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Gestion des informations relatives aux élèves d'une école primaire

( Télécharger le fichier original )
par Félix NIYOMUGABA
Université adventiste d'Afrique Centrale - Bachelor's degree 2007
  

Disponible en mode multipage

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UNIVERSITE ADVENTISTE D'AFRIQUE CENTRALE

FACULTE DE GESTION ET ADMINISTRATION

Option : Informatique

GESTION DES INFORMATIONS RELATIVES AUX ELEVES D'UNE ECOLE PRIMAIRE

(Cas ESCAF)

Mémoire présenté pour l'obtention

du grade de « Bachelor's degree » en

Informatique de Gestion

Par

NIYOMUGABA Félix

Directeur : Enan NYESHEJA

Kigali, juillet 2007

SOMMAIRE

De nos jours, la gestion des données d'une façon automatisée occupe une place privilégiée dans le monde de l'informatique. L'avantage incontesté de cette technologie est sa possibilité d'intégrer les rapports, la sécurité et les données sur une même infrastructure informatique existante déjà. Grâce à cette technologie le temps de recherche des données a chuté de manière considérable ce qui laisse croire qu'elle a encore de beaux jours devant elle. Différents standards et outils de contrôle ont été élaborés pour rendre possible cette gestion automatisée pour une application à une autre.

Pour la gestion des données relative à l'élève de l'école primaire, nous allons concevoir une application de gestion, cette dernière va permettre :

- LA dualité (informatique et traditionnelle) du stockage des données et résultats.

- La grande rapidité d'exécution.

- La plus grande lisibilité des données obtenues et exploitation plus facile des résultats.

- Le format des documents standardisé.

- La sortie sur imprimante des listes et renseignements.

- L'accès à des éléments statistiques, par comptages par exemple, extrêmement difficiles

à obtenir par les méthodes traditionnelles.

- L'accès, à tout moment, à une touche d'aide à l'utilisation du logiciel.

- La prise de décision en se basant sur les différents types de rapports.

Sa mise en oeuvre, a été réalisée selon une architecture client-serveur à l'aide des librairies du langage de programmation VB Dot net pour transmettre et recevoir

les données de la base des données.

DEDICACE

A notre femme Sarah KAYITESI ;

A nos enfants Ketsia GAJU et Kenzy R. GANZA ;

A tous nos frère ;

A nos parents regrettés ;

A notre grand frère regretté François GASASIRA ;

A tous ceux qui nous sont chers

REMERCIEMENTS

Au bout de notre travail de recherche, le Dieu Tout Puissant est grandement remercié pour nous avoir protégé, gardé et donné son souffle de vie.

Nous adressons notre gratitude en premier lieu au corps professoral de l'UAAC, aux enseignants qui ont assuré notre formation.

Nous remercions sincèrement notre directeur de mémoire Enan NYESHEJA, professeur au département Informatique au KIST (Kigali Institute of science and Technology),sans l'initiative de ces derniers ce projet n'aurait pas été possible. Nous tenons à leur exprimer toute notre reconnaissance pour leur dévouement, la confiance qu'ils nous ont accordée, leur rigueur et la qualité des commentaires et suggestions dont ils nous ont fait part.

Nos remerciements s'adressent à la Direction et à tout le personnel de l'ESCAF, plus particulièrement Jotham NIYOGAKIZA, de leur accueil si chaleureux.

Nous remercions particulièrement notre chère épouse, qui nous a soutenu et encouragé durant toute la période de nos études, nos enfants, et surtout nos chers beaux parents, pour leurs encouragements et leurs soutiens moral.

Merci à tous nos collègues de leurs soutien matériel et intellectuel, plus particulièrement à Vivien NIYOMUGENGA de sa collaboration.

Merci à toute personne qui aurait contribué de près ou de loin dans l'accomplissement du présent travail.

NIYOMUGABA Félix

TABLE DES MATIERES

Pages

SOMMAIRE iii

DEDICACE iv

REMERCIEMENTS v

TABLE DES MATIERES vi

LISTE DES TABLEAUX ix

LISTE DES FIGURES x

Liste des annexes xi

SIGLES ET ABREVIATIONS xii

CHAPITRE 1 : INTRODUCTION 1

1.1. Présentation du sujet 2

1.2. Hypothèse 3

1.3. Objectif du projet 3

1.4. Choix et intérêt du sujet 4

1.5. Limitation du sujet 4

1.6. La subdivision du travail 4

1.7. Modules du système 5

1.8. Méthodologie 5

1.9. Approche méthodologique 5

CHAPITRE 2 : SYSTEME ACTUEL DE GESTION DES ECOLES PRIMAIRES 7

2.1. Introduction 7

2.2. Principe 7

2.3. Notions générales et définitions 8

2.3.1 Education 8

2.3.2 Enseignement 9

2.3.3 Enseignement primaire 9

2.3.4. Enseignement primaire au Rwanda 9

2.4. Système d'enseignement au sein de l'ESCAF 12

2.4. Les activités du système actuel de gestion de l'ESCAF 12

2.5. Problèmes identifiés dans le système 13

2.6. Solutions envisagées et proposées 13

CHAPITRE 3 : ANALYSE ET CONCEPTION DU SYSTEME 14

DE GESTION AUTOMATISE 14

3.1 Introduction à la méthodologie d'analyse 14

3.1.1 Pourquoi une méthode d'analyse ? 14

3.1.2 Qu'est ce que MERISE ? 15

3.1.2.1 Les niveaux d'abstraction : 15

3.1.2.2 La démarche préconisée par MERISE : 17

3.2. Diagramme de flux de données 18

3.2.1. Diagramme de flux des données lors de l'inscription 20

3.2.2. Diagramme de flux des données lors de l'examen 21

3.3 Le modèle conceptuel des données (MCD) ou encore modèle Entité- Association 22

3.3.1 Qu'est ce que le MCD 22

3.3.2. Définition des concepts de base 22

3.3.2.1 Entité ( objet ou individu) 22

3.3.2.2 Les propriétés  (attributs ) 22

3.3.2.3 Les relations 22

3.3.2.4 Les cardinalités 23

3.3.2.5 Identifiant d'une entité 23

3.3.2.6 Identifiant d'une relation : 23

3.3.3 Construction d'un MCD 23

3.3.4 MCD 25

3.4 Le modèle conceptuel des traitements 26

3.5. Le modèle conceptuel des traitements (MCT) 28

3.6 Le modèle organisationnel du traitement MOT 29

3.7 Le dictionnaire des données 30

3.8 Modèle logique 35

3.9.Model physique des données 37

CHAPITRE 4 : REALISATION ET TEST DU NOUVEAU SYSTEME 38

4.1 Introduction 38

4.2. Les outils utilisés 38

4.2.1 SQL SERVER 38

4.2.2 VISUAL BASIC dot net 2003 40

4.2.3 CRYSTAL REPORTS 40

4.3 Notion de test 41

4.3.1 Les tests fonctionnels 42

4.3.2 Couverture des tests fonctionnels 43

4.3.3 Les tests unitaires 45

4.3.4 Les tests d'intégration 45

4.3.5 Les tests de validation 45

4.3.6 Le test du logiciel ou test de réception 45

4.3.7 Le test de régression 46

4.4 Résultats obtenus 46

4.5 Protection des données 47

4.6 Les exigences du logiciel 48

CONCLUSION ET RECOMMENDATIONS 50

CONCLUSION 50

RECOMMANDATIONS 52

Références bibliographiques et webographiques 53

Webographiques 53

LISTE DES TABLEAUX

Pages

Tableau 1: tableau des modèles d'analyse 16

Tableau 2: Dictionnaire des données 30

LISTE DES FIGURES

Pages

Figure 1: Diagramme de flux de données inscription 20

Figure 2: Diagramme de flux des données lors de l'examen 21

Figure 3: Modèle conceptuel Entité Relation 25

Figure 4: Le modèle conceptuel des traitements 28

Figure 5:Schéma du modèle organisationnel des traitements 29

Figure 6: Model physique des données 37

Liste des annexes

ANNEXE A : Page d'accueil

ANNEXE B : Page de connexion

ANNEXE C : Page des menus

ANNEXE D : Page de l'identification de l'élève

ANNEXE E : Page d'inscription de l'élève

ANNEXE F : Page de payement de l'élève

ANNEXE G : Page d'enregistrement de notes de l'élève

SIGLES ET ABREVIATIONS

ADRA : Adventist Development and Relief Agency.

BASIC : Beginners All-Purpose Symbolic Instruction Code.

CPU : Central Processing Unit

DFD  : Diagramme des Flux des Données

EPU  : Enseignement Primaire Universel

ESCAF : Ecole des Sciences Anglais et Français.

GUI  : Graphical User Interface

ICT  : Information and Communication Technologies.

IDE  :Integrated Development Environment

MCD  : Modèle Conceptuel des Données

MCT  : Modèle Conceptuel des Traitements

MERISE  : Méthode d'Étude et de Réalisation Informatique pour les

Systèmes d'Entreprises.

MINEDUC  : Ministère de l'Education.

MLD  : Modèle Logique des Données

MPT  : Modèle Physique de Traitement.

MOT  : Modèle Organisationnel des Traitements.

OMT  : Object-Modeling Technique.

RAM  : Random Access Memory

SADT  : Structured Analysis and Design Technique.

SGBDR  : Système de Gestion de Base de Données Relationnelles

SI  : Système d'Information

SQL  : Structured Query Language

U.A.A.C  : Universite Adventiste d'Afrique Centrale.

UML  : Unified Modeling Language

CHAPITRE 1 : INTRODUCTION

Le développement national et international est basé sur l'utilisation de l'outil informatique. La République Rwandaise a mi l'accent particulier sur ce dernier.

Elle a diminué la taxe sur tous ceux qui sont en relation avec la technologie de l'information pour inciter le peuple Rwandais à maîtriser, utiliser, développer et se familiariser avec l'outil informatique. La maîtrise de l'outil informatique a beaucoup d'avantage dans la résolution, le développement, l'exécution et la mise en ordre rapide des projets de tous les domaines.

Ces deux dernières années, l'Etat Rwandais a mis l'accent sur le développement de l'ICT au niveau des Universités et des écoles primaires et secondaires. Le développement de l'ICT au niveau de ces institutions facilite les concernés l'ouverture sur l'utilisation de l'outil informatique. Pour le personnel de gestion, le personnel de prise de décision ainsi que pour le personnel qui fréquente les dites institutions, l'utilisation de la technologie de l'information leur procure les multiples avantages au niveau professionnel, personnel et leur donne une ouverture globale.

Au niveau de l'éducation, la technologie de l'information joue un rôle important dans la gestion, communication, enseignement, loisir etc.

Pour la gestion des écoles, le logiciel va gérer :

- tous ceux qui sont en relation avec le personnel de l'institution ;

- les élèves et tous ceux qui sont en relation avec eux ;

Pour la gestion de l'école primaire, il y a quatre étapes en relation avec l'élève :

- Enregistrement

- Inscription

- Paiement des frais de scolarités

- Conception des bulletins pour la présentation les résultats de l'élève.

Sur ces activités, s'y ajoute aussi la suivie de leur trace c'est à dire l'archivage.

L'administration de l'école peut prendre les décisions en se referant sur les résultats émanant de la dite gestion.

1.1. Présentation du sujet

La technologie de l'information devient de plus en plus indispensable et incontournable dans la vie pour un développement durable. Cette technologie s'impose dans plusieurs domaines d'activités.

La technologie de l'information regroupe un ensemble d'appareils nécessaires pour manipuler l'information, et particulièrement des ordinateurs et des programmes nécessaires pour la convertir, la stocker, la gérer, la transmettre et la retrouver.

Ces technologies ont un impact social qui aboutit à un changement de notre société. C'est pourquoi on parle de société de l'information. L'implémentation de ces technologies implique une redéfinition radicale du fonctionnement des organisations et, a un impact sur de nombreux domaines des sciences humaines comme la sociologie, la théorie des organisations, la gestion et l'administration en général.

L'administration publique n'est pas aussi épargnée de ces multiples avantages de la technologie de l'information. La présentation de la situation sociale, économique, juridique et administrative se base sur les données statistiques récoltées aux différentes unités administratives.

L'éducation est l'un des domaines les plus essentiels dans l'administration. L'informatisation des statistiques concernant l'éducation au niveau des écoles primaires et gardiennes, pourra faciliter la transmission des rapports aux responsables des dites écoles et aux autorités ayant l'éducation dans ses attributions ainsi que la prise des décisions concernant le domaine de l'éducation. La prise des décisions fiables et concises est toujours associe à une bonne système de gestion d'information d'une façon automatise.

1.2. Hypothèse

Après avoir passé en revue la situation des écoles primaires et gardiennes, l'hypothèse suivante a été proposée: le développement d'un système de gestion des informations automatisé pourrait faciliter à l'école de l' ESCAF, à établir des rapports concernant l'éducation et contribuera à la prise des décisions dans le domaine de l'éducation. Ce système facilitera également à avoir une information correcte et précise selon l'analyse.

1.3. Objectif du projet

a) Objectifs généraux

- Mener une enquête et analyser les besoins en matière de gestion des écoles primaires et gardiennes.

- Mettre en place un logiciel qui répond à ces besoins en créant une base de données pour stocker les données nécessaires et en dessinant une interface pour accéder à la base de données.

- Utiliser une architecture Client Serveur pour supporter cette implémentation

b) Objectifs spécifiques

1 . Objectifs internes à l'école

- Gérer le registre matricule des élèves avec les mêmes obligations de rigueur et de contenu que celles de la gestion écrite.

- Gérer la liste, par classes et par école, des coordonnées individuelles avec numéro de téléphone, nom de la nourrice, adresse...

- Gérer les différentes listes que les maîtres établissent à la main : nom, prénom, date de naissance, par ordre alphabétique et par ordre de niveau.

2 . Objectifs administratifs

- Donner, autant que possible dans le format demandé par l'Administration, les chiffres des enquêtes. Si ce format n'est pas « normalisé », apporter aux chiffres un format qui en facilitera la lisibilité et l'exploitation.

- Sortir, classée sur la classe suivie, la liste des enfants en retard, avec le nombre d'années de retard, la liste des enfants en avance.

- Sortir la liste des élèves maintenus dans les niveaux de cycles.

- Sortir l'enquête statistique sur la composition des familles et des professions.

- Permettre, pour les Projets d'Ecoles, d'obtenir, très rapidement, les chiffres relatifs à l'environnement ou à certaines remarques d'ordre pédagogique (niveau, âge, quartier...) et tous renseignements croisés.

- Permettre de simuler très rapidement la prochaine rentrée scolaire et ventiler ces chiffres dans le formulaire d'enquête de l'Administration.

- Permettre, de gérer les informations en rapport avec les élèves actifs et non actifs.

- Contrôler facilement le payement des frais de scolarité selon les classes.

- Gérer les moyennes de classement de chaque élève.

1.4. Choix et intérêt du sujet

Nous avons choisi ce sujet en tant qu'étudiant finaliste en gestion informatique pour contribuer à l'amélioration de l'administration des écoles primaires ESCAF, à partir de leur service de statistique. Une fois accompli, ce travail facilitera la présentation des données statistiques réelles reflétant l'image de l'éducation dans la dite école, et va faciliter les conditions de prise de décision. Les autres écoles seront aussi motivées par l'installation de ce système d'information.

1.5. Limitation du sujet

Notre projet sera limité sur l'automatisation de la gestion des informations concernant les élèves des écoles primaires et gardiennes, vu la complexité et la multiplicité des opérations de ces écoles, le test étant effectué à l'ESCAF.

1.6. La subdivision du travail

La subdivision de ce travail est prévu comme suit :

- Une introduction générale.

- Un chapitre sur le système de gestion d'information de l'ESCAF.

- Un chapitre sur l'analyse d'un logiciel de gestion de l'information au sein des écoles primaires.

- Un chapitre sur l'évaluation des résultats obtenus.

- Une conclusion ainsi que des recommandations.

1.7. Modules du système

Suite à une visite faite au sein de l'ESCAF et l'examination de ses rapports, nous avons pu relever les modules suivants :

- Gestion des informations en relation avec les élèves.

- Les informations en relation avec le payement des frais de scolarité.

- Implémentation des bulletins pour les élèves.

1.8. Méthodologie

La méthodologie du travail sera guidée par la méthode de développement d'un système d'information avec son approche itérative. Cette approche exige que l'on présente aux utilisateurs, la partie du programme déjà développée et cela de façon itérative. Cette méthode utilisera les outils de cueillette d'informations et la méthode d'analyse MERISE.

1.9. Approche méthodologique

Dans tout travail scientifique, l'utilisation des méthodes et des techniques pour collecter et analyser les données s'avère indispensable. Pour atteindre les objectifs de ce travail, certaines techniques et méthodes ont été utiles dont :

- La technique documentaire ; Cette technique nous a permis d'accéder aux informations portant sur le domaine de la gestion des écoles primaires. La consultation des documents écrits en rapport avec le secteur éducatif et l'école ESCAF en particulier nous a fournis les informations précieuses sur les faits et phénomènes de notre étude.

- La technique d'observation : elle nous a permis d'observer certaines activités du système manuel, afin de mieux comprendre le système de gestion des informations concernant l'inscription, payement des frais de scolarité et préparation des bulletins des élèves.

- La technique d'interview : L'interview nous a été utile afin de comprendre le fonctionnement manuel du système de gestion des informations concernant l'inscription, payement des frais de scolarité et préparation des bulletins des élèves.

La méthode MERISE : (Méthode d'Etude et de Réalisation Informatique pour les Systèmes d'Entreprise.)

MERISE est une méthode de conception, de développement et de réalisation de projets informatiques. Le but de cette méthode est d'arriver à concevoir un système d'information. La méthode merise est basée sur la séparation des données et des traitements. ( www.commentcamarche.net/merise/concintro.php3

CHAPITRE 2 : SYSTEME ACTUEL DE GESTION DES ECOLES PRIMAIRES

2.1. Introduction

L'administration d'un établissement scolaire (lycée, collège ou école) comporte un certain nombre de tâches indispensables (listes, enquêtes, notes de service, circulaires, opérations de gestion...) que les responsables ont toujours essayé d'optimiser. L'arrivée d'ordinateurs a fait naître l'espoir d'améliorer de façon significative l'ensemble de ces tâches.

Depuis peu, les données du problème ont considérablement changé. Les micro-ordinateurs dotés d'un disque dur ont sensiblement baissé du coût. En alliant souplesse et efficacité, les compatibles PC permettent aujourd'hui d'envisager avec beaucoup plus de réalisme la possibilité de gérer informatiquement une école. Il est opportun de proposer aux utilisateurs potentiels un outil performant dans ce domaine. C'est ce que nous allons faire en développant le logiciel SYGEP (Système de Gestion d'Ecole Primaire). La publication de ce produit sera le fruit d'une longue réflexion qui sera menée lors de notre travail de fin d'étude. Afin de mettre en place un nouveau système d'information, il nous a fallu analyser le système d'information qui existe au sein de l'ESCAF. Ici nous allons pointer sur son organisation, ses activités, les problèmes centraux ainsi que quelques solutions que nous proposerons pour y remédier.

