REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET
UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE PEDAGOGIQUE NATIONALE
B.P.8815
KINSHASA - NGALIEMA
FACULTE DES SCIENCES
DEPARTEMENT DES SCIENCES DE LA SANTE
NIVEAU DE CONNAISSANCE DE LA POPULATION DU QUARTIER
NGOMBE- KINKUSA SUR LES MESURES PREVENTIVES DE LA TUBERCULOSE
Nanou PODEME KIMONDE
Travail de fin de cycle en vue de l'obtention du titre de
Gradué en Sciences de la Santé
Orientation : Sciences
infirmières.
Directeur : Jean-Pierre IKOLONGO BEFEMBO
Chef de Travaux
Année Académique 2008-2009
EPIGRAPHE
« La tuberculose est une maladie très
contagieuse qui peut décimer des populations entières si des
précautions n'ont pas été prises au moment
opportun ».
ALEXANDRE LAO - LAODEDICACE
A notre DIEU qui seul est digne de gloire et
d'adoration en
Jésus-Christ ;
A nos très chers parents ALEXENDRE PODEME LE
SAY et Martine MASAMBA ELONO, pour leur affection
indicible et les sacrifices consentis depuis notre enfance jusqu'à ce
jour ;
A notre tante Marthe NKIERE et son
époux Professeur OVENEKE, pour leur soutien moral et
matériel ;
A toute la grande famille PODEME :
Betty PODEME, Guelord PODEME, ELILA PODEME, Cynthia PODEME, Fonsia
MASAMBA et MOUK PODEME, pour leur assistance
fraternelle. .
A Noemie OVENEKE et Sarah
OVENEKE, pour leurs encouragements,
A tous ceux qui nous sont chers qu'ils trouvent ici
l'expression de notre indéfectible attachement
REMERCIEMENTS
La grandeur de l'homme ne se trouve pas seulement dans le fait de
se sentir responsable, mais aussi de reconnaître que l'homme n'est pas le
produit de ses propres efforts, mais de Dieu et de la communauté vis
à vis des quels il doit tout.
Ainsi, que notre Dieu qui nous q permis de débuter et
d'achever nos études en sciences de la santé en option sciences
infirmières sont bénis infiniment au non de notre seigneur
Jésus - Christ.
Pour réaliser ce travail nous avons
bénéficié de l'assistance tant matérielle, morale
que financière de bien de gens, que nous remercions
sincèrement.
Nous exprimons notre reconnaissance :
Aux autorités de la nation congolaise pour l'existence
de l'Université Pédagogique Nationale ;
Aux autorités Académiques et au corps
professoral de la Faculté des Sciences pour nous avoir assuré une
formation de qualité ;
A Monsieur Jean-Pierre IKOLONGO BEFEMBO, pour sa
disponibilité, ses orientations et remarques très pertinentes et
sa rigueur scientifique dans la direction de ce travail.
A Papa TSHIM-GRACE TSHIMPUKI, pour sa contribution
scientifique.
A nos oncles, tantes, cousins, cousines, neveux et
nièces ;
A tous les frères et soeurs dans le seigneurs pour leur
soutient spirituel
A mes amies BIBI KABA, Rébecca MATA,
A tous ceux qui ont contribué de près ou de
loin, d'une manière ou d'une autre, à la réalisation du
présent travail, qu'ils trouvent ici l'expression de notre profonde
gratitude ;
Nous ne saurons clore cette rubrique sans remercier nos amis
et camarades de promotion, pour les échanges fructueux sous l'arbre du
savoir.
En fin, que ce travail soit un modèle de motivation
pour nos frères et soeurs.
INTRODUCTION
0.1. PROBLEMATIQUE
La tuberculose, maladie microbienne qui tend
évalué par poussées successives et a se localiser sur un
organe tout en déterminant des lésions, reste une maladie
infectieuse, grave et meurtrière.
Chaque année, cette maladie tue près de 2
millions de personnes dans le monde et la tendance actuelle fait envisager 10,2
millions de nouveau cas de puis 2005 traduisant clairement une aggravation de
sa situation et son incidence mondiale.
Et avec l'épidémie du SIDA et l'émergence
de bacilles multirésistants aux antibiotiques, l'impact de la
tuberculose ne cesse de s'aggraver faisant qu'elle soit
considérée comme une urgence sanitaire au niveau
planétaire.
L'OMS estime qu'entre 2000 et 2020 près d'un milliard
de personnes seront nouvellement infectées et que 200 millions d'entre -
elles développeront cette maladie, dont 35 millions pourront en mourir
si aucune amélioration n'est apportée dans le contrôle de
cette infection, de sa prise en charge et de toutes préventions
possibles.1(*)
Chaque seconde, une nouvelle personne dans le monde est
infecte par le bacille de Koch, microbe responsable de la tuberculose ;
avec 1% de la population mondiale renouvellement infecte et près de 9
millions d'individus développant cette maladie.
Globalement, un tiers, de la population mondiale est
aujourd'hui infecté et 22 pays totalisent à eux seuls plus ou
moins 80% des cas mondiaux.
En Afrique subsaharien, à cause de la pandémie
du SIDA, près de 2 millions de cas annuels de tuberculose sont
enregistrés, et en Asie du sud-est. On
recense en Europe de l'Est plus ou moins 250.000 cas annuels.
En RDC, à cause de différentes guerres qui font
appel à la promiscuité des réfugiés, on assiste
à une recrudescence de cette maladie surtout dans les provinces victimes
de guerre, inquiétant ainsi les différentes organisations
sanitaires sur la morbi-létalité de la tuberculose en Afrique
centrale.
Selon OLIVIER NEIFROLLES (de l'Institut pasteur, le bacille de
Koch se cacherait dans les cellules adipeuses lui dotant ainsi d'une bonne
résistance aux antibiotiques les plus puissants avec une
possibilité de réapparition après de nombreuses
années un chez un individu guéri.2(*)
C'est pourquoi, en attendant la possibilité
d'éradiquer complètement cette maladie, nous estimons que la
lutte contre elle devra mobiliser toutes les armes disponibles
Etant personnel de santé appelée à la
promotion de la santé de la population, nous nous sommes
préoccupé de savoir le niveau de connaissance des habitants du
quartier NGOMBA KINKUSA de l'UPN sur la tuberculose
0.2. QUESTION DE RECHERCHE
En égard à la problématique dont il est
question dans ce travail, nous nous sommes posé les questions
suivantes :
- La population de Ngomba-Kinkusa connaît- elle la
maladie appelée Tuberculose ?
- Cette population prend t'elle suffisamment des mesures pour
lutter contre cette dangereuse maladie ?
0.3. HYPOTHESE
Nous partons de l'hypothèse selon laquelle les
habitants du quartier Ngomba- Kinkusa méconnaissent les mesures
préventives de la tuberculose.
0.4. BUT ET OBJECTIFS
Le but de notre travail est d'évaluer les connaissances
des habitants du quartier Ngomba-Kinkusa sur les mesures préventives de
la tuberculose.
Pour atteindre notre but, nous avons fixé les objectifs
suivants :
- Identifier dans la revue de la littérature les
mesures préventives de la tuberculose ;
- Elaborer un modèle conceptuel sur les mesures
préventives, les connaissances de la
population du quartier Ngomba-Kinkusa sur la tuberculose
par un questionnaire ;
- Analyser les résultats de notre
enquête ;
- Tirer une conclusion et proposer des pistes de solutions
pour lutter contre la tuberculose.
