II. CRÉER SES PROPRES CONVENTIONS ? ENTRE
DÉMARCATION PERSONNELLE ET PROCESSUS D'ARTIFICATION DE LA
SCÈNE BEYROUTHINE 74
A. LE PASSAGE À LA « MAÎTRISE » :
COMPLEXIFICATION DES OEUVRES ET DIVERSIFICATION DES SUPPORTS 74
B. UNE GLOCALISATION DE LA PRATIQUE DU GRAFFITI ? 79
C. LE GRAFFITI BEYROUTHIN PEUT-IL RÉELLEMENT
ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME UN MONDE DE L'ART LOCAL ? 84
III. LA CONSTITUTION PROGRESSIVE DE LA
RÉPUTATION ET DE LA RECONNAISSANCE ARTISTIQUE : ENJEUX ET
DÉBATS
AUTOUR DES DIFFÉRENTES FORMES DE RECONNAISSANCE 89
A. DE LA RECONNAISSANCE DES PAIRS À CELLE DES CLIENTS
: UN PUBLIC ENCORE RELATIVEMENT RESTREINT 89
B. UNE DIVERSIFICATION DES MODES DE DIFFUSION ET DE
VISIBILITÉ MÉDIATIQUE 95
C. LA COMMERCIALISATION COMME INDICATEUR DE
PROFESSIONNALISATION ? 100
TROISIÈME PARTIE. QUAND L'ART PERMET DE SE
RACONTER : LES AMBIGUÏTÉS DE LA MISE EN DISCOURS FACE
AUX
ENJEUX SOCIOPOLITIQUES DE BEYROUTH 109
I. LA CRÉATION DE LA FIGURE DE L'ARTISTE : L'ART URBAIN
COMME SORTIE DE L'ASSIGNATION COMMUNAUTAIRE . 110
A. UNE RUPTURE DES BUTS DU GRAFFITI : UN BUT ARTISTIQUE BIEN
DIFFÉRENT DES ANCIENNES PRATIQUES DE
L'AFFICHAGE À BEYROUTH 110
B. LE GRAFFITI COMME CRÉATION D'UNE DISTINCTION ENTRE
IDENTITÉ PRIVÉE ET IDENTITÉ PUBLIQUE 115
C. UNE VOLONTÉ DE SORTIR DU PRISME COMMUNAUTAIRE
RÉAFFIRMÉE DANS LES DISCOURS ET LES PRATIQUES 117
II. ABSENCE DE CONSENSUS ET HÉSITATIONS FACE AU CADRE
INSTITUTIONNEL : LA DÉFINITION DU GRAFFITI COMME
« ART ENGAGÉ » ? 121
A. LES GRAFFEURS FACE À L'ÉTAT :
OPPORTUNITÉ OU OBSTACLE À L'IDÉAL SOCIAL DU GRAFFEUR ?
122
B. L'ART COMME MOYEN D'EXPRESSION CONTRE L'ÉTAT ET LES
GROUPES SOCIAUX DOMINANTS 127
C. LA CONSTRUCTION D'UN DISCOURS ENGAGÉ
HÉSITANT FACE AUX ENJEUX SOCIOPOLITIQUES DU LIBAN 132
III. LA CONSTRUCTION D'UNE CRITIQUE POSITIVE PAR LA
RÉAPPROPRIATION DE L'ESPACE URBAIN 138
A. UNE UTILISATION RENOUVELÉE DE L'ESPACE URBAIN
138
B. SE RÉAPPROPRIER LA VILLE ET EN FAIRE LE «
MUSÉE DU PEUPLE » 141
CONCLUSION 150
ANNEXES 156
|