CONCLUSION ET
SUGGESTION
Après un long parcours que nous avons pu effectuer,
nous voici au terme de notre travail qui s'articule autour de la
problématique d'initiative locale pour l'atténuation des effets
du changement climatique en province orientale, expérience de l'ONG
O.C.E.A.N.
Nous sommes partie du fait que le changement climatique occupe
une place non négligeable dans les rencontres internationales, du fait
que la forêt contribue à la lutte contre le changement climatique
et la RD Congo a une grande forêt qui contribue aussi dans cette
lutte ; les stratégies doivent être mise en oeuvre par l'ONG
O.C.E.A.N pour atténuation et l'adaptation aux effets de ce changement
climatique.
Pour en arriver, nous avons eu recours à la
méthode structuro-fonctionnelle avec ses impératifs
d'intégration, de participation et d'atténuation. Nous avons
ressorti que les forêts constituent des structures qui remplissent les
fonctions telles que la survie, l'habitat, la conservation de la
biodiversité, l'atténuation des effets du changement climatique
ainsi que des fonctions agro-climatiques telles que l'absorption des principaux
gaz à effet de serre étant des facteurs intervenant et causant le
réchauffement climatique ; à condition que celles-ci soient
gérées d'une manière rationnelle et durable.
Et, nous avons utilisé la technique documentaire pour
le récolte des donnés et le technique d'observation directe
désengagée.
Après notre analyse, nous avons aboutit au
résultat selon lequel :
1° Malgré que la RD Congo a une grande part des
forêts tropicales dans la région, elle ne bénéficie
pas de cette forêt or elle devrait profiter au coût
d'opportunité dont les pollueurs-payeur et qu'elle doit mobilisée
la communauté internationale pour obtenir les ressources
financières nécessaires pour la préservation de la grande
forêt que la RD Congo en a.
2° La RD Congo n'a pas une bonne politique pour la
préservation de sa forêt même si quelques efforts sont
adopter mais cella sont encore insuffisants et malgré sa participation
aux conférences internationaux sa présence est
éphémère.
3° Bien que l'ONG O.C.E.A.N a quelques projets sur
l'atténuation cella ne pas suffisant, il doit multiplier des efforts
dans le cadre des vrais projets consistant et malgré les
sensibilisations de l'ONG l'impact sur terrain ne pas très visible, la
formation des peuples locaux sur les textes légaux en matière de
gestion durable des forêts et en fin la pression sur les décideurs
politiques ne pas bien faite.
Ainsi, il y a lieu de considérer la pertinence de la
prise en compte de la reconstitution, protection et d'une meilleure gestion du
couvert forestier de la RD Congo pour contribuer durablement et efficacement
à cette lutte qui s'avère mondiale et fait intervenir les acteurs
en tous les niveaux.
En outre, ces forêts constituent un bien contenu dans le
phénomène qui dépasse le cadre Etatique, les
phénomènes étant transfrontaliers.
Cette démarche a été
réalisée en trois étapes (chapitres) : la
première a porté sur les généralités
(définition des concepts de base, les causes et effets du changement
climatique) ; la deuxième a analysé la RD Congo et les
conventions de lutte contre le changement climatique (les conventions
internationales et régionales, la contribution de forêt Congolaise
dans la lutte contre le changement climatique) ; le troisième
étape traité quant à elle des stratégies de l'ONG
O.C.E.A.N sur l'atténuation des effets du changement climatique
(présentation de l'ONG O.C.E.A.N, stratégie pour
l'atténuation des effets du changement climatique et l'adaptation au
changement climatique).
Comme recommandation importante, nous suggérons
à la RD Congo et l'ONG O.C.E.A.N d'adopter une politique
forestière efficace dans le sens du développement durable et de
réduction de la pauvreté en encourageant l'assainissement et la
reconstitution de l'écosystème forestier et de la prise en compte
de la pathologie environnement. A la communauté internationale, il y a
intérêt pour elle d'aider la RD Congo dans cette démarche
dans l'encouragement et la participation par les financements des projets
élaborés pour ces fins. L'ONG O.C.E.A.N doit continuer à
soutenir les peuples autochtones de bénéficier de leurs
forêts et doit multiplier les efforts dans la lutte contre le changement
climatique.
Ainsi, chacun des acteurs, à son niveau, aura
apporté en quelque mesure que ce soit, un apport considérable
indispensable dans cette lutte contre ce fléau menaçant qui ne
peut épargner personne (pays riches ou pauvres, industrialisés ou
en développement, Etats, organisations internationales,
régionales et Etatiques, la société civile bref tous les
citoyens du monde).
Ce travail touche à sa fin, mais il demeure
perfectible.
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