0.5. INTERE DU SUJET
Vu la recrudescence des cas de tuberculeux dans le monde en
générale et en RDC en particulier, il ressort la
nécessité d'attirer l'attention des habitants du quartier
Ngomba-Kinkusa sur la lutte contre la tuberculose afin de participer à
promouvoir la santé de notre population.
0.6. DOMAINE DE LA RECHERCHE
Afin d'être pris et compréhensible dans les
résultats de cette recherche, notre étude est basée sur le
domaine de la santé publique et elle est menée dans la commune de
NGALIEMA, précisément au quartier Ngomb-Kinkusa à l'UPN.
Cette étude a été réalisée
pendant la période allant du 28 Septembre 2009 au 28 Octobre 2009 soit
une durée d'un mois.
0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion
générales, ce travail est subdivisé en trois chapitres,
à savoir :
- Le premier chapitre qui définit les concepts de base
et donne l'aperçu sur la tuberculose dans la revue de la
littérature ;
- Le second qui est décrit le milieu d'enquête,
le matériel utilisé et la méthode pratiquée dans
l'approche méthodologique ; et
- Le troisième chapitre est consacré à
l'interprétation et l'analyse des résultats obtenus.
CHAPITRE I : REVUE DE
LA LITTERATURE
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS
I.1.1. Niveau
Le Larousse français le définit comme la valeur
comprise par rapport à une valeur de référence.3(*)
1.1.2. Connaissance
Avoir une connaissance fait allusion au fait de
connaître une chose, de savoir qu'elle existe c'est-à-dire d'en
voir une idée pertinente et précise
1.2.3. Population
Le dictionnaire RENOU et MAULDE la définit comme
l'ensemble d'habitants d'un pays, d'une ville, d'une commune ou d'un quartier
quelconque.4(*)
Le Larousse français renchérit qu'elle est
l'ensemble de membres d'une catégorie sociale particulière
1.1.4. Quartier
Le quartier est la portion ou la partie d'une ville qui
représente certains caractères distinctifs des autres. Ce
quartier Ngomba-Kinkusa, cible de notre étude, est l'un de quartier de
la commune de NGALIEMA, dans la ville de Kinshasa, non loin de
l'Université Pédagogique Nationale.
1.1.5. Mesures préventives
Les mesures préventives sont l'ensemble de moyens et de
dispositions que l'on peut prendre afin d'empêcher ou/et de
prévenir telle chose ou telle autre.
1.1.6. Tuberculose
Le dictionnaire petit Robert la définit comme une
maladie infectieuse contagieuse dû au bacille de Koch et qui affecte le
plus souvent les poumons et quelque fois les reins, les os, les intestins, les
organes génitaux, etc.
I.2. APERCU SUR LA
TUBERCULOSE
I.2.1. Définition
La tuberculose est une maladie infectieuse transmissible et
non immunisante, avec des signes cliniques variables, qui est provoquée
par une mycobactérie des complexes tuberculoses correspondant à
différents germes et principalement le Mycobactérium
tuberculosis autrement appelé bacille de Koch BK.5(*)
Notons que la tuberculose peut affecter plusieurs organes mais
celle dite PHTISIE ou tuberculose pulmonaire est de loin la plus
fréquente et la plus répandue, mais il existe des atteintes
osseuses (mal de pott, tumeur blanche du genou, rénales, intestinales,
génitales, méningées, cutanées ou autres.
I.2.2. Historique
Avant le XIXème Siècle, la
tuberculose était confondue avec toutes les autres maladies pulmonaires,
mais en 1819, LAENNEL va l'isolée de toute autre infection et en 1839,
le médecin allemand SCHÖNLEINVA réunir en une description
unifiée ses différentes manifestations cliniques et va lui
attribuée le nom qu'elle porte présentement.
C'est en 1865, après avoir prouve sa transmission par
la méthode expérimentale avec les moyens techniques de
l'époque que le docteur Jean-Antoine VILLEMIN a pu affirmer que la
tuberculose était due a un microbe invisible.
Enfin, à la suite des travaux de pasteur, le
médecin Allemand Robert Koch de couvre le bacille en 1882, alors que la
tuberculose était à cette époque la cause d'un
décès sur sept en Europe.
Les bacilles de Koch existaient il y a trois millions
d'années, alors que les estimations précédentes tablaient
sur une apparition dotant seulement de 35000 ans la souche originelle serait
apparue en Afrique de l'est, considérée comme
le berceau de l'humanité. Puis qu'il en est ainsi, on pense que cette
maladie serait aussi veille que l'humanité et son expansion a travers le
monde serait intimement liée à celle de l'homme. Ce serait
l'homme qui aurait tous mis la maladie à ses animaux domestique ou
commerciaux et non l'inverse.
Selon la science, il existe deux lignées
évolutives différentes aux complexes tuberculoses :
- La première m'infectant que l'homo sapiens.
- La seconde, d'origine animale, pouvant infecter l'être
humain, mais affectant surtout les autres mammifères (banvins,
rongeurs,..)
Le complexe actuel est, d'après les scientifiques, le
résultat des différentes migrations humaines hors de
l'Afrique.
I.2.3.
Epidémiologie
Selon l'OMS (2006), le nombre annuel de nouveaux cas dans le
monde incluant les cas de rechute, est d'environ un 5,4 millions pour 2006,
occasionnant environ un million de décès.6(*)
La plupart des nouveau cas estimés à 49% se
situent dans les zones peuplées d'Asie (chine, Bangladesh, Inde,
Indonésie et Pakistan) et en Afrique subsaharienne, mais une
augmentation considérable se laisse remarquer aussi en Europe de l'est
voir même en Russie. Son incidence s'accroît jusqu'à 10%
chez les porteurs du VIH et les utilisateurs de drogues par intraveineuse, et
la malnutrition et les intoxications médicamenteuses sont des causes
reconnues de l'augmentation du nombre de cas.7(*)
Il faut noter que les facteurs de risque qui exposent
facilement à la tuberculose sont la malnutrition,
l'immunodéficience, la toxicomanie intraveineuse, l'absence de domicile
fixe, le contact direct des personnes infectées et même certaines
professions de santé.(DYE C., 2006).
Cette infection touche beaucoup plus les jeunes adultes et les
hommes sont les plus affectés que les femmes. Le taux de la
résistance aux médicaments antituberculeux classiques reste
estimé à 4% c'est-à-dire de très rare, mais peut
atteindre 10% dans certains coins du globe, surtout en Europe de l'est, en cas
d'antécédent de tuberculose. Par contre, la résistance aux
médicaments antituberculeux de seconde ligne reste rare, mais à
risse très forte mortalité dans un délai court. La
tuberculose mérite le qualitatif de maladie sociale et ce pour trois
raisons :
1. Sa fréquence dans une communauté est un bon
indice du degré d'évolution sociale de celle-ci les facteurs
principaux de diminution de la tuberculose sont les conditions de nutrition,
d'habitat, d'hygiène et éducation sanitaire ;
2. La prévention de la tuberculose nécessite,
pour être efficace, un équipement médicale et une
organisation sociale bien développes ; et.
3. Les principales victimes sont des adultes jeunes subissant
une langue invalidité, vu l'évolution lente et la
nécessite d'un traitement efficace
I.2.4. Agent causal
La tuberculose peut être causée par
différents germes :
- Le Mycobactérium tuberculoses
(bacilles de Koch)
- Le Mycobactérium africanum
- Le Mycobactérium canetti.
Le plus fréquent de ces Mycobactérium
est le BK qui a été découvert par Koch en 1882. C'est un
bâtonnet fin à enveloppe cireuse lui permettant de résister
aux sucs digestifs et a la phagocytose. Il est un bacille aérobie qui
conserve sa virulence plusieurs mois dans les crachats à l'ombre, mais
qui meurt par exposition au soleil et à l'ébullition.
Ils se distinguent des autres microbes par sa teneur
très élevée en graisse et son action toxique très
particulière, tandis que l'infection de bacilles, même
tués, détermine des lésions avec abcès, les
extraits microbiens, les filtrats de cultures laissent, insensibles un animal
ou un individu sain, par contre un sujet contaminé, porteur de bacilles
de Koch vivants, même s'il n'est pas malade, réagit violemment
à ces extraits.
I.2.5. Contagion
La tuberculose est une maladie contagieuse due au bacille de
Koch agent infectieux transmis par voie aérienne via des gouttelettes
contaminées par la bactérie en suspension dans l'air provenant
des maladies. Cette transmission peut se faire directement comme
indirectement.
1. Contagion direct :
Elle est très fréquente dans l'entourage du
tuberculeux qui ne prend pas de précaution. Lorsqu'il tousse, le
phtisique asperge ses voisins de bacilles virulents dans un rayon de un
à plusieurs mètres ; la mère tuberculeuse, elle
aussi, peut contaminer sur enfant en l'embrassant.
2. Contagion indirecte
Les crachats virulents très longtemps surtout dans les
endroits sombres humides arrivent à contaminer l'être qui les
touche, et même les mouches s'y contaminent et déposent des
excréments virulents sur les aliments, sur les plaies des
blessés, sur la bouche du bébé.
Il n'est point à exclure les viandes et lait
insuffisamment cuits qui sont dangereux lorsqu'ils proviennent d'animaux
tuberculeux.
I.2.6. Signes cliniques
Les signes les plus courants de la tuberculose sont
synthétisés en trois "temps" :
Ø Toux ;
Ø Transpiration nocturne ; et
Ø Température allant de 38 à
40°C
Hormis ces signes, on dénote l'amaigrissement de 5
à 10 Kg survenant en quelques mois et de l'hémoptysie qui
accompagne une toux déjà expectative.
I.2.7. Diagnostic
Le diagnostic de la tuberculose repose sur l'identification du
germe, soit à l'examen direct d'un échantillon d'exploration au
microscope, soit après mise en culture de ce même
échantillon, même si celle-ci est très longue comme
procédure retardant la conduite à tenir.(PIERSIMONI C., SCARPARO
C., 2003).
La découverte fortuite de la tuberculose peut se
réaliser par l'intradermoréaction autrement appelée
le test manteau qui permet de dépister les
personnes dont l'organisme héberge le bacille de Koch avant les
manifestations cliniques de la maladie en l'absence de la vaccination par le
BCG. Aussi faudra- t- il signaler que
l'interprétation de l'IDR est purement fondée sur la taille de
l'induration et non sur la présence d'un érythème. Ce test
à la Tuberculine (Intradermo-réaction) consiste à injecter
sous la peau une dose de ce dernier et de visualiser la présence ou
l'absence de réaction allergique par la taille de la papule après
48 a 12 heures. Il est cependant peu sensible, surtout chez le patient
immunodéprimé, et peu spécifique.
Hormis toutes les possibilités de diagnostic d'une
tuberculose, on peut recourir aux signes radiologiques afin de poser un
diagnostic avec précision. La radio du thorax, classiquement cette de
l'atteinte des apex extrémité supérieure des poumons avec,
dans une tuberculose évaluée, des cavernes (Cavités dans
les tissus pulmonaires contenant de l'air et de nombreux BK, cette
bactérie étant en effet aérobique) qui ne disparaissent
pas à la guérison, elle se calcifient et produisent des
séquelles radiologiques autrefois appelées « taches au
poumon ».
(MORGAN M., KALANTRI S., FLORES L., PAÏ M., 2005).
I.2.8. Evolution
Les cuti-réactions IDK pratiquées sur
d'importantes collectivités (armée, école, administration)
révèlent la fréquence de la contamination tuberculeuse.
L'homme possède une certaine immunité naturelle qui lui permet de
résister a une contamination légère ou occasionnelle, ce
qui fait que la maladie ne se développe ou ne se déclare
qu'après une contamination massive ou répète ou alors
après rechute.
Aussi, a-t-on été amène à
distinguer deux phases importantes dans l'évaluation de l'infection
tuberculeuse.
1. La primo infection
Le premier contact avec le bacille de Koch passe
généralement inaperçu si la contamination a
été faible ou modérée sur un sujet en bonne
santé. Celle-ci présentera un peu de
fièvre, d'inappétence et de fatigue (attribuées parfois
chez l'enfant a une fièvres de croissance)
Cette primo- infection est décelée par
« virage » de la cuti réaction qui passe de
négative à positive, et dans le cas d'infection par croies
respiratoires.
La radiographie pulmonaire montre une lésion
localisée dite « CHANCRE D'INOCULATION » et
l'hypertrophie des gougions trachéobronchite correspondants.
Si la contamination n'est pas répétée et
si le sujet est dans de bonnes Conditions hygiénique, ces lésions
minimes évoluent spontanément vers la guérison.
Le sujet aura été un tuberculeux qui s'ignore ce
pendant, même à ce stade bénin, lésions et ganglions
peuvent se caséifier jusqu'à la caverne le primo-infecté
peut dans expectorer des bacilles et être un contaminateur temporaire et
méconnu.8(*)
2. Tuberculose Maladie
a) primo - infection grave par contamination massive : si
le sujet « neuf » a subi une contamination massive ou
répétée, les germes virulent sont disséminés
par voie lymphatique et sanguine comme dans la tuberculose
expérimentale. Un ou plusieurs organes sont rapidement, envahis et
tuberculeux, et la maladie risque d'évoluer vers la mort.
b) Réinfections exogène ou endogène
Quelques temps à prés une primo- injection
bénigne et cicatrisée, le sujet peut subir une contamination
sévère qui déborde son un munîtes relative. Cette
réinfection exogène déclenche une tuberculose
évolutive.
Mais souvent, la maladie se déclare chez l'adolescent
ou l'adulte sans que le sujet ait été mis en contact avec un
tuberculeux contagieux. Des fautes d'hygiènes (surmenage) défaut
de sommeil, de nourriture, alcoolisme ont affaibli la résistance de
l'organisme. Les bacilles de koch vivants maintenus jusqu'alors en respect dans
la lésion primitive cavernes cicatrisées, ganglions de primo -
injection / se multiplient et essaiment par vrai sanguine au lymphatique. Il
y a alors une réinjections endogène. Comme dans le cas
précédent, le réveil peut être suivi d'une
évolution plus ou mois rapide vers la mort.