2.2. Principe

Il consiste à faire une analyse qualitativement et quantitativement du fonctionnement de l'école primaire et gardienne. Le projet commence par un état des lieux.

Les aspects suivants seront analysés :

- aspect organisationnel

- aspect fonctionnel

- aspect données

- aspect traitement

- aspect sur le réseau existant

2.3. Notions générales et définitions

2.3.1 Education

L'éducation est devenue l'un des principaux facteurs de notre civilisation. Son champ d'influence n'a cessé de s'élargir et le cadre par lequel elle est offerte ou poursuivie, s'est tout à la fois multiplié et diversifié. Il est difficile d'en donner une définition précise et d'en fixer le contenu, à tel point que souvent le substantif  ?éducation? est complété par un adjectif afin de préciser le contenu.

Exemple : Education morale, éducation sexuelle, éducation permanente,...

Selon le dictionnaire Petit Larousse, (1998, p.336) « l'éducation est l'action d'éduquer, de former, d'instruire quelqu'un et la manière de comprendre, de dispenser, de mettre en oeuvre cette formation ».  Avec le même dictionnaire, on définit l'éducation sous les autres formes suivantes:

* L'éducation nationale : Ensemble des services chargés de l'organisation, de la direction et de la gestion de tous les établissements de l'enseignement public et du contrôle de l'enseignement privé.

* L'éducation permanente : L'enseignement qui est dispensé tout au long de la vie professionnelle. Ainsi donc l'éducation est un moyen primordial pour le développement intégral de l'individu afin de survivre.

* L'éducation spécialisée : C'est l'ensemble des mesures organisant l'enseignement des jeunes éprouvant des difficultés psychologiques ou sociales ou des handicapés.

MAURO LAENG (1975, p.127) souligne que «l'éducation est une activité intentionnellement destinée à favoriser le développement de la personne humaine et son intégration dans la vie de la société. »

Une bonne éducation doit permettre à l'individu d'utiliser ses potentialités au maximum, de faire face aux difficultés qu'il rencontrera inévitablement dans la vie et de s'adapter à l'évolution sociale de ce temps qui peut avoir une répercussion directe sur son mode de vie ou sur son activité professionnelle.

Ainsi donc l'éducation est un besoin à toutes les étapes de la vie, car elle permet à l'individu de mieux s'adapter à des situations nouvelles et de résoudre les différents problèmes de la vie quotidienne. Actuellement, l'éducation formelle devient de plus en plus une nécessité pour accéder aux bons postes de travail ou pour s'y maintenir.

2.3.2 Enseignement

L'enseignement est la transmission des connaissances par une aide à la compréhension et à l'assimilation.

Exemple :

- enseignement assisté par ordinateur

- enseignement à distance

- un centre d'enseignement à distance

L'enseignement est encore une institution englobant l'ensemble des activités et des organismes participant à l'éducation scolaire. Il peut être défini comme étant la division correspondant à un niveau de l'organisation scolaire (un instituteur de l'enseignement primaire) ou comme un domaine d'activité des enseignants (travailler dans l'enseignement).

2.3.3 Enseignement primaire

L'organisation actuelle de l'enseignement primaire remonte à plus d'un demi-siècle : des écoles réunies en circonscriptions, sous l'autorité d'une inspectrice ou d'un inspecteur, relevant d'une direction.

A partir de 1970, le fonctionnement de l'enseignement primaire a été l'objet de maintes réflexions à l'interne. Cependant, la priorité a été longtemps accordée aux cahiers des charges et aux contenus d'enseignement plutôt qu'aux structures.

www.geneve.ch/primaire/historique.html

2.3.4. Enseignement primaire au Rwanda

i. Accès

Au Rwanda le taux brut d'inscription au niveau de l'enseignement primaire, qui est passé de 89% en 1998 à 103,7% en 2002 et à 134,1% en 2004 (MINEDUC, 2004), est considérablement au dessus de la moyenne de 75%, enregistrée dans la région de l'Afrique sub-saharienne. Cependant, ce taux peut varier sensiblement d'une région à l'autre. Il y a eu également augmentation du taux net d'inscription au Rwanda, qui est passé de 74,1% en 2001 à 96,4% à l'heure actuelle (2003/4) (MINEDUC, 2004). Ce chiffre va de pair avec les taux caractéristiques de la sous-région, et il est plus élevé par rapport au taux de 71% enregistré en 1990. Cependant, tous ces chiffres indiquent qu'il y a toujours un nombre important d'enfants en âge de scolarisation qui ne fréquentent pas l'école. Ces taux ne révèlent pas également le profil de ceux qui ne fréquentent pas l'école. Au Rwanda, le nombre important des populations défavorisées et des groupes nouvellement vulnérables (dont les femmes et les ménages tenus par les enfants, les orphelins et les enfants de la rue) exige l'adoption de mesures particulières, afin d'assurer un accès équitable aux différentes opportunités de scolarisation.

ii. Retention

Alors que les taux nets d'inscription nous donnent quelques indications relatives à l'accès à l'éducation au niveau mondial, ils ne reflètent cependant pas de façon adéquate la participation réelle qui ne peut être bien mesurée que par des données sur la fréquentation scolaire. Le taux de réussite dans l'enseignement primaire au Rwanda, selon les estimations faites par le MINEDUC, nous fournit le taux de promotion (P1-P6) qui est de 18,0% en 2002, avec seulement 16,2% de filles terminant le niveau P6 par rapport à 19,8% de garçons. Ce chiffre est beaucoup moins élevé par rapport à celui de 23% enregistré en 1997/1998, sans mentionner celui de 36% en 1990. Alors que la chute des taux de réussite statistiquement implicite en 1997/1998 pourrait être expliquée par des changements importants de la population rwandaise entre 1994 et 1997, les autorités relèvent et combattent les causes de la baisse des taux enregistrés en 2001/2002. Nonobstant, il est toujours évident que les taux de réussite sont faibles, particulièrement chez les filles.

iii. Qualité/efficacité

Bien qu'il y ait des améliorations sensibles dans le recrutement/accès, la qualité de l'enseignement primaire demeure un sujet de grande préoccupation pour le Gouvernement du Rwanda (GR). Dans le but d'atteindre l'objectif de l'Enseignement primaire universel (EPU) en 2010, le gouvernement se charge de la question de la qualité.

La qualité de l'enseignement primaire au Rwanda depuis la période qui a suivi le génocide s'est révélée jusque là problématique. Cela est principalement dû au manque notoire d'enseignants qualifiés, à un vaste programme de 12 disciplines et à une carence prononcée en matériels didactiques appropriés.

De grands efforts ont été entrepris, en vue d'accroître l'effectif d'enseignants dûment qualifiés. La proportion des enseignants qualifiés est passée de 46% en 1998 à 85,2% en 2001/2002 sur le plan national. La qualité de l'enseignement primaire a été davantage compromise par la qualité du programme qui a été tout dernièrement révisé en 1996 et en 1997. Cependant, un plan de révision du programme d'enseignement s'étendant sur 6 années est déjà mis en oeuvre. Le principal objectif est de réviser les différents programmes de l'enseignement primaire et secondaire en cours depuis 2003 (MINEDUC- NCDC, mars 2003). L'objectif principal visé est d'aboutir à l'élaboration d'un programme qui n'aura pas à répondre seulement aux besoins de l'élève et de la nation, mais aussi aux besoins de qualité. La révision du programme devra être guidée par la politique d'élaboration des programmes de l'enseignement primaire et secondaire actuellement en vigueur. La politique donne des directives sur les institutions qui devraient être impliquées dans le processus de réforme, les principes à suivre, le contenu

de programme, le mode de livraison et d'évaluation du programme. Les domaines explorés en vue d'améliorer la qualité de l'enseignement comprennent le contenu et le mode de livraison du programme, la qualité des résultats obtenus et l'environnement de l'apprentissage.

2.4. Système d'enseignement au sein de l'ESCAF

Historique et aspect organisationnel  de l'ESCAF

L'ESCAF est une école primaire des parents fonde en 1995.

L'ESCAF est une école primaire des parents. En tête il y a l'ensemble général qui se tient régulièrement pour les problèmes majeures et juridiques qui dépassent la responsabilité de la direction.

En second lieu il vient la direction de l'école en troisième lieu il vient le corps de l'écoles ; c'est-à-dire les enseignant, le personnel administratif et les élèves.

2.4. Les activités du système actuel de gestion de l'ESCAF

L'ESCAF est une organisation qui opère dans le système éducatif dans le niveau près scolaire et primaire. L'ESCAF reste une école dont le secteur d'activité est privé. La tendance technologique dans l'évolution des écoles reste un point culminant pour toutes les écoles du monde, car un petit nombre des écoles ont des systèmes informatisés qui leurs facilitent la transmission d'informations d'une façon plus facile et plus rapide.

Du point de vue technique, les logiciels utilisés restent ceux de traitement de texte et de tableurs. Le réseau interne n'existe pas et la base des données centralisées n'existe pas.

- Inscrire les élèves pour le recueil et le stockage des renseignements

- Identifier les différents types de Bourses (ADRA et autres)

- Repérer les élèves qui se trouvent dans une tranche d'âges donnée.

- Voir les élèves qui ont déjà payé ou pas le Minerval.

- Visualiser tous les renseignements sur un élève, y comprise sa photo.

- Lister tous les élèves inscrits dans une classe.

- Lister les cours (et les enseignants respectifs) programmés pour une classe

- Voir la charge horaire hebdomadaire d'un enseignant.

