que la statistique économique. Elle ne doit pas non plus être identifiée avec ce que l'on appelle la théorie économique générale, bien qu'une partie considérable de cette théorie ait un caractère résolument quantitatif. L'économétrie ne doit pas non plus être considérée comme synonyme de l'application des mathématiques à l'économie. L'expérience a montré que chacun de ces trois points de vue, celui des statistiques, celui de la théorie économique et celui des mathématiques, est une condition nécessaire, mais non suffisante en elle-même, à une compréhension réelle des relations quantitatives dans la vie économique. C'est l'unification des trois qui est puissante. Et c'est cette unification qui constitue l'économétrie."

La finance, d'autre part, apparaît, d'après Robert Shiller (2010), comme la

« technologie » ou l'ensemble des activités qui rendent possible la subvention l'économie, ce qui l'amène à être essentielle à la moderne accumulation de capital. Pour sa complexité, ses nouvelles technologies et produits, la finance est en constante mouvement, ce qui la rend un grand sujet de recherche et discussion. Les cours boursiers sont qualifiés comme l'une des plusieurs technologies financières.

D'après SCHWERT (1989), sur la variabilité et volatilité des cours boursiers: "if investors have heterogeneous beliefs, new information will cause both price changes and trading". Comme nouvelle information sur le marché, la divulgation du chiffre d'affaires peut, possiblement, être une des causes de la variation des cours des actions (en acceptant que les agents aient des croyances hétérogènes), ce que le travail de recherche essaie de répondre.

En ce qui concerne l'analyse, l'entreprise pétrolière française composante du CAC 40, TOTAL SA (code : FP.PA), a été choisie pour faire la comparaison entre les données boursières et comptables. Elle a été choisie parce qu'elle est l'entreprise avec la capitalisation (produit du nombre des actions en circulation par la valeur de marché de chaque action) plus importante sur l'EURONEXT avec une capitalisation de 118,75 milliard d'euros (d'après boursier.com). Quatre autres entreprises, BNP Paribas (code : BNP.PA), L'Oréal (code : OR.PA), LVMH (code : MC.PA) et Sanofi (code : SAN.PA), par ordre alphabétique, ont été choisi pour faire une étude complémentaire. Conjointement, elles forment les cinq plus grandes capitalisations sur l'EURONEXT.

Puisque notre analyse s'appuie une étude économétrique, les données financières et comptables ont besoin d'être testées afin de savoir si une relation de dépendance entre elles existe. Pour une question d'accessibilité des données, le travail a pris en compte les résultats trimestriels des cours boursiers et des chiffres d'affaires comme variables testées.

13

Les cours boursiers ont été choisis parce qu'ils sont les variables financières les plus significatives pour comprendre les résultats sur les marchés financiers des entreprises côtés en bourse et parce que les résultats sont publiques. Les chiffres d'affaires ont été élus parce qu'ils sont représentatives pour observer la variation des résultats comptables d'une entreprise et parce qu'ils sont l'un des seuls données comptables trimestriels qui sont publics.

Le travail ne prend pas en compte des variables de contrôle ni des mouvements de saisonnalité spécifiques (comme le "sell in may and go away", d'après Andrade (2012)). Il est évident qu'il existe plusieurs variables indépendantes qui peuvent expliquer les résultats boursiers, mais pour des motifs de simplification, seulement le chiffre d'affaire a été retenu. L'article de Fama et French (1988) explique très bien les components temporaires et permanents des cours boursiers, il peut être utilisé pour une étude plus approfondie sur ce sujet.

D'après les sites des entreprises, on peut apercevoir que les résultats trimestriels sont habituellement divulgués un mois après le trimestre écoulé (à la fin d'avril, de juillet, d'octobre et de janvier). Vu que le travail cherche à tester si les cours boursiers sont expliqués par les chiffres d'affaires, les prix des cours trimestriels des mois suivants à la divulgation ont été pris en compte (début de mai, début d'aout, début de novembre et début de février).

Pour le présent travail, les données du premier trimestre de 2006 jusqu'au dernier trimestre de 2013 ont été pris en compte, ce qui représente un échantillon de 32 observations. Les données des chiffres d'affaires n'ont pas été trouvées pour les années précèdent 2006.

Les données des cours boursiers ont été recueillies dans le site Yahoo Finance France. En revanche, les données comptables ont été obtenues d'après les informations financières trimestrielles divulguées dans les sites des entreprises et dans le site Daily Bourse. Les chiffres d'affaires des entreprises sélectionnées sont présentés en annexe (Annexes 1, 2, 3, 4 et 5) et les cours boursiers sont présentés dans les annexes 38, 39, 40, 41 et 42.

14

2. MÉTHODOLOGIE

Comme but du travail, la modélisation économétrique apparaît comme un moyen de résoudre le problème en question. La méthodologie ici présente donne les étapes nécessaires pour élaborer des modèles qui puissent expliquer la relation existante (ou non) entre le cours boursier et le chiffre d'affaires des entreprises concernées.

Pour des raisons de simplification, on accepte l'homoscedasticité et le non autocorrélation des résidus. Cette hypothèse nous permet d'estimer les paramètres par le modèle des moindres carrés ordinaires si les séries sont stationnaires.

Pour rendre plus facile les estimations et computations des données le software libre de statistique gretl a été utilisé. Il a été utilisé parce que son usage est libre et parce qu'il possède la plupart des computations des tests et modèles nécessaires pour la modélisation économétrique du présent travail.

Avant d'élaborer le modèle économétrique, deux tests de stationnarité ont été réalisés, un pour chaque variable, afin d'observer les comportements de ces séries temporelles en ce qui concerne la stationnarité. D'après LARDIC et MIGNON (2002), la définition de stationnarité est la suivante:

"Le processus Xt est stationnaire au sens strict si pour tout (t1, t2,...,tn) avec ti € T, i= 1,..., n, et si pour tout ô € T avec ti+ ô € T (Xt, ... Xn) a la même distribution de probabilité jointe que (Xt1+ ô, ..., Xtn+ ô) ".

Comme la définition de stationnarité au sens strict est trop restrictive, nous préférons utiliser celle de Brooks (2008), la définition de stationnarité faible: "(...) can be defined as one with a constant mean, constant variance, and constant autocovariance for each given lag ". Un exemple de série stationnaire et le processus de bruit blanc (BB), qui suit la loi normale avec moyenne et variances constantes. D'après la console du software libre gretl, il' est possible de générer un processus stationnaire, comme celui du tableau, de moyenne et variance égales à 0 et 1 respectivement :

15

Graphique 1 : Exemple d'un bruit blanc (stationnaire)

Brooks (2008) nous présente deux types des séries non-stationnaires, les séries de marche aléatoire avec dérive ou sans dérive (elles sont aussi appelées des processus de différence stationnaire - DS), et les séries de tendance stationnaire (TS). Les séries les plus courants en finance sont les séries de marche aléatoire, par exemple une marche aléatoire avec dérive (processus AR(1)) :

yt = ì + yt-1 + ut (1)

Elles sont décrites comme, d'après Lardic et Mignon (2002) : "Un processus DS est un processus que l'on peut rendre stationnaire par l'utilisation d'un filtre aux différences" i.e. qu'après une différentiation elles seront I(0). Dans son ouvrage de 2008, Wooldridge a un ensemble des données qui sont disponibles sur le site de gretl, comme exemple, d'après son étude sur la consommation américaine entre les années 1959 et 1995, on a l'inflation du période qui ressemble à un processus de marche aléatoire :

16

Graphique 2 : Inflation aux États-Unis entre 1959 et 1995 (processus de différence stationnaire)

D'autre part on a les processus de tendance stationnaire, un processus divisé en une partie déterministe et en une autre partie stochastique, donnée par :

yt = á + 8t + ut (2)

8t est une fonction déterministe du temps et où ut suit un BB de moyenne 0 et variance constante. Comme exemple, dans la même étude de Wooldridge, on constate la série de consommation per capita réel qui ressemble à un processus TS :

17

Graphique 3 : Consommation per capita réel aux États-Unis entre 1959 et 1995 (processus de tendance stationnaire)

Comme, d'après Brooks (2008), les séries financières ont un comportement des séries DS dans la majorité des cas, nous nous concentrons sur ce processus. Il est important, avant de tester la stationnarité des variables, présenter la notion de racine unitaire. Si on prend une série DS et on la généralise pour n'importe quel coefficient de retard (q,), on a :

yt = p + q,yt-1 + ut (3)

Ayant cela, on pourrait déduire plusieurs variations sur ce système. Si q, >1, ce qu'on appelle de processus explosif, les chocs au système n'ont pas seulement des effets permanents sur la série, mais des effets croissants (comme les processus explosifs ne sont pas courants en finance, on ne va pas les utiliser description plausible des données). Par contre, si q, est inférieur à l'unité, les chocs vont avoir des effets temporaires, traduit par un cas de stationnarité. Mais si q, est égal à l'unité, les chocs ont des effets permanents, le cas de non stationnarité, c'est ce qu'on appelle aussi de cas de la racine unitaire. Cette notion est utilisée pour les tests de racine unitaire qui cherchent à expliquer si une série est stationnaire ou non.

Le test de racine unitaire utilisé a été le test développé par David Dickey et Wayne Fuller en 1976 (par Fuller) et 1979 (par les deux), le test de Dickey-Fuller dans sa version augmenté (ADF).

Selon Brooks (2008), on constate trois types des modèles de base : (1) le modèle sans tendance ni constante, (2) le modèle sans tendance avec constante et (3) le modèle avec tendance et constante. La tendance présente dans les modèles n'est pas une tendance stochastique, mais déterministe. Pour travailler avec ces modèles, on suppose que les résidus suivent un bruit blanc de moyenne égale à zéro et variance constante et égale à ó2å.