2 .9. Location de la tuberculose
Suivant la localisation, on distingue :
1° La T.B.C pulmonaire ;
2° TBC extra pulmonaire
- la TBC osseuse ;
- la TBC Rénale et vésicale ;
- la TBC ganglionnaire ;
- la TBC méningée ;
- la TBC péritonéale.
a. Tuberculose pulmonaire :
C'est la tuberculose la plus fréquente, plus de 80% des
cas, aussi appelée PHTISIE par allusion au fait qu'à son atteinte
le patient se consume à petit feu. Son évolution vers la mort se
fait en quelque jour d'une manière presque foudroyante lorsque tous les
signes cliniques sont réunis.
b. Tuberculose extra
pulmonaire :
C'est toute la tuberculose qui aurait affecté un autre
organe que les paumons. L'envahissement des autres disséminations
hématogène sur cette liste nous citons :
1° Tuberculose osseuse :
C'est toute la tuberculose peut affecte les tissus osseuse
à quelque endroit que ce soit Généralement on trouve les
spondylodiscites tubercule uses ou mal de pott c à d la tuberculose qui
atteint la colonne vertébrale.
Aussi, la tuberculose peut atteindre les genoux et hier une
tumeur branche, et même les os caverneux et y siège jusqu'
à la caséification qui conduit a près une courte
durée à la distinction ossues. Dans les os elle peut conduire
à un abcès qui s'ouvre à la peau après un trajet
parfois logt et tartreux.
2° Tuberculose ganglionnaire
C'est toute la tuberculose qui atteint les ganglions au sein
d'un même ganglion, plusieurs lésions tuberculeuses peuvent
s'observer :
- la lésion folliculaire à foyer arrondi
formé d'elles géantes et de cellules épitheloïdes
entouré d'une couronne de lymphocytes ;
- la lésion caséofibreuse qui est cette
mécrusse centrale éosinophile anhiste : nécrose
caséeuse carnée par une coque fibreuse ;
- la lésion caséofolliculaire qui est un foyer
centré par une plage de nécrose caséeuse, entourée
par des cellules épitheloïdes, des cellules géantes d'une
avironne de lymphocytes.
3° tuberculose méningée :
C'est la tuberculose qui atteint la méninge au niveau
cérébral pouvant aboutir à une méningite
très grave. Elle survient surtout chez les patients immigrés, les
immunodéprimés, et peut se rencontrer aussi chez les patients
éthyliques chroniques et rencontrer aussi chez les patients
éthyliques chroniques et les personés âgées.
4° tuberculose génitale :
Cette tuberculose est beaucoup plis fréquente chez la
femme avec comme conséquence une aménorrhée et une
infertilité.
5° Tuberculose rénale et
vésicale :
Lorsque les BK atteignent les reins et la vessie ils se
multiplient jusqu'à former des tubercules et des cavernes qui
libèrent dans les urines comme dans le sang une bonne quantité BK
voir même de plus qui injecte le corps tout entier par
dissémination de plus conduit rapidement à la mort. La
tuberculose peut aussi être cutanée faisant suite à une
atteinte osseuse ou d'un organe proche affecté, et
péritonéale ou péricardique, mais dans touts les cas,
c'est une dissémination qui en est à la base
I.2. 10. Traitement :9(*)
Il y 50 ans aucun médicament ne permettait de soigner
la tuberculose mais, aujourd'hui, une association d'antibiotiques est
utilisée pour traiter les tuberculeux, mais le traitement doit
être suivi au minimum six mois vraie jusqu'à 2 ans.
Ce traitement de 6 mois est préconisé pour une
tuberculose pulmonaire à BK sensible chez un patient
immunocompétent, comprenant 2 mois de quadrithérapie
c'est-à-dire « ISONIAZIDE + RIFAMPICINE + PIRILE +
ETHAMBUTOL » puis 4 mois de bithérapie
c'est-à-dire « ISONIAZIDE + RIFAMPICINE ».
Le traitement prolongé est indispensable afin de
guérir la maladie et éviter ainsi l'émergence des souches
résistantes dont l'évolution est sauvent beaucoup plus grave.
Mais ces substances antibiothérapiques n'agissent bien que sur les
lésions jeunes et non sur les lésions anciennes mal
irriguées. Il en résulte que, si leur emploi a fortement
abaissé la mortalité, il n'a pas diminue beaucoup le nombre de
tubercules devenus chroniques C'est pourquoi d'autres traitements peuvent soit
remplacer l'antibiothérapie, soit les compléter, et nous
citons :
§ la chimiothérapie
§ la radiothérapie
§ la chirurgie
Elle permet l'ablation des foyers localisés que n'a pu
cicatriser le traitement médical et qui constituent une menace de
dissémination ultérieure en cas de
« Réveil »
A. LA CURE DE REPOS ET D'HYGIENE :
L'organisme humour se défend bien contre l'injection
tuberculeuse lorsqu'il est placé dans de bonnes conditions
hygiéniques.
Le traitement de la tuberculose consiste essentiellement une
longue cure de repas, de grand air et de bonne alimentation.
§ Cure de repas :
Le repos doit être complet c à d physique,
intellectuel, vocal et moral. Il fait tomber la fièvre, calme le taux et
souvent fait revenir l'appétit.
§ Cure d'air :
L'air pur de la campagne excite les réactions de
l'organicisme et l'effort demandé au poumon pour l'oxygénation
est mois grand.
Pour ce, des sanatoriums aménagés en un lieu
approprié (montagne ou plaine permettent de contribuer rapidement
à la guérison du malade tuberculeux surtout si à ces lieux
préférentiels ils sont soumis à une discipline stricte.
Cure d'alimentation : elle consiste en une alimentation saine et
suffisante. Il n'y a pas de régime spécial pour le tuberculeux,
mais seulement nécessité d'une nourriture variée qui
plaise au malade. On a renoncé à la suralimentation qui fatigue
rapidement le tube digestif et fait plus du mal que de bien.
I.2.11. Prévention
La prévention contre la tuberculose passe par plusieurs
facteurs, à savoir :
1. la Vaccination
En 1921, Albert Calmette et Camille Guérin ont
essayé avec succès le première vaccin contre la TBC qu'ils
vont nommer : BACILLE CALMETTE GUERIN, BCC en signe. La vaccination au BCG
est une primo - injection dirige avec un germe non virulents, fixe, à un
moment choisi ou le sujet en bon état de santé réagit bien
et bénéficiera de l'immunité qui dure plusieurs
années n'est atteinte qui après six semaines, temps pendant la
quel l'enfant doit vivre éloigné de toute personne né que
chez l'adulte, mais ne permet donc pas d'empêcher la transmission de la
maladie et d'enrayer l'épidémie mondiale
2. Le dépistage des bovins porteurs :
Afin de prévenir l transmission du bacille à
l'homme soit par vraie aérienne directement par contact, soit par voie
digestive après ingestion de viande ou de lait insuffisamment Cuit ou
pasteurisée, l'OMS a invité l'ordre de puis 2000 d'assainir tous
les cheptels bovin cette mesure de prévention se base sur la lutte
contre la contagion indirecte.
3. Les mesures
sociales :
La TBC, maladie social, trouve en grande partie sa
prolifération dans l'influence considérables bien comme du tandis
c à d défaut d'aération et D'ensoleillement manque de
propreté accompagnant trop souvent la mauvaise nourriture, le tabagisme
et l'alcoolisme.
Dans une même ville, la TBC frappe sur tous les
quartiers pauvres et surpeuplés et, dans ces quartiers eux-mêmes,
elle respecte les maisons salubres pour injecter surtout les tandis.
Ces mesures préventives contre la TBC poseront
par :
1. L'amélioration du
terrain
Elle sied sur :
Ø Le développement de l'hygiène
individuelle :
§ La vie au grand air ;
§ La culture physique ;
§ La propreté générale ;
§ La nourriture ;
§ Le sommeil suffisant et régulier
§ Eté c...
