I
Chapitre 1 EPIGRAPHE
« Il y a dans le coeur de l'homme beaucoup des projets,
mais c'est le dessein de l'Eternel qui s'accomplit »
Proverbes 19 :21
« Le paresseux a des désirs mais il n'arrive
à rien. Au contraire ceux qui travaillent dur obtiennent tout ce qu'ils
veulent »
Proverbes 13 :4
« A coeur vaillant rien d'impossible »
« Ce n'est que quand on sait ce que l'on veut faire
qu'il devient possible de réfléchir sur moyens. »
Marmotte
II
Chapitre 2 DEDICACE
A toi l'Eternel Dieu tout puissant, toi la source de notre
vie et la solution à tous nos problèmes.
Le secours me vient du Seigneur qui a créé
le ciel et la terre. A mon Seigneur Dieu pour tous les bienfaits et pour la
grâce, je te bénirai jours et nuits ;
A mes parents Alouise MATESO ANZULUNI et Déodate
TABU BABONAGE pour votre amour, affection et sacrifices. Je vous suis
reconnaissant pour tous ce que vous avez fait pour me faire grandir et
m'instruire.
A vous mon cher mari, Thomas WALUMBUKA, pour l'effort, le
soutien et la bonne volonté dont vous avez manifesté durant ce
moment difficile à supporter !
A ma progéniture : « Seule la
voie du savoir, vous ouvrira la porte de la réussite
sociale ».
- Nathalie SIFA ANZULUNI-
III
Chapitre 3 AVANT PROPOS
La fin d'une chose vaut
plus que son début dit- on. Ce travail marque la fin de notre cycle de
gradué en informatiques de Gestion, le mérite de ces trois
années d'études supérieures est une expression de divers
efforts physiques et intellectuels.
C'est ainsi que nous tenons à exprimer nos vifs
remerciement à tous ceux qui par leurs travaux, leurs assistance, leurs
idées, leurs collaborations ou leurs expériences ont
participé de prés ou de loin à la réalisation de ce
travail ; nous leur en sommes redevable.
Nous remercions le corps académique de l'Institut
Supérieur Pédagogique de BUKAVU, qui nous a apporté son
expérience vécue, contribuant par ce fait à notre
formation et épanouissement.
D'une façon spéciale à l'assistant
MBILIZI MWISIMBWA Déogratias, Directeur de notre travail, nous redisons
notre entière gratitude pour nous avoir initiés à un
travail de recherche scientifique par une méthodologie
rigoureuse.
Que tous les membres de notre famille qui ont
contribué de près ou de loin à notre formation trouvent
leur part dans cette investigation,
Nous félicitons nos amis et camarades de lutte,
nous pensons à : NGALYA LUSOMBO, WASO MBELAKO, François
BAHIZIRE, RIZIKI BAGUMA, SOLEIL ...
Que tous ceux dont les noms ne sont pas
énumérés dans ce travail de peur à blaiser leur
modestie trouvent à travers ces quelques lignes dictes du fond de coeur,
nos sentiments de vive reconnaissance pour leur
générosité.
IV
Chapitre 4 SIGLES ET ABREVIATIONS
MBP : MBUNGU PWATI
Cie : Compagnie
RDC : République Démocratique du Congo
AV : Attestation de vérification
BAE : Bon à enlever
MCD : Modèle Conceptuel de Donnée
MLD : Modèle Logique de Donnée
MPD : Modèle Physique de Donnée
MLDR : Modèle Logique de Donnée
Relationnelles
MOT : Modèle Organisationnel de Traitement
MCT : Modèle Conceptuel de Traitement
EA : entité association
CIF : Contrainte d'Intégrité
Fonctionnelle
VB : Visual Basic
MERISE : Méthodes d'Etude et de
Recherche en Informatique par Système d'Entreprise
Chapitre 5 INTRODUCTION GENERALE
1. GENERALITES
L'évolution technologique de ces
dernières années a conduit les sociétés modernes
à adopter des nouvelles habitudes face au travail. L'outil informatique,
faisant partie du quotidien de tout travailleur devient de ce fait le compagnon
idéal de l'homme dans le monde du travail tout en lui facilitant
certaines taches qui jadis paraissaient comme corvées.
Aujourd'hui, les entreprises évoluent dans un
environnement de plus en plus concurrentiel, variable et complexe. La
mondialisation, la fragmentation et la diversification croissante des
marchés, la complexité politique commerciale représentent
tant des menaces que d'opportunités pour les entreprises.
Par ailleurs, le développement d'une entreprise en
matière de technologies de l'information exige des nouveaux moyens et
supports pour échanger et diffuser l'information dans le but de
réduire les contraintes de temps, d'espace et du coût, et
faciliter la gestion de l'entreprise.
De plus, les clients ne sont plus satisfaits des solutions
standards, mais demandent plutôt des solutions globales adéquates
à leurs besoins spécifiques. Ils deviennent plus exigeants et
demandent des qualités des produits plus élevées et des
services plus personnalisés.
En effet, pour bien assurer la bonne gestion dans une
entreprise et avoir la compétitivité avec les autres entreprises,
il faut utiliser un système informatisé. C'est dans ce sens que
nous avons pris le temps pour la contribution d'une bonne gestion de l'agence
en douane MBP&Cie.
2. PROBLEMATIQUE
La problématique est définie comme un art
d'élaborer et de poser clairement les problèmes et aussi de les
résoudre en suivant leur transformation dans la réflexion
scientifique ou philosophique.1(
*)
La problématique est l'expression
de la préoccupation majeure qui circonscrit de façon
précise avec absolue clarté les dimensions essentielles de
l'objet de l'étude que le chercheur se propose de mener.
De la manière dont est gérée
l'entreprise, une série des difficultés ont été
ciblées entre autre :
- le risque de rendre un mauvais service aux clients,
lié à une longue durée ;
- la perte des documents ;
- le manque d'informations pouvant contribuer à
l'élaboration des rapports au moment opportun ;
- temps de réponse très long lié au
travail manuel effectué au sein de cette dernière.
Nous aurons à répondre au cours de
l'élaboration de notre travail à la question de savoir : En
mettant au point une application de gestion, ne serait-il pas possible de
résoudre les problèmes cités ci-hauts ?
3. HYPOTHESE
L'hypothèse est définie par R. RONGERE comme
étant « la proposition formulée en des termes tels que
l'élaboration et l'analyse puissent fournir une réponse.
L'hypothèse d'un travail est une proposition des réponses
provisoires réservées aux inquiétudes qui ont
été soulevées dans la problématique et qui
grâce aux méthodes et techniques utilisées, peuvent soit
être confirmées soit être rejetées à la fin
des investigation2(
*). »
De ce fait, pour un rapport fiable et adéquat dans
la gestion des contrats des déclarations dans cette agence, une
application informatisée serait d'une grande utilité dans la
prise de décisions au sein de l'entreprise dans la mesure où elle
contribuerait à une amélioration de son système de gestion
mais aussi et surtout, éviterai les erreurs éventuelle
liées au travail manuel effectué au sein de cette dernière
et qui est victime de beaucoup des failles.
4. METHODES ET TECHNIQUES
4.1. METHODES
Selon le dictionnaire Larousse, une méthode est un
ensemble ordonné des principes, des règles et des
opérations intellectuelles permettant de faire l'analyse en vue
d'atteindre un objectif fixé.3(
*)
Pour cerner les contours de l'expression des besoins de ce
système d'information, des méthodes suivantes ont
été utilisées:
-la méthode historique :
par laquelle nous avons obtenu des informations rétrospectives sur le
système de gestion de cette institution ;
- Méthode
structuro-fonctionnelle : qui nous permet d'analyser la structure
concernée ainsi que son fonctionnement et elle nous a doté des
techniques et méthodes à suivre pour la conception d'une
application informatique en vue de la production d'un logiciel.
- Méthode analytique
: avec l'analytique, nous avons pu décomposer le système
d'information existant en vue de suivre la circulation des informations
à chaque niveau du système ;
- Méthode MERISE
: MERISE nous a permis de concevoir le système d'information en
séparant les données de leurs traitements.
*
1TCHUNDOLELA Cours d'Initiation à la recherche scientifique,
G2/IG/ISP, 2011-2012, p.23, Inédit
2 WENU BECKER, recherche scientifique :
théorie et pratique, PUL, 2004, P.14
*
3 TCHUNDOLELA ., op.cit, p.27
4.2. TECHNIQUES
Nous pouvons définir la technique comme étant un
ensemble des procédés exploités par le chercheur dans une
phase de récolte des informations nécessaires pour
l'élaboration d'un travail scientifique.
Dans le cas de notre travail, nous faisons recours aux
techniques suivantes :
a. Technique documentaire
C'est une technique qui nous a permis de consulter des
documents relatifs à notre sujet dans le but d'y prendre les
informations importantes pour la réalisation du travail.
b. Technique d'interview
Cette technique nous a permis d'entrer en contact avec
l'enquêté afin de recueillir certaines informations concernant
notre travail.
c. Technique d'observation
C'est une technique qui nous a permis de descendre sur terrain
ou sur le lieu pour se rendre compte directement des phénomènes
étudiés.
5. CHOIX ET INTERET DU
SUJET
5.1. CHOIX DU SUJET
Le choix de ce sujet n'est pas un fait du hasard car il
découle de certaines difficultés rencontrées dans cette
agence notamment la lourdeur dans l'administration, la gestion des contrats des
déclarations,...
Nous avons trouvé intéressant d'alléger
la procédure en choisissant l'outil informatique comme moyen efficace de
gestion.
5.2.
INTERET DU SUJET
L'intérêt de ce sujet est évident et
complexe car il apporte une solution délicate sous plusieurs plates
formes.
a. Intérêt personnel
Ce travail de recherche nous permettra de nous familiariser
à des recherches approfondies dans des entreprises et avoir de
l'aptitude dans la conception des logiciels et ainsi avoir de
l'expérience dans la programmation des projets volumineux.
b. Intérêt économique
Pour l'agence, ce travail va permettre à trouver,
à enregistrer et à restituer les informations fiables et
adéquates au moment opportun, et aussi la réalisation d'une bonne
gestion au sein de cette dernière, alors que la technologie
évolue rapidement.
c. Intérêt scientifique
Il présente un intérêt non
négligeable pour le monde scientifique car il pourra servir de
référence pour des futurs chercheurs qui voudront
l'améliorer ou travailler dans le même domaine.
6. DELIMITATION DU
SUJET
Pour bien mener une étude plus précise et plus
profonde, il convient de bien circonscrire le milieu d'investigation.
La science étant vaste, nul ne peut s'hasarder
étudier un domaine dans son entièreté. Il faut donc
délimiter un sujet de recherche en temps et en espace.
Dans le temps, notre analyse part de la conception du
système d'information jusqu'à son implémentation sur une
configuration effective donnée, et demeurera admissible jusqu'à
ce que l'entreprise ait besoin de changer son système de gestion. Quant
aux recherches qui ont conduit à son élaboration, elles ont
été menées durant la période comprise entre
novembre2012 et juin 2013
Temporellement, notre champ d'investigation demeure l'agence
en douane MBP&Cie qui se situe sur l'avenue P.E Lumumba à Nyawera
dans le bâtiment de l'immeuble de la galerie BUGUGU à
l'étage au numéro 12 dans la commune d'ibanda
7. OBJECTIFS ATTENDUS
Mettre en place une application de gestion qui sera
utilisé dans cette agence par les responsables, les différents
rapports rédigés lors de l'élaboration de ce travail
constitueront les documents complémentaires.
8. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hors mis l'introduction générale et la
conclusion générale, notre travail est subdivisé en trois
(3) chapitres :
- Le premier chapitre porte sur l'analyse préalable et
a pour objectif la description du système existant et son
analyse ;
- Le deuxième chapitre intitulé Conception du
système informatique informatisé, vise l'analyse définie
du système.
- Et enfin le troisième chapitre nommé
Programmation a pour objectif la mise au point proprement dite de
l'application.
9. DIFFICULTES
RENCONTREES
Nous avons éprouvé beaucoup des
difficultés pour récolter des informations nécessaires,
dont voici quelques unes :
.Plusieurs rendez-vous manqués Suite aux occupations
intenses des personnes chargées de nous les fournir ; Ce qui nous a
conduits à dépenser une importante somme d'argent pour des
recherches sur Internet.
. En suite ce travail est élaboré dans une
courte période comblée des cours et des examens
.Et enfin le manque d'une documentation concrète et
mise à jour traitant de la programmation.
Chapitre 6 Chapitre 1. ANALYSE
PREALABLE
Chapitre 7 INTRODUCTION
L'analyse préalable a pour objectif de poser
correctement le problème à résoudre, de le définir,
de le formaliser sous un aspect accessible à tout les responsables
concernés. Ensuite, elle fournit des orientations des solutions.
C'est ainsi que dans ce chapitre nous
parlerons de l'organisation de la société à travers sa
structure organisationnelle, ensuite nous présenterons l'existant de
l'organisation.
L'analyse des informations et des traitements fera l'objet de
ce chapitre pour arriver à critiquer celle-ci et enfin proposer les
solutions nouvelles pour un bon fonctionnement de l'entreprise.
I. PRESENTATION DE L'EXISTANT
2.1. APERÇU HISTORIQUE
L'agence en douane MBP&Cie se vit crée en 1997 par
Mr MBUNGU PWATI et compagnie à Kinshasa à travers à
travers l'agreement du commissionnaire en douane portant le même nom.
Ce nom provient des cofondateurs MBUNGU & PWATI qui
possédant les plus nombreuses actions, vont en accord avec les autres
actionnaires, accepter que l'entreprise porte les initiaux de leurs noms joints
au mot compagnie abrégé, d'où l'appellation MBP&Cie
car c'est une société privée à
responsabilité limitée. Elle constitue aussi l'épine
dorsale de l'économie congolaise grâce à son apport sous
forme d'impôts, taxes et droits divers dans la caisse de l'Etat.
L'entreprise MBP&Cie va conformément à la
législation douanière opérée sous l'agreement
n°045/97 sur le commissionnaire en douane.
2.2. SIEGE SOCIAL
L'agence en douane MBP&Cie a son siège social et sa
direction générale à Kinshasa sur l'avenue du commerce
N°35 dans la commune de la Gombe.
L'agence est représentée dans toute la RDC
surtout aux postes frontaliers, ports, aéroports et dans les grandes
villes, elle est représentée :
· A Kinshasa : aéroport de ndjili
· A Matadi
· A Lubumbashi : kasumbalesa
· A Kisangani : Bunia, Isiro, bangoka, dungu, et
ituma
· Au nord Kivu : Goma Ishasha, Beni, Butembo,
Kasindi
· Au Sud-Kivu : Bukavu, Kamanyola, Uvira, Kalundu,
Kanvivira, Ruzizi 1&2.
2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE
Le siège de la Direction provinciale de la
MBP&Cie/Bukavu est situé sur l'avenue P.E Lumumba à Nyawera
dans la commune d'ibanda dans le bâtiment de l'immeuble de la galerie
BUGUGU à l'étage au numéro 12.
2.4. OBJET SOCIAL
L'agence en douane MBP&Cie est un des
intermédiaires commerciaux qui, à son nom, agit pour le compte
des tiers, soit par elle-même, soit par l'entremise du tiers habitant en
République Démocratique du Congo. C'est une entreprise
commerciale de vente des services multiformes :
· Elle s'occupe essentiellement des opérations des
commandes de marchandises, de leurs transports jusqu'au lieu de destination
finale de pays ou elles seront consommées ;
· Elle s'occupe aussi des opérations et
procédures de dédouanement des marchandises dans la stricte
application des textes et modalités légales en vigeur,
· Elle établit les documents requis pour la
mobilité des marchandises à l'importation, exportation et
transit.
2.5.
ORGANIGRAMME
CHEF D'AGENCE
L'organigramme est un outil graphique permettant la
représentation synthétique de l'ensemble de la structure d'une
entreprise, d'une entité ou d'un service4(
*)
CHEF DE DEPARTEMENT COMMERCIAL
CHEF ADJOINT
ADMINISTRATEUR
CHARGE DES OPERATIONS BANCAIRE ET PROCEDURE DOUANIERE
CAISSE
AGENT CHARGE DE LA FRONTIERE RUZIZI 2
AGENT CHARGE DE LA FRONTIRE RUZIZI 1
HUISSIER
Source : Bureau d'exploitation 28/01/2013
2.6. DESCRIPTION DES POSTES
1. Chef
d'agence
Coordonne les activités d'une manière
générale et attend des propositions pour une décision
finale
2. Adjoint
Il est chargé de service commercial, gère la
clientèle et les finances de l'agence, coordonne aussi les actions
marketings et les relations interentreprises, ordonne les dépenses.
3. Administrateur
Il s'occupe de l'administration, de la correspondance,
courrier et du service du personnel
4. le caissier
S'occupe des recouvrements des dépenses
ordonnancées par le service commercial ; il s'occupe aussi des
versements des montants dus au trésor public par les opérateurs
économiques à l'importation ou à l'exportation.
5. les deux agents affectés
aux frontières
Ils s'occupent de la prise des marchandises par l'agence, ils
engagent l'agence à la frontière, ils établissent les
bordereaux en douane et accomplissent toute formalité d'entrée
des marchandises et de véhicule.
6. chargé des
procédures
Il aide le caissier à accomplir les opérations
douanières et le suivi des opérations de dédouanement
à l'entrepôt public. C'est le bureau qui fait la
déclaration lors du mouvement de l'entreprise, remplit les
formalités de cette dernière lors d'un contrat.
7. Huissier
Il effectue les travaux de la propreté et distribue les
courriers ; il effectue les petits achats pour le bureau.
*
4 htpp://www.wikipedia.org
II. FONCTIONNEMENT
DE L'AGENCE
Dans le cadre de notre travail, nous avons retenu un seul
poste d'ouvrage qui est celui du bureau chargé des procédures qui
gère les déclarations.
3.1. DESCRIPTION TEXTUELLE
Le client dépose à l'agence un dossier complet.
Ce dossier comprend les documents commerciaux (facture de fret, facture du
fournisseur,...), les certificats de contrôle, certificat d'origine ainsi
que l'AV.5(
*)
Aussitôt les documents acceptés, l'agence établit un
contrat avec le client et lui remet un acte de contrat. Après
l'établissement du contrat avec l'importateur, l'agence rédige
les formalités douanières sur base des documents qui lui
était remis. Et ces formalités douanières sont
écrites sur une fiche de déclaration qu'on appelle T1 (T one) 6(
*).
Ainsi, ce document est immédiatement transmit auprès des services
de douane.
Après vérification et validation de la
déclaration, l'inspecteur en douane remet à l'agence le bulletin
de liquidation pour le paiement des droits et taxes de douane. Avec cette note,
l'agence se rend à la banque, paye et reçoit une quittance de
déclaration. La banque à son tour transmet immédiatement
à partir d'un réseau informatique les informations de paiement
à la douane.
Après le paiement, l'agence retourne à la douane
pour la vérification de paiement et celle-ci le livre un bon à
enlever qui permet à l'agence de retirer la marchandise. Et l'agence
à son tour remet la marchandise au client accompagné des
documents de dédouanement.
3.2. TABLEAU DES ACTEURS
Un acteur est une personne morale ou physique capable
d'émettre ou de recevoir des informations.7(
*)
Un acteur est interne à l'organisation lorsqu'il
appartient au système d'information de l'organisation. Un acteur est
externe à l'organisation lorsqu'il n'appartient pas au système
d'information mais qui est à l'origine ou à la destination de
flux d'informations reçus ou émanant du système
d'information. 8(
*)
En outre, pour ce qui concerne ce tableau, nous reprendrons
les acteurs qui sont essentiels à notre étude.
N°
|
ACTEUR
|
TYPE
|
EXPLICATIOIN
|
1
|
CLIENT
|
EXTERNE
|
Qui déclare sa marchandise pour l'importation
|
2
|
AGENCE
|
INTERNE
|
Qui établit les formalités d'importation de la
marchandise lors de la déclaration
|
3
|
DOUANE
|
EXTERNE
|
Reçoit la marchandise à importer la place sous
un régime douanier
|
4
|
BANQUE
|
EXTERNE
|
Elle reçoit tous les frais du à l'Etat
|
3.3. GRAPHE DES FLUX
Par définition, un flux est un échange
d'information entre un acteur avec lui-même ou entre deux acteurs.9(
*)
De par cette définition, nous dirons que les échanges
d'informations sont sous formes des flèches représentant le flux
vers les acteurs qui sont sous forme de noeuds ou ovale.
Ainsi donc nous avons :
CLIENT
BANQUE
AGENCE
10 2 1 5 6
3 8
3 4 8 9 7
DOUANE
Légende :
N°
|
Nom du flux
|
Emetteur
|
Récepteur
|
Propriétés
|
1
|
Documents présentés
|
CLIENT
|
AGENCE
|
- nom importation, prix march, poids march, fret assurance
|
2
|
Contrat remis
|
AGENCE
|
CLIENT
|
- numéro contenaire nom import, nom agence, date cont,
montant payé
|
3
|
Déclaration transmise
|
AGENCE
|
DOUANE
|
- num m enregistré, nature march, nom import, num
camion, codagence
|
4
|
Bulletin de liquidation transmis
|
DOUANE
|
AGENCE
|
- numéro liquidation,nom agence, code taxe, libelle
taxe montant liquidation
|
5
|
Pyt montant de déclaration
|
AGENCE
|
BANQUE
|
Idem flux n°4
|
6
|
Quittance de paiement remis
|
BANQUE
|
AGENCE
|
- Num quittance,date quittance, nombre déclaration ,
montant verse,nom agence
|
7
|
Informations de paiement transmises
|
BANQUE
|
DOUANE
|
Idem n°6
|
8
|
Quittance de déclaration présentée
|
AGENCE
|
DOUANE
|
Idem flux n°6
|
9
|
Bon à enlever remis
|
DOUANE
|
AGENCE
|
- Num bon,nom agence,heure de charg, heure de decharg, num
camion
|
10
|
Marchandise livrée
|
AGENCE
|
CLIENT
|
- nom agence, natmarch, nbrecolis,nomimport
|
|
*
5 AVI signifie : Attestation de Vérification à
l'Importation
*6
René
Ledru, Chronique juridique : Loi sur les exportations et
importations, ordonnance du 9 juillet 2008, Ed. Thomson Sales Europe,
p.35
*7
Hubert Tardieu, La Méthode Merise-Tome1, Principes et outils,
éd. d'organisation, Paris, 1996, p.104
*8
Idem, p.105
III. ANALYSE DES
DOCUMENTS
Le recensement des documents est le préalable absolu
à toute démarche d'automatisation. Il existe 2
méthodes10(
*) :
Ø La méthode ascendante : très
pratique pour une nouvelle informatisation
Ø La méthode descendante : à
utiliser sur un système existant permettant de recenser toutes les
informations du système rencontrées sur les divers documents en
service et à y ajouter les nouvelles données nécessaires
aux nouveaux traitements. C'est la méthode utilisée dans le cadre
de notre travail.
4.1. PRESENTATION DES DOCUMENTS
a. Fiche de contrat : C'est un document remis au
client lors de l'ouverture d'un contrat avec l'agence.
b. TONE : Ce document est remplit par l'agence
contenant toutes les informations possible en rapport avec la marchandise ainsi
que tous les détails nécessaires pour le calcul éventuel
des droits de douane.
c. Bulletin de liquidation : C'est un document
que la douane remet à l'agence pour le paiement des droits et taxes de
la marchandise à la banque.11(
*)
d. Quittance de déclaration : Ce document
est remis par la banque lors de paiement des droits et taxes de douane.
e. Bon à enlever (BAE)
12(
*) :
C'est un document de la douane qui donne l'autorisation à l'agence de
retirer sa marchandise.
IV. CRITIQUES ET
SUGGESTIONS
Après avoir pris connaissance du fonctionnement de
l'agence et de l'ensemble de ses composantes voici les critiques que nous
apportons :
5.1. POINTS POSITIFS
La MBP&Cie est une agence ayant une bonne structure et des
agents compétent dans les différents secteurs
précisément le secteur du service chargé de
procédures, quelque soit le système manuel rencontré dans
le service, les suivis des clients et la protection des documents sont quand
même conformes.
5.2. POINTS NEGATIFS
- Les procédures sont manuelles ce qui ne garantie pas
une efficacité et ce qui ralentit le travail qui a pour
conséquence d'allonger le délai de réponse.
- Chaque acteur sauvegarde les données dans son poste,
ce qui rend difficile le suivi de la procédure d'un client on risque
d'avoir plusieurs interlocuteurs dans l'agence pour un seul client. Ce qui est
fastidieux
5.3. SUGGESTIONS
Après les critiques que nous avons formulés sur
notre étude, nous faisons quelques suggestions afin d'optimiser le
travail de l'agence en douane.
- Informatiser le service pour faciliter le stockage des
informations ;
- On remarque qu'il y a un registre dans chaque poste. C'est
ainsi qu'il faut trouver un moyen de centraliser les documents à
sauvegarder et dupliquer les sauvegardes dans une base de données
relationnelle.
- La base centralisée permettra d'avoir toutes les
sauvegardes sur un seul support. Cette centralisation permettra de suivre en
temps réel le dossier d'un client
*
10 Hubert Tardieu, op.cit, p.20-21
*
11 Documentation SYDONIA ; Procédure
détaillée du traitement des déclarations dans le
système douanier, du 15 Février 2009, p.5
*
12 Ibidem, p.6
Chapitre 8
CONCEPTION DU SYSTEME INFORMATIQUE INFORMATISE
II.1 INTRODUCTION
L'analyse conceptuelle est la première étape de
l'approche MERISE. Elle débouche bien entendu sur la mise en oeuvre
technique accompagnée de la réalisation de supports visuels
(schéma physique de la base).Son rôle consiste à
définir précisément les qualités de l'entreprise.
Elle décrit l'ensemble des données stables du système
d'information et l'ensemble des règles de gestion à y appliquer
sans tenir compte d'un quelconque matériel informatique devant supporter
ces informations.
II.2 MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES
a) Recensement et description des entités
N°
|
ENTITE
|
ROLE
|
PROPRIETES
|
CODE
|
DESIGNATION
|
OBSERV.
|
01
|
BUREAU
|
Etablir et/ou approuver une quittance ou un manifeste
|
CODEBUR
NOMBUR
NUMCONT
DATECONT
DUREECONT
MONTPAY
TYPECONT
|
Code du bureau
Nom du bureau
Numéro contrat
Date contrat
Durée contrat
Montant payé
Type contrat
|
Id.
|
02
|
CAMION
|
Transporter les marchandises
|
NUMCAM
NOMCHAUF
MARQVEH
|
Numéro camion
Nom du chauffeur
Marque du véhicule
|
Id.
|
03
|
BON
|
Pour un seul camion
|
NUMBON
DATEBON
LIEUDEDECH
HEUREDEDECH
DATE DEDECH
|
Numéro bon
Date du bon
Lieu de déchargement
Heure de déchargement
Date de déchargement
|
Id.
|
04
|
IMPORTATEUR
|
Qui importe les marchandises
|
NUMIMPORT
NOMIMPORT
NUMTELIMPORT
|
Numéro de l'importateur
Nom de l'importateur
Numéro téléphone importateur
|
Id.
|
05
|
BANQUE
|
Qui délivre le manifeste
|
CODEBAN
NOMBANQ
ADRESBANQ
|
Code banque
Nom de la banque
Adresse de la banque
|
Id.
|
06
|
AGENCE
|
Qui remplit un manifeste
|
CODEAGEN
NOMAGEN
ADRESAGEN
|
Code agence
Nom de l'agence
Adresse de l'agence
|
Id.
|
07
|
MANIFESTE
|
|
NUMMANIF
DATEENREG
PAYSPROV
PAYSDEST
MONTFACT
NOMBCOLIS
POIDSCOLIS
DESCRITART
FRET
ASSURANCE
TAUX
|
Numéro manifestation
Date d'enregistrement
Pays de provenance
Pays de destination
Montant facturé
Nombre colis
Pois colis
Description colis
Frais de transport
Assurance
Taux de la banque
|
Id.
|
08
|
QUITTANCE
|
|
NUMQUIT
DATEQUIT
CODETAX
LIBELTAX
MONTVERS
|
Numéro quittance
Date quittance
Code taxe
Libellé taxe
Montant à verser
|
Id.
|
b) Recensement et description des associations et
cardinalités
N°
|
Entité
|
Association
|
Cardinalité
|
Signification
|
1
|
AGENCE
|
Remplir
|
(1,n)
|
Une agence peut remplir une ou plusieurs Manifestes
|
2
|
MANIFESTE
|
Remplir
|
(1,1)
|
Un Manifeste est remplit par une seule agence
|
3
|
AGENCE
|
Livré
|
(1,n)
|
Une agence peut livrer un ou plusieurs contrats
|
4
|
CONTRAT
|
Livré
|
(1,1)
|
Un contrat est livré par une et une seule agence
|
5
|
BUREAU
|
Etablir
|
(1,n)
|
Un bureau peut établir un ou plusieurs Manifestes
|
6
|
MANIFESTE
|
Etablir
|
(1,1)
|
Un Manifeste est établi par un et un seul bureau
|
7
|
IMPORTATEUR
|
Passer
|
(1,n)
|
Un importateur peut passer au moins un contrat
|
8
|
CONTRAT
|
Passer
|
(1,1)
|
Un contrat est passé par un et un seul importateur
|
9
|
IMPORTATEUR
|
Avoir
|
(1,n)
|
Un importateur peut avoir un ou plusieurs Manifestes
|
10
|
MANIFESTE
|
Avoir
|
(1,1)
|
Un Manifeste a un et un seul importateur
|
11
|
BON
|
Etre pour
|
(1,1)
|
Un bon est pour un seul camion
|
12
|
CAMION
|
Etre pour
|
(1,n)
|
Un camion peut être pour plusieurs bons
|
13
|
BANQUE
|
Recevoir
|
(1,n)
|
Une banque peut recevoir un ou plusieurs Manifeste
|
14
|
MANIFESTE
|
Recevoir
|
(1,1)
|
Un Manifeste est reçu par une seule banque
|
15
|
BUREAU
|
Approuver
|
(1,n)
|
Un bureau peut approuver une ou plusieurs quittances
|
16
|
QUITTANCE
|
Approuver
|
(1,1)
|
Une quittance est approuvée par un et un seul bureau
|
17
|
BON
|
Concerner
|
(1,1)
|
Un bon est concerné par un seul Manifeste
|
18
|
MANIFESTE
|
Concerner
|
(1,n)
|
Un Manifeste peut concerner un ou plusieurs bons
|
II.2.1
FORMALISME DE REPRESENTATION DU MCD
Le MCD est aussi appelé modèle
entité-association (EA).
a. La propriété : Est une donnée
élémentaire perçue sur le système d'information.
Les propriétés peuvent concerner les entités comme les
associations.13(
*)
b. Entité : Est un objet du système
d'information, pourvu d'une existence propre, conforme au choix de gestion de
l'entreprise et porteur de propriétés.
c. Occurrence d'une entité : Est le nombre de fois
où cette entité est valorisée.
d. Identifiant : Est une propriété
particulière, telle qu'à chaque valeur de la
propriété corresponde une et une seule occurrence de
l'entité.
e. Association : Une association est une relation ou lien
entre deux ou plusieurs entités.
f. Cardinalité : Elle représente le nombre
d'occurrences, minimal et maximal d'une entité par rapport à une
association.
g. Une CIF : Une Contrainte d'Intégrité
Fonctionnelle en abrégé CIF se définit par le fait que
l'une des entités participant à l'association est
complètement déterminée par la connaissance d'une ou
plusieurs autres entités participant dans cette même
association.
Etape 1. Dictionnaire des données
Le dictionnaire des données est en fait le
résultat de la phase de collecte des données
élémentaires des documents récences lors de l'analyse
préalable. On le place sous forme de tableau trié par ordre
alphabétique, il est dépouillée de toute anomalie ou
incohérence, des données redondantes des synonymes et de
polysémies.14(
*)
N°
|
Propriétés
|
Signification
|
Type
|
Taille Dom
|
Contrôle
|
1
|
adresagence
|
Adresse de l'agence
|
NC
|
AN_25
|
|
2
|
adresbanq
|
Adresse de la banque
|
NC
|
AN_25
|
|
3
|
assurance
|
Assurance
|
NC
|
N_15
|
|
4
|
codagence
|
Code de l'agence
|
NC
|
N_5
|
Unique
|
5
|
codbanq
|
Code de la banque
|
NC
|
N_5
|
Unique
|
6
|
codbureau
|
Code du bureau
|
NC
|
AN_5
|
Unique
|
7
|
codtaxe
|
Code de la taxe
|
NC
|
AN_5
|
|
8
|
datebon
|
Date du bon
|
NC
|
Date
|
|
9
|
datecont
|
Date du contrat
|
NC
|
Date
|
|
10
|
datededech
|
Date de déchargement
|
NC
|
Date
|
|
11
|
dateenreg
|
Date d'enregistrement
|
NC
|
Date
|
|
12
|
datequit
|
Date de la quittance
|
NC
|
Date
|
|
13
|
descriptart
|
Description de l'article
|
NC
|
AN_20
|
|
14
|
dureecont
|
Durée du contrat
|
NC
|
Date
|
|
15
|
fret
|
Fret
|
NC
|
N_15
|
|
16
|
heurededech
|
Heure de déchargement
|
NC
|
Date
|
|
17
|
libelletaxe
|
Libelle de la taxe
|
NC
|
AN_25
|
|
18
|
lieudech
|
Lieu de chargement
|
NC
|
AN_20
|
|
19
|
lieudedech
|
Lieu de déchargement
|
NC
|
AN_20
|
|
20
|
marqueveh
|
Marque du véhicule
|
NC
|
AN_10
|
|
21
|
montfac
|
Montant de la facture
|
NC
|
N_15
|
|
22
|
montpay
|
Montant payé
|
NC
|
N_15
|
|
23
|
montverse
|
Montant versé
|
NC
|
N_15
|
|
24
|
nomagence
|
Nom de l'agence
|
NC
|
AN_15
|
|
25
|
nombanq
|
Nom de la banque
|
NC
|
AN_10
|
|
26
|
nombrecolis
|
Nombre des colis
|
NC
|
N_3
|
|
27
|
nombureau
|
Nom du bureau
|
NC
|
N_20
|
|
28
|
nomchauf
|
Nom du chauffeur
|
NC
|
AN_15
|
|
29
|
nomimport
|
Nom de l'importateur
|
NC
|
AN_20
|
|
30
|
numbon
|
Numéro du bon
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
31
|
numcamion
|
Numéro du camion
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
32
|
numcont
|
Numéro du contrat
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
33
|
numimport
|
Numéro de l'importateur
|
NC
|
AN_10
|
Unique
|
34
|
nummanif
|
Numéro du manifeste
|
NC
|
AN_10
|
Unique
|
35
|
numquit
|
Numéro de la quittance
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
36
|
numtelimp
|
Numéro du téléphone de l'importateur
|
NC
|
N_13
|
|
37
|
paysdest
|
Pays de destination
|
NC
|
AN_15
|
|
38
|
paysprov
|
Pays de provenance
|
NC
|
AN_15
|
|
39
|
poidsart
|
Poids de l'article
|
NC
|
AN_6
|
|
40
|
Prixart
|
Prix de l'article
|
NC
|
N_15
|
|
41
|
Taux
|
Taux de change
|
NC
|
N-4
|
|
42
|
Typecont
|
Type de contrat
|
NC
|
AN-12
|
|
Etape1. Matrice des dépendances fonctionnelles à
source composée
Pour la construction de la matrice des dépendances
fonctionnelles à source composée, nous prenons à compte
toutes les propriétés et tous les identifiants non
utilisés dans la matrice des dépendances à source
simple.
C'est ainsi que dans le cadre de notre travail, cette matrice
n'existe pas car toutes les propriétés ont été
déterminées dans la matrice des dépendances fonctionnelles
à source simple.
Etape 2. Matrice des clés
La matrice des clés est construite en prenant toutes
les propriétés identifiant dans la matrice des dépendances
fonctionnelles à source simple, tout en observant l'identifiant qui
identifie l'autre. Ainsi nous obtenons la matrice suivante.
N°
|
Propriétés
|
DF1
|
DF2
|
DF3
|
DF4
|
1
|
Num import
|
D
|
|
D
|
|
2
|
Cod bureau
|
D
|
D
|
|
|
3
|
Num manif
|
G
|
|
|
D
|
4
|
Num quit
|
|
G
|
|
|
5
|
Num camion
|
|
|
|
D
|
6
|
Num cont
|
|
|
G
|
|
7
|
Num bon
|
|
D
|
|
G
|
8
|
Code agence
|
D
|
|
D
|
|
9
|
Code banque
|
D
|
|
|
|
II.3. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS
II.3.1. TABLEAU DES ACTIONS INDUITES
C'est un tableau qui nous étal les actions que le
récepteur réalisera après avoir reçu les
informations. Ce tableau est construit sur base du tableau des
événements.
N°
|
Nom événement
|
Action induite
|
Récepteur
|
Propriétés
|
1
|
Documents présentés
|
Etablir la fiche de contrat
|
AGENCE
|
- Fiche de contrat
- Déclaration transmise
- Copie de déclaration transmise
|
2
|
Bulletin de liquidation transmis
|
- Enregistrer bulletin
- Liquider montant
|
AGENCE
|
- Quittance de déclaration remise
- Copie quittance
|
3
|
Bon à enlever remis
|
Présenter bon
|
AGENCE
|
Marchandise retirée
|
II.3.2.
TABLEAU DES OPERATIONS
Une opération est un ensemble d'actions
exécutées pour réagir à un ou plusieurs
événements. Une opération peut produire un ou plusieurs
résultats.
N°
|
Nom opération
|
Action induite
|
Evénement déclencheur
|
Propriétés
|
1
|
ETABLIR
|
Etablir la fiche de contrat
|
Documents présentés
|
- Fiche de contrat
- Déclaration transmise
- Copie de déclaration transmise
|
2
|
ENREGISTRER
|
- Enregistrer bulletin
- Liquider montant
|
- Bulletin de liquidation transmis
- Copie de déclaration
- Quittance de déclaration
|
- Quittance de déclaration remise
- Copie quittance
|
3
|
VERIFIER
|
Présenter bon
|
- Bon à enlever remis
- Copie quittance
|
Marchandise retirée
|
II.3.3. TABLEAU DES SYNCHRONISATIONS
La synchronisation d'une opération définit une
condition booléenne sur les événements contributifs devant
déclencher une opération. Il s'agit donc des conditions au niveau
des événements régies par une condition logique
réalisées grâce aux opérateurs : OU, ET, NON.15(
*)
De ce fait, pour notre cas nous aurons deux niveaux de
synchronisation (S1 et S2) exécutées grâce à notre
tableau des opérations faites précédemment.
N°
|
Nom synchronisation
|
Opération
|
Evénements déclencheurs
|
Synchronisation
|
1
|
S1
|
ENREGISTRER
|
a : Bulletin de liquidation
b : Copie de déclaration
c : Quittance de déclaration
|
a, b et c
|
2
|
S2
|
VERIFIER
|
d : Bon à enlever
e : Copie quittance
|
d et e
|
|
*
13 Ibidem, p.19
*
14 Laurent BAELE. Mémoire de licence en sciences informatiques,
AZAM/SENEGAL, 2008, Inédit
*
15 Frederic Brouard, op.cit, p.125-126
Arrivée
des clients avec leurs contrats à l'agence
II.3.4. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS
PROPREMENT-DIT
Contrat accepté
Contrat
Signature
Pas de signature
Preuve de paiement
Pas de preuve
Signature
Pas de signature
Bon à enlever
Livraison de marchandises
II.4. PRINCIPES DE PASSAGE DU
NIVEAU CONCEPTUEL VERS LE NIVEAU ORGANISATIONNEL
A. Contenue du Modèle organisationnel
Au niveau conceptuel nous avions expliqué simplement
« quoi faire », tandis qu'à ce niveau
organisationnel, il nous est opportun de poser les questions suivantes :
« qui fait », «quand on le fait » et
« comment on le fait », pour arriver à
intégré dans ce modèle :
· l'affectation des tâches ;
· la désignation du milieu
· la chronologie d'exécution ;
· le modèle opératoire.