- Apercevoir le palmarès (Fiche de délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs, liste des cours avec échecs)

Du point de vue de la faisabilité de la mise en place du nouveau système d'information, le projet reste intact car l'outil informatique nécessaire à  la communication est disponible à l'ESCAF, ce qui reste c'est de l'exploiter.

2.5. Problèmes identifiés dans le système

Comme vu plus haut, la gestion actuelle des informations à l'ESCAF présente beaucoup des problèmes. Sans être exhaustif, nous avons identifié les problèmes suivants :

Tous les activités cite si haut sont manuel d'où le lenteur dans tous les activités de traitement des données. ;

recherche d'un dossier archivé prend beaucoup de temps ;

diffusion de résultats d'une façon rapide et directe aux destinataires;

garder l'historique et/ou palmarès des élèves

2.6. Solutions envisagées et proposées

-Inscrire les élèves pour le recueil et le stockage des renseignements dans une base des données.

-Identifier les différents types de bailleurs de fond (ADRA et autres) facilement.

-Repérer les élèves qui se trouvent dans une tranche d'âges donnés.

-Voir les élèves qui ont déjà payé ou pas le Minerval

-Visualiser tous les renseignements sur un élève, y compris sa photo.

-Lister tous les élèves inscrits dans une classe.

-Lister les cours (et les enseignants respectifs) programmés pour une classe

-Apercevoir le palmarès (Fiche de délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs, liste des cours avec échecs)

-Visualiser/Imprimer/Archiver tous les bulletins d'une classe en un seul clic

(Alternativement voir un seul bulletin, surtout utile au moment des réclamations et pertes individuelles)

L'application aidera à la direction chargée de gestion dans :

Classement de meilleurs élèves .A chaque fin d'année, l'ESCAF discerne les prix à l'élève qui a distingué plus que les autres.

CHAPITRE 3 : ANALYSE ET CONCEPTION DU SYSTEME

DE GESTION AUTOMATISE

3.1 Introduction à la méthodologie d'analyse

3.1.1 Pourquoi une méthode d'analyse ?

Toute résolution de problème quel qu'il soit, nécessite une, voir plusieurs phases de réflexion plus ou moins longues en fonction de l'ampleur et du type du problème.

Lors d'un projet informatique, cette réflexion doit pouvoir être comprise et reprise par toute personne intervenant sur le projet.

C'est pourquoi, ont été définies des méthodes d'analyse. Certaines disparaissent laissant la place à d'autres méthodes plus adaptées, d'autres évoluent dans le temps en fonction des différentes technologies. Chaque méthode a ses qualités et ses défauts. Il est donc parfois utile et nécessaire en fonction de l'étape d'analyse du projet d'appliquer des méthodes différentes.

Chaque méthode est adaptée au type de projet (objet, industrielle, gestion) et aux outils (SGBD, L3G ...).

Quelques méthodes :

MERISE, MERISE/2

SADT

SART

OMT

UML (bien que UML n'est pas une méthode mais un langage de modélisation unifiée)

3.1.2 Qu'est ce que MERISE ?

MERISE est née en 1979 au Centre Technique Informatique du ministère de l'industrie. Ces principaux créateurs sont Hubert Tardieu, Georges Panet et Gérard Vahée . Elle a réellement été introduite dans les entreprises entre 1983 et 1985. Depuis, elle a connu des évolutions en fonction des avancées technologiques avec dernièrement MERISE/2 tournée vers l'objet. Elle reste encore une méthode très utilisée en France même si UML/OMT est en train d'inverser la tendance.

MERISE propose une double approches données-traitements menée en parallèle tout au long du projet ainsi qu'une démarche méthodologique de développement d'un système d'information.

Nous nous intéresserons à l'approche MERISE, c'est à dire aux outils de représentation que nous nommerons modèles et qui sont des outils d'analyse (représentation du système existant) et de conception (représentation du système futur).

Chacun de ces modèles correspond à un niveau d'abstraction et se représente selon un formalisme bien défini et traduit un certain choix.

3.1.2.1 Les niveaux d'abstraction :

Il y a trois niveaux d'abstraction :

Le niveau conceptuel

Le niveau organisationnel

Le niveau physique

a. Le niveau conceptuel :

Il consiste à répondre à la question QUOI ?

C'est à dire quoi faire ?, avec quelles données ?

A ce niveau, on ne se préoccupe pas de l'organisation du travail ni du matériel utilisé.

Les deux modèles sont le Modèle conceptuel des données et le Modèle conceptuel des traitements.

b. Le niveau organisationnel :

Il consiste à répondre à la question QUI?, OU?, QUAND ?

C'est à ce niveau que sont intégrés les critères d'organisation de travail.

On tient compte (ou on propose) des choix d'organisation de travail comme la répartition des traitements entre l'homme et la machine, le mode de fonctionnement (temps réel, temps différé).

Le modèle de représentation est le modèle organisationnel des traitements.

c. Le niveau physique :

Il consiste à répondre à la question COMMENT ?

On étudie les solutions techniques ( mode de stockage pour les données, découpage des programmes pour les traitements ).

Les modèles étudiés à ce niveau sont les modèles logiques des données et physiques des traitements.

Chacun de ces trois niveaux ne sont pas indépendants. Il va de soi, que les choix techniques (niveau physique ) peuvent être imposés dès le début du projet. Les modèles conceptuels et organisationnels seront alors étudiés en tenant compte de ces contraintes. Chacun des modèles seront affinés au cours de la vie du projet.

Le tableau suivant résume les modèles que nous allons aborder tout au long de ce projet :

Tableau 1: tableau des modèles d'analyse

NIVEAU

DONNEES

TRAITEMENTS

CHOIX PRIX EN COMPTE

Conceptuel

Modèle Conceptuel des Données (MCD)

Modèle Conceptuel des Traitements (MCT)

Choix de gestion

Quoi ?

Organisationnel

 

Modèle Organisationnel des Traitements (MOT)

Choix 'organisation

Qui ?, Où ?,Quand ?

Physique

Modèle Logique des Données

(MLD) Modèle Physique des Données (MPD)

Modèle Physique des traitements (MPT)

Choix techniques

Comment ?

3.1.2.2 La démarche préconisée par MERISE :

MERISE préconise un découpage du projet en quatre étapes. Chacune des étapes correspond à des phases d'avancement du projet et donc à une étude bien précise.

Les études effectuées au cours de chacune de ces étapes utilisent les différents niveaux d'abstraction.

Chaque étude doit déboucher sur un dossier qui doit être validé par toutes les personnes concernées par le projet (utilisateur et informaticiens).

Ces étapes sont au nombre de quatre :

Etude préalable

Etude détaillée

Réalisation

Mise en oeuvre

a. L'étude préalable :

Cette phase a pour but de bien cerner le système à étudier : QUOI ? Dans quel but ?, Qu'est ce qui existe ? ...et à proposer une première solution ainsi qu'une évaluation tant qualitative que quantitative du projet.

Elle est primordiale et conditionne le bon déroulement des phases suivantes.

La première des actions à effectuer est le recueil des données c'est à dire toute information nécessaire à cerner le projet, à le comprendre et à en effectuer une première ébauche.

Tous ces renseignements sont généralement obtenus au cours d'entretiens. Chaque entretien doit par la suite être consolidé.

L'objectif de la consolidation est de préparer les étapes suivantes en identifiant d'ores et déjà certains concepts ( règles de gestion, de calcul et d'organisation, tâche, domaines, acteurs, processus, flux d'information ... ) mais aussi de constater les points restés obscurs. Il est généralement utile et nécessaire de formaliser les échanges d'information par un diagramme de flux de données.

Toutes les informations ainsi obtenues constituent le dossier d'étude préalable.

b. L'étude détaillée :

Basée sur le dossier d'étude préalable elle a pour but de décrire complètement, au plan fonctionnel, la solution à réaliser.

Elle débouche sur un dossier de spécifications détaillées.

c. La réalisation :

Elle concerne la production du code informatique correspondant aux spécifications définies dans l'étude détaillée. Elle débouche sur un dossier de réalisation.

d. La phase de mise en oeuvre :

Son but est d'exécuter toutes les actions (formation, documentation, installation des matériels, initialisation des données ...) qui permettront aux utilisateurs d'utiliser le logiciel fourni.

3.2. Diagramme de flux de données

Il paraît important de parler du diagramme de flux données ( Data Flow Diagram ) car il est très souvent utilisé, quelque soit la méthode d'analyse abordée.

En effet, lors de l'étude préalable, les différents entretiens permettent de cerner le système étudié tant par les documents échangés, les données manipulées que par l'organisation.

L'intérêt de ce modèle est quadruple :

Il est simples, Il est fréquemment utilisés même en dehors de toute méthodologie ( donc connu )

Il est un excellent point de départ au modèle conceptuel des données

Il est un excellent point de départ au modèle conceptuel des traitements

NOMENCLATURES :

Pour notre projet nous allons représenter:

L'organisation par un rectangle ;

Les acteurs externes par des ellipses en pointillés ;

Les acteurs internes par des ellipses ;

Les flux d'information par des flèches dont l'orientation désigne le sens du flux d'information.

Dépôt des données par un rectangle non fermé

 

3.2.1. Diagramme de flux des données lors de l'inscription

Figure 1: Diagramme de flux de données inscription

1

INSCRIRE

Parent d'un enfant

Demande

Refus de demande

1

Listes des élèves Admis

2

Enregistrer

3

Listes des élèves en dette

2

Listes des élèves en ordre

élèves

Reste à payer

Bordereau de versement

Lors de l'inscription la demande de parent peut être accepte ou refuser pour plusieurs raisons:

Soit quand il n'y a plus de places disponibles.

Soit quand l'enfant ne satisfait pas les conditions d'inscription.