Ø Les mesures sociales proprement dites :
- Destruction des tandis et îlot insalubres ;
- Création des rues larges, de grands espaces
airés, des cités gardions pour ouvriers ;
- Arrêt du surpeuplement des villes et Constructions des
habitations confortables et salubres ;
- Amélioration des conditions de travail dans certaines
professions, éducation ménagement des mères de famille,
lutte contre l'alcoolisme et tabagisme ;
- Colonies de vacances, pour permettre aux enfants peu
fortunés de passer des temps dons les régions de montagne,
radiologie pour dépister à temps la primo injection afin de
favoriser la prise en charge.
2. Lutte contre la contagion
Elle comprendra toute une série de mesure parmi les
quelles
- Interdiction de cracher à même le sel trains,
les arrêts... (Disposer de mâchoire et objets personnels)
- Désinfection fréquente des locaux publics
- Dépistage dons les collectivités
(école, camp, administration,...) des malades et des
prédisposés.
- Prendre en charge des cas de VIH pour en réduire
l'incidence sur la TBC
MODELE
1.2.12. MODELE CONCEPTUEL
Mesure Préventives Pour La
Tuberculose
Vaccination
Dépistage des bovins porteurs
Assainissement de cheptels bovins
Mesures sociales
Administration du BCG à tous les nouveaux
nés
Développement des mesures d'hygiène
individuelle ;
Destruction des
tandis et îlots insalubres ;
Création des rues larges
Urbanisation de la ville
Accélération des conditions de travail
Education de mères de famille
Lutte contre le tabagisme
Création des colonies de vacances scolaire
Interdiction de cracher sur la voie publique
Prise en charge des VIH/SIDA.
CHAPITRE DEUXIEME : APPROCHE METHODOLOGIQUE
Le contenu de ce deuxième chapitre comprend
essentiellement la présentation de notre milieu d'études entant
qu'entité environnementale, la méthode et techniques
utilisées pour la récolte des données.
2.1. PRESENTATION DU MILIEU
D'ETUDE
2.1.1. Situation géographique de quartier
Ngomba- Kinkusa
Le quartier Ngomba-Kinkusa est situé dans la commune de
NGALIEMA dans la ville de Kinshasa. En effet, la commune de NGALIEMA l'une des
vingt-quatre entités qui composent la province Urbaine de Kinshasa
à une superficie d'environ 38,20 km.
Il est borné :
- Au nord par les quartiers Djelo-Binza et Bumba,
- A l'est par la commune de la Gombe, la commune de Kintambo,
la commune de Bandalungwa et la commune de Selembao.
- Au sud part le camp Badiadingi
- A l'ouest par la commune de Mont-Ngafula
2.2. POPULATION CIBLES ET
ECHANTILLON
2.2.1. Population cible
Selon OMANYONDO OMAMBE (2003), la population cible est
l'ensemble des sujets ou des éléments définis par des
intérêts pré établis pour l'étude ; ils
ont en commun une ou plusieurs caractéristiques.10(*)
Cette population est normalement déjà
identifiée dans la formulation du problème de recherche et il
convient de la décrire de façon plus précise. Notre
enquête concerne la population habitant le quartier Ngomba-Kinkusa dans
la commune de Ngaliema et sa toile remonte à 425.935 habitants
2.2.2. Echantillon
Selon OMANYONDO (op.cit), l'échantillon est un groupe
de sujets tirés d'une population cible, représentatifs de
celle-ci. Le nombre de sujets choisis constitue la taille de
l'échantillon, il peut aussi être obtenu par calcul statistique.
La sélection d'un échantillon est nécessaire étant
donné qu'il est difficile d'aborder toute la population du quartier
Ngomba-Kinkusa, en fonction du temps et en fonction du critère limitatif
d'un travail de fin de cycle.
Le choix de cet échantillons s'est fait dans la
procès duré d'une parcelle sur deux c'est à dire on entre
dans une parcelle, en suite la suivante et ainsi de suite jusqu'à
totaliser 100 habitants dans 100 parcelles qui est la taille de notre
échantillon.
2.3. SITUATION DEMOGRAPHIQUE
Le quartier Ngomba- Kinkusa, cible de notre recherche, compte
12 localités, 9365 parcelles dont 8135 ménages avec une
population de 36556 habitants en 2004. Présentement, ce quartier, suite
aux différentes migrations intercommunales et le taux
de croissance naturelle de la ville de Kinshasa, la population de Ngaliema -
Nkikusa est passée de 36556 à 38330 habitants en avril 2009.
a. Critique d'inclusion
Les habitants qui ont fait partie de notre échantillon
ont répondu aux critères d'inclusion suivants :
- Etre habitant du quartier Ngomba - Kinkusa ;
- Etre logé dans une des parcelles selon notre pas de
sondage ;
- Accepter de collaborer à l'enquête ;
- Avoir répondu à l'interview durant la
période d'enquête.
b. Critère d'inclusion
Il faut que soit exclu de cet échantillon, tout celui qui
ne répond pas à la totalité des critères
d'inclusions ci-haut énoncés.
2.4. METHODE TECHNIQUE ET
INSTRUMENT
2.3.1. Méthode
La méthode est définie, d'après BULU BULU
(2008), comme une démarche rationnelle de l'esprit pour répondre
à une question de recherche ou résoudre un problème.
Dans notre travail, nous avons recouru à la
méthode de d'enquête.
2.3.2. Technique de collectes des
données
Pour recueillir les informations nécessaires pouvant
permettre à atteindre le but de notre travail, nous avons utilisé
la technique d'interview semi-structurée. Cette technique nous a
été bénéfique dans la mesure où nous avons
voulu apprécier le niveau de connaissance de cette population sur les
mesures préventives de la tuberculose.
2.3.3. Instrument
Pour atteindre notre objectif, nous avons
élaboré un questionnaire écrit en français puis
traduit en lingala.
Notre questionnaire vise à déterminer le niveau
de connaissance des habitants du quartier Ngomba-Kinkusa sur les mesures
préventives de la tuberculose.
2.5. PLAN DE DEPOUILLEMENT DES
DONNES :
Le dépouillement de données à
été manuels, la méthode statistique a été
utilisée pour l'élaboration des tableaux.
Le pourcentage est obtenu grâce à la formule
suivant
% = Légende : Fo = Fréquence Obtenu
FA = Fréquence Attendu
% = Pourcentage
2.5. CRITERE D'ACCEPTABILITE
Pour donner insensés à notre étude et
nous permettre de tirer une conclusion faibles, nous disons que les habitants
du quartier Ngomba-Kinkusa possèdent des connaissances sur les mesures
préventives de la tuberculose si la note est de 70% au moins.
CHAPITRE III : PRESENTATION, ANALYSE ET
INTERPRESANTION DES DONNEES
Dans ce chapitre, nous présentons les
différentes données dans les tableaux avec une analyse
statistique pour chaque tableau.
3.1. IDENTIFICATION DES
ENQUETES
TABLEAU N°I : Répartition des
enquêtés selon le niveau d'étude
N°
|
Niveau d'étude
|
Fo
|
%
|
1
|
Analphabète
|
0
|
0
|
2
|
Primaire
|
3
|
3
|
3
|
Secondaire
|
15
|
15
|
4
|
Universitaire
|
82
|
82
|
Total
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau nous montre
que :
- 82 enquêtés, soit 82% ont un niveau
universitaire ;
- 15 enquêtés, soit 15% ont un niveau
secondaire ;
- 3 enquêtés, soit 3% ont un niveau
primaire ;
- aucun enquêté n'est analphabète.