B. Nature de transformation
A partir du Modèle conceptuel des traitements, on
formule le choix d'organisation qui se base sur les orientations de l'analyse
préalable. Ce choix lorsqu'il est explicite puis détaillé
aboutissent à la définition des postes de travail. C'est ainsi
qu'à partir de ces postes de travail on construit une
procédure.
C. Conséquences sur le
modèle
Cette transformation produit 3 conséquences
majeures :
· l'ajout d'informations complémentaire : le
MOT précise comment la future solution s'insère dans
l'organisation ;
· la redéfinition des procédures :
chaque opération du MCT se trouve donc subdivisé ici en
procédures fonctionnelles (PF). Certains auteurs remplacent
« Procédures fonctionnelles » par le terme
« phase », le cas de Yves Tabourier ; 19(
*)
· l'ajout des éventuels
éléments : le MCT retient la notion
d'événements significatifs au niveau des principes de gestion. Le
passage au niveau organisationnel peut justifier l'ajout des
événements supplémentaires imposés par les
contraintes d'organisation que nous trouvons.
II.5 MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS
II.5.1. GENERALITES SUR LE MODELE ORGANISATIONNEL DES
TRAITEMENTS (MOT)
Le Modèle organisationnel des traitements
modélise les activités du domaine, compte tenu de l'organisation
et des ressources (qui, où, quand, comment). Ainsi, chaque
activité (nommée tâche ou phase) est homogène en
terme de finalité, degré d'informatisation, poste, instant de
réalisation, ressources. Cette exigence conduit naturellement à
la décomposition de l'opération (conceptuelle) en de nombreuses
tâches (organisationnelles). Il y a de fait, corrélation entre le
changement de niveau (du conceptuel à l'organisationnel) et
l'accroissement du degré de détail.
Le Modèle organisationnel des traitements (MOT)
représente les opérations du MCT sous une forme
détaillée, puisque l'organisation interne de l'entreprise est ici
prise en compte.
Il décrit ce que font les gens du métier (leurs
tâches ou phases) dont certaines sont informatisées.
Durée
|
Les phases
|
Où
|
Comment
|
Arrivée des clients avec leurs contrats à
l'agence
Contrat accepté
Contrat
Pas de signature
Signature
Preuve de paiement
Pas de preuve
Signature
Pas de signature
Livraison de marchandises
AGENCE
AGENCE
|
(interactif)
Personnel
Papiers
Imprimante
Stylo
PC
|
|
|
X
X
|
DOUANE
CLIENT
|
(Manuel)
Personnel
Stylo
Papier
|
X
X
|
AGENCE
|
interactif)
Personnel
Papiers
Imprimante
Stylo
PC
|
Diagramme
d'enchainement des procédures
L'enchainement des procédures est un concept
lié à un échange d'informations liées à
l'externalisation de certaines activités.
En effet, lors de notre analyse nous avons trouvé
naturellement que les acteurs sont des postes de travail. C'est ainsi que le
MOT va donc cerner l'activité de chaque poste de travail (informatique
ou non), et chaque service, du type de ressources (manuel, automatisé),
du type de support (document écrit, magnétique, etc.)
En outre, précisons que le terme degré
d'automatisation traduit l'utilisation des ressources humaines et/ou
informatique pour l'exécution de l'activité.
On distingue trois degrés :
Ø Manuel : seule la ressource humaine est mise en
oeuvre (même si c'est une activité intellectuelle) ;
Ø Interactive ou conversationnelle : les
ressources humaines et informatique sont mobilisées dans le
déroulement de l'activité (même de manière
alternative dans le courant de l'activité informatique, globalement les
2 sont mobilisées).
Ø Automatique : durant le déroulement de la
phase ou tâche seule la ressource informatique est utilisée.
II.6. MODELE LOGIQUE DE
DONNEES (MLD)
II.6.1. GENERALITES SUR LE MODELE
LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES
Le Modèle logique de données consiste à
décrire la structure de données utilisées sans faire
référence à un langage de programmation. Il s'agit donc de
préciser le type de données utilisées lors des
traitements.17(
*)
Le Modèle logique de données reprend le contenu du MCD
précédent, mais précise la volumétrie, la structure
et l'organisation des données telles qu'elles pourront être
implémentées.
Pour parvenir à la transformation du MCD en MLD, il y a
des règles de transformation.
II.6.2.
REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD EN MLD
1. Transformation des entités
· Toute entité doit être
représentée par une table ;
· Les identifiants des entités deviennent des
clés primaires des tables
2. Transformation des associations hiérarchique
(Relation de type 1,n ou CIF)
Dans le cas d'entités reliées par des
associations de type (1,n), chaque table possède sa propre clé,
mais la clé de l'entité côté (0,n) ou (1,n) migre
vers la table côté (0,1) ou (1,1) et devient une clé
étrangère (index secondaire).
3. Transformation des associations non hiérarchique 18(
*)
· Chaque association hiérarchique devient une
table
· Le nom de l'association devient le nom de la table
· Les propriétés de l'association
deviennent les rubriques de la table ;
· La clé primaire de cette table (relation) est
formée par la concaténation des identifiants des entités
qui sont en relation avec l'association.
II.6.3. REPRESENTATION DU MODELE
LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES MLDR
|
|
|
|
|
|
BON
|
|
CAMION
|
|
IMPORTATEUR
|
|
numbon
|
|
numcamion
|
|
numimport
|
|
|
|
|
|
|
|
|
datebon
|
|
nomchauf
|
|
nomimport
|
|
lieudech
|
|
marqueveh
|
|
numtelimp
|
|
lieudedech
|
|
|
|
|
|
heurededech
|
|
|
|
|
|
datededech
|
|
|
|
|
BANQUE
|
numcamion#
|
|
|
|
|
codbanq
|
nummanif#
|
|
AGENCE
|
|
|
nombanq
|
|
|
codagence
|
|
|
adresbanq
|
|
|
nomagence
|
|
|
|
|
|
adresagence
|
|
|
|
|
|
|
|
|
BUREAU
|
QUITTANCE
|
|
|
|
|
codbureau
|
numquit
|
|
|
|
|
nombureau
|
datequit
|
|
|
|
|
|
codetaxe
|
|
CONTRAT
|
|
|
|
libelletaxe
|
|
numcont
|
|
|
|
montantverse
|
|
datecont
|
|
MANIFESTE
|
|
cobureau#
|
|
dureecont
|
|
nummanif
|
|
|
|
montpay
|
|
dateenreg
|
|
|
|
numimport#
|
|
paysprov
|
|
|
|
codagence #
|
|
paysdest
|
|
|
|
typecont
|
|
montafac
|
|
|
|
|
|
nbrecolis
|
|
|
|
|
|
poidsart
|
|
|
|
|
|
descriptart
|
|
|
|
|
|
|
|
|
II.6.4. QUANTIFICATION DU MLD
La quantification est une opération qui consiste
à une sommation détaillée des attributs d'une relation.
A. Critères de quantification
Les critères prisent en compte pour la quantification
sont :
· la taille de propriétés (tout en se
référant au dictionnaire des données
· le nombre des tuples
· le nombre de relations (ou tables)
B. Démarche de quantification
Pour chaque table, déterminer la taille occupée
par un tuple, sommer les tailles de tous les attributs d'une table.
II.7. MODELE PHYSIQUE DES
DONNEES
Le Modèle physique des données
s'intéresse à l'optimisation de la gestion des données en
fonction de l'outil choisi pour cette gestion et surtout des traitements qui
utilisent ces données.
Le Modèle physique de données (MPD) permet de
préciser le système de stockage employé, l'objectif du
niveau physique est d'aboutir à l'implémentation d'une structure
des données appelé base des données sur le support
informatique accessible à l'ordinateur.