Quand l'inscription est accorde à l'enfant alors l'enfant ou ses parents procèdent à l'enregistrement et au paiement des frais de scolarité.

3.2.2. Diagramme de flux des données lors de l'examen

Figure 2: Diagramme de flux des données lors de l'examen

1

Passer des examens

élève

1

Copies des élèves participants

2

Corriger

Titulaire de cours

2

Listes des notes

Implémenter des bulletins

Titulaire de Classe

2

Les bulletins finis

3.3 Le modèle conceptuel des données (MCD) ou encore modèle Entité- Association

3.3.1 Qu'est ce que le MCD

Le Modèle Conceptuel des Données est une représentation graphique des données et des liens qui existent entre chacune d'elles.

3.3.2. Définition des concepts de base

3.3.2.1 Entité ( objet ou individu) 

Une entité est pourvue d'une existence propre et est conforme aux choix de gestion de l'entreprise.

Une entité peut être un acteur : élève, usine, produit => pourvue d'une existence intrinsèque.

Une entité peut être un flux : identification, enregistrement => existe par l'intermédiaire d'acteurs.

3.3.2.2 Les propriétés  (attributs )

Une propriété est une donnée élémentaire qui qualifie l'entité à laquelle elle se rapporte :

- Chaque propriétés prend des valeurs qui sont appelées occurrences de la propriété

- Chaque propriété a un domaine de définition (ensemble de valeurs possibles)

- Chaque propriété se rattache toujours à une entité

3.3.2.3 Les relations 

C'est un lien sémantique reliant un ensemble d'entités et présentant un intérêt pour l'entreprise pour notre cas pour l'école.

Il peut exister plusieurs relations entre les mêmes entités.

Une relation peut porter des propriétés : on la dit porteuse.

Une relation peut ne pas porter de propriétés : on la dit non porteuse.

- Une relation entre deux objets est une relation binaire.

- Une relation entre trois objets est une relation ternaire.

- Une relation entre n objets est une relation n-aire.

- Une relation réflexive est une relation de l'entité sur elle même.

3.3.2.4 Les cardinalités 

Elles permettent de quantifier le nombre d'occurrences d'une entité qui participent à une relation.

Elle s'exprime par deux nombres :

- Cardinalité minimale ( combien d'occurrences au minimum ?)

- Cardinalité maximale ( combien d'occurrences au maximum ? )

La cardinalité minimale ( 0 ou 1 ) :

Représente le nombre de fois minimum qu'une occurrence d'un objet participe aux occurrences de la relation.

La cardinalité maximale ( 1 ou n ) :

Représente le nombre maximum de fois qu'une occurrence de l'objet participe aux occurrences de la relation.

3.3.2.5 Identifiant d'une entité 

C'est une propriété (ou ensemble de propriétés) particulière qui permet d'identifier de façon unique une occurrence de l'entité.

Pour être identifiant, la ou le groupe de propriétés ne doit pas prendre plusieurs fois la même valeur sur l'ensemble des occurrences possibles de l'entité.

L'identifiant figure en premier dans la liste des propriétés.

L'identifiant est souligné ( ou parfois précédé d'un # ).

3.3.2.6 Identifiant d'une relation :

C'est l'identifiant obtenu par concaténation des identifiants des entités participant à la relation.

3.3.3 Construction d'un MCD 

La démarche à suivre pour la construction d'un MCD est la suivante :

Recherche des propriétés à gérer ( dictionnaire des données ),

Regroupement des propriétés,

Représentation des objets

Recherche des relations

Recherche des cardinalités,

Vérification et validation du modèle

3.3.4 MCD

Figure 3: Modèle conceptuel Entité Relation

Cours

Notes

Elèves

1,n

Elève_Id

Date

Avoir

Etudier

Cours_Id

Elève_Id

Section_Id

1,1

0, n

0, n

0, n

Categorie

Cours_Id

Résultat

EquipeID

Intitulé

Archive

Nom

Enseignant

Classe

Archive

Origine

Résidence

Bailleur

Inscription

Paiement

0,n

Faire

Effectuer

1,1

1,1

Banque

Eleve_ID

Eleve_ID

3.4 Le modèle conceptuel des traitements

Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter le dynamisme du système d'information, c'est-à-dire les opérations qui sont réalisées en fonction d'événements.

Ce modèle permet donc de représenter de façon schématique l'activité d'un système d'information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens d'exécution, c'est-à-dire qu'il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand, comment ni où.

L'événement

Un événement représente un changement dans l'environnement extérieur au système d'information, il peut représenter un changement aussi dans le système d'information lui-même. D'ou on aura deux sortes d'événements :

Un événement externe est un changement du milieu extérieur, il est représenté par une ellipse en traits pointillés

Un événement interne est un changement interne au système d'information il est représenté par une ellipse en traits pleins

Le processus

Un processus est un sous-ensemble de l'activité de l'entreprise, cela signifie que l'activité de l'entreprise est constituée d'un ensemble de processus. Un processus est lui-même composé de traitements regroupés en ensembles appelés opérations.

L'opération

Une opération est un ensemble d'actions exécutées par le système suite à un événement, ou à une conjonction d'événements. Cet ensemble d'actions est ininterrompu, c'est-à-dire que les événements ne sont pas pris en compte tant que l'opération n'a pas été accomplie.

La synchronisation

La synchronisation d'une opération définit une condition booléenne sur les événements contributifs devant déclencher une opération. Il s'agit donc de conditions au niveau des événements régies par une condition logique réalisée grâce aux opérateurs : OU, ET et NON

3.5. Le modèle conceptuel des traitements (MCT)

Figure 4: Le modèle conceptuel des traitements

Demande d'inscription d'élève

Vérification

Non Oui Incomplet

Demande incomplète

Demande Complet

Enregistrement

Listes des élèves

Passation des examens

Oui Non

Liste des élèves irreguliers

correction

Liste des notes

Demande

rejetée

copies

Extérieur

Traitement

Support des données

Acteur ou poste

Période

Vérification

Non Incomplet Oui

Elaboration d'horaire

Enregistrement des résultats

Vérification

Non Oui

Enseignement et évaluation

 

Registre des admis

Registre des admis

Registre des admis

Horaire des enseignants

Liste des élèves présentées

Classement

Secrétaire chargée des inscriptions

Secrétaire chargée des inscriptions

chargée des programmes

chargé du cours

Au moment de la demande d'inscription

Au moment de la demande d'inscription

Au moment de la préparation des cours

chaque trimestre

 

3.6 Le modèle organisationnel du traitement MOT

Figure 5:Schéma du modèle organisationnel des traitements

3.7 Le dictionnaire des données

Tableau 2: Dictionnaire des données

Structure de

Données

Attributs

Type de données

Taille

Contrainte d'intégrité

Description

identite

matricule

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identification De l'élève

 

Nom

nvarchar

20

Valeur non nulle

Nom de l'élève

 

Prenom

nvarchar

20

Valeur non nulle

Prénom de l'élève

 

Pere

nvarchar

20

Valeur nulle

Nom du père de l'enfant

 

Mere

nvarchar

20

Valeur non nulle

Nom de la mère de l'enfant

 

Sexe

char

1

Valeur non nulle

Sexe de l'enfant

 

DOB

datetime

8

Valeur non nulle

Date de naissance de l'enfant

 

provinceOrigine

nvarchar

20

Valeur nulle

province d'origine de l'enfant

 

districtOrigine

nvarchar

20

Valeur nulle

district d'origine de l'enfant

 

secteurOrigine

nvarchar

20

Valeur nulle

secteur d'origine de l'enfant

 

provinceResidence

nvarchar

20

Valeur nulle

province de résidence de l'enfant

 

districtResidence

nvarchar

20

Valeur nulle

District de résidence de l'enfant

 

secteurResidence

nvarchar

20

Valeur nulle

secteur de résidence de l'enfant

 

celluleResidence

nvarchar

20

Valeur non nulle

cellule de résidence de l'enfant

 

contactParents

nvarchar

50

Valeur non nulle

Références des parents

 

boitePostal

nvarchar

30

Valeur nulle

Adresse postal des parents de l'enfant

 

religion

nvarchar

20

Valeur nulle

Religion de lenfant

 

situationFamiliale

nvarchar

50

Valeur nulle

Précisément si l'enfant a les deux parent,un des parent ou orphelin de deux parents

INSCRIPT-ION

matricule

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Code de l'élève,

 

AnneeScolaire

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Année scolaire en cours,

 

AnneeEtude

datetime

20

Valeur non nulle

Année d'étude en cours

 

Bailleur

nvarchar

20

Valeur nulle

Responsable des frais de scolarité de l'enfant

 

Doubleur

bit

1

Valeur nulle

Si l'enfant reprend l'année

 

DateJour

datetime

8

Valeur non nulle

Jour de l'inscription

 

TotPaye

numeric

9

Valeur non nulle

Montant à payer durant l'année en cours.

 

solde

numeric

9

Valeur nulle

Montant reste à payer durant l'année en cours.

PAIEME-NTS

Numero

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Numéro d'ordre de payement

 

Eleve_ID

nvarchar

20

Clé étrangère Valeur non nulle

Identifie l'élève

 

AnneeScolaire

datetime

8

Valeur non nulle

Année scolaire en cours

 

NumeroBordereau

nvarchar

20

Valeur non nulle

Numéro de versement à la banque

 

DateBordereau

datetime

4

Valeur non null

Date de payement

 

Banque

nvarchar

20

Valeur nulle

Banque titulaire de compte de l'école

 

Montant

nvarchar

30

Valeur non nulle

Montant payé

 

DateJour

nvarchar

20

Valeur nulle

Date

 COURS

codeCours

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifiant de cours

 

codeClasse

nvarchar

20

Clé étrangère Valeur nulle

Identification de classe

 

libelle

nvarchar

20

Valeur nulle

Intitule du cours.