TABLEAU n°2 : Répartition des
enquêtés selon l'âge
N°
|
Tranche d'âge
|
Fo
|
%
|
1
|
10-20
|
15
|
15
|
2
|
21-30
|
65
|
65
|
3
|
31-40
|
12
|
12
|
4
|
41-50
|
3
|
3
|
5
|
51 au plus
|
5
|
5
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : nous constatons que :
- 65 enquêtés, soit 65 % ont l'âge qui
varie entre 21-30 ans ;
- 15 enquêtés, soit 75% ont l'âge qui varie
10-20 ans ;
- 12 enquêtés, soit 12% ont l'âge qui varie
entre 31-40 ans ;
- 5 enquêtés, soit 5% ont l'âge qui va de
51 ans à plus ;
- 3 enquêtés soit 3% ont l'âge qui varie
entre 41-50 ans.
TABLEAU N°3 : Répartition des
enquêtes selon le sexe
N°
|
Sexe
|
Fo
|
%
|
1
|
Masculin
|
69
|
69
|
2
|
Féminin
|
31
|
31
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre
que :
- 69 enquêtés, soit 69% sont de sexe
masculin ;
- 31 enquêtés, soit 31% sont de sexe
féminin.
TABLEAU N°4 : Répartition des
enquêtes selon l'état professionnel
N°
|
ETAT PROFESSIONNEL
|
Fo
|
%
|
1
|
Sans emploi
|
73
|
73
|
2
|
Avec emploi
|
27
|
27
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre
que :
- 73 enquêtés, soit 73% sont sans emploi alors
que 27 enquêtés, soit 27% ont un emploi.
3.2. QUESTIONS RELATIVES A
LA MALADIE
TABLEAU N°5 : Répartition des
enquêtés selon la connaissance de la maladie dite
tuberculose.
N°
|
Connaissance de la tuberculose
|
Fo
|
%
|
1
|
Connaissent la TBC
|
100
|
100
|
2
|
Ne connaissent pas la TBC
|
0
|
0
|
Total
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre que tous les
enquêtés, soit 100% connaissent bien l'existence d'une maladie
dénommée tuberculose.
TABLEAU N°6 : Répartition des
enquêtés selon la connaissance de la nature de la maladie dite
tuberculose :
N°
|
Connaissance de la nature de la tuberculose
|
Fo
|
%
|
1
|
Aérobique
|
48
|
48
|
2
|
Microbienne
|
45
|
45
|
3
|
Parasitaire
|
3
|
3
|
4
|
Je ne sais pas
|
2
|
2
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre
que :
- 48 enquêtés, soit 48% pensent que la
tuberculose est d'origine aérobique ;
- 45 enquêtés, soit 45% estiment que la
tuberculose est d'origine microbienne ;
- 3 enquêtés, soit 45% estiment que la
tuberculose est d'origine parasitaire ;
- 2 enquêtés, soit 2% ne connaissent point
l'origine de la tuberculose.
TABLEAU N°8. Répartition des
enquêtés selon la connaissance du microbe de la
tuberculose :
N°
|
Connaissance du microbe de la Tuberculose
|
Fo
|
%
|
1
|
Bacille de Koch
|
72
|
72
|
2
|
Staphylocoque
|
5
|
5
|
3
|
Streptocoque
|
3
|
3
|
4
|
Trophozoïde
|
3
|
3
|
5
|
Je ne sais pas
|
17
|
17
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau
révèle que :
- 72 enquêtés, soit 72% affirment que le batelle
de Kock est responsable de la tuberculose ;
- 17 enquêtés, soit 17% ne connaissant pas le
microbe responsable de la tuberculose ;
- 5 enquêtés, soit 5% estiment que le
staphylocoque est le microbe responsable de la tuberculose ;
- 3 enquêtés, soit 3% pensent que le streptocoque
est le microbe responsable de la tuberculose ; et
- 3 enquêtés, soit 3% présument que c'est
le trophozoïde qui est responsable de la tuberculose
TABLEAU N°9. Répartition des
enquêtes selon la connaissance de l'organe siège de la
tuberculose.
N°
|
Connaissance de l'organe de siège de la
TBC
|
Fo
|
%
|
1
|
Coeur
|
4
|
4
|
2
|
Cerveau
|
0
|
0
|
3
|
Poumon
|
96
|
96
|
4
|
Rein
|
0
|
0
|
5
|
Je ne sais pas
|
0
|
0
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau nous montre que
presque tous les enquêtés, soit 90% connaissent que les poumons
est le siège primaire et principale de la tuberculose soit du bacille de
Koch, responsable de la tuberculose.
TABLEAU n°9. Répartition des
enquêtes selon la connaissance des symptômes de la TBC
N°
|
Quels sont les symptômes de la TBC
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
Fo
|
%
|
Fo
|
%
|
1
|
Fièvres
|
12
|
12
|
88
|
88
|
100
|
2
|
Frisson
|
0
|
0
|
100
|
100
|
100
|
3
|
Sieur nocturne
|
9
|
9
|
91
|
91
|
100
|
4
|
Taux
|
98
|
98
|
2
|
2
|
100
|
5
|
Je ne sais pas
|
1
|
1
|
99
|
99
|
100
|
TOTAL
|
120
|
24
|
380
|
76
|
500
|
Analyse : ce tableau indique que 76
enquêtés, soit 76% connaissent les symptômes de la
tuberculose alors que 24% seulement les ignorent.
TABLEAU n° 10 : Répartition
des enquêtes selon la connaissance sur la guérison de la
tuberculose.
N°
|
Connaissance sur la guérison de la
TBC
|
Fo
|
%
|
1
|
La TBC se guérit
|
92
|
98
|
2
|
La TBC ne se guérit pas
|
2
|
2
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre que 98
enquêtés, soit 98% souvent que la tuberculose est une maladie qui
peut être guérie, alors que 2% seulement n'estiment pas possible
qu'elle se guérisse.
III.3. QUESTION SUR LES MESURES
PREVENTIVES :
TABLEAU N° 11 :
Répartition des enquêtés selon la connaissance de
l'existence des mesures préventives contre la tuberculose.
N°
|
Connaissance de l'existence des mesures
préventives contre la tuberculose
|
Fo
|
%
|
1
|
OUI
|
81
|
81
|
2
|
NON
|
19
|
19
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre que 81
enquêtés, soit 81% connaissent qu'il existe des mesures
préventives contre la tuberculose, tandis que 19% ignorent l'existence
de ces mesures.
TABLEAU N 12 :
Répartition des enquêtes selon la connaissance de
l'existence d'un vaccin contre la TBC
N°
|
Connaissance de l'existence d'un vaccin contre la
TBC
|
Fo
|
%
|
1
|
Existence d'un vaccin
|
77
|
77
|
2
|
Inexistence d'un vaccin
|
23
|
23
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre que 77
enquêtés, soit 77% connaissent l'existence d'un vaccin contre la
tuberculose alors 23% ne le savent pas.