18

On a comme hypothèse nulle l'existence de racine unitaire dans la série (donc non stationnarité) et comme l'hypothèse alternative la stationnarité, où la racine est inférieure à l'unité. Par exemple, dans le modèle (3) :

yt = öyt-1 + ì + ët + ut (4)

On teste si ö est égale à l'unité ou non. Comme attesté par Brooks (2008), pour rendre plus facile la compréhension et l'interprétation, on soustrait yt-1 dans chaque côté de l'équation :

Äyt = øyt-1 + ì + ët + ut (5)

D'où ø est égale à (ö-1). Donc le test est défini par :

Test statistique = ( àø)/ àó ( àø) (6)

Le test n'utilise pas les valeurs critiques du test t-student, mais les valeurs critiques tabulées par Fuller (1976). Ces valeurs sont plus importantes que les valeurs du test t. D'après Lardic et Mignon (2002), on constate les valeurs critiques pour la racine unitaire :

Tableau 1 : Valeurs critiques de Dickey-Fuller pour l'hypothèse de racine unitaire

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Taille 1% 5% 10%

 
 

Modèle (1)

100

-2.60

-1.95

-1.61

250

-2.58

-1.95

-1.62

500

-2.58

-1.95

-1.62

 

-2.58

-1.95

 

8

100

-3.51

-2.89

 

250

-3.46

-2.88

 

500

-3.44

-2.87

 

8

-3.43

-2.86

 

-1.62

Modèle (2)

-2.58

-2.57

-2.57

-2.57

Modèle (3)

-4.04

-3.45

-3.15

-3.99

-3.43

-3.13

-3.98

-3.42

-3.13

-3.96

-3.41

-3.12

et les valeurs critiques pour la constante et tendance temporelle :

19

Tableau 2 : Valeurs critiques de Dickey-Fuller pour la constante et la tendance temporelle

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Taille

Modèle (2)

Modèle (3)

Constante

Constante

Trend

1%

5%

10%

1%

5%

10%

1%

5%

10%

100

3.22

2.54

2.17

3.78

3.11

2.73

3.53

2.79

2.38

250

3.19

2.53

2.16

3.74

3.09

2.73

3.49

2.79

2.38

500

3.18

2.52

2.38

8

3.18

2.52

2.16

3.71

3.08

2.72

3.46

2.78

2.38

Selon Brooks (2008), pour le test normal, on suppose que les résidus ne sont pas

autocorrélés, par contre, si on utilise n décalages de la variable dépendante on peut

supprimer le besoin de cette supposition. Cette « augmentation » du test s'appelle test de

Dickey Fuller augmenté (ADF), d'où I áiÄyt représente la somme des décalages :

2.16

3.72

3.08

2.72

3.48

2.78

Äyt = øyt-1 + I áiÄyt-i + ut (7)

Il n'y a pas de consensus pour la définition du nombre optimal des décalages du test ADF. Brooks (2008) présente quelques règles empiriques, dont on va utiliser la définition du nombre optimal de décalages d'après la fréquence des données. Comme on travaille avec des données trimestrielles, on va utiliser quatre décalages pour notre test.

D'après Lardic et Mignon (2002), on peut apercevoir qu'on ne réalise pas le test sur les trois modèles, par contre on utilise une méthode séquentielle divisée en trois étapes. Premièrement, on prendre le modèle (3) et on teste la significativité de la tendance temporelle, si elle n'est pas significative on passe à l'étape suivante, en revanche, si elle est significative, on teste H0 pour savoir si la racine unitaire existe. En acceptant H0, la série va être non stationnaire (donc il faut la différencier et élaborer un nouveau test), mais si l'on n'accepte pas, la variable concerné est stationnaire et le travail avec la série va être possible.

La deuxième étape de la procédure, appliquée si la tendance n'a pas été significative, consiste en travailler avec le modèle (2) en testant la significativité de la constante. Si elle n'est pas significative on passe à la prochaine étape, mais si la constante est en fait significative on teste si l'hypothèse nulle sur l'existence de la racine unitaire est vraie, si l'on constate sa véracité, la série est non stationnaire, nous forçant à la différencier pour recommencer la méthode. En revanche, si H0 est rejetée, on peut commencer à travailler avec la série, parce qu'elle est stationnaire.

Dans la dernière étape, employée si la constante de la deuxième étape n'a pas été significative, on utilise le modèle (1) pour savoir si la racine unitaire est significative, d'après les valeurs critiques de Fuller. Avec l'acceptation de l'hypothèse nulle, la série va être non stationnaire, donc on a besoin de la différencier pour faire la procédure une autre fois, mais si l'on rejette l'hypothèse de l'existence de la racine unitaire on observe la stationnarité et on peut travailler sans aucune modification dans la série.

En résumé, on continue avec la procédure jusqu'au moment où on obtient une série stationnaire, même s'il faut qu'on la différencie une ou plusieurs fois. Il y a d'autres méthodes et tests pour observer la stationnarité des séries temporelles comme les méthodes d'analyse graphique, d'analyse de la fonction d'autocorrélation et d'autres tests de racine unitaire (comme le test de Phillips-Perron). On ne va pas utiliser la méthode d'analyse de la fonction d'autocorrélation (acf) ni d'autocorrélation partiel (pacf) parce que,

20

d'après Brooks (2008) : »(...) although shocks to a unit root process will remain in the system indefinitely, the acf for a unit root process (a random walk) will often be seen to decay away very slowly to zero. Thus, such a process may be mistaken for a highly persistent but stationary process. Hence it is not possible to use the acf or pacf to determine whether a series is characterised by a unit root or not.» La méthode d'analyse graphique peut être utilisée en analysant si la série fluctue sur sa moyenne et si elle a une variance constante. Pour commodité on ne va pas réaliser d'autres tests de racine unitaire que le test de Dickey-Fuller.

Après le test de racine unitaire, si l'on atteste que les deux séries sont stationnaires on va utiliser la modélisation de MCO (moindres carrés ordinaire), où on va observer si les cours boursiers sont expliqués par le chiffre d'affaires de TOTAL SA en estimant les paramètres du modèle et en testant leur significations. Par contre, si les séries ne sont pas stationnaires, on ne peut pas estimer les paramètres du modèle par MCO parce que cela impliquerait à une régression fallacieuse (spurious regressions), d'après Brooks (2008), les suppositions standard pour l'analyse asymptotique ne seront pas valide, les séries non stationnaires ont des comportements et propriétés différents des séries stationnaires.

Dans le cas où les séries ne sont pas stationnaires, il faut qu'on teste si les séries ont une relation de long terme entre eux, autrement dit, si les séries sont cointégrées. Pour savoir si les séries sont cointégrées on va tester la cointégration à partir du test d'Engle-Granger.

La définition de cointégration viens d'Engle et Granger (1987), d'après Brooks (2008): "a set of variables is defined as cointegrated if a linear combination of them is stationary". Selon Lardic et Mignon (2002), avec deux séries intégrées d'ordre (d), si la combinaison linéaire entre elles gt :

gt = Xt - aYt (8)

est d'ordre (d-v), où v est un nombre entier positif, donc les séries vont être cointégrées. Dans les séries financières, le cas le plus fréquent est quand d = v = 1.

Avant de tester la cointégration, nous tenons d'abord à expliciter les modèles à correction d'erreur, ou Error Correction Model (ECM) introduits par Hendry (1978) qui cherchent à estimer un équilibre de long terme. Comme des modèles de première différence pures n'ont pas de solution de long terme, on peut utiliser des modèles avec une combinaison entre les séries différenciées de premier ordre et les niveaux décalés des variables cointégrées qui peuvent résoudre ce problème, cela est l'intuition des modèles à correction d'erreur.

D'après Brooks (2008), on a le modèle à correction d'erreur :

Äyt = â1Äxt + â2(yt?1 ? ã xt?1) + ut (9)

où yt-1 - ã xt?1 est connu comme le terme à correction d'erreur. À condition que yt et xt sont cointégrées avec le coefficient de cointégration ã, le terme à correction d'erreur va être stationnaire, même si ses composants sont intégrées à ordre un. Autrement dit, il faut que les résidus du modèle de MCO entre yt et xt soient stationnaires (yt?1 ? ã xt?1 est équivalent aux résidus décalés en un période).

Le modèle à correction d'erreur rendre possible l'estimation par MCO par inférence statistique. Une interprétation intuitive du modèle, donnée par Brooks (2008), est la

21

suivante : la variable y est censé à changer entre t -1 et t en raison des changements dans les valeurs de la variable explicative, x, entre t - 1 et t, et aussi en partie à corriger tout déséquilibre qui existait pendant la période précédente ; ã décrirait la relation de long terme entre x et y, 81 la relation de court terme et 82 la vitesse d'ajustement jusqu'au équilibre.

Comme le terme à correction d'erreur est équivalent aux résidus décalés du modèle de MCO, pour savoir si les variables sont cointégrées entre eux ont va utiliser le test de Engle-Granger. Si la vraie valeur de 8 est connue, d'après Wooldridge (2008), pour tester la cointégration: "(...) we simply define a new variable, st yt xt, and apply either the usual DF or augmented DF test to {st}. If we reject a unit root in {st} in favor of the I(0) alternative, then we find that yt and xt are cointegrated." Comme intuition, on peut interpréter st comme s'il représentait les résidus d'une régression simple sans constante.

Par contre, si on ne connait pas la vraie valeur de 8, on va l'estimer avec un modèle de MCO avec constante. Après l'estimation, les résidus du modèle vont être pris en compte à fin de faire un test de stationnarité. On peut utiliser le test de Dickey-Fuller augmenté comme test de racine unitaire, par contre, comme ici on travaille avec des résidus, on va utiliser les valeurs critiques d'Engle et Yoo (1987), qui est connu comme le test d'Engle-Granger :

Tableau 3 : Valeurs critiques d'Engle et Yoo

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Taille

1%

5%

10%

N=2

50

-4.12

-3.29

-2.90

100

-3.73

-3.17

 

200

-3.78

-3.25

 

N=3

50

-4.45

-3.75

 

100

-4.22

-3.62

 

200

-4.34

-3.78

 

-2.91 -2.98 -3.36 -3.32 -3.51

N=4

50

-4.61

-3.98

-3.67

100

-4.61

-4.02

-3.71

200

-4.72

-4.13

-3.83

N=5

50

-4.80

-4.15

-3.85

100

-4.98

-4.36

-4.06

200

-4.97

-4.43

-4.14

Afin d'éliminer des problèmes éventuelles de saisonnalité et rendre possible la

modélisation du ECM (même si les séries n'ont pas de racine unitaire), on va ajouter des

variables dummies. Comme on travaille avec des données trimestriels, on va utiliser trois

variables dummies, une pour chaque trimestre, la dernière sera liée à la constante et pour

cela n'entre pas comme dummy.

Si après le test d'Engle-Granger les résidus sont stationnaires, alors les variables sont

cointégrées entre elles et on peut estimer le modèle à correction d'erreur. En revanche, si

les résidus ne sont pas stationnaires, les variables ne sont pas cointégrées entre elles (on ne

peut pas estimer une relation de long terme par l'ECM), dans ce cas, on peut chercher une

relation de court terme entre les variables dépendantes et indépendantes en estimant un

modèle de MCO avec les variables stationnarisées.

La dernière étape consiste en regarder la signification des variables et le pouvoir

explicatif du modèle. Pour la signification, on réalise un test de student pour chaque variable

22

indépendante de l'ECM ou de la relation à court terme. Ensuite, pour le pouvoir explicatif du modèle, on prend les valeurs R2 et R2 ajusté (la valeur ajustée est préférable si on compare plusieurs modèles).

23

3. MODÉLISATION

Cette section présente la partie empirique de nos travaux : la modélisation. Pour cette partie on va seulement suivre les étapes décrites précédemment dans la méthodologie. Les corrélogrammes des variables, pour des raisons explicités dans la méthodologie, ne seront pas être ici discutés.

Afin de stationnariser les séries temporelles en variance, on va plutôt travailler avec des séries en logarithme, d'après Mignon (2008), on peut constater que la transformation d'une série en logarithme diminue le phénomène de l'hetétéroscédasticité. Hendry et Juselius (2000) constatent que si un ensemble de séries est cointégré en niveau, il sera également cointégré en niveau logarithmique.

