UNIVERSITE ADVENTISTE D'AFRIQUE CENTRALE
FACULTE DE GESTION ET ADMINISTRATION
Option : Informatique
GESTION DES INFORMATIONS RELATIVES AUX ELEVES D'UNE
ECOLE PRIMAIRE
(Cas ESCAF)
Mémoire présenté pour l'obtention
du grade de « Bachelor's degree » en
Informatique de Gestion
Par
NIYOMUGABA Félix
Directeur : Enan NYESHEJA
Kigali, juillet 2007
SOMMAIRE
De nos jours, la gestion des données d'une façon
automatisée occupe une place privilégiée dans le monde de
l'informatique. L'avantage incontesté de cette technologie est sa
possibilité d'intégrer les rapports, la sécurité et
les données sur une même infrastructure informatique existante
déjà. Grâce à cette technologie le temps de
recherche des données a chuté de manière
considérable ce qui laisse croire qu'elle a encore de beaux jours devant
elle. Différents standards et outils de contrôle ont
été élaborés pour rendre possible cette gestion
automatisée pour une application à une autre.
Pour la gestion des données relative à
l'élève de l'école primaire, nous allons concevoir une
application de gestion, cette dernière va permettre :
- LA dualité (informatique et traditionnelle) du
stockage des données et résultats.
- La grande rapidité d'exécution.
- La plus grande lisibilité des données obtenues
et exploitation plus facile des résultats.
- Le format des documents standardisé.
- La sortie sur imprimante des listes et renseignements.
- L'accès à des éléments
statistiques, par comptages par exemple, extrêmement difficiles
à obtenir par les méthodes
traditionnelles.
- L'accès, à tout moment, à une touche
d'aide à l'utilisation du logiciel.
- La prise de décision en se basant sur les
différents types de rapports.
Sa mise en oeuvre, a été réalisée
selon une architecture client-serveur à l'aide des librairies du langage
de programmation VB Dot net pour transmettre et recevoir
les données de la base des données.
DEDICACE
A notre femme Sarah KAYITESI ;
A nos enfants Ketsia GAJU et Kenzy R. GANZA ;
A tous nos frère ;
A nos parents regrettés ;
A notre grand frère regretté François
GASASIRA ;
A tous ceux qui nous sont chers
REMERCIEMENTS
Au bout de notre travail de recherche, le Dieu Tout Puissant
est grandement remercié pour nous avoir protégé,
gardé et donné son souffle de vie.
Nous adressons notre gratitude en premier lieu au corps
professoral de l'UAAC, aux enseignants qui ont assuré notre formation.
Nous remercions sincèrement notre directeur de
mémoire Enan NYESHEJA, professeur au département Informatique au
KIST (Kigali Institute of science and Technology),sans l'initiative de ces
derniers ce projet n'aurait pas été possible. Nous tenons
à leur exprimer toute notre reconnaissance pour leur dévouement,
la confiance qu'ils nous ont accordée, leur rigueur et la qualité
des commentaires et suggestions dont ils nous ont fait part.
Nos remerciements s'adressent à la Direction et
à tout le personnel de l'ESCAF, plus particulièrement Jotham
NIYOGAKIZA, de leur accueil si chaleureux.
Nous remercions particulièrement notre chère
épouse, qui nous a soutenu et encouragé durant toute la
période de nos études, nos enfants, et surtout nos chers beaux
parents, pour leurs encouragements et leurs soutiens moral.
Merci à tous nos collègues de leurs soutien
matériel et intellectuel, plus particulièrement à Vivien
NIYOMUGENGA de sa collaboration.
Merci à toute personne qui aurait contribué de
près ou de loin dans l'accomplissement du présent travail.
NIYOMUGABA Félix
TABLE DES MATIERES
Pages
SOMMAIRE
iii
DEDICACE
iv
REMERCIEMENTS
v
TABLE DES MATIERES
vi
LISTE DES TABLEAUX
ix
LISTE DES FIGURES
x
Liste des annexes
xi
SIGLES ET ABREVIATIONS
xii
CHAPITRE 1 : INTRODUCTION
1
1.1. Présentation du sujet
2
1.2. Hypothèse
3
1.3. Objectif du projet
3
1.4. Choix et intérêt du sujet
4
1.5. Limitation du sujet
4
1.6. La subdivision du travail
4
1.7. Modules du système
5
1.8. Méthodologie
5
1.9. Approche méthodologique
5
CHAPITRE 2 : SYSTEME ACTUEL DE GESTION
DES ECOLES PRIMAIRES
7
2.1. Introduction
7
2.2. Principe
7
2.3. Notions générales et
définitions
8
2.3.1 Education
8
2.3.2 Enseignement
9
2.3.3 Enseignement primaire
9
2.3.4. Enseignement primaire au Rwanda
9
2.4. Système d'enseignement au sein de
l'ESCAF
12
2.4. Les activités du système actuel
de gestion de l'ESCAF
12
2.5. Problèmes identifiés dans le
système
13
2.6. Solutions envisagées et
proposées
13
CHAPITRE 3 : ANALYSE ET CONCEPTION DU
SYSTEME
14
DE GESTION AUTOMATISE
14
3.1 Introduction à la méthodologie
d'analyse
14
3.1.1 Pourquoi une méthode d'analyse ?
14
3.1.2 Qu'est ce que MERISE ?
15
3.1.2.1 Les niveaux
d'abstraction :
15
3.1.2.2 La démarche
préconisée par MERISE :
17
3.2. Diagramme de flux de données
18
3.2.1. Diagramme de flux des données lors de
l'inscription
20
3.2.2. Diagramme de flux des données lors de
l'examen
21
3.3 Le modèle conceptuel des données
(MCD) ou encore modèle Entité- Association
22
3.3.1 Qu'est ce que le MCD
22
3.3.2. Définition des concepts de
base
22
3.3.2.1 Entité ( objet ou
individu)
22
3.3.2.2 Les propriétés
(attributs )
22
3.3.2.3 Les relations
22
3.3.2.4 Les cardinalités
23
3.3.2.5 Identifiant d'une
entité
23
3.3.2.6 Identifiant d'une
relation :
23
3.3.3 Construction d'un MCD
23
3.3.4 MCD
25
3.4 Le modèle conceptuel des
traitements
26
3.5. Le modèle conceptuel des traitements
(MCT)
28
3.6 Le modèle organisationnel du
traitement MOT
29
3.7 Le dictionnaire des données
30
3.8 Modèle logique
35
3.9.Model physique des données
37
CHAPITRE 4 : REALISATION ET TEST DU NOUVEAU
SYSTEME
38
4.1 Introduction
38
4.2. Les outils utilisés
38
4.2.1 SQL SERVER
38
4.2.2 VISUAL BASIC dot net 2003
40
4.2.3 CRYSTAL REPORTS
40
4.3 Notion de test
41
4.3.1 Les tests fonctionnels
42
4.3.2 Couverture des tests fonctionnels
43
4.3.3 Les tests unitaires
45
4.3.4 Les tests d'intégration
45
4.3.5 Les tests de validation
45
4.3.6 Le test du logiciel ou test de
réception
45
4.3.7 Le test de régression
46
4.4 Résultats obtenus
46
4.5 Protection des données
47
4.6 Les exigences du logiciel
48
CONCLUSION ET RECOMMENDATIONS
50
CONCLUSION
50
RECOMMANDATIONS
52
Références bibliographiques et
webographiques
53
Webographiques
53
LISTE DES TABLEAUX
Pages
Tableau 1: tableau des modèles d'analyse
16
Tableau 2: Dictionnaire des données
30
LISTE
DES FIGURES
Pages
Figure 1: Diagramme de flux de données
inscription
20
Figure 2: Diagramme de flux des données lors
de l'examen
21
Figure 3: Modèle conceptuel Entité
Relation
25
Figure 4: Le modèle conceptuel des
traitements
28
Figure 5:Schéma du modèle
organisationnel des traitements
29
Figure 6: Model physique des données
37
Liste des annexes
ANNEXE A : Page d'accueil
ANNEXE B : Page de connexion
ANNEXE C : Page des menus
ANNEXE D : Page de l'identification de
l'élève
ANNEXE E : Page d'inscription de l'élève
ANNEXE F : Page de payement de l'élève
ANNEXE G : Page d'enregistrement de notes de
l'élève
SIGLES ET ABREVIATIONS
ADRA : Adventist Development and Relief Agency.
BASIC : Beginners All-Purpose Symbolic Instruction Code.
CPU : Central Processing Unit
DFD : Diagramme des Flux des Données
EPU : Enseignement Primaire Universel
ESCAF : Ecole des Sciences Anglais et
Français.
GUI : Graphical User Interface
ICT : Information and Communication Technologies.
IDE :Integrated Development Environment
MCD : Modèle Conceptuel des Données
MCT : Modèle Conceptuel des Traitements
MERISE : Méthode d'Étude et de
Réalisation Informatique pour les
Systèmes d'Entreprises.
MINEDUC : Ministère de l'Education.
MLD : Modèle Logique des Données
MPT : Modèle Physique de Traitement.
MOT : Modèle Organisationnel des
Traitements.
OMT : Object-Modeling Technique.
RAM : Random Access Memory
SADT : Structured Analysis and Design Technique.
SGBDR : Système de Gestion de Base de
Données Relationnelles
SI : Système d'Information
SQL : Structured Query Language
U.A.A.C : Universite Adventiste d'Afrique Centrale.
UML : Unified Modeling Language
CHAPITRE 1 : INTRODUCTION
Le développement national et international est
basé sur l'utilisation de l'outil informatique. La République
Rwandaise a mi l'accent particulier sur ce dernier.
Elle a diminué la taxe sur tous ceux qui sont en
relation avec la technologie de l'information pour inciter le peuple Rwandais
à maîtriser, utiliser, développer et se familiariser avec
l'outil informatique. La maîtrise de l'outil informatique a beaucoup
d'avantage dans la résolution, le développement,
l'exécution et la mise en ordre rapide des projets de tous les
domaines.