 

maxTj

float

10

Valeur non nulle

Max du cours en travaux journalier

 

maxExamen

float

8

Valeur non nulle

Max du cours examen

 

maxTrimestre

float

8

Valeur nulle

Note trimestrielle du cours

 

maxAnnuel

float

8

Valeur nulle

Note annuelle du cours

 NOTES

matricule

nvarchar

20

Clé primaire Valeur nulle

Identificateur de l'eleve, identifiant note

 

codeClasse

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identificateur de classe, identifiant note

 

trimestre

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Trimestre en cours, identifiant note

 

anneeScolaire

datetime

8

Clé primaire Valeur non nulle

Année scolaire en cours, identifiant note.

 

codeCours

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identificateur de cours, identifiant note.

 

Note_Tj

float

8

Valeur nulle

Note trimestrielle en travaux journaliers.

 

noteExam

float

8

Valeur nulle

Note trimestrielle en examen.

 

noteTrimestrielle

float

8

Valeur nulle

Note trimestrielle

 

noteAnnuelle

float

8

Valeur nulle

Note annuelle

 Employe

codeEmploye

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifiant de l'employée

 

Nom

nvarchar

20

Valeur non nulle

Nom de l'employée

 

Prenom

nvarchar

20

Valeur non nulle

Prénom de l'employée

 

DOB

datetime

15

Valeur nulle

Date de naissance de l'employée

 

niveau

nvarchar

20

Valeur nulle

Niveau d'étude de l'employée

 

Nationalite

nvarchar

20

Valeur nulle

Nationalité de l'employée

 

specialite

nvarchar

20

Valeur nulle

Domaine don't l'employée est specialise

 

Departement

nvarchar

20

Valeur nulle

Département de l'employée

CLASSES

codeClasse

nvarchar

20

V primaire Valeur non nulle

Identifiant classe

 

Niveau

nvarchar

20

Valeur non nulle

Niveau de la classe

 

anneeEtude

datetime

8

Valeur non ulle

Année de etude classe

 

codeEmploye

nvarchar

20

Clé étrangère Valeur non nulle

Titulaire de classe

PROVIN-CES

codeProvince

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifient de province

 

Libelle

nvarchar

20

Valeur non nulle

Libelle de province

 DISTRIC-TS

codeDistrict

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifiant de district

 

codeProvince

nvarchar

20

Clé étrangère Valeur non nulle

référence de district dans la province

 

Libelle

nvarchar

20

Valeur non nulle

Libelle de district

SECTEU-RS

codeSecteur

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifiant de secteur

 

codeDistrict

nvarchar

20

Clé étrangère Valeur non nulle

Référence de secteur dans district

 

Libelle

nvarchar

20

Valeur non nulle

Libelle secteur

CELLUL-ES 

codeCellule

nvarchar

20

Clé primaire Valeur nulle

Identifiant de cellule

 

codeSecteur

nvarchar

20

Clé étrangère Valeur non nulle

Référence de cellule dans secteur

 

Libelle

nvarchar

20

Valeur non nulle

Cellule libelle

 BANQUE

codeBanque

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifiant banque

 

Libelle

nvarchar

20

Valeur non nulle

Libelle banque

RELIGION

codeReligion

nvarchar

20

Clé primaire Valeur non nulle

Identifiant religion

 

 
 
 
 
 

BAILLE-UR

codeBailleur

nvarchar

20

Valeur non nulle

Identifiant bailleur

 

libelle

nvarchar

20

Valeur nulle

Libelle bailleur

 

pourcentage

float

8

Valeur nulle

Pourcentage assigne au bailleur.

3.8 Modèle logique

Table identite (matricule, nom, prénom, pere, mere,sexe, DOB, provinceOrigine,districtOrigine, secteurOrigine, provinceResidence, districtResidence, secteurResidence, celluleResidence, contactParents, boitePostal, religion, situationFamiliale)

Table inscription (#matricule, anneeScolaire, anneeEtude, bailleur, doubleur,dateJour, TotPaye, solde )

Table paiement(numero, #matricule, anneeScolaire, numeroBordereau, banque, montant, dateJour,dateBordereau,)

Table classe(codeClasse, niveau, anneeEtude, codeEmploye)

Table cours(codeCours, #codeClasse, libelle, maxTj, maxExamen, maxTrimestre, maxAnnuel)

Table notes(#matricule, #codeClasse,trimestre, anneeScolaire, #codeCours, Note_Tj, NoteExam, NoteTrimestrielle, NoteAnnuelle)

Table Employe(codeEmploye, nom, prenom, DOB, Niveau, Nationalite, specialite, Departement)

Table classe(codeClasse, ,niveau,anneeEtude, #codeEmploye)

Table bailleur(codebailleur, Libelle, pourcentage)

Table banque (codeBanque, Libelle)

Table province(code, Libelle)

Table district(codeDistrict, Libelle, #codeProvince)

Table cellule(codeCellule, Libelle, #codeSecteur)

Table religion(codeReligion, libelle)

3.9 Model physique des données

Figure 6: Model physique des données

CHAPITRE 4 : REALISATION ET TEST DU NOUVEAU SYSTEME

4.1 Introduction

Dans le chapitre précédent, nous avons présenté le modèle de gestion et

l'architecture générale de notre application. Dans ce chapitre nous allons décrire de manière générale le modèle client-serveur en dot net qui constitue la base de notre architecture. Nous détaillerons aussi les différents niveaux qui constituent notre application. Enfin, nous présenterons les résultats et tests effectués.

4.2. Les outils utilisés

Dans la conception d'un nouveau système d'information, l'architecture se présente enfin de faciliter le choix de technologies à utiliser. Le choix se base sur les objectifs à poursuivre, les besoins, le volume d'activités que l'on doit gérer et le genre de la communication.

Dans la conception de l'application SYGEP, nous avons fait recours aux différents outils qui nous ont aidés à la mise en place de l'application SYGEP. Nous pouvons mentionner :

-SQL Server 2000 pour l'implémentation de la base des données

-Visual Basic .net 2003 pour la mise en place d'une interface homme machine

-Crystal Report 8.5 pour générer les rapports

4.2.1 SQL SERVER

Le langage SQL a été initialement conçu dans les années 1970 par la firme IBM. Il a été ensuite normalisé (la norme actuelle, SQL-2000, date de 1992) et est devenu le standard de tous les SGBDR. Ce langage permet de masquer aux programmeurs les algorithmes de recherche des données dans des fichiers physiques eux-mêmes structurés de manière très complexe et différemment selon les SGBDR. Transact SQL prend certaines libertés par rapport à la norme, mais la majeure partie de ce qu'on aborde ici est réutilisable avec un autre système de gestion.

Il se décompose en quatre sous langages qui s'occupent de :

- La définition des données (LDD) : création des tables, des contraintes, etc. ;

- La manipulation des données (LMD) : sélectionner, insérer, supprimer et modifier ;

- Le contrôle des données : intégrité, droits d'accès, verrous et cryptage ;

- La programmation (Transact SQL) : procédures stockées, fonctions, déclencheurs.

Dans ce langage, les données sont stockées dans les objets appelés tables. Ce logiciel utilise treize tables qui sont les suivants :

- La table Identite nous permet de saisir les informations générales sur un élève. Cette table garde les informations statiques d'un élève.

- La table Inscription nous permet de saisir les détails concernant l'élève. Ces détails sont des informations qui varient au cours des années quand l'élève change d'une classe à l'autre.

- La table note nous aide à stocker les notes des élèves.

- La table paiement nous aide à garder les enregistrements en relation avec le paiement des élèves.

- La table cours nous permet de saisir les cours suivis par les élèves.

- La table classe garde les classes disponibles pour toutes les promotions scolaires.

- La table bailleur est une table qui stocke les informations en relation avec les bailleurs qui prennent en charge en partie ou en totalité le paiement des frais scolaire des élèves.

- La table religion garde les différentes religions.

- La table banque garde les différentes banques.

- La table provinces garde les différentes provinces.

- La table districts garde les différents districts.

- La table secteur garde les différents secteurs.

- La table cellule garde les différentes cellules.

4.2.2 VISUAL BASIC dot net 2003

Présentation de Visual Basic

Visual Basic est un outil développé par la société américaine appelée "Microsoft" pour développer facilement des applications fonctionnant sous Microsoft Windows. Visual Basic est, comme son nom l'indique, un outil visuel permettant de créer sans notion de programmation l'interface graphique (GUI - Graphical User Interface) en disposant à l'aide de la souris des éléments graphiques (boutons, images, champs de texte, menus déroulants,...).

Visual Basic .NET

Visual Basic .NET (VB.NET) est la nouvelle génération du langage Visual Basic. Bien que les syntaxes de Visual Basic .NET et Visual basic restent sensiblement proche,
Visual Basic .NET constitue une rupture totale avec Visual Basic.
Il intègre de nouvelles fonctionnalités telles que l'héritage, les interfaces, la surcharge des fonctions, ce qui en fait un langage orienté objet à part entière.

Par ailleurs, Visual Basic .NET dispose avec Visual Studio d'un IDE et d'assistants générateurs de code avancés.
C'est à ce jour, un des langages les plus simples pour construire des applications .NET

4.2.3 CRYSTAL REPORTS

Crystal Reports est un des générateurs d'états le plus connus. Il présente une interface facile à utiliser qui permet aux utilisateurs de construire des rapports rapidement mais ayant assez de profondeur pour produire des rapports complexes et répondre aux besoins avancés.

