WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Qualité, gestion et protection des eaux du barrage de Bounamoussa


par Brahim Khelifi
Université Badjhi Mokhtar d'Annaba - Master 2016
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

IV-3-6-2- Précipitations moyennes annuelles (PMA) :

Les hauteurs des pluies moyennes annuelles enregistrées par les deus stations pour 39 ans d'observations sont comme suite:

Tableau N°15: Précipitations moyennes annuelles en mm (1976/2015).

 

Précipitations moyennes annuelles en mm (1976/2015)

Année

Cheffia

Ain Assel

Année

Cheffia

Ain Assel

1976/77

905,20

849

1996/97

439,20

438,1

1977/78

754,70

820,3

1997/98

1113,6

1012,2

1978/79

839,60

908,4

1998/99

921,60

875,5

1979/80

713,00

654,5

1999/00

704,20

601,8

1980/81

813,40

816,5

2000/01

696,80

858,6

1981/82

839,60

826

2001/02

502,50

489,3

1982/83

577,20

788,2

2002/03

1139,1

1225

1983/84

1054,9

854,8

2003/04

959,1

951,3

1984/85

970,40

1013,7

2004/05

1124,5

1158,6

1985/86

610,50

761,2

2005/06

642,2

622,4

1986/87

1261,4

1162,4

2006/07

730,2

855,1

1987/88

456,30

608,7

2007/08

549

706,9

 

Chapitre IV : HYDROCLIMATOLOGIE KHELIFI.B 2016

36

1988/89

589,30

613,6

2008/09

1013,4

807

1989/90

572,90

564

2009/10

729,3

422,8

1990/91

850,30

1005,6

2010/11

854,8

616,5

1991/92

908,30

892,8

2011/12

877,8

954

1992/93

789,50

860,5

2012/13

835,9

622,3

1993/94

691,00

567,7

2013/14

669,5

483

1994/95

658,10

668,6

2014/15

1074,7

814,1

1995/96

1050,3

945,2

/

/

 
 

Figure N°16 : Précipitations moyennes annuelles en mm (1976/2015).

IV-4- Bilan hydrologique :

Le bilan permet d'évaluer les apports et les sorties en eau sur une période déterminée. L'évaluation du bilan d'eau est nécessaire aux paramètres physiques du milieu tels que les éléments climatologiques, pédologiques qui interviennent dans le cycle de l'eau. Le calcul de ce bilan est nécessaire pour mieux définir les besoins globaux et chiffrés du milieu et essentiellement pour l'évaluation du volume des ressources en eau souterraine (infiltration) et de surface (ruissellement). Le bilan hydrologique d'un bassin peut se traduire par l'équation suivante:

P = ETR + I+R + ÄRFU

Avec :

P : Lame moyenne précipitée sur le bassin versant en mm.

ETR : Evapotranspiration réelle en mm. L'évapotranspiration réelle correspond à la quantité d'eau effectivement évapo-transpirée au dessus de la surface étudiée. L'ETR dépend de la lame d'eau stockée dans le sol et la pluviosité.

R : Ruissellement en mm,

Chapitre IV : HYDROCLIMATOLOGIE KHELIFI.B 2016

37

ÄRFU : Variation de la réserve facilement utilisable, c'est-à-dire de la lame d'eau stockée dans le sol, utilisable par les plantes. La RFU commence à alimenter l'ETR quand les précipitations deviennent inférieures à l'ETP.

L'excédent (EXC), différence positive, par définition, entre la précipitation et l'évapotranspiration réelle, correspond au surplus des précipitations qui peut ruisseler ou s'infiltrer : l'excédent est assimilé à la pluie efficace, cette notion diffère d'un auteur à l'autre.

En hydrogéologie la pluie efficace (Pe) est parfois confondue avec l'infiltration. En hydrologie par contre, la pluie efficace (Pe) correspond à la partie qui alimente les cours d'eau. L'excédent (EXC) correspond à la somme des précipitations ruisselées et infiltrées.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore