1.2.2. Objectifs spécifiques de l'étude
L'objectif général de cette étude sera
atteint à l'aide des objectifs spécifiques suivants :
o Analyser la méthode de construction d'un indicateur de
développement humain régional
o Identifier les sources de données disponibles pour une
telle démarche.
o Proposer une méthodologie de suivi et évaluation
des indicateurs régionaux
1.3. Hypothèses de travail
Hypothèse 1 : le PIB se répartie sur le
territoire national proportionnellement à celle du revenu des
ménages
Hypothèse 2 : Les structures économiques
et démographiques ne changent pas grandement avec les années.
Hypothèse 3 : Les effectifs au
supérieur se répartissent sur le territoire national par
départements proportionnellement aux effectifs des admis au
baccalauréat sur les six dernières années qui
précèdent l'année de référence pour laquelle
l'on fait les calculs
1.4. Méthodologie de l'étude
Le déroulement de l'étude se fera en quatre grandes
phases présentées ci-dessous.
Phase 1 : la recherche documentaire
Cette étape permettra de faire un état des lieux
des informations disponibles sur le sujet afin de constituer une revue de
littérature. Elle s'appuiera sur la consultation des acquis en
matière de développement humain notamment les rapports nationaux
sur le développement humain et sur la recherche par Internet.
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
Phase 2 : l'Analyse des données
documentaires
L'analyse des différents documents permettra de
diagnostiquer un premier niveau de faisabilité de la construction des
indicateurs régionaux. Elle portera sur deux aspects :
o Les éléments méthodologiques de calcul des
indicateurs
o Les données à utiliser, les sources et leurs
disponibilités
Phase 3 : les missions d'enquête sur le
terrain.
Cette étape permettra de finaliser, de valider le choix
des méthodes, des critères et de calculer les indices
dimensionnels. Elle se fera au moyen d'entretiens avec les personnes ressources
de certaines structures de productions et de centralisations des statistiques
telles que l'INS, etc.
Phase 4 : Analyse des données
collectées
L'analyse de données collectées permettra
d'apprécier définitivement la faisabilité technique et
opérationnelle de la construction des indicateurs de
développement humain régionaux (IDHR).
1.5. Revue de littérature
flu concept du « PIB » à celui du
« développement humain »
Le produit intérieur brut (PIB), agrégat
macroéconomique fourni par la comptabilité nationale, mesure le
résultat final de l'activité économique de l'ensemble des
unités productives. Le PIB permet dès lors de mesurer «
La valeur monétaire de l'ensemble des biens et services nouvellement
produits (et recensés) par la nation au cours d'une année
»2 et c'est habituellement par le calcul de son taux de
croissance que l'on mesure l'augmentation de la richesse d'une
société. La représentation de la richesse est alors
principalement physique, matérielle.
Si Malthus pose clairement la question quant aux richesses que
peuvent représenter les découvertes scientifiques ou autres, il
élude la réponse en prétextant que la prise en
considération de ce genre de facteurs ne permettrait pas d'obtenir un
système cohérent. Ce
2 VAN DEN BERGHE S. et DE VILLERS J. (2001),
Comptes nationaux environnementaux. Outil d'une politique de
développement durable, Bureau fédéral du Plan,
Septembre 2001, p. 7
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
raisonnement peut s'expliquer par le faible niveau de
développement de la science économique à cette
époque et par la nécessité de subvenir aux besoins de
base.
Cependant, ce type d'argument est beaucoup moins acceptable
aujourd'hui : les développement récents de la science
économique, les changements économiques, environnementaux et
sociaux actuels, ainsi que les nouveaux débats philosophiques quant
à la finalité de notre système ont permis un jugement
critique quant à la conception de richesse retenue par la
comptabilité nationale et quant à l'utilisation de son
agrégat macroéconomique le plus utilisé, à savoir
le Produit Intérieur Brut, pour juger l'état de bien être
d'une société.
Le rapport de l'OCDE (1996) montre bien cette divergence entre
croissance économique (croissance du PIB) et bien-être : La mesure
de la croissance économique est telle que le PIB peut croître
conjointement avec des tendances sociales indésirables (telles que le
chômage, la délinquance, l'exclusion sociale...) et la croissance
ne peut être soutenue à long terme avec la persistance de ces
derniers.