Ces deux dernières années, l'Etat Rwandais a mis
l'accent sur le développement de l'ICT au niveau des Universités
et des écoles primaires et secondaires. Le développement de l'ICT
au niveau de ces institutions facilite les concernés l'ouverture sur
l'utilisation de l'outil informatique. Pour le personnel de gestion, le
personnel de prise de décision ainsi que pour le personnel qui
fréquente les dites institutions, l'utilisation de la technologie de
l'information leur procure les multiples avantages au niveau professionnel,
personnel et leur donne une ouverture globale.
Au niveau de l'éducation, la technologie de
l'information joue un rôle important dans la gestion, communication,
enseignement, loisir etc.
Pour la gestion des écoles, le logiciel va
gérer :
- tous ceux qui sont en relation avec le personnel de
l'institution ;
- les élèves et tous ceux qui sont en relation
avec eux ;
Pour la gestion de l'école primaire, il y a quatre
étapes en relation avec l'élève :
- Enregistrement
- Inscription
- Paiement des frais de scolarités
- Conception des bulletins pour la présentation les
résultats de l'élève.
Sur ces activités, s'y ajoute aussi la suivie de leur
trace c'est à dire l'archivage.
L'administration de l'école peut prendre les
décisions en se referant sur les résultats émanant de la
dite gestion.
1.1. Présentation du
sujet
La technologie de l'information devient de plus en plus
indispensable et incontournable dans la vie pour un développement
durable. Cette technologie s'impose dans plusieurs domaines d'activités.
La technologie de l'information regroupe un ensemble
d'appareils nécessaires pour manipuler l'information, et
particulièrement des ordinateurs et des programmes nécessaires
pour la convertir, la stocker, la gérer, la transmettre et la
retrouver.
Ces technologies ont un impact social qui aboutit à un
changement de notre société. C'est pourquoi on parle de
société de l'information. L'implémentation de ces
technologies implique une redéfinition radicale du fonctionnement des
organisations et, a un impact sur de nombreux domaines des sciences humaines
comme la sociologie, la théorie des organisations, la gestion et
l'administration en général.
L'administration publique n'est pas aussi
épargnée de ces multiples avantages de la technologie de
l'information. La présentation de la situation sociale,
économique, juridique et administrative se base sur les données
statistiques récoltées aux différentes unités
administratives.
L'éducation est l'un des domaines les plus essentiels
dans l'administration. L'informatisation des statistiques concernant
l'éducation au niveau des écoles primaires et gardiennes, pourra
faciliter la transmission des rapports aux responsables des dites écoles
et aux autorités ayant l'éducation dans ses attributions ainsi
que la prise des décisions concernant le domaine de l'éducation. La prise des
décisions fiables et concises est toujours associe à une bonne
système de gestion d'information d'une façon automatise.
1.2. Hypothèse
Après avoir passé en revue la situation des
écoles primaires et gardiennes, l'hypothèse suivante a
été proposée: le développement d'un système
de gestion des informations automatisé pourrait faciliter à
l'école de l' ESCAF, à établir des rapports concernant
l'éducation et contribuera à la prise des décisions dans
le domaine de l'éducation. Ce système
facilitera également à avoir une information correcte et
précise selon l'analyse.
1.3. Objectif du projet
a) Objectifs
généraux
- Mener une enquête et analyser les besoins en
matière de gestion des écoles primaires et gardiennes.
- Mettre en place un logiciel qui répond à ces
besoins en créant une base de données pour stocker les
données nécessaires et en dessinant une interface pour
accéder à la base de données.
- Utiliser une architecture Client Serveur pour supporter cette implémentation
b) Objectifs spécifiques
1 . Objectifs internes à l'école
- Gérer le registre matricule des élèves
avec les mêmes obligations de rigueur et de contenu que celles de la
gestion écrite.
- Gérer la liste, par classes et par école, des
coordonnées individuelles avec numéro de téléphone,
nom de la nourrice, adresse...
- Gérer les différentes listes que les
maîtres établissent à la main : nom, prénom, date de
naissance, par ordre alphabétique et par ordre de niveau.
2 . Objectifs administratifs
- Donner, autant que possible dans le format demandé
par l'Administration, les chiffres des enquêtes. Si ce format n'est pas
« normalisé », apporter aux chiffres un format qui en
facilitera la lisibilité et l'exploitation.
- Sortir, classée sur la classe suivie, la liste des
enfants en retard, avec le nombre d'années de retard, la liste des
enfants en avance.
- Sortir la liste des élèves maintenus dans les
niveaux de cycles.
- Sortir l'enquête statistique sur la composition des
familles et des professions.
- Permettre, pour les Projets d'Ecoles, d'obtenir, très
rapidement, les chiffres relatifs à l'environnement ou à
certaines remarques d'ordre pédagogique (niveau, âge, quartier...)
et tous renseignements croisés.
- Permettre de simuler très rapidement la prochaine
rentrée scolaire et ventiler ces chiffres dans le formulaire
d'enquête de l'Administration.
- Permettre, de gérer les informations en rapport avec
les élèves actifs et non actifs.
- Contrôler facilement le payement des frais de
scolarité selon les classes.
- Gérer les moyennes de classement de chaque
élève.
1.4. Choix et intérêt du
sujet
Nous avons choisi ce sujet en tant qu'étudiant
finaliste en gestion informatique pour contribuer à
l'amélioration de l'administration des écoles primaires ESCAF,
à partir de leur service de statistique. Une fois accompli, ce travail
facilitera la présentation des données statistiques
réelles reflétant l'image de l'éducation dans la dite
école, et va faciliter les conditions de prise de décision. Les
autres écoles seront aussi motivées par l'installation de ce
système d'information.
1.5. Limitation du sujet
Notre projet sera limité sur l'automatisation de la
gestion des informations concernant les élèves des écoles
primaires et gardiennes, vu la complexité et la multiplicité des
opérations de ces écoles, le test étant effectué
à l'ESCAF.
1.6. La subdivision du travail
La subdivision de ce travail est prévu comme
suit :
- Une introduction générale.
- Un chapitre sur le système de gestion d'information
de l'ESCAF.
- Un chapitre sur l'analyse d'un logiciel de gestion de
l'information au sein des écoles primaires.
- Un chapitre sur l'évaluation des résultats
obtenus.
- Une conclusion ainsi que des recommandations.
1.7. Modules du système
Suite à une visite faite au sein de l'ESCAF et
l'examination de ses rapports, nous avons pu relever les modules
suivants :
- Gestion des informations en relation avec les
élèves.
- Les informations en relation avec le payement des frais de
scolarité.
- Implémentation des bulletins pour les
élèves.
1.8. Méthodologie
La méthodologie du travail sera guidée par la
méthode de développement d'un système d'information avec
son approche itérative. Cette approche exige que l'on présente
aux utilisateurs, la partie du programme déjà
développée et cela de façon itérative. Cette
méthode utilisera les outils de cueillette d'informations et la
méthode d'analyse MERISE.
1.9. Approche méthodologique
Dans tout travail scientifique, l'utilisation des
méthodes et des techniques pour collecter et analyser les données
s'avère indispensable. Pour atteindre les objectifs de ce travail,
certaines techniques et méthodes ont été utiles
dont :
- La technique documentaire ; Cette technique nous a
permis d'accéder aux informations portant sur le domaine de la gestion
des écoles primaires. La consultation des documents écrits en
rapport avec le secteur éducatif et l'école ESCAF en particulier
nous a fournis les informations précieuses sur les faits et
phénomènes de notre étude.
- La technique d'observation : elle nous a permis
d'observer certaines activités du système manuel, afin de mieux
comprendre le système de gestion des informations concernant
l'inscription, payement des frais de scolarité et préparation
des bulletins des élèves.
- La technique d'interview : L'interview nous a
été utile afin de comprendre le fonctionnement manuel du
système de gestion des informations concernant l'inscription, payement
des frais de scolarité et préparation des bulletins des
élèves.
La méthode MERISE : (Méthode d'Etude et de
Réalisation Informatique pour les Systèmes d'Entreprise.)
MERISE est une méthode de conception, de
développement et de réalisation de projets informatiques. Le but
de cette méthode est d'arriver à concevoir un système
d'information. La méthode merise est basée sur la
séparation des données et des traitements. (
www.commentcamarche.net/merise/concintro.php3
CHAPITRE 2 : SYSTEME ACTUEL
DE GESTION DES ECOLES PRIMAIRES
2.1.
Introduction
L'administration d'un établissement scolaire
(lycée, collège ou école) comporte un certain nombre de
tâches indispensables (listes, enquêtes, notes de service,
circulaires, opérations de gestion...) que les responsables ont toujours
essayé d'optimiser. L'arrivée d'ordinateurs a fait naître
l'espoir d'améliorer de façon significative l'ensemble de ces
tâches.
Depuis peu, les données du problème ont
considérablement changé. Les micro-ordinateurs dotés d'un
disque dur ont sensiblement baissé du coût. En alliant souplesse
et efficacité, les compatibles PC permettent aujourd'hui d'envisager
avec beaucoup plus de réalisme la possibilité de gérer
informatiquement une école. Il est opportun de proposer aux utilisateurs
potentiels un outil performant dans ce domaine. C'est ce que nous allons faire
en développant le logiciel SYGEP (Système de Gestion d'Ecole
Primaire). La publication de ce produit sera le fruit d'une longue
réflexion qui sera menée lors de notre travail de fin
d'étude. Afin de mettre en place un nouveau système
d'information, il nous a fallu analyser le système d'information qui
existe au sein de l'ESCAF. Ici nous allons pointer sur son organisation, ses
activités, les problèmes centraux ainsi que quelques solutions
que nous proposerons pour y remédier.
2.2. Principe
Il consiste à faire une analyse qualitativement et
quantitativement du fonctionnement de l'école primaire et gardienne. Le
projet commence par un état des lieux.