Premièrement, cinq groupes d'études ont été créé dans le software gretl, un pour chaque entreprise, en ajoutant ses variables financières et comptables. Ensuite, on teste la stationnarité avec le test de Dickey-Fuller augmenté (ADF). Pour le log du chiffre d'affaire de l'entreprise TOTAL SA, si on regarde le graphique de la série temporelle (les résultats sont en puissance de dix écrites avec la notation computationnelle e):

Graphique 4 : Log du CA de l'entreprise TOTAL SA

On peut apercevoir que la série n'a pas de tendance stationnaire ni de variance constante, ce qui ressemble à un processus de marche aléatoire. D'après les annexes 6, 7 et 9, on peut remarquer que les autres entreprises ont un comportement similaire à ce qui concerne ces graphiques, à l'exception du graphique de l'entreprise LVMH (annexe 8), d'où on peut constater qui le phénomène de la saisonnalité est très évident (des sommets toujours dans le quatrième trimestre).

24

Pour être sûr à propos de la stationnarité de la série on va passer le test ADF à partir du software gretl (les valeurs p. critiques sont liées aux valeurs critiques de student). On va comparer les statistiques t avec les valeurs critiques du test ADF, qui sont présentes dans les tableaux 1 et 2, afin de savoir si l'hypothèse nulle est vraie. En regardant le test en trois étapes pour l'entreprise TOTAL SA, la première étape avec le modèle (3) :

Tableau 4: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA de l'entreprise TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

5,87805

2,47770

2,372

0,0260

 

l_CA_1

-0,337847

0,142570

-2,370

0,3956

 

d_l_CA_1

0,483413

0,176323

2,742

0,0114

 

d_l_CA_2

-0,0474088

0,197423

-0,2401

0,8123

 

time

0,00322662

erreur std.

0,00211218

1,528

0,1397

 

p. critique

**

**

Comme la tendance temporelle (time) n'a pas été significative (d'après la valeur critique du tableau 2, de 2.79 à 5% ou de 2.38% à 10%). Si on regarde les statistiques t des annexes 10, 13, 16 et 19, on peut constater que la tendance temporelle n'est pas significative pour les autres entreprises non plus. On passe à l'étape suivante, pour le deuxième modèle :

Tableau 5: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA de l'entreprise TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

3,50014

erreur std.

1,97843

1,769

p. critique

0,0891

 

l_CA_1

-0,199027

0,112747

-1,765

0,3983

 

d_l_CA_1

0,457754

0,180142

2,541

0,0176

 

d_l_CA_2

-0,144040

0,191938

-0,7505

0,4600

 

*

**

On observe que la constante (const) n'a pas été significative au seuil de 10% (valeur critique de 2.17 pour la constante du modèle (2)). D'après les annexes (11, 14, 17 et 20), on peut apercevoir que les statistiques t pour les constantes des autres entreprises ont une valeur absolue trop faible, et pour cela on peut conclure qu'elles ne sont pas significatives. Donc on passe à la dernière étape du test :

Tableau 6: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA de l'entreprise TOTAL SA

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

l_CA_1

0,000172064

0,000841220

0,2045

0,7457

d_l_CA_1

0,281719

0,179449

1,570

0,1277

Comme la valeur t de la variable (l_CA_1) est trop faible et inférieur à la valeur absolue critique au seuil de 10% de significance (valeur critique de -1.61), d'après le tableau 1, on ne rejette pas l'hypothèse nulle de racine unitaire (ou non stationnarité). D'après les

25

annexes 12, 15, 18 et 21, on n'a pas rejeté l'hypothèse nulle pour les autres entreprises non plus, ce qui nous oblige à différencier les séries à fin de trouver des séries stationnaires.

On peut regarder le graphique de la série différencié : Graphique 5 : Log du CA différencié de l'entreprise TOTAL SA

Maintenant, on peut apercevoir que le graphique passe souvent sur la valeur nulle et que sa variance est constante presque tous les temps (à l'exception des périodes de crise). Cela suit les caractéristiques d'une série stationnaire. Si on regarde les annexes 22 et 23, on peut vérifier que les entreprises BNP Paribas et L'Oréal ont un comportement similaire à celui de TOTAL SA. Par contre, d'après l'annexe 25, on constate que le graphique pour l'entreprise Sanofi a une variance très expressive et que ne semble pas constante ce qui semble à une série non stationnaire. Comme le test ne prend pas en compte des caractéristiques d'une série avec saisonnalité, la série différenciée du log du CA de LVMH ne va pas être stationnaire, d'après son graphique (annexe 24), on peut apercevoir que la série différencié a encore un comportement de saisonnalité, qui ne correspond pas à une série stationnaire.

On recommence le test ADF pour le log du CA différencié de l'entreprise TOTAL SA. Pour le troisième modèle:

26

Tableau 7: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,00716634

0,0351270

0,2040

0,8400

 

d_l_CA_1

-0,891631

0,222727

-4,003

0,0086

 

d_d_l_CA_1

0,284764

0,185167

1,538

0,1366

 

time

3,62948e-05

erreur std.

0,00177139

0,02049

0,9838

 

p. critique

***

La tendance temporelle (time) n'est pas significative au seuil de 10% si on compare avec la valeur critique présente au tableau 2. D'après les annexes 26, 29, 32 et 35, on peut constater que la tendance temporelle n'est pas significative pour les autres entreprises non plus. Donc il faut qu'on passe à la prochaine étape. Pour le modèle (2) :

Tableau 8: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA différencié de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

0,00781853

0,0145678

0,5367

0,5960

 

d_l_CA_1

-0,891397

0,218117

-4,087

0,0010

 

d_d_l_CA_1

0,284747

0,181571

1,568

0,1289

 

***

Comme la statistique t de la constante est inférieur à la valeur critique au seuil de 10% (valeur critique de 2.17), on trouve qu'elle n'est pas significative, si on regarde les annexes 27, 33 et 36, on peut apercevoir que les résultats sont similaires pour les entreprises BNP Paribas, LVMH et Sanofi. Par contre, d'après l'annexe 30, on observe que la constate à été significative au seuil de 10% (d'après le tableau 2) et on rejette l'hypothèse nulle au seuil de 1% (valeur critique de -3.51), d'après le tableau 1, avec cela on peut arrêter le test de stationnarité pour l'entreprise L'Oréal, parce que son chiffre d'affaire est devenu stationnaire après une différentiation. Par contre, il faut qu'on continue le test ADF pour les autres quatre entreprises. Pour la dernière étape du test :

Tableau 9: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA différencié de TOTAL SA

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 

***

d_l_CA_1

-0,881115

0,214390

-4,110

4,11e-05

 

d_d_l_CA_1

0,277580

0,178675

1,554

0,1319

 

On peut apercevoir que la statistique t de la variable en question est inférieur à la valeur critique de 1% (-2.60), ce qui nous permet de rejeter l'hypothèse nulle. Après cela, on peut constater que la série différencié est stationnaire. On peut apercevoir, en regardant l'annexe 28, que le log du CA de BNP Paribas est aussi stationnaire quand on prend sa différence première. En contrepartie, si on analyse les annexes 34 et 37, on peut apercevoir que le log du CA différencié des entreprises LVMH, à cause de sa saisonnalité, et Sanofi, à cause de sa variance, n'est pas stationnaire, donc on a besoin de les différencier une autre fois afin de les rendre stationnaires.

27

On peut apercevoir que le phénomène de la saisonnalité est moins évident maintenant pour le CA de l'entreprise LVMH. Dans les deux graphiques la variance n'est pas

Si on différencie une autre fois le CA pour les entreprises LVMH et Sanofi, on peut observer le nouveau graphique pour l'entreprise LVMH :

Graphique 6 : Log du CA différencié deux fois de l'entreprise LVMH

Et le graphique pour l'entreprise Sanofi :

Graphique 7 : Log du CA différencié deux fois de l'entreprise Sanofi

28

assez significative et plus ou moins constante, ce qui est une caractéristique des séries stationnaires.

On passe maintenant au test ADF. On commence par le modèle (3) de l'entreprise

LVMH :

Tableau 10: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de LVMH

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

-0,0533037

0,0945157

-0,5640

0,5780

 

d_d_l_CA_1

-2,00873

0,283099

-7,095

1,31e-09

 

d_d_d_l_CA_1

0,499192

erreur std.

0,173176

2,883

0,0082

 

time

0,00274186

0,00468233

0,5856

0,5636

 

Et de l'entreprise Sanofi :

p. critique

***

***

Tableau 11: Modèle (3) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de Sanofi

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,0276510

0,0571589

0,4838

0,6329

 

d_d_l_COURS_1

-2,28104

erreur std.

0,345310

-6,606

3,18e-08

 

d_d_d_l_COURS_1

0,396165

0,193878

2,043

0,0521

 

time

-0,00138574

0,00283375

-0,4890

0,6293

 

p. critique

*** *

En comparant les statistiques t des tendances temporelles avec les valeurs critiques présentes dans le tableau 2, on peut apercevoir qu'au seuil de 10%, aucune des tendances n'est significative. À cause de cela, on passe à l'étape suivante, pour l'entreprise LVMH :

Tableau 12: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de LVMH

 
 
 

t de Student

 
 

coefficient

 

erreur std.

 

p. critique

 

const

-0,00257749

0,0373034

-0,06910

0,9455

 

d_d_l_CA_1

-2,01090

0,279330

-7,199

9,49e-011

 

d_d_d_l_CA_1

0,501999

0,170820

2,939

0,0070

***

Et pour l'entreprise Sanofi :

***

Tableau 13: Modèle (2) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de Sanofi

 

coefficient

erreur std.

t de Student

p. critique

 
 
 
 
 
 
 

const

0,00201869

0,0224465

0,08993

0,9291

 

d_d_l_COURS_1

-2,26587

0,338638

-6,691

2,19e-09

***

d_d_d_l_COURS_1

0,387136

0,190037

2,037

0,0524

*

On peut apercevoir que les valeurs des statistiques t des constantes pour les deux entreprises ne sont pas assez fortes, par conséquent les constantes ne sont pas significatives au seuil de 10%. Donc on passe à la dernière étape du test, pour l'entreprise LVMH :

29

Tableau 14: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de LVMH

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

d_d_l_CA_1

-2,01085

0,273931

-7,341

2,43e-012

 

d_d_d_l_CA_1

0,502002

0,167519

2,997

0,0059

 

Et pour l'entreprise Sanofi :

***

***

Tableau 15: Modèle (1) du test ADF pour le log du CA différencié deux fois de Sanofi

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

d_d_l_COURS_1

-2,26565

0,332108

-6,822

4,91e-011

 

d_d_d_l_COURS_1

0,387244

0,186373

2,078

0,0477

 

***

**

On peut comparer les valeurs des statistiques t avec les valeurs critiques de racine unitaire (d'après le tableau 1), ce qui nous amène à conclure qu'elles sont significatives au seuil de 1% (valeur critique de -2.60). Avec cela, on déduit que les séries deviennent stationnaires après deux différentiations et on peut terminer les tests ADF pour les chiffres d'affaires.

