Paragraphe 2 : la classification des infractions
consacrées en matière d'actes criminels.
Il s'agit des infractions liés
à la personne humaine (A) et des infractions sur les objets et le
matériel (B).
A- Les infractions sur la personne humaine.
Des infractions sont répertoriées. Ce sont les
actes par conséquent résultant du grand banditisme portant
atteinte aux personnes et perpétrés à l'aide des
techniques et matériels spécifiques. Parmi cette catégorie
d'infractions on peut compter :
· Les accidents avec délits de
fuites.
Ce sont des accidents parfois liés à
l'utilisation des instruments dangereux, ce sont aussi des accidents de
voitures, ou de motos constatés et donc le concerné ou le
principal auteur de l'accident voudrait prendre la clé des champs.
· Les braquages.
Ce sont des vols aggravés commis forcement avec
l'utilisation d'arme à feu ; le plus souvent on en trouve des
pistolets automatiques et parfois des pistolets de fabrication locale
(artisanale). Ces vols peuvent être faits aussi avec des armes blanches
sur des personnes. Ceci généralement accompagné de
violence physique qui peut conduire à des blessures graves et parfois
des décès.
· Les coups et blessures.
Généralement résultant des
opérations de braquages
· Détournement des
mineurs.
Ce sont des faits courant posés par des adultes
généralement qui par des opérations de charme et de
séduction sur des personnes mineurs. Le plus souvent les proies de ces
personnes majeures sont apportées par des majeurs moyennant le
financement d'une livraison constante de plaisir sexuels.
· Escroqueries et abus de
confiance.
Généralement ce sont des actes ayant rapport
à une opération financière ; c'est un délit
qui consiste à s'approprier d'un bien matériel ou financier de
quelqu'un d'autre par des manoeuvres frauduleuses. C'est ainsi le
phénomène généralisé des
« fay-man » qui tentent de faire croire à d'autres
qu'ils peuvent avoir aussi facilement de l'argent s'ils font une certaine mise.
Ces actes d'escroqueries sont développés dans la ville de
Yaoundé et se font de plusieurs manières.
· La filouterie.
Semblable à de l'escroquerie, les filous opèrent
dans des taxis extorquent des choses généralement
dépouillent les portes-feuilles ; ces actes de plus en plus
changent de mode opératoire : car les entrepreneurs de ces
pratiques font usage de plus en plus des téléphones portables
pour escroquer leurs victimes.
· Pédophilie et
homosexualité.
Ce sont des tendances ou des caractères sexuels des
personnes qui éprouvent une attirance sexuelle soit pour les enfants,
une personne mineure et généralement enfants (pédophilie)
soit pour une personne de même sexe ; les actes sont
réprimés par la loi au Cameroun des pratiques on ne peut plus
récurrente dans la cité capitale
· Séquestration.
C'est un phénomène dont la récurrence
fait écho, car c'est une action de maintien parfois arbitraire, mais
aussi parfois calculée d'une personne. Elle est également une de
fermer un individu contre une somme d'argent demandée pour sa
libération.
· Usurpation de titres.
Phénomène récurent des faussaires ;
ce sont les actions que posent ceux-ci aux fins de s'imposer des moyens
illégitimes du pouvoir ou d'un bien, d'un droit ou bien d'autres
encore.
· Vindicte populaire.
Ce sont des actes de punition d'un crime au nom du peuple,
dans le but de se rendre propre justice
· Viols.
C'est l'une des pratiques les plus courantes lors des
opérations des braquages et de vols à main armée. Dans ce
cas ce sont des actes de pénétration sexuelle, commis ou
tentés par la violence. La plus part des cas les auteurs de vols et de
braquage font usages a cette pratique pour terroriser les victimes afin de
rester tout de suite à s'apitoyer auprès des victimes pendant
qu'ils prennent fuite.
Au-delà des infractions sur la personne humaine, la
police Camerounaise a ainsi identifié d'autres types d'infractions
à endiguer.
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