Les aspects suivants seront analysés :
- aspect organisationnel
- aspect fonctionnel
- aspect données
- aspect traitement
- aspect sur le réseau existant
2.3. Notions
générales et définitions
2.3.1 Education
L'éducation est devenue l'un des principaux facteurs de
notre civilisation. Son champ d'influence n'a cessé de s'élargir
et le cadre par lequel elle est offerte ou poursuivie, s'est tout à la
fois multiplié et diversifié. Il est difficile d'en donner une
définition précise et d'en fixer le contenu, à tel point
que souvent le substantif ?éducation? est complété
par un adjectif afin de préciser le contenu.
Exemple : Education morale, éducation sexuelle,
éducation permanente,...
Selon le dictionnaire Petit Larousse, (1998, p.336)
« l'éducation est l'action d'éduquer, de former,
d'instruire quelqu'un et la manière de comprendre, de dispenser, de
mettre en oeuvre cette formation ». Avec le même
dictionnaire, on définit l'éducation sous les autres formes
suivantes:
* L'éducation nationale : Ensemble des
services chargés de l'organisation, de la direction et de la gestion de
tous les établissements de l'enseignement public et du contrôle de
l'enseignement privé.
* L'éducation permanente :
L'enseignement qui est dispensé tout au long de la vie professionnelle.
Ainsi donc l'éducation est un moyen primordial pour le
développement intégral de l'individu afin de survivre.
* L'éducation
spécialisée : C'est l'ensemble des mesures organisant
l'enseignement des jeunes éprouvant des difficultés
psychologiques ou sociales ou des handicapés.
MAURO LAENG (1975, p.127) souligne que
«l'éducation est une activité intentionnellement
destinée à favoriser le développement de la personne
humaine et son intégration dans la vie de la
société. »
Une bonne éducation doit permettre à l'individu
d'utiliser ses potentialités au maximum, de faire face aux
difficultés qu'il rencontrera inévitablement dans la vie et de
s'adapter à l'évolution sociale de ce temps qui peut avoir une
répercussion directe sur son mode de vie ou sur son activité
professionnelle.
Ainsi donc l'éducation est un besoin à toutes
les étapes de la vie, car elle permet à l'individu de mieux
s'adapter à des situations nouvelles et de résoudre les
différents problèmes de la vie quotidienne. Actuellement,
l'éducation formelle devient de plus en plus une
nécessité pour accéder aux bons postes de travail ou pour
s'y maintenir.
2.3.2 Enseignement
L'enseignement est la transmission des
connaissances par une aide à la compréhension et à
l'assimilation.
Exemple :
- enseignement assisté par ordinateur
- enseignement à distance
- un centre d'enseignement à distance
L'enseignement est encore une institution
englobant l'ensemble des activités et des organismes participant
à l'éducation scolaire. Il peut être
défini comme étant la division correspondant
à un niveau de l'organisation scolaire (un instituteur de l'enseignement
primaire) ou comme un domaine d'activité des
enseignants (travailler dans l'enseignement).
2.3.3 Enseignement primaire
L'organisation actuelle de l'enseignement primaire remonte
à plus d'un demi-siècle : des écoles réunies en
circonscriptions, sous l'autorité d'une inspectrice ou d'un inspecteur,
relevant d'une direction.
A partir de 1970, le fonctionnement de l'enseignement primaire
a été l'objet de maintes réflexions à l'interne.
Cependant, la priorité a été longtemps accordée aux
cahiers des charges et aux contenus d'enseignement plutôt qu'aux
structures.
www.geneve.ch/primaire/historique.html
2.3.4. Enseignement primaire au
Rwanda
i. Accès
Au Rwanda le taux brut d'inscription au niveau de
l'enseignement primaire, qui est passé de 89% en 1998 à 103,7% en
2002 et à 134,1% en 2004 (MINEDUC, 2004), est considérablement au
dessus de la moyenne de 75%, enregistrée dans la région de
l'Afrique sub-saharienne. Cependant, ce taux peut varier sensiblement d'une
région à l'autre. Il y a eu également augmentation du taux
net d'inscription au Rwanda, qui est passé de 74,1% en 2001 à
96,4% à l'heure actuelle (2003/4) (MINEDUC, 2004). Ce chiffre va de pair
avec les taux caractéristiques de la sous-région, et il est plus
élevé par rapport au taux de 71% enregistré en 1990.
Cependant, tous ces chiffres indiquent qu'il y a toujours un nombre important
d'enfants en âge de scolarisation qui ne fréquentent pas
l'école. Ces taux ne révèlent pas également le
profil de ceux qui ne fréquentent pas l'école. Au Rwanda, le
nombre important des populations défavorisées et des groupes
nouvellement vulnérables (dont les femmes et les ménages tenus
par les enfants, les orphelins et les enfants de la rue) exige l'adoption de
mesures particulières, afin d'assurer un accès équitable
aux différentes opportunités de scolarisation.
ii. Retention
Alors que les taux nets d'inscription nous donnent quelques
indications relatives à l'accès à l'éducation au
niveau mondial, ils ne reflètent cependant pas de façon
adéquate la participation réelle qui ne peut être bien
mesurée que par des données sur la fréquentation scolaire.
Le taux de réussite dans l'enseignement primaire au Rwanda, selon les
estimations faites par le MINEDUC, nous fournit le taux de promotion (P1-P6)
qui est de 18,0% en 2002, avec seulement 16,2% de filles terminant le niveau P6
par rapport à 19,8% de garçons. Ce chiffre est beaucoup moins
élevé par rapport à celui de 23% enregistré en
1997/1998, sans mentionner celui de 36% en 1990. Alors que la chute des taux de
réussite statistiquement implicite en 1997/1998 pourrait être
expliquée par des changements importants de la population rwandaise
entre 1994 et 1997, les autorités relèvent et combattent les
causes de la baisse des taux enregistrés en 2001/2002. Nonobstant, il
est toujours évident que les taux de réussite sont faibles,
particulièrement chez les filles.
iii. Qualité/efficacité
Bien qu'il y ait des améliorations sensibles dans le
recrutement/accès, la qualité de l'enseignement primaire demeure
un sujet de grande préoccupation pour le Gouvernement du Rwanda (GR).
Dans le but d'atteindre l'objectif de l'Enseignement primaire universel (EPU)
en 2010, le gouvernement se charge de la question de la qualité.
La qualité de l'enseignement primaire au Rwanda depuis
la période qui a suivi le génocide s'est
révélée jusque là problématique. Cela est
principalement dû au manque notoire d'enseignants qualifiés,
à un vaste programme de 12 disciplines et à une carence
prononcée en matériels didactiques appropriés.
De grands efforts ont été entrepris, en vue
d'accroître l'effectif d'enseignants dûment qualifiés. La
proportion des enseignants qualifiés est passée de 46% en 1998
à 85,2% en 2001/2002 sur le plan national. La qualité de
l'enseignement primaire a été davantage compromise par la
qualité du programme qui a été tout dernièrement
révisé en 1996 et en 1997. Cependant, un plan de révision
du programme d'enseignement s'étendant sur 6 années est
déjà mis en oeuvre. Le principal objectif est de réviser
les différents programmes de l'enseignement primaire et secondaire en
cours depuis 2003 (MINEDUC- NCDC, mars 2003). L'objectif principal visé
est d'aboutir à l'élaboration d'un programme qui n'aura pas
à répondre seulement aux besoins de l'élève et de
la nation, mais aussi aux besoins de qualité. La révision du
programme devra être guidée par la politique d'élaboration
des programmes de l'enseignement primaire et secondaire actuellement en
vigueur. La politique donne des directives sur les institutions qui devraient
être impliquées dans le processus de réforme, les principes
à suivre, le contenu
de programme, le mode de livraison et d'évaluation du
programme. Les domaines explorés en vue d'améliorer la
qualité de l'enseignement comprennent le contenu et le mode de livraison
du programme, la qualité des résultats obtenus et l'environnement
de l'apprentissage.
2.4. Système
d'enseignement au sein de l'ESCAF
Historique et aspect organisationnel de
l'ESCAF
L'ESCAF est une école primaire des parents fonde en
1995.
L'ESCAF est une école primaire des parents. En
tête il y a l'ensemble général qui se tient
régulièrement pour les problèmes majeures et juridiques
qui dépassent la responsabilité de la direction.
En second lieu il vient la direction de l'école en
troisième lieu il vient le corps de l'écoles ;
c'est-à-dire les enseignant, le personnel administratif et les
élèves.
2.4. Les activités du système actuel de
gestion de l'ESCAF
L'ESCAF est une organisation qui opère dans le
système éducatif dans le niveau près scolaire et primaire.
L'ESCAF reste une école dont le secteur d'activité est
privé. La tendance technologique dans l'évolution des
écoles reste un point culminant pour toutes les écoles du monde,
car un petit nombre des écoles ont des systèmes
informatisés qui leurs facilitent la transmission d'informations d'une
façon plus facile et plus rapide.
Du point de vue technique, les logiciels utilisés
restent ceux de traitement de texte et de tableurs. Le réseau interne
n'existe pas et la base des données centralisées n'existe pas.
- Inscrire les élèves pour le recueil et le
stockage des renseignements
- Identifier les différents types de Bourses (ADRA et
autres)
- Repérer les élèves qui se trouvent dans
une tranche d'âges donnée.
- Voir les élèves qui ont déjà
payé ou pas le Minerval.
- Visualiser tous les renseignements sur un
élève, y comprise sa photo.
- Lister tous les élèves inscrits dans une
classe.
- Lister les cours (et les enseignants respectifs)
programmés pour une classe
- Voir la charge horaire hebdomadaire d'un enseignant.
- Apercevoir le palmarès (Fiche de
délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms
de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs,
liste des cours avec échecs)
Du point de vue de la faisabilité de la mise en place
du nouveau système d'information, le projet reste intact car l'outil
informatique nécessaire à la communication est disponible
à l'ESCAF, ce qui reste c'est de l'exploiter.
