CONCLUSION
Tout au long de ce chapitre nous nous sommes focalisés
sur les concepts et théories qui nous donnent une idée
générale de ce que nous sommes en train de faire dans ce travail.
Nous avons définis les différents concepts ou termes pour faire
comprendre les lecteurs de ce travail, aussi nous avons suscité les
lecteurs à avoir une idée générale de quoi il est
exactement question dans ce présent travail avec quelques
théories et nous disons donc que ce chapitre c'est une clé
permettant d'entrer dans l'essentiel du travail.
18 Philippes MATHIEU, Base de données. De
Merise à JDBC, Université des Sciences et technologie, il
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CHAPITRE II ANALYSE DE L'XISTANCE
II.1 PRESENTATION DE L'EXISTANT
II.1.1 HISTORIQUE
Pour l'histoire de la force armée de la
république démocratique du Congo(FARDC) on se trouve devant
l'embarras quant au choix des points à traiter.
En effet, la dynamique de l'évolution constante a la
quelle est soumise l'état congolais remet sans cesse en question et de
modernisation de son armée.
A titre d'une brève historique nous pouvons admettre
que les générations militaires qui composent la fardc peuvent
être catégorisées de manière ci-après :
? FP : force publique
? ANC : armée nationale congolaise
? FAZ : force armée zaïroise
? FAC : force armée congolaise
Les signatures des accords globaux et inclusifsc.-à-d.
des groupes armées ou de mouvement rébellion qui sont :
La force du gouvernement, du mouvement de la libération
du Congo, du rassemblement congolais pour la démocratie, du
rassemblement congolais pour la démocratie nationale, du rassemblement
congolais pour la démocratie et le mouvement de la libération et
la force de résistances mai-mai
Les groupes signataires de l'acte d'engagement de
DAR-ES-SALAAM qui
sont :
y' UNION PATRIOTE CONGOLAIS(UPC)
y' FRONT D'AUTO-DEFENSE POPULAIRE
CONGOLAISE(FAPC)
y' FRONT NATIONAL DES INTEGRISTE(FNI)
y' FRONT DE RESISTENCE PARTIE INTEGRALE(FRPI)
y' FRONT PATRIOTE POUR LA DEFENSE DU CONGO
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Les groupements d'armée non signataire des accords de
paix implantée a l'est du pays, qui ne se reconnaissent pas dans les
accords, mais qui acceptent le désarmement volontaire et
spontané.
Les combattants congolais se trouvant encore à
l'extérieur du pays
II.1.2 LA FORCE PUBLIQUE CONGOLAISE a)
GENESE
La force armée de la république
démocratique du Congo (FARDC) est le fruit des différentes forces
militaires mise jadis à la disposition de l'administration coloniale
qu'avait pour mission essentielle d'assurer la quantité de la population
métropolitaine en Afrique.
Ces forces militaires étaient reconnue sous
l'appellation office la force publique(FP) qui n'était outre qu'une
petite forme d'armée de fortune pour le maintien de l'ordre
intérieur durant l'époque coloniale. Elle était
composée des deux noyaux qui sont ;
? LES METROPOLITAINS
Qui sont composent des officiers et sous officiers belges au
service du ROI LEOPOLD 2, comme explorateur administratif et/ou militaires
armées de premier explorateurs ou agent au service del'état
indépendant du Congo(EIC) recrutes sur les différentes cotes de
l'Afrique.
A savoir des zanzibarites, des haoussas de la
Côte-d'Or(Ghana), les zoulous de l'Afriqueaustrale (Afrique du sud), la
sierraléonais, sénégalais et somaliens, pour ne citer que
ceux-là
Du fait du cout élève du recrutement de ces
mercenaires et de peur que la force publique ne soit contaminée par
l'indiscipline caractériser des zoulous, il fut décide de
réorganiser le Congo de façon a lui permettre de se
conquérir seul. Ainsi occasionna-t-il le recrutement des autochtones.