MERLANT et al. (2003) ont largement mis en évidence les
effets pervers engendrés par cette conception limitée de la
richesse :
« De la vache folle à l'Erika, de la
tempête de décembre 1999 aux accidents de la route ou à
l'explosion de l'usine AZF à Toulouse : Toutes ces catastrophes sont des
bénédictions pour notre produit intérieur brut ! Les
centaines de milliards de francs qu'elles coûtent à la
collectivité ne sont pas comptabilisées comme des destructions,
mais comme des créations de richesse : dès lors qu'il faut payer
des garagistes pour réparer les voitures endommagées, des
cimentiers pour brûler les farines animales ou des médecins pour
soigner les victimes de la pollution, des valeurs ajoutées
monétaires sont enregistrées dans les comptes. Ce qui contribue
à gonfler le PIB »
Ces divers exemples nous incitent à considérer
que certaines créations de richesses devraient plutôt être
apparentées à des destructions de richesses car elles sont la
conséquence de catastrophe écologiques, humaines ou sociales. La
comptabilité nationale prend donc comme richesse ce qui détruit
le bien-être ; elle ne prend pas en compte le patrimoine de départ
tel que le capital humain, naturel ou social ; et elle comptabilise certaines
dépenses qui devraient plutôt être considérées
comme investissement (éducation, formation, santé...).
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
De tout ce qui précèdent, il apparaît que
le PIB ne permet pas de rendre compte totalement de l'état de
bien-être d'une société et de sa viabilité dans le
long terme. Or la connaissance de cet état parait essentielle dans la
mesure où non seulement le développement humain est un objectif
primordial dans une société démocratique mais
également parce que croissance économique et développement
durable sont largement tributaires l'un de l'autre : des développements
humains seront possibles à court terme mais ne seront pas soutenables
sans croissance future ; inversement, la croissance économique ne sera
réalisable sans développement humain. Pour les Nations
Unies3, il s'agit en effet d'un cercle vertueux qui tend à se
renforcer.
Face à cette incapacité du PIB à mesurer
le niveau de bien-être des sociétés, des indicateurs
alternatifs sont introduits au début des années soixante dix. De
nombreuses publications voient le jour et le champ des indicateurs sociaux est
accepté dans les domaines académique, social et politique.
Au niveau statistique, ce mouvement d'indicateurs alternatifs
se caractérise notamment par le développement de statistiques
sociales officielles et par le développement d'enquêtes,
principalement réalisées dans le secteur
privé4. Mais c'est la naissance d'indicateurs alternatifs
synthétiques et de systèmes d'indicateurs qui remporte le plus de
succès. Ainsi du côté des système d'indicateurs,
apparaissent par exemple le « Programme of Work on Social Indicators
» de l'OCDE en 1973, particulièrement influent pendant plus de dix
ans, les Indicateurs sociaux de Jacques Delors en 1971 ou les données
sociales de l'INSEE en 1973. Du côté des indicateurs
synthétiques, c'est probablement l'indicateur créé par
Nordhaus et Tobin en 1973, le Measure of Economic Welfare, qui constitue l'une
des premières tentatives de construction d'un indicateur
synthétique
Malgré ce grand engouement, l'intérêt
porté aux indicateurs stagne, voire décroît vers la fin des
années soixante dix. La crise économique due aux chocs
pétroliers de 1974 et 1979 joue un rôle important dans cet
état de fait : la croissance redevient plus que nécessaire pour
résoudre les problèmes économiques et les discussions
quant à la pertinence du PIB dans l'évaluation du bien-être
de la société désuètes.
3 PROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DEVELOPPEMENT
(1996), Human develpment report 1996 : Economic Growth and Human
Development, Oxford : Oxford University Press
4 Les premières enquêtes
générales sur les ménages sont nées en Suède
en 1968 et aux Etats-Unis en 1971. La première innovation à cet
égard fut l'extension vers des séries chronologiques par
réplication, année par année, de ces enquête (ZAPF,
1998).
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
Milieu des années quatre-vingt, le mouvement des
indicateurs alternatifs et des théories qui y sont attachées
semble refaire surface. La question environnementale s'est ajoutée. Cet
intérêt s'observe tout d'abord par la grande expansion des
systèmes d'indicateurs sociaux au niveau des ministères, des
agences de planification ou des bureaux de statistiques. Par la suite, c'est au
sein des grandes institutions supranationales, telles le PNUD, l'OCDE, Eurostat
ou la Banque Mondiale, que ce renouveau social va prendre essor. C'est ainsi
que naît par exemple en 1990 l'Indice de Développement Humain
développé par le PNUD.
Les indicateurs alternatifs sont dépendants de la
conception que se sont faite leurs créateurs de la notion de
bien-être. Cette conception va se refléter dans le choix des
composantes du bien-être qui seront prises en considération. En
effet, le bien-être est un concept multidimensionnel et il ne sera pas
possible de prendre tous les éléments en compte. Il a
été important par conséquent de définir un cadre
conceptuel permettant de préciser les aspects du bien-être mis en
évidence.