2.5. Problèmes identifiés dans le
système
Comme vu plus haut, la gestion actuelle des informations
à l'ESCAF présente beaucoup des problèmes. Sans
être exhaustif, nous avons identifié les problèmes
suivants :
Tous les activités cite si haut sont manuel
d'où le lenteur dans tous les activités de traitement des
données. ;
recherche d'un dossier archivé prend beaucoup de
temps ;
diffusion de résultats d'une façon rapide et
directe aux destinataires;
garder l'historique et/ou palmarès des
élèves
2.6. Solutions envisagées et
proposées
-Inscrire les élèves pour le recueil et le
stockage des renseignements dans une base des données.
-Identifier les différents types de bailleurs de fond
(ADRA et autres) facilement.
-Repérer les élèves qui se trouvent dans
une tranche d'âges donnés.
-Voir les élèves qui ont déjà
payé ou pas le Minerval
-Visualiser tous les renseignements sur un
élève, y compris sa photo.
-Lister tous les élèves inscrits dans une
classe.
-Lister les cours (et les enseignants respectifs)
programmés pour une classe
-Apercevoir le palmarès (Fiche de
délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms
de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs,
liste des cours avec échecs)
-Visualiser/Imprimer/Archiver tous les bulletins d'une classe
en un seul clic
(Alternativement voir un seul bulletin, surtout utile au
moment des réclamations et pertes individuelles)
L'application aidera à la direction chargée de
gestion dans :
Classement de meilleurs élèves .A chaque fin
d'année, l'ESCAF discerne les prix à l'élève qui a
distingué plus que les autres.
CHAPITRE 3 : ANALYSE ET CONCEPTION DU SYSTEME
DE GESTION AUTOMATISE
3.1 Introduction à la méthodologie
d'analyse
3.1.1 Pourquoi une
méthode d'analyse ?
Toute résolution de problème quel qu'il soit,
nécessite une, voir plusieurs phases de réflexion plus ou moins
longues en fonction de l'ampleur et du type du problème.
Lors d'un projet informatique, cette réflexion doit
pouvoir être comprise et reprise par toute personne intervenant sur le
projet.
C'est pourquoi, ont été définies des
méthodes d'analyse. Certaines disparaissent laissant la place à
d'autres méthodes plus adaptées, d'autres évoluent dans le
temps en fonction des différentes technologies. Chaque méthode a
ses qualités et ses défauts. Il est donc parfois utile et
nécessaire en fonction de l'étape d'analyse du projet d'appliquer
des méthodes différentes.
Chaque méthode est adaptée au type de projet
(objet, industrielle, gestion) et aux outils (SGBD, L3G ...).
Quelques méthodes :
MERISE, MERISE/2
SADT
SART
OMT
UML (bien que UML n'est pas une méthode mais un langage
de modélisation unifiée)
3.1.2 Qu'est ce que
MERISE ?
MERISE est née en 1979 au Centre Technique Informatique
du ministère de l'industrie. Ces principaux créateurs sont
Hubert Tardieu, Georges Panet et Gérard Vahée . Elle a
réellement été introduite dans les entreprises entre 1983
et 1985. Depuis, elle a connu des évolutions en fonction des
avancées technologiques avec dernièrement MERISE/2 tournée
vers l'objet. Elle reste encore une méthode très utilisée
en France même si UML/OMT est en train d'inverser la tendance.
MERISE propose une double approches
données-traitements menée en parallèle tout au long du
projet ainsi qu'une démarche méthodologique de
développement d'un système d'information.
Nous nous intéresserons à l'approche MERISE,
c'est à dire aux outils de représentation que nous nommerons
modèles et qui sont des outils d'analyse (représentation du
système existant) et de conception (représentation du
système futur).
Chacun de ces modèles correspond à un niveau
d'abstraction et se représente selon un formalisme bien défini et
traduit un certain choix.
3.1.2.1 Les niveaux
d'abstraction :
Il y a trois niveaux d'abstraction :
Le niveau conceptuel
Le niveau organisationnel
Le niveau physique
a. Le niveau conceptuel :
Il consiste à répondre à la question
QUOI ?
C'est à dire quoi faire ?, avec quelles
données ?
A ce niveau, on ne se préoccupe pas de l'organisation
du travail ni du matériel utilisé.
Les deux modèles sont le Modèle conceptuel des
données et le Modèle conceptuel des traitements.
b. Le niveau organisationnel :
Il consiste à répondre à la question
QUI?, OU?, QUAND ?
C'est à ce niveau que sont intégrés les
critères d'organisation de travail.
On tient compte (ou on propose) des choix d'organisation de
travail comme la répartition des traitements entre l'homme et la
machine, le mode de fonctionnement (temps réel, temps
différé).
Le modèle de représentation est le modèle
organisationnel des traitements.
c. Le niveau physique :
Il consiste à répondre à la question
COMMENT ?
On étudie les solutions techniques ( mode de stockage
pour les données, découpage des programmes pour les traitements
).
Les modèles étudiés à ce niveau
sont les modèles logiques des données et physiques des
traitements.
Chacun de ces trois niveaux ne sont pas indépendants.
Il va de soi, que les choix techniques (niveau physique ) peuvent être
imposés dès le début du projet. Les modèles
conceptuels et organisationnels seront alors étudiés en tenant
compte de ces contraintes. Chacun des modèles seront affinés au
cours de la vie du projet.
Le tableau suivant résume les modèles que nous
allons aborder tout au long de ce projet :
Tableau 1: tableau des modèles
d'analyse
NIVEAU
|
DONNEES
|
TRAITEMENTS
|
CHOIX PRIX EN COMPTE
|
Conceptuel
|
Modèle Conceptuel des Données (MCD)
|
Modèle Conceptuel des Traitements (MCT)
|
Choix de gestion
Quoi ?
|
Organisationnel
|
|
Modèle Organisationnel des Traitements (MOT)
|
Choix 'organisation
Qui ?, Où ?,Quand ?
|
Physique
|
Modèle Logique des Données
(MLD) Modèle Physique des Données (MPD)
|
Modèle Physique des traitements (MPT)
|
Choix techniques
Comment ?
|
3.1.2.2 La démarche préconisée par
MERISE :
MERISE préconise un découpage du projet en
quatre étapes. Chacune des étapes correspond à des phases
d'avancement du projet et donc à une étude bien
précise.
Les études effectuées au cours de chacune de ces
étapes utilisent les différents niveaux d'abstraction.
Chaque étude doit déboucher sur un dossier qui
doit être validé par toutes les personnes concernées par le
projet (utilisateur et informaticiens).
Ces étapes sont au nombre de quatre :
Etude préalable
Etude détaillée
Réalisation
Mise en oeuvre
a. L'étude préalable :
Cette phase a pour but de bien cerner le système
à étudier : QUOI ? Dans quel but ?, Qu'est ce qui
existe ? ...et à proposer une première solution ainsi qu'une
évaluation tant qualitative que quantitative du projet.
Elle est primordiale et conditionne le bon déroulement
des phases suivantes.
La première des actions à effectuer est le
recueil des données c'est à dire toute information
nécessaire à cerner le projet, à le comprendre et à
en effectuer une première ébauche.
Tous ces renseignements sont généralement
obtenus au cours d'entretiens. Chaque entretien doit par la suite être
consolidé.
L'objectif de la consolidation est de préparer les
étapes suivantes en identifiant d'ores et déjà certains
concepts ( règles de gestion, de calcul et d'organisation, tâche,
domaines, acteurs, processus, flux d'information ... ) mais aussi de constater
les points restés obscurs. Il est généralement utile et
nécessaire de formaliser les échanges d'information par un
diagramme de flux de données.
Toutes les informations ainsi obtenues constituent le dossier
d'étude préalable.
b. L'étude
détaillée :
Basée sur le dossier d'étude préalable
elle a pour but de décrire complètement, au plan fonctionnel, la
solution à réaliser.
Elle débouche sur un dossier de spécifications
détaillées.
c. La réalisation :
Elle concerne la production du code informatique correspondant
aux spécifications définies dans l'étude
détaillée. Elle débouche sur un dossier de
réalisation.
d. La phase de mise en oeuvre :
Son but est d'exécuter
toutes les actions (formation, documentation, installation des
matériels, initialisation des données ...) qui permettront aux
utilisateurs d'utiliser le logiciel fourni.
3.2. Diagramme de flux de
données
Il paraît important de parler du diagramme de flux
données ( Data Flow Diagram ) car il est très souvent
utilisé, quelque soit la méthode d'analyse abordée.
En effet, lors de l'étude préalable, les
différents entretiens permettent de cerner le système
étudié tant par les documents échangés, les
données manipulées que par l'organisation.
L'intérêt de ce modèle est quadruple :
Il est simples, Il est fréquemment utilisés
même en dehors de toute méthodologie ( donc connu )
Il est un excellent point de départ au modèle
conceptuel des données
Il est un excellent point de départ au modèle
conceptuel des traitements
NOMENCLATURES :
Pour notre projet nous allons représenter:
L'organisation par un rectangle ;
Les acteurs externes par des ellipses en
pointillés ;
Les acteurs internes par des ellipses ;
Les flux d'information par des flèches dont
l'orientation désigne le sens du flux d'information.
Dépôt des données par un rectangle non
fermé
3.2.1.
Diagramme de flux des données lors de l'inscription
Figure 1: Diagramme de flux de
données inscription
1
INSCRIRE
Parent d'un enfant
Demande
Refus de demande
1
Listes des élèves Admis
2
Enregistrer
3
Listes des élèves en dette
2
Listes des élèves en ordre
élèves
Reste à payer
Bordereau de versement
Lors de l'inscription la demande de parent peut être
accepte ou refuser pour plusieurs raisons:
Soit quand il n'y a plus de places disponibles.
Soit quand l'enfant ne satisfait pas les conditions
d'inscription.
Quand l'inscription est accorde à l'enfant alors
l'enfant ou ses parents
procèdent à l'enregistrement et au paiement des frais de
scolarité.