Crystal Reports a la possibilité de se connecter aux sources des données telles que SQL Server, Oracle, Microsoft Access, des fichiers logs de type Web,... On peut naviguer à travers ces systèmes de stockage de données, et trouver les informations dont on a besoin, et extraire les données pour produire des rapports sophistiqués.

Crystal Reports est l'outil de création des rapports le plus populaire utilisé pour afficher ces rapports dans les applications Visual Basic 6.0 ainsi que Visual Basic .NET.

Les outils ci haut cités nous ont aidé à mettre en place un logiciel qui répond aux problèmes évoqués dans le deuxième chapitre. Pendant et après la mise en place de ce logiciel, il faut effectuer certains tests.

4.3 Notion de test

Le test de l'application après le développement s'avère nécessaire pour s'assurer de la bonne marche de l'application. Pour mieux comprendre cette partie, certaines définitions sont importantes :

- La faute est définie comme étant une cause d'une erreur.

- Une erreur est un écart entre une valeur ou condition calculée, observée ou mesurée et la valeur ou condition qui est vraie, spécifiée ou théoriquement correcte.

- Un défaut ou anomalie est la manifestation d'une erreur dans un logiciel. Un défaut peut causer une panne.

- Une panne est la fin de la capacité d'un système ou d'un de ses composants d'effectuer la fonction requise, ou de l'effectuer à l'intérieur de limites spécifiées.

- Le test est un processus manuel ou automatique, qui vise à établir qu'un système vérifie les propriétés exigées par sa spécification, ou à détecter des différences entre les résultats engendrés par le système et ceux qui sont attendus par la spécification.

En vue de minimiser les risques d'erreurs de programmation et de vérifier la conformité du produit intermédiaire ou final avec le cahier des charges, de nombreux outils et méthodes ont été créés. La capacité du produit à résister à différentes montées en charge fait également partie de la batterie de tests qu'une solution se doit de passer avant d'être mise en place.

Le test visant la mise en évidence des erreurs d'un logiciel, n'a pas l'objectif de diagnostiquer la cause de ces erreurs ni celui de corriger les fautes. Cependant l'efficacité du test (son aptitude à détecter des erreurs) doit être conforme à certains critères de qualité.

La qualité étant l'ensemble des propriétés et caractéristiques d'un produit ou service qui lui confèrent l'aptitude à satisfaire des besoins exprimés ou implicites, son niveau dépend du contexte d'utilisation du logiciel : plus le contexte est critique, plus l'effort de test doit être important. La programmation d'un logiciel aérospatial requiert des exigences de qualité supérieures à la programmation d'un éditeur de dessins techniques. Pour un logiciel critique, le coût du test peut représenter plus de 40% du coût du développement.

Dans le panorama des solutions de test du logiciel, trois catégories de solutions ont été détaillées :

- La première catégorie concerne les tests sur le code source à proprement parler quelque soit le langage utilisé. L'objectif est bien entendu de détecter, de manière la plus automatisée qui soit, les anomalies.

- La deuxième catégorie de solutions concerne les tests fonctionnels. Ces derniers reposent sur l'analyse des spécifications de tout le logiciel ou une partie, sans tenir compte de sa programmation intrinsèque. La solution est testée de telle sorte qu'un input dans telle ou telle de ses sections doit renvoyer une réponse conforme au cahier des charges.

- La troisième catégorie de solution est celle relative à la performance des logiciels développés, que ces derniers soient des applications web, réseau,...

4.3.1 Les tests fonctionnels

Le but des tests fonctionnels (appelés aussi tests boite noire) est de :

- Vérifier le comportement d'un logiciel par rapport aux spécifications (fonctions non-conformes ou manquantes,...)

- Vérifier le respect des contraintes (performances, espace mémoire,...) et des facteurs qualité associés au logiciel (portabilité,...).

Il n'est pas facile de connaître à priori le nombre des tests nécessaires, le seul élément dont on est sûr auquel on peut se baser est la spécification. La spécification étant l'ensemble des exigences auxquelles le produit ou le service doit se conformer. La spécification contient les fonctions à réaliser par le logiciel, les interfaces de ce logiciel et les contraintes fixées au développeur (performances temporelles, performances spatiales, contraintes matérielles, critères de sécurité et la portabilité).

4.3.2 Couverture des tests fonctionnels

Les tests fonctionnels sont divisés en quatre grandes catégories à savoir : les tests nominaux, les tests aux limites fonctionnels, les tests de robustesse et les tests de conformité.

Les tests nominaux aident à vérifier la conformité par rapport à la spécification pour un comportement normal du logiciel, les tests aux limites aident à vérifier le comportement aux limites du logiciel. Au niveau des tests nominaux et des tests aux limites fonctionnelles, on teste les fonctions du logiciel.

Les tests de robustesse permettant de valider la robustesse du logiciel vis-à-vis de son environnement comme les tests hors limites fonctionnelles, les tests en charges (saturation des réseaux, saturation des requêtes,...) et les pannes des équipements externes.

Les tests de conformité vérifient les contraintes associées au logiciel. Ces contraintes peuvent être des performances, l'ergonomie (c'est-à-dire l'interface homme-machine) et la portabilité (environnement).

Figure 7: Les phases de test

Développement Test

Analyse (spécification) du logiciel

Conception générale

Conception détaillée

Codage

Tests unitaires

Intégration et tests d'intégration

Tests de validation

Modifications

et tests de

régression

http://www.inrs.fr/htm/comment_construire_les_tests_d_un_logiciel.htm

: Enchaînement

: Lien logique

Durant les phases de descente du cycle, le testeur élabore les Plans de Tests du Logiciel décrivant essentiellement :

- la stratégie des tests mise en place

- les moyens mis en oeuvre (matériel, logiciel et humain)

- l'ensemble des fiches des tests.

Durant les phases de remontée du cycle, le testeur exécute les fiches des tests décrites dans les plans et produit les rapports des tests associés. Ces rapports contiennent essentiellement :

- la synthèse des résultats de tests

- les résultats des tests détaillés

- la trace d'exécution des tests.

4.3.3 Les tests unitaires

Les tests unitaires ont pour but de valider chaque composant logiciel pris unitairement par rapport à sa spécification détaillée. Ce test est effectué dès qu'une pièce de code a été codée et compilée correctement et il utilise le type de test appelé test structurel. Ce dernier consiste à analyser la structure interne du programme en déterminant les chemins minimaux afin de s'assurer que toutes les conditions d'arrêt de boucle ont été vérifiées, toutes les branches d'une instruction conditionnelle ont été testées et les structures de données internes ont été testées (pour s'assurer la validité).

4.3.4 Les tests d'intégration

Le but de ce test est la validation des sous systèmes logiciels entre eux c'est-à-dire l'intégration de l'interface entre les composants logiciels et l'intégration de l'interface entre le logiciel et le matériel. Le test d'intégration est effectué dès qu'un sous système fonctionnel (module, objet) est entièrement testé unitairement. Une progression ordonnée de tests dans laquelle des éléments logiciels et matériels sont assemblés et testés jusqu'à ce que l'ensemble du système soit testé.

4.3.5 Les tests de validation

Ce test consiste en la vérification de la conformité du logiciel aux spécifications du logiciel c'est-à-dire vérifier que le système construit correspond bien aux besoins exprimés par le client. Ce test de validation est effectué dès que l'ensemble des sous-systèmes fonctionnels ont été testés et intégrés. A ce niveau, les tests fonctionnels et les tests de robustesse sont utilisés.

4.3.6 Le test du logiciel ou test de réception

Ce test de réception est un test généralement effectué par l'acquéreur après l'installation d'un système ou d'une entité fonctionnelle avec la participation du fournisseur, pour vérifier que les dispositions contractuelles sont bien respectées. Il est appelé test du logiciel car à ce niveau le test est effectué dans l'environnement réel du logiciel, avec les données du client, sa plate-forme,...

4.3.7 Le test de régression

A la suite de la modification d'un logiciel (ou d'un de ses constituants), un test de régression a pour but de montrer que les autres parties du logiciel n'ont pas été affectées par cette modification, c'est le test de régression. Cela est dû au fait que l'utilisation du logiciel peut engendrer les nouveaux besoins dans l'organisation. Le développement pouvant aussi être la cause de cette modification.

4.4 Résultats obtenus

Comme nous l'avons signalé dans les parties précédentes, le logiciel sujet de notre travail a été développé en vue de répondre aux besoins que présentait la gestion des écoles primaires.

Le module de gestion d'enregistrement développé dans ce logiciel nous a permis de résoudre quelques problèmes comme la gestion d'enregistrement, la gestion de l'inscription des élèves et la liste des élèves.

Pour l'inscription, les données concernant chaque élève étaient saisies dans un registre d'inscription et pour établir le rapport concernant ces inscriptions, il fallait faire le pointage dans le registre. Avec le nouveau système, l'utilisateur va saisir les données dans la base des données et il pourra imprimer des rapports automatiques. Pour la saisie dans la classe montante, le processus est le même.

Le module comptabilité, à son tour, nous a permis de résoudre les problèmes comme la détermination du nombre d'élèves en dette automatiquement.

Pour sortir les bulletins, se fait par sélection de classe ou d'un élève individuellement.

Pour avoir ces résultats, des tests ont été effectués. Le logiciel que nous avons développé a subi des tests unitaires, des tests d'intégrations et le test de validation.