Maintenant, on passe à tester la stationnarité pour la variable dépendante du travail, le cours boursier (COURS). On va travailler avec les logarithmes des cours boursiers pour le même motif explicité au début de la modélisation. Si on regarde le graphique du Log des cours boursiers de l'entreprise TOTAL SA :

Graphique 8 : Log des cours boursiers de l'entreprise TOTAL SA

30

On peut observer que la série temporelle a un comportement similaire à une série de marche aléatoire, ce qui semble à une série non stationnaire. D'après les annexes 43, 44, 45 et 46, on constate un mouvement aléatoire dans toutes les graphiques. Afin de savoir à coup sûr, on va tester la stationnarité avec le test ADF. La première étape pour l'entreprise TOTAL SA :

Tableau 16: Modèle (3) du test ADF pour le log des cours boursiers de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,280682

0,913986

0,3071

0,7617

l_Share1_1

-0,0928986

0,259057

-0,3586

0,9890

d_l_Share1_1

-0,277037

0,306231

-0,9047

0,3754

d_l_Share1_2

-0,283570

0,268913

-1,055

0,3031

d_l_Share1_3

-0,0704265

0,237068

-0,2971

0,7692

time

0,00333827

erreur std.

0,00249514

1,338

0,1946

p. critique

Comme la statiques t de la tendance temporelle est trop faible, on conclue, en comparant avec le tableau 2, qu'elle n'est pas significative. Si on regarde les annexes 47, 50 et 53, on peut apercevoir que la tendance temporelle n'est pas significative pour les entreprises BNP Paribas, L'Oréal et LVMH non plus. Par contre, d'après l'annexe 56, on conclue au seuil de 5% (valeur critique de 2.79, d'après le tableau 2), que la tendance est significative pour l'entreprise Sanofi, donc on a besoin de tester la racine unitaire, comme la statistique t de la variable en question est trop faible, on ne peut rejeter l'hypothèse nulle (la série est non stationnaire), donc il faut qu'on la différencie. On passe au modèle (2) du test :

Tableau 17: Modèle (2) du test ADF pour le log des cours boursiers de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,469339

0,918421

0,5110

0,6142

l_Share1_1

-0,129399

erreur std.

0,262003

-0,4939

p. critique

0,8901

d_l_Share1_1

-0,178522

0,302308

-0,5905

0,5606

d_l_Share1_2

-0,204275

0,266767

-0,7657

0,4516

d_l_Share1_3

-0,0165149

0,237596

-0,06951

0,9452

Après comparer la statistique t de la constante avec les valeurs critiques (tableau 2), on constate qu'elle n'est pas significative au seuil de 10%. Si on consulte les annexes 48, 51 et 54 on peut remarquer que les résultats sont similaires, les constantes pour les entreprises BNP Paribas, L'Oréal et LVMH n'ont pas été significatives. Il faut qu'on continue le test ADF pour le modèle (1) :

31

Tableau 18: Modèle (1) du test ADF pour le log des cours boursiers de TOTAL SA

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

l_Share1_1

0,00334959

0,00516501

0,6485

0,8563

d_l_Share1_1

-0,209726

0,186111

-1,127

0,2694

La statistique t est trop faible ce qui nous amène à conclure que la variable n'est pas significative au seuil de 10%, on ne peut pas rejeter l'hypothèse nulle (la série est non-stationnaire), il faut qu'on la différencie pour la rendre stationnaire. D'après les annexes 49, 52 et 55, on peut apercevoir que les séries sont non-stationnaires, parce qu'on n'a pas rejette l'hypothèse d'existence de racine unitaire d'après la comparaison entre les statistiques t et les valeurs critiques du tableau 1.

Comme les cours boursiers en logarithme ne sont pas stationnaires, il faut qu'on différencie les séries afin de les rendre stationnaires. On peut analyser le graphique du log des cours boursiers différenciés de l'entreprise TOTAL SA :

Graphique 9 : Log des cours boursiers différenciés de l'entreprise TOTAL SA

On peut constater que la série a sa moyenne centrée en zéro et que sa variance est relativement constante, ce qui correspond à un comportement d'une série stationnaire. D'après les annexes 57, 58, 59 et 60, on peut observer que les autres entreprises ont un comportement similaire à ceux de TOTAL SA. Maintenant on passe au test ADF pour la série différencie. On commence par le modèle (3) pour l'entreprise TOTAL SA :

32

Tableau 19: Modèle (3) du test ADF pour le log des cours boursiers différenciés de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

-0,0434535

0,0428877

-1,013

0,3207

 

d_l_Share1_1

-1,62475

0,298300

-5,447

2,18e-05

 

d_d_l_Share1_1

0,304577

0,189227

1,610

0,1200

 

time

0,00322198

erreur std.

0,00218567

1,474

0,1529

 

p. critique

***

On constate que la statistique t pour la tendance temporelle est trop faible, donc elle n'est pas significative quand on compare sa valeur avec les valeurs critiques du tableau 2. D'après les annexes 61, 64, 67 et 70, on peut avoir la même conclusion pour les autres entreprises. On continue le test par la prochaine étape :

Tableau 20: Modèle (2) du test ADF pour le log des cours boursiers différenciés de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,00963056

0,0196630

0,4898

0,6291

d_l_Share1_1

-1,25533

0,601752

-2,086

0,2505

d_d_l_Share1_1

0,00956670

0,503242

0,01901

0,9850

d_d_l_Share1_2

-0,210895

erreur std.

0,362796

-0,5813

0,5669

d_d_l_Share1_3

-0,211704

0,214153

-0,9886

0,3336

p. critique

Si on compare la statistique t de la constance avec les valeurs critiques de Dickey-Fuller, on conclue qu'elle n'est pas significative au seuil de 10% (valeur critique de 2.17, d'après le tableau 2). Pour les autres entreprises, selon les annexes 62, 65, 68 et 71, on trouve que les constantes ne sont pas significatives. À cause de cela, il faut qu'on passe à la dernière étape du modèle :

Tableau 21: Modèle (1) du test ADF pour le log des cours boursiers différenciés de TOTAL SA

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

d_l_Share1_1

-1,21125

0,585070

-2,070

0,0369

 

d_d_l_Share1_1

-0,0211718

0,490994

-0,04312

0,9660

**

d_d_l_Share1_2

-0,229447

0,354801

-0,6467

0,5242

 

d_d_l_Share1_3

-0,219534

0,209997

-1,045

0,3067

 

En comparant la statistique t avec les valeurs critiques de racine unitaire du tableau 1, on conclue qu'elle est significative au seuil de 5% (valeur critique de -1.95), donc on rejette l'hypothèse nulle, la série est maintenant stationnaire et on peut arrêter le test ADF. D'après les annexes 63, 66, 69 et 72, on peut rejeter l'hypothèse de racine unitaire pour les autres entreprises aussi.

33

Comme on a bien trouvé les séries stationnaires après la différentiation, on peut maintenant commencer les tests de cointégration. On estime les paramètres par MCO en introduisant des variables dummies de correction de saisonnalité, ce qui nous permet de travailler même avec les séries qui n'ont pas de racine unitaire dans les variables indépendantes (LVMH et Sanofi). La modélisation par MCO pour l'entreprise TOTAL SA est comme suit :

Tableau 22: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour TOTAL SA

Modèle 2: MCO, utilisant les observations 2006:1-2013:4 (T = 32)
Variable dépendante: l_Share1

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

 

const

-1,6625

2,7005

-0,6156

0,54330

 

l_CA

0,295532

0,153838

1,9211

0,06534

*

T1

-0,0220082

0,0603018

-0,3650

0,71798

 

T2

-0,0397488

0,0601486

-0,6608

0,51431

 

T3

-0,0167468

0,0601588

-0,2784

0,78284

 

Moy. var. dép.

3,525173

Éc. type var. dép.

0,120628

Somme carrés résidus

0,390673

Éc. type de régression

0,120289

R2

0,133924

R2 ajusté

0,005616

F(4, 27)

1,043771

p. critique (F)

0,403088

Log de vraisemblance

25,08388

Critère d'Akaike

-40,16776

Critère de Schwarz

-32,83908

Hannan-Quinn

-37,73851

rho

0,583789

Durbin-Watson

0,856695

Les annexes 77, 78, 79 et 80 présentent la même modélisation pour les autres entreprises. D'après ces modèles de MCO, on va prendre les résidus afin de tester la cointégration (ou la relation de long terme) entre les variables dépendantes (les cours boursiers) et indépendantes (les chiffres d'affaires). Le test d'Engle-Granger pour l'entreprise TOTAL SA :

Tableau 23: Test d'Engle-Granger pour l'entreprise TOTAL SA

coefficient

 

erreur std.

t de Student

p. critique

 
 
 
 
 

l_resid_sais_1

-0,349350

0,253701

-1,377

0,1569

d_l_resid_sais_1

-0,0500037

0,247398

-0,2021

0,8414

d_l_resid_sais_2

-0,126447

0,215999

-0,5854

0,5633

On va comparer la statistique t avec les valeurs critiques d'Engle et Yoo (d'après le tableau 3), comme elle n'est pas assez forte on conclue qu'au seuil de 10% (valeur critique de -2.90) elle n'est pas significative. Cela indique que les variables ne sont pas cointégrées entre elles, donc il n'existe pas une relation de long terme. D'après les annexes 73, 74, 75 et 76, on peut constater que les valeurs absolues des statistiques t sont inférieurs à les valeurs critiques absolues au seuil de 10%, donc on a la même conclusion pour les autres entreprises, il n'y a pas de relation de long terme entre les variables.

34

Comme on n'a pas trouvé une relation de long terme entre les variables, on ne peut pas estimer un modèle à correction d'erreur. Quand même, on peut essayer d'estimer une relation de court terme avec les séries stationnarisées. On va continuer à utiliser des variables dummies afin de résoudre des problèmes éventuels de saisonnalité.

On commence par la modélisation de court terme par MCO pour l'entreprise TOTAL SA. On prendre le log des cours boursiers différenciés une fois comme variable dépendante et le log des chiffres d'affaires différenciés comme variable indépendante en ajoutant les variables dummies de saisonnalité :

Tableau 24: Relation de court terme estimé par MCO pour TOTAL SA

Modèle 6: MCO, utilisant les observations 2006:2-2013:4 (T = 31)
Variable dépendante: d_l_Share1

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

const

0,0130686

0,0184859

0,7069

0,48589

d_l_CA

-0,223961

0,23223

-0,9644

0,34373

T1

0,00326834

0,0530074

0,0617

0,95131

T2

-0,0129109

0,0520758

-0,2479

0,80614

T3

0,0127453

0,0512569

0,2487

0,80558

Moy. var. dép.

0,011357

Éc. type var. dép.

0,097742

Somme carrés résidus

0,272360

Éc. type de régression

0,102349

R2

0,049692

R2 ajusté

-0,096509

F(4, 26)

0,339890

p. critique (F)

0,848525

Log de vraisemblance

29,39946

Critère d'Akaike

-48,79891

Critère de Schwarz

-41,62898

Hannan-Quinn

-46,46169

rho

-0,152319

Durbin-Watson

2,275254

On peut apercevoir, d'après la valeur du R2 ajusté, que le pouvoir explicatif du modèle est trop faible, en outre, la variable indépendante n'a pas été significative au seuil de 10% d'après la valeur p. critique, donc la relation statistique n'est pas trop forte. On passe à l'estimation de la relation de court terme pour l'entreprise BNP Paribas :

35

Tableau 25: Relation de court terme estimé par MCO pour BNP Paribas

Modèle 3: MCO, utilisant les observations 2006:2-2013:4 (T = 31)
Variable dépendante: d_l_COURS

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

 

const

-0,0131812

0,03198

-0,4122

0,68359

 

d_l_CA

1,19091

0,250651

4,7513

0,00006

***

T1

-0,178337

0,112236

-1,5889

0,12416

 

T2

-0,0556102

0,0909686

-0,6113

0,54630

 

T3

-0,0561573

0,0890435

-0,6307

0,53376

 

Moy. var. dép.