3.2.2. Diagramme de flux des
données lors de l'examen
Figure 2: Diagramme de flux
des données lors de l'examen
1
Passer des examens
élève
1
Copies des élèves participants
2
Corriger
Titulaire de cours
2
Listes des notes
Implémenter des bulletins
Titulaire de Classe
2
Les bulletins finis
3.3 Le modèle
conceptuel des données (MCD) ou encore modèle Entité-
Association
3.3.1
Qu'est ce que le MCD
Le Modèle Conceptuel des Données est une
représentation graphique des données et des liens qui existent
entre chacune d'elles.
3.3.2.
Définition des concepts de base
3.3.2.1
Entité ( objet ou individu)
Une entité est pourvue d'une existence propre et est
conforme aux choix de gestion de l'entreprise.
Une entité peut être un acteur :
élève, usine, produit => pourvue d'une existence
intrinsèque.
Une entité peut être un flux :
identification, enregistrement => existe par l'intermédiaire
d'acteurs.
3.3.2.2
Les propriétés (attributs )
Une propriété est une donnée
élémentaire qui qualifie l'entité à laquelle elle
se rapporte :
- Chaque propriétés prend des valeurs qui sont
appelées occurrences de la propriété
- Chaque propriété a un domaine de
définition (ensemble de valeurs possibles)
- Chaque propriété se rattache toujours
à une entité
3.3.2.3
Les relations
C'est un lien sémantique reliant un ensemble
d'entités et présentant un intérêt pour l'entreprise
pour notre cas pour l'école.
Il peut exister plusieurs relations entre les mêmes
entités.
Une relation peut porter des propriétés :
on la dit porteuse.
Une relation peut ne pas porter de
propriétés : on la dit non porteuse.
- Une relation entre deux objets est une relation binaire.
- Une relation entre trois objets est une relation
ternaire.
- Une relation entre n objets est une relation
n-aire.
- Une relation réflexive est une relation de
l'entité sur elle même.
3.3.2.4
Les cardinalités
Elles permettent de quantifier le nombre d'occurrences d'une
entité qui participent à une relation.
Elle s'exprime par deux nombres :
- Cardinalité minimale ( combien d'occurrences au
minimum ?)
- Cardinalité maximale ( combien d'occurrences au
maximum ? )
La cardinalité minimale ( 0 ou 1 ) :
Représente le nombre de fois minimum qu'une occurrence
d'un objet participe aux occurrences de la relation.
La cardinalité maximale ( 1 ou n ) :
Représente le nombre maximum de fois qu'une occurrence
de l'objet participe aux occurrences de la relation.
3.3.2.5
Identifiant d'une entité
C'est une propriété (ou ensemble de
propriétés) particulière qui permet d'identifier de
façon unique une occurrence de l'entité.
Pour être identifiant, la ou le groupe de
propriétés ne doit pas prendre plusieurs fois la même
valeur sur l'ensemble des occurrences possibles de l'entité.
L'identifiant figure en premier dans la liste des
propriétés.
L'identifiant est souligné ( ou parfois
précédé d'un # ).
3.3.2.6 Identifiant d'une relation :
C'est l'identifiant obtenu par concaténation des
identifiants des entités participant à la relation.
3.3.3 Construction d'un MCD
La démarche à suivre pour la construction d'un
MCD est la suivante :
Recherche des propriétés à gérer (
dictionnaire des données ),
Regroupement des propriétés,
Représentation des objets
Recherche des relations
Recherche des cardinalités,
Vérification et validation du modèle
3.3.4 MCD
Figure 3: Modèle
conceptuel Entité Relation
Cours
Notes
Elèves
1,n
Elève_Id
Date
Avoir
Etudier
Cours_Id
Elève_Id
Section_Id
1,1
0, n
0, n
0, n
Categorie
Cours_Id
Résultat
EquipeID
Intitulé
Archive
Nom
Enseignant
Classe
Archive
Origine
Résidence
Bailleur
Inscription
Paiement
0,n
Faire
Effectuer
1,1
1,1
Banque
Eleve_ID
Eleve_ID
3.4 Le modèle
conceptuel des traitements
Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter
le dynamisme du système d'information, c'est-à-dire les
opérations qui sont réalisées en fonction
d'événements.
Ce modèle permet donc de représenter de
façon schématique l'activité d'un système
d'information sans faire référence à des choix
organisationnels ou des moyens d'exécution, c'est-à-dire qu'il
permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit
pas quand, comment ni où.
L'événement
Un événement représente un changement
dans l'environnement extérieur au système d'information, il peut
représenter un changement aussi dans le système d'information
lui-même. D'ou on aura deux sortes d'événements :
Un événement externe est un changement du milieu
extérieur, il est représenté par une ellipse en traits
pointillés
Un événement interne est un changement interne
au système d'information il est représenté par une ellipse
en traits pleins
Le processus
Un processus est un sous-ensemble de l'activité de
l'entreprise, cela signifie que l'activité de l'entreprise est
constituée d'un ensemble de processus. Un processus est lui-même
composé de traitements regroupés en ensembles appelés
opérations.
L'opération
Une opération est un ensemble d'actions
exécutées par le système suite à un
événement, ou à une conjonction
d'événements. Cet ensemble d'actions est ininterrompu,
c'est-à-dire que les événements ne sont pas pris en compte
tant que l'opération n'a pas été accomplie.
La synchronisation
La synchronisation d'une opération définit une
condition booléenne sur les événements contributifs devant
déclencher une opération. Il s'agit donc de conditions au niveau
des événements régies par une condition logique
réalisée grâce aux opérateurs : OU, ET et NON
3.5. Le modèle conceptuel des traitements
(MCT)
Figure 4: Le modèle
conceptuel des traitements
Demande d'inscription d'élève
Vérification
Non Oui Incomplet
Demande incomplète
Demande Complet
Enregistrement
Listes des élèves
Passation des examens
Oui Non
Liste des élèves irreguliers
correction
Liste des notes
Demande
rejetée
copies
Extérieur
|
Traitement
|
Support des données
|
Acteur ou poste
|
Période
|
Vérification
Non Incomplet Oui
Elaboration d'horaire
Enregistrement des résultats
Vérification
Non Oui
Enseignement et évaluation
|
Registre des admis
Registre des admis
Registre des admis
Horaire des enseignants
Liste des élèves présentées
Classement
|
Secrétaire chargée des inscriptions
Secrétaire chargée des inscriptions
chargée des programmes
chargé du cours
|
Au moment de la demande d'inscription
Au moment de la demande d'inscription
Au moment de la préparation des cours
chaque trimestre
|
|
3.6 Le modèle
organisationnel du traitement MOT
Figure 5:Schéma du
modèle organisationnel des traitements
3.7 Le dictionnaire des données
Tableau 2: Dictionnaire des
données
Structure de
Données
|
Attributs
|
Type de données
|
Taille
|
Contrainte d'intégrité
|
Description
|
identite
|
matricule
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identification De l'élève
|
|
Nom
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Nom de l'élève
|
|
Prenom
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Prénom de l'élève
|
|
Pere
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Nom du père de l'enfant
|
|
Mere
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Nom de la mère de l'enfant
|
|
Sexe
|
char
|
1
|
Valeur non nulle
|
Sexe de l'enfant
|
|
DOB
|
datetime
|
8
|
Valeur non nulle
|
Date de naissance de l'enfant
|
|
provinceOrigine
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
province d'origine de l'enfant
|
|
districtOrigine
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
district d'origine de l'enfant
|
|
secteurOrigine
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
secteur d'origine de l'enfant
|
|
provinceResidence
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
province de résidence de l'enfant
|
|
districtResidence
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
District de résidence de l'enfant
|
|
secteurResidence
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
secteur de résidence de l'enfant
|
|
celluleResidence
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
cellule de résidence de l'enfant
|
|
contactParents
|
nvarchar
|
50
|
Valeur non nulle
|
Références des parents
|
|
boitePostal
|
nvarchar
|
30
|
Valeur nulle
|
Adresse postal des parents de l'enfant
|
|
religion
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Religion de lenfant
|
|
situationFamiliale
|
nvarchar
|
50
|
Valeur nulle
|
Précisément si l'enfant a les deux parent,un des
parent ou orphelin de deux parents
|
INSCRIPT-ION
|
matricule
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Code de l'élève,
|
|
AnneeScolaire
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Année scolaire en cours,
|
|
AnneeEtude
|
datetime
|
20
|
Valeur non nulle
|
Année d'étude en cours
|
|
Bailleur
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Responsable des frais de scolarité de l'enfant
|
|
Doubleur
|
bit
|
1
|
Valeur nulle
|
Si l'enfant reprend l'année
|
|
DateJour
|
datetime
|
8
|
Valeur non nulle
|
Jour de l'inscription
|
|
TotPaye
|
numeric
|
9
|
Valeur non nulle
|
Montant à payer durant l'année en cours.
|
|
solde
|
numeric
|
9
|
Valeur nulle
|
Montant reste à payer durant l'année en
cours.
|
PAIEME-NTS
|
Numero
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Numéro d'ordre de payement
|
|
Eleve_ID
|
nvarchar
|
20
|
Clé étrangère Valeur non nulle
|
Identifie l'élève
|
|
AnneeScolaire
|
datetime
|
8
|
Valeur non nulle
|
Année scolaire en cours
|
|
NumeroBordereau
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Numéro de versement à la banque
|
|
DateBordereau
|
datetime
|
4
|
Valeur non null
|
Date de payement
|
|
Banque
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Banque titulaire de compte de l'école
|
|
Montant
|
nvarchar
|
30
|
Valeur non nulle
|
Montant payé
|
|
DateJour
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Date
|
COURS
|
codeCours
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifiant de cours
|
|
codeClasse
|
nvarchar
|
20
|
Clé étrangère Valeur nulle
|
Identification de classe
|
|
libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Intitule du cours.