L'un des premiers concepts de bien-être fut celui du
développement humain développé par Sen et par le PNUD fin
des années quatre-vingt. Pour SEN (1989), le bien-être
dépend non seulement du fait d'avoir des biens mais également de
la manière de les utiliser : améliorer son bien-être
nécessite de pouvoir augmenter ses capacités à mieux
fonctionner dans divers domaines. Il faut donc non seulement avoir accès
à un certain nombre de fonctionnalités ( à savoir les
modes de vie et les pratiques sociales déterminant l'usage des biens et
leur conférant une certaine utilité) mais également
pouvoir développer ses propres potentialités (à savoir les
capacités des individus à atteindre les buts qu'ils se sont
fixés).Sen critique en ce sens les visions qui ne définissent le
bien-être qu'en fonction d'un ensemble de biens même si la gamme
couverte est relativement large.5. Sen veut tenir compte de
l'interaction entre les individus et les ressources auxquelles ils ont
accès.
D'autres auteurs partagent alors la vision de Sen. C'est le cas
de GRIFFIN et al. (1992). Selon ces auteurs, l'objectif du développement
n'est pas de produire plus mais plutôt
5 C'est ainsi qu'il critique par exemple la vision de
Rawls pour qu'il existe deux types de biens premiers nécessaires au
bien-être individuel : les biens premiers naturels (santé et
talents) et les biens sociaux (tels que les liberté de base, revenu et
richesse...). Pour Rawls, une société juste est une
société qui assure une répartition équitable des
biens premiers sociaux en tenant compte du fait que les personnes ne sont
égales en bien premiers naturels. VOIR PERRET (2002).
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
d'augmenter les possibilités des gens de mener des vies
pleines, satisfaisantes et productives. L'accroissement des ressources
matérielles permet bien entendu d'augmenter ces possibilités mais
l'augmentation de l'output doit être vu pour ce qu'il est,
c'est-à-dire un bien intermédiaire qui, sous certaines
conditions, permet d'améliorer le bien être6.
C'est de ces différents constats qu'est née le
concept de développement humain. Si ce concept est largement connu
à l'heure actuelle, c'est au PNUD qu'elle doit sa
notoriété. En effet, le PNUD réalise en 1990 le premier
rapport annuel sur le développement humain et le premier chapitre de ce
rapport débute par les termes suivants : << People are the
real wealth of a nation. The basic objective of development is to create an
enabling environment for people to enjoy long, healthy and creative lives
>>. Le développement humain est ainsi un processus
d'élargissement des choix et les trois facteurs jouant un rôle
primordial sont dans ce cas : une longue vie en bonne santé, un bon
niveau d'éducation et un niveau de vie décent. En effet, ils
déterminent tous les trois fortement le panorama d'opportunités
et de choix disponibles. Par suite, d'autres facteurs permettant
également d'élargir ces opportunités de choix ont
été pris en considération dans les différents
rapports annuels qui ont suivi. En 1992, c'est le concept de durabilité
qui est mis en évidence, couvrant les notions d'égalité
pour tous et d'équité intergénérationnelle. En
1993, le PNUD avance le concept de << participation >> : les
individus doivent pouvoir participer aux activités politiques,
économiques et sociales et aux décisions qui les touchent. En
1995, c'est la question de l'égalité des genres qui est
entrée en ligne de compte. C'est dans ce contexte
d'égalité des genres que les indicateurs ISDH et IPF sont
publiés. Les rapports mondiaux seront toujours publiés de 1996
à 2005. Tous ces rapports traitent du développement humain dans
toutes ses diversités7.
6Le développement humain ne renie donc pas
l'importance de la croissance économique et de l'accumulation des
richesses pour le bien-être de la société. Par contre, il
affirme que la croissance économique est une condition nécessaire
mai suffisante.
7 RMDH 1990 : Définition et mesure du
développement humain (1ère édition)
RMDH 1991 : Financement du développement humain
RMDH 1992 : Aspects mondiaux du développement humain
RMDH 1993 : Participation populaire au développement
humain
RMDH 1994 : Nouvelles dimensions de la sécurité
humaine
RMDH 1995 : Egalité sociologiques entre les sexes et
développement humain
RMDH 1996 : Croissance économique et développement
humain
RMDH 1997 : Le développement humain au service de
l'éradication de la pauvreté
RMDH 1998 : Mode de consommation et développement
humain
RMDH 1999 : La mondialisation à visage humain
RMDH 2000 : Droit de l'homme et développement humain
RMDH 2001 : Mettre les nouvelles technologies au service du
développement humain
RMDH 2002 : Approfondir la démocratie dans un monde
fragmenté
RMDH 2003 : Les objectifs du millénaire pour le
développement : un pacte entre les pays pour vaincre
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
Pour finir, c'est au niveau local et régional que ce
mouvement va se diffuser. Et La côte d'ivoire n'est pas en marge de ce
mouvement.