0,003235

Éc. type var. dép.

0,230508

Somme carrés résidus

0,808473

Éc. type de régression

0,176338

R2

0,492810

R2 ajusté

0,414781

F(4, 26)

6,315705

p. critique (F)

0,001089

Log de vraisemblance

12,53512

Critère d'Akaike

-15,07025

Critère de Schwarz

-7,900310

Hannan-Quinn

-12,73303

rho

-0,122873

Durbin-Watson

2,234871

Pour le cas de BNP Paribas, on vérifie que le pouvoir explicatif du modèle est assez significatif (d'après la valeur du R2 ajusté) et que la variable indépendante est significative au seuil de 1%, on peut conclure que la relation statistique de court terme est expressive. Maintenant on va estimer la relation de court terme pour l'entreprise L'Oréal :

Tableau 26: Relation de court terme estimé par MCO pour L'Oréal :

Modèle 4: MCO, utilisant les observations 2006:2-2013:4 (T = 31)
Variable dépendante: d_l_Cours

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

 

const

0,0257661

0,0181012

1,4234

0,16650

 

d_l_CA

-0,104435

0,273181

-0,3823

0,70535

 

T1

0,0935905

0,0515365

1,8160

0,08092

*

T2

0,0243706

0,0529019

0,4607

0,64886

 

T3

0,0324862

0,0501883

0,6473

0,52312

 

Moy. var. dép.

0,022678

Éc. type var. dép.

0,098435

Somme carrés résidus

0,253792

Éc. type de régression

0,098799

R2

0,126917

R2 ajusté

-0,007404

F(4, 26)

0,944880

p. critique (F)

0,453896

Log de vraisemblance

30,49395

Critère d'Akaike

-50,98791

Critère de Schwarz

-43,81797

Hannan-Quinn

-48,65069

rho

0,152381

Durbin-Watson

1,615571

Comme le R2 ajusté du modèle est trop faible, le pouvoir explicatif du modèle est insignifiant. La variable indépendante n'est pas significative au seuil de 10% d'après la valeur p. critique. On ne peut pas inférer significativement sur ce modèle parce que son pouvoir explicatif est trop faible. On passe à estimer la relation de court terme pour la prochaine

36

étape, LVMH (comme le log du chiffre d'affaire différencié n'est pas stationnaire, on va travailler avec la série différencié deux fois) :

Modèle 3: MCO, utilisant les observations 2006:3-2013:4 (T = 30)
Variable dépendante: d_l_COURS

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

const

0,0241802

0,0235336

1,0275

0,31404

d_d_l_CA

-0,726442

0,470918

-1,5426

0,13549

T1

-0,2815

0,246057

-1,1440

0,26344

T2

0,0386927

0,0686993

0,5632

0,57830

T3

-0,00598602

0,0646872

-0,0925

0,92701

Moy. var. dép.

0,022697

Éc. type var. dép.

0,130751

Somme carrés résidus

0,413475

Éc. type de régression

0,128604

R2

0,166009

R2 ajusté

0,032571

F(4, 25)

1,244089

p. critique (F)

0,317963

Log de vraisemblance

21,69717

Critère d'Akaike

-33,39434

Critère de Schwarz

-26,38835

Hannan-Quinn

-31,15306

rho

0,055241

Durbin-Watson

1,887621

Tableau 27: Relation de court terme estimé par MCO pour LVMH :

Le R2 ajusté a une valeur trop faible, donc le pouvoir d'explication du modèle n'est suffisant pour avoir une bonne relation statistique. La valeur p. critique pour la variable indépendante est supérieure à 10%, ainsi on peut conclure qu'elle n'est pas significative. On passe à la dernière estimation d'une relation de court terme, l'estimation pour l'entreprise Sanofi (on va travailler avec le log du chiffre d'affaires différencié deux fois pour la même raison de l'entreprise LVMH) :

Modèle 2: MCO, utilisant les observations 2006:3-2013:4 (T = 30)
Variable dépendante: d_l_COURS

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

 

const

0,0136852

0,0125237

1,0927

0,28492

 

d_d_l_COURS

0,500418

0,0960236

5,2114

0,00002

***

T1

0,0362847

0,0378377

0,9590

0,34676

 

T2

0,0316733

0,0361709

0,8757

0,38955

 

T3

-0,00283213

0,0350154

-0,0809

0,93618

 

Moy. var. dép.

0,012155

Éc. type var. dép.

0,101867

Somme carrés résidus

0,117103

Éc. type de régression

0,068440

R2

0,610866

R2 ajusté

0,548605

F(4, 25)

9,811304

p. critique (F)

0,000065

Log de vraisemblance

40,62039

Critère d'Akaike

-71,24077

Critère de Schwarz

-64,23479

Hannan-Quinn

-68,99950

rho

0,533101

Durbin-Watson

0,923259

Tableau 28: Relation de court terme estimé par MCO pour Sanofi:

37

On peut constater que le R2 ajusté a une valeur considérable, ce qui rend le pouvoir d'explication à un niveau assez significatif. La variable indépendante est significative au seuil de 1% d'après la valeur p. critique, donc on peut apercevoir une relation statistique expressive au court terme.

38

4. CONSIDÉRATIONS FINALES

D'après tous les tests explicités dans la modélisation du travail, on constate qu'il n'y a pas une relation de long terme existante entre le cours boursier et le chiffre d'affaire. On peut expliquer ces résultats par les limitations de notre modèle.

Un des motifs pour l'inexistence d'une relation de long terme dans notre modèle est dû à l'échantillon utilisé qui n'a pas été assez grand. C'est qu'on appelle d'une limite purement statistique. Le travail de recherche a eu des problèmes pour trouver des données comptables précèdent 2006 à cause des valeurs privées ou d'accès payante. Comme une relation de cointégration de long terme exige un échantillon assez significatif, on peut observer que la taille insuffisante des observations aurait pu être la cause de l'échec de cette relation.

Un autre motif statistique est l'absence des variables de contrôle dans le modèle. Les variables de contrôle sont des variables instrumentales qui ont une relation significative avec la variable dépendante. Comme explicité dans l'introduction, il existe plusieurs variables qui peuvent avoir une relation significative avec l'évolution des cours boursiers, par contre, pour simplification on ne les a pas pris en compte, l'absence des variables de contrôle peut causer une spurious regression (régression fallacieuse).

On a des motifs d'ordre économique également. Le chiffre d'affaire est un résultat purement comptable, sans une implication économique directe, il n'est prend pas en compte les coûts et les dettes d'une entreprise. D'autres données de l'analyse financière, ou même d'ordre comptable, ont une implication plus directe, comme les bénéfices ou les résultats liquides d'une entreprise. Par contre, ces autres données ne sont pas assez accessibles comme le CA et parfois ne sont pas trimestriels.

Une autre limite du modèle est le comportement des marchés boursiers. Ils ont des mouvements qui parfois n'ont pas d'explication, ce qui semble à une vraie marche aléatoire. Robert Shiller (2010) et d'autres experts en finance comportementale essayent de répondre les mouvements de la finance et de l'économie dans son ensemble par la psychologie humaine. Shiller nous démontre que parfois les agents n'ont pas des comportements rationnels surtout en périodes des crises, cela contribue aux mouvements aléatoires des cours boursiers.

D'après les estimations des relations à court terme, on peut apercevoir que seulement les modèles de l'entreprise BNP Paribas et de l'entreprise Sanofi ont eu un pouvoir explicatif assez significatif. Cela peut indiquer que même au court terme, la relation entre les cours boursiers et les chiffres d'affaires n'est pas assez significative. C'est évident que les différentiations des variables compliquent le travail d'intuition économique. Quand on parle des deux séries différenciées une fois on a une relation entre l'évolution d'une variable en fonction de l'évolution de l'autre variable. Par contre, quand on différencie deux ou plusieurs fois une série temporelle, on perd l'intuition économique, on a qu'un résultat statistique, la relation entre l'évolution de l'évolution d'une variable en fonction d'une autre variable n'a pas un grand pouvoir d'inférence économique.

39

5. RÉFÉRENCES

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WOOLDRIDGE, J. M. Introductory Econometrics - A Modern Approach. SOUTHWESTERN. Mason, 2009.

http://www.boursier.com/indices/composition/cac-40-FR0003500008,FR.html?tri=dcapi Accès le 20avril

40

http://www.societe.com/bilan/total-sa/542051180201212311.html Accès le 20 avril de 2014

http://www.fortuneo.fr/fr/bourse/fiche-valeur/FTN000023FR0000120271/informations-total.jsp Accès le 20 avril de 2014

http://bourse.lesechos.fr/bourse/profil/comptes societe.jsp?place=XPAR&code=FR0000120 271&codif=ISIN Accès le 20 avril de 2014

https://fr.finance.yahoo.com/q/hp?s=FP.PA Accès le 26 avril de 2014

http://www.daily-bourse.fr/resultats-TOTAL-chiffre-affaire-FR0000120271.php Accès le 26 avril de 2014

http://total.com/fr/actionnaires/informations-reglementees/informations-financieres-trimestrielles/

http://www.loreal-finance.com/fr/resultats-annuels Accès le 10 mai de 2014

http://www.sanofi.com/investisseurs/actualites publications/publications financieres/publi cations financieres.aspx#para 11 Accès le 10 mai de 2014

http://www.lvmh.fr/communication-financiere/documentation/resultats Accès le 10 mai de

2014

http://invest.bnpparibas.com/fr/pid5813/resultats.html Accès le 10 mai de 2014

41

ANNEXES

42

Annexe 1 : Chiffre d'Affaires de TOTAL SA

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE CA

 

1° Trim 2006

38,103,000.00

2° Trim 2006

40,909,000.00

3° Trim 2006

38,357,000.00

4° Trim 2006

36,433,000.00

1° Trim 2007

37,043,000.00

2° Trim 2007

39,094,000.00

3° Trim 2007

39,430,000.00

4° Trim 2007

43,185,000.00

1° Trim 2008

44,213,000.00

2° Trim 2008

48,200,000.00

3° Trim 2008

48,849,000.00

4° Trim 2008

38,714,000.00

1° Trim 2009

30,041,000.00

2° Trim 2009

31,430,000.00

3° Trim 2009

33,628,000.00

4° Trim 2009

36,228,000.00

1° Trim 2010

37,603,000.00

2° Trim 2010

41,329,000.00

3° Trim 2010

40,180,000.00

4° Trim 2010

40,157,000.00

1° Trim 2011

46,029,000.00

2° Trim 2011

45,009,000.00

3° Trim 2011

46,163,000.00

4° Trim 2011

47,492,000.00

1° Trim 2012

51,168,000.00

43

Annexe 2: Chiffre d'Affaires de BNP Paribas

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE CA

 