Ainsi, nous avons :
a. T_ AGENCE
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Codeagence
Nom agence
adressagence
|
Numérique
Texte
Texte
|
Entier
255
150
|
b. T_ BON
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Num bon
Datebon
Lieudech
Lieudech
Datedech
Numcamion
nummanif
|
Numérique
Dateheure
Texte
Texte
Dateheure
Texte
texte
|
Entierlong
--------
150
150
----------
150
150
|
c. T_QUITTANCE
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Numquit
Datequit
Codetaxe
Libelletaxe
Montant verse
codbureau
|
Numérique
Date heure
Texte
Texte
Texte
numérique
|
Entierlong
--------
150
150
100
entier
|
d. T_ CAMION
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Num camion
Nomchauf
marqueveh
|
Texte
Texte
Texte
|
150
150
150
|
e. T_ IMPORTATEUR
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Num import
Nom import
Num import
|
Numérique
Numérique
numérique
|
Entier
Entier
entier
|
f. T_ BANQUE
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Codbanq
Nombanq
adresbanq
|
Texte
Texte
texte
|
150
150
150
|
g. T_ CONTRAT
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Numcont
Datecont
Dureecont
Montpay
Numimport
Codagence
Type cont
|
Numérique
Date heure
Texte
Texte
Numérique
Numérique
Texte
|
Entier long
----------
100
100
Entier
Entier
100
|
h. T_ BUREAU
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Codbureau
Nombureau
|
Numérique
Texte
|
Entier
100
|
i. T_ MANIFESTE
Libellé
|
Type
|
Taille du Champ
|
Num manif
Dateenreg
Paysprov
Paysdest
Montafac
Nbrecolis
Poidsart
Descriptant
|
Numérique
Dateheure
Texte
Texte
Texte
Numérique
Texte
Texte
|
Entier
--------
100
100
100
Entier
100
100
|
A. . Détermination de longueur (Li)
1. Table BUREAU : 5+20 = 25
2. Table CONTRAT : 7+8+8+15+5+12 = 55
caractères
3. Table IMPORTATEUR : 10+20+15 = 43 caractères
4. Table MANIFESTE :
10+8+15+15+15+3+6+20+15+15+15+5+10+5+5+4 = 166 caractères
5. Table AGENCE : 5+15+25 = 45 caractères
6. Table CAMION : 7+15+10 = 32 caractères
7. Table BON : 7+20+20+8+8+7+10 = 80 caractères
8. Table QUITTANCE : 7+8+5+25+15+5 = 65
caractères
9. Table BANQUE : 5+10+25 = 40 caractères
B. . Détermination de nombre de tuple par
table
1. Table BUREAU : 4
2. Table CONTRAT : 312 x 3 = 936
3. Table IMPORTATEUR : 312 x 2 = 624
4. Table MANIFESTE : 312 x 3 = 936
5. Table AGENCE : 1
6. Table CAMION : 312 x 2 = 624
7. Table BON : 312 x 2 = 624
8. Table QUITTANCE : 312 x 3 = 936
9. Table BANQUE : 2
C'est ainsi que l'espace en moyenne de notre base de
données qui peut être utilisé au cours d'une année
(soit 312 jours ouvrable) sera
de :25x4+43x936+45x624+162x936+45x1+32x624+80x624+65x936+40x2 =
935913 octets.
*
17 Chris ., Introduction aux bases de données, éd. Thomson
International, Paris, 1998, p.10
*
18 NDJUNGU., Cours de Méthodes d'analyse informatique, G2/IG/ISP,
2011-2012, p.22, Inédit
|
*
19 Yves Tabourier, De l'autre coté de Merise, éd. d'organisation,
Paris, 1986, p.20
Chapitre 9 . PROGRAMMATION
IV.1. INTRODUCTION
Cette partie consiste à une implémentation
physique d'une structure logique des données en mettant en oeuvre un
logiciel appelé Système de Gestion de Base de Données afin
d'aboutir à un schéma physique des données qui se
réfère au même modèle que celui que nous avons vu
précédemment au niveau logique.
IV.2. CHOIX DU LANGAGE
Nous avons utilisé le langage Visual Basic qui a
été conçu pour être facile à apprendre et
à utiliser. Ce langage permet de créer des applications
graphiques de façon simple, mais également de créer des
applications véritablement complexes.20(
*)
Programmer en Visual Basic (VB) est un mélange de plusieurs
tâches, comme disposer visuellement les composants et contrôles sur
les formulaires, définir les propriétés et les actions
associées à des composants, et enfin ajouter du code pour ajouter
des fonctionnalités. Le langage Visual Basic permet aussi de
créer des exécutables (fichiers.exe). Il dispose également
d'une grande bibliothèque d'utilitaires et offre les bases du support de
la programmation orientée objet.
Lorsqu'on
écrit une application Visual Basic, on crée donc un ensemble
objets à partir des classes proposées, et on définit les
procédures qui se rapportent à ces objets. Lorsqu'on sauvegarde
cette application, Visual Basic va créer un certain nombre des fichiers.
Pour l'essentiel
- Un fichier dit Projet comportant l'extension
« .vbp ». Ce fichier rassemble les informations
générales de votre application.
- Un fichier par objet Form créé, fichier
portant l'extension « .frm ». Ce fichier comporte les
objets contenus par « Form », ainsi que tout le code des
procédures liées à ces objets.
Le VB possède un
vérificateur de syntaxe en temps réel. C'est-à-dire que
l'éditeur de code détecte les instructions non légitime au
fur et à mesure que vous les entrez, et il les signale par un texte mis
en rouge, et pour faire bonne mesure, par un message d'erreur21(
*).
IV.3. CONFIGURATION DU
MATERIEL
1. Choix du matériel
Comme nous l'avons souligné dans l'objectif et niveau
de solution que l'agence MBP étant un bureau non informatisé,
nous optons pour une solution matérielle simplifiée.
Ainsi donc, nous proposons aux utilisateurs une politique
centralisée que nous appelons "Architecture Client/serveur".
En premier lieu, nous avons un serveur de données
contenant toutes les données de la base.
En deuxième lieu, nous avons les clients qui sont qui
des postes de travail au niveau de bureau répartis dans
différents sites accédant ainsi à la à la base
selon les droits qui leur sont accordés.
a) Aspect hardware
1. Le serveur de
données
· Processeur Intel Celeron M 370, 1,5Ghz 400Mhz FBB, 1Mb
L2 cache
· Mémoire vive (RAM) 1GB DDR
· Lecteur CD-ROM, ou DVD-ROM avec graveur
· Disque dur (HDD) 200GB
· Carte réseau 100Mbps
· Carte graphique SGRAM.
2. Les postes de travail
· Processeur Intel pentium 4 ; 1,5Ghz
· Disque dur 80Gb
· Carte graphique AGP
· Lecteur CD-ROM, DVD-ROM avec graveur
· Carte réseau 100Mbps
· Ports USB (plus au moins 4)
· Clavier AZERTY
· Souris optique
3. Autres
périphériques
· Imprimante HP Laser, Imprimante HP Jet d'encre
· Scanner plat A4, Switch 16 ports
· Modem, Ventilateur
b) Aspect software
1) Système d'exploitation
· Windows Server 2007 pour le serveur , Windows XP
Professionnel SP2 pour les postes de travail
2) Les logiciels outils
· Antivirus AVAST 4.8 ,Microsoft Office 2007 , Power DVD
5.0.
· Nero 7.0.
· Adobe 8.0.
3. Langage de programmation
· Visual DBASE
*
20 MUNDA J., Cours de Visual Basic Application, G3/IG/ISP, 2012-2013,
Inédit
*
21 MUNDA J., op.cit
IV.3. GUIDE DE
L'UTILISATEUR
251701760Si on insère le
CD contenant le programme, dans ce dernier vous doubles cliquez sur le nom de
l'application et cette fenêtre d'accueil s'ouvre
Après avoir double-cliqué sur le nom de
l'application c'est la page d'accueil qui va ouvrir cette fenêtre LE
MENU GENERAL, si vous cliquez sur le bouton GESTION DES IMPORTATEURS c'est la
fenêtre suivante de menu général qui va s'ouvrir :
251702784
251703808
Si vous voulez enregistrer un contrat d'un importateur, sur le
formulaire ci-haut vous cliquez sur le bouton GESTION DES CONTRATS la
fenêtre ci-dessous va s'afficher en terminant l'enregistrement, vous
cliquez sur le bouton retour.