Les tests unitaires ont été effectués après l'écriture de chaque morceau de code. Avant de passer à une nouvelle section, il a toujours été nécessaire de faire des tests pour les sections déjà effectuées. A cause du nombre élevé des unités développées et testées, il n'est pas facile de citer tous les tests unitaires qui ont été effectué mais nous pouvons identifier certains d'entre eux. Ces tests sont par exemple la saisie des élèves, la détermination du résultat,... Un formulaire a été préparé pour la saisie de ces élèves dans la base des données. Après le test unitaire, il a fallu effectuer des tests d'intégration. Les tests d'intégration sont aussi multiples comme des tests unitaires car il a fallu intégrer toutes les unités testées dans un même logiciel scriptions et la gestion de notes. La gestion de notes devrait tirer les données dans l'unité. Ces tests ont confirmé le bon fonctionnement de l'interface entre les différentes sections déjà testées unitairement ou séparément. L'un des exemples est la gestion des in inscription. Le test d'intégration a montré que ces données saisies dans l'inscription arrivaient immédiatement dans l'unité qui nous permet la gestion de note. C'est-à-dire quand un élève est saisi sur le formulaire d'inscription, ces informations sont aussi enregistrées directement dans l'unité de gestion de note et le test l'a confirmé.

Le test de validation s'avérait aussi nécessaire pour vérifier si réellement le logiciel mis en place répond exactement aux besoins exprimés dans les spécifications. Ce test n'a pas été effectué pour plusieurs raisons. Ce test devrait se passer en deux phases : la première phase pour le test du module gestion d'enregistrement des inscriptions et des notes et la seconde pour le module de comptabilité. Dans la gestion de paiement, nous devrions saisir des opérations paiement possibles et d'autres opérations comme la contribution des bailleurs. Dans le module comptabilité, il fallait essayer d'enregistrer les opérations réelles pour voir comment le logiciel se comporte. A la fin il fallait aussi faire le contrôle pour vérifier aussi si le résultat était déterminé correctement avec des données réelles.

Signalons aussi que le test de réception n'a pas été effectué à cause de plusieurs exigences qui n'ont pas été disponibles à temps. Après ces tests qui ont été effectués avec succès, nous pouvons dire que le travail a atteint son objectif.

4.5 Protection des données

La politique de sécurisation détermine les actions à mener pour assurer l'intégrité, la confidentialité des données et la disponibilité du service.

Sauvegarder régulièrement le fichier contenant la base de données est l'une de mesure de protection des données. C'est lui qui contient les fiches principales. Cette sauvegarde peut se faire sur un lecteur externe (disquette, CD, Flash disc...). Il est intéressant de noter que les données de ce fichier peuvent être compressées. Pour cela il suffit d'utiliser un utilitaire comme Win Zip, WinRAR etc.

4.6 Les exigences du logiciel

Du côté des postes client

Les systèmes d'exploitations suivant supportent la conception et le déploiement d'applications .NET développées avec VB.NET.

Microsoft Windows Server 2003

Windows XP Professionnel

Windows XP Édition familiale (Sans possibilité de création d'applications Web et de services WEB XML)

Windows 2000 Professionnel (Service Pack 3 ou version ultérieure requis)

Windows 2000 Server (Service Pack 3 ou version ultérieure requis)

Windows NT 4.0 (VSNET 2002 exclu)

Les plates-formes Windows 98, Windows 98 Deuxième Édition et Windows ME, Microsoft Windows NT 4.0 (pour VS.NET 2002) ne sont pas prises en charge pour la conception et le développement avec Visual Studio .NET.
Vous pouvez déployer des applications dans les environnements de plates-formes Windows 98 et Windows ME, Microsoft Windows NT 4.0 (Service Pack 6a requis).

L'installation du runtime Framework.NET est indispensable sur le poste cible.

- CPU : Pentium III ou supérieur

- RAM : 128 Mo ou supérieur

- 15 Mo libres sur le disque dur

Du côté du serveur

-La plate-forme : WINDOWS 2000 Server

- 3 Go libre sur le disque dur

Les logiciels pré requis :

-SQL Server 2000

Installation des Service Pack les plus récents des logiciels cités ci haut pour garantir le bon fonctionnement du système.

CONCLUSION ET RECOMMENDATIONS

CONCLUSION

Au terme de notre travail de fin d'étude intitulé « La Gestion des information des élèves d'une école primaire », Rappelons que l'objectif principal que nous nous sommes assigné était l'utilisation des nouvelles technologies pour une meilleure gestion des informations concernant les élèves d'une école primaire. A cet effet, nous avons voulu d'abord, au cours de notre étude, faire une analyse de la pratique de gestion des informations des élèves par le système existant dans les écoles primaires; ensuite nous rendre compte de la qualité de cette dernière et enfin apporter une meilleure solution. Pour y arriver nous avons divisé notre travail en quatre parties interdépendantes.

Le premier chapitre qui est l'introduction générale comprend la présentation du sujet, le choix et l'intérêt du sujet, les objectifs du travail, l'hypothèse centrale, la délimitation du sujet, la méthodologie de recherche, la subdivision du travail et les résultats attendus.

Afin de vérifier notre hypothèse, nous nous sommes servi de certaines méthodes et techniques. Concernant les méthodes nous avons fait recours à la méthode MERISE L qui est une méthode utilisée pour la conception des systèmes informatiques et pour ce qui est des techniques qui nous ont permis de bien comprendre le problème et d'apporter une solution, nous nous sommes appuyés sur les interviews, la documentation et l'observation.

Le second chapitre explique le fonctionnement de l'ESCAF, les procédures d'enregistrement ainsi que les fiches utilisées pour les différentes opérations sur les renseignements des élèves de la dite école. Ici nous avons décrit le système existant, son fonctionnement et ses défaillances, ensuite nous avons décrit le nouveau système à mettre en place, son fonctionnement et ses exigences.

Le troisième chapitre comprend la conception du logiciel de gestion des informations des élèves de l'école primaire (SYGEP). Au cours de ce chapitre, nous avons relevé les données ainsi que les traitements du nouveau système d'après l'analyse faite dans le deuxième chapitre. Nous avons présenté différents modèles conceptuels de données et des traitements permettant d'aboutir au bien livrable de ce travail.

Le quatrième chapitre présente le nouveau système, les testes et ses exigences, les résultats obtenus et montre les différents outils utilisés pour le mettre en place.

«SYGEP » est une réponse des besoins de l'ESCAF, il permet la réalisation des différentes activités de l'école.

Le logiciel conçu va faciliter les activités de gestion des informations en relation avec les élèves surtout le suivi des dossiers.

Alors nous croyons qu'une fois le logiciel installé, il va améliorer les activités de gestion des informations des élèves.

En définitive, nous osons croire qu'une fois ce logiciel est mis en production, il contribuera à l'amélioration de la gestion des informations des eleves de l'ESCAF. Il aboutit aux résultats attendus : -Inscrire les élèves pour le recueil et le stockage des renseignements dans une base des données.

-Identifier les différents types de bailleurs de fond (ADRA et autres) facilement.

-Repérer les élèves qui se trouvent dans une tranche d'âges donnés.

-Voir les élèves qui ont déjà payé ou pas le Minerval

-Visualiser tous les renseignements sur un élève, y compris sa photo.

-Lister tous les élèves inscrits dans une classe.

-Lister les cours programmés pour une classe

-Apercevoir le palmarès (Fiche de délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs, liste des cours avec échecs)

-Visualiser/Imprimer/Archiver tous les bulletins d'une classe en un seul clic

(Alternativement voir un seul bulletin, surtout utile au moment des réclamations et pertes individuelles)

RECOMMANDATIONS

Il est indispensable, afin de bâtir un avenir meilleur, d'appréhender les nouvelles

Données du secteur éducatif, d'en déceler les points forts et les faiblesses avant de pouvoir identifier les domaines d'intervention prioritaires.

Suivant les différents points qu'on a traités, il est important de souligner que L'étude présentée dans ce mémoire permet de mettre en évidence un certain nombre de pistes de développement quant à l'avenir du logiciel «SYGEP ». Ce logiciel pourra être amélioré et inclure les fonctionnalités telles que la consultation online des informations des écoles primaire, la gestion des places disponibles à l'école, le paiement des frais des frais de scolarité online, etc. Tout à reconnaissant les possibilités des écoles primaire. C'est pourquoi nous ne pouvons pas clôturer ce travail sans laisser la piste ouverte à l'approfondissement de ce sujet par celui qui sera intéressé à continuer ce travail.

Références bibliographiques et webographiques

0. Camille, Moine, Informatique appliquée à la gestion, 1re et 2e édition, Paris, juillet 2000.

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2. DI GALLO Frederic, Cours de génie logiciel, CNAM, bordeaux, 1999-2000

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Programmes de l'Enseignement Secondaire, Kigali, mai 1996

6. Etude du Secteur de l'Education au Rwanda, Kigali, novembre 1997

7. Rapport du Recensement Général des Enseignants au Rwanda, MINEDUC, juillet

2000

8. Statistiques de l'Enseignement, MINEPRISEC, 1990-1991

9. Statistiques de l'Enseignement, MINEPRISEC, 1991-1992

10. Recensement Statistique, Primaire et Préscolaire, MINEDUC, 2000-2001

11. Séminaire sur l'éducation non formelle, Kigali, juin 1995.

12. Projet d'amélioration de l'éducation populaire, 1995.

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http://www.iro.umontreal.ca/~pift3030/H03/02_architecture.pdf

http://www.locoche.net/intro_reseau.php

http://www.laltruiste.com/document.php?rep=annexe&page=developpement_logiciel&precedent=37

ANNEXE

Page d'accueil

Page de connexion

Page des menus

Page de l'identification de l'élève

Page d'inscription de l'élève

Page de payement de l'élève

Page d'enregistrement de notes de l'élève






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"La première panacée d'une nation mal gouvernée est l'inflation monétaire, la seconde, c'est la guerre. Tous deux apportent une prospérité temporaire, tous deux apportent une ruine permanente. Mais tous deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques"   Hemingway