1° Trim 2006

6,817,000.00

2° Trim 2006

7,245,000.00

3° Trim 2006

6,829,000.00

4° Trim 2006

7,052,000.00

1° Trim 2007

8,213,000.00

2° Trim 2007

8,214,000.00

3° Trim 2007

7,690,000.00

4° Trim 2007

6,920,000.00

1° Trim 2008

7,395,000.00

2° Trim 2008

7,517,000.00

3° Trim 2008

7,614,000.00

4° Trim 2008

4,850,000.00

1° Trim 2009

9,477,000.00

2° Trim 2009

9,993,000.00

3° Trim 2009

10,663,000.00

4° Trim 2009

10,058,000.00

1° Trim 2010

11,530,000.00

2° Trim 2010

11,174,000.00

3° Trim 2010

10,856,000.00

4° Trim 2010

10,320,000.00

1° Trim 2011

11,685,000.00

2° Trim 2011

10,981,000.00

3° Trim 2011

10,032,000.00

4° Trim 2011

9,686,000.00

1° Trim 2012

9,886,000.00

44

Annexe 3: Chiffre d'Affaires de L'Oréal

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE CA

 

1° Trim 2006

3,938,400.00

2° Trim 2006

3,847,100.00

3° Trim 2006

3,814,500.00

4° Trim 2006

4,190,000.00

1° Trim 2007

4,268,000.00

2° Trim 2007

4,246,000.00

3° Trim 2007

4,125,000.00

4° Trim 2007

4,424,000.00

1° Trim 2008

4,359,000.00

2° Trim 2008

4,287,000.00

3° Trim 2008

4,266,000.00

4° Trim 2008

4,630,000.00

1° Trim 2009

4,370,000.00

2° Trim 2009

4,399,000.00

3° Trim 2009

4,234,800.00

4° Trim 2009

4,468,800.00

1° Trim 2010

4,721,700.00

2° Trim 2010

4,945,100.00

3° Trim 2010

4,851,700.00

4° Trim 2010

4,977,500.00

1° Trim 2011

5,160,000.00

2° Trim 2011

4,989,300.00

3° Trim 2011

4,938,100.00

4° Trim 2011

5,255,700.00

1° Trim 2012

5,643,000.00

45

Annexe 4: Chiffre d'Affaires de LVMH

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE CA

 

1° Trim 2006

3,555,000.00

2° Trim 2006

3,413,000.00

3° Trim 2006

3,658,000.00

4° Trim 2006

4,680,000.00

1° Trim 2007

3,804,000.00

2° Trim 2007

3,608,000.00

3° Trim 2007

4,034,000.00

4° Trim 2007

5,035,000.00

1° Trim 2008

4,002,000.00

2° Trim 2008

3,797,000.00

3° Trim 2008

4,160,000.00

4° Trim 2008

5,234,000.00

1° Trim 2009

4,018,000.00

2° Trim 2009

3,793,000.00

3° Trim 2009

4,135,000.00

4° Trim 2009

5,107,000.00

1° Trim 2010

4,472,000.00

2° Trim 2010

4,627,000.00

3° Trim 2010

5,111,000.00

4° Trim 2010

6,110,000.00

1° Trim 2011

5,247,000.00

2° Trim 2011

5,045,000.00

3° Trim 2011

6,011,000.00

4° Trim 2011

7,356,000.00

1° Trim 2012

6,582,000.00

46

Annexe 5: Chiffre d'Affaires de Sanofi

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE CA

 

1° Trim 2006

7,035,000.00

2° Trim 2006

7,081,000.00

3° Trim 2006

6,901,000.00

4° Trim 2006

7,356,000.00

1° Trim 2007

7,177,000.00

2° Trim 2007

6,939,000.00

3° Trim 2007

7,025,000.00

4° Trim 2007

6,911,000.00

1° Trim 2008

6,937,000.00

2° Trim 2008

6,689,000.00

3° Trim 2008

6,853,000.00

4° Trim 2008

7,089,000.00

1° Trim 2009

7,107,000.00

2° Trim 2009

7,438,000.00

3° Trim 2009

7,400,000.00

4° Trim 2009

7,361,000.00

1° Trim 2010

7,385,000.00

2° Trim 2010

7,783,000.00

3° Trim 2010

7,821,000.00

4° Trim 2010

7,395,000.00

1° Trim 2011

7,779,000.00

2° Trim 2011

8,349,000.00

3° Trim 2011

8,753,000.00

4° Trim 2011

8,508,000.00

1° Trim 2012

8,511,000.00

47

Annexe 6: Graphique de série temporelle pour le log du CA de BNP Paribasp

Annexe 7: Graphique de série temporelle pour le CA de L'Oréal

48

Annexe 8 : Graphique de série temporelle pour le CA de LVMH

Annexe 9 : Graphique de série temporelle pour le CA de Sanofi

49

Annexe 10 : Test ADF pour le log du CA de BNP Paribas - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

7,01102

5,50990

1,272

0,2165

l_CA_1

-0,340769

0,271173

-1,257

0,8977

d_l_CA_1

-0,280888

0,280017

-1,003

0,3267

d_l_CA_2

-0,165196

0,257202

-0,6423

0,5273

d_l_CA_3

-0,177871

0,214773

-0,8282

0,4165

time

0,00207409

0,00570832

0,3633

0,7198

erreur std.

p. critique

Annexe 11 : Test ADF pour le log du CA de BNP Paribas - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

5,49686

3,53590

1,555

0,1337

l_CA_1

-0,265447

0,171486

-1,548

0,5093

d_l_CA_1

-0,342741

0,218097

-1,572

0,1297

d_l_CA_2

-0,211447

erreur std.

0,219237

-0,9645

0,3448

d_l_CA_3

-0,206632

0,195850

-1,055

0,3024

p. critique

Annexe 12 : Test ADF pour le log du CA de BNP Paribas - Modèle (1)

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

l_CA_1

0,000616749

0,00136499

0,4518

0,8119

 

d_l_CA_1

-0,379206

0,174668

-2,171

0,0386

 

Annexe 13 : Test ADF pour le log du CA de L'Oréal - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

17,7583

6,98116

2,544

0,0178

 

l_CA_1

-0,898437

erreur std.

0,353976

-2,538

p. critique

0,3095

 

d_l_CA_1

-0,144747

0,297780

-0,4861

0,6313

 

d_l_CA_2

-0,0262941

0,205921

-0,1277

0,8995

 

time

0,0118152

0,00505157

2,339

0,0280

 

Annexe 14 : Test ADF pour le log du CA de L'Oréal - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

0,608011

2,17641

0,2794

0,7827

 

l_CA_1

-0,0288494

0,109022

-0,2646

0,9277

 

d_l_CA_1

-0,823224

0,231020

-3,563

0,0018

 

d_l_CA_2

-0,451158

0,291428

-1,548

0,1365

***

d_l_CA_3

-0,223022

0,296637

-0,7518

0,4605

 

d_l_CA_4

-0,0875169

0,224030

-0,3906

0,7000

 

50

Annexe 15 : Test ADF pour le log du CA de L'Oréal - Modèle (1)

 
 
 
 
 
 

l_CA_1 0,000987355 0,000553175 1,785

0,9826

 

d_l_CA_1 -0,575260 0,154916 -3,713

0,0009

 

Annexe 16 : Test ADF pour le log du CA de LVMH - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

6,04030

4,23717

1,426

0,1680

 

l_CA_1

-0,307554

0,216732

-1,419

0,8558

 

d_l_CA_1

-0,555150

0,196685

-2,823

0,0099

 

d_l_CA_2

-0,683299

0,144605

-4,725

0,0001

 

d_l_CA_3

-0,691653

0,127136

-5,440

1,83e-05

 

time

0,0105907

erreur std.

0,00578157

1,832

0,0806

 

p. critique

Annexe 17 : Test ADF pour le log du CA de LVMH - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,771171

2,08026

0,3707

0,7140

 

l_CA_1

-0,0360142

erreur std.

0,103882

-0,3467

0,9156

 

d_l_CA_1

-0,270181

0,168908

-1,600

0,1223

 

d_l_CA_2

-0,618912

0,164374

-3,765

0,0009

 

p. critique

Annexe 18 : Test ADF pour le log du CA de LVMH - Modèle (1)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

l_CA_1

0,000831786

0,000757937

1,097

0,9297

 

d_l_CA_1

-0,154957

erreur std.

0,135750

-1,141

p. critique

0,2659

 

d_l_CA_2

-0,179212

0,134755

-1,330

0,1972

 

d_l_CA_3

-0,162594

0,133238

-1,220

0,2353

 

d_l_CA_4

0,751997

0,135411

5,553

1,39e-05

 

Annexe 19 : Test ADF pour le log du CA de Sanofi - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 

erreur std.

 

p. critique

const

6,08811

3,61293

1,685

0,1049

l_CA_1

-0,299602

0,178102

-1,682

0,7594

d_l_CA_1

0,190870

0,192201

0,9931

0,3306

d_l_CA_2

-0,233409

0,206097

-1,133

0,2686

time

0,00260121

0,00178871

1,454

0,1588

51

Annexe 20 : Test ADF pour le log du CA de Sanofi - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

1,35176

1,59834

0,8457

0,4057

 

l_CA_1

-0,0656923

0,0781634

-0,8404

0,8071

 

d_l_CA_1

0,0925412

0,183883

0,5033

0,6192

 

d_l_CA_2

-0,368385

erreur std.

0,188072

-1,959

0,0614

 

p. critique

Annexe 21 : Test ADF pour le log du CA de Sanofi - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

l_CA_1

0,000412032

0,000325314

1,267

0,9484

 

d_l_CA_1

0,0566824

0,177945

0,3185

0,7526

 

d_l_CA_2

-0,400500

0,183187

-2,186

0,0380

 

*

**

Annexe 22 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de BNP Paribas

52

Annexe 23 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de L'Oréal

Annexe 24 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de LVMH

53

Annexe 25 : Graphique de série temporelle pour le log du CA différencié de Sanofi

Annexe 26 : Test ADF pour le log du CA différencié de BNP Paribas - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,0644236

0,0702046

0,9177

0,3676

 

d_l_CA_1

-1,67758

erreur std.

0,323991

-5,178

p. critique

8,01e-05

 

d_d_l_CA_1

0,212437

0,194832

1,090

0,2860

 

time

-0,00256022

0,00351847

-0,7277

0,4736

 

***

Annexe 27 : Test ADF pour le log du CA différencié de BNP Paribas - Modèle (2)

 

coefficient

erreur std.

t de Student

p. critique

 
 
 
 
 
 
 

const

0,0180515

0,0291836

0,6186

0,5416

 

d_l_CA_1

-1,65059

0,318936

-5,175

8,82e-06

 

d_d_l_CA_1

0,199381

0,192240

1,037

0,3092

***

Annexe 28 : Test ADF pour le log du CA différencié de BNP Paribas - Modèle (1)

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 

***

d_l_CA_1

-1,62742

0,313086

-5,198

2,86e-07

 

d_d_l_CA_1

0,186719

0,188949

0,9882

0,3318

 

54

Annexe 29 : Test ADF pour le log du CA différencié de L'Oréal - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,0393255

0,0265694

1,480

0,1513

 

d_l_CA_1

-2,07909

0,334091

-6,223

3,23e-07

 

d_d_l_CA_1

0,313717

0,189786

1,653

0,1108

 

time

-0,000643292

erreur std.