|
|
maxTj
|
float
|
10
|
Valeur non nulle
|
Max du cours en travaux journalier
|
|
maxExamen
|
float
|
8
|
Valeur non nulle
|
Max du cours examen
|
|
maxTrimestre
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Note trimestrielle du cours
|
|
maxAnnuel
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Note annuelle du cours
|
NOTES
|
matricule
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur nulle
|
Identificateur de l'eleve, identifiant note
|
|
codeClasse
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identificateur de classe, identifiant note
|
|
trimestre
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Trimestre en cours, identifiant note
|
|
anneeScolaire
|
datetime
|
8
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Année scolaire en cours, identifiant note.
|
|
codeCours
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identificateur de cours, identifiant note.
|
|
Note_Tj
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Note trimestrielle en travaux journaliers.
|
|
noteExam
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Note trimestrielle en examen.
|
|
noteTrimestrielle
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Note trimestrielle
|
|
noteAnnuelle
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Note annuelle
|
Employe
|
codeEmploye
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifiant de l'employée
|
|
Nom
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Nom de l'employée
|
|
Prenom
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Prénom de l'employée
|
|
DOB
|
datetime
|
15
|
Valeur nulle
|
Date de naissance de l'employée
|
|
niveau
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Niveau d'étude de l'employée
|
|
Nationalite
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Nationalité de l'employée
|
|
specialite
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Domaine don't l'employée est specialise
|
|
Departement
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Département de l'employée
|
CLASSES
|
codeClasse
|
nvarchar
|
20
|
V primaire Valeur non nulle
|
Identifiant classe
|
|
Niveau
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Niveau de la classe
|
|
anneeEtude
|
datetime
|
8
|
Valeur non ulle
|
Année de etude classe
|
|
codeEmploye
|
nvarchar
|
20
|
Clé étrangère Valeur non nulle
|
Titulaire de classe
|
PROVIN-CES
|
codeProvince
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifient de province
|
|
Libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Libelle de province
|
DISTRIC-TS
|
codeDistrict
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifiant de district
|
|
codeProvince
|
nvarchar
|
20
|
Clé étrangère Valeur non nulle
|
référence de district dans la province
|
|
Libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Libelle de district
|
SECTEU-RS
|
codeSecteur
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifiant de secteur
|
|
codeDistrict
|
nvarchar
|
20
|
Clé étrangère Valeur non nulle
|
Référence de secteur dans district
|
|
Libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Libelle secteur
|
CELLUL-ES
|
codeCellule
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur nulle
|
Identifiant de cellule
|
|
codeSecteur
|
nvarchar
|
20
|
Clé étrangère Valeur non nulle
|
Référence de cellule dans secteur
|
|
Libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Cellule libelle
|
BANQUE
|
codeBanque
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifiant banque
|
|
Libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Libelle banque
|
RELIGION
|
codeReligion
|
nvarchar
|
20
|
Clé primaire Valeur non nulle
|
Identifiant religion
|
|
|
|
|
|
|
BAILLE-UR
|
codeBailleur
|
nvarchar
|
20
|
Valeur non nulle
|
Identifiant bailleur
|
|
libelle
|
nvarchar
|
20
|
Valeur nulle
|
Libelle bailleur
|
|
pourcentage
|
float
|
8
|
Valeur nulle
|
Pourcentage assigne au bailleur.
|
3.8 Modèle logique
Table identite (matricule, nom, prénom, pere,
mere,sexe, DOB, provinceOrigine,districtOrigine, secteurOrigine,
provinceResidence, districtResidence, secteurResidence, celluleResidence,
contactParents, boitePostal, religion, situationFamiliale)
Table inscription (#matricule, anneeScolaire,
anneeEtude, bailleur, doubleur,dateJour, TotPaye, solde )
Table paiement(numero, #matricule, anneeScolaire,
numeroBordereau, banque, montant, dateJour,dateBordereau,)
Table classe(codeClasse, niveau, anneeEtude,
codeEmploye)
Table cours(codeCours, #codeClasse, libelle, maxTj,
maxExamen, maxTrimestre, maxAnnuel)
Table notes(#matricule,
#codeClasse,trimestre, anneeScolaire, #codeCours,
Note_Tj, NoteExam, NoteTrimestrielle, NoteAnnuelle)
Table Employe(codeEmploye, nom, prenom, DOB, Niveau,
Nationalite, specialite, Departement)
Table classe(codeClasse, ,niveau,anneeEtude,
#codeEmploye)
Table bailleur(codebailleur, Libelle, pourcentage)
Table banque (codeBanque, Libelle)
Table province(code, Libelle)
Table district(codeDistrict, Libelle, #codeProvince)
Table cellule(codeCellule, Libelle, #codeSecteur)
Table religion(codeReligion, libelle)
3.9 Model physique des données
Figure 6: Model physique des
données
CHAPITRE 4 :
REALISATION ET TEST DU NOUVEAU SYSTEME
4.1 Introduction
Dans le chapitre précédent, nous avons
présenté le modèle de gestion et
l'architecture générale de notre application.
Dans ce chapitre nous allons décrire de manière
générale le modèle client-serveur en dot net qui constitue
la base de notre architecture. Nous détaillerons aussi les
différents niveaux qui constituent notre application. Enfin, nous
présenterons les résultats et tests effectués.
4.2. Les outils
utilisés
Dans la conception d'un nouveau système d'information,
l'architecture se présente enfin de faciliter le choix de technologies
à utiliser. Le choix se base sur les objectifs à poursuivre, les
besoins, le volume d'activités que l'on doit gérer et le genre
de la communication.
Dans la conception de l'application SYGEP,
nous avons fait recours aux différents outils qui nous ont aidés
à la mise en place de l'application SYGEP. Nous
pouvons mentionner :
-SQL Server 2000 pour l'implémentation de la base des
données
-Visual Basic .net 2003 pour la mise en place d'une
interface homme machine
-Crystal Report 8.5 pour générer les
rapports
4.2.1 SQL SERVER
Le langage SQL a été initialement conçu
dans les années 1970 par la firme IBM. Il a été ensuite
normalisé (la norme actuelle, SQL-2000, date de 1992) et est devenu le
standard de tous les SGBDR. Ce langage permet de masquer aux programmeurs les
algorithmes de recherche des données dans des fichiers physiques
eux-mêmes structurés de manière très complexe et
différemment selon les SGBDR. Transact SQL prend certaines
libertés par rapport à la norme, mais la majeure partie de ce
qu'on aborde ici est réutilisable avec un autre système de
gestion.
Il se décompose en quatre sous langages
qui s'occupent de :
- La définition des données (LDD) :
création des tables, des contraintes, etc. ;
- La manipulation des données (LMD) :
sélectionner, insérer, supprimer et modifier ;
- Le contrôle des données :
intégrité, droits d'accès, verrous et cryptage ;
- La programmation (Transact SQL) : procédures
stockées, fonctions, déclencheurs.
Dans ce langage, les données sont stockées dans
les objets appelés tables. Ce logiciel utilise treize tables qui sont
les suivants :
- La table Identite nous permet de saisir les informations
générales sur un élève. Cette table garde les
informations statiques d'un élève.
- La table Inscription nous permet de saisir les
détails concernant l'élève. Ces détails sont des
informations qui varient au cours des années quand l'élève
change d'une classe à l'autre.
- La table note nous aide à stocker les notes des
élèves.
- La table paiement nous aide à garder les
enregistrements en relation avec le paiement des élèves.
- La table cours nous permet de saisir les cours suivis par
les élèves.
- La table classe garde les classes disponibles pour toutes
les promotions scolaires.
- La table bailleur est une table qui stocke les informations
en relation avec les bailleurs qui prennent en charge en partie ou en
totalité le paiement des frais scolaire des élèves.
- La table religion garde les différentes religions.
- La table banque garde les différentes banques.
- La table provinces garde les différentes
provinces.
- La table districts garde les différents districts.
- La table secteur garde les différents secteurs.
- La table cellule garde les différentes cellules.
4.2.2 VISUAL BASIC dot net 2003
Présentation de Visual Basic
Visual Basic est un outil développé par la
société américaine appelée "Microsoft" pour
développer facilement des applications fonctionnant sous Microsoft
Windows. Visual Basic est, comme son nom l'indique, un outil visuel permettant
de créer sans notion de programmation l'interface graphique (GUI -
Graphical User Interface) en disposant à l'aide de la souris des
éléments graphiques (boutons, images, champs de texte, menus
déroulants,...).
Visual Basic .NET
Visual Basic .NET (VB.NET) est la nouvelle
génération du langage Visual Basic. Bien que les syntaxes de
Visual Basic .NET et Visual basic restent sensiblement proche, Visual Basic
.NET constitue une rupture totale avec Visual Basic. Il intègre de
nouvelles fonctionnalités telles que l'héritage, les interfaces,
la surcharge des fonctions, ce qui en fait un langage orienté objet
à part entière.
Par ailleurs, Visual Basic .NET dispose avec Visual Studio d'un
IDE et d'assistants générateurs de code avancés. C'est
à ce jour, un des langages les plus simples pour construire des
applications .NET
4.2.3 CRYSTAL REPORTS
Crystal Reports est un des générateurs
d'états le plus connus. Il présente une interface facile à
utiliser qui permet aux utilisateurs de construire des rapports rapidement mais
ayant assez de profondeur pour produire des rapports complexes et
répondre aux besoins avancés.
Crystal Reports a la possibilité de se connecter aux
sources des données telles que SQL Server, Oracle, Microsoft Access, des
fichiers logs de type Web,... On peut naviguer à travers ces
systèmes de stockage de données, et trouver les informations dont
on a besoin, et extraire les données pour produire des rapports
sophistiqués.
Crystal Reports est l'outil de création des rapports le
plus populaire utilisé pour afficher ces rapports dans les applications
Visual Basic 6.0 ainsi que Visual Basic .NET.
Les outils ci haut cités nous ont aidé à
mettre en place un logiciel qui répond aux problèmes
évoqués dans le deuxième chapitre. Pendant et après
la mise en place de ce logiciel, il faut effectuer certains tests.
4.3 Notion de test
Le test de l'application après le développement
s'avère nécessaire pour s'assurer de la bonne marche de
l'application. Pour mieux comprendre cette partie, certaines définitions
sont importantes :
- La faute est définie comme étant une
cause d'une erreur.