Synthèse de la littérature récente sur
le développement humain en Afrique
Depuis 1996 il y a des innovations en matière de mesure
de développement humain en Afrique. La plupart des pays Africains se
sont lancés dans une dynamique de mesure du développement humain
au niveau local. En effet dans ces pays les indicateurs de développement
humain du PNUD ont été désagrégés au niveau
local.
Ainsi au Niger, le premier rapport sur le développement
humain introduit les IDH pour les huit différentes régions du
Niger. Et depuis cette date les rapports nationaux sur le développement
humain au Niger sont publiés avec les indicateurs de
développement humain de ses huit régions. (Cf. Rapport national
sur le développement humain au Niger 1996)
Au Burkina Faso, c'est en 1997 que l'initiative de
désagrégation des indicateurs de développement humain a
été prise. Tous les rapports nationaux sur le
développement humain au Burkina Faso tabulent les différents
indicateurs de développement humain des 45 provinces du Burkina Faso.
(Cf. Rapport national sur le développement humain au Burkina faso
1997.)
Synthèse de la littérature
récente sur le développement humain en côte
d'ivoire
La côte d'ivoire essaye depuis quelques années de
traduire certaines préoccupations du DHD dans ses orientations
macro-économiques et ses politiques sectorielles. Elle a
déjà initié un exercice de réflexion prospective
sur le devenir de la société ivoirienne en l'an 2025. Le premier
rapport DHD côte d'ivoire 1997 s'inscrit dans cette dynamique de
renouveau de la vision du développement économique et social en
vue de créer de meilleures conditions pour la promotion des moyens
durables d'existence des populations les plus pauvres.
Ce contexte de renouveau d'analyse a permis au gouvernement,
avec l'appui du PNUD, d'élargir les réflexions antérieures
sur « la côte d'ivoire en 2025 », de mettre en place un noyau
de compétences au sein et à l'extérieur du
ministère des finances (Direction du plan) pour évaluer le niveau
de développement humain en côte d'ivoire depuis
l'indépendance. Il a
la pauvreté.
RMDH 2004 : La liberté culturelle dans un monde
diversifié. RMDH 2005 :
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
permis aussi d'étudier la nature des
corrélations entre la croissance économique et les composantes de
l'IDH (revenu, espérance de vie à la naissance, taux
d'alphabétisation, taux de scolarisation ; etc.). Ce travail a
tenté également d'apporter certains éclairages sur le mode
d'existence des populations pauvres et sur leurs stratégies d'adaptation
aux activités génératrices de revenu et l'évolution
de leur système de solidarité communautaire. Notons que Ce
premier rapport sur le DHD est la première tentative de conception
d'indicateurs de développement humain régionaux mais avec les
régions suivantes : Abidjan, les autres villes, la forêt rurale
Est, la forêt rurale Ouest et la savane rurale. Les différents
indicateurs du développement humain ont été
calculés pour les régions précédemment
définies.
En 2002, le deuxième rapport national sur le
développement humain en côte d'ivoire est publié. Ce
rapport est intitulé Pauvreté et Gouvernance. Il analyse le lien
de causalité entre la pauvreté et la gouvernance. Cette analyse
correspond à un besoin de plus en plus ressenti en Afrique en
général et en côte d'ivoire en particulier, tant il est
constaté au plan mondial que les nations les plus prospères ne
sont pas nécessairement celles qui disposent de plus de ressources
naturelles. Le RNDH en côte d'ivoire 2002 a été
élaboré sur la base des questions relatives à la
pauvreté et à l'équité sociale d'une part ;
à la gouvernance et à la société civile d'autre
part.
En 2004, le troisième rapport national sur le
développement humain et intitulé cohésion sociale et
reconstruction nationale est élaboré. Ce rapport s'inscrit dans
la logique des développements que connaît la côte d'ivoire
depuis début 1999. Ce rapport réaffirme que le défi majeur
de la côte d'ivoire consiste non seulement à repenser des
régulateurs sociaux compatibles avec les exigences du nouveau contexte
d'évolution de la côte d'ivoire et susceptibles de ressouder les
liens intercommunautaires au plan sociologique, mais surtout, à
favoriser, au plan politique, un cadre d'une gouvernance au service du
développement et visant à densifier le socle de
l'équilibre social. Les fruits de cette oeuvre, qui s'affirmeront
certainement dans la durée, nécessitent un engagement au niveau
de l'ensemble des acteurs nationaux, de la société civile, de la
classe politique, du secteur privé et des populations ellesmêmes.
Ce rapport analyse dans une première partie les facteurs qui ont
joué dans le maintien de l'équilibre social, puis les causes de
la rupture de cet équilibre et de la cohésion sociale et enfin
fait des propositions pour la reconstruction de la cohésion sociale.
Thème : Proposition d'indicateurs
d'appréciation du développement humain régional en
côte d'ivoire
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