0,00131710

-0,4884

0,6295

 

p. critique

***

Annexe 30 : Test ADF pour le log du CA différencié de L'Oréal - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

0,0276991

0,0116277

2,382

0,0248

 

d_l_CA_1

-2,07519

0,329069

-6,306

2,12e-08

**

d_d_l_CA_1

0,313943

0,186986

1,679

0,1051

 

***

Annexe 31 : Test ADF pour le log du CA différencié de L'Oréal - Modèle (1)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

d_l_CA_1

-1,40159

0,711525

-1,970

0,0468

 

d_d_l_CA_1

-0,306349

0,640239

-0,4785

0,6372

 

d_d_l_CA_2

-0,485962

erreur std.

0,533783

-0,9104

0,3729

 

d_d_l_CA_3

-0,361673

0,395216

-0,9151

0,3705

 

d_d_l_CA_4

-0,152139

0,210842

-0,7216

0,4785

 

p. critique

**

Annexe 32 : Test ADF pour le log du CA différencié de LVMH - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,0177180

0,0255988

0,6921

0,4964

 

d_l_CA_1

-0,735042

erreur std.

0,549561

-1,338

p. critique

0,8784

 

d_d_l_CA_1

-0,417054

0,414407

-1,006

0,3257

 

d_d_l_CA_2

-0,593870

0,279019

-2,128

0,0453

 

d_d_l_CA_3

-0,754300

0,148305

-5,086

4,89e-05

 

time

-6,24383e-05

0,00133323

-0,04683

0,9631

 

**

***

Annexe 33 : Test ADF pour le log du CA différencié de LVMH - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

0,0167622

0,0151004

1,110

0,2790

 

d_l_CA_1

-0,744742

0,497359

-1,497

0,5352

 

d_d_l_CA_1

-0,409878

0,376204

-1,090

0,2877

 

d_d_l_CA_2

-0,589017

0,253118

-2,327

0,0296

 

d_d_l_CA_3

-0,751740

0,134699

-5,581

1,31e-05

 

55

Annexe 34 : Test ADF pour le log du CA différencié de LVMH - Modèle (1)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

d_l_CA_1

-0,312311

0,310763

-1,005

0,2833

 

d_d_l_CA_1

-0,736275

0,235853

-3,122

0,0048

 

d_d_l_CA_2

-0,806629

0,160925

-5,012

4,52e-05

 

d_d_l_CA_3

-0,862341

erreur std.

0,0911018

-9,466

2,13e-09

 

p. critique

***

***

***

Annexe 35 : Test ADF pour le log du CA différencié de Sanofi - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,0144725

0,0192364

0,7523

0,4611

d_l_CA_1

-0,690104

0,549955

-1,255

0,8981

d_d_l_CA_1

-0,171425

0,502791

-0,3409

0,7369

d_d_l_CA_2

-0,500891

0,428683

-1,168

0,2571

d_d_l_CA_3

-0,494044

0,332967

-1,484

0,1543

d_d_l_CA_4

-0,240438

0,237206

-1,014

0,3235

time

-0,000555109

erreur std.

0,000947374

-0,5859

0,5648

p. critique

Annexe 36 : Test ADF pour le log du CA différencié de Sanofi - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,00414962

0,00759639

0,5463

0,5909

d_l_CA_1

-0,753293

0,530352

-1,420

0,5739

d_d_l_CA_1

-0,104414

0,481507

-0,2168

0,8305

d_d_l_CA_2

-0,444703

erreur std.

0,410903

-1,082

0,2920

d_d_l_CA_3

-0,439185

0,314244

-1,398

0,1775

d_d_l_CA_4

-0,204243

0,225230

-0,9068

0,3753

p. critique

Annexe 37 : Test ADF pour le log du CA différencié de Sanofi - Modèle (1)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

d_l_CA_1

-0,619053

erreur std.

0,462064

-1,340

p. critique

0,1674

 

d_d_l_CA_1

-0,217387

0,427506

-0,5085

0,6164

 

d_d_l_CA_2

-0,545695

0,360780

-1,513

0,1453

 

d_d_l_CA_3

-0,505474

0,284984

-1,774

0,0906

 

d_d_l_CA_4

-0,243484

0,209872

-1,160

0,2590

 

56

Annexe 38 : Cours Boursiers de TOTAL SA

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE COURS

 

1° Trim 2006

32.25

2° Trim 2006

33.59

3° Trim 2006

34.66

4° Trim 2006

33.02

1° Trim 2007

38.15

2° Trim 2007

37.64

3° Trim 2007

38.33

4° Trim 2007

34.69

1° Trim 2008

39.66

2° Trim 2008

34.68

3° Trim 2008

29.86

4° Trim 2008

27.27

1° Trim 2009

30.47

2° Trim 2009

29.89

3° Trim 2009

31.66

4° Trim 2009

31.48

1° Trim 2010

29.89

2° Trim 2010

29.21

3° Trim 2010

 

4° Trim 2010

 

1° Trim 2011

 

2° Trim 2011

 

3° Trim 2011

 

4° Trim 2011

 

1° Trim 2012

 

57

Annexe 39 : Cours Boursiers de BNP Paribas

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE COURS

 

1° Trim 2006

52.23

2° Trim 2006

61.73

3° Trim 2006

60.54

4° Trim 2006

58.74

1° Trim 2007

69.39

2° Trim 2007

60.24

3° Trim 2007

60.03

4° Trim 2007

46.35

1° Trim 2008

54.29

2° Trim 2008

50.32

3° Trim 2008

35.46

4° Trim 2008

21.27

1° Trim 2009

40.76

2° Trim 2009

46.96

3° Trim 2009

45.98

4° Trim 2009

44.42

1° Trim 2010

39.92

2° Trim 2010

42.57

3° Trim 2010

 

4° Trim 2010

 

1° Trim 2011

 

2° Trim 2011

 

3° Trim 2011

 

4° Trim 2011

 

1° Trim 2012

 

58

Annexe 40 : Cours Boursiers de L'Oréal

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE COURS

 

1° Trim 2006

59.54

2° Trim 2006

69.64

3° Trim 2006

64.87

4° Trim 2006

67.45

1° Trim 2007

76.29

2° Trim 2007

74.29

3° Trim 2007

82.02

4° Trim 2007

68.01

1° Trim 2008

68.87

2° Trim 2008

59.79

3° Trim 2008

56.05

4° Trim 2008

45.18

1° Trim 2009

50.53

2° Trim 2009

62.2

3° Trim 2009

65.44

4° Trim 2009

68.85

1° Trim 2010

70.49

2° Trim 2010

72.45

3° Trim 2010

 

4° Trim 2010

 

1° Trim 2011

 

2° Trim 2011

 

3° Trim 2011

 

4° Trim 2011

 

1° Trim 2012

 

59

Annexe 41 : Cours Boursiers de LVMH

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE COURS

 

1° Trim 2006

64.28

2° Trim 2006

67.34

3° Trim 2006

65.62

4° Trim 2006

70.44

1° Trim 2007

74.76

2° Trim 2007

69.88

3° Trim 2007

71.00

4° Trim 2007

58.41

1° Trim 2008

65.44

2° Trim 2008

63.28

3° Trim 2008

39.33

4° Trim 2008

40.04

1° Trim 2009

52.72

2° Trim 2009

60.06

3° Trim 2009

62.78

4° Trim 2009

72.05

1° Trim 2010

79.24

2° Trim 2010

84.34

3° Trim 2010

 

4° Trim 2010

 

1° Trim 2011

 

2° Trim 2011

 

3° Trim 2011

 

4° Trim 2011

 

1° Trim 2012

 

60

Annexe 42 : Cours Boursiers de Sanofi

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

TRIMESTRE COURS

 

1° Trim 2006

51,40

2° Trim 2006

50,00

3° Trim 2006

47,55

4° Trim 2006

46,09

1° Trim 2007

51,39

2° Trim 2007

44,08

3° Trim 2007

47,83

4° Trim 2007

35,89

1° Trim 2008

36,82

2° Trim 2008

37,36

3° Trim 2008

33,39

4° Trim 2008

31,44

1° Trim 2009

36,43

2° Trim 2009

38,35

3° Trim 2009

40,78

4° Trim 2009

43,53

1° Trim 2010

42,08

2° Trim 2010

38,52

3° Trim 2010

 

4° Trim 2010

 

1° Trim 2011

 

2° Trim 2011

 

3° Trim 2011

 

4° Trim 2011

 

1° Trim 2012

 

61

Annexe 43 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas

Annexe 44 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal

62

Annexe 45 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de LVMH

Annexe 46 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers de Sanofi

63

Annexe 47 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

1,47121

0,999515

1,472

0,1540

l_COURS_1

-0,385587

0,242690

-1,589

0,7978

d_l_COURS_1

0,0706560

0,242343

0,2916

0,7731

d_l_COURS_2

-0,0675983

0,220063

-0,3072

0,7614

time

-0,00134781

0,00685907

-0,1965

0,8459

erreur std.

p. critique

Annexe 48 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

1,32881

0,675033

1,969

0,0602

 

l_COURS_1

-0,354192

0,179133

-1,977

0,2971

*

d_l_COURS_1

0,0462931

0,204183

0,2267

0,8225

 

Annexe 49 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de BNP Paribas - Modèle (1)

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

l_COURS_1

-0,00223476

0,0113537

-0,1968

0,6155

d_l_COURS_1

-0,109791

0,186443

-0,5889

0,5607

Annexe 50 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,706083

erreur std.

0,425883

1,658

p. critique

0,1094

 

l_Cours_1

-0,182843

0,106358

-1,719

0,7431

 

d_l_Cours_1

0,105690

0,187299

0,5643

0,5774

 

time

0,00580155

0,00284686

2,038

0,0519

 

*

Annexe 51 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal - Modèle (2)

 

coefficient

erreur std.

t de Student

p. critique

 
 
 
 
 

const

0,146584

0,344059

0,4260

0,6735

l_Cours_1

-0,0299492

0,0796670

-0,3759

0,9109

d_l_Cours_1

0,0567145

0,196297

0,2889

0,7748

Annexe 52 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de L'Oréal - Modèle (3)

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

l_Cours_1

0,00394175

0,00428614

0,9197

0,9050

d_l_Cours_1

0,0308230

0,183904

0,1676

0,8681

64

Annexe 53 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de LVMH - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,844568

0,487657

1,732

0,0961

 

l_COURS_1

-0,221617

0,126995

-1,745

0,7312

 

d_l_COURS_1

0,140096

0,196189

0,7141

0,4821

 

d_l_COURS_2

-0,0942339

0,198232

-0,4754

0,6388

 

time

0,00892818

0,00515534

1,732

0,0961

 

erreur std.

p. critique

*

*

Annexe 54 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de LVMH - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,210999

0,335092

0,6297

0,5346

l_COURS_1

-0,0417564

0,0759538

-0,5498

0,8790

d_l_COURS_1

0,0924657

erreur std.