251704832
251705856Si vous voulez enregistrer, modifier ou supprimer les
informations d'un importateur, vous cliquez sur le bouton GESTION DES
IMORTATEURS sur le formulaire GESTION DES IMPORTATEURS, et la fenêtre
suivante va apparaitre :
Les formulaires de la mise à jour sur la gestion des
importateurs sont :
1. 251706880Ajout
2. Modification
251707904
3. 251708928Suppression
Pour déclarer un contrat, sur le menu principal on
clique sur le bouton déclaration des contrats et le formulaire suivant
s'affiche :
251709952
Sur le formulaire ci-dessous, nous avons la possibilité
d'enregistrer les informations concernant les marchandises importées.
251712000
A ce qui concerne l'impression, nous avons l'impression des
« fiches de contrat » et l'impression de TONE qui est la
fiche contenant les informations sur les marchandises.
251710976
251713024En fin le dernier bouton du MENU PRINCIPAL est le
bouton « QUITTER LE PROGRAMME », là on nous donne la
possibilité de fermer l'Application.
Chapitre 10 CONCLUSION GENERALE
Pendant cette période de concurrence où les
hommes s'intéressent aux mieux offrants, mettre en place un
système informatique dans différents domaines de la vie ; plus
particulièrement dans celui des affaires s'avèrent de plus en
plus indispensable.
Nous voici au terme de notre travail dont nous avons
développé sur la la mise au point d'une application de gestion
des contrats des déclarations dans une agence en douane dans le cas
pratique de l'entreprise MBP &Cie.
Pour parvenir à réaliser ce travail
scientifique, nous nous sommes intéressé principalement à
chercher à connaitre quelles sont les difficultés
rencontrées dans la gestion des déclarations au sein de cette
entreprise, et quels sont les facteurs à la base de ces
difficultés en vue de proposer des pistes de solutions d'une
administration adéquate à cette altération de gestion.
A partir de ce constat, nous avons formulé
l'hypothèse selon laquelle une application informatisée serait
d'une grande utilité pour la gestion de cette entreprise dans le titre
de la prise de décisions.
En vue de vérifier notre hypothèse et
d'atteindre notre objectif, nous avons recouru à la méthode
analytique à laquelle nous attachions MERISE qui est une méthode
de conception et de développement de système d'information, et
avons procédé par la technique d'interview au moyen d'un guide
(questionnaire), la technique documentaire ainsi que l'observation.
Hormis l'introduction et la conclusion générale,
notre travail est subdivisé en trois (3) chapitres de la manière
ci-après :
- Le premier chapitre porte sur l'analyse préalable et
a pour objectif la description du système existant ainsi que son
analyse ;
- Le deuxième chapitre intitulé Conception du
système informatique informatisé vise l'analyse définie du
système.
- Et enfin le troisième chapitre nommé
Programmation a pour objectif la mise au point proprement dite de
l'application.
A la fin de notre analyse, nous avons abouti au
résultat d'implémentation d'une structure logique des
données en mettant en oeuvre un logiciel appelé Système de
Gestion de Base de Données afin de matérialiser la gestion
concrète de cette entreprise. Avec ce résultat obtenu, nous
pouvons dire dans la mesure du possible que notre hypothèse est
confirmée ou affirmée.
Notre souci réel est que les différentes
entreprises ayant ce profit trouvent ici un moyen aisé et adéquat
pour la gestion de leur contrat de déclaration automatiquement.
Nous sollicitons l'indulgence de nos lecteurs avisés pour
toutes les imperfections qu'ils auraient remarquées et osons croire que
par leur critique et suggestions nous apprendrons davantage afin
d'améliorer de plus.
Chapitre 11 BIBLIOGRAPHIE
1.
OUVRAGES
1. Chris J., Introduction aux bases de données,
éd. Thomson International, Paris, 1998.
2. Documentation SYDONIA ; Procédure
détaillée du traitement des déclarations dans le
système douanier, du 15 Février 2009.
3. Fréderic Baechler, Modélisation de
données, éd. Dunod, 1999
4. Fréderic Brouard, Petit guide d'analyse des
données à l'aide de la méthode MERISE, éd.
d'organisation, Paris, 1998
5. Hubert Tardieu, La Méthode Merise-Tome1,
Principes et outils, éd. d'organisation, Paris, 1996.
6.
René Ledru, Chronique juridique : Loi sur les
exportations et importations, ordonnance du 9 juillet 2008, Ed. Thomson
Sales Europe
7. Sarton A., La Méthode Merise, éd.
d'organisation, Paris, 1998.
2. COURS
1. DJUNGU., Cours de Méthodes d'analyse informatique,
G2/IG/ISP, 2011-2012, Inédit
2. TCHUNDOLELA., Cours d'initiation à la recherche
scientifique, G2/IG/ISP, 2011-2012, Inédit
3. MUNDA J., Cours de Visual Basic Application,
G3/Info/UPL, 2010-2011, Inédit
3. TFC ET MEMOIRES
1. Laurent BAELE. Mémoire de licence en sciences
informatiques, AZAM/SENEGAL, 2008, Inédit
4. DICTIONNAIRE
1. Dictionnaire de langue française, Librairie
Larousse, Paris, 1994
2. WEBOGRAPHIE
http://www.developpez.com,
http ://www.commentcamarche.net, http ://www.wikipedia.org
Chapitre 12 Table des
matières
INTRODUCTION GENERALE
1
1. GENERALITES
- 1 -
2. PROBLEMATIQUE
- 1 -
3. HYPOTHESE
- 2 -
4. METHODES ET TECHNIQUES
- 3 -
4.1. METHODES
- 3 -
4.2. TECHNIQUES
- 4 -
5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
- 4 -
5.1. CHOIX DU SUJET
- 4 -
5.2. INTERET DU SUJET
- 4 -
6. DELIMITATION DU
SUJET
- 5 -
7. OBJECTIFS
ATTENDUS
- 6 -
8. SUBDIVISION DU
TRAVAIL
- 6 -
9. DIFFICULTES
RENCONTREES
- 6 -
Chapitre 1. ANALYSE
PREALABLE
- 7 -
I. INTRODUCTION
- 7 -
II. PRESENTATION DE L'EXISTANT
- 7 -
2.1. APERÇU HISTORIQUE
- 7 -
2.2. SIEGE SOCIAL
- 8 -
2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE
- 8 -
2.4. OBJET SOCIAL
- 8 -
2.5. ORGANIGRAMME
- 9 -
2.6. DESCRIPTION DES POSTES
- 10 -
III. FONCTIONNEMENT DE L'AGENCE
- 11 -
3.1. DESCRIPTION TEXTUELLE
- 11 -
3.2. TABLEAU DES ACTEURS
- 11 -
3.3. GRAPHE DES FLUX
- 12 -
4.1. PRESENTATION DES DOCUMENTS
- 14 -
V. CRITIQUES ET SUGGESTIONS
- 15 -
5.1. POINTS POSITIFS
- 15 -
5.2. POINTS NEGATIFS
- 15 -
5.3. SUGGESTIONS
- 15 -
Chapitre 2 CONCEPTION DU SYSTEME
INFORMATIQUE INFORMATISE
- 16 -
II.1 INTRODUCTION
- 16 -
II.2 MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES
- 16 -
II.6. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
- 30 -
II.6.1. GENERALITES SUR LE MODELE LOGIQUE DE
DONNEES RELATIONNELLES
- 30 -
II.6.2. REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD EN MLD
- 30 -
II.7. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
- 32 -
Chapitre 3 . PROGRAMMATION
- 37 -
IV.1. INTRODUCTION
- 37 -
IV.2. CHOIX DU LANGAGE
- 37 -
IV.3. CONFIGURATION DU MATERIEL
- 38 -
1. Le serveur de données
- 38 -
2. Les postes de travail
- 38 -
3. Autres périphériques
- 39 -
3. Langage de programmation
- 39 -
IV.3. GUIDE DE L'UTILISATEUR
- 40 -
Si on insère le CD contenant le programme,
dans ce dernier vous doubles cliquez sur le nom de l'application et cette
fenêtre d'accueil s'ouvre
- 40 -
BIBLIOGRAPHIE
- 47 -
1. OUVRAGES
- 47 -
2. COURS
- 47 -
3. TFC ET MEMOIRES
- 47 -
4. DICTIONNAIRE
- 47 -
2. WEBOGRAPHIE
- 47 -
Table des matières
- 48 -
|