Quand au second noyau, qui était essentiellement local,
ses premiers recrues ont été spécialement les bangala au
nombre des 126 soldats entre 1885- 886. Ce recrutement s'est effectue sous
trois formes ;
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V' Les volontaires
V' Conscription obligatoire
V' Le rachat des esclaves entre les moins de leurs anciens
chefs
La force publique fut officiellement mentionnée pour la
toute première fois dans le décret du 30/10/1885 qui
définissait ainsi la structure du gouvernement dans l'EIC, elle avait
pour attributs ;
V' Assurer l'occupation
V' La défense du territoire dela colonie
V' Maintenir l'insécurité,
contrôlée, veiller al'exécution des lois, décrets et
règlement
Singulièrement ceux relatifs a la police et a la
sécurité en générale. Sa création
datée officiellement du 17/08/1886 ; son premier commandant fut le
capitaine LEON ROGER qui a en l'honneur de former la première
unité de troupe régulière basée a Boma en 1960,
avec l'indépendance de la république du Congo belge, la force
publique changeait son nom a l'armée nationale congolaise.
La première et la seconde guerre du Congo ont faites
ravages dans le régime avec les plus importantes pertes humaines depuis
la seconde guerre mondiale. Malgré l'absence de grandes batailles ranges
les forces armées congolaise résultent de la fusion des
formations de la guérilla, comme le rassemblement congolais pour la
démocratie(RCD) qui a pris le pouvoir en 1997 avec l'ancienne
armée nationale. Maintenant elle compte environ 14 brigades
intégrées et un nombre inconnu de brigades non
intégrées, qui sont constituées exclusivement par une
seule fraction comme la RCD, MLC.
Cette force est confrontée depuis sa formation a des
multiples conflits sur le territoire congolais dont, en 2008 la guerre du Kivu
et entre 2012 et fin 2013, la rébellion du mouvement du 23 mars qu'elle
a vaincu avec l'appui des nations unies.
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b) SITUATION DE LA FARDC
La FARDC est une armée jeune qui est en processus de sa
reconstruction âpres la deuxième guerre du Congo finie en 2003. Le
gouvernement de KINSHASA, la MONUSCO, l'union européenne et les
partenaires bilatéraux comme l'ANGOLA, RSA et la BELGIQUE essaient de
crée une force capable de réaliser les différentes
missions qui lui sera confiée, la plus importante était la
sécurité et la stabilité de la nation.
Ce pendant la réussite de ce processus parait
incertaine car on assiste a un retour de la corruption et le gouvernement de
congolais éprouve l'énormément dedifficulté a
gérer et contrôler la force armée.
On note également un manque de coordination entre les
donateurs internationaux. Enfin il est très important de souligner
quelaFARDCestconstitue en partie sur base d'une tentative des groupements et
d'intégration au sein du gouvernement
`Une structure de commandement unique des forces militaires du
gouvernement légal de KINSHASA. Mouvements de rebellions qui ont divise
le pays, en particulier depuis la seconde guerre d'aout 2008. Il s'agit en
particulier des mouvements MAI-MAI, RCD/GOMA, MLC.
De vieux antagonismes existent entre ces forces qui sont
néanmoins censée opérer en harmonie au sein de
l'armée. Les tentatives récentes d'intégrer des
éléments militaires sans l'obédience du
généralLAURENT NKUDA au nord Kivu ont montre la difficulté
et les limites de cette stratégie.
Les conflits internes dans l'armées sont des plus en
plus fréquentes. L'on démontre entre autres qu'il semblerait que
les problèmes de corruption soit lie au mixage insurgiez la force
gouvernementale.
Mais les problèmes le plu plus importants ne se trouve
pas la. En dépit des l'aide internationaux, la RDC ex-zaïre au vu
du profond développement dans laquelle, elle s'est enfoncée, na
pas les ressources suffisantes régulier pour se doter d'une armée
régulière, bien gère, dont la force sont
casernée.
L'impossibilité de survivre dans ces conditions les
amènent a vivre sur le dos de la population par le biais s'exaction et
des spoliations constantes, principalement en zones rural. La paysannerie,
déjà la partie la plus pauvre de la population, paye le plus
lourd tribut
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alors qu'elle est celle qui devrait être
protégée par l'armée qui exerce en principe un rôle
de maintien de l'ordre public, aux cotes de la POLICE NATIONALE. On assiste
donc a un retour a la situation que le pays a connu a la fin de l'ère
mobutisme ou les militaires étaient devenus la crainte majeure de la
population.
La MONUSCO se voit donc obligée dans certains cas de
protéger la population civile de violences qui sont le fait des forces
armées.
Cette dramatique évolution s'est encore aggravée
par le nombre croissant de violence sexuelles perpétrées par les
militaires dans les campagnes dans un contexte de relation d'impunité,
les poursuites engagées contre les auteurs des ces services par la
juridiction militaire était très limitées au regard de
l'étendue du phénomène.
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