0,201869

0,4580

0,6509

d_l_COURS_2

-0,159297

0,202272

-0,7875

0,4384

p. critique

Annexe 55 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de LVMH - Modèle (1)

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

l_COURS_1

0,00449166

0,00560410

0,8015

0,8855

d_l_COURS_1

0,0510853

0,190275

0,2685

0,7903

Annexe 56 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers de Sanofi - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

0,838288

0,424605

1,974

0,0623

 

l_COURS_1

-0,275893

0,119420

-2,310

0,4277

 

d_l_COURS_1

-0,180194

erreur std.

0,201654

-0,8936

p. critique

0,3822

 

d_l_COURS_2

0,0562646

0,209449

0,2686

0,7910

 

d_l_COURS_3

-0,0382880

0,230357

-0,1662

0,8697

 

d_l_COURS_4

-0,104304

0,215591

-0,4838

0,6338

 

time

0,0123877

0,00385449

3,214

0,0044

 

65

Annexe 57 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers Différenciés de BNP Paribas

Annexe 58 : Graphique de série temporelle pour le log des s Cours Boursiers Différenciés de L'Oréal

66

Annexe 59 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers Différenciés de LVMH

Annexe 60 : Graphique de série temporelle pour le log des Cours Boursiers Différenciés de Sanofi

67

Annexe 61 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de BNP Paribas - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

const

-0,108467

0,105488

-1,028

0,3137

 

d_l_COURS_1

-1,43045

0,288584

-4,957

0,0001

 

d_d_l_COURS_1

0,256550

0,190721

1,345

0,1907

 

time

0,00582648

erreur std.

0,00531810

1,096

0,2837

 

p. critique

***

Annexe 62 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de BNP Paribas - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

-0,00334756

0,0440072

-0,07607

0,9399

 

d_l_COURS_1

-1,37850

0,285756

-4,824

4,61e-05

 

d_d_l_COURS_1

0,238550

0,190743

1,251

0,2222

 

***

Annexe 63 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de BNP Paribas - Modèle (1)

erreur std.

p. critique

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

d_l_COURS_1

-1,37785

0,280320

-4,915

1,12e-06

 

d_d_l_COURS_1

0,238239

0,187155

1,273

0,2139

 

***

Annexe 64 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de L'Oréal - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

-0,0108544

erreur std.

0,0447152

-0,2427

p. critique

0,8102

d_l_Cours_1

-0,837670

0,276672

-3,028

0,1245

d_d_l_Cours_1

-0,118162

0,190284

-0,6210

0,5402

time

0,00157353

0,00233134

 
 

0,6749

0,5059

Annexe 65 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de L'Oréal - Modèle (2)

coefficient

 

erreur std.

t de Student

p. critique

 
 
 
 
 
 
 

const

0,0162908

0,0193377

0,8424

0,4072

 

d_l_Cours_1

-0,783028

0,261777

-2,991

0,0357

**

d_d_l_Cours_1

-0,140993

0,185283

-0,7610

0,4535

 

68

Annexe 66 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de L'Oréal - Modèle (1)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

d_l_Cours_1

-0,717383

0,248564

-2,886

0,0038

 

d_d_l_Cours_1

-0,177813

0,179083

-0,9929

0,3296

 

***

Annexe 67 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de LVMH - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

-0,00682850

0,0841535

-0,08114

0,9362

d_l_COURS_1

-0,875524

0,518210

-1,690

0,7562

d_d_l_COURS_1

-0,00570760

0,457961

-0,01246

0,9902

d_d_l_COURS_2

-0,248706

0,406844

-0,6113

0,5482

d_d_l_COURS_3

-0,0262982

0,308413

-0,08527

0,9329

d_d_l_COURS_4

-0,103428

0,232149

-0,4455

0,6610

time

0,00141174

erreur std.

0,00422574

0,3341

0,7420

p. critique

Annexe 68 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de LVMH - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,0191567

0,0314028

0,6100

0,5487

d_l_COURS_1

-0,814739

0,474319

-1,718

0,4223

d_d_l_COURS_1

-0,0526640

0,426069

-0,1236

0,9029

d_d_l_COURS_2

-0,287523

erreur std.

0,381143

-0,7544

0,4594

d_d_l_COURS_3

-0,0496497

0,293641

-0,1691

0,8674

d_d_l_COURS_4

-0,117422

0,223210

-0,5261

0,6046

p. critique

Annexe 69 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de LVMH - Modèle (1)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

d_l_COURS_1

-0,703958

erreur std.

0,431579

-1,631

p. critique

0,0972

 

d_d_l_COURS_1

-0,141605

0,394317

-0,3591

0,7231

 

d_d_l_COURS_2

-0,360832

0,356254

-1,013

0,3227

 

d_d_l_COURS_3

-0,0919038

0,281057

-0,3270

0,7469

 

d_d_l_COURS_4

 

0,215951

 
 
 

*

-0,142945

-0,6619

0,5152

Annexe 70 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de Sanofi - Modèle (3)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

const

-0,0615520

0,0485452

-1,268

0,2165

 

d_l_COURS_1

-1,30205

0,329263

-3,954

0,0101

 

d_d_l_COURS_1

0,00853164

0,204540

0,04171

0,9671

**

time

0,00446981

0,00259993

1,719

0,0979

 

69

Annexe 71 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de Sanofi - Modèle (2)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 

const

0,0156966

0,0210252

0,7466

0,4626

d_l_COURS_1

-0,936980

0,367966

-2,546

0,1045

d_d_l_COURS_1

-0,232453

0,304217

-0,7641

0,4523

d_d_l_COURS_2

-0,0938105

erreur std.

0,207091

-0,4530

0,6546

p. critique

Annexe 72 : Test ADF pour le log des Cours Boursiers différenciés de Sanofi - Modèle (1)

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 

erreur std.

 

p. critique

 

d_l_COURS_1

-0,866798

0,352591

-2,458

0,0135

 

d_d_l_COURS_1

-0,278520

0,295244

-0,9434

0,3545

**

d_d_l_COURS_2

-0,116569

0,203014

-0,5742

0,5710

 

Annexe 73 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise BNP Paribas

erreur std.

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

l_resid_sais_1

-0,418990

0,169514

-2,472

0,0130

 

d_l_resid_sais_1

0,0921506

0,190314

0,4842

0,6320

 

Annexe 74 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise L'Oréal

erreur std.

 

coefficient

 

t de Student

 
 
 
 
 
 
 
 

l_resid_sais_1

-0,276370

0,163017

-1,695

0,0853

 

d_l_resid_sais_1

-0,211900

0,186400

-1,137

0,2653

 

Annexe 75 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise LVMH

 
 
 

t de Student

 
 
 

coefficient

erreur std.

 

p. critique

 

l_resid_1

-0,326232

0,160815

-2,029

0,0408

 

d_l_resid_1

0,167686

0,191154

0,8772

0,3884

**

d_l_resid_2

-0,119084

0,195277

-0,6098

0,5473

 

Annexe 76 : Test d'Engle-Granger pour l'entreprise Sanofi

 

coefficient

erreur std.

t de Student

p. critique

 
 
 
 
 

l_resid_sais_1

-0,174669

0,135711

-1,287

0,1832

d_l_resid_sais_1

0,121275

0,198570

0,6107

0,5467

d_l_resid_sais_2

-0,161007

0,200786

-0,8019

0,4299

70

Annexe 77: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour BNP Paribas

Modèle 2: MCO, utilisant les observations 2006:1-2013:4 (T = 32)
Variable dépendante: l_COURS

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

const

8,18482

5,63018

1,4537

0,15754

l_CA

-0,213553

0,273179

-0,7817

0,44117

T1

0,0916186

0,151237

0,6058

0,54971

T2

0,103129

0,151551

0,6805

0,50199

T3

0,0583606

0,149845

0,3895

0,69998

Moy. var. dép.

3,783705

Éc. type var. dép.

0,281186

Somme carrés résidus

2,368372

Éc. type de régression

0,296171

R2

0,033727

R2 ajusté

-0,109424

F(4, 27)

0,235607

p. critique (F)

0,915807

Log de vraisemblance

-3,749504

Critère d'Akaike

17,49901

Critère de Schwarz

24,82769

Hannan-Quinn

19,92826

rho

0,626073

Durbin-Watson

0,757788

Modèle 2: MCO, utilisant les observations 2006:1-2013:4 (T = 32)
Variable dépendante: l_Cours

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

 

const

-25,2465

4,66345

-5,4137

0,00001

'K'K'K

l_CA

1,48088

0,233432

6,3440

<0,00001

'K'K'K

T1

0,0259694

0,0870319

0,2984

0,76769

 

T2

0,0788175

0,0877068

0,8986

0,37679

 

T3

0,0813698

0,0873548

0,9315

0,35986

 

Moy. var. dép.

4,337658

Éc. type var. dép.

0,255849

Somme carrés résidus

0,812815

Éc. type de régression

0,173506

R2

0,599445

R2 ajusté

0,540104

F(4, 27)

10,10163

p. critique (F)

0,000039

Log de vraisemblance

13,36178

Critère d'Akaike

-16,72355

Critère de Schwarz

-9,394873

Hannan-Quinn

-14,29430

rho

0,645951

Durbin-Watson

0,721459

Annexe 78: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour L'Oréal

71

Annexe 79: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour LVMH

Modèle 1: MCO, utilisant les observations 2006:1-2013:4 (T = 32)
Variable dépendante: l_COURS

Coefficient Erreur Std t de Student p. critique

const -21,7729 2,86447 -7,6010 <0,00001 ***

l_CA 1,30761 0,142935 9,1483 <0,00001 ***

T1 0,335057 0,103071 3,2507 0,00308 ***

T2 0,399793 0,10494 3,8097 0,00073 ***

T3 0,264972 0,10021 2,6442 0,01347 **

Moy. var. dép. 4,430347 Éc. type var. dép. 0,362043

Somme carrés résidus 0,990687 Éc. type de régression 0,191552

R2 0,756188 R2 ajusté 0,720068

F(4, 27) 20,93530 p. critique (F) 5,95e-08

Log de vraisemblance 10,19545 Critère d'Akaike -10,39090

Critère de Schwarz -3,062217 Hannan-Quinn -7,961647

rho 0,703355 Durbin-Watson 0,582678

Annexe 80: Modèle de MCO avec 3 variables dummies pour Sanofi

Modèle 1: MCO, utilisant les observations 2006:1-2013:4 (T = 32)
Variable dépendante: l_COURS

 

Coefficient

Erreur Std

t de Student

p. critique

 

const

-34,2078

8,2387

-4,1521

0,00030

***

l_CA

1,86085

0,402824

4,6195

0,00008

***

T1

0,0789282

0,0998311

0,7906

0,43606

 

T2

0,020361

0,0993525

0,2049

0,83916

 

T3

0,0056622

0,0993506

0,0570

0,95497

 

Moy. var. dép.

3,850529

Éc. type var. dép.

0,248316

Somme carrés résidus

1,064899

Éc. type de régression

0,198597

R2

0,442895

R2 ajusté

0,360360

F(4, 27)

5,366199

p. critique (F)

0,002594

Log de vraisemblance

9,039662

Critère d'Akaike

-8,079325

Critère de Schwarz

-0,750645

Hannan-Quinn

-5,650075

rho

0,832313

Durbin-Watson

0,347544






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