CONCLUSION PARTIELLE
Le second chapitre vient de nous montre les analyses
théoriques de l'évolution de la balance commerciale au Rwanda,
les programmes d'ajustement ainsi que le dynamisme d'ajustement de la balance
commerciale du rwanda.
Du point de vu structure de la balance commerciale nous avons
constaté que elle caractériser par un déficit structurelle
quasi permanent expliqué par la croissance de la valeur des importations
d'année par année. Cette croissance est dû à
l'évolution des prix à la production dans les principaux
fournisseurs du pays combiné avec la perte de valeur du francs Rwandais.
S'agissant des biens importés, ils sont dominés par les biens de
consommations finales qui représentent un pourcentage
élevé de cette période soit 47% du total de la valeur
importée de 1990 à 2006. Tandis que les principaux fournisseurs
du pays sont le continents Asiatique avec 41.5% de la valeur importé et
l'Europe avec 27.6% de la valeur total importés. Alors que les
exportations demeurent les produits primaire dont le café qui
représente 49.5% des valeurs exportés et le thé qui
représente 27.8% des valeurs exportés. Et principalement
envoyé dans les pays du COMESA avec 51% du total exporté et
l'Europe avec 40% des valeurs exportés durant la période.
Cette effet d'importer les biens de consommations et
d'exporter les biens primaire nous a fait remarquer une effet de Veblen pour
les consommateur rwandais et celle d'importer une grande quantité dans
les continent non limitrophe et dans les économie plus forte que la
notre ferait un des handicap de la politique d'intégration
régionale que notre pays a entamer.
S'agissant du programme d'ajustement structurel et le
programme d'ajustement structurelle renforcer, ils n'ont pas tenu compte de la
structure économique du pays qui dépend des importations de
provenance Européen et Asiatique qui par
69
conséquent la dévaluations ou la
dépréciation du francs rwandais n'aboutit qu'à
l'augmentation de la valeur importé et faute de leur substitution et
à l'augmentation de l'indice des prix. Ceci confirmer notre
première hypothèse
Du cote de dynamisme d'ajustement nous avons constaté
que le Rwanda ne tire aucune avantage dans le commerce international car
l'indice de commerce et l'élasticité d'ajustement restent
inférieur à un. Ceci nous indique que par obligation d'importer
ajuster notre balance commerciale nous faut un investissement de
transformations de nos exportations afin d'augmenter leurs valeurs. Ceci
confirmer notre deuxième hypothèse.
Ceci ne sera valable qu' après la vérifications
empiriques du rôle du taux de change dans la réductions du
déficit de la balance commerciale ainsi que celle de l' offre
monétaire et du crédit sur la production et la balance
commerciale.
70
|