- Une erreur est un écart entre une valeur ou
condition calculée, observée ou mesurée et la valeur ou
condition qui est vraie, spécifiée ou théoriquement
correcte.
- Un défaut ou anomalie est la manifestation d'une
erreur dans un logiciel. Un défaut peut causer une panne.
- Une panne est la fin de la capacité d'un
système ou d'un de ses composants d'effectuer la fonction requise, ou de
l'effectuer à l'intérieur de limites spécifiées.
- Le test est un processus manuel ou automatique, qui vise
à établir qu'un système vérifie les
propriétés exigées par sa spécification, ou
à détecter des différences entre les résultats
engendrés par le système et ceux qui sont attendus par la
spécification.
En vue de minimiser les risques d'erreurs de programmation et
de vérifier la conformité du produit intermédiaire ou
final avec le cahier des charges, de nombreux outils et méthodes ont
été créés. La capacité du produit à
résister à différentes montées en charge fait
également partie de la batterie de tests qu'une solution se doit de
passer avant d'être mise en place.
Le test visant la mise en évidence des erreurs d'un
logiciel, n'a pas l'objectif de diagnostiquer la cause de ces erreurs ni celui
de corriger les fautes. Cependant l'efficacité du test (son aptitude
à détecter des erreurs) doit être conforme à
certains critères de qualité.
La qualité étant l'ensemble des
propriétés et caractéristiques d'un produit ou service qui
lui confèrent l'aptitude à satisfaire des besoins exprimés
ou implicites, son niveau dépend du contexte d'utilisation du
logiciel : plus le contexte est critique, plus l'effort de test doit
être important. La programmation d'un logiciel aérospatial
requiert des exigences de qualité supérieures à la
programmation d'un éditeur de dessins techniques. Pour un logiciel
critique, le coût du test peut représenter plus de 40% du
coût du développement.
Dans le panorama des solutions de test du logiciel, trois
catégories de solutions ont été
détaillées :
- La première catégorie concerne les tests sur
le code source à proprement parler quelque soit le langage
utilisé. L'objectif est bien entendu de détecter, de
manière la plus automatisée qui soit, les anomalies.
- La deuxième catégorie de solutions concerne
les tests fonctionnels. Ces derniers reposent sur l'analyse des
spécifications de tout le logiciel ou une partie, sans tenir compte de
sa programmation intrinsèque. La solution est testée de telle
sorte qu'un input dans telle ou telle de ses sections doit renvoyer une
réponse conforme au cahier des charges.
- La troisième catégorie de solution est celle
relative à la performance des logiciels développés, que
ces derniers soient des applications web, réseau,...
4.3.1 Les tests fonctionnels
Le but des tests fonctionnels (appelés aussi tests
boite noire) est de :
- Vérifier le comportement d'un logiciel par rapport
aux spécifications (fonctions non-conformes ou manquantes,...)
- Vérifier le respect des contraintes (performances,
espace mémoire,...) et des facteurs qualité associés au
logiciel (portabilité,...).
Il n'est pas facile de connaître à priori le
nombre des tests nécessaires, le seul élément dont on est
sûr auquel on peut se baser est la spécification. La
spécification étant l'ensemble des exigences auxquelles le
produit ou le service doit se conformer. La spécification contient les
fonctions à réaliser par le logiciel, les interfaces de ce
logiciel et les contraintes fixées au développeur (performances
temporelles, performances spatiales, contraintes matérielles,
critères de sécurité et la portabilité).
4.3.2 Couverture des tests fonctionnels
Les tests fonctionnels sont divisés en quatre grandes
catégories à savoir : les tests nominaux, les tests aux
limites fonctionnels, les tests de robustesse et les tests de
conformité.
Les tests nominaux aident à vérifier la
conformité par rapport à la spécification pour un
comportement normal du logiciel, les tests aux limites aident à
vérifier le comportement aux limites du logiciel. Au niveau des tests
nominaux et des tests aux limites fonctionnelles, on teste les fonctions du
logiciel.
Les tests de robustesse permettant de valider la robustesse du
logiciel vis-à-vis de son environnement comme les tests hors limites
fonctionnelles, les tests en charges (saturation des réseaux, saturation
des requêtes,...) et les pannes des équipements externes.
Les tests de conformité vérifient les
contraintes associées au logiciel. Ces contraintes peuvent être
des performances, l'ergonomie (c'est-à-dire l'interface homme-machine)
et la portabilité (environnement).
Figure 7: Les phases de
test
Développement Test
Analyse (spécification) du logiciel
Conception générale
Conception détaillée
Codage
Tests unitaires
Intégration et tests d'intégration
Tests de validation
Modifications
et tests de
régression
http://www.inrs.fr/htm/comment_construire_les_tests_d_un_logiciel.htm
: Enchaînement
: Lien logique
Durant les phases de descente du cycle, le testeur
élabore les Plans de Tests du Logiciel décrivant
essentiellement :
- la stratégie des tests mise en place
- les moyens mis en oeuvre (matériel, logiciel et
humain)
- l'ensemble des fiches des tests.
Durant les phases de remontée du cycle, le testeur
exécute les fiches des tests décrites dans les plans et produit
les rapports des tests associés. Ces rapports contiennent
essentiellement :
- la synthèse des résultats de tests
- les résultats des tests détaillés
- la trace d'exécution des tests.
4.3.3 Les tests unitaires
Les tests unitaires ont pour but de valider chaque composant
logiciel pris unitairement par rapport à sa spécification
détaillée. Ce test est effectué dès qu'une
pièce de code a été codée et compilée
correctement et il utilise le type de test appelé test structurel. Ce
dernier consiste à analyser la structure interne du programme en
déterminant les chemins minimaux afin de s'assurer que toutes les
conditions d'arrêt de boucle ont été
vérifiées, toutes les branches d'une instruction conditionnelle
ont été testées et les structures de données
internes ont été testées (pour s'assurer la
validité).
4.3.4 Les tests d'intégration
Le but de ce test est la validation des sous systèmes
logiciels entre eux c'est-à-dire l'intégration de l'interface
entre les composants logiciels et l'intégration de l'interface entre le
logiciel et le matériel. Le test d'intégration est
effectué dès qu'un sous système fonctionnel (module,
objet) est entièrement testé unitairement. Une progression
ordonnée de tests dans laquelle des éléments logiciels et
matériels sont assemblés et testés jusqu'à ce que
l'ensemble du système soit testé.
4.3.5 Les tests de validation
Ce test consiste en la vérification de la
conformité du logiciel aux spécifications du logiciel
c'est-à-dire vérifier que le système construit correspond
bien aux besoins exprimés par le client. Ce test de validation est
effectué dès que l'ensemble des sous-systèmes fonctionnels
ont été testés et intégrés. A ce niveau, les
tests fonctionnels et les tests de robustesse sont utilisés.
4.3.6 Le test du logiciel ou test de
réception
Ce test de réception est un test
généralement effectué par l'acquéreur après
l'installation d'un système ou d'une entité fonctionnelle avec la
participation du fournisseur, pour vérifier que les dispositions
contractuelles sont bien respectées. Il est appelé test du
logiciel car à ce niveau le test est effectué dans
l'environnement réel du logiciel, avec les données du client, sa
plate-forme,...
4.3.7 Le test de régression
A la suite de la modification d'un logiciel (ou d'un de ses
constituants), un test de régression a pour but de montrer que les
autres parties du logiciel n'ont pas été affectées par
cette modification, c'est le test de régression. Cela est dû au
fait que l'utilisation du logiciel peut engendrer les nouveaux besoins dans
l'organisation. Le développement pouvant aussi être la cause de
cette modification.
4.4 Résultats obtenus
Comme nous l'avons signalé dans les parties
précédentes, le logiciel sujet de notre travail a
été développé en vue de répondre aux besoins
que présentait la gestion des écoles primaires.
Le module de gestion d'enregistrement développé
dans ce logiciel nous a permis de résoudre quelques problèmes
comme la gestion d'enregistrement, la gestion de l'inscription des
élèves et la liste des élèves.
Pour l'inscription, les données concernant chaque
élève étaient saisies dans un registre d'inscription et
pour établir le rapport concernant ces inscriptions, il fallait faire le
pointage dans le registre. Avec le nouveau système, l'utilisateur va
saisir les données dans la base des données et il pourra imprimer
des rapports automatiques. Pour la saisie dans la classe montante, le processus
est le même.
Le module comptabilité, à son tour, nous a
permis de résoudre les problèmes comme la détermination du
nombre d'élèves en dette automatiquement.
Pour sortir les bulletins, se fait par sélection de
classe ou d'un élève individuellement.
Pour avoir ces résultats, des tests ont
été effectués. Le logiciel que nous avons
développé a subi des tests unitaires, des tests
d'intégrations et le test de validation.
Les tests unitaires ont été effectués
après l'écriture de chaque morceau de code. Avant de passer
à une nouvelle section, il a toujours été
nécessaire de faire des tests pour les sections déjà
effectuées. A cause du nombre élevé des unités
développées et testées, il n'est pas facile de citer tous
les tests unitaires qui ont été effectué mais nous pouvons
identifier certains d'entre eux. Ces tests sont par exemple la saisie des
élèves, la détermination du résultat,... Un
formulaire a été préparé pour la saisie de ces
élèves dans la base des données. Après le test
unitaire, il a fallu effectuer des tests d'intégration. Les tests
d'intégration sont aussi multiples comme des tests unitaires car il a
fallu intégrer toutes les unités testées dans un
même logiciel scriptions et la gestion de notes. La gestion de notes
devrait tirer les données dans l'unité. Ces tests ont
confirmé le bon fonctionnement de l'interface entre les
différentes sections déjà testées unitairement ou
séparément. L'un des exemples est la gestion des in inscription.