TABLEAU N°13 : Répartition
des enquêtes selon la connaissance du nom de vaccin contre la TBC
N°
|
Connaissance du nom de vaccin contre la TBC
|
Fo
|
%
|
1
|
BCD
|
45
|
45
|
2
|
DTCOQ
|
29
|
29
|
3
|
VAT
|
26
|
26
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montres que :
- 45 enquêtés, soit 45% connaissent que la BCG
est le vaccin immunise contre la tuberculose alors que 55
enquêtés, soit 55% ne connaissent pas son vaccin : 29%
prétendent que c'est le DTcoq et 26% disent que c'est le VAT.
TABLEAU n°14 :
Répartition des enquêtes selon le fait de porter un nouveau-
né juste après sa naissance.
N°
|
Connaissance sur la pratique de porter un
nouveau-né après la naissance sans qu'il n'ai reçu son
premier vaccin
|
Fo
|
%
|
1
|
Approuve cette pratique
|
47
|
47
|
2
|
Ne l'approuve pas
|
53
|
53
|
TOTAL
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre
que :
53 enquêtés, soit 53% n'approuvent pas cette
pratique de porter un nouveau - né sons qu'il ne soit vacciné
alors que 47% l'approuvent.
TABLEAU n° 15.
Répartition des enquêtés selon la connaissance de
l'assainissement des bovins.
N°
|
Connaissance de l'assainissement des cheptels des
bovins comme mesure préventive de la TBC
|
Fo
|
%
|
1
|
Oui
|
56
|
56
|
2
|
Non
|
44
|
44
|
Total
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre que 56
enquêtés, soit 56% savent que l'assainissement des cheptels des
bovins est une mesure préventive de la TBC, alors que 44% ne les savent
pas.
TABLEAU n°16. Répartition
des enquêtés sur la connaissance des mesures d'hygiène
individuelles contre la TBC.
N°
|
Connaissance des mesures d'hygiène
individuelle
|
Oui
|
Non
|
Total
|
Fo
|
%
|
Fo
|
%
|
1
|
La vie au grand air
|
46
|
46
|
54
|
54
|
100
|
2
|
La culture physique
|
51
|
51
|
49
|
49
|
100
|
3
|
Propreté générale
|
79
|
79
|
21
|
21
|
100
|
4
|
La nourriture saine
|
71
|
71
|
29
|
29
|
100
|
5
|
Les sommeils suffisants
|
44
|
44
|
56
|
56
|
100
|
Total
|
291
|
58
|
209
|
42
|
100
|
Analyse : ce tableau montre que 58% des
enquêtés connaissent les mesures d'hygiène individuelle
pour se protéger contre la tuberculose.
TABLEAU N° 17,
Répartition des enquêtes selon la connaissance des mesures de
salubrité sociale pour lute contre la TBC
N°
|
Connaissance des mesures de salubrité sociale
contre la TBC
|
Fo
|
%
|
1
|
Oui
|
87
|
87
|
2
|
Non
|
13
|
13
|
Total
|
100
|
100
|
Analyse : ce tableau montre
que :
- 87 enquêtés, soit 87% cannaient l'existence des
mesures de salubrité sociale contre la tuberculose ;
- 13 enquêtés, soit 13% ne connaissent pas qu'il
existe des mesures de salubrité sociale contre la tuberculose.
TABLEAU N° 18 :
Répartition des enquêtés selon la connaissance des mesures
sociales.
N°
|
Connaissance des mesures sociales contre la
TBCtuberculose (choisir)
|
Oui
|
Non
|
Total
|
Fo
|
%
|
Fo
|
%
|
1
|
Réaction des rues larges
|
38
|
38
|
62
|
62
|
100
|
2
|
Développement des mesures d'hygiène
individuelle
|
81
|
81
|
19
|
19
|
100
|
3
|
Création de collines de vacances scolaires
|
27
|
27
|
73
|
73
|
100
|
4
|
Prise en charge de PVV/ SIDA
|
39
|
39
|
61
|
61
|
100
|
5
|
Interdiction de cracher sur la voie publique
|
87
|
87
|
13
|
13
|
100
|
6
|
Lutte contre le tabagisme
|
86
|
86
|
14
|
14
|
100
|
7
|
Construction d'habits confortables
|
53
|
53
|
47
|
47
|
100
|
8
|
Destruction de taudis et îlots insalubres.
|
57
|
57
|
43
|
43
|
100
|
Total
|
468
|
58
|
332
|
42
|
800
|
Analyse : ce tableau montre que 58% des
enquêtés connaissent les mesures sociales à appliquer pour
la tuberculose alors que 42% ne les connaissent pas.
III. Interprétations :
3.4.1 Caractéristiques des
enquêtés
- 82% ont un niveau universitaire ; aucun
enquêté n'est analphabète.
- 65 % ont l'âge qui varie entre 21-30 ans ;
- 69% sont de sexe masculin et 31% du sexe
féminin ;
- 73% sont sans emploi alors que 27% ont un emploi.
3.4.2. Connaissance de la maladie
L'étude menée sur la connaissance da la maladie
dite tuberculose et celle menée sur les symptômes se contredisent,
pouvant que la connaissance de la TBC comme maladie n'est que superficielle car
plus de ¾ méconnaissent les symptômes de cette mortelle
maladie.
3.4.3. Connaissance des mesures préventives
contre la TBC
Notre étude a montré que 81% des
enquêtés connaissent qu'il existe des mesures préventives
mais seuls 58% sont capables de les énumérer.
Notre critère d'acceptabilité était
fixé à supérieure ou égale à 70%, nous
pouvons dire que notre critère a été satisfait à
moitié car 81% de nos enquêtés connaissent les mesures
préventives de la TBC, mais seulement 58% savent les
énumérer correctement. Il ne suffit pas de connaître ces
mesures pour être en mesure de se protéger efficacement contre la
maladie.
CONCLUSION
Au terme de notre travail qui a pour titre
« Niveau de connaissance de la
population du quartier Ngomba-Kinkusa sur les mesures préventives
de la tuberculose »,
Le but de ce travail était d'évaluer les
connaissances de la population de ce quartier sur les mesures
préventives de la tuberculose. Nous avons utilisé la
méthode d'enquête par questionnaire adressé aux habitants
de ce quartier qui constituait notre terrain d'étude. Les données
obtenues ont été dépouillées et nous sommes
arrivé aux résultats suivants :
Nos enquêtés, quoi que majoritairement
universitaire ne connaissent les masures préventives de la tuberculose
mais très peu sont capables de les énumérer. Ces
résultats n'ont pas satisfait totalement à notre critère
d'acceptabilité fixé à supérieur ou égal
à 70%.
. Ce qui nous conduit à déclarer qu'ils
méconnaissent les mesures préventives pour luter efficacement
contre cette maladie qui jusque là continue à ravager la
population congolaise.
SUGGESTIONS
Nous suggérons à tous les organes de
santé publique d'organiser des compagnes de
sensibilisation afin d'informer la population congolaise en
général, et en particulier les habitants de lu quartier
Ngomba-Kinkusa sur les mesures préventives contre la tuberculose.
Au gouvernement, d'appuyer le secteur de la santé afin
d'ôter l'ignorance dans le chef des congolais en général,
et des kinois en particulier en ce qui concerne les maladies qui sont sous
d'autres cieux, soit maîtrisées soit éradiquées.
BIBLIOGRAPHIE
A. DICTIONNAIRES :
1. RENOU & MAULDE Dictionnaire de notre temps, ,
éd.01, 1988, 1741 Pages
2. Dictionnaire LAROUSSE COMPACT 2002, 2112 Pages
3. Dictionnaire de la langue Française PETIT ROBERT 1,
1984.