Le test d'intégration a montré que ces données saisies
dans l'inscription arrivaient immédiatement dans l'unité qui nous
permet la gestion de note. C'est-à-dire quand un élève est
saisi sur le formulaire d'inscription, ces informations sont aussi
enregistrées directement dans l'unité de gestion de note et le
test l'a confirmé.
Le test de validation s'avérait aussi nécessaire
pour vérifier si réellement le logiciel mis en place
répond exactement aux besoins exprimés dans les
spécifications. Ce test n'a pas été effectué pour
plusieurs raisons. Ce test devrait se passer en deux phases : la
première phase pour le test du module gestion d'enregistrement des
inscriptions et des notes et la seconde pour le module de comptabilité.
Dans la gestion de paiement, nous devrions saisir des opérations
paiement possibles et d'autres opérations comme la contribution des
bailleurs. Dans le module comptabilité, il fallait essayer d'enregistrer
les opérations réelles pour voir comment le logiciel se comporte.
A la fin il fallait aussi faire le contrôle pour vérifier aussi si
le résultat était déterminé correctement avec des
données réelles.
Signalons aussi que le test de réception n'a pas
été effectué à cause de plusieurs exigences qui
n'ont pas été disponibles à temps. Après ces tests
qui ont été effectués avec succès, nous pouvons
dire que le travail a atteint son objectif.
4.5 Protection des données
La politique de sécurisation détermine les
actions à mener pour assurer l'intégrité, la
confidentialité des données et la disponibilité du
service.
Sauvegarder régulièrement le fichier contenant
la base de données est l'une de mesure de protection des données.
C'est lui qui contient les fiches principales. Cette sauvegarde peut se faire
sur un lecteur externe (disquette, CD, Flash disc...). Il est
intéressant de noter que les données de ce fichier peuvent
être compressées. Pour cela il suffit d'utiliser un utilitaire
comme Win Zip, WinRAR etc.
4.6 Les exigences du logiciel
Du côté des postes client
Les systèmes d'exploitations suivant supportent la
conception et le déploiement d'applications .NET
développées avec VB.NET.
Microsoft Windows Server 2003
Windows XP Professionnel
Windows XP Édition familiale (Sans possibilité
de création d'applications Web et de services WEB XML)
Windows 2000 Professionnel (Service Pack 3 ou version
ultérieure requis)
Windows 2000 Server (Service Pack 3 ou version
ultérieure requis)
Windows NT 4.0 (VSNET 2002 exclu)
Les plates-formes Windows 98, Windows 98 Deuxième
Édition et Windows ME, Microsoft Windows NT 4.0 (pour VS.NET 2002) ne
sont pas prises en charge pour la conception et le développement avec
Visual Studio .NET. Vous pouvez déployer des applications dans les
environnements de plates-formes Windows 98 et Windows ME, Microsoft Windows NT
4.0 (Service Pack 6a requis).
L'installation du runtime Framework.NET est indispensable sur
le poste cible.
- CPU : Pentium III ou supérieur
- RAM : 128 Mo ou supérieur
- 15 Mo libres sur le disque dur
Du côté du serveur
-La plate-forme : WINDOWS 2000 Server
- 3 Go libre sur le disque dur
Les logiciels pré requis :
-SQL Server 2000
Installation des Service Pack les plus récents des
logiciels cités ci haut pour garantir le bon fonctionnement du
système.
CONCLUSION ET RECOMMENDATIONS
CONCLUSION
Au terme de notre travail de fin d'étude
intitulé « La Gestion des information des élèves
d'une école primaire », Rappelons que l'objectif principal que
nous nous sommes assigné était l'utilisation des nouvelles
technologies pour une meilleure gestion des informations concernant les
élèves d'une école primaire. A cet effet, nous avons voulu
d'abord, au cours de notre étude, faire une analyse de la pratique de
gestion des informations des élèves par le système
existant dans les écoles primaires; ensuite nous rendre compte de la
qualité de cette dernière et enfin apporter une meilleure
solution. Pour y arriver nous avons divisé notre travail en quatre
parties interdépendantes.
Le premier chapitre qui est l'introduction
générale comprend la présentation du sujet, le choix et
l'intérêt du sujet, les objectifs du travail, l'hypothèse
centrale, la délimitation du sujet, la méthodologie de recherche,
la subdivision du travail et les résultats attendus.
Afin de vérifier notre hypothèse, nous nous
sommes servi de certaines méthodes et techniques. Concernant les
méthodes nous avons fait recours à la méthode MERISE L
qui est une méthode utilisée pour la conception des
systèmes informatiques et pour ce qui est des techniques qui nous ont
permis de bien comprendre le problème et d'apporter une solution, nous
nous sommes appuyés sur les interviews, la documentation et
l'observation.
Le second chapitre explique le fonctionnement de l'ESCAF, les
procédures d'enregistrement ainsi que les fiches utilisées pour
les différentes opérations sur les renseignements des
élèves de la dite école. Ici nous avons décrit le
système existant, son fonctionnement et ses défaillances, ensuite
nous avons décrit le nouveau système à mettre en place,
son fonctionnement et ses exigences.
Le troisième chapitre comprend la conception du
logiciel de gestion des informations des élèves de l'école
primaire (SYGEP). Au cours de ce chapitre, nous avons relevé les
données ainsi que les traitements du nouveau système
d'après l'analyse faite dans le deuxième chapitre. Nous avons
présenté différents modèles conceptuels de
données et des traitements permettant d'aboutir au bien livrable de ce
travail.
Le quatrième chapitre présente le nouveau
système, les testes et ses exigences, les résultats obtenus et
montre les différents outils utilisés pour le mettre en place.
«SYGEP » est une réponse des besoins de
l'ESCAF, il permet la réalisation des différentes
activités de l'école.
Le logiciel conçu va faciliter les activités de
gestion des informations en relation avec les élèves surtout le
suivi des dossiers.
Alors nous croyons qu'une fois le logiciel installé, il
va améliorer les activités de gestion des informations des
élèves.
En définitive, nous osons croire qu'une fois ce
logiciel est mis en production, il contribuera à l'amélioration
de la gestion des informations des eleves de l'ESCAF. Il aboutit aux
résultats attendus : -Inscrire les élèves pour le recueil
et le stockage des renseignements dans une base des données.
-Identifier les différents types de bailleurs de fond
(ADRA et autres) facilement.
-Repérer les élèves qui se trouvent dans
une tranche d'âges donnés.
-Voir les élèves qui ont déjà
payé ou pas le Minerval
-Visualiser tous les renseignements sur un
élève, y compris sa photo.
-Lister tous les élèves inscrits dans une
classe.
-Lister les cours programmés pour une classe
-Apercevoir le palmarès (Fiche de
délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms
de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs,
liste des cours avec échecs)
-Visualiser/Imprimer/Archiver tous les bulletins d'une classe
en un seul clic
(Alternativement voir un seul bulletin, surtout utile au
moment des réclamations et pertes individuelles)
RECOMMANDATIONS
Il est indispensable, afin de bâtir un avenir meilleur,
d'appréhender les nouvelles
Données du secteur éducatif, d'en déceler
les points forts et les faiblesses avant de pouvoir identifier les domaines
d'intervention prioritaires.
Suivant les différents points qu'on a traités,
il est important de souligner que L'étude présentée dans
ce mémoire permet de mettre en évidence un certain nombre de
pistes de développement quant à l'avenir du logiciel «SYGEP
». Ce logiciel pourra être amélioré et inclure les
fonctionnalités telles que la consultation online des informations des
écoles primaire, la gestion des places disponibles à
l'école, le paiement des frais des frais de scolarité online,
etc. Tout à reconnaissant les possibilités des écoles
primaire. C'est pourquoi nous ne pouvons pas clôturer ce travail sans
laisser la piste ouverte à l'approfondissement de ce sujet par celui qui
sera intéressé à continuer ce travail.
Références bibliographiques et
webographiques
0. Camille, Moine, Informatique appliquée à
la gestion, 1re et 2e édition, Paris, juillet
2000.
1. Ngabo A. SEBAHASHYI, cours Analyse des programmes et
spécification, UAAC, année 2001-2002.
2. DI GALLO Frederic, Cours de génie logiciel,
CNAM, bordeaux, 1999-2000
3. Politique Sectorielle de l'Education au Rwanda, MINEDUC,
mai 1998
4. Attributions du MINEDUC, janvier 2000
5. Rapport du Séminaire - Atelier sur la
Révision et l ' Harmonisation des
Programmes de l'Enseignement Secondaire, Kigali, mai 1996
6. Etude du Secteur de l'Education au Rwanda, Kigali,
novembre 1997
7. Rapport du Recensement Général des
Enseignants au Rwanda, MINEDUC, juillet
2000
8. Statistiques de l'Enseignement, MINEPRISEC, 1990-1991
9. Statistiques de l'Enseignement, MINEPRISEC, 1991-1992
10. Recensement Statistique, Primaire et Préscolaire,
MINEDUC, 2000-2001
11. Séminaire sur l'éducation non formelle,
Kigali, juin 1995.
12. Projet d'amélioration de l'éducation
populaire, 1995.
13. Country population Assesment Kigali, 2000.
14. Etude du secteur de l'Education au Rwanda, Kigali,
novembre 1997.
15. Enquête socio - démographique, Kigali,
(1996.
Webographiques
http://www.learningtree.fr/courses/fr530.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/PHP_hypertext_preprocessor
http://www.commentcamarche.net/javascript/jsintro.php3
http://home.netscape.com.
http://www.allhtml.com/articles/detail/257
http://www.chez.com/qaghan/JavaScript/fscriptn.php
http://remi.leblond.free.fr/probatoire/node9.html
http://www.iro.umontreal.ca/~pift3030/H03/02_architecture.pdf
http://www.locoche.net/intro_reseau.php
http://www.laltruiste.com/document.php?rep=annexe&page=developpement_logiciel&precedent=37
ANNEXE
Page d'accueil
Page de connexion
Page des menus
Page de l'identification de l'élève
Page d'inscription de l'élève
Page de payement de l'élève
Page d'enregistrement de notes de l'élève
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