4. Encyclopédie Microsoft Encarta®2009
5. Robert LAFFONT & Dominique FREMY Encyclopédie,
éd.1996, 4781 Pages
B. OUVRAGES :
1. DYE C., Global Epidemiology of Tuberculosis, éd.
Lancet, USA, 2006
2. MURRAY JF., Tuberculose et Infection à VIH,
éd. Global Perspectif, 2006
3. OLIVIER NEIFROLLES, La TUBERCULOSE, éd. Institut
Pasteur, 1987
4. RAFFIN J. & ORIA M., Microbiologie et
Hygiène, éd. Hatier, Paris , 1964
5. RIEDER H., Comment Combattre la Tuberculose en 2000,
éd. Respiration,, 1998
6. ROBERT J. & JARLIER, Tuberculose Multiresistante,
éd. Labo de Bactériologie et d'hygiène, Paris, 1999
C. NOTES INEDITES :
1. BULU BULU : Cours d'initiation à la Recherche, UPN,
2008
2. OMANYONDO : Cours d'initiation à la Recherche, ISTM,
2003.
D. SITES:
1. http// :
www.who.org
2. http// :
www.wikipedia.org
ANNEXES
QUESTIONS D'ENQUETE AU QUARTIER NGOMBA
KINKUSA
1. IDENTIFICATION
- Niveau d'étude
- Age
- Sexe
- Profession
2. QUESTIONS RELATIVES A LA MALADIE
2.1. Connaissez-vous la maladie appelée «
tuberculose » ?
Oui
Non
2.2. La tuberculose est-elle une maladie ?
- Microbienne
- Aérobic
- Parasitaire
- Je ne sais pas
2.3. Quel est le microbe de la tuberculose ?
- Staphylocoque
- Trophozoide
- Streptocoque
- Bacille de koch
2.4. Quel est l'organe de siège de la tuberculose
- Coeur
- Poumon
- Cerveau
- Rein
- Je ne sais pas
2.5. Quels sont les symptômes de la tuberculose ?
- Taux
- Fièvre
- Sueur nocturne
- Frisson
- Je ne sais pas
2.6. La tuberculose peut elle guérie ?
Oui
Non
3. QUESTIONS SUR LES MESURES
PREVENTIVES :
3.1. Connaissez-vous les mesures de prévention contre la
TBC ?
Oui
Non
3.2. Existe-t-il un vaccin contre la TBC
Oui
Non
3.3. Comment appelle-t-on ce vaccin ?
- DTCoq
- BCG
- VAT
3.4. Est il permit de porter un nouveau- né juste
après sa naissance ?
Oui
Non
3.5. Est-il important d'assainir les cheptels des
bovins ?
Oui
Non
3.6. Connaissez-vous ces mesures d'hygiène individuelle
pour se protéger contre la TBC ? (Répondez par Oui ou Non
parmi les réponses proposées)
- LA VIE AU GRANAIR
R/......................................
- LA CULTURE PHYSIQUE R/ ...................................
- PROPRETE GENERALE R/...................................
- LA NOURRITURE SAINE R/...................................
- LE SOMMEIL SUFFISANT R/.................................
3.8. Existe-t-il des mesures de salubrité sociale pour
lutter contre la TBC ?
Oui
Non
3.9. Parmi les mesures sociales suivantes, lesquelles peuvent
être appliquées pour la TBC ? (Répondez par Oui ou
Non)
- Création des rues larges
R/......................
- développement de mesure d'hygiène individuelle
R/......................
- Création des collines des vacances scolaires
R/......................
- Prise en charge de VIH/SIDA
R/......................
- Interdiction de cracher sur la voie publique
R/.......................
- Lutte contre le tabagisme
R/.......................
- Construction des habitats confortables
R/......................
- Destruction de taudis et îlots insalubres
R/........................
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE
..............................................................i
DEDICACE
..............................................................ii
REMERCIEMENT
..............................................................iii
INTRODUCTION
.............................................................1
0.1. Problématique
.............................................................1
0.2. Question de recherche
.............................................................2
0.3. Hypothèse
.............................................................3
0.4. But et objectifs
.............................................................3
0.5. Intérêt du sujet
.............................................................3
0.6. Domaine de la recherche
..............................................................4
0.7. Subdivision du travail
CHAPITRE I : REVUE DE LA LITTERATURE
.........................5
I.1. DEFINITION DES CONCEPTS .........................5
1.1.1. Niveau ........................5
1.1.2. Connaissance
........................5
1.2.3. Population ........................5
1.1.4. Quartier ........................5
1.1.5. Mesures préventives
........................6
1.1.6. Tuberculose ........................6
I.2. APERCU SUR LA TUBERCULOSE
........................6
I.2.1. Définition
................................6
I.2.2. Historique ........................7
I.2.3. Epidémiologie
................................8
I.2.4. Agent causal ........................9
I.2.5. Contagion ........................10
I.2.6. Signes cliniques
........................10
I.2.7. Diagnostic ........................11
I.2.8. Evolution ........................11
I.2 .9. Location de la tuberculose
........................14
I.2.10. Traitement
...............................16
I.2.11. Prévention
........................18
1.2.12. Modèle conceptuel
........................21
CHAPITRE DEUXIEME : APPROCHE METHODOLOGIQUE
.............22
2.1. PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDE .............22
2.1.1. Situation géographique des quartiers Ngomba
Kinkusa .............22
2.2. POPULATION ET ECHANTILLON .............22
2.2.1. Population Cible .............22
2.2.2. Echantillon .............23
2.3. SITUATION DEMOGRAPHIQUE .............23
2.4. METHODE TECHNIQUE ET INSTRUMENT .............24
2.3.1. Méthode
.............24
2.3.2. Technique de collectes des données
.................24
2.3.3. Instrument
.............24
2.5. PLAN DE DEPOUILLEMENT DES DONNES .............25
2.5. CRITERE D'ACCEPTABILITE .............25
CHAPITRE III : PRESENTATION, ANALYSE ET
INTERPRESANTION DES DONNEES .............26
3.1. IDENTIFICATION DES ENQUETES
.............26
3.2. QUESTION RELATIVES A LA MALADIE
.............29
3.3. QUESTION SUR LES MESURES PREVENTIVES CONTRE
.............33
3.4. INTERPRETATIONS .............39
CONCLUSION
.........................................................41
SUGGESTIONS
.........................................................42
BIBLIOGRAPHIE
.........................................................43
ANNEXE
.........................................................44
TABLE DES MATIERES
.........................................................48
* 1 www.who.org
* 2 OLIVIER NEIFROLLES, Institut
Pasteur, 2006.
* 3 Dictionnaire Larousse
COMPACT, 2002, Pg 1113.
* 4 Dictionnaire de notre temps,
RENOU & MAULDE, éd.1, 1988, Pg 1243.
* 5 http//: www.wikipedia.org
* 6 http//: www.who.org
* 7 MURRAY JF., Tuberculose et
infection à VIH, Ed. Perspective Globale, 1990, pp. 210-220
* 8 ORIA M. & RAFFIN J.,
Microbiologie et Hygiène, éd. HATIER, 1964, Paris, pp.377-402
* 9 RIEDER R., Comment Combattre
la Tuberculose en 2000, Ed. Respiration, 1998, Pg 423
* 10 OMANYONDO O., Note de
cours d'Initiation à la Recherche, ISTM, 2008.
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